Les jeunes nymphomanes 4/4 - histoire érotique

13 h 30. Je rejoins le grenier précipitamment. Les filles sont déjà là, nues bien sûr. Elles se jettent littéralement sur moi. En un rien de temps, je suis nu moi aussi. Déjà, Sylviane a pris ma bite en bouche et commence une fellation d’enfer. Françoise m’embrasse à pleine bouche pendant que je lui pelote les seins.

- On a tout notre temps cet après-midi, les hommes sont allés moissonnés les grandes terres, les plus éloignées de la ferme. Ils ne reviendront pas avant 15 heures.
- Waouh ! On a 1 heure et demie devant nous !
Sylviane lâche ma queue qui se dresse fièrement devant elle.

- Baises-moi, tout de suite.
Je veux l’allonger sur la paille, mais les 2 furies qui ont dû préparer leur coup me font tomber sur le dos et Sylviane vient à califourchon sur moi.

- Non, c’est moi qui s’empale sur ton gourdin.
Et elle prend ma queue en main et la dirige vers son con. Ma tige est lentement engloutie dans sa chatte et elle se met à remuer savamment. J’adore ça, je sens les parois de son vagin qui massent mon braquemard. Sylviane en se dandinant devant moi fait tressaillir ses roberts, ce qui m’excite terrible. Je les prends dans mes mains et les pétris, les malaxe. Je veux l’attirer vers moi pour les sucer, mais Françoise que j’avais un peu oubliée m’en empêche. Elle vient elle aussi à califourchon sur moi, sa petite chatte sur ma bouche.

- Bouffes-moi la chatte, régales-toi !
Je ne me fais pas prier et je mordille les grandes lèvres, introduit ma langue dans cette petite fente serrée et je la baise littéralement avec ma langue. Je deviens dingue. Me voilà avec une nana empalée sur mon pieu pendant que je lèche sa sœur !

- On change !
C’est Françoise qui veut se faire baiser aussi.
Sylviane se relève et Françoise, qui était encore vierge il y a quelques heures vient s’empaler sur ma bite tandis que Sylviane vient coller sa chatte dégoulinante de cyprine sur ma bouche. Françoise va et vient sur ma queue, elle sort presque entièrement et redescend brusquement.

- Là, bien à fond, c’est trop bon ! Elle est bonne ta queue. Elle me fait du bien.
- A moi maintenant, je veux son foutre dans mon ventre. Toi tu ne peux pas, tu ne prends pas la pilule.
- Dommage, j’aurais bien aimé avoir son sperme bien au fond de ma chatte.
Françoise se relève et Sylviane vient à nouveau s’empaler sur moi. Il ne me faut pas longtemps pour décharger. 3 ou 4 longs jets de purée qui font jouir la salope qui me baise.

- Ah oui, je sens bien ton foutre au fond de ma chatte, j’aime ça ! Encore, jouit encore !
Je lâche encore un jet de sperme qui fait hurler ma maîtresse de plaisir, puis Sylviane se relève, chatte dégoulinante. Aussitôt Françoise se précipite sur ma bite et la prend en bouche. Elle aspire les dernières gouttes et les avale.

- Tu avales ? T’es encore plus salope que moi !
- Hummm, c’est délicieux, dommage qu’il n’y en ait pas plus !
- Lèches ma chatte si t’en veux plus, regardes ça coule à flots !
Sans hésiter, Françoise vient entre les cuisses de sa sœur et lèche mon foutre, mêlé à sa cyprine qui s’échappe de son vagin, puis elle avale tout !
Cette vision incroyable me fait déjà rebander, mais les filles n’en peuvent plus et elles s’allongent de chaque côté de moi et m’embrassent à pleine bouche à tour de rôle. Je ne reste pas inactif et une main sur chaque vulve, je les caresse avant de les doigter. Les petites salopes se tortillent de plaisir et viennent me sucer la bite, toutes les deux en même temps. Que c’est bon d’avoir 2 bouches, 2 langues qui avalent, lèchent ma queue, mes couilles ! Mon braquemard est à nouveau au garde-à-vous !

Sylviane lâche ma queue et vient à califourchon sur moi, pas pour se faire baiser, mais pour mettre ses mamelles sur mon visage.

- Vas-y, tête mes seins ! Triture-les !
Je ne me fais pas prier et je suce avidement un mamelon, puis l’autre puis les 2 en même temps. Je les malaxe, les triture, les pétris comme un fou, je prends un nibard presque entièrement dans ma bouche. Sylviane a mal, mais elle me dit de continuer.
J’en ai complètement oublié Fanfan, du moins jusqu’au moment où je sens mon dard englouti dans sa chatte. La salope en a profité pour venir s’empaler ! Elle va et vient sur ma bite et quand Sylviane se retire je m’aperçois que Françoise me tourne le dos. Je l’attire vers moi, elle se couche sur moi et je la baise comme ça, la tenant par les roberts.
- Je vais jouir, retire-toi…
- Mais moi je n’ai pas encore eu d’orgasme ! Allez, jouit dans mon con.
- Non je ne peux pas, et si tu tombais enceinte ? Vite ça vient !
A regret elle se relève. J’ai alors une idée : puisqu’elle veut du foutre dans ses entrailles, je vais jouir dans son cul. Je la retiens par les hanches et approche ma queue de son cul. Elle ne comprend pas tout de suite et se laisse faire. J’appuie mon gland contre son fion et là, elle réagit.
- Non, pas par-là, c’est sale et tu vas me faire mal.
- J’irai doucement, t’inquiète.
- Je ne sais pas… je n’ai jamais fait !
- Moi non plus, on va découvrir ensemble…
- Va doucement alors et si j’ai mal, tu arrêtes tout de suite.
- Non mais je rêve ? Tu vas te laisser enculer ? T’es dingue ! Même moi je n’ai jamais fait ça !
- Tu es jalouse, c’est tout. Il te prendra par derrière aussi après si tu veux.
Je laisse les filles à leur bavardage et j’appuie à nouveau mon gland contre son anus. Cette fois-ci elle me laisse faire. J’appuie un peu plus et le gland pénètre un peu dans son cul. Un coup de boutoir et le gland est entré en entier.
- Aie ! ça fait trop mal, arrêtes.
Je me retire donc du cul de ma chérie et elle immédiatement elle prend ma queue en main et la fourre dans sa chatte.
- Vas-y, jouit dans ma chatte, tant pis si je suis en cloque, j’ai trop envie de sentir ton foutre buter contre mon utérus !
De toute façon, je ne peux plus me retenir et toute ma purée gicle dans la cramouille de Fanfan.
- Ah ouiiiiii ! Enfin je jouis ! C’est tellement bon. Je t’aimeeeeeee !
Sylviane est abasourdie. Le spectacle la fait jouir elle aussi.
Mais il faut revenir sur terre, les tracteurs reviennent. On se ressape vivement un peu et on est prêt pour recevoir les bottes de foin.
Pendant plusieurs jours, on en devenait pas large avec Françoise, jusqu’au matin où elle m’a dit avoir ses règles. Heureusement elle n’était pas enceinte !
Les moissons se sont terminées. Niquer mes petites nymphos n’était plus aussi simple, mais chaque fois que c’était possible, on baisait. Sylviane au milieu des vacances s’est trouvée un mec, à vrai dire mon meilleur copain et je n’avais plus que le corps de Françoise à satisfaire.
Tout à une fin et la rentrée scolaire est arrivée. Il a fallu attendre les rares week-ends où mes parents venaient à leur maison de campagne pour rencontrer et niquer Françoise. Puis un jour, je l’ai trouvé avec un autre copain. Son besoin de sexe était trop grand, elle ne pouvait plus m’attendre. Comme de mon côté j’avais aussi baisé une copine de classe, je lui ai pardonné, et on a fait l’amour encore quelques fois…