Les joies de l'onanisme.

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les joies de l'onanisme. Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Les joies de l'onanisme.
(fiction écrite en 06.2012).

Je me nomme Audrey, j’ai 30 ans depuis le début de l’année. Divorcée sans enfant, j’ai un bon poste dans l’administration à Paris où je possède un petit appartement dans un immeuble ancien, rénové entièrement quand j’ai fait cette acquisition.
Petite brune (1.65m) avec des cheveux noirs ondulés tombant au dessus des épaules, j’ai d’immenses yeux bleu pervenche, un petit nez à la pointe légèrement relevée et des lèvres pulpeuses. J’ai une belle poitrine bien rebondie (je porte des soutifs en 85.D) et des hanches bien galbées au dessus d’une taille plutôt étroite.
Je me considère comme une belle femme et je crois que je ne suis pas la seule à voir les regards enflammés que certains collègues de travail, hommes ou parfois femmes peuvent me jeter. Mais je ne suis pas prête à succomber à leurs tentatives de séduction.
Un mariage raté avec un condisciple au sortir des mes études supérieures et un divorce pénible à cause de nos parents respectifs qui n’y comprenaient rien faisaient que je n’étais pas encline à tenter une nouvelle aventure même passagère.

Bien sur Loïc, mon ex, n’était pas mon premier homme. Dès que mon corps a pris ses formes au cours de mon adolescence, j’ai eu des flirts avec les copains de lycée mais, là encore je ne me laissais pas convaincre facilement de succomber. Cela explique que j’ai perdu ma virginité assez tardivement, en fait lors de la fête de fin de première année en fac de droit.

J’avais dansé toute la soirée avec Hervé, un bon copain avec qui j’aimais bavarder et parfois travailler nos cours ensemble. Sans que je sois saoule, j’étais un peu partie et ayant fumé un pétard (pour essayer), je planais un peu, si bien qu’Hervé a profité de cette euphorie pour me faire l’amour, debout dans un recoin de la salle où nous faisions la fête. Il a été doux et prévenant quand il a su qu’il était le premier mais cette étreinte à la sauvette ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Jusqu’à ce que je rencontre Loïc qui faisait en même temps que moi un stage à Clermont-Ferrand après avoir obtenu notre Master de droit fiscal dans deux facs différentes, j’avais ce que je peux appeler des « baises hygiéniques » et quelques belles séances de masturbation.

J’avais découvert cette pratique au cours de mon adolescence en parlant avec une copine. Je ne dis pas qu’elle m’a initié, mais ce sont ses propos qui ont éveillé ma curiosité au point que je me suis caressée en prenant ma douche le soir même… jusqu’à ce que la jouissance déferle pour la première fois dans mon corps. Depuis ce soir là, je me caresse au moins une fois par semaine, effleurant les bourgeons de mes seins pour les faire dresser puis, je laisse descendre mes mains sur mon ventre jusqu’à mon bourgeon d’amour que je fais rouler entre deux doigts en maintenant mes lèvres ouvertes avec l’autre main. Puis, descendant encore plus bas, j’introduis deux doigts dans ma chatte où je mime le coït d’un sexe male.

Pendant que j’étais avec Loïc, j’ai continué de me caresser de la même manière. J’ai tenté de l’entrainer dans des jeux sexuels un peu plus poussés que la sempiternelle baise du samedi soir, toujours dans la même position, sans fantaisie. Mais rien n’y a fait jusqu’au soir, où lassée de son peu d’empressement à mon égard, je débute une discussion sérieuse avec Loïc au cours de laquelle il m’annonce froidement que lors de notre mariage, il a rencontré un homme avec lequel il entretient depuis, une relation homosexuelle.
Cette révélation me plonge dans un profond désarroi et d’un commun accord nous décidons de nous séparer. Loïc demande et obtient sa mutation pour retourner dans sa Bretagne natale et je me retrouve seule dans un minuscule studio où j’entrepose les meubles qui me restent. Puis, je trouve à acheter avec l’aide de mes parents cet appartement où je vis actuellement. Aucun homme n’y est entré !

Après quelques mois de frustration sexuelle, je reprends mes habitudes masturbatoires manuelles jusqu’à ce qu’un jour, j’entre dans un sex-shop, plus par curiosité que par envie de faire un achat. Là, une vendeuse s’approche de moi en voyant mon embarras devant les présentoirs de godes de toutes formes et tailles :
• Voulez-vous que je vous aide à choisir ? Je suppose que c’est votre premier achat ?
• Oui, effectivement, je cherche d’abord quelque chose de simple pour me pénétrer autrement qu’avec les doigts.
• Je comprends, je vais vous montrer ce que nous avons et vous pourrez même en essayer un certain nombre en cabine.

Pendant tout ce dialogue, j’ai l’impression de rougir jusqu’aux oreilles et encore plus lorsque la vendeuse dépose devant moi une bonne dizaine de godes de tailles et de formes diverses… Il y en a même un que je trouve gigantesque, noir avec des veines bien marquées, au moins 30cm de longueur avec un gland qui dépasse le diamètre de mon bras et une paire de couilles grosse comme une orange ! Comment une femme peut avoir du plaisir avec une telle pénétration ? Je m’en étonne auprès de la vendeuse :
• Comment peut-on jouir avec un tel engin ? On doit avoir l’impression d’être écartelée !
• Non, rassurez vous, ce genre de gode entre bien mais il faut d’abord s’habituer avec des jouets plus petits.

Mon choix se porte sur trois « jouets », comme les appelle la vendeuse. Le premier est relativement mince, un peu plus gros que mon majeur, avec un bout arrondi et un corps qui forme des vagues. Le second est en silicone couleur chair, souple et muni d’une ventouse à la base :
• Comme cela, vous pouvez le fixer sur une surface lisse comme l’angle de la baignoire et vous avez les mains libres pour faire autre chose.

Comme celui de couleur noire, le corps cylindrique est muni de reliefs imitant les veines du pénis, plus ou moins dessinées et le gland a la forme d’un champignon, bien renflé et protubérant. Le troisième est un double dong (c’est écrit sur l’emballage) dont une fois de plus la vendeuse m’explique l’usage. Je n’ai pas de relation saphique mais comme les deux extrémités sont de taille sensiblement différente, cela peut être intéressant de l’utiliser entre mon premier choix d’un gode rigide et celui en silicone qui est déjà de belle taille :
• Avant d’arrêter votre choix, si vous voulez, vous pouvez en essayer qui sont assez proches. Venez, je vais vous conduire dans une cabine où nous serons tranquilles.

Sur le moment je ne relève pas le sens de la proposition de la vendeuse, une jeune beurette à qui je ne donne pas plus de 20 ans mais avec un regard de braise qui doit faire des ravages. Un peu plus grande que moi (sans talons), elle a de longs cheveux noirs coiffés en queue de cheval, un visage allongé illuminé par de grands yeux marron soulignés de fard, un nez fin et des lèvres ourlées fardées de deux couleurs. Son corps menu est cependant relevé par une poitrine assez forte et des hanches bien galbées. Je ne suis pas portée sur les filles, mais je dois dire que ma vendeuse est plutôt canon.
Nous entrons dans une vaste cabine d’essayage plutôt confortable pour un tel lieu : vaste, avec deux chaises rembourrées, deux parois de miroirs et une troisième occupée par un meuble à plusieurs tiroirs dont elle sort une série de « jouets » de toutes tailles et de toutes formes, des préservatifs et un flacon de gel :
• Voila, nous avons tout ce qu’il faut pour vous satisfaire ! Par mesure d’hygiène, nous allons utiliser les godes couverts d’un préservatif. Ce sont des « jouets » de démonstration utilisés fréquemment.
• OK ! je vois.

En me donnant ces explications, la vendeuse a préparé un gode absolument identique à celui de mon premier choix. Elle me dit qu’on peut l’utiliser aussi bien avec que sans le système vibratoire. Un peu gênée de devoir m’exhiber devant une autre fille, je relève ma jupe et je fais glisser mon tanga que j’enlève avant de m’asseoir, les jambes écartées sur une des chaises.

Lorsque je prends en main le petit gode, la vendeuse vient mettre la sienne par-dessus et me guide pour d’abord agacer mon bouton d’amour qui est sorti de son capuchon tant je suis excitée. Ensuite elle me guide pour le faire naviguer entre mes lèvres intimes et ensuite entrer doucement dans ma chatte toute trempée. Lorsqu’elle met en route le système vibratoire, il ne me faut pas plus de deux minutes pour qu’un orgasme terrible me déchire. La beurette me regarde avec envie : Dans son regard brille une lueur lubrique et coquine. Je suis presque sure que si je faisais un geste dans sa direction comme effleurer ses hanches par-dessus sa jupe courte elle ne dirait pas non mais, je n’ai jamais connu de femme…

J’essaie ensuite seule un gode en silicone presque semblable à celui que j’ai choisi mais sans système de ventouse. Couvert d’un préservatif, je l’introduis dans ma chatte gorgée de mes sécrétions où il entre avec une grande facilité. Je suis bien remplie mais je ne fais que quelques mouvements de va et vient car je sens à nouveau le plaisir monter dans mon ventre. Je n’ai pas envie de jouir une seconde fois devant la vendeuse.

Dès que j’arrive chez moi, je m’empresse de déballer mes emplettes, de me mettre nue dans ma salle de bain et, ayant fixé le gode à ventouse sur l’angle de la baignoire, je m’empale dessus. Quand je me sens bien en place, je commence des mouvements de bas en haut en fléchissant les jambes. Les mains posées sur mes seins, je pince doucement les tétons entre mes doigts. Waouh que c’est bon ! Je continue mes mouvements de haut en bas sur ce sexe artificiel jusqu’à ce que la jouissance m’emporte à nouveau. Deux fois en un peu plus d’une heure, je n’ai jamais connu çà !

Depuis ce soir là, je me caresse de plus en plus souvent. Je suis retournée acheter d’autres godes dans ce sex-shop ce qui fait que désormais, j’ai une collection d’une dizaine de sexes factices, toujours prêts à m’emmener au septième ciel. Mais cela a réveillé ma libido qui était en sommeil. Désormais je vais me mettre en chasse de mecs qui voudront bien me sauter et me faire jouir, mais juste pour cela !

Je sais comment faire : j’ai une collègue de travail qui fréquente les clubs libertins, je vais lui demander si je peux faire une sortie avec elle. Chaque fois que nous évoquons le sujet, elle est tellement enchantée de l’ambiance qu’elle a fait naître mon envie de me rendre compte par moi-même… mais çà, c’est une autre histoire !

Les avis des lecteurs

Dommage pour elle d'avoir découvert si tardivement ces plaisirs, mais elle va ratraper très vite le retard. Vivement une suite..........



Texte coquin : Les joies de l'onanisme.
Histoire sexe : Une rose rouge
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