Les lettres d’une libertine – Entre des mains de fer (1/1)
Récit érotique écrit par Breizfrissons [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 22 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 1.1 • Cote moyenne attribuée par HDS : 5.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Breizfrissons ont reçu un total de 152 514 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 8 593 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les lettres d’une libertine – Entre des mains de fer (1/1)
Mon homme me prépare quelque chose de coquin. Je vois bien qu’il passe beaucoup de temps en chat sur notre site libertin favori. Et deux petits paquets sont arrivés à son attention dans la boite aux lettres.
Puis je su que la soirée ou l’après-midi approchait lorsqu’il me demanda par texto de lui réserver mon vendredi depuis la matinée et de choisir un mot qu’il appelait « magique ».
Un mot magique pour qui et pou quoi faire ! Cette demande titillait ma curiosité.
Je lui indiquais donc que j’avais pris un congé pour le vendredi et que mon mot serait « frissons ». La semaine s’écoula de manière très routinière, puis le jeudi soir il m’indiqua qu’il s’occuperait du repas et me ferait une surprise, par un texto qui me trouva sur la route du retour.
J’étais donc une femme heureuse en rentrant du boulot. Pas de 2ème journée qui commençait et je n’avais qu’à m’occuper de moi-même ! Un Grand bain moussant, des bougies parfumées et de la musique douce m’attendaient dans la salle de bain et une tenue complète était sortie. Certains éléments étaient même très coquins puisque sur le porte-jarretelles et les bas-couture pliés, trônait mon rosebud de taille L à pierre turquoise.
Je ne comprenais pas le pourquoi du comment puisque le vendredi était … le lendemain ! A coté de mon dressing un sac de voyage avait été déposé et un mot dessus m’indiquait : juste quelques affaires pour 2 jours mais pas trop non plus car tu n’en auras pas beaucoup besoin ». Nous partions donc en WE qui s’annonçait coquin ma foi ou en tous les cas peu habillé. C’est vrai que nous vivions de beaux jours de septembre et que nous avions mis nos corps nus sur le sable chaud, pas plus tard que le week-end d’avant.
Je me préparais en femme coquine : épilation complète, vérification de la pilosité anale, lavement complet, délassement dans le bain, hydratation de la peau, parfum, maquillage … bref tout ce que vous ne connaissez pas, Messieurs, mais qui participe à votre plaisir de l’œil, des doigts, de la langue et pas que !
Je descendais dans la tenue choisie et une flute de bulles m’attendait aux coté d’un paquet. Il n’y avait pas d’odeurs de cuisine qui flottait, juste son sourire mystérieux du genre -mec qui est content de ce qu’il mijote -au plan de la surprise, évidemment.
J’ouvrais fébrilement le paquet et à ma grande surprise 4 objets en cuirs, avec de la métallerie en inox, apparurent. C’était des bracelets, ou plutôt dirais-je, des contentions en cuirs de type menottes que l’on peut relier ou accrocher à un support. Je le regardais très surprise, je lui toujours indiqué que je n’étais pas dans le trip de la soumission, du BDSM ou autres délire de femme-objet.
Je manifestais ma désapprobation. Il m’indiqua que c’était comme les épinards. On ne pouvait pas dire si l’on appréciait ou pas avant d’y avoir goûté ! Et que nous allions passer 48h chez un complice parfaitement aguerri à ce type de pratique et que nous débuterions par du dirigisme jusqu’à tenter du BDSM. Il me rappela que le mot « frisson », que j’avais choisi, prononçable à tout instant mettrait fin immédiatement aux jeux et au WE par là même.
Je failli le prononcer immédiatement car je n’étais pas tenté par la perspective. En même temps j’eu un flash : les jeux que nous avions eu, entre-nous (voir les lettres d’une libertine – le pari) m’avaient laissés une excitation cérébrale importante et un souvenir qui n’était vraiment pas désagréable, tout au contraire.
Il prit soin de me les mettre aux poignets et aux chevilles, réglant la chose à la perfection.
Puis il prit le sac de voyage, me tendit mon manteau et nous prirent la route pendant 1 heure en direction de Tours.
Une grille aux fers forgés s’ouvrait tandis qu’un gyrophare orange clignotait. Ainsi apparue une allée seigneuriale de tilleuls. C’est tout ce que je fus admise à voir, car il me présenta le classique bandeau à mettre sur mes yeux. Mes mains devinrent moites et les bracelets de cuir prirent toute leur dimension. J’avais déjà pris la posture d’une soumise rien qu’à accepter le fait d’y aller. J’enrageais après moi-même de cette faiblesse liée à des souvenirs désormais un peu fanés.
La Voiture s’immobilisa et la portière s’ouvrit, une main saisie la mienne et, avec douceur et fermeté, m’invita à me sortir du siège. Mes talons prirent appuis sur un dallage, on me fit pivoter, on me cambra, me releva la jupe sans autre forme de procés et une main caressa directement mon fessier, pour en apprécier la douceur, la fermeté et le rebondi.
Une claque tomba sans prévenir sur le gras du rebondi fessier. Je bronchais tout en accusant la surprise ! Sa puissance était fort bien ajustée et le tour de main était expert. Une voix grave et très très charismatisque m’indiqua que j’étais la bienvenue et qu’ici je serais éduquée à laisser la chienne qui dormait en moi s’éveiller durant les prochaines heures.
Je voulu répondre mais alors que ma bouche formulait le 1er son, une autre claque ajustée sur la seconde fesse me dissuada de poursuivre. La voix poursuivie : « tu as mis mon cadeau c’est bien. Ces bracelets me permettront de briser l’insoumission naturelle dont ton mari m’a fait part ».
Puis, mon corps pivota à nouveau, mes mains saisies et l’on me guida à gravir un escalier, passer une porte, marcher sur une moquette ou un tapis, descendre des marches puis mise à genoux sur le matelassé d’un siège, bras appuyés sur le dossier et tête courbée. « en signe de respect, m’indiqua la voix ». Du respect ? Mon cul oui … de la perversion typiquement masculine !
Ma jupe était retroussée à nouveau, mon shorty descendu sur mes genoux sans autre fioritures et une main apprécia à mon nouveau mon fessier et manipula le rosebud et tester ainsi la souplesse de mon anneau de bronze. La voix manifesta son appréciation sur la qualité de l’objet mise à sa disposition.
Un doigt parcouru alors ma fente, en écarta les lèvres humides, se fit inquisiteur sur l’entrée de la vulve, frôla le clitoris avant de quitter la zone en caressant mon mont de Vénus. Une main se posa alors comme une caresse sur ma joue ; glissa sur le menton et me demanda d’ouvrir le bouche. Je suçais la sève de mon excitation spontanée et involontaire sur le doigt qui s’essuyait sur ma langue. C’était juste très bon et allait cérébralement titiller une personnalité que j’avais à peine effleurée au fond de moi.
Mes mains furent rassemblées et le mousqueton verrouilla les deux bracelets ensemble. Une boisson fut portée à mes lèvres. C’était bienvenu, ma gorge était sèche de stress et d’appréhension. J’optais pour du champagne mais il y avait quelque chose en plus dedans, fuité et doux. Je buvais à chaque fois que la coupe se présentait à mes lèvres et autant vous dire qu’elle se présenta souvent pendant que l’on me caressait les fesses, le sexe, les jambes et le visage.
Une corde fut passée dans mes bracelets et elle fut tendue devant moi, forçant mes mains à se plaquer sur le rebord du siège. On repoussa mes mollets vers le capiton du bord du siège et mes chevilles furent fixées à une barre de maintien. Je me trouvais sans défense, cul cambré en arrière, ne pouvant plus refermer mes jambes et protéger mon sexe.
La voix se présenta devant moi et m’indiqua « tout commence maintenant, un acte de bravache sera suivi d’une sanction. Tu me dois obéissance petite chienne et je ne tolère absolument pas le contraire. Ton mot magique prononcé te libérera de cette obligation à l’instant ». Puis son pouce appuya sur mon menton pour m’indiquer d’ouvrir la bouche. Ce ne fut pas la coupe de bulle que l’on me présenta mais plutôt un gland que j’estimais énorme, en forme de champignon. Il força ma bouche et s’enfonça en elle. Je déglutissais avec peine, sentant que la membrure s’imposait et cherchait à aller le plus loin possible. Pas de va et vient, juste centimètre par centimètre, comme si elle cherchait à mesurer la profondeur de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer, tellement cela me remplissait.
Puis l’instant libératoire, l’air frais qui suit le retrait en arrière du monstre, la salive qui brusquement monte, un râle spontané qui jailli de vos cordes vocales et soudain la baffe sur ma joue. « Tais toi, tu peux faire mieux et appliques toi ». Et de nouveau ce gland turgescent qui force vos lèvres, aplati au fond votre langue et la colonne de chair qui pousse lentement mais surement, passe la glotte et semble descendre dans la gorge. Et cette sensation de rupture d’air, de suffocation cérébrale qui vous met en panique. Quelle conne ai-je été d’accepter ce plan, ce test, cette initiation. Comment prononcer le mot magique alors que l’on a la bouche encombrée et la corde vocale titillée de près.
Puis à nouveau la libération et je me concentre à reprendre mon souffle et volontairement je reprends le mouvement de moi-même. Je m’applique pour éviter la baffe ou la brimade. Dieu que ce WE va être long !
Puis c’est mon cerveau qui prend le relai, qui fait de moi l’objet, la chienne qui est attendue par la voix. Je monte le rythme, augmente le temps de suffocation et vient pousser ma gorge sur le pubis velu qui est parfumé. Je sens le gland qui vit dans ma gorge, qui palpite, les veines qui se gonflent le long de la membrure. Ma langue entoure, caresse et quitte à regret ce membre et y retourne de son plein gré.
La voix m’indique soudain de stopper, mais j’en décide autrement, je rengorge le sexe qui vient buter au fond et qui soudain tressaute, gicle et se vide avec épaisseur et volume. La voix râle, des mains me prennent la tête et il me ramone la bouche avec rythme pour littéralement se finir.
J’avale, je dégluti le volume en plusieurs fois, ma langue caresse et nettoie ce qu’elle peut du sexe qui reste bien bandé. Les mains quittent ma tête, le sexe sort de ma bouche et soudain encore une baffe. Une vraie, de celles où tu sens la colère de l’autre dans l’appui des doigts. J’ai mal et je m’offusque du traitement. La voix est en colère, elle me sermonne, elle me rappelle à l’ordre, aux consignes données.
Mais moi je m’en fiche, en fait je me sens excitée d’avoir désobéis, et ma fente s’humidifie de la situation. Et oui j’en fais qu’à ma tête dit souvent mon mari et il n’est pas né celui qui saura me dompter ! La voix va me punir pour çà, je le sens, je le sais. Elle le rappelle à mon bon souvenir.
Mon rosebud est retiré sans ménagement, mon anus est écarté violemment au passage du renflement de l’objet de taille L. J’accuse le coup sans broncher pour ne pas donner du plaisir sadique à la voix. Brève douleur qui n’est pas finalement pas i inintéressante que cela, ma foi.
Mais ce qui a suivi me fit perdre définitivement toute velléité d’humidité sexuelle et de vouloir faire la forte tête.
La voix m’annonça que j’allais subir la punition dédiée aux domestiques anglaise qui désobéissaient au siècle passé. Quelque chose se frotta sur mon anus, suivi d’une sensation de chaleur intense, presqu’une brulure. Puis l’objet froid, dur et humide fut introduit dans mon anus déjà travaillé par le retrait du rosebud. De ce fait, il n’y eu pas la résistance naturelle habituelle et la brulure intense de la paroi de mon rectum me fit bondir et gémir. J’étais attachée et j’avais beau remuer, serrer l’anus, l’objet n’avait pas l’intention de ressortir. Et le comble était que plus je serrais plus cette chaleur intense se propageait.
C’était cuisant plus que douloureux mais de ma gorge sortait des sons de désapprobation, qui furent vite masqués par la boule de nylon que la voix inséra dedans. « Nous allons moins t’entendre et vouloir désobéir maintenant ! ».
Une main intensifia la courbure de ma croupe en appuyant sur mes reins et le gras de mon fessier se mit à subir une belle fessée. Appuyée comme il faut, cinglante, visant au plus juste la même zone de chaque fesse. Entredeux tombé de main, j’imaginais la coloration virer du rose au rouge intense !
Au départ je maudissais mon bourreau, mes chairs envoyaient des signaux de détresse qui allaient de mon fondement interne jusqu’au sexe. Puis la douleur devint chaleur, et celle-ci couvrit celle qui enflammait mon rectum se contractant à chaque frappe de la main.
Enfin, la douleur laissa la place à un mélange étrange fait de crainte et de plaisir. Je ne luttais plus vraiment et m’attachais à tenter de recracher la boule de nylon avec ma langue pour mieux respirer et caler mes expirations sur le mouvement de métronome de la main de la voix.
Ce fut sourd, intense et bien mystérieux mais toujours est-il qu’un orgasme presque imprévu ou impossible vient me cueillir lorsque la main dérapa et que les bouts de doigts vinrent frapper mes lèvres et riper jusqu’au capuchon. Mon fessier avait des spasmes et je me mis à couler d’un seul coup.
Ce fut un acte libératoire, mon bourreau stoppa net son geste, certainement pour admirer son œuvre. Il me retira avec délicatesse la chose insérée dans mon fessier en feu, puis se saisi de la boule de nylon que j’avais presque réussi à évacuer de ma bouche.
Celle-ci ouverte et bavant expulsa alors le mot … « frissons ». Mon cerveau reprenait ainsi le contrôle et demandait l’arrêt immédiat des jeux alors que mon corps subissait encore les ondes du plaisir libéré.
Je fus détachée sans un mot, essuyée avec délicatesse et remise sur mes pieds.
Des mains m’ont soutenue et recouverte de mon manteau. Quelques messes basses accompagnèrent notre trajet inverse que je reconnu.
Une porte que l’on ouvre, on me penche la tête de la paume de la main et l’on m’invite à m’assoir. Le moteur tourne. La porte claque, la voiture démarre lentement, comme à regret.
« Tu as pris toutes mes affaires » lui demandais-je, le bandeau encore sur les yeux. « Oui » - Un simple oui neutre.
J’appris plus tard en me renseignant, que cette fameuse punition des domestiques anglaises consistait en l’introduction d’une racine de gingembre fraichement pelée dans leur anus en guise de plug et que c’est le jus de la plante qui provoquait cette sensation de chaleur intense. La pratique se nomme « figging » et était accompagnée d’une fessée déculottée délivrée à la main ou à la badine. Il est fait mention d’orgasmes spontanés, en cette occasion donnant lieu de croire au bourreau que la victime appréciait particulièrement le traitement.
Mon anus, quand à lui, s’en souvint durant près de 72h, me laissant cette sensation si particulière d’avoir été baisée et limée durant des heures par cet orifice !
Puis je su que la soirée ou l’après-midi approchait lorsqu’il me demanda par texto de lui réserver mon vendredi depuis la matinée et de choisir un mot qu’il appelait « magique ».
Un mot magique pour qui et pou quoi faire ! Cette demande titillait ma curiosité.
Je lui indiquais donc que j’avais pris un congé pour le vendredi et que mon mot serait « frissons ». La semaine s’écoula de manière très routinière, puis le jeudi soir il m’indiqua qu’il s’occuperait du repas et me ferait une surprise, par un texto qui me trouva sur la route du retour.
J’étais donc une femme heureuse en rentrant du boulot. Pas de 2ème journée qui commençait et je n’avais qu’à m’occuper de moi-même ! Un Grand bain moussant, des bougies parfumées et de la musique douce m’attendaient dans la salle de bain et une tenue complète était sortie. Certains éléments étaient même très coquins puisque sur le porte-jarretelles et les bas-couture pliés, trônait mon rosebud de taille L à pierre turquoise.
Je ne comprenais pas le pourquoi du comment puisque le vendredi était … le lendemain ! A coté de mon dressing un sac de voyage avait été déposé et un mot dessus m’indiquait : juste quelques affaires pour 2 jours mais pas trop non plus car tu n’en auras pas beaucoup besoin ». Nous partions donc en WE qui s’annonçait coquin ma foi ou en tous les cas peu habillé. C’est vrai que nous vivions de beaux jours de septembre et que nous avions mis nos corps nus sur le sable chaud, pas plus tard que le week-end d’avant.
Je me préparais en femme coquine : épilation complète, vérification de la pilosité anale, lavement complet, délassement dans le bain, hydratation de la peau, parfum, maquillage … bref tout ce que vous ne connaissez pas, Messieurs, mais qui participe à votre plaisir de l’œil, des doigts, de la langue et pas que !
Je descendais dans la tenue choisie et une flute de bulles m’attendait aux coté d’un paquet. Il n’y avait pas d’odeurs de cuisine qui flottait, juste son sourire mystérieux du genre -mec qui est content de ce qu’il mijote -au plan de la surprise, évidemment.
J’ouvrais fébrilement le paquet et à ma grande surprise 4 objets en cuirs, avec de la métallerie en inox, apparurent. C’était des bracelets, ou plutôt dirais-je, des contentions en cuirs de type menottes que l’on peut relier ou accrocher à un support. Je le regardais très surprise, je lui toujours indiqué que je n’étais pas dans le trip de la soumission, du BDSM ou autres délire de femme-objet.
Je manifestais ma désapprobation. Il m’indiqua que c’était comme les épinards. On ne pouvait pas dire si l’on appréciait ou pas avant d’y avoir goûté ! Et que nous allions passer 48h chez un complice parfaitement aguerri à ce type de pratique et que nous débuterions par du dirigisme jusqu’à tenter du BDSM. Il me rappela que le mot « frisson », que j’avais choisi, prononçable à tout instant mettrait fin immédiatement aux jeux et au WE par là même.
Je failli le prononcer immédiatement car je n’étais pas tenté par la perspective. En même temps j’eu un flash : les jeux que nous avions eu, entre-nous (voir les lettres d’une libertine – le pari) m’avaient laissés une excitation cérébrale importante et un souvenir qui n’était vraiment pas désagréable, tout au contraire.
Il prit soin de me les mettre aux poignets et aux chevilles, réglant la chose à la perfection.
Puis il prit le sac de voyage, me tendit mon manteau et nous prirent la route pendant 1 heure en direction de Tours.
Une grille aux fers forgés s’ouvrait tandis qu’un gyrophare orange clignotait. Ainsi apparue une allée seigneuriale de tilleuls. C’est tout ce que je fus admise à voir, car il me présenta le classique bandeau à mettre sur mes yeux. Mes mains devinrent moites et les bracelets de cuir prirent toute leur dimension. J’avais déjà pris la posture d’une soumise rien qu’à accepter le fait d’y aller. J’enrageais après moi-même de cette faiblesse liée à des souvenirs désormais un peu fanés.
La Voiture s’immobilisa et la portière s’ouvrit, une main saisie la mienne et, avec douceur et fermeté, m’invita à me sortir du siège. Mes talons prirent appuis sur un dallage, on me fit pivoter, on me cambra, me releva la jupe sans autre forme de procés et une main caressa directement mon fessier, pour en apprécier la douceur, la fermeté et le rebondi.
Une claque tomba sans prévenir sur le gras du rebondi fessier. Je bronchais tout en accusant la surprise ! Sa puissance était fort bien ajustée et le tour de main était expert. Une voix grave et très très charismatisque m’indiqua que j’étais la bienvenue et qu’ici je serais éduquée à laisser la chienne qui dormait en moi s’éveiller durant les prochaines heures.
Je voulu répondre mais alors que ma bouche formulait le 1er son, une autre claque ajustée sur la seconde fesse me dissuada de poursuivre. La voix poursuivie : « tu as mis mon cadeau c’est bien. Ces bracelets me permettront de briser l’insoumission naturelle dont ton mari m’a fait part ».
Puis, mon corps pivota à nouveau, mes mains saisies et l’on me guida à gravir un escalier, passer une porte, marcher sur une moquette ou un tapis, descendre des marches puis mise à genoux sur le matelassé d’un siège, bras appuyés sur le dossier et tête courbée. « en signe de respect, m’indiqua la voix ». Du respect ? Mon cul oui … de la perversion typiquement masculine !
Ma jupe était retroussée à nouveau, mon shorty descendu sur mes genoux sans autre fioritures et une main apprécia à mon nouveau mon fessier et manipula le rosebud et tester ainsi la souplesse de mon anneau de bronze. La voix manifesta son appréciation sur la qualité de l’objet mise à sa disposition.
Un doigt parcouru alors ma fente, en écarta les lèvres humides, se fit inquisiteur sur l’entrée de la vulve, frôla le clitoris avant de quitter la zone en caressant mon mont de Vénus. Une main se posa alors comme une caresse sur ma joue ; glissa sur le menton et me demanda d’ouvrir le bouche. Je suçais la sève de mon excitation spontanée et involontaire sur le doigt qui s’essuyait sur ma langue. C’était juste très bon et allait cérébralement titiller une personnalité que j’avais à peine effleurée au fond de moi.
Mes mains furent rassemblées et le mousqueton verrouilla les deux bracelets ensemble. Une boisson fut portée à mes lèvres. C’était bienvenu, ma gorge était sèche de stress et d’appréhension. J’optais pour du champagne mais il y avait quelque chose en plus dedans, fuité et doux. Je buvais à chaque fois que la coupe se présentait à mes lèvres et autant vous dire qu’elle se présenta souvent pendant que l’on me caressait les fesses, le sexe, les jambes et le visage.
Une corde fut passée dans mes bracelets et elle fut tendue devant moi, forçant mes mains à se plaquer sur le rebord du siège. On repoussa mes mollets vers le capiton du bord du siège et mes chevilles furent fixées à une barre de maintien. Je me trouvais sans défense, cul cambré en arrière, ne pouvant plus refermer mes jambes et protéger mon sexe.
La voix se présenta devant moi et m’indiqua « tout commence maintenant, un acte de bravache sera suivi d’une sanction. Tu me dois obéissance petite chienne et je ne tolère absolument pas le contraire. Ton mot magique prononcé te libérera de cette obligation à l’instant ». Puis son pouce appuya sur mon menton pour m’indiquer d’ouvrir la bouche. Ce ne fut pas la coupe de bulle que l’on me présenta mais plutôt un gland que j’estimais énorme, en forme de champignon. Il força ma bouche et s’enfonça en elle. Je déglutissais avec peine, sentant que la membrure s’imposait et cherchait à aller le plus loin possible. Pas de va et vient, juste centimètre par centimètre, comme si elle cherchait à mesurer la profondeur de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer, tellement cela me remplissait.
Puis l’instant libératoire, l’air frais qui suit le retrait en arrière du monstre, la salive qui brusquement monte, un râle spontané qui jailli de vos cordes vocales et soudain la baffe sur ma joue. « Tais toi, tu peux faire mieux et appliques toi ». Et de nouveau ce gland turgescent qui force vos lèvres, aplati au fond votre langue et la colonne de chair qui pousse lentement mais surement, passe la glotte et semble descendre dans la gorge. Et cette sensation de rupture d’air, de suffocation cérébrale qui vous met en panique. Quelle conne ai-je été d’accepter ce plan, ce test, cette initiation. Comment prononcer le mot magique alors que l’on a la bouche encombrée et la corde vocale titillée de près.
Puis à nouveau la libération et je me concentre à reprendre mon souffle et volontairement je reprends le mouvement de moi-même. Je m’applique pour éviter la baffe ou la brimade. Dieu que ce WE va être long !
Puis c’est mon cerveau qui prend le relai, qui fait de moi l’objet, la chienne qui est attendue par la voix. Je monte le rythme, augmente le temps de suffocation et vient pousser ma gorge sur le pubis velu qui est parfumé. Je sens le gland qui vit dans ma gorge, qui palpite, les veines qui se gonflent le long de la membrure. Ma langue entoure, caresse et quitte à regret ce membre et y retourne de son plein gré.
La voix m’indique soudain de stopper, mais j’en décide autrement, je rengorge le sexe qui vient buter au fond et qui soudain tressaute, gicle et se vide avec épaisseur et volume. La voix râle, des mains me prennent la tête et il me ramone la bouche avec rythme pour littéralement se finir.
J’avale, je dégluti le volume en plusieurs fois, ma langue caresse et nettoie ce qu’elle peut du sexe qui reste bien bandé. Les mains quittent ma tête, le sexe sort de ma bouche et soudain encore une baffe. Une vraie, de celles où tu sens la colère de l’autre dans l’appui des doigts. J’ai mal et je m’offusque du traitement. La voix est en colère, elle me sermonne, elle me rappelle à l’ordre, aux consignes données.
Mais moi je m’en fiche, en fait je me sens excitée d’avoir désobéis, et ma fente s’humidifie de la situation. Et oui j’en fais qu’à ma tête dit souvent mon mari et il n’est pas né celui qui saura me dompter ! La voix va me punir pour çà, je le sens, je le sais. Elle le rappelle à mon bon souvenir.
Mon rosebud est retiré sans ménagement, mon anus est écarté violemment au passage du renflement de l’objet de taille L. J’accuse le coup sans broncher pour ne pas donner du plaisir sadique à la voix. Brève douleur qui n’est pas finalement pas i inintéressante que cela, ma foi.
Mais ce qui a suivi me fit perdre définitivement toute velléité d’humidité sexuelle et de vouloir faire la forte tête.
La voix m’annonça que j’allais subir la punition dédiée aux domestiques anglaise qui désobéissaient au siècle passé. Quelque chose se frotta sur mon anus, suivi d’une sensation de chaleur intense, presqu’une brulure. Puis l’objet froid, dur et humide fut introduit dans mon anus déjà travaillé par le retrait du rosebud. De ce fait, il n’y eu pas la résistance naturelle habituelle et la brulure intense de la paroi de mon rectum me fit bondir et gémir. J’étais attachée et j’avais beau remuer, serrer l’anus, l’objet n’avait pas l’intention de ressortir. Et le comble était que plus je serrais plus cette chaleur intense se propageait.
C’était cuisant plus que douloureux mais de ma gorge sortait des sons de désapprobation, qui furent vite masqués par la boule de nylon que la voix inséra dedans. « Nous allons moins t’entendre et vouloir désobéir maintenant ! ».
Une main intensifia la courbure de ma croupe en appuyant sur mes reins et le gras de mon fessier se mit à subir une belle fessée. Appuyée comme il faut, cinglante, visant au plus juste la même zone de chaque fesse. Entredeux tombé de main, j’imaginais la coloration virer du rose au rouge intense !
Au départ je maudissais mon bourreau, mes chairs envoyaient des signaux de détresse qui allaient de mon fondement interne jusqu’au sexe. Puis la douleur devint chaleur, et celle-ci couvrit celle qui enflammait mon rectum se contractant à chaque frappe de la main.
Enfin, la douleur laissa la place à un mélange étrange fait de crainte et de plaisir. Je ne luttais plus vraiment et m’attachais à tenter de recracher la boule de nylon avec ma langue pour mieux respirer et caler mes expirations sur le mouvement de métronome de la main de la voix.
Ce fut sourd, intense et bien mystérieux mais toujours est-il qu’un orgasme presque imprévu ou impossible vient me cueillir lorsque la main dérapa et que les bouts de doigts vinrent frapper mes lèvres et riper jusqu’au capuchon. Mon fessier avait des spasmes et je me mis à couler d’un seul coup.
Ce fut un acte libératoire, mon bourreau stoppa net son geste, certainement pour admirer son œuvre. Il me retira avec délicatesse la chose insérée dans mon fessier en feu, puis se saisi de la boule de nylon que j’avais presque réussi à évacuer de ma bouche.
Celle-ci ouverte et bavant expulsa alors le mot … « frissons ». Mon cerveau reprenait ainsi le contrôle et demandait l’arrêt immédiat des jeux alors que mon corps subissait encore les ondes du plaisir libéré.
Je fus détachée sans un mot, essuyée avec délicatesse et remise sur mes pieds.
Des mains m’ont soutenue et recouverte de mon manteau. Quelques messes basses accompagnèrent notre trajet inverse que je reconnu.
Une porte que l’on ouvre, on me penche la tête de la paume de la main et l’on m’invite à m’assoir. Le moteur tourne. La porte claque, la voiture démarre lentement, comme à regret.
« Tu as pris toutes mes affaires » lui demandais-je, le bandeau encore sur les yeux. « Oui » - Un simple oui neutre.
J’appris plus tard en me renseignant, que cette fameuse punition des domestiques anglaises consistait en l’introduction d’une racine de gingembre fraichement pelée dans leur anus en guise de plug et que c’est le jus de la plante qui provoquait cette sensation de chaleur intense. La pratique se nomme « figging » et était accompagnée d’une fessée déculottée délivrée à la main ou à la badine. Il est fait mention d’orgasmes spontanés, en cette occasion donnant lieu de croire au bourreau que la victime appréciait particulièrement le traitement.
Mon anus, quand à lui, s’en souvint durant près de 72h, me laissant cette sensation si particulière d’avoir été baisée et limée durant des heures par cet orifice !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Breizfrissons
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...