Les lettres d’une libertine – L’imprimerie (1/2)
Récit érotique écrit par Breizfrissons [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les lettres d’une libertine – L’imprimerie (1/2)
Les semaines passaient et je n’entendais plus parler de quoique ce soit. Mais à certains regards appuyés je devinais qu’il se tramait une nouvelle rencontre.
J’explorais son ordinateur et fini par trouver le dossier dans lequel il avait déposé les photographies prises dans l’hôtel en ruine. Une bouffée de chaleur m’envahit au fur et à mesure que défilaient les clichés. Mon minou transpirait d’excitation par cet auto voyeurisme. Nous étions assurément dans le pornographique et non plus dans l’érotisme. Porno-chic aime t-il à dire depuis.
Je me découvrais physiquement durant l’acte. Il est clair que j’y exprimais du plaisir et de l’abandon total avec cet inconnu. Pire, je lui accordais ce que je n’avais offert, jusqu’à présent, qu’à mon homme. Je m’attachais ensuite aux détails : je résolu d’en travailler quelques uns pour la prochaine fois. Il manquait des boucles d’oreilles, l’épilation de mon anus n’était pas parfaite et mes semelles d’escarpins auraient méritées un petit coup pour les raviver. Bref le porno-chic c’est bien mais avec de l’esthétisme en plus et un souci du détail cela ne serait que mieux. Cela deviendrait ma petite contribution silencieuse à mon artiste de mari et à nos plaisirs partagés.
Puis l’invitation tomba par un courriel sur mon adresse personnelle, un jeudi matin alors que je n’avais pas vraiment la tête à çà.
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INVITATION AUX PLAISIRS
Thème : de cyan à magenta
Lieu : ZI nord de Limoges – adresse non communiquée
Consignes : Ne pas tenter de compter et laisser le plaisir s’imprimer au sein de son corps et de son esprit.
Dress-code : ensemble dentelles coordonné noir. Talons-hauts cirés, robe imprimée, manucure de couleur chaude. TOUJOURS PAS DE PARFUM. Bijoux bienvenus.
Date et heure : mercredi apm prochain à 21h. Départ 19h45 du domicile.
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Moi qui ne suis pas du soir en semaine et qui adore me mettre en « pilou-pilou » une fois le repas évacué, il me fallait donc me préparer pour sortie en pleine semaine.
J’imaginais déjà le stress dès la sortie du boulot, courir me préparer, faire diner les enfants et trouver une excuse crédible, les confier au garde-chiourme improvisé. Bref, nos jeux prenaient une tournure compliquée à mes yeux !
J’anticipais donc les choses en soignant mon épilation les soirs précédents la date convenue. J’y mettais le soin que les futures photos exigeaient et à l’aide de mon petit miroir, en position accroupie je retirais les quelques poils disgracieux de mon anus. Je réalisais également une jolie coupe « RATP » sur mon minou. Je préparais ma peau en y passant généreusement matin et soir de l’huile de monoï. Ma peau en gardait la senteur et je voyais bien que mon homme appréciait cette future attention.
Le matin du jour J, alors que je m’employais à étaler cette huile sur ma poitrine je ressenti cette petite bouffée étrange d’un stress mélangé intimement à une certaine excitation sexuelle. Je passais un doigt entre mes lèvres intimes pour y découvrir ce que je savais déjà au fond de moi : j’étais trempée. Il faut dire que mon homme gérait admirablement mon désir et un manque volontaire depuis le WE.
Il me chauffait, m’excitait, me plaçait proche de l’orgasme sans jamais m’en offrir la libération. Il me disait « soit patiente, la plénitude c’est pour mercredi soir ! ».
Un filet d’huile de coco fila involontairement sur ma peau, depuis mon nombril vers mon pubis. Je sentais la moindre de ses gouttes chargée d’une énergie érotique qui la conduisait directement vers une faille bien connue. En fin de course, une phalange vint pousser ce fil de liquide par-dessus mon mont de Vénus, imprégnant au passage mes poils « Métro » d’un film gras.
Mon désir poussait littéralement mon doigt, telle une télécommande. Un second filet aux senteurs exotiques pris le même chemin et une nouvelle fois la phalange en écrasa la trace grasse, poussant chaque molécule dans la faille.
Le doigt franchi le col du Mont de Vénus et s’inséra dedans la fente, frôlant le capuchon et mon bouton de rose, écartant mes lèvres charnues. Un frisson de plaisir s’empara de moi. Je m’asseyais sur le rebord de la baignoire, cuisses écartées, la bouteille de monoï ayant glissé de mes mains dans la cuvette. Un index, puis son frère jumeau alternaient dans le sens de la longueur de la fente, tout en délicates glissades. L’un remontait tandis que l’autre descendait. Ils finissaient leur course en accrochant la base de ma vulve comme un rocher heurte l’entrée d’une grotte argileuse. Mon corps adorait.
Puis je rassemblais deux doigts avant de les insérer au bord de ma vulve. Je les fis tourner comme un balancier en appuyant sur les rebords charnus, laissant mes chairs se dilater sans aucune réticence. Entre le monoï, le fruit de mon excitation frustrée, je laissais mon esprit s’en aller. Je revins un peu à moi lorsque le petit doigt força également son passage. J’étais en petit fist lorsque l’orgasme me pris la tête et le corps. Les vagues de plaisirs furent brèves et intenses, comme un marteau de forgeron qui rebondi sur le métal de l’enclume. Entêtant, violent mais libérateur. Ma jambe en tressaillait avec automatisme, libérant la tension musculaire accumulée lors de la montée du plaisir.
J’étais ridicule, une jambe relevée sur le rebord de la baignoire, l’autre en appui au sol, avec des traces de coulures sur sa face intérieure et jusqu’au genou, la main droite poisseuse et le minou encore béant de la dilatation qu’il venait de subir. Mon clitoris avait quitté les replis de peau protectrice et se montrait bien gonflé, témoignant des ravages de ma jouissance.
Je reprenais doucement conscience vers la réalité. Je bâclais le reste de ma préparation quotidienne et fini par partir travailler ,à la bourre, la tête et le corps un peu dans le désordre.
Etrangement, bien occupée et certainement soulagée au plan de la tension sexuelle, mon esprit ne s’égara pas durant à la journée à mettre en perspectives ce qui pourrait m’attendre ce soir.
De cyan à magenta, véritable énigme colorée, celle-ci me revint lors du trajet de retour à la fin de la journée.
J’explorais son ordinateur et fini par trouver le dossier dans lequel il avait déposé les photographies prises dans l’hôtel en ruine. Une bouffée de chaleur m’envahit au fur et à mesure que défilaient les clichés. Mon minou transpirait d’excitation par cet auto voyeurisme. Nous étions assurément dans le pornographique et non plus dans l’érotisme. Porno-chic aime t-il à dire depuis.
Je me découvrais physiquement durant l’acte. Il est clair que j’y exprimais du plaisir et de l’abandon total avec cet inconnu. Pire, je lui accordais ce que je n’avais offert, jusqu’à présent, qu’à mon homme. Je m’attachais ensuite aux détails : je résolu d’en travailler quelques uns pour la prochaine fois. Il manquait des boucles d’oreilles, l’épilation de mon anus n’était pas parfaite et mes semelles d’escarpins auraient méritées un petit coup pour les raviver. Bref le porno-chic c’est bien mais avec de l’esthétisme en plus et un souci du détail cela ne serait que mieux. Cela deviendrait ma petite contribution silencieuse à mon artiste de mari et à nos plaisirs partagés.
Puis l’invitation tomba par un courriel sur mon adresse personnelle, un jeudi matin alors que je n’avais pas vraiment la tête à çà.
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INVITATION AUX PLAISIRS
Thème : de cyan à magenta
Lieu : ZI nord de Limoges – adresse non communiquée
Consignes : Ne pas tenter de compter et laisser le plaisir s’imprimer au sein de son corps et de son esprit.
Dress-code : ensemble dentelles coordonné noir. Talons-hauts cirés, robe imprimée, manucure de couleur chaude. TOUJOURS PAS DE PARFUM. Bijoux bienvenus.
Date et heure : mercredi apm prochain à 21h. Départ 19h45 du domicile.
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Moi qui ne suis pas du soir en semaine et qui adore me mettre en « pilou-pilou » une fois le repas évacué, il me fallait donc me préparer pour sortie en pleine semaine.
J’imaginais déjà le stress dès la sortie du boulot, courir me préparer, faire diner les enfants et trouver une excuse crédible, les confier au garde-chiourme improvisé. Bref, nos jeux prenaient une tournure compliquée à mes yeux !
J’anticipais donc les choses en soignant mon épilation les soirs précédents la date convenue. J’y mettais le soin que les futures photos exigeaient et à l’aide de mon petit miroir, en position accroupie je retirais les quelques poils disgracieux de mon anus. Je réalisais également une jolie coupe « RATP » sur mon minou. Je préparais ma peau en y passant généreusement matin et soir de l’huile de monoï. Ma peau en gardait la senteur et je voyais bien que mon homme appréciait cette future attention.
Le matin du jour J, alors que je m’employais à étaler cette huile sur ma poitrine je ressenti cette petite bouffée étrange d’un stress mélangé intimement à une certaine excitation sexuelle. Je passais un doigt entre mes lèvres intimes pour y découvrir ce que je savais déjà au fond de moi : j’étais trempée. Il faut dire que mon homme gérait admirablement mon désir et un manque volontaire depuis le WE.
Il me chauffait, m’excitait, me plaçait proche de l’orgasme sans jamais m’en offrir la libération. Il me disait « soit patiente, la plénitude c’est pour mercredi soir ! ».
Un filet d’huile de coco fila involontairement sur ma peau, depuis mon nombril vers mon pubis. Je sentais la moindre de ses gouttes chargée d’une énergie érotique qui la conduisait directement vers une faille bien connue. En fin de course, une phalange vint pousser ce fil de liquide par-dessus mon mont de Vénus, imprégnant au passage mes poils « Métro » d’un film gras.
Mon désir poussait littéralement mon doigt, telle une télécommande. Un second filet aux senteurs exotiques pris le même chemin et une nouvelle fois la phalange en écrasa la trace grasse, poussant chaque molécule dans la faille.
Le doigt franchi le col du Mont de Vénus et s’inséra dedans la fente, frôlant le capuchon et mon bouton de rose, écartant mes lèvres charnues. Un frisson de plaisir s’empara de moi. Je m’asseyais sur le rebord de la baignoire, cuisses écartées, la bouteille de monoï ayant glissé de mes mains dans la cuvette. Un index, puis son frère jumeau alternaient dans le sens de la longueur de la fente, tout en délicates glissades. L’un remontait tandis que l’autre descendait. Ils finissaient leur course en accrochant la base de ma vulve comme un rocher heurte l’entrée d’une grotte argileuse. Mon corps adorait.
Puis je rassemblais deux doigts avant de les insérer au bord de ma vulve. Je les fis tourner comme un balancier en appuyant sur les rebords charnus, laissant mes chairs se dilater sans aucune réticence. Entre le monoï, le fruit de mon excitation frustrée, je laissais mon esprit s’en aller. Je revins un peu à moi lorsque le petit doigt força également son passage. J’étais en petit fist lorsque l’orgasme me pris la tête et le corps. Les vagues de plaisirs furent brèves et intenses, comme un marteau de forgeron qui rebondi sur le métal de l’enclume. Entêtant, violent mais libérateur. Ma jambe en tressaillait avec automatisme, libérant la tension musculaire accumulée lors de la montée du plaisir.
J’étais ridicule, une jambe relevée sur le rebord de la baignoire, l’autre en appui au sol, avec des traces de coulures sur sa face intérieure et jusqu’au genou, la main droite poisseuse et le minou encore béant de la dilatation qu’il venait de subir. Mon clitoris avait quitté les replis de peau protectrice et se montrait bien gonflé, témoignant des ravages de ma jouissance.
Je reprenais doucement conscience vers la réalité. Je bâclais le reste de ma préparation quotidienne et fini par partir travailler ,à la bourre, la tête et le corps un peu dans le désordre.
Etrangement, bien occupée et certainement soulagée au plan de la tension sexuelle, mon esprit ne s’égara pas durant à la journée à mettre en perspectives ce qui pourrait m’attendre ce soir.
De cyan à magenta, véritable énigme colorée, celle-ci me revint lors du trajet de retour à la fin de la journée.
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