Les lettres d’une libertine – L’imprimerie (2/2)
Récit érotique écrit par Breizfrissons [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2014 dans la catégorie Plus on est
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Les lettres d’une libertine – L’imprimerie (2/2)
Mon homme était déjà là et s’occupait de préparer le diner de nos monstres. Il me libéra de mes obligations en m’invitant à aller me préparer dans le respect de ses consignes. Nous sommes partis à l’heure dite après qu’il m’ait complimenté sur ma classe et mon petit coté sexy discret. Je réclamais le sexe à plein regard d’après ses dires.
L’instant d’après, nous étions dans la voiture en zone industrielle Nord de Limoges et il me demandait de mettre mon bandeau sur les yeux.
Il stationna la voiture. La lumière d’un lampadaire filtrait sous le tissu du bandeau. En fait celui-ci avait un coté semi transparent et je pouvais distinguer des formes et des contrastes lumineux. Je n’en pipais pas mot, rassurée par cette possibilité de deviner et donc d’anticiper les choses.
Je jouais cependant le jeu à ma descente de voiture et laissait mon homme me guider vers la porte d’un bâtiment qui avait tout d’une entreprise de zone artisanale.
La lourde porte métallique claqua derrière moi, et me déclencha un frisson de peur. Une chair de poule est apparue sur mes avant-bras dénudés. Il le sentit certainement car un index glissa avec la douceur d’une caresse sur ma joue comme pour me dire « tout va bien, laisse toi aller ».
Il me présenta à P et M, mes complices du jour. J’avais donc deux partenaires aujourd’hui et il m’offrait ainsi une progression dans mes fantasmes inassouvis. Les deux hommes se placèrent directement devant et derrière moi, me collant littéralement en sandwich. Quatre mains, peut-être plus explorèrent mon corps, violant mes vêtements, n’ayant cure de ma délicate lingerie. L’ambiance était montée de plusieurs crans en quelques secondes.
Je sentais leur désir et la tension qui les habitait. Leur souffle était court, fort et très vite contre mes fesses et ma cuisse, deux barres de chair venaient apporter le témoignage de leur envie pressante.
M m’embrassait avec une sensualité exacerbée. J’adorais, il y avait très longtemps que je n’avais pas éprouvé du plaisir à partager un baiser passionné. Il y avait de la virilité et de l’onctuosité dans sa façon de faire. Je fondais et je leurs offrais les premières gouttes de ma rosée sexuelle. P était plus discret, sur la retenue de la timidité de l’inconnu qui en trousse maladroitement une autre.
Des doigts étaient en moi, sur moi, partout. Ils poussaient, fouillaient, exploraient des replis de tissus et de peau. J’écartais les cuisses en me mettant sur la pointe des pieds pour les encourager et leur monter que je ne résisterais pas longtemps. Un premier orgasme me prit par surprise alors que deux doigts me branlaient énergiquement le sommet du vagin.
Très excitée, je tentais de reprendre le dessus. Au travers du tissu du bandeau, je voyais les flashs m’indiquant que mon homme était redevenu l’artiste qui immortalisait mon plaisir. Mes mains déboutonnaient, avec fièvre, les chemises pour découvrir deux beaux torses parfumés, virils et musclés comme je les adore. Je sentais que je ne me contrôlais plus et que j’allais prendre en main moi-même la suite des évènements.
Mais des mains repoussèrent les miennes, les saisirent et comme un guide me dirigèrent vers une drôle de masse informe à la fois horizontale et avec des éléments en angle verticaux. Oui je trichais pour tenter de deviner le lieu, au travers du tissus.
Le contact du métal froid sur mes fesses débarrassées du tissu protecteur ne n’en appris pas plus. Une main sur ma cheville gauche m’indiqua qu’il fallait que j’écarte mes cuisses sur cette table improvisée. Une espèce de manche me bloquant à droite.
Une bouche est venue se placer sur ma chatte et lui prodiguait une toilette trop empressée. J’ai toujours dit que les mecs ne savaient pas faire un cunnilingus avec la technicité que cela impose. Le plus souvent, on dirait la langue d’un épagneul breton à moitié débile qui s’agite sur un os à moelle.
Une colonne de chair imposante tenta alors de s’introduire entre mes lèvres. Je laissais faire et l’imposante masse se glissait centimètre par centimètre vers ma gorge. Une belle bite, veineuse, bien dessinée munie d’un gland joliment assorti. Tout ce que ma langue apprécie en règle générale mais avec une dimension particulière cette fois.
Je me délectais, ma main caressant les testicules lisses de mon partenaire, de ce sexe aux odeurs enivrantes. Je m’appliquais à bien dessiner le frein de ma langue, à descendre en appuyant sur le relief des formes comme pour en scanner l’irrigation. Puis je remontais comme si je voulais aspirer les choses. Je sentais alors le gland se tendre, signe que mon partenaire appréciait particulièrement les choses et ma technique de salope.
Trois doigts menaient en parallèle des fouilles archéologiques dans mon vagin, une langue se faisait appuyée sur mon clito et la chaleur naquit alors en mon bas ventre. Je haletais, lâchant le sexe qui m’occupait la bouche, je ne donnais plus que des petits coups de langue sur le gland à la vitesse de la montée de mon plaisir.
Puis, dans un spasme ruisselant je m’abandonnais à un second orgasme. Mon bandeau glissa légèrement et je découvris que j’étais assises cuisses écartée sur un massicot géant dont la lame et le manche n’étaient qu’à quelques centimètres de mon pied droit. J’étais dans une imprimerie industrielle.
Tout s’enchaînât alors très vite. Je fus mise à quatre pattes sur une table lumineuse d’impression. Le second sexe, tout aussi imposant que le premier pris ma bouche tandis que l’autre sans annonce préalable plongeait dans mon sexe trempé. Les hommes s’accordèrent à merveille : tandis que l’un entrait, l’autre ressortait et mon corps à l’unisson formait le piston. P ne résista pas bien longtemps à mon savoir faire buccal, se retira et explosa sur mon visage. Moi qui déteste cela, j’étais crépie de semence qui coulait un peu partout sur mon visage. Il tenta d’en récupérer avec son index formé en cuillère pour me l’introduire en bouche. Je me refusais. Non pas que je n’aime pas le sperme mais qu’avec le HIV je ne peux pas me permettre ce qui aurait été, pourtant, un vrai plaisir.
M continuait à me prendre bien à fond et je dois dire que je me sentais particulièrement bien remplie par sa colonne. Le rythme s’intensifiait, son paquet venait me frapper le clitoris. Ce traitement eu raison de moi et je m’abandonnais dans un nouvel orgasme comme si je n’avais pas jouie depuis plusieurs jours.
M et P éclatèrent de rire lorsque M se retira de mon vagin : ses testicules étaient trempées et des coulures de mon excitation marbraient ses cuisses viriles jusqu’aux genoux. Je m’aperçus que le bandeau pendait à mon cou et que je pouvais, à présent, ouvrir les yeux et découvrir pleinement mes deux mâles du jour.
P m’invita à venir m’empaler sur lui. Il s’était allongé sur une grande et grosse pile de cartons imprimés et empilés sur une palette. Mes talons y firent deux petits trous profonds qui me calèrent bien écartée, son gros sexe entre mes cuisses. Pas besoin de gel, mon fessier s’imbriqua pleinement avec lui et les vas et viens débutèrent.
Mon homme était totalement nu lui aussi. Il me présenta son sexe en bouche et je lui témoignais avec ma langue mon désir à ce qu’il se joigne à nos jeux. Il grimpa sur la pile de cartons, se positionna entre les jambes de P et présenta son sexe contre mon anus. Je senti le froid de la noisette de gel que M m’appliquait sur l’orifice et à son entrée. Je senti la colonne de chair de P repoussée contre le haut de mon pubis et le sexe de mon homme s’insérer dans mes chairs. Quel plaisir cérébral !
Je trouvais çà vraiment exaltant. Cette sensation unique de se sentir remplie là ou nous nous sentons en creux d’habitude, nous les femmes. Les deux hommes ne ménageaient pas mes parties intimes, ayant du mal à se coordonner.
Une glissade de trop et mon mari fut expulsé de mon anus par l’imposant sexe de P, me procurant un étrange mélange de douleur et de plaisir. J’en failli jouir, une bouffée de chaleur s’emparant de mon bas ventre.
Des mouvements à l’arrière m’indiquèrent un changement de partenaire. C’est un autre calibre qui se présenta derrière moi et fort heureusement que le sexe précédent avait détendu les sphincters.
Avec des difficultés et force de gel mon anus fut conquis par la colonne imposante de M. Celle de P était bien calée au plus profond de moi lorsque je sentis celle-ci secouée de spasmes. P se vidait dans son préservatif, excité par l’autre sexe qui venait le branler involontairement au travers de ma paroi anale. Comme quoi l’orgasme d’un mâle peut prendre un aspect cérébral aussi. Une découverte en ce qui me concernait.
Il ne m’en fallut pas plus pour que, aidée par les va et vient puissants de M, je bascule aussi dans un nouvel orgasme. Je sentais la chaleur du sperme blotti dans son latex au fond de mon vagin, le sexe de P qui se décontractait et celui de M qui venait claquer son paquet contre mes lèvres et celui de P.
M se retira, mon homme s’approcha aussi et ils explosèrent tous les deux sur mon fessier. Des larmes de semence glissaient sur mes courbes rebondies, ruisselaient jusqu’à mon anus béant qui se refermait péniblement. Mon homme pris, alors, un peu du sien sur son index et me le mit en bouche.
Je me délectais de la saveur de sa jouissance avec la plénitude et la classe de la libertine accomplie que je revendiquais être à cet instant. J’imprimais cela dans ma mémoire en cyan et magenta !
L’instant d’après, nous étions dans la voiture en zone industrielle Nord de Limoges et il me demandait de mettre mon bandeau sur les yeux.
Il stationna la voiture. La lumière d’un lampadaire filtrait sous le tissu du bandeau. En fait celui-ci avait un coté semi transparent et je pouvais distinguer des formes et des contrastes lumineux. Je n’en pipais pas mot, rassurée par cette possibilité de deviner et donc d’anticiper les choses.
Je jouais cependant le jeu à ma descente de voiture et laissait mon homme me guider vers la porte d’un bâtiment qui avait tout d’une entreprise de zone artisanale.
La lourde porte métallique claqua derrière moi, et me déclencha un frisson de peur. Une chair de poule est apparue sur mes avant-bras dénudés. Il le sentit certainement car un index glissa avec la douceur d’une caresse sur ma joue comme pour me dire « tout va bien, laisse toi aller ».
Il me présenta à P et M, mes complices du jour. J’avais donc deux partenaires aujourd’hui et il m’offrait ainsi une progression dans mes fantasmes inassouvis. Les deux hommes se placèrent directement devant et derrière moi, me collant littéralement en sandwich. Quatre mains, peut-être plus explorèrent mon corps, violant mes vêtements, n’ayant cure de ma délicate lingerie. L’ambiance était montée de plusieurs crans en quelques secondes.
Je sentais leur désir et la tension qui les habitait. Leur souffle était court, fort et très vite contre mes fesses et ma cuisse, deux barres de chair venaient apporter le témoignage de leur envie pressante.
M m’embrassait avec une sensualité exacerbée. J’adorais, il y avait très longtemps que je n’avais pas éprouvé du plaisir à partager un baiser passionné. Il y avait de la virilité et de l’onctuosité dans sa façon de faire. Je fondais et je leurs offrais les premières gouttes de ma rosée sexuelle. P était plus discret, sur la retenue de la timidité de l’inconnu qui en trousse maladroitement une autre.
Des doigts étaient en moi, sur moi, partout. Ils poussaient, fouillaient, exploraient des replis de tissus et de peau. J’écartais les cuisses en me mettant sur la pointe des pieds pour les encourager et leur monter que je ne résisterais pas longtemps. Un premier orgasme me prit par surprise alors que deux doigts me branlaient énergiquement le sommet du vagin.
Très excitée, je tentais de reprendre le dessus. Au travers du tissu du bandeau, je voyais les flashs m’indiquant que mon homme était redevenu l’artiste qui immortalisait mon plaisir. Mes mains déboutonnaient, avec fièvre, les chemises pour découvrir deux beaux torses parfumés, virils et musclés comme je les adore. Je sentais que je ne me contrôlais plus et que j’allais prendre en main moi-même la suite des évènements.
Mais des mains repoussèrent les miennes, les saisirent et comme un guide me dirigèrent vers une drôle de masse informe à la fois horizontale et avec des éléments en angle verticaux. Oui je trichais pour tenter de deviner le lieu, au travers du tissus.
Le contact du métal froid sur mes fesses débarrassées du tissu protecteur ne n’en appris pas plus. Une main sur ma cheville gauche m’indiqua qu’il fallait que j’écarte mes cuisses sur cette table improvisée. Une espèce de manche me bloquant à droite.
Une bouche est venue se placer sur ma chatte et lui prodiguait une toilette trop empressée. J’ai toujours dit que les mecs ne savaient pas faire un cunnilingus avec la technicité que cela impose. Le plus souvent, on dirait la langue d’un épagneul breton à moitié débile qui s’agite sur un os à moelle.
Une colonne de chair imposante tenta alors de s’introduire entre mes lèvres. Je laissais faire et l’imposante masse se glissait centimètre par centimètre vers ma gorge. Une belle bite, veineuse, bien dessinée munie d’un gland joliment assorti. Tout ce que ma langue apprécie en règle générale mais avec une dimension particulière cette fois.
Je me délectais, ma main caressant les testicules lisses de mon partenaire, de ce sexe aux odeurs enivrantes. Je m’appliquais à bien dessiner le frein de ma langue, à descendre en appuyant sur le relief des formes comme pour en scanner l’irrigation. Puis je remontais comme si je voulais aspirer les choses. Je sentais alors le gland se tendre, signe que mon partenaire appréciait particulièrement les choses et ma technique de salope.
Trois doigts menaient en parallèle des fouilles archéologiques dans mon vagin, une langue se faisait appuyée sur mon clito et la chaleur naquit alors en mon bas ventre. Je haletais, lâchant le sexe qui m’occupait la bouche, je ne donnais plus que des petits coups de langue sur le gland à la vitesse de la montée de mon plaisir.
Puis, dans un spasme ruisselant je m’abandonnais à un second orgasme. Mon bandeau glissa légèrement et je découvris que j’étais assises cuisses écartée sur un massicot géant dont la lame et le manche n’étaient qu’à quelques centimètres de mon pied droit. J’étais dans une imprimerie industrielle.
Tout s’enchaînât alors très vite. Je fus mise à quatre pattes sur une table lumineuse d’impression. Le second sexe, tout aussi imposant que le premier pris ma bouche tandis que l’autre sans annonce préalable plongeait dans mon sexe trempé. Les hommes s’accordèrent à merveille : tandis que l’un entrait, l’autre ressortait et mon corps à l’unisson formait le piston. P ne résista pas bien longtemps à mon savoir faire buccal, se retira et explosa sur mon visage. Moi qui déteste cela, j’étais crépie de semence qui coulait un peu partout sur mon visage. Il tenta d’en récupérer avec son index formé en cuillère pour me l’introduire en bouche. Je me refusais. Non pas que je n’aime pas le sperme mais qu’avec le HIV je ne peux pas me permettre ce qui aurait été, pourtant, un vrai plaisir.
M continuait à me prendre bien à fond et je dois dire que je me sentais particulièrement bien remplie par sa colonne. Le rythme s’intensifiait, son paquet venait me frapper le clitoris. Ce traitement eu raison de moi et je m’abandonnais dans un nouvel orgasme comme si je n’avais pas jouie depuis plusieurs jours.
M et P éclatèrent de rire lorsque M se retira de mon vagin : ses testicules étaient trempées et des coulures de mon excitation marbraient ses cuisses viriles jusqu’aux genoux. Je m’aperçus que le bandeau pendait à mon cou et que je pouvais, à présent, ouvrir les yeux et découvrir pleinement mes deux mâles du jour.
P m’invita à venir m’empaler sur lui. Il s’était allongé sur une grande et grosse pile de cartons imprimés et empilés sur une palette. Mes talons y firent deux petits trous profonds qui me calèrent bien écartée, son gros sexe entre mes cuisses. Pas besoin de gel, mon fessier s’imbriqua pleinement avec lui et les vas et viens débutèrent.
Mon homme était totalement nu lui aussi. Il me présenta son sexe en bouche et je lui témoignais avec ma langue mon désir à ce qu’il se joigne à nos jeux. Il grimpa sur la pile de cartons, se positionna entre les jambes de P et présenta son sexe contre mon anus. Je senti le froid de la noisette de gel que M m’appliquait sur l’orifice et à son entrée. Je senti la colonne de chair de P repoussée contre le haut de mon pubis et le sexe de mon homme s’insérer dans mes chairs. Quel plaisir cérébral !
Je trouvais çà vraiment exaltant. Cette sensation unique de se sentir remplie là ou nous nous sentons en creux d’habitude, nous les femmes. Les deux hommes ne ménageaient pas mes parties intimes, ayant du mal à se coordonner.
Une glissade de trop et mon mari fut expulsé de mon anus par l’imposant sexe de P, me procurant un étrange mélange de douleur et de plaisir. J’en failli jouir, une bouffée de chaleur s’emparant de mon bas ventre.
Des mouvements à l’arrière m’indiquèrent un changement de partenaire. C’est un autre calibre qui se présenta derrière moi et fort heureusement que le sexe précédent avait détendu les sphincters.
Avec des difficultés et force de gel mon anus fut conquis par la colonne imposante de M. Celle de P était bien calée au plus profond de moi lorsque je sentis celle-ci secouée de spasmes. P se vidait dans son préservatif, excité par l’autre sexe qui venait le branler involontairement au travers de ma paroi anale. Comme quoi l’orgasme d’un mâle peut prendre un aspect cérébral aussi. Une découverte en ce qui me concernait.
Il ne m’en fallut pas plus pour que, aidée par les va et vient puissants de M, je bascule aussi dans un nouvel orgasme. Je sentais la chaleur du sperme blotti dans son latex au fond de mon vagin, le sexe de P qui se décontractait et celui de M qui venait claquer son paquet contre mes lèvres et celui de P.
M se retira, mon homme s’approcha aussi et ils explosèrent tous les deux sur mon fessier. Des larmes de semence glissaient sur mes courbes rebondies, ruisselaient jusqu’à mon anus béant qui se refermait péniblement. Mon homme pris, alors, un peu du sien sur son index et me le mit en bouche.
Je me délectais de la saveur de sa jouissance avec la plénitude et la classe de la libertine accomplie que je revendiquais être à cet instant. J’imprimais cela dans ma mémoire en cyan et magenta !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai beaucoup appréciée ces deux textes "l'imprimerie" , cela m'a rendue toute chaude ;)