Les lettres d’une libertine – Loft d’artiste parisien (2/2)

- Par l'auteur HDS Breizfrissons -
Auteur couple.
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Récit libertin : Les lettres d’une libertine – Loft d’artiste parisien (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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Les lettres d’une libertine – Loft d’artiste parisien (2/2)
On frappa à la vitre de la portière et celle-ci s’ouvrit. Je fus invitée à m’extirper, en compagnie du chauffeur, de la voiture. J’étais donc en tenue plus que légère en pleine rue et rapidement l’on me poussa à l’abri d’une porte, la chair de poule sur la peau. Mon chevalier servant m’indiqua de ne pas m’inquiéter pour l’ensemble de mes affaires restées dans le coffre ou sur le siège arrière.
Puis la voix de mon mari presque moralisatrice apparue, me reprochant d’avoir mis du temps depuis l’arrivée en gare à me présenter à lui ! « C’est de ta faute lui répondais-je avec bravade – Tu m’as livrée entre de bonnes main qui ont su très bien s’occuper de moi, ma sécurité et mon corps. Tu n’avais qu’à assurer toi-même la chose ».
Puis des mains multiples vinrent se saisir, se poser sur , explorer, fouiller, pénétrer mon corps et mes orifices. Une langue s’est emparée de mes lèvres et de ma bouche et je fus propulsée dans une mêlée de sollicitations des sens en tous genres. J’étais prise dans un tourbillon de bestialité mêlée de respect très surprenante car ce type de rencontre était fortement interdit à mon mari.
Je devenais un objet ou un jouet pour des hommes que j’imaginais être une multitude. Mes mains explorèrent tout autour, se frayant un chemin dans cet enchevêtrement de membres. Les torses étaient nus mais les sexes encore emballés dans les sous-vêtements. Mais une chose est sure, c’est que ces membrures étaient déjà toutes disponibles et au garde à vous.
Je fus assise sur un tabouret très haut, des bras virils assurant mon équilibre et mon sexe fut investit en une seule poussée par un membre imposant. J’accusais le mouvement en ouvrant la bouche dans laquelle deux doigts furent insérés et à leur goût je savais qu’ils étaient passés dans mon vagin juste auparavant.
Des sexes se frottaient à moi, mes seins étaient palpés, triturés, pincés avec justesse. On retira mon rosebud après avoir joué avec, le frottant par un angle sur le sexe qui me pénétrait avec une virilité décidée.
« Elle aime çà ta salope ! » fusa dans la pièce et alors que j’allais m’offusquer, le rosebud fut placé dans ma bouche « suce ton bijou, fais le briller » ajouta la voix.
Mon cerveau fit alors tilt. Je m’exécutais.
J’abandonnais alors toute résistance ou respect de mon corps et je laissais ma propre bestialité prendre le dessus de manière inhabituelle. C’était juste grandiose et divin de se laisser aller complètement. J’eu une série d’orgasmes à intervalles très courts, les sexes défilaient dans mon vagin avec intensité et expérience. Je ne savais pas qui et combien mais je ressentais leur complicité masculine et surtout l’excellente lecture qu’ils avaient de mon plaisir et de ma montée vers l’orgasme.
Je fus portée du tabouret vers un martelât ou quelque chose comme çà. Puis l’on me fit allonger et m’empaler sur un sexe très long. Celui-ci vint se caler sur mon utérus et je le senti qui glissait au dessus du col pour venir appuyer sur ma vessie. Un 2ème sexe vint se loger dans ma bouche avec des allers-retours très doux dans celle-ci mais s’imposant néanmoins à moi.
Je m’appliquais alors à refaire monter mon plaisir, la sensation comparable à celle d’une envie d’uriner venant contrecarrer celui-ci. Je me concentrais sur la fellation qui m’étais imposée, faisant tournoyer ma langue sur le gland, faisant coulisser la verge sur la longueur de ma langue recourbée en réceptacle, titillant le frein … Bref tout ce que mon homme et mes différents partenaires m’avaient indiqués comme très plaisant.
La longue verge coulissait parfaitement en moi et l’envie d’uriner se transforma en une boule de chaleur qui prenait une importance de plus en plus magistrale dans ma tête. Puis je fus prise de tremblements incontrôlables et j’explosais d’un jet liquide qui n’en finissait pas sur mon partenaire. Je, « nous », éclaboussais, me confondant en excuses incohérentes, ne me maîtrisant plus du tout, tremblante de partout avant de m’affaler sur le torse de mon amant. Quelle puissance, quelle libération, j’étais vidée en un instant.
Des onomatopées de surprise puis des rires vinrent saluer ma prestation « incroyable t’as vu çà, y’avait une sacrée pression » ; « putain avec ce qu’il lui a mis, elle a fait fontaine » ; « regarde çà coule de partout, va chercher de l’essuie-tout » et plein d’autres expressions de la surprise générale.
Puis la surprise passée, je fus remontée en levrette, ma croupe fut tirée vers l’arrière et sans autre procédé un sexe s’empara de mon anus qui ne se refusa pas. J’étais comme absente de mon corps, encore dans la plénitude de cette incroyable jouissance. Mes oreilles étaient bourdonnantes et cotonneuses, j’étais un peu en dehors de la scène, du lieu.
Les deux sexes calés chacun dans mes profondeurs reprirent un rythme qui vient me rappeler. Mon corps avait encore faim ; la chaleur de mon bas ventre, de la pointe de mes seins sourdait à nouveau.
Un troisième sexe profita de ma bouche et un quatrième se frottait à mes joues. Puis ces deux derniers alternèrent ce petit jeu, tentant parfois d’entrer à deux entre mes lèvres. Mais les membrures étaient trop larges pour ce type de jeu.
Le rythme s’accéléra dans mes deux orifices, les sexes se tendaient, le rythme était bien coordonné et mes 2 partenaires devinrent bruyants, annonçant leur propre jouissance. Ils furent simultanés, se vidant dans leurs préservatifs dans un long râle bestial et respectif. Je dégorgeais l’autre sexe et m’accroupie, me libérant analement dans un premier temps puis vaginalement ensuite.
J’imaginais une pause à venir. Il n’en fut rien.
Mon torse fut basculé en arrière, mes jambes allongées puis relevées et il n’y eu pas de temps mort. Un nouveau sexe investi mon anus encore tendrement offert, mon bassin pris et remonté avec virilité dans un basculement vers le haut pour mieux assurer sa profondeur. Je sentais le sexe de mon étalon caresser mon plancher vaginal et taper au travers sur le plafond. Sans coup férir, cette position et ses sensations m’amenèrent très rapidement sur un nouvel orgasme.
L’homme se retira soudainement, un claquement caractéristique du latex et la pluie de semence aspergea mon ventre, tout chaud puis devenant rapidement des gouttes de froid sur la peau.
Deux corps vinrent se positionner sur le coté de mon visage. Mes mains vinrent caresser les bourses positionnées comme à la disposition de celles-ci et je reconnu le sexe de mon mari sur ma droite. Le mouvement qui était imposé aux deux tiges était caractéristique et je savais ce qui m’attendait. Je fermais la bouche et offrit mon visage aux éclaboussures qui furent nombreuses et odorantes comme de la morille que l’on cuisine.
Mon bandeau fut retiré et j’ai découvert autour de moi sept hommes dont six étaient nus autour de moi. Les remerciements fusèrent ainsi que les compliments. Mon homme semblait ravi lui aussi. Mais comment avais-je fais pour combler autant d’hommes ! je n’ai jamais trouvé réponse à cette question, même en y repensant à l’occasion de cette écriture.
Le lieu me fut ensuite présenté par l’homme habillé, hôte des lieux et voyeur. C’était un atelier d’artiste dont je n’avais pas encore profité du décor extraordinaire. Mais la série photographique que je découvris quelques jours suivant lors de notre apéro dominical était très originale, la diversité des œuvres d’art renfonçant les scènes porno-chic qui s’y étaient déroulées, s’appuyant pour beaucoup sur et dans ces œuvres d’art.
Mon chauffeur vint alors se présenter à moi et me présenta également mon escort-boy. Celui-ci n’était, ni plus ni moins, que mon mari. Le bougre avait joué avec mon imagination tout en assurant ma propre sécurité. Je lui en fus très reconnaissante.
A la suite de cette aventure j’ai néanmoins posé une nouvelle règle à nos ébats. Jamais plus de 4 hommes, mari compris ! Car même si la bestialité de cette rencontre avait su me trouver, je n’étais sure de vouloir en faire une habitude. Chacun se méfiant de ses propres …. Démons, n’est ce pas !

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