LES MAINS DANS LA VAISSELLE
Récit érotique écrit par Xebiaut [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LES MAINS DANS LA VAISSELLE
Après le repas, je débarrasse la table, pendant que toi, tu vas dans la cuisine faire la vaisselle.
Les enfants, eux, jouent sagement dans leur chambre.
Une fois ma tâche accomplie, je te rejoins dans la cuisine et te regarde faire ton office.
Tes mains occupées et ton postérieur s’agitent en même temps que tu frottes la vaisselle.
Je viens me lover derrière toi. Mes mains se posent sur tes hanches.
Tu ne réagis pas, ni ne dis mot.
Mes mains s’aventurent un peu plus haut, jusqu’à tes seins que je prends dans le creux de mes paumes.
Tu te cambres légèrement en laissant laisser échapper un mince soupir.
Mais tu continues ta tâche mais je sens que tu as de plus en plus de mal à te concentrer sur celle-ci.
Je t’embrasse dans le cou tout en caressant ta poitrine à travers le tissu de ton chemisier et de ton soutien gorge.
Je sens l’excitation monter en toi. Tout doucement tu commences à faire onduler ton cul qui frotte mon sexe.
Ma bite grossi de plus en plus, tellement qu’elle est à l’étroit dans mon slip.
Je te libère quelques secondes pour aller fermer la porte de la cuisine. J’entends toujours les enfants jouer dans la chambre.
Je reviens vers toi, qui es restée figée devant l’évier en attente de mon retour.
Je me recolle derrière toi. Et je passe mes mains sous ton chemisier et je m’égare à nouveau sur tes seins que je dégage délicatement de leur habillage. Je les titille et les effleure tant et si bien que te tétons se dressent et durcissent.
De plus en plus réceptive à mes caresses, tu accélères le frottement de ton cul sur mon bas ventre qui est prêt à exploser.
Mes caresses et mes baisers dans ton cou, te rendent toute chose. A tel point que tu me souffle : « défonce moi ».
Mes mains descendent vers ton pantalon. Elles le déboutonnent et le font glisser doucement, avec ta culotte, le long de tes cuisses.
J’admire ton superbe fessier pendant quelques secondes. Puis je libère ma bite de sa cage de tissu.
J’écarte tes fesses pour voir apparaître ton petit trou, car c’est là que tu souhaites que je me rende. Je le sais sans même que tu aies besoin de le dire.
Je poste mon sexe à l’entrée de ton cul. Et lentement je le pénètre.
Tu pousses un tout petit soupir de contentement à peine audible.
Mon sexe entre doucement en toi et va jusqu’au bout. Il t’emplit complètement.
Je reste quelques secondes dans cette position avant d’entamer mes vas-et-viens, qui se font de plus en plus rapide.
Ne pouvant pas extérioriser vocalement ton plaisir, à cause de la présence des enfants pas très loin, tu essaies de contenir tes cris. Pour cela tu vas jusqu’à te mordre la main, tellement tu as envie de hurler.
La présence des enfants dans la pièce à coté, et le fait qu’ils pourraient surgir à n’importe quel moment semblent t’exciter encore plus que d’habitude.
Je continue donc ma besogne de plus en plus excité par ta réaction. Ma bite va de plus en plus fort et de plus en plus loin en toi.
Elle grossi dans cette gaine étroite mais néanmoins lubrifiée par ton plaisir.
Tu commences à t’agiter de plus en plus sur mon membre. Comme si je n’allais pas assez vite ou assez loin. Tu accentues le mouvement de ton cul pour que je le pénètre encore mieux.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens tes cuisses se resserrer sur ma bite, ton corps se cambrer et tous tes muscles se bloquer.
Je vois sur ton visage que tu as joui.
Tu t’appuies sur l’évier car tes forces t’abandonnent.
Je sors délicatement ma bite de ton cul. Heureux de t’avoir fait connaître ta première sodomie et ce même si moi je n’ai pas été au bout de ma propre jouissance.
Pour me récompenser, tu m’embrasses fougueusement.
Après ce petit intermède coquin, nous nous rhabillons et nous allons rejoindre les enfants.
Les enfants, eux, jouent sagement dans leur chambre.
Une fois ma tâche accomplie, je te rejoins dans la cuisine et te regarde faire ton office.
Tes mains occupées et ton postérieur s’agitent en même temps que tu frottes la vaisselle.
Je viens me lover derrière toi. Mes mains se posent sur tes hanches.
Tu ne réagis pas, ni ne dis mot.
Mes mains s’aventurent un peu plus haut, jusqu’à tes seins que je prends dans le creux de mes paumes.
Tu te cambres légèrement en laissant laisser échapper un mince soupir.
Mais tu continues ta tâche mais je sens que tu as de plus en plus de mal à te concentrer sur celle-ci.
Je t’embrasse dans le cou tout en caressant ta poitrine à travers le tissu de ton chemisier et de ton soutien gorge.
Je sens l’excitation monter en toi. Tout doucement tu commences à faire onduler ton cul qui frotte mon sexe.
Ma bite grossi de plus en plus, tellement qu’elle est à l’étroit dans mon slip.
Je te libère quelques secondes pour aller fermer la porte de la cuisine. J’entends toujours les enfants jouer dans la chambre.
Je reviens vers toi, qui es restée figée devant l’évier en attente de mon retour.
Je me recolle derrière toi. Et je passe mes mains sous ton chemisier et je m’égare à nouveau sur tes seins que je dégage délicatement de leur habillage. Je les titille et les effleure tant et si bien que te tétons se dressent et durcissent.
De plus en plus réceptive à mes caresses, tu accélères le frottement de ton cul sur mon bas ventre qui est prêt à exploser.
Mes caresses et mes baisers dans ton cou, te rendent toute chose. A tel point que tu me souffle : « défonce moi ».
Mes mains descendent vers ton pantalon. Elles le déboutonnent et le font glisser doucement, avec ta culotte, le long de tes cuisses.
J’admire ton superbe fessier pendant quelques secondes. Puis je libère ma bite de sa cage de tissu.
J’écarte tes fesses pour voir apparaître ton petit trou, car c’est là que tu souhaites que je me rende. Je le sais sans même que tu aies besoin de le dire.
Je poste mon sexe à l’entrée de ton cul. Et lentement je le pénètre.
Tu pousses un tout petit soupir de contentement à peine audible.
Mon sexe entre doucement en toi et va jusqu’au bout. Il t’emplit complètement.
Je reste quelques secondes dans cette position avant d’entamer mes vas-et-viens, qui se font de plus en plus rapide.
Ne pouvant pas extérioriser vocalement ton plaisir, à cause de la présence des enfants pas très loin, tu essaies de contenir tes cris. Pour cela tu vas jusqu’à te mordre la main, tellement tu as envie de hurler.
La présence des enfants dans la pièce à coté, et le fait qu’ils pourraient surgir à n’importe quel moment semblent t’exciter encore plus que d’habitude.
Je continue donc ma besogne de plus en plus excité par ta réaction. Ma bite va de plus en plus fort et de plus en plus loin en toi.
Elle grossi dans cette gaine étroite mais néanmoins lubrifiée par ton plaisir.
Tu commences à t’agiter de plus en plus sur mon membre. Comme si je n’allais pas assez vite ou assez loin. Tu accentues le mouvement de ton cul pour que je le pénètre encore mieux.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens tes cuisses se resserrer sur ma bite, ton corps se cambrer et tous tes muscles se bloquer.
Je vois sur ton visage que tu as joui.
Tu t’appuies sur l’évier car tes forces t’abandonnent.
Je sors délicatement ma bite de ton cul. Heureux de t’avoir fait connaître ta première sodomie et ce même si moi je n’ai pas été au bout de ma propre jouissance.
Pour me récompenser, tu m’embrasses fougueusement.
Après ce petit intermède coquin, nous nous rhabillons et nous allons rejoindre les enfants.
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