Les mésaventures d'un hétéro (10) : répétition

- Par l'auteur HDS Ecrivain2848 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les mésaventures d'un hétéro (10) : répétition Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2014 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Les mésaventures d'un hétéro (10) : répétition
Corinne et moi sommes devant chez Marc et Guillaume. J’hésite une fraction de seconde avant de sonner à la porte. Je suis terriblement mal à l’aise et je me demande ce qui m’attend dans les minutes qui vont suivre. La situation est presque irréelle et, une fois de plus, j’ai l’impression de ne rien maîtriser.
Bon, résumons : je suis hétérosexuel. J’aime Corinne, c’est la femme de ma vie, mais voilà, je suis un peu bisexuel sur les bords aussi ; elle a découvert que je lui ai menti, que j’ai fait des galipettes avec des mecs, et du coup elle veut vérifier par elle-même. Un truc de fou ! Au moment où je suis prêt à abandonner tous les hommes du monde sans hésitation pour pouvoir rester avec elle, elle me demande de baiser avec deux d’entre eux tout en étant présente ! On va où, comme ça ? Bon, allez, je sonne …
C’est Marc qui ouvre la porte. Il sait que c’est nous, et il sait pourquoi nous venons. Il n’a pas l’air trop détendu non plus, on dirait. Cela dit, je le comprends : il a cocufié Corinne en me baisant pendant plusieurs semaines, et il est dans ses petits souliers. Il sourit quand même d’un air accueillant, essaie d’être aussi naturel que possible, nous invite à rentrer et nous fait la bise.
Corinne est difficile à cerner : pas vraiment souriante, mais pas non plus trop agressive. J’essaie d’imaginer ce que peut penser une femme quand elle apprend qu’un de ses amis à baisé son mec en lui forçant la main et en l’emmenant dans un plan à trois avec son amant. Bon, je renonce à développer ça, c’est hors de mon entendement.
Guillaume arrive et fait la bise à Corinne comme si de rien n’était. C’est lui qui prend l’initiative de détendre l’atmosphère en rentrant dans le vif du sujet :
- Alors, Corinne, tu veux le grand jeu tout de suite ou on a le temps de prendre le verre de bienvenue ?
Il est vraiment incroyable, ce Guillaume ! Avec cet humour provocateur, il a l’art de mettre les gens à l’aise, même quand ça parait impossible : la femme trompée vient voir comment son cocufieur de mec va se faire baiser par ses deux amants … Il faut reconnaître que ce n’est pas évident à gérer, non ? On fait quoi ? On commence comment ? Eh bien lui il prend ça avec le sourire, il offre le verre de l’amitié et tout le monde commence à se décrisper.
Finalement, Guillaume a beau être un homo passif, il est plus efficace que n’importe qui pour prendre ce genre d’initiative. Encore un de mes clichés qui est bousculé. Les deux plus forts ce soir ce sont ceux que l’on considère dans notre société comme les plus fragiles : la femme,qui ce soir est en train de mener trois hommes par le bout du nez, et l’homosexuel délicat,qui réussit à gérer avec efficacité une situation invraisemblable.
Corinne commence presque à sourire, comme si elle avait reconnu en Guillaume son égal en matière d’autorité et de prise de décision.Ce dernier nous laisse quelques instants, puis revient très vite avec quatre verres et tout ce qu’il faut pour les remplir.
- Kir royal pour célébrer cette rencontre inattendue !
Un petit frisson me parcourt l’échine. C’est exactement ainsi qu’il m’avait accueilli lors de mon premier passage. Aurait-il l’intention de rejouer la même scène ? Ça me parait impossible, car nous sommes quatre aujourd’hui, et tous sur nos gardes.
Guillaume n’a pas l’air inquiet et joue son rôle à la perfection. Il nous sert à chacun un verre en distribuant au passage le sourire qui va avec. Nous trinquons donc à cette « rencontre inattendue ».
Au lieu du silence pesant auquel je m’attendais, un peu de chaleur humaine réussit à s’installer grâce à lui. Il anime la conversation, ce qui n’est pas simple quand on voit à quel point Corinne est tendue.
- Alors, Corinne, tu cherches à comprendre ce qui s’est passé dans la tête de ton homme, c’est ça ?
- Pas seulement dans sa tête, si j’ai bien compris …
- Oui, bon, d’accord, si tu veux. Tu sais, il y a des moments où les choses suivent tout doucement leur cours, il n’y a qu’à se laisser aller …
- Des paroles tout ça, rien que des paroles !
- Ça ne t’es jamais arrivé de te laisser guider par l’instant qui passe, sans réfléchir plus avant …
- Peut-être, mais là encore, ce ne sont que des discours !
- Tu sais, quand Nicolas est arrivé, je l’ai tout de suite trouvé très beau, et de savoir qu’il avait chahuté sous la douche avec Marc …
- Oui, je sais, il m’a raconté.
- Eh bien ça m’a fait tout bizarre. Tu sais, moi aussi j’ai été cocufié par ton homme, mais j’ai pris les choses du bon côté. Ça m’a intrigué, alors j’ai voulu en savoir plus et je me suis approché de lui. Je suis allé m’assoir à côté de lui, sur le canapé, tiens, comme ça …
Guillaume vient effectivement s’assoir à côté de moi comme au premier jour. Non, il ne va quand même pas remettre ça ? Mais si, il vient tout contre moi et pose sa main sur ma cuisse tout en parlant à Corinne.
- Tu vois, je trouvais la situation à la fois émoustillante, trouble, incertaine et sensuelle, alors j’ai commencé à lui caresser la cuisse comme ça, tout doucement, tout en lui parlant. L’ambiance était détendue et amicale -pas vrai Nicolas ? -,alors j’ai continué. J’ai poussé le jeu un peu plus loin sans trop le brusquer pour ne pas lui faire peur.
Guillaume est apparemment persuasif, car Corinne l’écoute attentivement tout en m’observant de temps en temps à la dérobée. J’ai conscience de jouer un rôle, mais je ne sais pas trop comment me comporter. Guillaume continue sa « reconstitution des faits » et me caresse à présent l’intérieur de la cuisse en remontant. Sa voix douce nous endort et nous hypnotise.
- En fait, Nicolas est quelqu’un de très réceptif et sensible, tu as du le remarquer, non ?
- Oui, oui, c’est vrai …
- Eh bien, la main d’un homme peut être largement aussi douce et efficace que celle d’une femme. Tiens, en remontant ainsi, en l’effleurant doucement, je vois bien que ça lui fait plaisir. Et puis, je suis un homme, je sais où aller et comment m’y prendre …
Je n’en reviens pas : de fil en aiguille, par petites touches, il arrive à nous faire passer la pilule qui est pourtant assez grosse. C’est ça le secret de Guillaume : ses paroles sont habitées et on ne peut qu’adhérer à ce qu’il dit et ce qu’il fait.
Je suis tellement subjugué que mes souvenirs me remontent en mémoire, et mon cerveau n’est pas le seul à avoir gardé le souvenir de ces caresses. Du coup, il y a autre chose qui se développe dans mon pantalon.
La magie du corps qui se souvient : on apprend à marcher et on n’oublie plus jamais, on apprend à faire du du vélo et c’est pareil. Et puis un jour quelqu’un vous excite et vous fait jouir et il suffit ensuite d’un simple geste pour que votre corps se souvienne et que tout redémarre. En un mot les caresses de Guillaume font leur effet et, malgré la présence de Corinne, je commence à bander (j’ai d’ailleurs l’intime conviction que ce n’est qu’un début).
- Tu sais, il suffit juste de se laisser aller, et c’est ce qui s’est passé. Ce n’est pas ton Nicolas qui va me contredire. Aujourd’hui aussi il semble de plus en plus à l’étroit dans son pantalon, non ? Alors moi, j’ai commencé par le mettre à l’aise.
Il joint le geste à la parole, pose son verre, s’agenouille devant moi et me défait mes chaussures, puis mes chaussettes. Ensuite il revient s’assoir, me caresse à nouveau la cuisse, remonte vers mon sexe qui se manifeste par une bosse significative.
J’ai l’impression d’être un acteur qui rejoue une pièce , sauf que maintenant, d’une part je sais comment tout ça doit finir, et d’autre part le public a changé. Corinne ne bouge pas, ne parle pas. Impossible de deviner à quoi elle pense.
- Je te l’ai déjà dit, ton Nicolas est très réceptif et très sensible. On peut considérer ça comme une qualité pour celui qui en profite, un défaut pour les autres. Tiens, regarde comme il est serré. Il faut le libérer ! Dis-moi, Marc, tu veux bien baisser la lumière, j’aimerais un truc plus intime …
Marc s’exécute pendant que Guillaume s’attaque à ma ceinture, puis défait un à un les boutons de mon pantalon. Il se redresse ensuite et se décide à me le retirer entièrement. Je relève le bassin pour lui faciliter la tâche. Il ne me reste plus que mon slip et mon tee-shirt. Guillaume vient de nouveau s’assoir à côté de moi, puis passe sa main sur mon ventre, remonte vers mon buste qu’il caresse doucement. Il continue de commenter la scène pour Corinne.
- Tu sais, on ne veut pas te le prendre, ton Nicolas. Moi aussi je suis en couple et j’ai envie que ça continue. On aime simplement jouer avec nos sens, pas toi ? Tiens, regarde comme il apprécie quand je lui caresse la poitrine, une vraie petite femelle, tu as vu comme il frissonne ? Et même davantage, on dirait …
Il fait évidemment référence à la bosse monumentale qui tend mon slip. Je trouve étrange d’entendre parler de moi ainsi à la troisième personne, avec des commentaires m’assimilant à un objet de plaisir qu’on utilise et qu’on s’échange. Guillaume me retire mon tee-shirt, et il ne me reste plus que mon slip.
Je suis un peu terrorisé. Nous sommes allés très vite très loin : la situation devient vraiment chaude, et je ne sais pas du tout comment Corinne va réagir. Je la regarde pour comprendre ce que je dois faire, mais l’expression de son regard est indéchiffrable et elle ne dit rien. Impossible de savoir à quoi elle pense, si elle va exploser, rire, pleurer, hurler, protester ou au contraire encourager Guillaume. Ce dernier se relève. Il prend mes mains pour que je me lève à mon tour. Je suis devant lui, debout, en slip et au milieu du salon. Heureusement que Marc a baissé la lumière : presque nu et livré ainsi à leurs regards, je me sens ridicule et sans défense.
- Tu sais, Corinne, c’est le premier pas qui est difficile, je te l’ai dit. Après, tout le reste arrive naturellement. Quand j’ai vu Nicolas ainsi devant moi, avec cette belle musculature et ce corps splendide qui réagit si bien, je n’ai trouvé aucune raison de m’arrêter en si bon chemin. Je lui ai retiré son dernier rempart et j’ai craqué. Je ne vois pas pourquoi ni comment j’aurais pu faire autrement. Je lui en ai voulu un peu du pouvoir qu’il exerçait sur moi, alors je lui ai fait un truc pour l’achever, un truc auquel il n’a pas pu résister.
- Ah oui ? Et c’est quoi ce truc ?
Corinne est sortie de son mutisme. Elle semble à la fois intéressée et incrédule, comme si elle n’arrivait toujours pas à y croire.
- Bon, c’est toi qui l’auras voulu. Je vais te montrer.
Guillaume s’agenouille devant moi, commence à me baisser le slip. Ma queue se dresse fièrement devant son visage. Il m’ôte mon dernier vêtement, puis, avec une lenteur parfaitement maîtrisée, approche sa bouche de mon sexe. Il ménage ses effets, comme un acteur de théâtre savoure l’instant critique qui dévoile toute la puissance de la pièce.
Il ouvre sa bouche, avale mon gland, puis commence à enfourner ma queue. Inutile de dire que je suis aux anges, et, malgré tous mes efforts pour ne pas manifester trop bruyamment le plaisir que j’éprouve, je laisse échapper un gémissement qui montre à quel point cette fellation me ravit. La plongée dans le gouffre a commencé, inimaginable pour qui ne l’a jamais vue ni pratiquée : Guillaume m’avale jusqu’à la garde.
Ma queue est dans sa gorge. Il s’immobilise ainsi et pratique son massage interne diabolique dont il a le secret tout en me caressant les couilles. Il a raison : comment peut-on garder son libre arbitre quand on vous fait un truc pareil ? La sensation et si forte que je peine à me retenir de gémir et de m’abandonner totalement. Ma respiration qui s’accélère et un « Ohhhh … » me trahissent malgré tout.
Comme Corinne nous regarde de profil et que j’ai les yeux fermés pour me concentrer sur les sensations que me procure cette fellation super profonde, je ne sais pas quelle tête elle fait, mais de là où elle est placée, elle voit parfaitement ce qui se passe. Guillaume reste en apnée ainsi quelques instants avant de ressortir ma queue de sa gorge, puis de sa bouche.
- Tu vois, ça, c’est un truc auquel un homme ne peut pas résister. Ton Nicolas n’est pas un monstre, c’est juste un homme. Tu veux vraiment qu’on te montre ce qui s’est passé ensuite ?
- Oui, je suis venue pour ça. C’est très instructif et pas trop insupportable à regarder, finalement.
Je suis agréablement surpris par cette réaction. Corinne ne semble pas traumatisée, mais … jusqu’à quand ? Guillaume me prend par la main et nous dirige vers la chambre. Corinne et Marc nous suivent. Drôle de scène, quand même.
Je ne tarde pas à me retrouver allongé sur le lit, et Guillaume revient à l’attaque pour me sucer la queue, me caresser les couilles, me branler et me faire monter en pression par tous les moyens. De temps en temps, il cesse de me sucer pour commenter la scène ou ôter un de ses vêtements. Il a retiré son pantalon et son caleçon et laisse apparaître une queue qui a déjà pris de l’ampleur.
- Je ne sais pas si ça te fait le même effet, mais dans ce genre d’activité, l’excitation est communicative. Et puis, ce qu’on donne on a envie de le recevoir et vice-versa. Pas vrai, Nicolas ?
J’ai compris le message. Corinne est venue s’assoir au bord du lit pour nous regarder faire. Nicolas présente sa queue tout près de mon visage. Pas besoin d’un dessin : il veut que je le suce. Ça me fait terriblement envie et c’est vrai que j’ai bien envie de le prendre en bouche pour le sentir grandir, grossir, durcir et gémir, mais j’ai toujours peur de la réaction de Corinne.
Après tout, zut ! C’est elle qui a voulu ça, non ? Je me décide enfin à le prendre dans ma bouche, mais en me maîtrisant, c’est-à-dire sans me jeter sur lui avec gourmandise et précipitation. C’est vrai que je suis super excité, et, si Corinne n’était pas là, on en serait plus loin encore, c’est sûr !
J’avale sa queue. Mmmm, j’adore ce moment, quand ce truc vivant et chaud, fragile et déjà palpitant de désir, pénètre ma bouche humide. J’adore quand je commence à le sucer et qu’il grossit encore, se raidit, durcit. Et les soupirs ou les gémissements qui l’accompagnent ... Que c’est bon !
Je crois que pour un homme, sucer une queue, c’est encore mieux que pour une femme : non seulement on sait comment faire, mais surtout on connait le résultat pour l’avoir déjà vécu soi-même. C’est tout simplement merveilleux. Je lui rends donc la pareille avec un enthousiasme non dissimulé. Mes gémissements de contentement, malgré ma bouche pleine, sont évocateurs et Corinne ne s’y trompe pas.
- Mais dis-donc, mon chéri, tu as l’air d’apprécier ? Tu es même drôlement motivé, on dirait ! Tu aimes donc tant que ça avoir une queue dans ta bouche ?
Je sens la main de Corinne qui m’encourage en me caressant la tête, et du coup, je me sens de moins en moins culpabilisé, alors je continue de plus belle.
- Non seulement ça m’excite de te voir tailler une pipe, mais j’ai l’impression d’apprendre des choses. Oui, continue ainsi, vas-y, suce le bien à fond, montre-moi comment tu t’y prends, oui, encore, plus profond … Eh bien mon cochon, j’en découvre des choses, aujourd’hui !
Je commence à me lâcher, à m’acharner sur la queue de Guillaume, car ses gémissements d’un côté et les encouragements de Corinne de l’autre ne font que me stimuler davantage. Comme si cela ne suffisait pas, je sens tout à coup mon propre sexe manipulé, branlé, puis avalé à son tour. Mais oui : Marc, jusque-là inactif, s’est mêlé de la partie, avec sa technique d’une redoutable efficacité : il me branle la base de la tige avec lenteur mais en serrant bien fort, comme pour me montrer sa détermination et son autorité, et en même temps il me gobe le gland et joue avec : ses lèvres et sa langue font des merveilles et me tirent des cris étouffés que je ne peux réprimer.
Deux fellations pour un seul homme déjà bien excité, c’est beaucoup, et je commence à perdre pied. Je crois que la retenue, c’est bien fini, d’autant plus que Corinne ne fait rien pour que je m’arrête en si bon chemin, au contraire :
- Eh, bien les garçons ! Vous êtes sacrément gourmands ! Et toi, Nicolas, j’ai l’impression que tu n’es pas le dernier …
Nous sommes tous les trois dans une position un peu abracadabrante mais confortable : Guillaume assis sur ses talons, Marc et moi allongés sur le côté. Tout à coup on passe à autre chose : je sens le doigt humide de Marc se poser sur ma rondelle et je ne peux réprimer un gloussement de plaisir étouffé. Je pense au spectacle que j’offre à Corinne et j’ai quand même un peu honte : je me fais branler, sucer et doigter et j’ai la queue de Guillaume dans ma bouche. Elle ne s’y trompe pas :
- Mais dis-donc, mon chéri, tu couines comme une vraie petite salope ! Moi qui te prenais pour un mâle conquérant !? …
Je suis à la fois vexé et flatté par ces paroles, et j’ai décidé de ne pas en rester là. J’adore ce qui se passe mais j’ai ma fierté à préserver, ma femme à reconquérir. Je mouille mon doigt à mon tour, je me mets à titiller la rondelle de Guillaume et je m’enfonce dedans, puis je commence un va-et-vient suggestif. Il réagit aussitôt.
- Oh, oui, mon salaud, continue comme ça, c’est bon, oui, encore …
Je pense en moi-même : « Toi, mon chéri, je vais te niquer, tu vas voir ça ! » Je me sens soudain très motivé pour reprendre le contrôle des opérations.
Je suce et doigte Guillaume avec un objectif précis : je vais l’exciter au maximum pour pouvoir l’enculer comme une chienne. J’en ai marre d’avoir toujours le dessous. À moi de jouer ! Ce trio d’enfer dure encore une ou deux minutes pendant lesquelles nous montons tous les trois en pression, et puis tout à coup je me décide à casser le rythme.
Je lâche Guillaume, je me redresse, obligeant ainsi Marc à m’abandonner, je tends la main jusqu’à la table de nuit (je connais les lieux, depuis le temps), je prends un préservatif, du gel lubrifiant. J’allonge Guillaume sur le dos, l’installe comme il faut. Je lui enduits la rondelle de gel, lui écarte les jambes, positionne mon gland sur son petit trou …
Tout ceci s’est passé en quelques secondes, sans un mot. C’est presque dans un silence religieux que je me prépare à sodomiser Guillaume sous les yeux de Corinne et de Marc : je réalise qu’en une seule pénétration, je vais les cocufier tous les deux. Bizarrement, j’en tire comme un plaisir sadique.
Personne ne réagit, je suis le maître des lieux. Tout le monde a compris ce que j’étais en train de faire. Je savoure cet instant, j’en jouis tellement que je le prolonge un peu :
- Tiens, regarde-moi bien dans les yeux. Je veux te voir pendant que je t’encule. Je veux t’entendre gémir pendant que je te pénètre et que je te lime.
Les bras en croix et allongé sur le dos, Guillaume m’obéit et attend son supplice. C’est avec délectation que j’appuie sur sa rondelle très progressivement. Je sens qu’elle se détend et s’écarte et s’apprête à m’accueillir mais je ralentis encore. Guillaume a ses yeux plongés dans les miens. C’est un moment d’une intensité inouïe, une vraie rencontre : je le domine totalement, et je vais le pénétrer devant son mec et devant ma copine. Je me sens à cet instant le maître du monde.
Ce moment est si intense que, quand je me décide finalement à pousser mon bassin en avant, que je franchis le seuil de ses sphincters et rentre dans son cul, que je vois à son regard qu’il se soumet à ma queue, que j’entends ce long gémissement prouvant qu’il est sous l’emprise de son plaisir, je suis presque déçu : le point culminant de la pénétration, de la possession et de la domination est déjà derrière moi. Du coup je n’ai plus qu’une idée en tête : le limer, le baiser, le tringler, le faire gémir et enfin l’achever.
Comme une locomotive à vapeur des temps anciens, j’amorce le mouvement avec une lente détermination. Mon va-et-vient démarre très progressivement, prend de la vitesse, de la puissance, …
C’est incroyable comme on peut être toujours aussi émerveillé par quelque chose d’aussi primaire. Baiser quelqu’un, c’est magique : cette queue qui rentre et sort, qui prend et qui donne du plaisir à chaque passage. C’est la même chose à chaque fois, et pourtant c’est toujours aussi extraordinaire. Cette montée de la vitesse, de la violence et du plaisir. C’est des coups à devenir mystique !
Me voici donc comme au premier jour, assis sur mes talons, tenant Guillaume sous les genoux et le besognant avec allégresse, et lui qui subit mes coups de reins avec passivité et enthousiasme, accompagnant notre montée vers l’orgasme de soupirs, de gémissements et de cris. Un truc classique mais si agréable ! La différence aujourd’hui, c’est Corinne qui assiste à la scène et qui donne son avis. Elle s’approche de moi et me chuchote à l’oreille :
- Mais dis-donc, mon mâle dominant, tu n’en as donc jamais assez ?! Femme, homme, tu baises tout ce qui bouge, tu pénètres à tour de queue … Tu m’avais caché tes talents ! Et puis, tu as l’air drôlement inspiré : on dirait que t’as fait ça toute ta vie. Tu sais que je suis jalouse ? Quand je pense que tu ne m’as jamais sodomisée ! Tu sais que ça fait partie de mes fantasmes ? Allez, vas-y, montre-moi comment tu fais, ça commence à sérieusement m’exciter.Vas-y, baise-le, plus fort, tu vois bien qu’il en redemande.
C’est super : les gémissements de Guillaume d’un côté, les encouragements de Corinne de l’autre, c’est trop bon. Guillaume tente de commenter encore la situation entre deux soupirs :
- Tu vois, Corinne … Je … Ohhh, c’est génial de se faire baiser par un homme comme … comme Nicolas. Plus je sais qu’il aime les femmes, … plus ça m’excite quand il m’encule … Ouii … J’aime quand il se lâche comme ça … J’aime quand je me sens femelle … Ouiii … Ohhh … C’est bon … Espèce de salaud … Encore ! …
Corinne continue de me parler tout bas et se met à me caresser le buste avec douceur.
- Espèce de cochon, tu as de la chance. Je ne supporterais pas de te voir avec une autre femme, mais ça me plait de te voir baiser un mec. Ça me plait même beaucoup, en fait. C’est excitant et instructif. Oui … Continue comme ça, défoule-toi, oui, encore … Plus fort. Mmmm … J’apprécie le spectacle. J’aime … Espèce de cochon pervers …
Bon, non seulement je prends mon pied, mais avec de tels encouragements je me sens pousser des ailes. J’augmente encore la vitesse, je le lime toujours plus vite. Je suis en train de le bourrer comme une chienne et nous approchons de la fin …
- Oui, oui, encore, défonce-moi ! Oui, je suis ta femelle … Ça t’excite de me baiser devant ta femme, hein ? Oui, ouiiii … Encore, j’aime ! … Ahhhh ! Salaud … Je … Je viens ! …
Et puis tout à coup, comme au premier jour, Guillaume atteint l’orgasme sans toucher à son sexe. Il éjacule en criant et secouant la tête à droite et à gauche, et moi je m’interromps, subjugué par le spectacle de cet homme qui s’abandonne et jouit ainsi avec ma bite dans le cul. Apparemment, le spectacle a aussi coupé la parole à Corinne qui se contente de regarder, sans voix.
Et puis tout s’enchaîne très vite ensuite, car Marc a compris qu’on était (à quelques variantes près) en train de faire une reconstitution de notre première partouze pour Corinne, et il rentre alors dans la danse.
- Tu sais, Corinne, moi aussi ça m’excite de me faire cocufier, mais je ne suis pas du genre à rester inactif trop longtemps. J’ai aussi mon mot à dire.
Je frissonne un instant car je sais ce que ça veut dire. Je n’ai pas longtemps à attendre, Marc est déjà derrière moi, il m’enduit la raie de gel, positionne son gland, me prend par les hanches et m’encule avec détermination et autorité pour mon plus grand plaisir.
Je pousse le « Aaahhhh ! » de celui qui se fait sodomiser et qui reconnait son maître. Maintenant, ça va être à moi de subir et je connais toute la puissance que Marc peut développer quand il s’y met.
Ça ne traîne pas. J’ai sa grosse bite raide dans le cul, ses mains puissantes me tiennent par les hanches et il commence déjà son mouvement de piston pour mieux me limer et me soumettre.
Quand on se fait sodomiser alors qu’on est déjà au bord de l’orgasme, on ne sent aucune douleur, rien que du plaisir qui vous prend en tenaille et vous envahit avec une intensité nouvelle. Pendant quelques instants, Marc joue ainsi le coup de la « super sodomie », comme s’il voulait nous transpercer tous les deux. À chaque coup de reins, il obtient les gémissements de ses deux femelles, puisque j’ai toujours ma queue dans le cul de Guillaume.
Les choses ne se répètent jamais tout à fait à l’identique et cette double pénétration un peu délicate, instable et compliquée prend fin très vite. Je me retrouve rapidement à quatre pattes avec cette brute de Marc qui me pistonne le cul et me soumet à son rythme d’enfer. Je n’ai plus le privilège de l’initiative, je perds pied, je pousse des cris et des gémissements sans interruption. Marc me lime comme si j’étais sa chose, et, lui d’habitude peu bavard, il en rajoute en commentant la scène.
- Alors, Corinne, tu comprends pourquoi j’ai voulu profiter du cul de ton homme ? Ton mec, c’est un fantasme de queutard, un vrai caméléon : il peut devenir une vraie femelle en quelques instants … tiens, regarde comme il aime se fait bourrer, ce serait un crime de ne pas en profiter ! Hein, ma salope, je crois bien que ça excite ta femme de te voir à quatre pattes avec ma bite dans le cul. Tu aimes ça, hein ?
- Oui, oui, salaud … Continue, j’aime … Lâche-toi ! Oh, c’est bon … Ouiii … Ouiii … Encore !
J’ai bien conscience que Corinne est là à me regarder mais comme elle a l’air de s’y faire, je ne vois pas pourquoi je ne me laisserais pas aller. Elle voulait que je sois authentique, non ? Marc, comme prévu, est passé à la vitesse supérieure et me bourre le cul, m’agrippe les hanches, me caresse ou me griffe les fesses selon l’inspiration. Corinne me susurre à l’oreille :
- Alors, c’est fini le mâle dominant ? Tu te prends pour une chienne soumise maintenant ? Tu sais que quand je te vois te faire limer et bourrer ainsi, ça me donne des idées et ça me fait mouiller. Mon chéri, tu m’excites vraiment, tu sais ?
Que répondre à ça ? Suis-je d’ailleurs en état de répondre ? Corinne, comme pour se faire mieux comprendre, me met alors sa langue dans l’oreille. C’est incroyable comment certains gestes indécents, impudiques ou déplacés peuvent devenir super excitants à certains moments :
Quand je sens sa langue tourner dans mon oreille, c’est comme si je subissais une deuxième pénétration avec son lot de sensations inédites. Soumis et passif comme je le suis, je n’ai d’autre choix que d’accueillir avec délices cette nouvelle intrusion. Bourré d’un côté, léché de l’autre, ça continue dans un feu d’artifice de volupté. J’ai même droit à quelques variantes : petite tape sur mes fesses d’un côté, morsure délicate de mon lobe de l’autre. Et puis tout d’un coup Marc décide de passer à autre chose. Il ralentit, s’arrête et change radicalement de position. Il se retire de moi, m’allonge sur le dos, s’agenouille au bord du lit, me tire par les jambes, m’encule à nouveau puis recommence à me besogner dans cette nouvelle position.
- On va le finir, ton mec, j’aime le regarder quand il jouit, tu vas voir, c’est que du bonheur !
Pour avoir les mains libres et moins fatiguer, il me redresse les jambes qu’il pose sur ses épaules. Me voici allongé sur le dos, les jambes à la verticale, sodomisé par Marc et offert en spectacle à tout le monde : Guillaume est de retour et me caresse le ventre, le buste, les flancs, la queue aussi par moments. Corinne se penche vers moi et donne son avis :
- Mon chéri, tu ne peux pas savoir comme ça m’excite de te voir dans cette position. Je suis presque déçue de ne pas avoir une queue pour pouvoir te sodomiser à mon tour ! Je commence à comprendre pourquoi Marc aime à ce point t’enculer, il a bien raison. Mmmm … Viens que je t’embrasse, …
Elle me surplombe et approche son visage. Ses cheveux me caressent délicieusement la poitrine, ses lèvres pulpeuses vont à la rencontre des miennes, puis elle m’embrasse avec douceur et volupté d’abord, puis avec de plus en plus de hardiesse. Sa langue me pénètre, me fouille, va à la rencontre de la mienne …
Pendant ce temps, le piston de Marc continue son infernal va-et-vient. Et puis, cerise sur le gâteau, Guillaume, qui se met à vouloir copier Corinne, m’attaque sur mon flanc et me rentre sa langue dans l’oreille tout en m’effleurant la queue de sa main. Je sursaute et pousse un gémissement étouffé.
Ça y est : je suis pénétré par tous les trous et j’ai une overdose de sensations. Je sens venir le point de non-retour et je perds pied définitivement. Je suis à la limite de m’étouffer, alors Corinne cesse son baiser pour que je puisse reprendre mon souffle.
Marc, sentant la fin proche, se met à accélérer encore plus et à me pistonner comme un dément en grognant. Je suis agité en tous sens comme une poupée désarticulée. Guillaume a lâché mon oreille et me prodigue de douces caresses sur le corps pour augmenter mon plaisir, mais sans toucher à mon sexe pour que je n’accède pas trop vite à l’orgasme.
Ce scénario de fous se prolonge ainsi pendant plusieurs dizaines de secondes, ce qui, vu l’intensité, représente une éternité. Finalement, au bout du rouleau, j’atteins l’orgasme et me mets à crier comme si j’étais en transe. J’éjacule sur mon ventre et mon buste tout en essayant de reprendre un peu d’air.
Marc lance ses dernières forces dans la bataille : au bout de quelques instants, il pousse un dernier cri et se bloque pour éjaculer au fond de mon cul. Une étonnante coordination : nous avons réussi à jouir tous les deux presque en même temps, et nous sommes tous deux anéantis. Guillaume et Corinne me caressent avec douceur et complicité ou essuient mon sperme avec un mouchoir. Je redescends sur terre. Nous revenons de loin. Il va falloir reprendre contact avec la vie réelle.
(…)
Bras dessus, bras dessous, Corinne et moi marchons dans la rue comme deux amoureux. Nous avons quitté Marc et Guillaume après cette étrange partie de jambes en l’air. Je suis comblé et heureux, même si je reste un peu inquiet malgré tout. Corinne est blottie contre moi, ça doit vouloir dire qu’elle m’aime encore un peu, non ? Mais … Jusqu’à quel point ?
- J’aurais jamais cru que je serais excitée comme ça à voir des mecs baiser entre eux, et surtout toi ! Je n’en reviens pas … Tu m’étonnes drôlement, tu sais ?
Je ne sais quoi répondre, j’ai peur de dire une connerie.
- Peut-être que je pourrai te pardonner de m’avoir menti, finalement. Mais tu as encore une épreuve à passer.
- Ah, bon ? Laquelle ?
- Sébastien.
- Sébastien ?
- Oui, Sébastien, ton copain. Celui qui t’a initié. Celui que tu ne veux plus voir parce que tu as peur de succomber.
- Et alors ?
- Alors je veux que tu te comportes comme un homme. Je veux que tu le rencontres à nouveau, que tu te fasses baiser ou que tu le baises et que tu assumes. J’ai besoin d’aimer un homme, un vrai. Pas un qui ment, qui a peur et qui se défile, mais un qui affronte et accepte ses pulsions, qui sait domestiquer sa part de féminité et qui reste debout.Un homme fier et authentique. Et je veux être là pour assister à ça.
Que répondre à ça ? Rien. Ce qui est insupportable avec les femmes, c’est qu’elles ont (presque) toujours raison. Je dois aller jusqu’au bout de mon chemin.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Oui oui oui !! J'ai super bien joui et vive le retour de Sébastien !!!



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