Les mésaventures d'un hétéro (9) : une routine épuisante
Récit érotique écrit par Ecrivain2848 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les mésaventures d'un hétéro (9) : une routine épuisante
Voilà trois semaines que je vis dans une sorte de tourbillon se sexe et de fureur. Tout m’arrive en même temps et j’en profite, mais dans mes moments de lucidité, je me rends bien compte que ça ne pourra pas durer éternellement. Au moment même où je me suis mis en ménage avec celle que je considère comme la femme de ma vie, des expériences -et connaissances- homosexuelles récentes on refait surface.
D’abord plein de défiance et de réticence (jusqu’à il y a quelques mois, j’étais 100 % hétéro), je me suis laissé entraîner et je suis tombé dans une volupté de luxure incroyable. C’est dix ou quinze fois par semaine que je baise avec Corinne, Marc ou Guillaume. Je découvre le bonheur d’avoir ma femme à la maison, de faire souvent l’amour avec elle (elle a un tempérament bouillant et je dois dire que je ne suis pas prêt de m’en lasser), mais, comme si ça ne suffisait pas, je fréquente en plus Marc et Guillaume. À chaque fois que je vais prétendument faire de la musculation, c’est avec eux que je suis et j’expérimente toutes les variations possibles à trois mecs. On fait presque de la recherche sexuelle et on découvre régulièrement de nouvelles pistes. Marc l’actif énergique, Guillaume le passif plein de douceur, et moi le bisexuel indécis (depuis le temps que je baise avec eux, il faut bien que je me résigne à admettre que je ne suis pas un hétérosexuel pur).
Voici quelques exemples de ma vie quotidienne, juste après le travail et avant de rentrer à la maison :(…)Je suis allongé sur la table de la cuisine (heureusement qu’elle est solide). J’ai l’impression que je suis le centre du monde : le plat principal, c’est moi, et je me fais déguster.
Comme les autres fois, à coup de caresses, de baisers, de branlette et de doigtage, ils s’y sont mis à deux pour m’exciter, me faire bander et soupirer, et, comme à chaque fois, ça a marché : j’ai tout accepté en gémissant et en les encourageant, mais c’est Marc qui a finalement donné le tempo, qui m’a tout d’un coup pris par la taille pour me monter, puis m’allonger sur la table et me sodomiser en mettant mes jambes sur ses épaules. Le truc classique, quoi !
Maintenant il m’encule en commentant la scène, en exigeant que je réponde et que j’en redemande, que je raconte le plaisir de me faire limer par une bite bien raide. Je le fais parce que ça m’excite aussi, et ça lui plait tellement qu’il se met à me bourrer en mode « marteau piqueur » pour me faire jouir comme une chienne. Je gueule comme un malade mais je ne réussis pas à éjaculer tout de suite car Guillaume m’a sucé il y a une demi-heure et j’ai éjaculé dans sa bouche (dans sa gorge plutôt). Du coup, Marc se lâche comme un dingue en espérant que j’arriverai à l’orgasme pendant que Guillaume me caresse le buste d’une main, la queue de l’autre, et m’embrasse avec sensualité.
C’est finalement Marc qui craque le premier, nous laissant tous les deux sur notre faim, avec une bonne trique. Après s’être bloqué au fond de mon cul en éjaculant, en gueulant et en me traitant de salope (c’est incroyable comme j’aime entendre ça : bizarre, non ?), il s’effondre, anéanti.
La surprise du jour, c’est Guillaume : pour la première fois, le passif se sent tonique. Mon côté « femelle » qui se fait tringler sous ses yeux en criant à chaque coup de reins lui a donné des idées, et le voilà qui se décide à enfiler un préservatif et à prendre la place de Marc. Quelques secondes plus tard, ils ont changé de place et c’est Guillaume qui découvre les joies de la sodomie active.
Moi, j’ai l’impression d’être la victime consentante et ravie d’une tournante. Le premier mâle s’est lâché en moi, alors on en reprend un autre plus frais et on recommence. Guillaume passe à un mode plus doux et plus sensuel, mais du coup il arrive à trouver un rythme assez génial : il observe avec attention ce qui m’excite le plus, et il finit par trouver mon point faible, la bonne profondeur et la bonne vitesse, et moi je remonte vers le septième ciel et l’encourage en bonne salope qui se fait bourrer pour la deuxième fois.
Marc, furieux d’avoir éjaculé le premier et de ne pas avoir réussi à m’emmener à l’orgasme, se venge : il revient à l’attaque, me serre la queue dans sa main avec vigueur (le sadique, il sait que j’adore ça !) et me branle en essayant de reprendre le contrôle des opérations. Il me regarde bien dans les yeux, observe mes réactions et, quand il s’aperçoit que j’approche de l’orgasme, il se coordonne avec Guillaume.
Les ordures : faire jouir un mec comme ça, ça devrait être interdit. Comment voulez-vous que j’aie encore mon libre arbitre ? Je n’ai plus de volonté, c’est mon sexe qui décide à ma place. Je gueule, je supplie, je me trémousse et finalement j’éjacule presque en même temps que Guillaume alors que Marc nous encourage en déversant des obscénités que je reçois avec une délectation intense …(…)Aujourd’hui c’est Guillaume qui se fait prendre par tous les bouts : nous sommes tous les trois dans le lit, il est à quatre pattes en train de se faire sodomiser par Marc tout en me suçant.
Le rythme est doux, lent, sensuel de tous côtés. Heureusement d’ailleurs, car si Marc donnait toute sa puissance, jamais Guillaume ne réussirait à me sucer comme il le fait en ce moment. Parfois je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir incroyable que me procurent ses lèvres, sa langue et même sa gorge quand il m’avale profondément. Une fellation comme ça, on en redemande, au bord de l’évanouissement.
Quand j’ouvre les yeux et que je vois Marc en face de moi, tenant Guillaume par les hanches et le sodomisant avec une régularité de métronome, c’est super excitant aussi. Nous avons notre salope à notre disposition, notre bête de sexe qui nous procure à l’un et à l’autre tout le plaisir que nous voulons.
Entre les gémissements étouffés de Guillaume qui se prend une bite dans le cul, les soupirs que je pousse en m’abandonnant aux plaisirs d’une bonne pipe, les grognement de Marc qui se délecte de sa proie et la besogne comme un bon salaud qui ramone … Notre excitation ne cesse de monter, de monter toujours plus fort.
Encore une surprise aujourd’hui : Marc craque le premier, mais ce qui est étonnant c’est qu’il arrive à ce résultat en limant Guillaume avec lenteur et douceur. Il semble lui-même surpris et se lâche dans un long feulement que je ne lui reconnais pas.
Du coup ça me donne l’idée de changer de rôle. Je me souviens du jour où je me suis fait enculer sur la table par Marc et Guillaume à la suite. Eh, bien maintenant mon heure est venue. Je sors ma queue de la bouche de Guillaume, me dépêche d’enfiler un préservatif et prends la place de Marc. Oui, cette fois, c’est moi qui décide de sodomiser notre petite bête de sexe consentante.
Guillaume se prend un nouveau braquemard dans le cul et cette fois, c’est moi qui me sens des ailes : autant Marc a été doux et lent, autant je suis brutal et rapide. Le résultat ne se fait pas attendre : cris, gémissement, supplications. Le marteau piqueur, c’est moi. Je défonce ce petit cul de femelle soumise qui jouit de se faire prendre encore et encore … Oh, que c’est bon, que c’est bon ! Je deviens presque dingue tellement ça m’excite : nos cris montent en puissance, je commente la scène, je le traite de salope, de femelle, de je ne sais quoi encore et je perds les pédales, tout en lui maintenant les hanches avec vigueur.
Il est devenu ma chose, je le veux pour moi et rien que pour moi, je lui caresse et lui griffe les fesses, je veux le voir remuer du croupion, cambrer le dos et relever son cul, je me surprends même à lui mettre des claques sur les fesses en approchant de l’orgasme : putain, ça à l’air de lui plaire, du coup je recommence. Mais c’est vrai qu’il a l’air d’aimer ça ! Non, c’est pas possible, nous sommes devenus dingues ! En tout cas, je découvre le plaisir de le sodomiser en lui mettant une fessée ! J’adore et visiblement lui aussi.
C’est trop bon, on finit comme des furies. On se lâche tous les deux et on explose dans un orgasme quasi simultané. Je ne me souviens plus qui éjacule le premier, mais une chose est sûre : on revient du monde des cinglés ...
(…)Je suis agenouillé à leurs pieds. J’ai leurs deux bites face à moi et je vais leur vider les couilles. Aujourd’hui j’ai décidé qu’ils ne toucheraient pas à mon cul, je vais les neutraliser, les anéantir, les faire exploser, supplier, gémir, gueuler, soupirer. Je vais détruire leur volonté.
Aujourd’hui je veux être la salope absolue. Je vais leur bouffer la queue et ils n’auront aucun moyen de me résister. J’ai du souffle et de la motivation. Bande de chiens, vous ne savez pas encore de quoi je suis capable. Je suis la chienne dont vous avez toujours rêvé, celle qui a faim de votre sexe, qui se jette dessus avec gourmandise et qui ne le lâchera que quand vous vous serez vidés de votre dernière goutte de sperme.
Je me sens comme illuminé par la grâce. C’est d’autant plus surprenant qu’il y a six mois, j’aurais été totalement écœuré par ce genre de situation. La vie nous réserve de drôles de surprises, quand même !
Marc et Guillaume ont probablement senti que quelque chose de spécial se passait, car ils ne bougent ni l’un ni l’autre et me laissent faire. Je vais les soumettre totalement, je vais leur infliger un supplice de sadique. Je vais les faire jouir en y allant très doucement. La « petite mort », elle va arriver à feu doux, très doux.
Pour l’instant ils bandochent vaguement l’un et l’autre, rien de bien spectaculaire. Je monte mes mains le long de leurs cuisses, je passe à l’intérieur, devant, sur les côtés, puis derrière, sur leurs fesses, et je reviens devant. Je joue ainsi pendant plusieurs minutes en les caressant, les effleurant, leur prodiguant de temps en temps un baiser furtif, je m’occupe de leurs couilles par instants et je repars aussitôt. Le supplice de Tantale : ils croient que je vais prendre leur queue dans ma main ou dans ma bouche mais je n’en fais rien. Je veux les faire bander sans toucher leur sexe, rien qu’en tournant autour.
Je suis émerveillé et fier de moi mais presque déçu quand finalement leurs queues se dressent fièrement devant moi : j’aurais volontiers prolongé le supplice un peu plus. Mais voilà, ces deux tiges de chairs m’excitent terriblement. Je suis moi-même en train de bander rien qu’en contemplant le spectacle qui s’offre à moi : la queue virile, longue et épaisse de Marc, et celle plus modeste mais pleine de grâce et rasée de près de Guillaume. Je me décide enfin à les masturber en même temps, avec une lenteur calculée et maîtrisée.
Branler une queue, ce n’est pas forcément très compliqué, mais quand il y en a deux, c’est beaucoup plus délicat : il faut parfois aller à des rythmes différents, il faut écouter les soupirs, les gémissements, les commentaires de leurs propriétaires. Il faut savoir si ça leur fait de l’effet, si il faut accélérer ou ralentir, décalotter ou pas, etc … Oh, non d’un chien, je trouve ça génial. Je suis ultra motivé et j’ai comme un sixième sens qui se met en marche. J’arrive à les masturber avec une efficacité impressionnante, car ils sont déjà en train de pousser des gémissements et des grognements. Je décalotte un tout petit peu ou au contraire complètement, je serre la queue comme un manche de marteau ou je l’effleure comme un pétale de rose, je monte et je descends avec une extrême lenteur ou au contraire avec énergie et vivacité.
En un mot, je varie dans tous les domaines avec un objectif double : les exciter toujours plus, mais ne pas les faire jouir trop vite. En fait c’est super simple le plaisir : dès l’instant qu’on a trouvé un truc qui marche et tant qu’on ne précipite pas trop, on gagne à tous les coups : hommes, femmes, ils finissent tous comme des salopes gémissantes à supplier pour qu’on les achève, et quand ils ont atteint l’orgasme, ils sont prêts à se damner pour pouvoir recommencer (après un temps de récupération, quand même !). C’est vrai que c’est un truc de domination, mais entre le dominant et le dominé, on a parfois du mal à différencier les rôles … Bon, c’est pas tout, ça : je vais passer à l’étape trois et commencer à les sucer. C’est un cap particulier, et rares sont ceux qui conservent leur capacités de décision à partir de là. Ils sont prisonniers de leur plaisir et on en fait vraiment ce qu’on veut : il n’y a plus aucune résistance et ça suit tranquillement la pente naturelle.
Le problème quand on veut sucer deux queues, c’est qu’on n’a qu’une seule bouche, alors il faut partager. Je ne me sens pas prêt à me mettre deux bites dans la bouche en même temps comme on le voit parfois dans des films pornos. C’est peut-être spectaculaire, mais je ne crois pas trop à l’efficacité d’un truc comme ça. Non, pour bien sucer, c’est déjà pas évident avec une seule queue, alors il faut s’en tenir là.
Je commence par en prendre une dans chaque main, à les approcher toutes les deux de ma bouche, et je passe de l’une à l’autre en faisant des petits « guili-guili » avec ma langue sur le sillon et sur le frein, des baisers mouillés avec mes lèvres sur le gland, des pénétrations peu profondes dans ma bouche. Je monte ainsi la pression par petites touches, et je peux donc me partager pour le plus grand bonheur de mes victimes.
Je les entends soupirer et même gémir, m’encourager par des « Mmmm … », des « Ohhh … », des « Ahh … », des « Oui … » et des « Encore … ». De vrais petits toutous au garde à vous, soumis à toutes mes audaces, à toutes mes fantaisies, et qui en redemandent ! Je ne m’arrête jamais tout à fait de les branler. Je suce le gland tout en branlant la tige et ça donne un bon résultat.
Bon, d’accord, l’idéal serait d’avoir deux bouches et quatre mains, mais un peu de frustration, c’est pas mal non plus. Je les tiens en haleine ainsi pendant plusieurs minutes, passant de l’un à l’autre en allant à chaque fois un peu plus profondément et en y restant plus longtemps, mais sans faire baisser la pression de l’autre côté. C’est ça le plus dur : monter d’un étage à chaque fois pour les emmener au septième ciel, mais ne jamais redescendre. Plus facile à dire qu’à faire, car on s’approche maintenant de l’excitation maximum, celle qui va transformer les toutous gémissants en bêtes furieuses. Je m’en rends compte par le langage qui devient de plus en plus cru. On est passé à des « Salope, vas-y, continue, suce moi encore … », « Oui, c’est ça, plus profond, je vais te faire bouffer ma queue … », « Encore, oui, comme ça, je vais te baiser la bouche … », «Putain, salope, t’en as jamais assez, hein ! ».
Le problème, c’est qu’il va falloir que je les achève l’un après l’autre et il y aura fatalement un temps de frustration dans la file d’attente. Je vais me concentrer sur la queue de Marc d’abord, et je vais faire patienter Guillaume : je vais le maintenir sur le gril en le branlant d’une seule main.
Ça n’a l’air de rien mais il faut une sacrée attention et une très bonne coordination. J’ai l’impression aujourd’hui de passer mon diplôme de « bonne bouche suceuse », et c’est vraiment génial, car le résultat est super stimulant : entre les grognements de l’un et les gémissements de l’autre, je me sens valorisé et ça m’excite. Personne ne stimule ma queue mais j’ai l’impression qu’elle va éclater tellement je bande.
Bon, c’est pas tout, ça, le jeu a assez duré, il faut conclure : je me décide à sucer Marc à fond, je l’enfonce aussi loin que possible et j’entame le va-et-vient de la dernière ligne droite tout en lui consacrant une main baladeuse. Je lui branle la tige, lui griffe les couilles, passe ma main entre ses jambes et glisse dans sa raie. Aujourd’hui c’est moi qui vais le pénétrer avec mon doigt. Dans l’état où il est, il ne pourra pas résister.
Gagné ! Je commence à le doigter et j’ai visiblement trouvé le bon tempo car le voilà qui s’ouvre et qui s’abandonne. Oh, que c’est bon ! La grande brute dominatrice qui se soumet parce je j’avale sa queue et que je lui enfonce mon doigt dans le cul. J’aime ces renversements de situation, alors j’en profite à fond. Il perd visiblement les pédales, il s’approche de l’orgasme, je vais l’avoir pour de bon.
Je fais un mouvement de va-et-vient diabolique dans son cul, mais maintenant je perds un peu la maîtrise du rythme, car c’est lui qui est en train de me baiser la bouche comme un forcené. Pas mal, pas mal ! Dans la furie de l’orgasme qui arrive, c’est même assez génial, en fait ! Et puis, je peux aussi m’occuper de la queue de Guillaume avec mon autre main sans trop penser au rythme de la fellation. C’est vrai, quoi, mon cerveau n’est pas un ordinateur : deux rythmes différents, c’est super difficile, mais trois (une bouche et deux mains), c’est impossible !
Bon, ça dure un peu, mais on ne va pas s’éterniser, je le sens, je l’entends : « Oui, salope, c’est ça … Tiens, prends ça, tu vas voir ce que je vais te mettre, putain, oui, c’est bon, ça vient … ». Effectivement, encore quelques secondes de ce traitement et tout à coup c’est le moment de l’éjaculation.
Marc pousse un long cri, se vide de son air en haut et de tout son foutre dans ma bouche. Le salaud, il a une sacrée réserve pour une type qui éjacule aussi souvent (il a quand même deux culs à baiser : celui de Guillaume tous les jours, le mien trois fois par semaine …). J’avale ce sperme proprement, sans en laisser tomber une goutte. Ça m’épate encore plus que les dialogues cochons : dans l’excitation du moment, ce qui pourrait passer pour franchement dégueu devient tout à coup super agréable et motivant. Je finis d’avaler la dernière goutte avant d’abandonner ma première victime pour me concentrer sur la suivante.
Pour Guillaume, ça va être plus facile : je n’ai plus que lui à faire juter, et sa queue est moins impressionnante, donc je vais l’avaler encore plus profondément. Je m’occupe de son cas avec détermination et application : je lui pétris les fesses tout en me concentrant sur sa queue à laquelle j’applique un mouvement de va-et-vient super profond.
Oh, là, c’est tout bon, je vais l’avoir mon diplôme, car je l’enfourne presque jusqu’à la garde, et j’en arrive même à titiller ma gorge avec son gland sans m’étouffer et sans avoir de réflexe vomitif. Toi, mon gars, tu vas y passer aussi et ça va te faire un souvenir … Je reste très actif avec mes deux mains et ma bouche, je ne lui laisse aucun répit. Je ralentis ou j’accélère avec un seul objectif : l’achever. Pour Guillaume, c’est apparemment aujourd’hui le contraire que pour Marc. D’après les cris et les gémissements que j’entends, j’ai trouvé un truc pire que tout : il est dans le pays des fous, là où seul le plaisir règne en maître, il a perdu toute contenance, toute bienséance et toute honte. Il réclame encore et encore que je mette fin à son supplice et j’ai trouvé son talon d’Achille : je passe ma langue en haut de sa tige, le long du frein et jusqu’au sillon du gland, je vais et je viens en excitant précisément cette zone, mais en ralentissant toujours un peu plus au lieu d’accélérer. Du coup je peux jouer tranquillement avec mes mains, je lui caresse les couilles et lui doigte le cul.
Il devient fou, il crie, il gueule même (j’espère que l’appartement est bien insonorisé, sinon les voisins vont finir par porter plainte !). Quand enfin il se lâche dans ma bouche en plusieurs jets de foutre qui semblent incroyablement espacés (c’est pas possible, ça ! C’est pas un orgasme masculin « normal » ! »), j’ai l’impression qu’on revient de loin, de très loin … Je suis émerveillé par mon propre talent : en toute modestie, je crois que je suis une super salope de suceuse, c’est le seul qualificatif que je trouve à cet instant.
Je n’ai pas beaucoup le temps de méditer sur mes compétences car le réel reprend le dessus. Vexé d’avoir perdu le contrôle des opérations, et maintenant qu’il ne peut plus me sodomiser puisque je l’ai vidé de toute capacité de bandaison pour un bon moment, Marc me redresse, m’amène vers le lit et m’y installe sur le dos. Puisque sa queue ne peut plus rien faire de bien avant un bon moment, il utilise sa bouche pour me rendre la pareille et me sucer à son tour. Rien de bien original, sauf qu’il est très vite rejoint par Guillaume et alors tout change. Ma bouche pour se régaler de leurs deux queues, c’était un moment inoubliable, mais leurs deux bouches sur ma queue, je sens que ça va pas être mal non plus, surtout dans l’état dans lequel je me trouve.
Mon excitation a été purement psychologique jusqu’à maintenant, mais le résultat est là : ma queue est raide comme un bout de bois et hyper sensible. Inutile de dire que quand ces deux-là commencent à y mettre leurs deux bouches et leurs quatre mains, je perds presque instantanément le contrôle de la situation. Leur ardeur est à la mesure de ce que je leur ai fait subir, et je ne suis pas déçu. En fait, quand on fait jouir quelqu’un, c’est un bon investissement, car le jour où il vous renvoie l’ascenseur, attention ! C’est ce que sont en train de faire ces deux pervers. Ils mettent leur vengeance à exécution.
Je ne tarde pas à me retrouver complètement dominé, avec des sensations incroyables : quel homme pourrait résister à quatre lèvres et deux langues qui s’acharnent sur sa queue, pendant que quatre mains s’occupent de ses couilles ou de son cul ? Les sensations sont incroyables, diaboliques, extraordinaires et j’en passe. Il y un moment où les mots n’ont plus de sens. Je me tortille de tous côtés, je gémis encore et encore, je supplie et je gueule, je jouis sans interruption pendant une éternité, jusqu’à la délivrance finale. Je finis par éjaculer sur leurs visages en hurlant presque (un coup à se ramasser une plainte pour tapage diurne). Ouf ! En tout cas, aujourd’hui et pour ce qui me concerne, je trouve que le sexe est plus affaire de bataille et de domination que de calme et de sentiments.
(…)Tiens, aujourd’hui, on rejoue la même scène mais les personnages ont changé et je découvre un rôle intéressant. C’est Marc, le dominateur viril et actif qui se retrouve allongé, livré à nos deux bouches voraces. Il soupire, halète, gémit comme une pucelle qui n’arrive plus à se contenir. C’est magique d’arriver à un tel résultat, et je découvre la satisfaction de transformer le comportement et la psychologie de quelqu’un rien qu’en le suçant ! En plus, c’est un travail d’équipe, c’est moins fatigant, moins compliqué et tout aussi valorisant. Les idées viennent d’elles-mêmes, et quand je manque d’inspiration, c’est Guillaume qui a une initiative heureuse.
De fil en aiguille, on se dispute et on se partage sa queue. On fête un événement : Marc s’est rasé le sexe et son service trois pièces est encore plus appétissant. On se jette dessus comme des sangsues affamées. Bien qu’il ne soit pas né de la dernière pluie, il est lui-même surpris de ce qu’on arrive à lui faire ressentir. Des caresses osées de ses fesses et de l’intérieur des cuisses, un bon doigtage du cul impudique, une savante branlette de la base de la queue, les couilles gobées par l’un et le gland avalé par l’autre : ça s’appelle la totale, car nous réussissons à lui faire tout en même temps !
Sans nous concerter, Guillaume et moi avons implicitement décidé de le soumettre complètement pour nous venger à notre manière de cette domination qu’il exerce sur nous. Aujourd’hui, pas de pitié, c’est lui qui va nous supplier. D’ailleurs, il a commencé :- Oh, oui, bande de salopes, c’est bon, continuez, j’adore … Oh, non, … C’est trop bon, encore … Oui, bouffe-moi les couilles, c’est ça …- Mmmm … Mmmm … » (faut pas oublier que nos bouches sont pleines, alors pour les commentaires, c’est limité).
- Ahhh ! Qu’est-ce-que tu fais ? Oui, oui, salope, mets-moi ton doigt dans le cul, c’est bon …- Mmmm … - Oui, c’est ça … Oh, c’est super, ta langue sur mon gland, oui, comme ça … Et toi, espèce de cochon, c’est génial, oui, continue à me fouiller le cul, j’adore …Ça dure ainsi pendant plusieurs minutes. Marc s’abandonne totalement et nous savons qu’il ne va pas tarder à gicler. Mais tout à coup il me vient une idée. Marc, le costaud viril et entreprenant, le roi de la sodomie active … C’est le moment où jamais ! ? Je me dis que je n’ai rien à perdre.
Je connais maintenant les lieux et je ne tarde pas à trouver un préservatif que je m’enfile, un tube de lubrifiant que j’ouvre. Je me dépêche. À l’idée que je vais peut-être sodomiser le grand mâle actif et musclé,je suis aussi excité et fébrile qu’un puceau.
Apparemment, Guillaume a compris ce qui me passait par la tête et il redouble d’ardeur à sucer, branler et doigter Marc. C’est même lui qui me prend un peu de gel et l’étale au bon endroit. Du coup, Marc se réveille et ouvre les yeux. Il commence seulement à réaliser ce qui l’attend.
- Bande de salopes, qu’est-ce-que vous mijotez ?
Pas de réponse, je me contente de m’installer entre ses jambes que j’écarte. Il est à plat dos, je le prends sous les genoux pendant que Guillaume guide ma queue pour la positionner sur sa rondelle. Tout ça ne prend que quelques secondes. J’ai envie de me dépêcher pour profiter de son excitation tant qu’il est prêt à tout subir, pas sûr que ça dure éternellement … Oui, ça y est, c’est tout bon, je suis en position, j’avance mon bassin lentement mais surement, je sens son cul un peu serré qui me laisse passer, oui, c’est ça … Et puis je franchis son sphincter et je l’enfile enfin avec délectation.
- Ah ! Putain, dis-donc l’hétéro ! C’est toi qui m’encules, maintenant ?
- Oh, oui, mon vieux, c’est moi qui te nique, tu vas te faire limer comme une vraie femelle et tu vas aimer ça, tu vas voir …- Bande de salopes, vous m’avez bien eu, hein ? Je vous revaudrai ça …- En attendant, laisse-toi faire, tu vas voir comme c’est bon …Je parle, je parle, mais j’agis aussi. Bien tenu sous les genoux, j’arrive à le sodomiser dans les règles de l’art. J’y vais calmement, sans précipitation. Une bonne pénétration, c’est génial quand ça commence en douceur, on se concentre sur la volupté du va-et-vient, sur ce glissement impudique et voluptueux, sur ce frottement des muqueuses et son cortège de sensations. Ça peut paraître primaire (et ça l’est effectivement), mais qu’est-ce que c’est bon de limer un cul comme ça !
Baiser une nana fragile comme une gazelle, c’est divin, mais sodomiser un colosse comme Marc pour le faire gémir comme une salope, c’est vraiment pas mal non plus ! Je me régale du spectacle visuel et sonore, et c’est pour ça que je ne suis pas si pressé …- Alors, ça te plait, la sodomie passive ?
- Oui, salopard, tu peux y aller, mais je t’aurai la prochaine fois, tu verras … - Peut-être, mais pour l’instant, c’est moi qui te lime le cul, mon joli …- Ahh ! Bande de salauds, vous savez y faire, hein ?
En fait, il n’y a pas que moi qui suis actif, car Guillaume continue de sucer Marc, et pour ce dernier le cocktail est explosif : gémissements de plus en plus appuyés, invectives et cris au fur et à mesure qu’il se fait bourrer et sucer. Moi, j’ai de plus en plus de mal à me contenir, j’ai envie de le tringler furieusement, alors j’augmente la cadence. Du coup, ça secoue tellement que Guillaume est en train d’abandonner la partie avec sa bouche, mais il revient à la charge en branlant Marc, en l’embrassant, en le caressant et en la taquinant.
- Alors, ma grosse brute, tu apprécies ? Te voilà soumis et conquis, on dirait !
- Ouais, ouais … J’aime, continuez, c’est bon, oui, encore, oui …- Et toi, l’hétéro, tu t’en tapes souvent, des femelles soumises comme ça ?
Moi, je ne réponds plus, je suis hors-jeu pour la discussion. Je nique, je lime, je bourre, je baise, j’encule, je tringle, je sodomise, j’enfile et c’est déjà assez prenant comme ça. De toute façon, je n’en ai plus pour longtemps : je jette mes dernières forces dans la bataille, j’approche de l’orgasme. Guillaume s’en est rendu compte et essaie de « finir » Marc en le masturbant à toute vitesse.
Les dernières secondes sont bestiales et furieuses et Marc se fait bourrer comme une chienne pendant que Guillaume le branle comme s’il trayait le pis d’une vache en accéléré. Encore un truc de folie ! Nous finissons par éjaculer tous les deux dans un ordre indéterminé en gueulant comme des tarés. En tout cas, aujourd’hui, ce n’était pas « calme et volupté », mais plutôt « frénésie et barbarie » …(…)Je marche dans la rue, de retour vers mon « chez moi ». J’ai à chaque fois un moment de flottement et de malaise. J’aime Corinne, je suis bien avec elle, je la désire comme un fou et j’adore lui faire l’amour. J’ai envie de faire ma vie avec elle et pourtant je suis capable de lui faire des infidélités de ce genre. Comment est-ce possible ? Comment peut-on mentir à ce point à celle qu’on aime ? Je n’ai même pas d’excuse. C’est vrai que Marc et Guillaume m’ont un peu « forcé la main » au début, mais maintenant, on voit bien que j’aime la queue et que j’en redemande, non ? Il faudra quand même bien que je me décide à adopter un jour un rythme de vie normal. Bon, allez, j’arrive, faut que je pense à Corinne. Pourvu qu’elle ne me saute pas dessus dès mon arrivée pour faire l’amour comme une enragée (elle en est capable !), parce qu’avec ce que je viens de faire chez Marc et Guillaume, je suis vidé (au propre comme au figuré) !
Mes craintes s’évanouissent aussitôt que je rentre dans l’appartement. Corinne est assise dans le salon, en train de regarder la télé, et je m’aperçois tout de suite qu’elle tire une gueule pas possible. Je vais pour lui faire un petit bisou, mais elle se défile et me regarde avec un air dur que je ne lui connais pas. Que se passe-t-il ?
- Où étais-tu ?
- Mais, à la musculation, comme d’habitude.
- Et alors, c’était bien ?
Je ne suis pas rassuré. Il y a quelque chose qui ne va pas aujourd’hui.
- Ben … Oui, enfin, comme d’habitude, pourquoi ?
- Réponds-moi : il n’y a rien eu de spécial, aujourd’hui ?
Je le sens de moins en moins, ce truc.
- Ben, non, mais … Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
- Il y a que j’en reviens, de la salle de musculation, que tu n’y étais pas, que tu n’y a pas mis les pieds aujourd’hui et que ça fait des semaines qu’on ne t’y voit pratiquement pas. Et Marc non plus, d’ailleurs. Parce que j’ai bien compris depuis le premier jour que vos histoires de musculation, ça cachait quelque chose. Je me souviens encore de ta façon de bredouiller des trucs confus pour te justifier. Maintenant tu m’explique, et vite, parce que je crois que si tu continues à te foutre de ma gueule, ça va pas le faire !
Je reste silencieux. C’est fou comme le réel peut se rappeler à nous avec brutalité. Je suis tellement mal à cet instant que j’aimerais disparaître de la surface du globe. J’ai honte, je me sens minable, j’ai peur de perdre Corinne et d’ailleurs j’ai déjà l’impression de l’avoir perdue car elle a un ton si dur et si agressif que je ne la reconnais plus. Je pense qu’à cet instant elle me déteste et je ne peux que lui donner raison. Je suis une ordure. Et un con. Comment peut-on s’imaginer mentir à une femme ? Les nanas, c’est une race supérieure. Elles voient tout et comprennent tout avant les mecs. Nous, on est à la traîne, tout juste capables de penser avec notre queue, et encore … C’est désespérant.
- Écoute, Nicolas : je n’ai plus confiance en toi, alors fait attention : si tu ne me dis pas tout de suite la vérité, je crois que ça va plus être possible entre nous. Je suis prête à tout entendre, mais ne me prends pas pour une conne !
Comme je ne réponds pas et que je prends un air ahuri, elle éclate en sanglots. Moi, je ne sais plus quoi faire ni quoi dire. La lune de miel, le petit nuage, c’est bien fini. Je retombe sur terre. Je m’approche d’elle, j’essaie de lui caresser doucement les cheveux pour lui manifester ma tendresse mais elle me repousse avec véhémence, me regarde droit dans les yeux avec un air à la fois méchant et déterminé.
- Dis-moi la vérité ou c’est fini entre nous !
Il y a des moments où il faut se résigner à faire des choix. Je suis au pied du mur. Je réfléchis comment présenter les choses, comment lui raconter mon histoire, mais ma décision est prise : je vais tout lui dire, quelles qu’en soient les conséquences.
Longuement, calmement, lentement, en choisissant mes mots et sans trop lui exposer les détails trop crus mais en restant aussi sincère que possible, je lui raconte tout : comment je suis tombé par hasard et par surprise dans des aventures homosexuelles, comment j’ai décidé de tout arrêter quand je l’ai rencontrée, comment Marc m’a forcé la main en menaçant de tout révéler, comment je me suis trouvé coincé dans cette relation, comment j’y suis resté ...
Elle m’écoute, elle ne pleure plus, elle semble s’intéresser à mon histoire. Elle a perdu en partie son air méchant et haineux, mais reste visiblement sur ses gardes.
- Je demande à voir.
- Comment ça ?
- Je ne suis pas sure que tu me dises toute la vérité. Je veux vérifier.
- Mais qu’est-ce-que tu veux vérifier ?
- On va aller chez Marc et Guillaume et tu vas me montrer comment tu te fais baiser.
- Mais … Mais enfin !? … - De toute façon, c’est à prendre ou à laisser. Je ne te promets pas que ça suffira pour que je te pardonne, mais tu me dois bien ça. Préviens-les. Le plus tôt sera le mieux. Demain soir, par exemple. Je ne te demande pas ton avis parce que de toute façon tu n’as pas le choix.
C’est ça le sexe faible ? Quand je pen
D’abord plein de défiance et de réticence (jusqu’à il y a quelques mois, j’étais 100 % hétéro), je me suis laissé entraîner et je suis tombé dans une volupté de luxure incroyable. C’est dix ou quinze fois par semaine que je baise avec Corinne, Marc ou Guillaume. Je découvre le bonheur d’avoir ma femme à la maison, de faire souvent l’amour avec elle (elle a un tempérament bouillant et je dois dire que je ne suis pas prêt de m’en lasser), mais, comme si ça ne suffisait pas, je fréquente en plus Marc et Guillaume. À chaque fois que je vais prétendument faire de la musculation, c’est avec eux que je suis et j’expérimente toutes les variations possibles à trois mecs. On fait presque de la recherche sexuelle et on découvre régulièrement de nouvelles pistes. Marc l’actif énergique, Guillaume le passif plein de douceur, et moi le bisexuel indécis (depuis le temps que je baise avec eux, il faut bien que je me résigne à admettre que je ne suis pas un hétérosexuel pur).
Voici quelques exemples de ma vie quotidienne, juste après le travail et avant de rentrer à la maison :(…)Je suis allongé sur la table de la cuisine (heureusement qu’elle est solide). J’ai l’impression que je suis le centre du monde : le plat principal, c’est moi, et je me fais déguster.
Comme les autres fois, à coup de caresses, de baisers, de branlette et de doigtage, ils s’y sont mis à deux pour m’exciter, me faire bander et soupirer, et, comme à chaque fois, ça a marché : j’ai tout accepté en gémissant et en les encourageant, mais c’est Marc qui a finalement donné le tempo, qui m’a tout d’un coup pris par la taille pour me monter, puis m’allonger sur la table et me sodomiser en mettant mes jambes sur ses épaules. Le truc classique, quoi !
Maintenant il m’encule en commentant la scène, en exigeant que je réponde et que j’en redemande, que je raconte le plaisir de me faire limer par une bite bien raide. Je le fais parce que ça m’excite aussi, et ça lui plait tellement qu’il se met à me bourrer en mode « marteau piqueur » pour me faire jouir comme une chienne. Je gueule comme un malade mais je ne réussis pas à éjaculer tout de suite car Guillaume m’a sucé il y a une demi-heure et j’ai éjaculé dans sa bouche (dans sa gorge plutôt). Du coup, Marc se lâche comme un dingue en espérant que j’arriverai à l’orgasme pendant que Guillaume me caresse le buste d’une main, la queue de l’autre, et m’embrasse avec sensualité.
C’est finalement Marc qui craque le premier, nous laissant tous les deux sur notre faim, avec une bonne trique. Après s’être bloqué au fond de mon cul en éjaculant, en gueulant et en me traitant de salope (c’est incroyable comme j’aime entendre ça : bizarre, non ?), il s’effondre, anéanti.
La surprise du jour, c’est Guillaume : pour la première fois, le passif se sent tonique. Mon côté « femelle » qui se fait tringler sous ses yeux en criant à chaque coup de reins lui a donné des idées, et le voilà qui se décide à enfiler un préservatif et à prendre la place de Marc. Quelques secondes plus tard, ils ont changé de place et c’est Guillaume qui découvre les joies de la sodomie active.
Moi, j’ai l’impression d’être la victime consentante et ravie d’une tournante. Le premier mâle s’est lâché en moi, alors on en reprend un autre plus frais et on recommence. Guillaume passe à un mode plus doux et plus sensuel, mais du coup il arrive à trouver un rythme assez génial : il observe avec attention ce qui m’excite le plus, et il finit par trouver mon point faible, la bonne profondeur et la bonne vitesse, et moi je remonte vers le septième ciel et l’encourage en bonne salope qui se fait bourrer pour la deuxième fois.
Marc, furieux d’avoir éjaculé le premier et de ne pas avoir réussi à m’emmener à l’orgasme, se venge : il revient à l’attaque, me serre la queue dans sa main avec vigueur (le sadique, il sait que j’adore ça !) et me branle en essayant de reprendre le contrôle des opérations. Il me regarde bien dans les yeux, observe mes réactions et, quand il s’aperçoit que j’approche de l’orgasme, il se coordonne avec Guillaume.
Les ordures : faire jouir un mec comme ça, ça devrait être interdit. Comment voulez-vous que j’aie encore mon libre arbitre ? Je n’ai plus de volonté, c’est mon sexe qui décide à ma place. Je gueule, je supplie, je me trémousse et finalement j’éjacule presque en même temps que Guillaume alors que Marc nous encourage en déversant des obscénités que je reçois avec une délectation intense …(…)Aujourd’hui c’est Guillaume qui se fait prendre par tous les bouts : nous sommes tous les trois dans le lit, il est à quatre pattes en train de se faire sodomiser par Marc tout en me suçant.
Le rythme est doux, lent, sensuel de tous côtés. Heureusement d’ailleurs, car si Marc donnait toute sa puissance, jamais Guillaume ne réussirait à me sucer comme il le fait en ce moment. Parfois je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir incroyable que me procurent ses lèvres, sa langue et même sa gorge quand il m’avale profondément. Une fellation comme ça, on en redemande, au bord de l’évanouissement.
Quand j’ouvre les yeux et que je vois Marc en face de moi, tenant Guillaume par les hanches et le sodomisant avec une régularité de métronome, c’est super excitant aussi. Nous avons notre salope à notre disposition, notre bête de sexe qui nous procure à l’un et à l’autre tout le plaisir que nous voulons.
Entre les gémissements étouffés de Guillaume qui se prend une bite dans le cul, les soupirs que je pousse en m’abandonnant aux plaisirs d’une bonne pipe, les grognement de Marc qui se délecte de sa proie et la besogne comme un bon salaud qui ramone … Notre excitation ne cesse de monter, de monter toujours plus fort.
Encore une surprise aujourd’hui : Marc craque le premier, mais ce qui est étonnant c’est qu’il arrive à ce résultat en limant Guillaume avec lenteur et douceur. Il semble lui-même surpris et se lâche dans un long feulement que je ne lui reconnais pas.
Du coup ça me donne l’idée de changer de rôle. Je me souviens du jour où je me suis fait enculer sur la table par Marc et Guillaume à la suite. Eh, bien maintenant mon heure est venue. Je sors ma queue de la bouche de Guillaume, me dépêche d’enfiler un préservatif et prends la place de Marc. Oui, cette fois, c’est moi qui décide de sodomiser notre petite bête de sexe consentante.
Guillaume se prend un nouveau braquemard dans le cul et cette fois, c’est moi qui me sens des ailes : autant Marc a été doux et lent, autant je suis brutal et rapide. Le résultat ne se fait pas attendre : cris, gémissement, supplications. Le marteau piqueur, c’est moi. Je défonce ce petit cul de femelle soumise qui jouit de se faire prendre encore et encore … Oh, que c’est bon, que c’est bon ! Je deviens presque dingue tellement ça m’excite : nos cris montent en puissance, je commente la scène, je le traite de salope, de femelle, de je ne sais quoi encore et je perds les pédales, tout en lui maintenant les hanches avec vigueur.
Il est devenu ma chose, je le veux pour moi et rien que pour moi, je lui caresse et lui griffe les fesses, je veux le voir remuer du croupion, cambrer le dos et relever son cul, je me surprends même à lui mettre des claques sur les fesses en approchant de l’orgasme : putain, ça à l’air de lui plaire, du coup je recommence. Mais c’est vrai qu’il a l’air d’aimer ça ! Non, c’est pas possible, nous sommes devenus dingues ! En tout cas, je découvre le plaisir de le sodomiser en lui mettant une fessée ! J’adore et visiblement lui aussi.
C’est trop bon, on finit comme des furies. On se lâche tous les deux et on explose dans un orgasme quasi simultané. Je ne me souviens plus qui éjacule le premier, mais une chose est sûre : on revient du monde des cinglés ...
(…)Je suis agenouillé à leurs pieds. J’ai leurs deux bites face à moi et je vais leur vider les couilles. Aujourd’hui j’ai décidé qu’ils ne toucheraient pas à mon cul, je vais les neutraliser, les anéantir, les faire exploser, supplier, gémir, gueuler, soupirer. Je vais détruire leur volonté.
Aujourd’hui je veux être la salope absolue. Je vais leur bouffer la queue et ils n’auront aucun moyen de me résister. J’ai du souffle et de la motivation. Bande de chiens, vous ne savez pas encore de quoi je suis capable. Je suis la chienne dont vous avez toujours rêvé, celle qui a faim de votre sexe, qui se jette dessus avec gourmandise et qui ne le lâchera que quand vous vous serez vidés de votre dernière goutte de sperme.
Je me sens comme illuminé par la grâce. C’est d’autant plus surprenant qu’il y a six mois, j’aurais été totalement écœuré par ce genre de situation. La vie nous réserve de drôles de surprises, quand même !
Marc et Guillaume ont probablement senti que quelque chose de spécial se passait, car ils ne bougent ni l’un ni l’autre et me laissent faire. Je vais les soumettre totalement, je vais leur infliger un supplice de sadique. Je vais les faire jouir en y allant très doucement. La « petite mort », elle va arriver à feu doux, très doux.
Pour l’instant ils bandochent vaguement l’un et l’autre, rien de bien spectaculaire. Je monte mes mains le long de leurs cuisses, je passe à l’intérieur, devant, sur les côtés, puis derrière, sur leurs fesses, et je reviens devant. Je joue ainsi pendant plusieurs minutes en les caressant, les effleurant, leur prodiguant de temps en temps un baiser furtif, je m’occupe de leurs couilles par instants et je repars aussitôt. Le supplice de Tantale : ils croient que je vais prendre leur queue dans ma main ou dans ma bouche mais je n’en fais rien. Je veux les faire bander sans toucher leur sexe, rien qu’en tournant autour.
Je suis émerveillé et fier de moi mais presque déçu quand finalement leurs queues se dressent fièrement devant moi : j’aurais volontiers prolongé le supplice un peu plus. Mais voilà, ces deux tiges de chairs m’excitent terriblement. Je suis moi-même en train de bander rien qu’en contemplant le spectacle qui s’offre à moi : la queue virile, longue et épaisse de Marc, et celle plus modeste mais pleine de grâce et rasée de près de Guillaume. Je me décide enfin à les masturber en même temps, avec une lenteur calculée et maîtrisée.
Branler une queue, ce n’est pas forcément très compliqué, mais quand il y en a deux, c’est beaucoup plus délicat : il faut parfois aller à des rythmes différents, il faut écouter les soupirs, les gémissements, les commentaires de leurs propriétaires. Il faut savoir si ça leur fait de l’effet, si il faut accélérer ou ralentir, décalotter ou pas, etc … Oh, non d’un chien, je trouve ça génial. Je suis ultra motivé et j’ai comme un sixième sens qui se met en marche. J’arrive à les masturber avec une efficacité impressionnante, car ils sont déjà en train de pousser des gémissements et des grognements. Je décalotte un tout petit peu ou au contraire complètement, je serre la queue comme un manche de marteau ou je l’effleure comme un pétale de rose, je monte et je descends avec une extrême lenteur ou au contraire avec énergie et vivacité.
En un mot, je varie dans tous les domaines avec un objectif double : les exciter toujours plus, mais ne pas les faire jouir trop vite. En fait c’est super simple le plaisir : dès l’instant qu’on a trouvé un truc qui marche et tant qu’on ne précipite pas trop, on gagne à tous les coups : hommes, femmes, ils finissent tous comme des salopes gémissantes à supplier pour qu’on les achève, et quand ils ont atteint l’orgasme, ils sont prêts à se damner pour pouvoir recommencer (après un temps de récupération, quand même !). C’est vrai que c’est un truc de domination, mais entre le dominant et le dominé, on a parfois du mal à différencier les rôles … Bon, c’est pas tout, ça : je vais passer à l’étape trois et commencer à les sucer. C’est un cap particulier, et rares sont ceux qui conservent leur capacités de décision à partir de là. Ils sont prisonniers de leur plaisir et on en fait vraiment ce qu’on veut : il n’y a plus aucune résistance et ça suit tranquillement la pente naturelle.
Le problème quand on veut sucer deux queues, c’est qu’on n’a qu’une seule bouche, alors il faut partager. Je ne me sens pas prêt à me mettre deux bites dans la bouche en même temps comme on le voit parfois dans des films pornos. C’est peut-être spectaculaire, mais je ne crois pas trop à l’efficacité d’un truc comme ça. Non, pour bien sucer, c’est déjà pas évident avec une seule queue, alors il faut s’en tenir là.
Je commence par en prendre une dans chaque main, à les approcher toutes les deux de ma bouche, et je passe de l’une à l’autre en faisant des petits « guili-guili » avec ma langue sur le sillon et sur le frein, des baisers mouillés avec mes lèvres sur le gland, des pénétrations peu profondes dans ma bouche. Je monte ainsi la pression par petites touches, et je peux donc me partager pour le plus grand bonheur de mes victimes.
Je les entends soupirer et même gémir, m’encourager par des « Mmmm … », des « Ohhh … », des « Ahh … », des « Oui … » et des « Encore … ». De vrais petits toutous au garde à vous, soumis à toutes mes audaces, à toutes mes fantaisies, et qui en redemandent ! Je ne m’arrête jamais tout à fait de les branler. Je suce le gland tout en branlant la tige et ça donne un bon résultat.
Bon, d’accord, l’idéal serait d’avoir deux bouches et quatre mains, mais un peu de frustration, c’est pas mal non plus. Je les tiens en haleine ainsi pendant plusieurs minutes, passant de l’un à l’autre en allant à chaque fois un peu plus profondément et en y restant plus longtemps, mais sans faire baisser la pression de l’autre côté. C’est ça le plus dur : monter d’un étage à chaque fois pour les emmener au septième ciel, mais ne jamais redescendre. Plus facile à dire qu’à faire, car on s’approche maintenant de l’excitation maximum, celle qui va transformer les toutous gémissants en bêtes furieuses. Je m’en rends compte par le langage qui devient de plus en plus cru. On est passé à des « Salope, vas-y, continue, suce moi encore … », « Oui, c’est ça, plus profond, je vais te faire bouffer ma queue … », « Encore, oui, comme ça, je vais te baiser la bouche … », «Putain, salope, t’en as jamais assez, hein ! ».
Le problème, c’est qu’il va falloir que je les achève l’un après l’autre et il y aura fatalement un temps de frustration dans la file d’attente. Je vais me concentrer sur la queue de Marc d’abord, et je vais faire patienter Guillaume : je vais le maintenir sur le gril en le branlant d’une seule main.
Ça n’a l’air de rien mais il faut une sacrée attention et une très bonne coordination. J’ai l’impression aujourd’hui de passer mon diplôme de « bonne bouche suceuse », et c’est vraiment génial, car le résultat est super stimulant : entre les grognements de l’un et les gémissements de l’autre, je me sens valorisé et ça m’excite. Personne ne stimule ma queue mais j’ai l’impression qu’elle va éclater tellement je bande.
Bon, c’est pas tout, ça, le jeu a assez duré, il faut conclure : je me décide à sucer Marc à fond, je l’enfonce aussi loin que possible et j’entame le va-et-vient de la dernière ligne droite tout en lui consacrant une main baladeuse. Je lui branle la tige, lui griffe les couilles, passe ma main entre ses jambes et glisse dans sa raie. Aujourd’hui c’est moi qui vais le pénétrer avec mon doigt. Dans l’état où il est, il ne pourra pas résister.
Gagné ! Je commence à le doigter et j’ai visiblement trouvé le bon tempo car le voilà qui s’ouvre et qui s’abandonne. Oh, que c’est bon ! La grande brute dominatrice qui se soumet parce je j’avale sa queue et que je lui enfonce mon doigt dans le cul. J’aime ces renversements de situation, alors j’en profite à fond. Il perd visiblement les pédales, il s’approche de l’orgasme, je vais l’avoir pour de bon.
Je fais un mouvement de va-et-vient diabolique dans son cul, mais maintenant je perds un peu la maîtrise du rythme, car c’est lui qui est en train de me baiser la bouche comme un forcené. Pas mal, pas mal ! Dans la furie de l’orgasme qui arrive, c’est même assez génial, en fait ! Et puis, je peux aussi m’occuper de la queue de Guillaume avec mon autre main sans trop penser au rythme de la fellation. C’est vrai, quoi, mon cerveau n’est pas un ordinateur : deux rythmes différents, c’est super difficile, mais trois (une bouche et deux mains), c’est impossible !
Bon, ça dure un peu, mais on ne va pas s’éterniser, je le sens, je l’entends : « Oui, salope, c’est ça … Tiens, prends ça, tu vas voir ce que je vais te mettre, putain, oui, c’est bon, ça vient … ». Effectivement, encore quelques secondes de ce traitement et tout à coup c’est le moment de l’éjaculation.
Marc pousse un long cri, se vide de son air en haut et de tout son foutre dans ma bouche. Le salaud, il a une sacrée réserve pour une type qui éjacule aussi souvent (il a quand même deux culs à baiser : celui de Guillaume tous les jours, le mien trois fois par semaine …). J’avale ce sperme proprement, sans en laisser tomber une goutte. Ça m’épate encore plus que les dialogues cochons : dans l’excitation du moment, ce qui pourrait passer pour franchement dégueu devient tout à coup super agréable et motivant. Je finis d’avaler la dernière goutte avant d’abandonner ma première victime pour me concentrer sur la suivante.
Pour Guillaume, ça va être plus facile : je n’ai plus que lui à faire juter, et sa queue est moins impressionnante, donc je vais l’avaler encore plus profondément. Je m’occupe de son cas avec détermination et application : je lui pétris les fesses tout en me concentrant sur sa queue à laquelle j’applique un mouvement de va-et-vient super profond.
Oh, là, c’est tout bon, je vais l’avoir mon diplôme, car je l’enfourne presque jusqu’à la garde, et j’en arrive même à titiller ma gorge avec son gland sans m’étouffer et sans avoir de réflexe vomitif. Toi, mon gars, tu vas y passer aussi et ça va te faire un souvenir … Je reste très actif avec mes deux mains et ma bouche, je ne lui laisse aucun répit. Je ralentis ou j’accélère avec un seul objectif : l’achever. Pour Guillaume, c’est apparemment aujourd’hui le contraire que pour Marc. D’après les cris et les gémissements que j’entends, j’ai trouvé un truc pire que tout : il est dans le pays des fous, là où seul le plaisir règne en maître, il a perdu toute contenance, toute bienséance et toute honte. Il réclame encore et encore que je mette fin à son supplice et j’ai trouvé son talon d’Achille : je passe ma langue en haut de sa tige, le long du frein et jusqu’au sillon du gland, je vais et je viens en excitant précisément cette zone, mais en ralentissant toujours un peu plus au lieu d’accélérer. Du coup je peux jouer tranquillement avec mes mains, je lui caresse les couilles et lui doigte le cul.
Il devient fou, il crie, il gueule même (j’espère que l’appartement est bien insonorisé, sinon les voisins vont finir par porter plainte !). Quand enfin il se lâche dans ma bouche en plusieurs jets de foutre qui semblent incroyablement espacés (c’est pas possible, ça ! C’est pas un orgasme masculin « normal » ! »), j’ai l’impression qu’on revient de loin, de très loin … Je suis émerveillé par mon propre talent : en toute modestie, je crois que je suis une super salope de suceuse, c’est le seul qualificatif que je trouve à cet instant.
Je n’ai pas beaucoup le temps de méditer sur mes compétences car le réel reprend le dessus. Vexé d’avoir perdu le contrôle des opérations, et maintenant qu’il ne peut plus me sodomiser puisque je l’ai vidé de toute capacité de bandaison pour un bon moment, Marc me redresse, m’amène vers le lit et m’y installe sur le dos. Puisque sa queue ne peut plus rien faire de bien avant un bon moment, il utilise sa bouche pour me rendre la pareille et me sucer à son tour. Rien de bien original, sauf qu’il est très vite rejoint par Guillaume et alors tout change. Ma bouche pour se régaler de leurs deux queues, c’était un moment inoubliable, mais leurs deux bouches sur ma queue, je sens que ça va pas être mal non plus, surtout dans l’état dans lequel je me trouve.
Mon excitation a été purement psychologique jusqu’à maintenant, mais le résultat est là : ma queue est raide comme un bout de bois et hyper sensible. Inutile de dire que quand ces deux-là commencent à y mettre leurs deux bouches et leurs quatre mains, je perds presque instantanément le contrôle de la situation. Leur ardeur est à la mesure de ce que je leur ai fait subir, et je ne suis pas déçu. En fait, quand on fait jouir quelqu’un, c’est un bon investissement, car le jour où il vous renvoie l’ascenseur, attention ! C’est ce que sont en train de faire ces deux pervers. Ils mettent leur vengeance à exécution.
Je ne tarde pas à me retrouver complètement dominé, avec des sensations incroyables : quel homme pourrait résister à quatre lèvres et deux langues qui s’acharnent sur sa queue, pendant que quatre mains s’occupent de ses couilles ou de son cul ? Les sensations sont incroyables, diaboliques, extraordinaires et j’en passe. Il y un moment où les mots n’ont plus de sens. Je me tortille de tous côtés, je gémis encore et encore, je supplie et je gueule, je jouis sans interruption pendant une éternité, jusqu’à la délivrance finale. Je finis par éjaculer sur leurs visages en hurlant presque (un coup à se ramasser une plainte pour tapage diurne). Ouf ! En tout cas, aujourd’hui et pour ce qui me concerne, je trouve que le sexe est plus affaire de bataille et de domination que de calme et de sentiments.
(…)Tiens, aujourd’hui, on rejoue la même scène mais les personnages ont changé et je découvre un rôle intéressant. C’est Marc, le dominateur viril et actif qui se retrouve allongé, livré à nos deux bouches voraces. Il soupire, halète, gémit comme une pucelle qui n’arrive plus à se contenir. C’est magique d’arriver à un tel résultat, et je découvre la satisfaction de transformer le comportement et la psychologie de quelqu’un rien qu’en le suçant ! En plus, c’est un travail d’équipe, c’est moins fatigant, moins compliqué et tout aussi valorisant. Les idées viennent d’elles-mêmes, et quand je manque d’inspiration, c’est Guillaume qui a une initiative heureuse.
De fil en aiguille, on se dispute et on se partage sa queue. On fête un événement : Marc s’est rasé le sexe et son service trois pièces est encore plus appétissant. On se jette dessus comme des sangsues affamées. Bien qu’il ne soit pas né de la dernière pluie, il est lui-même surpris de ce qu’on arrive à lui faire ressentir. Des caresses osées de ses fesses et de l’intérieur des cuisses, un bon doigtage du cul impudique, une savante branlette de la base de la queue, les couilles gobées par l’un et le gland avalé par l’autre : ça s’appelle la totale, car nous réussissons à lui faire tout en même temps !
Sans nous concerter, Guillaume et moi avons implicitement décidé de le soumettre complètement pour nous venger à notre manière de cette domination qu’il exerce sur nous. Aujourd’hui, pas de pitié, c’est lui qui va nous supplier. D’ailleurs, il a commencé :- Oh, oui, bande de salopes, c’est bon, continuez, j’adore … Oh, non, … C’est trop bon, encore … Oui, bouffe-moi les couilles, c’est ça …- Mmmm … Mmmm … » (faut pas oublier que nos bouches sont pleines, alors pour les commentaires, c’est limité).
- Ahhh ! Qu’est-ce-que tu fais ? Oui, oui, salope, mets-moi ton doigt dans le cul, c’est bon …- Mmmm … - Oui, c’est ça … Oh, c’est super, ta langue sur mon gland, oui, comme ça … Et toi, espèce de cochon, c’est génial, oui, continue à me fouiller le cul, j’adore …Ça dure ainsi pendant plusieurs minutes. Marc s’abandonne totalement et nous savons qu’il ne va pas tarder à gicler. Mais tout à coup il me vient une idée. Marc, le costaud viril et entreprenant, le roi de la sodomie active … C’est le moment où jamais ! ? Je me dis que je n’ai rien à perdre.
Je connais maintenant les lieux et je ne tarde pas à trouver un préservatif que je m’enfile, un tube de lubrifiant que j’ouvre. Je me dépêche. À l’idée que je vais peut-être sodomiser le grand mâle actif et musclé,je suis aussi excité et fébrile qu’un puceau.
Apparemment, Guillaume a compris ce qui me passait par la tête et il redouble d’ardeur à sucer, branler et doigter Marc. C’est même lui qui me prend un peu de gel et l’étale au bon endroit. Du coup, Marc se réveille et ouvre les yeux. Il commence seulement à réaliser ce qui l’attend.
- Bande de salopes, qu’est-ce-que vous mijotez ?
Pas de réponse, je me contente de m’installer entre ses jambes que j’écarte. Il est à plat dos, je le prends sous les genoux pendant que Guillaume guide ma queue pour la positionner sur sa rondelle. Tout ça ne prend que quelques secondes. J’ai envie de me dépêcher pour profiter de son excitation tant qu’il est prêt à tout subir, pas sûr que ça dure éternellement … Oui, ça y est, c’est tout bon, je suis en position, j’avance mon bassin lentement mais surement, je sens son cul un peu serré qui me laisse passer, oui, c’est ça … Et puis je franchis son sphincter et je l’enfile enfin avec délectation.
- Ah ! Putain, dis-donc l’hétéro ! C’est toi qui m’encules, maintenant ?
- Oh, oui, mon vieux, c’est moi qui te nique, tu vas te faire limer comme une vraie femelle et tu vas aimer ça, tu vas voir …- Bande de salopes, vous m’avez bien eu, hein ? Je vous revaudrai ça …- En attendant, laisse-toi faire, tu vas voir comme c’est bon …Je parle, je parle, mais j’agis aussi. Bien tenu sous les genoux, j’arrive à le sodomiser dans les règles de l’art. J’y vais calmement, sans précipitation. Une bonne pénétration, c’est génial quand ça commence en douceur, on se concentre sur la volupté du va-et-vient, sur ce glissement impudique et voluptueux, sur ce frottement des muqueuses et son cortège de sensations. Ça peut paraître primaire (et ça l’est effectivement), mais qu’est-ce que c’est bon de limer un cul comme ça !
Baiser une nana fragile comme une gazelle, c’est divin, mais sodomiser un colosse comme Marc pour le faire gémir comme une salope, c’est vraiment pas mal non plus ! Je me régale du spectacle visuel et sonore, et c’est pour ça que je ne suis pas si pressé …- Alors, ça te plait, la sodomie passive ?
- Oui, salopard, tu peux y aller, mais je t’aurai la prochaine fois, tu verras … - Peut-être, mais pour l’instant, c’est moi qui te lime le cul, mon joli …- Ahh ! Bande de salauds, vous savez y faire, hein ?
En fait, il n’y a pas que moi qui suis actif, car Guillaume continue de sucer Marc, et pour ce dernier le cocktail est explosif : gémissements de plus en plus appuyés, invectives et cris au fur et à mesure qu’il se fait bourrer et sucer. Moi, j’ai de plus en plus de mal à me contenir, j’ai envie de le tringler furieusement, alors j’augmente la cadence. Du coup, ça secoue tellement que Guillaume est en train d’abandonner la partie avec sa bouche, mais il revient à la charge en branlant Marc, en l’embrassant, en le caressant et en la taquinant.
- Alors, ma grosse brute, tu apprécies ? Te voilà soumis et conquis, on dirait !
- Ouais, ouais … J’aime, continuez, c’est bon, oui, encore, oui …- Et toi, l’hétéro, tu t’en tapes souvent, des femelles soumises comme ça ?
Moi, je ne réponds plus, je suis hors-jeu pour la discussion. Je nique, je lime, je bourre, je baise, j’encule, je tringle, je sodomise, j’enfile et c’est déjà assez prenant comme ça. De toute façon, je n’en ai plus pour longtemps : je jette mes dernières forces dans la bataille, j’approche de l’orgasme. Guillaume s’en est rendu compte et essaie de « finir » Marc en le masturbant à toute vitesse.
Les dernières secondes sont bestiales et furieuses et Marc se fait bourrer comme une chienne pendant que Guillaume le branle comme s’il trayait le pis d’une vache en accéléré. Encore un truc de folie ! Nous finissons par éjaculer tous les deux dans un ordre indéterminé en gueulant comme des tarés. En tout cas, aujourd’hui, ce n’était pas « calme et volupté », mais plutôt « frénésie et barbarie » …(…)Je marche dans la rue, de retour vers mon « chez moi ». J’ai à chaque fois un moment de flottement et de malaise. J’aime Corinne, je suis bien avec elle, je la désire comme un fou et j’adore lui faire l’amour. J’ai envie de faire ma vie avec elle et pourtant je suis capable de lui faire des infidélités de ce genre. Comment est-ce possible ? Comment peut-on mentir à ce point à celle qu’on aime ? Je n’ai même pas d’excuse. C’est vrai que Marc et Guillaume m’ont un peu « forcé la main » au début, mais maintenant, on voit bien que j’aime la queue et que j’en redemande, non ? Il faudra quand même bien que je me décide à adopter un jour un rythme de vie normal. Bon, allez, j’arrive, faut que je pense à Corinne. Pourvu qu’elle ne me saute pas dessus dès mon arrivée pour faire l’amour comme une enragée (elle en est capable !), parce qu’avec ce que je viens de faire chez Marc et Guillaume, je suis vidé (au propre comme au figuré) !
Mes craintes s’évanouissent aussitôt que je rentre dans l’appartement. Corinne est assise dans le salon, en train de regarder la télé, et je m’aperçois tout de suite qu’elle tire une gueule pas possible. Je vais pour lui faire un petit bisou, mais elle se défile et me regarde avec un air dur que je ne lui connais pas. Que se passe-t-il ?
- Où étais-tu ?
- Mais, à la musculation, comme d’habitude.
- Et alors, c’était bien ?
Je ne suis pas rassuré. Il y a quelque chose qui ne va pas aujourd’hui.
- Ben … Oui, enfin, comme d’habitude, pourquoi ?
- Réponds-moi : il n’y a rien eu de spécial, aujourd’hui ?
Je le sens de moins en moins, ce truc.
- Ben, non, mais … Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
- Il y a que j’en reviens, de la salle de musculation, que tu n’y étais pas, que tu n’y a pas mis les pieds aujourd’hui et que ça fait des semaines qu’on ne t’y voit pratiquement pas. Et Marc non plus, d’ailleurs. Parce que j’ai bien compris depuis le premier jour que vos histoires de musculation, ça cachait quelque chose. Je me souviens encore de ta façon de bredouiller des trucs confus pour te justifier. Maintenant tu m’explique, et vite, parce que je crois que si tu continues à te foutre de ma gueule, ça va pas le faire !
Je reste silencieux. C’est fou comme le réel peut se rappeler à nous avec brutalité. Je suis tellement mal à cet instant que j’aimerais disparaître de la surface du globe. J’ai honte, je me sens minable, j’ai peur de perdre Corinne et d’ailleurs j’ai déjà l’impression de l’avoir perdue car elle a un ton si dur et si agressif que je ne la reconnais plus. Je pense qu’à cet instant elle me déteste et je ne peux que lui donner raison. Je suis une ordure. Et un con. Comment peut-on s’imaginer mentir à une femme ? Les nanas, c’est une race supérieure. Elles voient tout et comprennent tout avant les mecs. Nous, on est à la traîne, tout juste capables de penser avec notre queue, et encore … C’est désespérant.
- Écoute, Nicolas : je n’ai plus confiance en toi, alors fait attention : si tu ne me dis pas tout de suite la vérité, je crois que ça va plus être possible entre nous. Je suis prête à tout entendre, mais ne me prends pas pour une conne !
Comme je ne réponds pas et que je prends un air ahuri, elle éclate en sanglots. Moi, je ne sais plus quoi faire ni quoi dire. La lune de miel, le petit nuage, c’est bien fini. Je retombe sur terre. Je m’approche d’elle, j’essaie de lui caresser doucement les cheveux pour lui manifester ma tendresse mais elle me repousse avec véhémence, me regarde droit dans les yeux avec un air à la fois méchant et déterminé.
- Dis-moi la vérité ou c’est fini entre nous !
Il y a des moments où il faut se résigner à faire des choix. Je suis au pied du mur. Je réfléchis comment présenter les choses, comment lui raconter mon histoire, mais ma décision est prise : je vais tout lui dire, quelles qu’en soient les conséquences.
Longuement, calmement, lentement, en choisissant mes mots et sans trop lui exposer les détails trop crus mais en restant aussi sincère que possible, je lui raconte tout : comment je suis tombé par hasard et par surprise dans des aventures homosexuelles, comment j’ai décidé de tout arrêter quand je l’ai rencontrée, comment Marc m’a forcé la main en menaçant de tout révéler, comment je me suis trouvé coincé dans cette relation, comment j’y suis resté ...
Elle m’écoute, elle ne pleure plus, elle semble s’intéresser à mon histoire. Elle a perdu en partie son air méchant et haineux, mais reste visiblement sur ses gardes.
- Je demande à voir.
- Comment ça ?
- Je ne suis pas sure que tu me dises toute la vérité. Je veux vérifier.
- Mais qu’est-ce-que tu veux vérifier ?
- On va aller chez Marc et Guillaume et tu vas me montrer comment tu te fais baiser.
- Mais … Mais enfin !? … - De toute façon, c’est à prendre ou à laisser. Je ne te promets pas que ça suffira pour que je te pardonne, mais tu me dois bien ça. Préviens-les. Le plus tôt sera le mieux. Demain soir, par exemple. Je ne te demande pas ton avis parce que de toute façon tu n’as pas le choix.
C’est ça le sexe faible ? Quand je pen
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon je me suis branlé trois dessus - La Suite !
Bandante ton histoire... j espere que tout va s arranger avec ta cherie... je veux savoir la yuite... bizzz
Zut ! Ma dernière phrase a été coupée ; je voulais écrire :
"C’est ça le sexe faible ? Quand je pense qu’il y a encore des hommes pour s’imaginer qu’ils dominent le monde ! … "
À très bientôt ...
"C’est ça le sexe faible ? Quand je pense qu’il y a encore des hommes pour s’imaginer qu’ils dominent le monde ! … "
À très bientôt ...
Bon récit, je suis curieux de connaître la suite. A bientôt, j'espère.
c'est plus que croustillant !
vite ,la suite ,ça va devenir torride !
merci
vite ,la suite ,ça va devenir torride !
merci