Les mésaventures de Laure - Partie 2
Récit érotique écrit par Laurescenario [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les mésaventures de Laure - Partie 2
Ceci est la suite des mésaventures de Laure - Partie 2 et je ne sais pas encore si ce sera la fin de l'histoire ou pas…
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Alors que je suis entièrement nue dans l’étendue d’herbe devant le parking, éclairée par les phares des camions, une sangle autour du cou attachée comme une laisse par Max, les jambes complètement relevées au-dessus de la tête par Alfred et son oncle Jean-Marc, et que Tom agite la barbie enfoncée dans ma chatoune et la bouteille de bière insérée dans mon petit trou exhibés sous le regard attentif de René, on peut entendre une voiture arriver sur le parking de cette petite aire d’autoroute et se garer de l’autre côté des camions.
Tom s’interrompt alors pour pouvoir aller au-devant. “Tiens René, prend le relais, je vais aller accueillir les nouveaux arrivant”.
Sans attendre, René prend la position de Tom pour pouvoir continuer à faire coulisser doucement la barbie et la bouteille en moi, maintenant toujours ma chatte humide et mon sphincter détendu, m’obligeant à gémir.
Deux hommes sortent alors de la voiture accueillis par Tom.
“Bonjour messieurs, bienvenu parmi nous, qu’est ce qui nous fait le plaisir de votre visite ici ?” Le premier, un homme moustachu d’une cinquantaine d’année se présente alors “Bonsoir, moi c’est Fred et lui, c’est mon jeune collègue Ahmed. On était en repos pas loin quand on a vu votre annonce alors on est venu direct, on s’est dit qu’il fallait pas manquer l’occasion” “Très bien, pas de problème, et vous avez une petite idée de ce que vous voulez” “Ben, si on peut être les premiers à péter le cul de cette petite salope, ça serait un régal mais on a que 5 euros pour tous les 2 alors si on peut déjà se faire vider les couilles, ça serait déjà pas mal” “Ah, je suis désolé mais c’est sûr qu’à ce prix-là, je vais pas pouvoir vous laisser lui prendre le cul, il est encore vierge tout de même. Mais bon, comme elle est encore en apprentissage, je peux vous laisser aller vous faire sucer si vous voulez” “Mais moi je veux la baiser chef” dis alors Ahmed, un arabe bien bâti d’une trentaine d’année. “Est-ce qu’on peut lui laisser prendre sa chatte quand-même, c’est son anniversaire demain au garçon et on entend déjà la petite pute couiner derrière” “Bon d’accord, allez-y pour cette fois, mais soyez gentils, elle débute la petite”.
Fred donne alors les 5 euros à Tom qui les précède pour les emmener. “Et voilà ma chérie, tes deux premiers clients sont arrivés. Allez René, retire ses jouets. Monsieur va se faire sucer pendant que son collègue Ahmed va la baiser ; Messieurs, vous avez une préférence pour vous installer ?” “Vous avez qu’à la mettre à 4 pattes, c’est mieux si c’est une débutante encore” répond alors Fred tandis que René retire déjà la barbie de ma chatte et la bière de mon cul. Je sens un instant un vide en moi et mon petit trou heureusement se refermer mais je n’ai pas le temps d’y penser, Max donne un coup sec en tirant sur ma sangle “T’as pas entendu, à 4 pattes salope et ouvre la bouche !” J’obéis alors incapable de réfléchir et me met en position bouche ouverte. Fred vient alors devant moi le pantalon ouvert, la queue encore molle déjà sortie. Il la prend en main pour l’enfiler immédiatement dans ma bouche, posant encore doucement sa main sur mes cheveux pour me guider. Pendant ce temps, Ahmed vient s’installer entre mes jambes et commencer à frotter sa queue contre ma chatte humide et encore entrouverte. Il se branle comme ça contre ma vulve pour se faire durcir suffisamment avant de pouvoir me pénétrer, en profitant pour me donner quelques fessées au passage, m’ordonnant de bien cambrer mon cul.
“Mmm c’est bon chef, elle m’excite, je vais pouvoir y aller, sa petite chatte à l’air encore bien serrée” Fred en profite alors pour appuyer brutalement sur ma tête et enfoncer sa queue à demi-bandée maintenant au fond de la gorge, mon nez venant se coller à son ventre. Il maintient longtemps la position m’obligeant baver sur sa queue pendant que son collègue enfonce sa queue profondément dans ma chatte. "Voilà, comme ça, ça passe en entier des deux côtés ahaha, pas mal pour une débutante ahaha”. Alors qu’ils commencent à me limer régulièrement la chatoune et la bouche, Fred sort une carte de la poche arrière de son pantalon : “Bonsoir messieurs, police nationale ! Je suis le commissaire est mon collègue est le major Ahmed. Mademoiselle est en état d’arrestation pour racolage, tentative de corruption et exhibition sexuelle. Nous allons devoir l’emmener dès que nous aurons fini de recueillir les preuves nécessaires au dossier mm”.
Oh mon Dieu ! Mais qu’est-ce que je vais faire ! Qu’est-ce qui va m’arriver encore ? Je suis paniquée et choquée par ce que je viens d’entendre et pourtant, ils continuent tranquillement de se faire sucer et de me baiser, me bloquant ainsi par les deux extrémités.
Le commissaire s'adresse alors à Alfred tout en continuant à guider ma bouche sur sa queue maintenant bien raide “Petit, va chercher dans la voiture, tu trouveras à l’avant des sacs plastiques, un carnet de notes et une paire de ciseaux. Et que quelqu’un ramasse ses fringues et les ramène”.
Alfred part tout de suite s’exécuter en courant tandis que Tom part ramasser mes affaires, bougonnant, comme déçu d’avoir perdu son jouet. A peine une minute plus tard, Alfred ramène les affaires demandées, Tom finissant d’aller chercher ma petite culotte jetée plus loin.
“Bien petit, maintenant tu peux déjà mettre la bouteille de bière et la barbie dans 2 sacs platiques différents, s’il te plait. Et que tout le monde écrive son numéro dans le carnet, on demandera surement à ceux qui peuvent de venir témoigner au procès dans quelques jours”.
Tom revient enfin avec mes habits "donnez les au major Ahmed avec les ciseaux, il va prélever les preuves dont on a besoin".
Tom donne donc en premier la jupe à Ahmed. Tout en continuant ses vas et viens en moi, le major commence à la découper grossièrement sur tout le bas, pour ne laisser qu’un morceau de tissu de pas plus de 30 centimètres de longueur. Il donne le bas à Alfred pour qu'il le mette dans un nouveau sac plastique gardant le reste de la jupe près de lui. Tom peut alors lui donner la chemise dont il découpe cette fois toute la boutonnière qu'il donne également à Alfred pour la ranger et garde aussi la reste de la chemise avec lui. Tom lui transmet enfin mon soutien-gorge et ma culotte visiblement toujours en colère. Ahmed commence alors à découper tout l'intérieur des bonnets de mon soutien-gorge pour ne laisser qu'un petit triangle de tissu de coton faisant l'extérieur.
"Tient petit, tu peux les mettre dans un même sac. Et la culotte est pour toi, ça te fera un souvenir à ton âge ahaha". Alfred a l'air absolument ravi du cadeau.
Le commissaire et son major commencent alors à accélérer davantage leurs vas et viens "Bon, vous avez plus qu'à nous prendre en photo et nous donner une copie de toutes celles que vous avez et on sera bon".
René sort alors son appareil pour faire un premier plan où l'on peut me voir à 4 pattes nues, une sorte de laisse autour du coup, en train de sucer une bite pendant que je me fais prendre par un autre homme, toute rouge. Il s'approche pour pouvoir faire ensuite quelques gros plans pendant que Tom va finir de charger toutes les photos et vidéos de la soirée pour que les policiers puissent y avoir accès.
Ahmed commence vraiment à donner de grands coups de bassin maintenant me faisant gémir à chaque claquement de ses couilles contre mon cul. "Approche approche l'appareil, tu vas voir, je vais lui en mettre tellement ça va déborder. Mmmmmm voilà, une preuve de plus dans la chatte ahaha mmmm" René filme en continue les contractions de la bite d'Ahmed dans ma petite chatte serrée jusqu'à ce qu'on puisse voir un peu de sperme couler le long de sa queue et déborder de mon vagin. Il finit par se retirer dans un bruit humide et humiliant me laissant l'impression d'être béante.
"C'est bon, tu peux venir filmer sa bouche maintenant, ça va être mon tour. Et t'as intérêt à bien avaler petite pute, je veux pas tacher mon pantalon" Fred me défonce alors à son tour sans ménagement la bouche. Je commence à en avoir presque des crampes à la mâchoire mais il met du temps à jouir le salaud. "Attention, ça vient, avale tout petite salope, on doit pas voir une goutte ; mmmm oui ça y est enfin je lui met tout dans la gorge là, filme la bien en train d'aspirer tout mon foutre cette chienne".
Anéantie, je m'applique à tout avaler jusqu'à la dernière goutte. René peut ainsi filmer ma bouche vide alors que Fred enlève sa queue ramollie.
"Allez salope, rhabille-toi maintenant, c'est fini d'allumer tout le monde comme une pute". Alors que je suis encore ravagée par terre, Ahmed me jette dessus le restant de affaires. Encore assise au sol, j'attrape le bout de jupe et l'enfile rapidement pour essayer de pouvoir enfin recouvrir mon intimité. Mais le morceau de tissu est à peine assez long pour me couvrir le pubis. Résignée, je m'apprête à mettre le soutien-gorge mais c'est complètement ridicule, mais nichons passent complètement à travers le tissu découpé. Je l'enfile alors rapidement par-dessus ma chemise. Ne pouvant toutefois plus la fermer, je me résous à faire un nœud serré sous mes seins pour la faire tenir. Ça la fait remonter comme ça et on peut ainsi toujours lire l'inscription trou vierge avec la flèche dans le bas de mon dos.
Fred me prend alors par la sangle attachée à mon cou pour me relever et m'emmener jusqu'à leur voiture suivie par Ahmed tenant le sac des preuves et les cinq routiers Tom, René, Max, Jean-Marc et son neveu Alfred.
Arriver devant, il attrape une paire de menottes et me les attache dans le dos avant de m’enlever la laisse et me faire monter seule à l'arrière.
Fred et Ahmed montent eux à l'avant, mettant le gyrophare sur le toit avant de démarrer.
"Merci messieurs, grâce à vous on a fait une très belle prise pour le juge Lantier. Attendez-vous à avoir de nos nouvelles pour venir témoigner dans quelques jours. Bonne soirée à vous et soyez prudent sur la route ahaha".
Fred sans plus attendre démarre enfin pour me ramener au commissariat, gyrophare allumé.
Après quelques minutes de route secouée à l'arrière, il se gare devant et rentre directement dans le commissariat. Ahmed vient me chercher à l'arrière de la voiture pour me faire sortir et m'emmener en salle d'interrogatoire toujours menottée, Fred nous attendant déjà là-bas.
"Bon, nous allons faire les premières constatations d'usage. Après, vous aurez la possibilité d'aller prendre une douche puis vous serez placée en garde à vue pour au moins 48h. Vous avez compris mademoiselle ?" "euh oui monsieur" je réponds affolée, perdue dans cet endroit inconnu. "Bien, alors mettez-vous debout contre le mur". Fred prend alors un nouvel appareil photo sur le bureau, un véritable appareil professionnel avec flash sur le dessus et commence une première série de photo. Ainsi, on me voit la tête basse, rouge de honte, debout menottée les mains dans le dos, la jupe arrivant à la moitié de la chatte, la chemise nouée sous mes gros nichons. Il s'approche pour pouvoir prendre aussi en photo les traces de sperme que j'ai sur le côté de la joue, le front et les cheveux ainsi qu'entre les cuisses après les différents passages des routiers et notamment celui d'Alfred (mais aussi celui du major Ahmed, le passage du commissaire n'ayant par contre pas laissé de trace).
"Maintenant tourne toi et penche toi un peu". Sans réfléchir, j'obéis et me met en position face au mur. Je vois les flashs derrière moi alors que le commissaire prend bien en photo l'inscription dans le creux de mes reins et les traces de sperme pouvant encore apparaitre.
"Bon maintenant, tourne-toi encore" Il s'approche et tire alors d'un coup sur le nœud tenant ma chemise sous mes seins pour pouvoir l'ouvrir. "Tiens Ahmed, enlève-lui la jupe qu'on voit s'il y a pas des traces en dessous encore". Je me sens totalement ridicule, humiliée alors que je me retrouve comme ça les nichons à l'air sortis à travers les trous de mon soutien-gorge, ma chemise pendant sur mes bras menottés et le cul à l'air avant que le commissaire ne prenne les dernières photos.
Il donne alors une dernière claque sur mon cul en rigolant "Allez à la douche maintenant, t'as besoin de te laver salope".
Le major m'emmène alors à côté. Il me retire les menottes et me regarde enlever le reste de mes habits de la honte pour les ramasser avant de me laisser prendre ma douche seule. Je me frotte rapidement sous l'eau froide qui me fouette et fait rougir mon corps mais je n'y fais pas attention trop heureuse de pouvoir me laver des traces qui me souille. La froideur de l'eau me permet de soulager un peu les sensations de chaleur et de brulure qui me chauffe encore le vagin et le cul à force d'avoir été fessée.
Après 3 minutes, l'eau se coupe brutalement. Je vois alors posée à côté de la douche une sorte de combinaison orange à zip informe que j'enfile rapidement pour me couvrir. Je suis juste soulagée de retrouver un peu de pudeur et de dignité ainsi couverte.
Le major Ahmed vient alors me rechercher pour m'emmener en cellule, seule dans le sous-sol du commissariat. En refermant derrière moi, il me dit "bon, à partir de maintenant, tu es en garde à vue pour au moins 48h. On viendra prendre ta déposition et t'interroger plus tard et d'ici 72h normalement, tu devrais pouvoir être présentée au juge Lantier. On se charge de te trouver un avocat d'ici là. En tout cas, je suis sûr qu'ils vont être ravis de s'occuper de ton affaire ahaha" puis il repart me laissant enfermée, seule, perdue et impuissante. Nerveuse, je fini par m'endormir quand-même sur la paillasse de la cellule, incapable de réaliser tout ce que je viens de vivre et terrassée par la fatigue de ces émotions.
D'un coup, un bruit métallique me réveille en sursaut. C'est encore Ahmed qui vient me réveiller "Allez debout là-dedans c'est l'heure de ta déposition". Je suis encore dans le coltard, je ne sais combien de temps je me suis endormie et je mets une seconde à me rappeler où je suis et ce qui m'est arrivé.
"Mets-toi dos au barreau que je te passe les menottes, c'est la procédure". "Mais mais qu'est ce qui va se passer, on va où ?" je demande stressée mais me mettant tout de même en position. "Pour l'instant, on va juste faire ta déposition dans le bureau du commissaire et après tu reviendras là" me répond Ahmed en me passant les menottes.
Il ouvre la porte de la cellule et m'emmène dans les couloirs du commissariat jusqu'au bureau du commissaire. Celui-ci m'attend déjà assis derrière son bureau. Le major me fait assoir en face et reste attentif dans le fond de la pièce.
"Bon, mademoiselle, nous avons déjà de nombreux éléments pour l'enquête. Mais maintenant, vous allez donner votre version, racontez-moi ce qui s'est passé depuis le début".
Je commence alors à raconter honteusement comment je suis tombée en panne et que j'ai dû aller demander de l'aide aux routiers, puis comment le barbu m'a piégé pour m'enfermer dans ma voiture et m'obliger à prendre son sexe en bouche. Le commissaire Fred m'interrompt alors "et est-ce que le monsieur a éjaculé ?" je suis surprise par la question si directe "euh oui monsieur" je bredouille alors gênée "C'est les traces qu'on a trouvé sur ta joue ?" "euh non monsieur" "Ah bon. Et il a joui où alors ?” "Euh, dans ma bouche monsieur". Je deviens toute rouge avec ces questions aussi crument posées ce qui semble le faire légèrement sourire même s'il essaie d'avoir l'air blasé en notant toutes mes réponses. "Bon, poursuivez, après qu'est-ce qui s'est passé ?" "Et bien il est venu ouvrir ma portière et me tirer par les cheveux pour me forcer à rejoindre ces amis. Ils m'ont obligé à m'allongé sur une table et pendant que les quatre plus vieux se moquaient en regardant mon intimité le plus jeune s'est touché le zizi près de mon visage en me tenant" "Ah, c'est donc lui les traces sur ta gueule ?" Je suis perturbée "euh oui monsieur" "Continue" "et bien après, ils m'ont forcé à m'allonger et le plus gros est venu s'allonger sur moi et il m'a pénétré" "La chatte ou le cul ?" "euh par devant monsieur, dans mon vagin" "et je l'ai vu sur la vidéo des faits, mais peux-tu confirmer pour ta déposition, c'est vrai que t'étais vierge ?" "euh oui monsieur" je réponds sans réfléchir oppressée par ces questions alors que je ne peux m'empêcher d'avoir le souvenir de sa propre queue dans ma bouche pendant qu'il me parle. "Donc je note, dépucelée par le gros René. Et alors, il a juté où le gros René ?" "Sur mon ventre monsieur" "Bien, maintenant raconte qui t'a prise et comment encore ?" "Et bien les deux derniers m'ont mise à quatre pattes monsieur et il y en a un qui est venu dans ma bouche pendant que l'autre m'a mis son sexe dans le vagin et ils ont joui dedans monsieur" je réponds sans même attendre la question cette fois. "Après, ils m'ont enfermé un moment dans un des camions et ils sont partis boire des bières je crois" "Très bien, raconte ce qui s'est passé encore après". Ça l'amuse décidément de m'humilier à devoir tout raconter alors qu'il sait très bien en réalité ce qui est arrivé. "Et bien, ils sont revenus me chercher dans le camion, ils m'ont attaché une sangle autour du coup et ils m'ont enfoncé une barbie dans la chatoune. Après ils ont pris un stylo et ils ont écrit sur mon dos avant de me l'enfoncer entre les fesses pendant que je criais et ils ont pris des photos de moi qu'ils ont mis sur internet. Là, ils m'ont retourné et comme le stylo est tombé, ils l'ont remplacé par le culot d'une des bouteilles de bière vide" "et à partir de là on est arrivé et on vous a surpris avec mon major, pas besoin de raconter la suite" m’interrompt enfin le commissaire. "Et dernières questions avant que vous ne retourniez en cellule, est-ce que pendant tout ce temps, vous avez eu la chatte mouillée et est-ce que vous avez joui comme une salope ? Et ne mentez pas, on a des images très éloquentes" "mais mais oui c'est vrai monsieur mais je vous jure je n'ai pas fait exprès, c'était la première fois, je ne savais pas que ça pouvait arriver, je n'ai pas pu contrôler, je vous jure je n'ai pas fait exprès" je balbutie complètement humiliée.
"Bon allez, ça suffit maintenant, pas besoin d'en dire plus, j'ai tout consigné. Ahmed ramène là en cellule qu'elle réfléchisse un peu de quoi elle a l'air celle-là".
Je me retrouve ainsi de nouveau enfermée seule pendant de nombreuses heures sans savoir ce qui va m'arriver. Je cogite sans arrêt pour me repasser le fil des évènements et n'arrive pas à m'endormir essayant de réfléchir à un moment où j'aurai pu récupérer la situation en main.
Ahmed vient finalement me servir le diner. "On part pour la nuit et personne n'a le droit de t'approcher, tu peux dormir tranquille. On viendra te dire demain matin comment ça va se passer. Bonne soirée petite pute. A demain"
J'arrive à peine à manger un bout et après de nombreuses heures à réfléchir encore, j'arrive enfin à m'endormir un petit peu lorsque je suis de nouveau réveillée en sursaut. Mais cette fois, c'est le commissaire qui est descendu en personne "Bon, on vient d'avoir le juge Lantier, il s'est réveillé en forme, il veut te voir tout de suite. On t'a préparé une tenue avec ce qu'on a récupéré dans la reserve". Il me jette les vêtements à travers les barreaux alors que je suis encore à moitié assoupie. "Allez dépêche-toi, change-toi tu peux pas aller au tribunal comme ça. Ton avocat nous retrouvera directement là-bas. T'inquiète pas, on lui a transmis ton dossier". Sans réfléchir, je retire ma combinaison en détaillant les habits qu'il m'a donné. Je prends la petite culotte en premier. Je suis d'abord contente, elle est rose mais quand je la mets elle est trop petite et me frotte entre les lèvres intimes et me rentre dans les fesses. Je n'ose pourtant rien dire et mets la petite jupe plissée que je trouve avec. Là encore, ça ressemble à ce que j'aurai pu porter mais en beaucoup plus petit et surtout beaucoup plus court. Je me couvre enfin les seins avec la chemise qui reste seule "euh, excusez-moi monsieur mais il n'y a pas de soutien-gorge" "on en a pas trouvé à ta taille alors t'en auras pas mais t'inquiète pas, on verra rien sous ta chemise. Mets tes chaussures aussi et dès que t'es prête, tu te tournes que je te mette les menottes, tu connais la procédure maintenant”. J'enfile alors la chemise mais cette fois elle est un peu trop large et légèrement transparente. Avec mes seins qui ballottent dessous, on peut facilement voir que je n'ai rien dessous en réalité. Je mets également les escarpins fournis avec même si je n'ai pas l'habitude de marcher avec des talons et fini par me tourner et me laisse passer les menottes.
Fred m'emmène alors jusqu'au fourgon de transfert ou nous attendent déjà Ahmed et un autre policier en uniforme. "Laure, je te présente mon collègue et ami, le brigadier Mohamed. On est rentré ensemble dans la police. C'est lui qui sera chargé de te surveiller aujourd'hui, le commissaire et moi on sera là pour témoigner. Monte avec lui à l'arrière, on y va".
Mohamed a également une trentaine d’année et un physique similaire à celui d’Ahmed. Il m’attrape alors par les menottes pour me faire monter dans le fourgon. Pendant tout le trajet, il me mate comme un pervers de bas en haut et en particulier mes seins qui ballottent dans ma chemise à chaque virage.
Arrivés au tribunal, Fred et Ahmed s’en vont directement dans la salle d’audience tandis que Mohamed qui m’escorte, m’arrête à hauteur d’un petit homme rond d’une quarantaine d’année en robe d’avocat qui attend devant la porte de la salle. Il me regarde à son tour de bas en haut. “Ah je vous attendais, je suis votre avocat Maitre François Robert. Vous pouvez m’appeler Maitre. Le juge Lantier nous attend déjà, vous allez lui plaire. Laissez-moi juste vous faire encore un peu plus belle et on va y aller”. Il sort alors de la petite valise qu’il tient avec lui du far à paupières qu’il m’applique grossièrement ainsi que du rouge à lèvres très voyant. Il me fait enfin rapidement deux couettes sur le dessus de la tête puis me mate satisfait “Voilà, vous êtes prête, on va pouvoir y aller. Ne vous inquiétez pas, j’ai vu tout le dossier et je connais bien le juge Lantier. Par contre, ne répondez que quand il vous interroge, il n’y a rien qui l’énerve plus qu’une petite conne qui répond, vous m’avez comprise ? “ “euh oui monsieur” je réponds un peu perdue. “Je vous ai dit de m’appeler Maitre” il dit alors énervée me donnant une claque sur les fesses.
Je rougis aussitôt. Et encore, heureusement que je ne peux pas me voir, j’ai l’air totalement vulgaire, on dirait une trainée ridicule.
L’avocat dit alors au brigadier “c’est bon elle est prête, on peut entrer”. Mohamed ouvre alors la grande porte et me fait rentrer. Tout le monde est déjà là et me regarde. Je remarque d’abord sur une estrade le juge Lantier qui préside l’assemblée. Il doit avoir une bonne soixantaine d’année, les cheveux blancs et des lunettes, habillé en robe. En dessous, le greffier, Marcel, environ du même âge, un peu plus petit rond dans une vieille chemise à carreaux et un pantalon élimé. Le brigadier Mohamed m’emmène m’installer debout derrière une petite table à droite de la salle à côté de mon avocat. De l’autre côté, à gauche, se trouve le procureur, un homme en robe d’une quarantaine d’année visiblement très sur de lui. Je tourne enfin complètement la tête et je vois que derrière lui sont assis le commissaire, le major, Tom et enfin René.
Je me sens si seule au milieu de tous ces hommes.
“Bon, c’est pas trop tôt, on va pouvoir enfin commencer. C’est pas normal de devoir attendre comme ça pour une affaire de pute” dit alors énervé le juge Lantier. “Commissaire, venez vous assoir dans le box des témoins, vous aller nous expliquer cette affaire”.
A suivre...
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Alors que je suis entièrement nue dans l’étendue d’herbe devant le parking, éclairée par les phares des camions, une sangle autour du cou attachée comme une laisse par Max, les jambes complètement relevées au-dessus de la tête par Alfred et son oncle Jean-Marc, et que Tom agite la barbie enfoncée dans ma chatoune et la bouteille de bière insérée dans mon petit trou exhibés sous le regard attentif de René, on peut entendre une voiture arriver sur le parking de cette petite aire d’autoroute et se garer de l’autre côté des camions.
Tom s’interrompt alors pour pouvoir aller au-devant. “Tiens René, prend le relais, je vais aller accueillir les nouveaux arrivant”.
Sans attendre, René prend la position de Tom pour pouvoir continuer à faire coulisser doucement la barbie et la bouteille en moi, maintenant toujours ma chatte humide et mon sphincter détendu, m’obligeant à gémir.
Deux hommes sortent alors de la voiture accueillis par Tom.
“Bonjour messieurs, bienvenu parmi nous, qu’est ce qui nous fait le plaisir de votre visite ici ?” Le premier, un homme moustachu d’une cinquantaine d’année se présente alors “Bonsoir, moi c’est Fred et lui, c’est mon jeune collègue Ahmed. On était en repos pas loin quand on a vu votre annonce alors on est venu direct, on s’est dit qu’il fallait pas manquer l’occasion” “Très bien, pas de problème, et vous avez une petite idée de ce que vous voulez” “Ben, si on peut être les premiers à péter le cul de cette petite salope, ça serait un régal mais on a que 5 euros pour tous les 2 alors si on peut déjà se faire vider les couilles, ça serait déjà pas mal” “Ah, je suis désolé mais c’est sûr qu’à ce prix-là, je vais pas pouvoir vous laisser lui prendre le cul, il est encore vierge tout de même. Mais bon, comme elle est encore en apprentissage, je peux vous laisser aller vous faire sucer si vous voulez” “Mais moi je veux la baiser chef” dis alors Ahmed, un arabe bien bâti d’une trentaine d’année. “Est-ce qu’on peut lui laisser prendre sa chatte quand-même, c’est son anniversaire demain au garçon et on entend déjà la petite pute couiner derrière” “Bon d’accord, allez-y pour cette fois, mais soyez gentils, elle débute la petite”.
Fred donne alors les 5 euros à Tom qui les précède pour les emmener. “Et voilà ma chérie, tes deux premiers clients sont arrivés. Allez René, retire ses jouets. Monsieur va se faire sucer pendant que son collègue Ahmed va la baiser ; Messieurs, vous avez une préférence pour vous installer ?” “Vous avez qu’à la mettre à 4 pattes, c’est mieux si c’est une débutante encore” répond alors Fred tandis que René retire déjà la barbie de ma chatte et la bière de mon cul. Je sens un instant un vide en moi et mon petit trou heureusement se refermer mais je n’ai pas le temps d’y penser, Max donne un coup sec en tirant sur ma sangle “T’as pas entendu, à 4 pattes salope et ouvre la bouche !” J’obéis alors incapable de réfléchir et me met en position bouche ouverte. Fred vient alors devant moi le pantalon ouvert, la queue encore molle déjà sortie. Il la prend en main pour l’enfiler immédiatement dans ma bouche, posant encore doucement sa main sur mes cheveux pour me guider. Pendant ce temps, Ahmed vient s’installer entre mes jambes et commencer à frotter sa queue contre ma chatte humide et encore entrouverte. Il se branle comme ça contre ma vulve pour se faire durcir suffisamment avant de pouvoir me pénétrer, en profitant pour me donner quelques fessées au passage, m’ordonnant de bien cambrer mon cul.
“Mmm c’est bon chef, elle m’excite, je vais pouvoir y aller, sa petite chatte à l’air encore bien serrée” Fred en profite alors pour appuyer brutalement sur ma tête et enfoncer sa queue à demi-bandée maintenant au fond de la gorge, mon nez venant se coller à son ventre. Il maintient longtemps la position m’obligeant baver sur sa queue pendant que son collègue enfonce sa queue profondément dans ma chatte. "Voilà, comme ça, ça passe en entier des deux côtés ahaha, pas mal pour une débutante ahaha”. Alors qu’ils commencent à me limer régulièrement la chatoune et la bouche, Fred sort une carte de la poche arrière de son pantalon : “Bonsoir messieurs, police nationale ! Je suis le commissaire est mon collègue est le major Ahmed. Mademoiselle est en état d’arrestation pour racolage, tentative de corruption et exhibition sexuelle. Nous allons devoir l’emmener dès que nous aurons fini de recueillir les preuves nécessaires au dossier mm”.
Oh mon Dieu ! Mais qu’est-ce que je vais faire ! Qu’est-ce qui va m’arriver encore ? Je suis paniquée et choquée par ce que je viens d’entendre et pourtant, ils continuent tranquillement de se faire sucer et de me baiser, me bloquant ainsi par les deux extrémités.
Le commissaire s'adresse alors à Alfred tout en continuant à guider ma bouche sur sa queue maintenant bien raide “Petit, va chercher dans la voiture, tu trouveras à l’avant des sacs plastiques, un carnet de notes et une paire de ciseaux. Et que quelqu’un ramasse ses fringues et les ramène”.
Alfred part tout de suite s’exécuter en courant tandis que Tom part ramasser mes affaires, bougonnant, comme déçu d’avoir perdu son jouet. A peine une minute plus tard, Alfred ramène les affaires demandées, Tom finissant d’aller chercher ma petite culotte jetée plus loin.
“Bien petit, maintenant tu peux déjà mettre la bouteille de bière et la barbie dans 2 sacs platiques différents, s’il te plait. Et que tout le monde écrive son numéro dans le carnet, on demandera surement à ceux qui peuvent de venir témoigner au procès dans quelques jours”.
Tom revient enfin avec mes habits "donnez les au major Ahmed avec les ciseaux, il va prélever les preuves dont on a besoin".
Tom donne donc en premier la jupe à Ahmed. Tout en continuant ses vas et viens en moi, le major commence à la découper grossièrement sur tout le bas, pour ne laisser qu’un morceau de tissu de pas plus de 30 centimètres de longueur. Il donne le bas à Alfred pour qu'il le mette dans un nouveau sac plastique gardant le reste de la jupe près de lui. Tom peut alors lui donner la chemise dont il découpe cette fois toute la boutonnière qu'il donne également à Alfred pour la ranger et garde aussi la reste de la chemise avec lui. Tom lui transmet enfin mon soutien-gorge et ma culotte visiblement toujours en colère. Ahmed commence alors à découper tout l'intérieur des bonnets de mon soutien-gorge pour ne laisser qu'un petit triangle de tissu de coton faisant l'extérieur.
"Tient petit, tu peux les mettre dans un même sac. Et la culotte est pour toi, ça te fera un souvenir à ton âge ahaha". Alfred a l'air absolument ravi du cadeau.
Le commissaire et son major commencent alors à accélérer davantage leurs vas et viens "Bon, vous avez plus qu'à nous prendre en photo et nous donner une copie de toutes celles que vous avez et on sera bon".
René sort alors son appareil pour faire un premier plan où l'on peut me voir à 4 pattes nues, une sorte de laisse autour du coup, en train de sucer une bite pendant que je me fais prendre par un autre homme, toute rouge. Il s'approche pour pouvoir faire ensuite quelques gros plans pendant que Tom va finir de charger toutes les photos et vidéos de la soirée pour que les policiers puissent y avoir accès.
Ahmed commence vraiment à donner de grands coups de bassin maintenant me faisant gémir à chaque claquement de ses couilles contre mon cul. "Approche approche l'appareil, tu vas voir, je vais lui en mettre tellement ça va déborder. Mmmmmm voilà, une preuve de plus dans la chatte ahaha mmmm" René filme en continue les contractions de la bite d'Ahmed dans ma petite chatte serrée jusqu'à ce qu'on puisse voir un peu de sperme couler le long de sa queue et déborder de mon vagin. Il finit par se retirer dans un bruit humide et humiliant me laissant l'impression d'être béante.
"C'est bon, tu peux venir filmer sa bouche maintenant, ça va être mon tour. Et t'as intérêt à bien avaler petite pute, je veux pas tacher mon pantalon" Fred me défonce alors à son tour sans ménagement la bouche. Je commence à en avoir presque des crampes à la mâchoire mais il met du temps à jouir le salaud. "Attention, ça vient, avale tout petite salope, on doit pas voir une goutte ; mmmm oui ça y est enfin je lui met tout dans la gorge là, filme la bien en train d'aspirer tout mon foutre cette chienne".
Anéantie, je m'applique à tout avaler jusqu'à la dernière goutte. René peut ainsi filmer ma bouche vide alors que Fred enlève sa queue ramollie.
"Allez salope, rhabille-toi maintenant, c'est fini d'allumer tout le monde comme une pute". Alors que je suis encore ravagée par terre, Ahmed me jette dessus le restant de affaires. Encore assise au sol, j'attrape le bout de jupe et l'enfile rapidement pour essayer de pouvoir enfin recouvrir mon intimité. Mais le morceau de tissu est à peine assez long pour me couvrir le pubis. Résignée, je m'apprête à mettre le soutien-gorge mais c'est complètement ridicule, mais nichons passent complètement à travers le tissu découpé. Je l'enfile alors rapidement par-dessus ma chemise. Ne pouvant toutefois plus la fermer, je me résous à faire un nœud serré sous mes seins pour la faire tenir. Ça la fait remonter comme ça et on peut ainsi toujours lire l'inscription trou vierge avec la flèche dans le bas de mon dos.
Fred me prend alors par la sangle attachée à mon cou pour me relever et m'emmener jusqu'à leur voiture suivie par Ahmed tenant le sac des preuves et les cinq routiers Tom, René, Max, Jean-Marc et son neveu Alfred.
Arriver devant, il attrape une paire de menottes et me les attache dans le dos avant de m’enlever la laisse et me faire monter seule à l'arrière.
Fred et Ahmed montent eux à l'avant, mettant le gyrophare sur le toit avant de démarrer.
"Merci messieurs, grâce à vous on a fait une très belle prise pour le juge Lantier. Attendez-vous à avoir de nos nouvelles pour venir témoigner dans quelques jours. Bonne soirée à vous et soyez prudent sur la route ahaha".
Fred sans plus attendre démarre enfin pour me ramener au commissariat, gyrophare allumé.
Après quelques minutes de route secouée à l'arrière, il se gare devant et rentre directement dans le commissariat. Ahmed vient me chercher à l'arrière de la voiture pour me faire sortir et m'emmener en salle d'interrogatoire toujours menottée, Fred nous attendant déjà là-bas.
"Bon, nous allons faire les premières constatations d'usage. Après, vous aurez la possibilité d'aller prendre une douche puis vous serez placée en garde à vue pour au moins 48h. Vous avez compris mademoiselle ?" "euh oui monsieur" je réponds affolée, perdue dans cet endroit inconnu. "Bien, alors mettez-vous debout contre le mur". Fred prend alors un nouvel appareil photo sur le bureau, un véritable appareil professionnel avec flash sur le dessus et commence une première série de photo. Ainsi, on me voit la tête basse, rouge de honte, debout menottée les mains dans le dos, la jupe arrivant à la moitié de la chatte, la chemise nouée sous mes gros nichons. Il s'approche pour pouvoir prendre aussi en photo les traces de sperme que j'ai sur le côté de la joue, le front et les cheveux ainsi qu'entre les cuisses après les différents passages des routiers et notamment celui d'Alfred (mais aussi celui du major Ahmed, le passage du commissaire n'ayant par contre pas laissé de trace).
"Maintenant tourne toi et penche toi un peu". Sans réfléchir, j'obéis et me met en position face au mur. Je vois les flashs derrière moi alors que le commissaire prend bien en photo l'inscription dans le creux de mes reins et les traces de sperme pouvant encore apparaitre.
"Bon maintenant, tourne-toi encore" Il s'approche et tire alors d'un coup sur le nœud tenant ma chemise sous mes seins pour pouvoir l'ouvrir. "Tiens Ahmed, enlève-lui la jupe qu'on voit s'il y a pas des traces en dessous encore". Je me sens totalement ridicule, humiliée alors que je me retrouve comme ça les nichons à l'air sortis à travers les trous de mon soutien-gorge, ma chemise pendant sur mes bras menottés et le cul à l'air avant que le commissaire ne prenne les dernières photos.
Il donne alors une dernière claque sur mon cul en rigolant "Allez à la douche maintenant, t'as besoin de te laver salope".
Le major m'emmène alors à côté. Il me retire les menottes et me regarde enlever le reste de mes habits de la honte pour les ramasser avant de me laisser prendre ma douche seule. Je me frotte rapidement sous l'eau froide qui me fouette et fait rougir mon corps mais je n'y fais pas attention trop heureuse de pouvoir me laver des traces qui me souille. La froideur de l'eau me permet de soulager un peu les sensations de chaleur et de brulure qui me chauffe encore le vagin et le cul à force d'avoir été fessée.
Après 3 minutes, l'eau se coupe brutalement. Je vois alors posée à côté de la douche une sorte de combinaison orange à zip informe que j'enfile rapidement pour me couvrir. Je suis juste soulagée de retrouver un peu de pudeur et de dignité ainsi couverte.
Le major Ahmed vient alors me rechercher pour m'emmener en cellule, seule dans le sous-sol du commissariat. En refermant derrière moi, il me dit "bon, à partir de maintenant, tu es en garde à vue pour au moins 48h. On viendra prendre ta déposition et t'interroger plus tard et d'ici 72h normalement, tu devrais pouvoir être présentée au juge Lantier. On se charge de te trouver un avocat d'ici là. En tout cas, je suis sûr qu'ils vont être ravis de s'occuper de ton affaire ahaha" puis il repart me laissant enfermée, seule, perdue et impuissante. Nerveuse, je fini par m'endormir quand-même sur la paillasse de la cellule, incapable de réaliser tout ce que je viens de vivre et terrassée par la fatigue de ces émotions.
D'un coup, un bruit métallique me réveille en sursaut. C'est encore Ahmed qui vient me réveiller "Allez debout là-dedans c'est l'heure de ta déposition". Je suis encore dans le coltard, je ne sais combien de temps je me suis endormie et je mets une seconde à me rappeler où je suis et ce qui m'est arrivé.
"Mets-toi dos au barreau que je te passe les menottes, c'est la procédure". "Mais mais qu'est ce qui va se passer, on va où ?" je demande stressée mais me mettant tout de même en position. "Pour l'instant, on va juste faire ta déposition dans le bureau du commissaire et après tu reviendras là" me répond Ahmed en me passant les menottes.
Il ouvre la porte de la cellule et m'emmène dans les couloirs du commissariat jusqu'au bureau du commissaire. Celui-ci m'attend déjà assis derrière son bureau. Le major me fait assoir en face et reste attentif dans le fond de la pièce.
"Bon, mademoiselle, nous avons déjà de nombreux éléments pour l'enquête. Mais maintenant, vous allez donner votre version, racontez-moi ce qui s'est passé depuis le début".
Je commence alors à raconter honteusement comment je suis tombée en panne et que j'ai dû aller demander de l'aide aux routiers, puis comment le barbu m'a piégé pour m'enfermer dans ma voiture et m'obliger à prendre son sexe en bouche. Le commissaire Fred m'interrompt alors "et est-ce que le monsieur a éjaculé ?" je suis surprise par la question si directe "euh oui monsieur" je bredouille alors gênée "C'est les traces qu'on a trouvé sur ta joue ?" "euh non monsieur" "Ah bon. Et il a joui où alors ?” "Euh, dans ma bouche monsieur". Je deviens toute rouge avec ces questions aussi crument posées ce qui semble le faire légèrement sourire même s'il essaie d'avoir l'air blasé en notant toutes mes réponses. "Bon, poursuivez, après qu'est-ce qui s'est passé ?" "Et bien il est venu ouvrir ma portière et me tirer par les cheveux pour me forcer à rejoindre ces amis. Ils m'ont obligé à m'allongé sur une table et pendant que les quatre plus vieux se moquaient en regardant mon intimité le plus jeune s'est touché le zizi près de mon visage en me tenant" "Ah, c'est donc lui les traces sur ta gueule ?" Je suis perturbée "euh oui monsieur" "Continue" "et bien après, ils m'ont forcé à m'allonger et le plus gros est venu s'allonger sur moi et il m'a pénétré" "La chatte ou le cul ?" "euh par devant monsieur, dans mon vagin" "et je l'ai vu sur la vidéo des faits, mais peux-tu confirmer pour ta déposition, c'est vrai que t'étais vierge ?" "euh oui monsieur" je réponds sans réfléchir oppressée par ces questions alors que je ne peux m'empêcher d'avoir le souvenir de sa propre queue dans ma bouche pendant qu'il me parle. "Donc je note, dépucelée par le gros René. Et alors, il a juté où le gros René ?" "Sur mon ventre monsieur" "Bien, maintenant raconte qui t'a prise et comment encore ?" "Et bien les deux derniers m'ont mise à quatre pattes monsieur et il y en a un qui est venu dans ma bouche pendant que l'autre m'a mis son sexe dans le vagin et ils ont joui dedans monsieur" je réponds sans même attendre la question cette fois. "Après, ils m'ont enfermé un moment dans un des camions et ils sont partis boire des bières je crois" "Très bien, raconte ce qui s'est passé encore après". Ça l'amuse décidément de m'humilier à devoir tout raconter alors qu'il sait très bien en réalité ce qui est arrivé. "Et bien, ils sont revenus me chercher dans le camion, ils m'ont attaché une sangle autour du coup et ils m'ont enfoncé une barbie dans la chatoune. Après ils ont pris un stylo et ils ont écrit sur mon dos avant de me l'enfoncer entre les fesses pendant que je criais et ils ont pris des photos de moi qu'ils ont mis sur internet. Là, ils m'ont retourné et comme le stylo est tombé, ils l'ont remplacé par le culot d'une des bouteilles de bière vide" "et à partir de là on est arrivé et on vous a surpris avec mon major, pas besoin de raconter la suite" m’interrompt enfin le commissaire. "Et dernières questions avant que vous ne retourniez en cellule, est-ce que pendant tout ce temps, vous avez eu la chatte mouillée et est-ce que vous avez joui comme une salope ? Et ne mentez pas, on a des images très éloquentes" "mais mais oui c'est vrai monsieur mais je vous jure je n'ai pas fait exprès, c'était la première fois, je ne savais pas que ça pouvait arriver, je n'ai pas pu contrôler, je vous jure je n'ai pas fait exprès" je balbutie complètement humiliée.
"Bon allez, ça suffit maintenant, pas besoin d'en dire plus, j'ai tout consigné. Ahmed ramène là en cellule qu'elle réfléchisse un peu de quoi elle a l'air celle-là".
Je me retrouve ainsi de nouveau enfermée seule pendant de nombreuses heures sans savoir ce qui va m'arriver. Je cogite sans arrêt pour me repasser le fil des évènements et n'arrive pas à m'endormir essayant de réfléchir à un moment où j'aurai pu récupérer la situation en main.
Ahmed vient finalement me servir le diner. "On part pour la nuit et personne n'a le droit de t'approcher, tu peux dormir tranquille. On viendra te dire demain matin comment ça va se passer. Bonne soirée petite pute. A demain"
J'arrive à peine à manger un bout et après de nombreuses heures à réfléchir encore, j'arrive enfin à m'endormir un petit peu lorsque je suis de nouveau réveillée en sursaut. Mais cette fois, c'est le commissaire qui est descendu en personne "Bon, on vient d'avoir le juge Lantier, il s'est réveillé en forme, il veut te voir tout de suite. On t'a préparé une tenue avec ce qu'on a récupéré dans la reserve". Il me jette les vêtements à travers les barreaux alors que je suis encore à moitié assoupie. "Allez dépêche-toi, change-toi tu peux pas aller au tribunal comme ça. Ton avocat nous retrouvera directement là-bas. T'inquiète pas, on lui a transmis ton dossier". Sans réfléchir, je retire ma combinaison en détaillant les habits qu'il m'a donné. Je prends la petite culotte en premier. Je suis d'abord contente, elle est rose mais quand je la mets elle est trop petite et me frotte entre les lèvres intimes et me rentre dans les fesses. Je n'ose pourtant rien dire et mets la petite jupe plissée que je trouve avec. Là encore, ça ressemble à ce que j'aurai pu porter mais en beaucoup plus petit et surtout beaucoup plus court. Je me couvre enfin les seins avec la chemise qui reste seule "euh, excusez-moi monsieur mais il n'y a pas de soutien-gorge" "on en a pas trouvé à ta taille alors t'en auras pas mais t'inquiète pas, on verra rien sous ta chemise. Mets tes chaussures aussi et dès que t'es prête, tu te tournes que je te mette les menottes, tu connais la procédure maintenant”. J'enfile alors la chemise mais cette fois elle est un peu trop large et légèrement transparente. Avec mes seins qui ballottent dessous, on peut facilement voir que je n'ai rien dessous en réalité. Je mets également les escarpins fournis avec même si je n'ai pas l'habitude de marcher avec des talons et fini par me tourner et me laisse passer les menottes.
Fred m'emmène alors jusqu'au fourgon de transfert ou nous attendent déjà Ahmed et un autre policier en uniforme. "Laure, je te présente mon collègue et ami, le brigadier Mohamed. On est rentré ensemble dans la police. C'est lui qui sera chargé de te surveiller aujourd'hui, le commissaire et moi on sera là pour témoigner. Monte avec lui à l'arrière, on y va".
Mohamed a également une trentaine d’année et un physique similaire à celui d’Ahmed. Il m’attrape alors par les menottes pour me faire monter dans le fourgon. Pendant tout le trajet, il me mate comme un pervers de bas en haut et en particulier mes seins qui ballottent dans ma chemise à chaque virage.
Arrivés au tribunal, Fred et Ahmed s’en vont directement dans la salle d’audience tandis que Mohamed qui m’escorte, m’arrête à hauteur d’un petit homme rond d’une quarantaine d’année en robe d’avocat qui attend devant la porte de la salle. Il me regarde à son tour de bas en haut. “Ah je vous attendais, je suis votre avocat Maitre François Robert. Vous pouvez m’appeler Maitre. Le juge Lantier nous attend déjà, vous allez lui plaire. Laissez-moi juste vous faire encore un peu plus belle et on va y aller”. Il sort alors de la petite valise qu’il tient avec lui du far à paupières qu’il m’applique grossièrement ainsi que du rouge à lèvres très voyant. Il me fait enfin rapidement deux couettes sur le dessus de la tête puis me mate satisfait “Voilà, vous êtes prête, on va pouvoir y aller. Ne vous inquiétez pas, j’ai vu tout le dossier et je connais bien le juge Lantier. Par contre, ne répondez que quand il vous interroge, il n’y a rien qui l’énerve plus qu’une petite conne qui répond, vous m’avez comprise ? “ “euh oui monsieur” je réponds un peu perdue. “Je vous ai dit de m’appeler Maitre” il dit alors énervée me donnant une claque sur les fesses.
Je rougis aussitôt. Et encore, heureusement que je ne peux pas me voir, j’ai l’air totalement vulgaire, on dirait une trainée ridicule.
L’avocat dit alors au brigadier “c’est bon elle est prête, on peut entrer”. Mohamed ouvre alors la grande porte et me fait rentrer. Tout le monde est déjà là et me regarde. Je remarque d’abord sur une estrade le juge Lantier qui préside l’assemblée. Il doit avoir une bonne soixantaine d’année, les cheveux blancs et des lunettes, habillé en robe. En dessous, le greffier, Marcel, environ du même âge, un peu plus petit rond dans une vieille chemise à carreaux et un pantalon élimé. Le brigadier Mohamed m’emmène m’installer debout derrière une petite table à droite de la salle à côté de mon avocat. De l’autre côté, à gauche, se trouve le procureur, un homme en robe d’une quarantaine d’année visiblement très sur de lui. Je tourne enfin complètement la tête et je vois que derrière lui sont assis le commissaire, le major, Tom et enfin René.
Je me sens si seule au milieu de tous ces hommes.
“Bon, c’est pas trop tôt, on va pouvoir enfin commencer. C’est pas normal de devoir attendre comme ça pour une affaire de pute” dit alors énervé le juge Lantier. “Commissaire, venez vous assoir dans le box des témoins, vous aller nous expliquer cette affaire”.
A suivre...
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