Les monstres de Cúcuta 8/12

- Par l'auteur HDS Nico T -
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Récit libertin : Les monstres de Cúcuta 8/12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les monstres de Cúcuta 8/12
Léonardo était en slip et tee-shirt. J'avais ses belles fesses qui se dandinaient devant moi quand il a monté l'escalier se dirigeant manifestement vers sa chambre où il m'a laissé entrer.
Une belle chambre d'un mec avec le nécessaire, tamisée, un lit accueillant. Je ne sais pas pourquoi j'ai été subitement intimidé quand je me suis retourné et que j'ai vu ce latino qui me regardait, sourire aux lèvres.
Un regard de prédateur aux yeux doux comme pour dire "laisse toi faire, de toute façon t'es à moi maintenant".

Il ne disait rien et je voyais ses yeux me détailler, passer sur tout mon corps pour finalement s'approcher et me retirer mon tee-shirt, faire un pas en arrière et recommencer à me détailler en enlevant le sien.
Je le fixais… il me fixait.
J'ai vu sa main se lever, caresser ma joue, descendre sur mon épaule, puis ma poitrine, caressant mes tétons qui pointaient. La pâleur de ma peau contrastait vraiment avec celle de sa main, mais elle était douce, chaude, tendre.

Il s'est approché presque à me toucher, il est un peu plus grand que moi.
Ses yeux n'arrêtaient pas d'être joyeux, toujours son sourire de mec satisfait. Il se met à parler doucement en espagnol, s'arrête et reprend en anglais.
Voyant ma réaction…
-tu comprends l'anglais alors ?
-oui mais je ne savais pas que tu le parlais.
-je voulais te faire la surprise le beau français blond.
Quand il parlait j'avais son souffle sur mon visage. Je voyais ses dents blanches, sa langue bouger dans sa bouche.
-pourquoi ? tu voulais qu'on parle uniquement ?
Il rigole.
-non, mais je rigole de savoir que les autres vont croire qu'on va baiser sans échanger un mot alors que je vais pouvoir te dire tout ce que j'ai envie.
-et il a envie de quoi le chef des latinos de Cúcuta ?

Ses mains m'ont prises par les épaules, m'ont approché de lui, nos torses se touchaient, se frottaient légèrement.
Il s'est penché à mon oreille.
-Louis m'a beaucoup parlé de toi, surtout quand on était tous les deux. Il ne t'a jamais oublié, il m'a raconté tout ce que vous faisiez et qu'il était très heureux de se faire baiser par toi.
J'écoutais ce qu'il disait, je faisais bouger mon torse contre le sien et je l'avais saisi aux hanches appréciant la chaleur de ce corps, la dureté.
-alors il a piqué ma curiosité Louis… qu'est ce que tu fais de plus que moi pour contenter autant ton amant ?
Il souriait toujours mais ses yeux s'étaient plantés dans les miens.
-mais je ne délivre pas comme ça tous mes secrets! dis je en riant.
-même à moi le chef des latinos de Cúcuta comme tu dis ?
-je peux savoir pourquoi ça t'intéresse ?
Il me lâche les épaules.
-enlève ton jean et allongeons nous sur le lit, on sera mieux pour parler.

J'ai obéi, heureux de me retrouver contre ce beau latino, qui m'a pris dans ses bras, calant sa tête contre la mienne… toujours les yeux en face à face, les nez se touchaient presque comme nos bouches. Sa jambe s'est immiscée entre les miennes et sa main me caressait.
-je vais te dire le français blond… je suis le grand chef de la boite, tout m'appartient et je fais vivre tous mes mecs. On est heureux tous ensemble tu peux pas savoir. On baise tous les jours, on s'amuse. Ils sont tous à mes pieds, je connais les culs de tout le monde, jamais un mec n'a osé me baiser… n'a osé, ni même essayé.
-et tu aurais voulu ?
-oui et non… car il faut que je reste le chef macho vis à vis de mes mecs et de la clientèle qui vient pour baiser et se faire baiser.

Ma main part caresser sa joue tendrement.
-alors jamais une queue n'a visité ton beau fessier ?
-voilà ce que j'aime chez les français vous n'avez aucun tabou et vous posez les questions! dit Léonardo.
-et le latino ne répond pas dis je en riant.
-si je vais te répondre Fabrice, car lorsque je t'ai vu la première fois, j'ai reconnu le chef, le maître dans les baises et je peux te dire que mes boys ne se sont pas trompés et sont tous contents d'être passés dans ton lit et en plus avec Javier.
-eh eh! en plus ils te rendent compte ?
-bien sûr! j'aime savoir ce qui se passe dans mes murs. Mais pour revenir à ta question, bien sûr que j'ai essayé de me faire enculer mais j'ai jamais pris mon pied. Je suis surtout tombé sur des brutes qui ne cherchaient que leur plaisir.
-alors ? tu veux savoir quoi mon beau latino ?
-que tu me fasses l'amour comme tu le fais à ton amant Louis, qui semble si ravi de ça…

Il ne bougeait plus, avait fermé ses yeux, la bouche entrouverte.
J'ai appuyé mon nez contre le sien, le frottant et mes lèvres sont venues caresser les siennes. Sa jambe a bougé entre les miennes, son bassin se collant à moi me faisant sentir son gros sexe qui bandait.
On s'est fait de petits bisous du bout des lèvres tendrement, s'excitant, s'agaçant, puis les bisous sont devenus plus rapides. Je l'ai fait coucher sur le dos sans me mettre sur lui, mais pour écraser ma bouche contre la sienne et envoyer ma langue en expédition.

Ses bras m'ont serré contre lui quand nos langues ont fait connaissance. Elles semblaient timides au départ, se touchant, se caressant, s'emmêlant puis elles se sont mises à déverser leurs salives qu'on cherchait tous les deux à aspirer.
On gémissait autant tous les deux.
Quand je reprenais mon souffle je m'amusais à lui lécher le visage. Il se laissait faire et d'une main j'ai exploré son corps et y'avait de la surface. J'ai attaqué un téton, le faisant rouler entre mes doigts pour le voir ouvrir la bouche comme pour émettre un cri muet. Plus je faisais rouler son téton entre mes doigts, en le fixant plus sa bouche s'arrondissait et il a fini par émettre une longue plainte.
Alors je suis venu lui téter les tétons. Lécher en premier le téton que je venais de martyriser, sa main me caressait la joue tout le temps que je jouais avec ma langue sur son téton et j'ai attaqué l'autre, durement, le prenant entre mes dents, serrant. Il a poussé un cri mais il tendait sa poitrine. J'ai joué avec les deux tétons, le faisant gémir comme un puceau.

Je l'ai recouvert de mon corps pour venir l'embrasser, m'appesantissant sur lui pour qu'il sente bien que je n'étais pas un gringalet de français. Il me serrait contre lui et nos queues toujours empaquetées se frottaient l'une contre l'autre.
Je lui ai fait lever les bras, léché ses aisselles. Cela le faisait rire, ça le chatouillait et j'ai léché tout son torse pensant que les lèvres de mon chéri étaient déjà passées là.

Sa peau imberbe, était douce et chaude, ferme, musclée, les abdos bien dessinés, ça c'était du corps entretenu!
Sa queue toujours emprisonnée dans son petit slip rouge, semblait bien vouloir prendre la poudre d'escampette mais mes lèvres en ont fait le tour, sans le toucher pour descendre sur les grosses cuisses bronzées, imberbes, et descendre jusqu'aux pieds.
Il a été surpris de me voir jouer en fin de compte l'esclave du latino, venir lui lécher les pieds en le fixant, regardant son sexe qui bougeait dans son slip et voir la tâche s'agrandir de plus en plus.

Je lui ai tordu les pieds pour le faire mettre à plat ventre.
Putain de cul rebondi, le slip rouge ne recouvrait que la moitié des fesses.
Avec ma langue je suis remonté des pieds vers ses fesses… tirant sur le slip pour le faire entrer dans la raie et avoir les deux globes fessiers devant moi.
J'ai passé mes mains dessus, les caressant, les massant, les embrassant en les léchant. C'était dur, ferme… j'ai adoré!
Ma langue est remontée le long de la colonne vertébrale jusqu'à sa nuque, il avait des frissons. Je me suis allongé sur lui, collant mon sexe juste dans sa raie.
-alors le chef latino veut que la queue du français visite son petit cul… le pénètre, le fore, le baise et que le bon jus français soit déposé au fond ?

Il rigole doucement..
-répond chef latino! dis je en donnant un coup de reins sur ses fesses.
-oui le français, je veux que toi tu me baises.
-bien Léonardo, je vais te faire ça à la française, mais avant je veux que tu goûtes à ma queue comme moi je vais goûter à la tienne. Alors il serait peut être temps d'enlever ton mini slip.
En disant cela je tire dessus, il se retourne et le slip disparait rapidement comme le mien également.
On était assis sur le lit, face à face. Il est devenu sérieux en me touchant la poitrine, sa main descend vers mon sexe bandé.
-t'es beau! dit il en me fixant.
J'ai attiré sa tête pour l'embrasser, le faire basculer sur le lit pour qu'on se colle l'un à l'autre, les jambes emmêlées, les corps soudés, on a roulé sur le lit en s'embrassant à perdre haleine.
Nos queues étaient contentes, bien raides, bien dures, elles coulaient ensemble.

On allait d'un bord à l'autre du lit, sans se lâcher les bouches.
C'est lui qui s'est séparé de moi pour se jeter sur ma queue.
A genoux entre mes jambes écartées, je l'ai vu se saisir délicatement de ma grosse queue, la caresser, finir de la décalotter et l'observer s'approchant au plus près avant de commencer à la goûter de la pointe de la langue qui a fait le tour de mon gland, avant que les lèvres l'avalent, l'aspirent et la bouche s'est mise à descendre sur la hampe. Il m'a fait gémir Léonardo. Sa bouche chaude et humide me donnait mille sensations. Il a peiné à tout avaler, ses yeux pleuraient. Il s'y est repris en plusieurs fois et s'amusait à faire coulisser ses lèvres dessus.
Sans lâcher ma queue, il s'est allongé tête bêche le long de moi et j'ai vu arriver le monstre de Cúcuta… le vrai!

Putain de morceau… mes deux mains dessus et il en restait! je pouvais lécher facilement le gland en tenant sa hampe à deux mains et quelle hampe, mes doigts en faisaient à peine le tour. Et dire que Louis prenait ça dans son petit cul!! j'en revenais pas!
La paire de couilles reposait sur sa cuisse. Le gland n'était pas tout décalotté, la peau glissait facilement, j'ai trouvé qu'il avait énormément de peau qui laissait voir un beau gland bien dessiné. Le méat grand ouvert laissait couler la mouille, une mouille claire qui retombait dessus.

Quand il me donnait un coup de langue sur la queue, je lui en faisais autant. Il avalait, j'avalais, enfin pas tout, car j'étais vite étouffé. On gémissait tous les deux quand il s'est tourné au dessus de moi, m'enjambant pour que son cul soit juste à l'endroit qu'il fallait.
Les couilles pendaient, la queue est restée coller sur son ventre et j'avais la belle paire de fesses devant les yeux pendant que Léonardo me suçait lentement.
J'ai écarté les fesses pour voir la raie s'ouvrir, imberbe et, juste au milieu un bel anus bien fermé! les fesses bronzées juraient avec la raie plus blanche.

J'ai passé un doigt dans la raie, pour tâter l'anus. Cela me semblait bien serré quand même, y'avait de la préparation à faire.
Bouffer un beau cul est vraiment un plaisir que j'adore et ma manière de faire a dû lui plaire car il lâchait ma queue pour râler, gémir, crier.
L'anus n'a pas mis longtemps à s'ouvrir, il devait se doigter Léonardo ou utiliser un gode de la manière dont l'anus restait ouvert quand on le titillait.
La raie et l'anus brillaient de salive que j'avais déposé.
.
Quand j'ai enfoncé la première phalange du premier doigt, c'est lui qui a tendu son cul en poussant et mon doigt a été avalé facilement. Il poussait de petits cris de vierge effarouchée, c'était marrant d'entendre sa voix.
Alors j'ai ouvert encore plus avec deux doigts, le forant au plus profond que je pouvais pour bien voir qu'il s'offrait le beau latino macho.
Plus je caressais son conduit, plus il poussait de petits cris. Trois doigts sont entrés et de voir l'anus rester ouvert j'ai eu envie de baiser… de le baiser…!
Il est resté à quatre pattes, je l'ai fait se redresser contre moi..
-le beau latino est prêt à offrir son cul au français blond ?
Il rigole.
-baise moi, fais moi jouir Fabrice.

Je lui ai mordu la nuque en le repoussant. La tête dans les draps, ses mains sont venues ouvrir ses fesses, l'anus était encore ouvert. J'ai passé mon gland dans la raie, m'arrêtant juste à l'endroit qu'il fallait, lui enlevant ses mains, je l'ai pris aux hanches et j'ai forcé. Il se reculait aussi, j'ai senti son sphincter s'ouvrir, envelopper mon gros gland, j'ai donné un coup de reins et le gland est entré d'un seul coup… ce fût sa première gueulante.

J'ai voulu m'arrêter mais c'est lui qui a continué et toute ma queue est entrée en lui, bien au chaud. J'ai donné quelques coups de reins, pour bien lui montrer que tout était entré.
Je l'ai fait relever contre moi, il a gémi en collant son dos chaud sur mon torse. J'ai saisi son monstre. Je l'ai mordu dans la nuque et j'ai commencé à le branler lentement. Ma main qui le tenait par le cou était recouverte de la sienne et son autre main posée sur celle qui lui caressait son monstre.
Je bandais comme un fou, je sentais ma queue bien raide prisonnière de ce cul chaud et, quand j'ai commencé à le caresser, le branler tout doucement il s'est mis à râler et ses fesses se serraient sur ma queue comme si il était en train de la traire… putain quelle sensation.

C'est lui qui cherchait à activer ma main sur sa queue, mais j'allais à la vitesse que je voulais pour avoir les contractions de ses fesses et je lui donnais de temps à autres de petits coups de reins.
J'ai senti sa queue se raidir encore plus, il respirait par à coups.
-le latino ne va pas déjà jouir… je lui ai glissé à l'oreille.
Ses fesses se sont resserrées sur ma queue, pour mon plus grand bonheur, il essayait de reprendre ses esprits, de reprendre la main sur sa queue qui tressautait dans la mienne. Son cul s'est enfoncé encore sur ma queue, il réclamait le latino. Il réclamait d'être baisé.
J'ai lâché sa queue, le repoussant brusquement en avant et, rapidement je fais coulisser ma queue dans son cul profond.
Je le vois poser sa joue sur les draps, s'offrir pour que ma queue coulisse le mieux possible et je l'ai baisé à grands coups de reins, ça claquait sur ses belles fesses. J'ai pensé dans un sourire que je vengeais mon Louis consentant.

Et, je l'ai fait changer de position, sur le côté, sur le dos, retour à quatre pattes… ça claquait toujours autant.
Je suis descendu du lit pour qu'il soit juste au bord, sur le dos. Je m'appuyais sur ses belles cuisses bien écartées et ma queue faisait de longs va-et-vient. Il râlait, grognait son plaisir, car je voyais bien qu'il y prenait du plaisir mais j'avais envie de jouir, cela avait failli arriver plusieurs fois.
Je voyais son monstre étalé sur son ventre couler en permanence.
Je voulais jouir en le regardant, le fixant.

Penché au dessus de lui il m'a vu me rapprocher, ma queue donnait de petits allers retours brefs et mon ventre écrasait son monstre, le massant en même temps.
J'appuyais le plus possible sur ses jambes et, yeux dans les yeux, je fais voyager ma queue.
-tu le veux le jus français le beau latino ?
Il ne pouvait pas répondre, la bouche ouverte, son visage était tendu. Son sphincter me serrait bien quand j'ai envoyé ma première giclée. Je ne sais pas jusqu'où elle est remontée mais j'ai gueulé et lui a fait l'écho et les giclées se sont succédées. Je n'arrêtais pas pour finir par m'effondrer entre ses bras pour sentir sa queue jouir et lui gueuler encore et encore. Il en a mis partout le latino. Il criait en me serrant contre lui, je sentais son jus chaud couler entre nos corps.

Quand tout fut terminé j'avais la tête sur sa poitrine. J'entendais son cœur battre à la folie, ses jambes se sont rallongées et ma queue est sortie de son antre.
-embrasse moi Fabrice.
Quel plaisir d'embrasser ce beau mec, de sentir sa main caresser mon visage. Il me regardait comme un amoureux heureux… j'étais ravi de ce moment.

On est resté un long moment comme ça, sans rien dire à s'embrasser tendrement, doucement. Je sentais ses mains passer sur mon corps, ses soupirs, ses regards, ses bisous. Il avait tout pour qu'on tombe amoureux de lui et je comprenais Louis tout à fait…!
-on va prendre une douche ? dit il en m'entraînant dans la salle de bains.
Il ne disait plus rien, il m'a lavé sous l'eau tiède qui coulait, me caressant, m'embrassant, je lui en faisais autant.
Il m'a enveloppé dans une grande serviette me serrant contre lui.
-j'ai envie que tu goûtes à mon jus Fabrice.
-parce que tu croyais que j'allais partir maintenant ?
Il rigole.
-j'ai pensé que maintenant que tu m'avais baisé.
-mais Léonardo, un beau mec comme toi, ça se déguste pas en cinq minutes. Sûr que j'ai envie encore de toi, de goûter ton jus comme tu dis.
-alors tu restes jusqu'à demain ? comme avec les autres ?
-bien sûr Léonardo.
Il m'a ramené dans son lit.

Nous avons passé une magnifique nuit à jouir. On a dormi quand même un peu mais en fait Léonardo est un tendre. Il aime le sexe, il aime baiser un cul, il veut montrer qu'il est le chef mais, quand il veut être ce qu'il est vraiment, un mec normal qui aime la bite, qui est amoureux, qui est doux, tendre plein de gestes attentifs avec son partenaire.
Il a joui au moins trois fois dans ma bouche. Il m'a bouffé le cul comme j'aime! quelle langue, quelle tendresse. Il m'a doigté pour me dire… "il faudrait beaucoup de crème pour que ma queue puisse peut être entrer!" mais il n'a jamais cherché à me le faire pourtant ses doigts sont allés bien profonds.

Lorsque je me suis réveillé et que j'ai regardé ce beau latino endormi, j'ai pensé que c'était vraiment un plaisir de le voir au réveil nu sur le lit. Son monstre bandait encore. Sa queue reposait sur ventre qui montait et descendait au rythme de sa respiration. Je l'ai observé, ce monstre marron foncé au gland tout recouvert bandait prêt à être pris en main.
Je n'ai pu m'empêcher de passer ma main au dessus épousant la forme sans la toucher et c'était pas l'envie qui me manquait.

Je n'avais pas vu qu'il avait ouvert les yeux et me regardait.
-tu peux toucher elle adore les caresses dès le le réveil.
J'ai touché sa queue en même temps que je l'ai embrassé tendrement comme je pouvais faire le matin avec Louis au réveil.
Il m'a soulevé la tête.
-merci pour cette nuit magnifique avec toi le français! j'espère que tu as eu autant de plaisir que moi j'en ai eu car je crois que je ne vous oublierais jamais toi et Louis… si jamais vous revenez.
-et toi ? t'as pas envie de venir à Paris ? tu sais on peut te recevoir, te loger, te nourrir et te faire passer un merveilleux séjour, tu n'auras que le voyage à te payer.
-oh mais alors t'as vraiment envie de me revoir Fabrice ?
-bien sûr Léonardo, les très beaux latinos ça courent pas les rues à Paris tu sais et je pense que Louis sera également ravi si tu viens.

On a encore papoté longuement comme des amants heureux pour se faire charrier quand nous sommes descendus. Ils nous attendaient tous dans la cour autour d'un espèce de barbecue.
-Pour des mecs qui se comprennent pas a dit Diego en français vous avez vraiment été longs. Il a traduit à Léonardo qui a bien rigolé.
Léonardo s'est mis à parler en espagnol, un silence s'est fait durant trente secondes avant qu'ils n'éclatent tous de rire.
Diego m'a traduit.
-il a dit que tu étais un garçon charmant qui t'avait fait passer une très bonne nuit et qu'il n'y avait pas besoin de parler avec toi, compte tenu que vos bites ont su faire la conversation..

J'ai vu sur le visage de Léonardo qu'il était heureux.

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