Les monstres de Cúcuta 9/12
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les monstres de Cúcuta 9/12
J'ai vu Louis tout souriant arriver, s'asseoir face à moi sur mes genoux, m'entourer de ses bras et venir me faire un câlin sous les bravos de l'assemblée et les rires. J'entendais leurs paroles.
-ils disent quoi ? j'ai demandé à Louis.
-c'est la jalousie qui les fait parler, ils disent que je vais vérifier que tu es toujours entier.
Je rigole.
-comme tu peux le voir mon chéri, il ne me manque rien!
-ton petit cul va bien ?
-ben oui! pourquoi tu demandes ça ?
-pourquoi? ben parce que je m'inquiète pour toi tiens! mais je vois que t'as toujours tes yeux de vicieux coquin.
Je le serre contre moi et il parle tout bas à mon oreille.
-toi tu t'es pas fait baiser hein ?
-je te raconterais quand on sera que tous les deux.
Il me prend le visage entre les mains.
-alors j'avais raison ?
Il me roule un patin comme seul, il sait me le faire et j'entends les applaudissements autour et les rires.
-tu changeras jamais mon amour! dit Louis en m'embrassant encore.
-on mange, on va se baigner, s'amuser le long du rio dit Javier en français.
Louis sort de mes genoux et on mange tous de bon appétit.
J'aime cette ambiance, maintenant je les connais tous, je connais tous les petits culs de cette belle assemblée. Ils viennent tous chacun leur tour, me faire une bise, un câlin, une caresse, toujours le sourire.
Seul Léonardo, le chef, reste un peu éloigné de moi. C'est moi qui me rapproche de lui et, pour convaincre l'honorable assemblée, je le prends dans mes bras, me collant à lui, je lui fais un bisou sous le menton, ses lèvres cherchent les miennes et je retrouve sa bonne langue. On gémit tous les deux. On se regarde, nos yeux sont doux. Je me frotte contre son corps, comme si j'en réclamais encore plus.
Et les réflexions arrivent en riant.
-ah il en veut encore du chef, il y revient tout seul!
Tout le monde rigole et je vois que Léonardo est content de la situation. Il fait signe à Louis de s'approcher et le prend sous son bras.
-vous avez ici les deux meilleurs français qui existent! dit un Léonardo souriant.
On l'embrasse tous les deux, comme pour le remercier de tout ce qu'il a fait.
L'après midi est vite passée, quelle partie de rigolade, nus dans le rio.
Une belle partouze à ciel ouvert, sous le soleil où à l'ombre des arbres se roulant dans l'herbe, j'ai eu droit à trois culs différents et plusieurs bouches se sont penchées sur ma queue et mon cul.
Diego nous a annoncé que ce soir je dormais avec Louis car demain ils nous faisaient une surprise, compte tenu que l'on repartait dans trois jours.
Ce n'était pas de refus de se reposer un peu tous les deux.
Diego nous a demandé si on pouvait le ramener à Bogota, car il avait déjà loupé des cours pour rester avec nous et qu'il aimerait bien nous faire visiter la capitale avant notre départ. Lui allait retrouver son chéri numéro 1 ce soir le beau Victor.
Quel plaisir de passer encore une bonne soirée avec tous ces beaux mecs, de se sentir intégrer complètement.
Cela nous a fait un peu bizarre de se retrouver tous les deux, de nous retrouver nus tous les deux ensemble.
On a parlé longuement dans les bras l'un de l'autre. Louis m'a raconté tout ce qu'il avait fait avec tous les latinos et le plaisir qu'il avait pris à chaque fois qu'il ne s'était jamais senti pris comme une pute mais comme eux, comme un mec qui aime la baise entre mecs!
Il a voulu savoir dans le détail ce que j'avais fait avec son chouchou Léonardo.
Je l'ai fait mariner un peu.
-je vais finir par être jaloux tu es vraiment amoureux de ce mec mon chéri!
-bien sûr! mais c'est avec toi que je rentre bébé! et il rigole et toi ? t'as essayé tous les latinos du coin!
J'ai fini par raconter ce que Léonardo m'avait dit qu'il voulait vraiment que je le baise.
-rho dit Louis, alors si tu restes ici tu deviens le très grand chef des latinos! dit il dans un éclat de rire. T'as vraiment un grand pouvoir de soumettre tous ces latinos! mais alors! ton beau petit cul n'a reçu aucune visite durant le séjour.
-ben tu veux jamais mon voyou préféré!
-c'est vrai, j'aime tellement quand c'est toi qui est en moi. Tu sais que je t'aime mais en fait c'est ta queue que je préfère.
-je sais tu me l'as déjà dit que j'étais ta bite sur pattes.
-si un jour tu me quittes, je garderais ta bite!
On a pas baisé ce soir là, mais on s'est fait jouir deux fois. Deux plaisirs différents avant de sombrer dans le sommeil, enlacés.
Je me suis réveillé le premier pour regarder Louis dormir son visage près du mien que j'ai caressé, passant mes doigts partout, lentement, tendrement.
Ma main est descendue dans son dos, jusqu'à ses belles fesses rebondies pour venir toucher son sexe bien raide… ah la bandaison du matin!
Il a commencé à bouger sans ouvrir les yeux, se mettre sur le dos, bouger ses jambes.
Je tenais sa queue raide. J'ai fait des bisous sur ses tétons, descendant vers ce gland qui m'attendait. D'une main j'ai décalotté le beau gland qui brillait. Le méat s'est ouvert et j'ai vu se former une perle de mouille qui peinait à sortir. J'ai serré la queue dans ma main, cette bonne queue dure à la peau douce et chaude, j'ai approché mes lèvres fixant la perle qui grossissait à l'entrée et quand elle fût prête de couler, je l'ai capturé avec ma langue attendant la suivante qui n'a pas mis longtemps à se manifester. Un jeu qui devait plaire à Louis car j'ai senti sa main se poser sur ma tête et me caresser les cheveux.
Cela faisait trois ou quatre gouttes de mouille que je récupérais quand j'ai entouré le gland de mes lèvres pour le caresser de ma langue, l'aspirer, le sucer, le téter et entendre mon chéri gémir en tirant sur ses jambes, les ouvrant.
J'ai lâché sa hampe pour attraper les grosses couilles jalouses et avaler toute sa queue chaude me l'enfonçant au fond de la gorge, me faisant pleurer, rien que pour l'entendre gémir encore plus fort en emmêlant ses doigts dans mes cheveux.
Je l'ai pipé en serrant bien mes lèvres sur sa queue, caressant ses grosses couilles. Il geignait, gémissait. Sa queue durcissait dans ma bouche. J'ai senti que le gland durcissait encore en même temps que ses couilles qui gonflaient dans ma main.
Il a crié juste avant que je reçoive sa bonne liqueur du matin et il était intarissable. Les giclées fortes se suivaient et coulaient en moi. Je ne voulais pas en perdre une goutte.
Quand la source s'est tarie, j'ai rendu une queue propre et nette pour l'entendre dire.
-maintenant viole moi, encule moi bien fort! sans préparer mon cul.
Je l'ai regardé en me soulevant, il en a profité pour relever ses jambes sur son torse.
-viens en moi tout de suite bébé! baise moi! j'ai envie de ta queue!
Faut dire que ma queue était en forme et commençait à bien couler quand elle a vu ce beau cul qu'elle connaissait bien, s'ouvrir pour elle.
J'ai posé mon gland sur son entrée, pas encore totalement décalotté. Je me suis appuyé sur ses cuisses, appuyant fortement pour les ouvrir encore plus.
Je me suis redressé sur la pointe des pieds. Mon gland forçait déjà le sphincter qui s'ouvrait tout seul et je n'ai donné qu'un coup de reins. Le gland est passé rapidement et Louis a hurlé… "continue".
Je me suis enfoncé en lui d'une seule poussée et je me suis mis à le besogner tel un sauvage l'enculant bien à fond, sèchement comme il le demandait.
Il n'a pas fermé les yeux, n'arrêtant pas de me fixer.
Ma queue retrouvait un endroit connu, chaud et humide. Sa manière de la serrer, de l'avaler si bien que j'ai pas tardé à jouir abondamment dans mon cul préféré avant de tomber dans les bras qui m'attendaient et que ses jambes se refermaient sur mon dos, m'emprisonnant en lui.
-t'es bien le meilleur mon amour! dit il en m'embrassant.
J'ai senti son jus sur son ventre. Il avait joui une nouvelle fois!
Je suis resté en lui un long moment il n'arrêtait pas de me dire des bêtises.
-ah si on pouvait vivre dans cette position!
Quand j'ai réussi à sortir de lui c'est pour le voir se précipiter sur ma queue, la lécher, la branler et, arriver à me faire jouir une nouvelle fois et revenir m'embrasser en me disant qu'il était le plus heureux des hommes!
On a retrouvé nos latinos à l'heure dite. On avait suivi les recommandations on avait mis nos chapeaux de brousse. On faisait très aventuriers.
Ils avaient tous également le même genre de chapeaux. On était tous magnifiques. Diego, Javier et Victor sont montés avec nous. Léonardo au volant d'un autre gros 4X4 emmène Alexandro, Enrique et Emilio.
Et nous voilà parti dans la jungle, d'abord la route, puis la route très abîmée, puis le chemin qui rétrécissait de plus en plus qu'on avançait. Les branches venant caresser les voitures.
On s'est arrêté plusieurs fois à différents endroits, pour nous faire admirer les paysages, la faune… putain de gros serpents et différentes autres bestioles. On voyait qu'ils étaient fiers de leur pays, de leur région et chacun nous expliquait en détails tout ce qu'on voulait savoir. Cela n'empêchait pas les caresses et les bisous.
Quand on a bifurqué dans un autre petit chemin la végétation nous passait au dessus tellement dense qu'on avait l'impression qu'il faisait déjà nuit pour arriver dans une énorme clairière où trônait une grande maison au centre.
On avait mis deux heures pour arriver là et on avait pas fait 30 kilomètres!!
On a visité. On nous a expliqué que c'était la maison du vice de Léonardo le chef des latinos et qu'il amenait ici toutes ses victimes consentantes pour des partouzes endiablées.
Je voyais le sourire coquin de Léonardo qui écoutait ce que l'on disait et Diego qui lui, traduisait.
Puis il est venu vers moi, m'a pris dans ses bras et, devant tous les regards médusés m'a pris dans ses bras pour m'embrasser tendrement, m'a pris par l'épaule, a regardé tout le monde et s'est mis à parler en anglais devant 7 bouches ouvertes.
-comme Fabrice, je parle anglais, alors même si nos queues se sont bien entendues nous avons pu aussi bien discuter tous les deux et, ce que nous avons fait ensemble, nous l'avons fait parce qu'on en avait envie. Je sais, car vous me l'avez tous raconté qu'il a visité tous vos petits culs alors j'ai voulu savoir pourquoi ? et maintenant je sais et je vous comprends tous! mais la discussion est close.
Tous avaient le visage sérieux et aucun ne semblait vouloir rire. Ils opinaient de la tête en nous regardant sans rien dire, même Louis était scotché, mais je voyais dans son regard que lui, avait bien envie de rire de la situation.
-si j'ai voulu qu'on passe un moment tous ensemble réunis c'est parce que nos français vont nous quitter demain alors je veux qu'ils se souviennent pour toujours de la nuit qu'on va passer ici. Je compte sur vous mes boys et vous pouvez compter sur moi mais tout ce qui va se passer ici restera un secret!
Ils sont tous venus embrasser leur chef, le caressant, lui parlant quelques mots, il souriait, opinait de la tête.
Javier nous a fait visiter la demeure dans laquelle il était déjà venu pour des partouzes mémorables dit il.
L'électricité était fournie par un groupe électrogène. L'eau récupérée dans des grands bidons (car quand il pleuvait! ça tombait!) et un système permettait de prendre une douche rapide!
Tout était prévu pour manger ensemble. Plusieurs se sont mis en cuisine, une vraie colonie de vacances.
C'était agencé de manière qu'il y ait une très grande pièce au centre de la maison avec des espèces de divans et de grandes couvertures, coussins où l'on pouvait se vautrer.
Et les couples ont commencé à se former.
Javier avait profité que j'essaie les coussins pour venir se frotter contre moi et me faire des bisous.
-tu peux me ramener à Bogota demain ?
-oui mais on s'arrête en route, on dort à Bucaramanga demain soir et on repart le lendemain et Diego est avec nous aussi dis je.
-ça te dérange alors ?
-non pas du tout, je te dis le programme Javier mais je serai très heureux que tu sois avec nous tu sais.
J'ai eu droit à un gros baiser et plein de sourires.
Puis ce fût l'heure de manger, de boire, de s'amuser et d'écouter tous les bruits de la jungle, de la brousse. Ils riaient à nous voir sursauter aux différents cris que l'on entendait.
-se sont les animaux qui vont sursauter tout à l'heure quand ils vont vous entendre gueuler en prenant une queue dans vos petits cul! a dit un Léonardo tout sourire.
Quand Emilio a baissé les lumières, que les latinos ont commencé à se déshabiller pour apparaitre dans leurs tenues habituelles. Un petit slip bien rempli, ils sont venus nous demander à Louis, Javier, Diego et moi de s'installer et de regarder le spectacle qu'ils allaient donner pour nous.
La musique s'est mis en route… le spectacle a commencé!
-ils disent quoi ? j'ai demandé à Louis.
-c'est la jalousie qui les fait parler, ils disent que je vais vérifier que tu es toujours entier.
Je rigole.
-comme tu peux le voir mon chéri, il ne me manque rien!
-ton petit cul va bien ?
-ben oui! pourquoi tu demandes ça ?
-pourquoi? ben parce que je m'inquiète pour toi tiens! mais je vois que t'as toujours tes yeux de vicieux coquin.
Je le serre contre moi et il parle tout bas à mon oreille.
-toi tu t'es pas fait baiser hein ?
-je te raconterais quand on sera que tous les deux.
Il me prend le visage entre les mains.
-alors j'avais raison ?
Il me roule un patin comme seul, il sait me le faire et j'entends les applaudissements autour et les rires.
-tu changeras jamais mon amour! dit Louis en m'embrassant encore.
-on mange, on va se baigner, s'amuser le long du rio dit Javier en français.
Louis sort de mes genoux et on mange tous de bon appétit.
J'aime cette ambiance, maintenant je les connais tous, je connais tous les petits culs de cette belle assemblée. Ils viennent tous chacun leur tour, me faire une bise, un câlin, une caresse, toujours le sourire.
Seul Léonardo, le chef, reste un peu éloigné de moi. C'est moi qui me rapproche de lui et, pour convaincre l'honorable assemblée, je le prends dans mes bras, me collant à lui, je lui fais un bisou sous le menton, ses lèvres cherchent les miennes et je retrouve sa bonne langue. On gémit tous les deux. On se regarde, nos yeux sont doux. Je me frotte contre son corps, comme si j'en réclamais encore plus.
Et les réflexions arrivent en riant.
-ah il en veut encore du chef, il y revient tout seul!
Tout le monde rigole et je vois que Léonardo est content de la situation. Il fait signe à Louis de s'approcher et le prend sous son bras.
-vous avez ici les deux meilleurs français qui existent! dit un Léonardo souriant.
On l'embrasse tous les deux, comme pour le remercier de tout ce qu'il a fait.
L'après midi est vite passée, quelle partie de rigolade, nus dans le rio.
Une belle partouze à ciel ouvert, sous le soleil où à l'ombre des arbres se roulant dans l'herbe, j'ai eu droit à trois culs différents et plusieurs bouches se sont penchées sur ma queue et mon cul.
Diego nous a annoncé que ce soir je dormais avec Louis car demain ils nous faisaient une surprise, compte tenu que l'on repartait dans trois jours.
Ce n'était pas de refus de se reposer un peu tous les deux.
Diego nous a demandé si on pouvait le ramener à Bogota, car il avait déjà loupé des cours pour rester avec nous et qu'il aimerait bien nous faire visiter la capitale avant notre départ. Lui allait retrouver son chéri numéro 1 ce soir le beau Victor.
Quel plaisir de passer encore une bonne soirée avec tous ces beaux mecs, de se sentir intégrer complètement.
Cela nous a fait un peu bizarre de se retrouver tous les deux, de nous retrouver nus tous les deux ensemble.
On a parlé longuement dans les bras l'un de l'autre. Louis m'a raconté tout ce qu'il avait fait avec tous les latinos et le plaisir qu'il avait pris à chaque fois qu'il ne s'était jamais senti pris comme une pute mais comme eux, comme un mec qui aime la baise entre mecs!
Il a voulu savoir dans le détail ce que j'avais fait avec son chouchou Léonardo.
Je l'ai fait mariner un peu.
-je vais finir par être jaloux tu es vraiment amoureux de ce mec mon chéri!
-bien sûr! mais c'est avec toi que je rentre bébé! et il rigole et toi ? t'as essayé tous les latinos du coin!
J'ai fini par raconter ce que Léonardo m'avait dit qu'il voulait vraiment que je le baise.
-rho dit Louis, alors si tu restes ici tu deviens le très grand chef des latinos! dit il dans un éclat de rire. T'as vraiment un grand pouvoir de soumettre tous ces latinos! mais alors! ton beau petit cul n'a reçu aucune visite durant le séjour.
-ben tu veux jamais mon voyou préféré!
-c'est vrai, j'aime tellement quand c'est toi qui est en moi. Tu sais que je t'aime mais en fait c'est ta queue que je préfère.
-je sais tu me l'as déjà dit que j'étais ta bite sur pattes.
-si un jour tu me quittes, je garderais ta bite!
On a pas baisé ce soir là, mais on s'est fait jouir deux fois. Deux plaisirs différents avant de sombrer dans le sommeil, enlacés.
Je me suis réveillé le premier pour regarder Louis dormir son visage près du mien que j'ai caressé, passant mes doigts partout, lentement, tendrement.
Ma main est descendue dans son dos, jusqu'à ses belles fesses rebondies pour venir toucher son sexe bien raide… ah la bandaison du matin!
Il a commencé à bouger sans ouvrir les yeux, se mettre sur le dos, bouger ses jambes.
Je tenais sa queue raide. J'ai fait des bisous sur ses tétons, descendant vers ce gland qui m'attendait. D'une main j'ai décalotté le beau gland qui brillait. Le méat s'est ouvert et j'ai vu se former une perle de mouille qui peinait à sortir. J'ai serré la queue dans ma main, cette bonne queue dure à la peau douce et chaude, j'ai approché mes lèvres fixant la perle qui grossissait à l'entrée et quand elle fût prête de couler, je l'ai capturé avec ma langue attendant la suivante qui n'a pas mis longtemps à se manifester. Un jeu qui devait plaire à Louis car j'ai senti sa main se poser sur ma tête et me caresser les cheveux.
Cela faisait trois ou quatre gouttes de mouille que je récupérais quand j'ai entouré le gland de mes lèvres pour le caresser de ma langue, l'aspirer, le sucer, le téter et entendre mon chéri gémir en tirant sur ses jambes, les ouvrant.
J'ai lâché sa hampe pour attraper les grosses couilles jalouses et avaler toute sa queue chaude me l'enfonçant au fond de la gorge, me faisant pleurer, rien que pour l'entendre gémir encore plus fort en emmêlant ses doigts dans mes cheveux.
Je l'ai pipé en serrant bien mes lèvres sur sa queue, caressant ses grosses couilles. Il geignait, gémissait. Sa queue durcissait dans ma bouche. J'ai senti que le gland durcissait encore en même temps que ses couilles qui gonflaient dans ma main.
Il a crié juste avant que je reçoive sa bonne liqueur du matin et il était intarissable. Les giclées fortes se suivaient et coulaient en moi. Je ne voulais pas en perdre une goutte.
Quand la source s'est tarie, j'ai rendu une queue propre et nette pour l'entendre dire.
-maintenant viole moi, encule moi bien fort! sans préparer mon cul.
Je l'ai regardé en me soulevant, il en a profité pour relever ses jambes sur son torse.
-viens en moi tout de suite bébé! baise moi! j'ai envie de ta queue!
Faut dire que ma queue était en forme et commençait à bien couler quand elle a vu ce beau cul qu'elle connaissait bien, s'ouvrir pour elle.
J'ai posé mon gland sur son entrée, pas encore totalement décalotté. Je me suis appuyé sur ses cuisses, appuyant fortement pour les ouvrir encore plus.
Je me suis redressé sur la pointe des pieds. Mon gland forçait déjà le sphincter qui s'ouvrait tout seul et je n'ai donné qu'un coup de reins. Le gland est passé rapidement et Louis a hurlé… "continue".
Je me suis enfoncé en lui d'une seule poussée et je me suis mis à le besogner tel un sauvage l'enculant bien à fond, sèchement comme il le demandait.
Il n'a pas fermé les yeux, n'arrêtant pas de me fixer.
Ma queue retrouvait un endroit connu, chaud et humide. Sa manière de la serrer, de l'avaler si bien que j'ai pas tardé à jouir abondamment dans mon cul préféré avant de tomber dans les bras qui m'attendaient et que ses jambes se refermaient sur mon dos, m'emprisonnant en lui.
-t'es bien le meilleur mon amour! dit il en m'embrassant.
J'ai senti son jus sur son ventre. Il avait joui une nouvelle fois!
Je suis resté en lui un long moment il n'arrêtait pas de me dire des bêtises.
-ah si on pouvait vivre dans cette position!
Quand j'ai réussi à sortir de lui c'est pour le voir se précipiter sur ma queue, la lécher, la branler et, arriver à me faire jouir une nouvelle fois et revenir m'embrasser en me disant qu'il était le plus heureux des hommes!
On a retrouvé nos latinos à l'heure dite. On avait suivi les recommandations on avait mis nos chapeaux de brousse. On faisait très aventuriers.
Ils avaient tous également le même genre de chapeaux. On était tous magnifiques. Diego, Javier et Victor sont montés avec nous. Léonardo au volant d'un autre gros 4X4 emmène Alexandro, Enrique et Emilio.
Et nous voilà parti dans la jungle, d'abord la route, puis la route très abîmée, puis le chemin qui rétrécissait de plus en plus qu'on avançait. Les branches venant caresser les voitures.
On s'est arrêté plusieurs fois à différents endroits, pour nous faire admirer les paysages, la faune… putain de gros serpents et différentes autres bestioles. On voyait qu'ils étaient fiers de leur pays, de leur région et chacun nous expliquait en détails tout ce qu'on voulait savoir. Cela n'empêchait pas les caresses et les bisous.
Quand on a bifurqué dans un autre petit chemin la végétation nous passait au dessus tellement dense qu'on avait l'impression qu'il faisait déjà nuit pour arriver dans une énorme clairière où trônait une grande maison au centre.
On avait mis deux heures pour arriver là et on avait pas fait 30 kilomètres!!
On a visité. On nous a expliqué que c'était la maison du vice de Léonardo le chef des latinos et qu'il amenait ici toutes ses victimes consentantes pour des partouzes endiablées.
Je voyais le sourire coquin de Léonardo qui écoutait ce que l'on disait et Diego qui lui, traduisait.
Puis il est venu vers moi, m'a pris dans ses bras et, devant tous les regards médusés m'a pris dans ses bras pour m'embrasser tendrement, m'a pris par l'épaule, a regardé tout le monde et s'est mis à parler en anglais devant 7 bouches ouvertes.
-comme Fabrice, je parle anglais, alors même si nos queues se sont bien entendues nous avons pu aussi bien discuter tous les deux et, ce que nous avons fait ensemble, nous l'avons fait parce qu'on en avait envie. Je sais, car vous me l'avez tous raconté qu'il a visité tous vos petits culs alors j'ai voulu savoir pourquoi ? et maintenant je sais et je vous comprends tous! mais la discussion est close.
Tous avaient le visage sérieux et aucun ne semblait vouloir rire. Ils opinaient de la tête en nous regardant sans rien dire, même Louis était scotché, mais je voyais dans son regard que lui, avait bien envie de rire de la situation.
-si j'ai voulu qu'on passe un moment tous ensemble réunis c'est parce que nos français vont nous quitter demain alors je veux qu'ils se souviennent pour toujours de la nuit qu'on va passer ici. Je compte sur vous mes boys et vous pouvez compter sur moi mais tout ce qui va se passer ici restera un secret!
Ils sont tous venus embrasser leur chef, le caressant, lui parlant quelques mots, il souriait, opinait de la tête.
Javier nous a fait visiter la demeure dans laquelle il était déjà venu pour des partouzes mémorables dit il.
L'électricité était fournie par un groupe électrogène. L'eau récupérée dans des grands bidons (car quand il pleuvait! ça tombait!) et un système permettait de prendre une douche rapide!
Tout était prévu pour manger ensemble. Plusieurs se sont mis en cuisine, une vraie colonie de vacances.
C'était agencé de manière qu'il y ait une très grande pièce au centre de la maison avec des espèces de divans et de grandes couvertures, coussins où l'on pouvait se vautrer.
Et les couples ont commencé à se former.
Javier avait profité que j'essaie les coussins pour venir se frotter contre moi et me faire des bisous.
-tu peux me ramener à Bogota demain ?
-oui mais on s'arrête en route, on dort à Bucaramanga demain soir et on repart le lendemain et Diego est avec nous aussi dis je.
-ça te dérange alors ?
-non pas du tout, je te dis le programme Javier mais je serai très heureux que tu sois avec nous tu sais.
J'ai eu droit à un gros baiser et plein de sourires.
Puis ce fût l'heure de manger, de boire, de s'amuser et d'écouter tous les bruits de la jungle, de la brousse. Ils riaient à nous voir sursauter aux différents cris que l'on entendait.
-se sont les animaux qui vont sursauter tout à l'heure quand ils vont vous entendre gueuler en prenant une queue dans vos petits cul! a dit un Léonardo tout sourire.
Quand Emilio a baissé les lumières, que les latinos ont commencé à se déshabiller pour apparaitre dans leurs tenues habituelles. Un petit slip bien rempli, ils sont venus nous demander à Louis, Javier, Diego et moi de s'installer et de regarder le spectacle qu'ils allaient donner pour nous.
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