Les muscles en esclavage (Partie 3)
Récit érotique écrit par Luca Flores [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les muscles en esclavage (Partie 3)
*L'histoire suivante relate des faits fictifs, traitant de préférences sexuelles extrêmes, impliquant notamment la domination, l'humiliation, la pratique de la chasteté forcée, et des pratiques BDSM violentes. Elle ne convient pas à un public non averti*
Cela faisait près de trois jours que Nathan n'avait pas revu Victor. Entièrement nu, avec pour seul vêtement une étroite cage de chasteté dont le métal froid pressait sur sa grosse queue au repos, il grelottait dans cette cave sombre en attendant que son nouveau maître ne s'occupe de lui.
Laissé seul à ses pensées, il ne pouvait ne pas penser aux choses excitantes que le bel homme musclé lui avait promises. L'excitation faisait régulièrement palpiter son sexe, mais le métal lui rappelait qu'il n'était plus autorisé à bander.
Ces élans d'excitation frustrée finissaient par peser sur le jeune homme. Lui qui était jusqu'alors si actif sexuellement, le voilà privé de tout plaisir. Et l'ennui n'aidait pas...
L'absence d'attention de son maître commençait aussi à le décourager. Nathan se lassait. Peut-être n'était-il pas prêt à cela finalement...?
**
Cinq jours encore s'écoulèrent. Nathan n'en pouvait plus. Mourant d'ennui, il commençait à se demander si son maître reviendrait un jour. Sa présence était certes sous-entendue lorsqu'il lui glissait par une petite ouverture un plateau repas généralement correct, deux fois par jour - généralement de la viande et des légumes, parfaitement cuisinés - mais aucune vraie interaction n'avait eu lieu depuis la pipe magistrale qu'il avait taillée à son dieu.
La pression dans ses couilles, remplies à exploser, devenait douloureuse, et l'excitation que lui procurait sa servitude ne faiblissait pas. La moindre pensée pour Victor provoquait un début d'érection violemment stoppée par la cage de chasteté.
Nathan avait pris l'habitude ces derniers jours de s'allonger sur une petite couverture et de se caresser afin de satisfaire, du moins momentanément et faiblement, un brin d'excitation. Mais son sexe maintenu mou et l'impossibilité de jouir virait à la torture.
**
Près d'un mois après sa rencontre avec Victor, l'état de Nathan s'était considérablement dégradé.
Bien sûr son corps était toujours aussi beau et musclé. Il faut dire qu'entre l'alimentation très saine et l'ennui qui le poussait à faire de l'exercice à outrance pour s'occuper, son corps frôlait désormait la perfection, même s'il sentait que le manque de charges causait la fonte légère de ses muscles surdéveloppés.
Son moral, en revanche, était au plus bas. Enfermé, sans lumière, et sans interactions sociales, Nathan était fragile.
Mais le pire, pour lui, était sa frustration sexuelle. Après un mois sans même pouvoir bander, Nathan se sentait inutile et sa virilité était blessée. Depuis près de deux semaines, maintenant, ses attouchements s'était mués en des doigtages plus ou moins vifs de son cul. Mais aucunes de ces pénétrations n'avaient atteint l'orgasme tant désiré.
**
Un jour, le moral de Nathan lâcha. Il fallait qu'il sorte de cette situation. Il était incapable de dire depuis combien de temps il était enfermé. Plus d'un mois c'était sûr. Mais combien?
Il entendit les pas habituels dans l'escalier. Victor lui apportait son repas.
Désespéré, les larmes aux yeux, Nathan se précipita vers la porte. A peine Victor avait-il ouvert la trappe pour y glisser le plateau que déjà Nathan hurla :"Maître, s'il vous plaît ! Je n'en peux plus. Laissez-moi sortir de là !"
Victor sembla s'immobiliser un instant.
"Maître s'il vous plaît !" sanglota Nathan.
La vision qu'il donnait devait être pitoyable. Cette montagne de muscles, nue, prostrée près de la porte, en sanglots, déshumanisée, perdant toute dignité pour que son maître la laisse sortir.
Mais la réaction de Victor lui apparut comme un poignard en plein coeur : Victor se contenta de fermer la trappe et de remonter l'escalier. Sans dire un mot.
Nathan, sentit la dernière lueur d'espoir le quitter. Il s'effondra en larmes sur le sol.
**
Ce soir-là il ne toucha pas à son plateau. Il venait de comprendre ce qui se passait.
Victor ne voulait plus lui permettre le moindre rapport humain.....pour en faire sa chose. Et cela fonctionnait. Le désespoir était tel que Nathan finissait par oublier ce qu'être humain voulait dire.
D'ailleurs depuis quelques jours ses propres pensées le surprenaient. Il avait abandonné toute idée de jouissance. Sa queue, jusque là épaisse et frétillante se faisait oublier dans sa cage. Ses envies de luxure se faisaient plus rares. Ses doigtages étaient les seuls gestes qui procuraient un peu de plaisir, lui rappelant sa situation de sous-merde dont la chatte était la seule source de plaisir.
A attendre Victor désespérément, il en venait à fixer la porte des heures, espérant voir son maître, tel une chienne docile.
Son nom même, Nathan, n'avait plus de sens. Car il ne se sentait plus humain. Son corps ne l'impressionnait plus car il n'était plus admiré par personne. Il savait que tout dépendait de Victor, et cette seule pensée lui rappelait qu'il était sa Chose.
**
Un jour, enfin, ce qu'il attendait arriva.
Il s'était encore écoulé plusieurs semaines, depuis sa crise de larmes, lorsque soudain, la lumière rouge sur le mur s'alluma. Il le savait c'était le signal que Victor allait le rejoindre.
Chienne sage et obéissante, la Chose s'installa comme convenu à quatre pattes, dos cambré, chatte bien ouverte, face à la porte.
Celle-ci s'ouvrit. La Chose ne la voyait pas mais elle entendait les pas de son maître, lourde bête de muscles, s'approcher d'elle.
Victor fit le tour de sa Chose, le sourire aux lèvres. Il portait deux chaises à la main. Sa musculature impressionnante semblait s'être encore développée depuis la dernière fois.
Il posa les deux chaises face à face, s'assit sur l'une d'elles et dit simplement :"Viens t'asseoir, nous allons parler."
La Chose s'exécuta.
Victor commença :"-Je suis fier de toi, Chose. Tu as pas mal tenu.
-M-m-merci Maître.
-Maintenant que tu m'as l'air plus sage, je vais pouvoir commencer ton entraînement.
-Oui, Maître"
L'échange était froid, mais il semblait d'une telle chaleur pour la Chose, privée de tout contact depuis plusieurs semaines, qu'elle était prête à tout pour satisfaire son Maître.
"-Aujourd'hui, je vais te montrer à quelle point tu n'es qu'une sous-merde, d'accord?
-Bien, Maître.
- Lève toi."
La Chose se leva.
Victor se leva également et sortit d'un petit sac deux lourdes chaînes et quelques accessoires. Il commença par attacher la Chose avec les chaînes, lui fixant ses bras et jambes à des crochets du sol et du plafond, pour former une forme de croix de Saint-André.
"-Qu'y a-t-il dans ta cage, Chose?
-Ma queue, Maître."
Soudain, sans crier gare, Victor saisit brusquement les lourdes couilles de la Chose qui pendaient sous la cage. Il serra très violemment sa poigne. La Chose hurla, son cri résonna.
"Non. Cette cage ne contient pas "ta queue". Elle contient une nouille ridicule, un clito tout au plus, la nouille ridicule d'une sous-merde. Et cette nouille ne t'appartient pas, Chose, elle est à moi. Est-ce que c'est clair?"
La douleur était atroce. La Chose cria:"Oui, Maître, pardon, Maître."
"-Bon...C'est mieux. Sais-tu depuis combien de temps tu n'as pas joui?
-Non, Maître.
-Depuis 53 jours, Chose. Aimerais-tu jouir à nouveau?
-Oh oui, Maître !"
A nouveau Victor saisit les couilles de sa Chose et les pressa, lui arrachant un nouveau cri.
"-Tu n'as pas à VOULOIR quoi que ce soit ! JE décide quand tu jouis. Pour le moment tu vas garder ta nouille ridicule dans ta cage. Tu finiras par aimer ta cage. Et tu apprendras à jouir de ta petite chatte de femelle servile.
-Oui, Maître.
-Tu apprécieras de te faire tringler par un mâle alpha comme moi.
-Oh oui Maître, vous êtes la virilité à l'état pur, Maître.
-En effet, regarde..."
La Chose baissa les yeux. Victor bandait. Son sexe épais et énorme se dressait fièrement. La Chose sentit dans le bas ventre une certaine excitation, mais sa bite ne broncha pas.
Victor, sortit un gel de son sac, et badigeonna la chatte de la Chose. Puis, sans crier gare, il pénétra son trou violemment.
La Chose hurla de douleur. Son Maître était en train de lui déchirer les entrailles avec son énorme sexe. Jouant de vas-et-vients incessant et violents, Victor défonçait son esclave, qui hurlait de douleur, mais aussi de plaisir.
L'acte était sauvage. Les bras en l'air, retenu par des chaînes, la Chose sentait ses muscles d'acier se contracter tandis que la masse bestiale qui la pénétrait râlait de pur plaisir.
Leurs sueurs se mêlaient, puis soudain, Victor jouit. Son sperme inonda le fondement de sa Chose qui resta là essoufflée.
Puis sans dire au-revoir, Victor s'en alla, laissant la Chose suspendue, et hâletante.
La Chose reprit ses esprits. Que cela avait été bon ! Le sexe dur de son Maître, ce sentiment de servitude absolue, le fait que Victor avait jouit et lui non...
Pour la première fois en 53 jours, la Chose comprit qu'elle était à sa place ! Et le fait que son Maître l'avait laissée suspendue là laissait à penser qu'il ne tarderait pas à revenir...
Cela faisait près de trois jours que Nathan n'avait pas revu Victor. Entièrement nu, avec pour seul vêtement une étroite cage de chasteté dont le métal froid pressait sur sa grosse queue au repos, il grelottait dans cette cave sombre en attendant que son nouveau maître ne s'occupe de lui.
Laissé seul à ses pensées, il ne pouvait ne pas penser aux choses excitantes que le bel homme musclé lui avait promises. L'excitation faisait régulièrement palpiter son sexe, mais le métal lui rappelait qu'il n'était plus autorisé à bander.
Ces élans d'excitation frustrée finissaient par peser sur le jeune homme. Lui qui était jusqu'alors si actif sexuellement, le voilà privé de tout plaisir. Et l'ennui n'aidait pas...
L'absence d'attention de son maître commençait aussi à le décourager. Nathan se lassait. Peut-être n'était-il pas prêt à cela finalement...?
**
Cinq jours encore s'écoulèrent. Nathan n'en pouvait plus. Mourant d'ennui, il commençait à se demander si son maître reviendrait un jour. Sa présence était certes sous-entendue lorsqu'il lui glissait par une petite ouverture un plateau repas généralement correct, deux fois par jour - généralement de la viande et des légumes, parfaitement cuisinés - mais aucune vraie interaction n'avait eu lieu depuis la pipe magistrale qu'il avait taillée à son dieu.
La pression dans ses couilles, remplies à exploser, devenait douloureuse, et l'excitation que lui procurait sa servitude ne faiblissait pas. La moindre pensée pour Victor provoquait un début d'érection violemment stoppée par la cage de chasteté.
Nathan avait pris l'habitude ces derniers jours de s'allonger sur une petite couverture et de se caresser afin de satisfaire, du moins momentanément et faiblement, un brin d'excitation. Mais son sexe maintenu mou et l'impossibilité de jouir virait à la torture.
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Près d'un mois après sa rencontre avec Victor, l'état de Nathan s'était considérablement dégradé.
Bien sûr son corps était toujours aussi beau et musclé. Il faut dire qu'entre l'alimentation très saine et l'ennui qui le poussait à faire de l'exercice à outrance pour s'occuper, son corps frôlait désormait la perfection, même s'il sentait que le manque de charges causait la fonte légère de ses muscles surdéveloppés.
Son moral, en revanche, était au plus bas. Enfermé, sans lumière, et sans interactions sociales, Nathan était fragile.
Mais le pire, pour lui, était sa frustration sexuelle. Après un mois sans même pouvoir bander, Nathan se sentait inutile et sa virilité était blessée. Depuis près de deux semaines, maintenant, ses attouchements s'était mués en des doigtages plus ou moins vifs de son cul. Mais aucunes de ces pénétrations n'avaient atteint l'orgasme tant désiré.
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Un jour, le moral de Nathan lâcha. Il fallait qu'il sorte de cette situation. Il était incapable de dire depuis combien de temps il était enfermé. Plus d'un mois c'était sûr. Mais combien?
Il entendit les pas habituels dans l'escalier. Victor lui apportait son repas.
Désespéré, les larmes aux yeux, Nathan se précipita vers la porte. A peine Victor avait-il ouvert la trappe pour y glisser le plateau que déjà Nathan hurla :"Maître, s'il vous plaît ! Je n'en peux plus. Laissez-moi sortir de là !"
Victor sembla s'immobiliser un instant.
"Maître s'il vous plaît !" sanglota Nathan.
La vision qu'il donnait devait être pitoyable. Cette montagne de muscles, nue, prostrée près de la porte, en sanglots, déshumanisée, perdant toute dignité pour que son maître la laisse sortir.
Mais la réaction de Victor lui apparut comme un poignard en plein coeur : Victor se contenta de fermer la trappe et de remonter l'escalier. Sans dire un mot.
Nathan, sentit la dernière lueur d'espoir le quitter. Il s'effondra en larmes sur le sol.
**
Ce soir-là il ne toucha pas à son plateau. Il venait de comprendre ce qui se passait.
Victor ne voulait plus lui permettre le moindre rapport humain.....pour en faire sa chose. Et cela fonctionnait. Le désespoir était tel que Nathan finissait par oublier ce qu'être humain voulait dire.
D'ailleurs depuis quelques jours ses propres pensées le surprenaient. Il avait abandonné toute idée de jouissance. Sa queue, jusque là épaisse et frétillante se faisait oublier dans sa cage. Ses envies de luxure se faisaient plus rares. Ses doigtages étaient les seuls gestes qui procuraient un peu de plaisir, lui rappelant sa situation de sous-merde dont la chatte était la seule source de plaisir.
A attendre Victor désespérément, il en venait à fixer la porte des heures, espérant voir son maître, tel une chienne docile.
Son nom même, Nathan, n'avait plus de sens. Car il ne se sentait plus humain. Son corps ne l'impressionnait plus car il n'était plus admiré par personne. Il savait que tout dépendait de Victor, et cette seule pensée lui rappelait qu'il était sa Chose.
**
Un jour, enfin, ce qu'il attendait arriva.
Il s'était encore écoulé plusieurs semaines, depuis sa crise de larmes, lorsque soudain, la lumière rouge sur le mur s'alluma. Il le savait c'était le signal que Victor allait le rejoindre.
Chienne sage et obéissante, la Chose s'installa comme convenu à quatre pattes, dos cambré, chatte bien ouverte, face à la porte.
Celle-ci s'ouvrit. La Chose ne la voyait pas mais elle entendait les pas de son maître, lourde bête de muscles, s'approcher d'elle.
Victor fit le tour de sa Chose, le sourire aux lèvres. Il portait deux chaises à la main. Sa musculature impressionnante semblait s'être encore développée depuis la dernière fois.
Il posa les deux chaises face à face, s'assit sur l'une d'elles et dit simplement :"Viens t'asseoir, nous allons parler."
La Chose s'exécuta.
Victor commença :"-Je suis fier de toi, Chose. Tu as pas mal tenu.
-M-m-merci Maître.
-Maintenant que tu m'as l'air plus sage, je vais pouvoir commencer ton entraînement.
-Oui, Maître"
L'échange était froid, mais il semblait d'une telle chaleur pour la Chose, privée de tout contact depuis plusieurs semaines, qu'elle était prête à tout pour satisfaire son Maître.
"-Aujourd'hui, je vais te montrer à quelle point tu n'es qu'une sous-merde, d'accord?
-Bien, Maître.
- Lève toi."
La Chose se leva.
Victor se leva également et sortit d'un petit sac deux lourdes chaînes et quelques accessoires. Il commença par attacher la Chose avec les chaînes, lui fixant ses bras et jambes à des crochets du sol et du plafond, pour former une forme de croix de Saint-André.
"-Qu'y a-t-il dans ta cage, Chose?
-Ma queue, Maître."
Soudain, sans crier gare, Victor saisit brusquement les lourdes couilles de la Chose qui pendaient sous la cage. Il serra très violemment sa poigne. La Chose hurla, son cri résonna.
"Non. Cette cage ne contient pas "ta queue". Elle contient une nouille ridicule, un clito tout au plus, la nouille ridicule d'une sous-merde. Et cette nouille ne t'appartient pas, Chose, elle est à moi. Est-ce que c'est clair?"
La douleur était atroce. La Chose cria:"Oui, Maître, pardon, Maître."
"-Bon...C'est mieux. Sais-tu depuis combien de temps tu n'as pas joui?
-Non, Maître.
-Depuis 53 jours, Chose. Aimerais-tu jouir à nouveau?
-Oh oui, Maître !"
A nouveau Victor saisit les couilles de sa Chose et les pressa, lui arrachant un nouveau cri.
"-Tu n'as pas à VOULOIR quoi que ce soit ! JE décide quand tu jouis. Pour le moment tu vas garder ta nouille ridicule dans ta cage. Tu finiras par aimer ta cage. Et tu apprendras à jouir de ta petite chatte de femelle servile.
-Oui, Maître.
-Tu apprécieras de te faire tringler par un mâle alpha comme moi.
-Oh oui Maître, vous êtes la virilité à l'état pur, Maître.
-En effet, regarde..."
La Chose baissa les yeux. Victor bandait. Son sexe épais et énorme se dressait fièrement. La Chose sentit dans le bas ventre une certaine excitation, mais sa bite ne broncha pas.
Victor, sortit un gel de son sac, et badigeonna la chatte de la Chose. Puis, sans crier gare, il pénétra son trou violemment.
La Chose hurla de douleur. Son Maître était en train de lui déchirer les entrailles avec son énorme sexe. Jouant de vas-et-vients incessant et violents, Victor défonçait son esclave, qui hurlait de douleur, mais aussi de plaisir.
L'acte était sauvage. Les bras en l'air, retenu par des chaînes, la Chose sentait ses muscles d'acier se contracter tandis que la masse bestiale qui la pénétrait râlait de pur plaisir.
Leurs sueurs se mêlaient, puis soudain, Victor jouit. Son sperme inonda le fondement de sa Chose qui resta là essoufflée.
Puis sans dire au-revoir, Victor s'en alla, laissant la Chose suspendue, et hâletante.
La Chose reprit ses esprits. Que cela avait été bon ! Le sexe dur de son Maître, ce sentiment de servitude absolue, le fait que Victor avait jouit et lui non...
Pour la première fois en 53 jours, la Chose comprit qu'elle était à sa place ! Et le fait que son Maître l'avait laissée suspendue là laissait à penser qu'il ne tarderait pas à revenir...
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