LES NOUVELLES AVENTURES DE NATHALIE D. ( Part 2 )
Récit érotique écrit par Sabine Delamontagne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LES NOUVELLES AVENTURES DE NATHALIE D. ( Part 2 )
LES NOUVELLES AVENTURES DE NATHALIE D. ( Part 2 )
Dans quelques minutes, Nathalie arrivera sur le parc de l’entreprise familiale. Son poste de secrétaire est loin de l’enthousiasmer. Chaque soir, chaque matin, elle est en conflit avec ses sentiments : si elle était certaine de ne pas faire de peine à ses parents, elle quitterait volontiers la petite société de transport pour quelques choses de plus… plus à même de la satisfaire ! De la faire jouir ?… La satisfaction au bureau : ça fait quelques années que « Mèche brune » ne la trouve plus ! Ses rares instants de noce, elle les trouve à travers le regard abusif des employés de son père. Au hangar, nombreux sont les routiers qui la déshabillent du regard au moment où elle se dirige dans le hall d’entrée, vers l’incontournable machine à café…
À chaque fois, c’est la même excitation, tous ces regards vulgaires sur son corps. Ses seins l’oppressent et elle ne peut s’empêcher de fantasmer sur une étreinte avec l'un de ses mâles virils et… totalement dénués de bonnes manières…
Souvent, elle consent dialoguer avec l’un d’entre eux : en interprétant son rôle de jeune ingénue, elle aime les entendre enchaîner leurs jeux de mots graveleux, ces mêmes mots qu’elle ne tolère pas dans la bouche des copains de Alain.
Ça fait à peine trente minutes que Nathalie pianote derrière son écran d’ordinateur comme une simple secrétaire. Si elle aime se l’à jouer « fille du patron », les routiers préfèrent l’imaginer avec un QI de caissière.
8H35 : elle ressent le besoin d’une pause. Jugeant s’être maquillée un peu trop vite ce matin, elle délaissera la machine à café pour aller se refaire une petite beauté, afin de se redonner un peu de courage.
Orgueilleuse, elle se dirige vers les toilettes avec sa petite trousse de « secours ». Elle sait que les employés s’interrogent beaucoup sur cette fameuse pochette « YSL »… Nathalie croise un ami de son père à qui elle adresse un simple « bonjour » accompagné de deux trois banalités. En poussant la porte des « dames », elle expire tout son stress... En sécurité dans les lieux, Nathalie s’isole du « monde » et s’en va machinalement devant le miroir. Sur le rebord du lavabo, elle dépose sa trousse de maquillage, quand soudain, un bruit détourne son regard de sa mèche inexorablement, son esprit associe « dos à poils clairs » avec « porc » !?!?!? Une demi-seconde plus tard, toujours par l’intermédiaire du miroir, elle découvre une brute, probablement, un chauffeur étranger... Il ne porte qu’un vieux bleu de travail, lui aussi semble dans les nuages et il se rase sans faire attention à Nathalie. Est-ce que ce grand balaise l’a vue ? En tout cas, Nathalie est trop énervée, trop humiliée pour baisser les yeux et regarder autres choses que ce mystérieux dos digne des loups garou.
S’en est trop !!! Il projette de l’eau sur son visage, son corps et comme… un goret, il en met pas mal sur le sol. Quel porc !!! Nathalie hésite, rougie, elle n’est pas ravie : ne sait-il pas faire la différence entre toilette homme et toilette femme ? Est-il stupide ou illettré ?
- Excusez-moi, mais vous allez avoir du mal à trouver de la mousse à raser dans les toilettes des dames !?…
Il hésite et réfléchis intensément… Avant de se retourner, il annonce d’un ton stérile et tristement sincère…
- Des dames : où ? Bonjour ! (Il la regarde de bas en haut…) Ne me dites pas que je me suis trompé de…
- Si ! Vous parlez pourtant bien français !?
- Oui ! Mais je suis désolé ! Je ne sais comment me faire pardonner !…
L’homme au torse nu exhibe, sans aucune honte, sa grosse panse et ses muscles recouverts d’une épaisse couche de graisse. Il se croit irrésistible et fait le beau… Sur l’instant, Nathalie ne dit rien, mais finalement, elle réussit à bafouiller quelques mots…
- Terminez et… ne recommencez pas ! D’accord ???
- Oui…
Alors que le routier se laisse aller à un ricanement moqueur, précautionneusement, « Mèche brune » s’en va se mirer dans un autre miroir plus à l’écart du vice et de la dépravation. De temps à autre, elle jète des coups d’œil discrets dans le but d’entrevoir ne serait-ce qu’un centimètre de peau, mais en vain... Elle se dit et, se répète avec énigme : « Plusieurs jours, semaines, sans voir une femme, ça doit le travailler !!! »
Nathalie avait envie de sexe et tant pis, si elle allait passer pour une s… Qui le saurait ? En remaniant un épi dans sa mèche, elle essayait de lire dans les pensées de cet animal : il devait fantasmer sur ses trous, le moindre repli de son corps, la raie de ses fesses, ses seins… Nathalie ressentait un véritable déferlement d’idées perverses en contradiction avec ses vœux de fidélité. Allait-il oser ? Ou fallait-il qu’elle lui mette la main dans le pantalon ?
Soudain, elle le vit à un demi-mètre dans son dos !!! Paniquée, elle fixa le miroir en faisant les yeux ronds :
- Vous êtes rudement jolie, Mademoiselle !
- Merci, c’est gentil (perdue)
Il était torse nu ,son souffle chaud et ses envies baisaient violemment la nuque de Nathalie. La tiédeur nasale la faisait frissonner comme une vulgaire pucelle. Ils hésitaient tous les deux, elle se retrouvait un peu à son habitude, morceau de chair entre les dents du grand méchant loup… Rougissante de honte, elle se tourna vers lui. Grossièrement, il posa ses grosses paluches sur ses hanches… Elle sentit une déplaisante pression verticale… Mais Nathalie ne démissionna pas, elle caressa la peau rugueuse et même si elle n’en avait pas envie, elle la baisa… Ses narines s’enivrèrent avec les senteurs du savon de Marseille… Mais le gaillard la repoussa histoire de ne pas sombrer dans la tendresse et il empoigna la grosse poitrine avec ses mains malhabiles et ses doigts se perdirent dans l’épais tissu d’hiver. Il insista… et fit tout ce qu’il était possible de faire en dix secondes, avant de la presser contre le lavabo. À nouveau, il posa ses grosses mains sur les frêles épaules, elle le regarda, peu honteuse, mais vulgaire et, à la première pression verticale, elle s’agenouilla…
Elle commença par baisser la braguette du vieux pantalon mais, le routier la jugeant un peu trop doucereuse, il dévia ces doigts pour permettrent aux siens d’aller récupérer le gros morceau de chair raidi par le plaisir.
Nathalie ricana comme une grosse idiote… Elle descendit la relique bleue jusqu’aux genoux… L’homme heurta le maquillage avec son bâton… La fille du patron esquissa un large sourire, un regard pour son « maître », avant de pencher la tête sur le côté : elle harponna plaisamment le membre avec ses crocs… Excédé par son trop plein de testostérone, le gros homme saisit son engin et força les lèvres peintes de « Mèche brune ». Le rouge se répandit vulgairement sur le pieu d’acier. Elle avait ce qu’elle avait toujours voulu sucer, mais il en fallait plus pour juguler son appétit ! En pensant à la suite des événements, Nathalie virait à l’écarlate...
Sa langue vibrionnait sur le gland et une petite écume commençait à couler à la commissure de ses lèvres, alors qu’elle lustrait l’ogive violacée. La cochonne le garda bien en bouche, quand soudain, le rustre s’interrompit…
Alors que Nathalie entreprenait de rouvrir les yeux, elle sortait précautionneusement le gros membre, mais celui-ci expulsa une puissante décharge au fond de sa gorge… La seconde fit le tour du palais, la langue flattait le gros gland, pendant que le sperme continuait de gicler entre ses joues gonflées comme celles d’un hamster. La tige sursautait de plaisir… avant d’agoniser entre les lèvres de la grosse brune. Sa gorge était beurrée de foutre ! Le pieu s’enfonça un peu plus loin dans la bouche suave et il poussa toute l’épaisse substance au fond de la gorge... Nathalie se raidit… L’homme grogna et crispa ses doigts dans la parfaite chevelure… De peur d’être décoiffée, « Mèche brune » joua des mains pour échapper à l’emprise masculine et finalement, elle libéra le pieu. D’un regard, elle remercia le camionneur de ne pas lui avoir altéré sa mèche. Pour lui prouver son infinie gratitude, elle consentit à avaler sa semence sur un signe de dégoût...
Une forte odeur de croupi sortait de la bouche de « Mèche brune » alors que l’homme s’en allait vers les lavabos, la queue pendante…
Nathalie resta là, cuisses écartées. Elle passa le dos de sa main sur ses lèvres rendues grossières et baveuses… Elle baissa les yeux, passa la langue sur sa bouche et savoura les quelques restes de son en-cas.
Vingt minutes viennent de s’écouler. L’homme quitte les toilettes en claquant les fesses de Nathalie. Depuis un bon quart d’heure, la vulgaire suceuse est penchée sur le lavabo où elle se lave les dents avec un doigt … Viendra-t-elle à bout de cette odeur ? Elle le pense, oui… Enfin, pour rassurer son ego et ne pas passer pour une salope, « Mèche brune » décide de masquer sa bouche corrompue avec une épaisse couche de rouge à lèvres.
Fin de la seconde partie…
Sabine DELAMONTAGNE
Sabine.delamontagne@laposte.net
Avec l’adorable participation de « Mèche Brune »
Dans quelques minutes, Nathalie arrivera sur le parc de l’entreprise familiale. Son poste de secrétaire est loin de l’enthousiasmer. Chaque soir, chaque matin, elle est en conflit avec ses sentiments : si elle était certaine de ne pas faire de peine à ses parents, elle quitterait volontiers la petite société de transport pour quelques choses de plus… plus à même de la satisfaire ! De la faire jouir ?… La satisfaction au bureau : ça fait quelques années que « Mèche brune » ne la trouve plus ! Ses rares instants de noce, elle les trouve à travers le regard abusif des employés de son père. Au hangar, nombreux sont les routiers qui la déshabillent du regard au moment où elle se dirige dans le hall d’entrée, vers l’incontournable machine à café…
À chaque fois, c’est la même excitation, tous ces regards vulgaires sur son corps. Ses seins l’oppressent et elle ne peut s’empêcher de fantasmer sur une étreinte avec l'un de ses mâles virils et… totalement dénués de bonnes manières…
Souvent, elle consent dialoguer avec l’un d’entre eux : en interprétant son rôle de jeune ingénue, elle aime les entendre enchaîner leurs jeux de mots graveleux, ces mêmes mots qu’elle ne tolère pas dans la bouche des copains de Alain.
Ça fait à peine trente minutes que Nathalie pianote derrière son écran d’ordinateur comme une simple secrétaire. Si elle aime se l’à jouer « fille du patron », les routiers préfèrent l’imaginer avec un QI de caissière.
8H35 : elle ressent le besoin d’une pause. Jugeant s’être maquillée un peu trop vite ce matin, elle délaissera la machine à café pour aller se refaire une petite beauté, afin de se redonner un peu de courage.
Orgueilleuse, elle se dirige vers les toilettes avec sa petite trousse de « secours ». Elle sait que les employés s’interrogent beaucoup sur cette fameuse pochette « YSL »… Nathalie croise un ami de son père à qui elle adresse un simple « bonjour » accompagné de deux trois banalités. En poussant la porte des « dames », elle expire tout son stress... En sécurité dans les lieux, Nathalie s’isole du « monde » et s’en va machinalement devant le miroir. Sur le rebord du lavabo, elle dépose sa trousse de maquillage, quand soudain, un bruit détourne son regard de sa mèche inexorablement, son esprit associe « dos à poils clairs » avec « porc » !?!?!? Une demi-seconde plus tard, toujours par l’intermédiaire du miroir, elle découvre une brute, probablement, un chauffeur étranger... Il ne porte qu’un vieux bleu de travail, lui aussi semble dans les nuages et il se rase sans faire attention à Nathalie. Est-ce que ce grand balaise l’a vue ? En tout cas, Nathalie est trop énervée, trop humiliée pour baisser les yeux et regarder autres choses que ce mystérieux dos digne des loups garou.
S’en est trop !!! Il projette de l’eau sur son visage, son corps et comme… un goret, il en met pas mal sur le sol. Quel porc !!! Nathalie hésite, rougie, elle n’est pas ravie : ne sait-il pas faire la différence entre toilette homme et toilette femme ? Est-il stupide ou illettré ?
- Excusez-moi, mais vous allez avoir du mal à trouver de la mousse à raser dans les toilettes des dames !?…
Il hésite et réfléchis intensément… Avant de se retourner, il annonce d’un ton stérile et tristement sincère…
- Des dames : où ? Bonjour ! (Il la regarde de bas en haut…) Ne me dites pas que je me suis trompé de…
- Si ! Vous parlez pourtant bien français !?
- Oui ! Mais je suis désolé ! Je ne sais comment me faire pardonner !…
L’homme au torse nu exhibe, sans aucune honte, sa grosse panse et ses muscles recouverts d’une épaisse couche de graisse. Il se croit irrésistible et fait le beau… Sur l’instant, Nathalie ne dit rien, mais finalement, elle réussit à bafouiller quelques mots…
- Terminez et… ne recommencez pas ! D’accord ???
- Oui…
Alors que le routier se laisse aller à un ricanement moqueur, précautionneusement, « Mèche brune » s’en va se mirer dans un autre miroir plus à l’écart du vice et de la dépravation. De temps à autre, elle jète des coups d’œil discrets dans le but d’entrevoir ne serait-ce qu’un centimètre de peau, mais en vain... Elle se dit et, se répète avec énigme : « Plusieurs jours, semaines, sans voir une femme, ça doit le travailler !!! »
Nathalie avait envie de sexe et tant pis, si elle allait passer pour une s… Qui le saurait ? En remaniant un épi dans sa mèche, elle essayait de lire dans les pensées de cet animal : il devait fantasmer sur ses trous, le moindre repli de son corps, la raie de ses fesses, ses seins… Nathalie ressentait un véritable déferlement d’idées perverses en contradiction avec ses vœux de fidélité. Allait-il oser ? Ou fallait-il qu’elle lui mette la main dans le pantalon ?
Soudain, elle le vit à un demi-mètre dans son dos !!! Paniquée, elle fixa le miroir en faisant les yeux ronds :
- Vous êtes rudement jolie, Mademoiselle !
- Merci, c’est gentil (perdue)
Il était torse nu ,son souffle chaud et ses envies baisaient violemment la nuque de Nathalie. La tiédeur nasale la faisait frissonner comme une vulgaire pucelle. Ils hésitaient tous les deux, elle se retrouvait un peu à son habitude, morceau de chair entre les dents du grand méchant loup… Rougissante de honte, elle se tourna vers lui. Grossièrement, il posa ses grosses paluches sur ses hanches… Elle sentit une déplaisante pression verticale… Mais Nathalie ne démissionna pas, elle caressa la peau rugueuse et même si elle n’en avait pas envie, elle la baisa… Ses narines s’enivrèrent avec les senteurs du savon de Marseille… Mais le gaillard la repoussa histoire de ne pas sombrer dans la tendresse et il empoigna la grosse poitrine avec ses mains malhabiles et ses doigts se perdirent dans l’épais tissu d’hiver. Il insista… et fit tout ce qu’il était possible de faire en dix secondes, avant de la presser contre le lavabo. À nouveau, il posa ses grosses mains sur les frêles épaules, elle le regarda, peu honteuse, mais vulgaire et, à la première pression verticale, elle s’agenouilla…
Elle commença par baisser la braguette du vieux pantalon mais, le routier la jugeant un peu trop doucereuse, il dévia ces doigts pour permettrent aux siens d’aller récupérer le gros morceau de chair raidi par le plaisir.
Nathalie ricana comme une grosse idiote… Elle descendit la relique bleue jusqu’aux genoux… L’homme heurta le maquillage avec son bâton… La fille du patron esquissa un large sourire, un regard pour son « maître », avant de pencher la tête sur le côté : elle harponna plaisamment le membre avec ses crocs… Excédé par son trop plein de testostérone, le gros homme saisit son engin et força les lèvres peintes de « Mèche brune ». Le rouge se répandit vulgairement sur le pieu d’acier. Elle avait ce qu’elle avait toujours voulu sucer, mais il en fallait plus pour juguler son appétit ! En pensant à la suite des événements, Nathalie virait à l’écarlate...
Sa langue vibrionnait sur le gland et une petite écume commençait à couler à la commissure de ses lèvres, alors qu’elle lustrait l’ogive violacée. La cochonne le garda bien en bouche, quand soudain, le rustre s’interrompit…
Alors que Nathalie entreprenait de rouvrir les yeux, elle sortait précautionneusement le gros membre, mais celui-ci expulsa une puissante décharge au fond de sa gorge… La seconde fit le tour du palais, la langue flattait le gros gland, pendant que le sperme continuait de gicler entre ses joues gonflées comme celles d’un hamster. La tige sursautait de plaisir… avant d’agoniser entre les lèvres de la grosse brune. Sa gorge était beurrée de foutre ! Le pieu s’enfonça un peu plus loin dans la bouche suave et il poussa toute l’épaisse substance au fond de la gorge... Nathalie se raidit… L’homme grogna et crispa ses doigts dans la parfaite chevelure… De peur d’être décoiffée, « Mèche brune » joua des mains pour échapper à l’emprise masculine et finalement, elle libéra le pieu. D’un regard, elle remercia le camionneur de ne pas lui avoir altéré sa mèche. Pour lui prouver son infinie gratitude, elle consentit à avaler sa semence sur un signe de dégoût...
Une forte odeur de croupi sortait de la bouche de « Mèche brune » alors que l’homme s’en allait vers les lavabos, la queue pendante…
Nathalie resta là, cuisses écartées. Elle passa le dos de sa main sur ses lèvres rendues grossières et baveuses… Elle baissa les yeux, passa la langue sur sa bouche et savoura les quelques restes de son en-cas.
Vingt minutes viennent de s’écouler. L’homme quitte les toilettes en claquant les fesses de Nathalie. Depuis un bon quart d’heure, la vulgaire suceuse est penchée sur le lavabo où elle se lave les dents avec un doigt … Viendra-t-elle à bout de cette odeur ? Elle le pense, oui… Enfin, pour rassurer son ego et ne pas passer pour une salope, « Mèche brune » décide de masquer sa bouche corrompue avec une épaisse couche de rouge à lèvres.
Fin de la seconde partie…
Sabine DELAMONTAGNE
Sabine.delamontagne@laposte.net
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