Les nuits d'Afrique #1 - Cotonou
Récit érotique écrit par Lookingforvenus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les nuits d'Afrique #1 - Cotonou
Les Nuits d’Afrique # 1 – Cotonou
Merci pour vos retours à l’occasion de mes deux premiers récits, n’hésitez pas à m’écrire directement, cela m’encourage à publier une mini-série sur quelques nuits brûlantes en Afrique. Ces trois ou quatre récits sont quasiment autobiographiques. Aujourd’hui, je vous confie le récit de ma toute première nuit agitée à Cotonou. Comme j’ai vécu plusieurs années sur le continent africain, s’il vous en plait, il sera suivi de quelques nuits parmi les plus intenses de ma vie.
C’était une frontière que je n’avais pas franchie. Ou plus précisément que je n’avais pas osé franchir. Depuis plus de 3 ans que je vadrouillais en tant que coopérant, dans plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest, moi, l’étranger, je n’avais jamais encore partagé ma couche avec une fille à la peau marron ou noire, comme toutes les filles de ce pays.
Pourtant, depuis ma première nuit à Cotonou, je n’avais que 20 ans, j’adorais les nuits d’Afrique.
Cette première nuit, je l’avais passée avec Marine, ma copine d’alors. Ou devrais-je dire, pour être exact, mon amoureuse. Nous venions tout juste d’atterrir le soir même pour une mission de solidarité internationale de 3 mois que nous avions décidé de vivre ensemble. Après les émotions du voyage, les très longues formalités, les premières flashs d’une capitale traversée nuitamment, blottie dans l’obscurité, quoique éclairée de lanternes à chaque échoppe, nous nous étions retrouvés dans un hôtel plutôt confortable du bord de mer. Trop excités par notre aventure, harassés par la chaleur humide, nous n’arrivions pas à dormir et nous écoutions les bruits de la nuit dans cette capitale d’Afrique : des croassements continus, le chant d’un oiseau de nuit, le klaxon d’une moto, les aboiements de chiens en meute, le claquement des vagues au loin, le ronronnement du ventilo qui empêchait le bourdonnement des moustiques et couvrait nos chuchotements. Allongés sur le dos, nous contemplions en silence et les yeux grands ouverts le plafond et la régularité du mécanisme du ventilateur. Il couvrait notre émotion d’être là, tous les deux, à moitiés nus et humides. Marine transpirait de partout. Elle avait des seins superbes, que beaucoup de nos amis, hommes et femmes, reluquaient ou jalousaient. Moi qui y avait un accès facilité et illimité,, j’aimais m’y perdre, m’y blottir, les lécher, les téter, les chérir. Mais ce soir-là, sa poitrine pleine de vie semblait souffrir de la chaleur et elle était juste trempée. Ma main gauche vint se poser sur son ventre mouillé, puis remonta jusqu’à ses seins aqueux, je mesurais que nos corps s’étaient déjà transformés au contact de l’Afrique, nous allions donc découvrir d’autres bruits, mais aussi d’autres odeurs et pourquoi pas d’autres sensations ? Puisque nous ne dormions pas, autant profiter à fond de nos jeunes corps trempés ! Marine était à l’aise avec ma suggestion nocturne. D’une manière volontaire et décidée, elle déploya une première main dans sa culotte pour se faire du bien et m’inviter à l’imiter. Je ne réagis pas immédiatement pour me préserver du spectacle, ô combien réjouissant, de ses doigts virtuoses malaxant violemment son sexe tout aussi humide que le reste. Pour donner le change, ma main gauche voyageait de son ventre à sa poitrine, de sa poitrine à son ventre jusqu’au pubis, sans toutefois aller plus loin pour la frustrer un peu. Ce que je nomme frustration était pour elle supplice, elle me lança un regard à la fois autoritaire et suppliant, ma main se mit à ses ordres et en action, nos doigts se mêlèrent et pénétrèrent son sexe tout aussi mouillé que le reste. Elle aimait se masturber à deux doigts, pour ma part, j’en mis un, puis deux, puis bientôt trois, l’un des trois jouait le plus habilement possible avec son clito. Elle poussa un cri puissant, haletant, non-couvert par le ventilateur, elle jouissait pour la première fois dans cette nuit d’Afrique. Son orgasme prit la forme de spasmes puissants, comme des contractions et la fit se cambrer légèrement. Je mis toutes mes forces dans la bataille pour la satisfaire. Puis, elle coupa subitement son élan, je compris qu’elle avait besoin d’un moment pour reprendre ses esprits. Elle ferma les yeux, puis se tournant vers moi, les rouvra. Tout aussi décidée, elle prit ma bite entre ses doigts et me branla énergiquement. Quand nous nous étions rencontrés trois ans plus tôt, Marine avait une plus grande diversité d’expérience que moi et j’avais bien du mal à ne pas jouir presque instantanément à chaque fois qu’elle prenait ma bite en main. Ma fierté de jeune mâle en avait pris un coup, je culpabilisais d’être aussi prompt à éjaculer. Elle, de son côté, sous une apparence sage et romantique, aimait les rapports bruts, physiques et endurants, ne s’embarrassait pas trop de préliminaires et s’empressait de fourrer mon engin dans son sexe trempé. Les premières fois, désarmé par une telle envie et rapidité, je perdais très vite le contrôle de mon sexe, j’éjaculais en elle, et elle avait bien du mal à cacher sa frustration. Mais, mois après mois, après deux années, jusqu’à cette nuit, notre complicité s’était renforcée, elle savait qu’elle pouvait me branler sans vergogne et jusqu’à un certain point. Sans même que j’eus à lui suggérer de stopper, elle cessa nette sa manipulation experte sans lâcher mon engin qu’elle serra de ses deux mains de toute ses forces. Elle m’invita à venir au-dessus d’elle, tout en gardant mon sexe prisonnier de la pression de ses mains. Je pensais qu’elle allait m’enfourner dans sa chatte trempée, mais, à ma grande surprise, elle me suggéra de m’avancer, de telle manière à ce que mon sexe puisse s’emboiter entre ses seins. Elle me lâcha enfin, rapprocha ses seins volumineux qui tendaient naturellement à s’écarter, de fait, me proposa de faire coulisser mon sexe entre ses seins. Si, ado, je m’étais mille fois imaginé me branler entre les seins de Pamela Anderson, je n’avais jamais réussi à persévérer dans cette position, ni avec Marine, ni avec Perle de lycée. C’était pour Marine et moi, jusqu’à ce jour, une étape préliminaire, que nous esquissions sans grande virtuosité, un truc que nous avions l’un et l’autre vu dans des films pornos et que nous essayions de reproduire maladroitement. Une étape un peu fun, jamais une fin en soi. Cette nuit-là, les seins de Marine étaient étonnamment lourds et totalement trempés, ils se dressaient vers moi comme une éclatante fleur. Mon sexe était quant-lui très gonflé, et j’étais prêt à tenter une nouvelle expérience dans ce lit en bois massif, pour notre première nuit sur ce continent inconnu, celui de tous les possibles. Marine savait très bien ce qu’elle voulait, après avoir joui bruyamment, elle voulait me récompenser et elle avait bien l’intention que je me branle entre ses seins. Pour la première fois, j’éprouvais du plaisir à ce coulissement, mon sexe était réellement prisonnier des seins de Marine et elle m’invita à aller plus fort, plus vite. Ses mains pressaient ses seins qui pressaient mon sexe, c’était une sensation délicieuse que je n’avais jamais réussi à éprouver auparavant, Marine semblait quant-à elle satisfaite de la communion entre mon sexe et sa poitrine. Je jetais mon sexe vers l’avant, sa poitrine le freinait, faisant pression et frottement, le terme de branlette n’était donc pas usurpé ! Pour jouir, il fallait un mouvement puissant partant de mes fesses, relayé par mes hanches, glissant par ses seins. Et ces seins étaient un terrain de jeu parfait, pour le jeu que Marine souhaitait nous faire jouer. J’accélérais encore, je lançais à Marine une banalité du genre « j’adore tes seins ». Je n’aurais pu en dire plus, Marine, elle si à l’écoute des besoins sexuels quasi-quotidiens de son amoureux, si ouverte sur des tas de propositions inspirées du porno, parfois violentes, ne tolérait en revanche aucun écart verbal de ma part pouvant s’apparenter à de la vulgarité. Quelques mois plus tôt, alors que sa bouche aspirait mon sexe avec ardeur, j’avais maladroitement lancé un encourageant « pompe moi salope ! » qui l’avait stoppée nette, elle me lança un regard noir, observa une grève du sexe de trois jours et me fit promettre de ne plus jamais recommencer.
J’eus soudain la sensation que j’allais jouir entre ses seins, j’accélérais encore d’un cran, ses seins ayant l’effet de me branler frénétiquement, j’avertis Marine que j’allais enfin jouir, elle redressa la tête pour me voir éjaculer, et j’aspergeais d’un jet violent et abondant, ses rondeurs, son sillon, sa gorge et jusqu’à ses lèvres. Mon sperme, sous l’effet de la chaleur était lourd et visqueux, il se mêlait à la sueur qui recouvrait l’intégralité de nos corps. Marine étala ce magma un peu partout, sur mes fesses, sur mon torse, à mon tour j’étalais ma semence sur sa poitrine, sa gorge. Elle léchait mes doigts pour goûter cette sauce épicée, puis m’embrassait craignant que je ne participe pas à la dégustation. Nous étions maintenant là, sur ce lit massif, dans ces draps légers, trempés de sueur et de sperme mêlés, la gorge sèche, savourant l’air rafraichi du ventilateur dans cette chaleur moite.
Longtemps, nous nous sommes tenus la main, regardant le plafond et moi le sourire aux lèvres de vivre une pareille aventure avec une Marine aussi branchée que moi sur les choses les plus importantes de la vie. Nous ne dormions toujours pas, et l’odeur de mon sperme commençait à sentir vraiment fort dans cet air moite. Attenant à la chambre, une grande salle de bain avec une douche sommaire, un lavabo et un seau. Marine m’invita à la suivre, je bandais déjà, à nouveau. Je la savonnais, m’attardant longtemps sur ses seins et son sexe, elle me savonna à son tour s’attardant sur ma bite. Je mis en route la douche, l’eau glissait sur nous. Dans cette grande pièce, alors que j’aurais pu simplement lui suggérer de me prendre en bouche, j’eus soudainement envie d’une nouvelle expérience. Oui, l’espace était propice à la prendre en levrette, et dans mon for intérieur, je pensais même, peut-être, par derrière… Marine me l’avait proposé plusieurs fois, mais j’étais resté jusqu’ici bien timide, ne sachant pas, et elle non plus, par quel bout m’y prendre. Je me plaçais derrière elle, tentant de coulisser mon sexe ragaillardi entre la fente de ses fesses. Elle m’éconduit avec douceur, elle n’avait pas envie, du moins pas ce soir. Je n’insistais pas, d’autant plus que l’eau s’arrêta de couler. Première confrontation avec ce qui allait être la réalité quotidienne de nos trois mois sur le terrain : comment baiser sous la chaleur des nuits d’Afrique, sans avoir la possibilité de se rincer post-coït. Nous qui aimions tellement nous badigeonner des tous les liquides sortant de nos corps pendant le sexe ! C’est ainsi que nous allions découvrir d’autres odeurs venant de nous deux, plus ou moins agréables c’est vrai, mais la maladie, l’accès à l’eau, la chaleur feraient partie du voyage et n’empêcheraient pas nos rapprochements nocturnes.
Donc, cette première nuit en Afrique fut une nuit de sexe. Au petit matin, nous étions encore éveillés, nos membres engourdis, notre esprit prêt à plonger dans le sommeil, mais nous profitions enfin d’une relative fraîcheur, et des bruits de la ville qui s’éveille, le coq en action, le vrombissement d’une moto, des palabres matinales encore étouffées, les odeurs d’une bouillie qui se répend jusqu’à l’hôtel. Marine, sentant ma frustration, me branla énergiquement une dernière fois, puis elle s’endormit.
Nous étions tous deux à Cotonou. Nous venions vivre notre première nuit de sexe dans un hôtel sans luxe mais propret, pour touristes et expats blancs, plus quelques riches voyageurs d’affaires. J’étais heureux que cette expérience de vie, sur ce continent inconnu, commence sous des auspices aussi familiers, avec Marine. Pendant de longues minutes, je la regardais dormir lourdement, ses deux seins trop lourds déjà recouverts de sueur.
Dans quelques jours, nous quitterions ce nid douillet pour la vraie découverte, la vie dans un village de brousse où se situera notre prochaine aventure…Si vous souhaitez savoir de quelles nouvelles expériences, Marine et moi allions nous nourrir, vous retrouverez la prochaine nuit d’Afrique dans seulement quelques jours.
Merci pour vos retours à l’occasion de mes deux premiers récits, n’hésitez pas à m’écrire directement, cela m’encourage à publier une mini-série sur quelques nuits brûlantes en Afrique. Ces trois ou quatre récits sont quasiment autobiographiques. Aujourd’hui, je vous confie le récit de ma toute première nuit agitée à Cotonou. Comme j’ai vécu plusieurs années sur le continent africain, s’il vous en plait, il sera suivi de quelques nuits parmi les plus intenses de ma vie.
C’était une frontière que je n’avais pas franchie. Ou plus précisément que je n’avais pas osé franchir. Depuis plus de 3 ans que je vadrouillais en tant que coopérant, dans plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest, moi, l’étranger, je n’avais jamais encore partagé ma couche avec une fille à la peau marron ou noire, comme toutes les filles de ce pays.
Pourtant, depuis ma première nuit à Cotonou, je n’avais que 20 ans, j’adorais les nuits d’Afrique.
Cette première nuit, je l’avais passée avec Marine, ma copine d’alors. Ou devrais-je dire, pour être exact, mon amoureuse. Nous venions tout juste d’atterrir le soir même pour une mission de solidarité internationale de 3 mois que nous avions décidé de vivre ensemble. Après les émotions du voyage, les très longues formalités, les premières flashs d’une capitale traversée nuitamment, blottie dans l’obscurité, quoique éclairée de lanternes à chaque échoppe, nous nous étions retrouvés dans un hôtel plutôt confortable du bord de mer. Trop excités par notre aventure, harassés par la chaleur humide, nous n’arrivions pas à dormir et nous écoutions les bruits de la nuit dans cette capitale d’Afrique : des croassements continus, le chant d’un oiseau de nuit, le klaxon d’une moto, les aboiements de chiens en meute, le claquement des vagues au loin, le ronronnement du ventilo qui empêchait le bourdonnement des moustiques et couvrait nos chuchotements. Allongés sur le dos, nous contemplions en silence et les yeux grands ouverts le plafond et la régularité du mécanisme du ventilateur. Il couvrait notre émotion d’être là, tous les deux, à moitiés nus et humides. Marine transpirait de partout. Elle avait des seins superbes, que beaucoup de nos amis, hommes et femmes, reluquaient ou jalousaient. Moi qui y avait un accès facilité et illimité,, j’aimais m’y perdre, m’y blottir, les lécher, les téter, les chérir. Mais ce soir-là, sa poitrine pleine de vie semblait souffrir de la chaleur et elle était juste trempée. Ma main gauche vint se poser sur son ventre mouillé, puis remonta jusqu’à ses seins aqueux, je mesurais que nos corps s’étaient déjà transformés au contact de l’Afrique, nous allions donc découvrir d’autres bruits, mais aussi d’autres odeurs et pourquoi pas d’autres sensations ? Puisque nous ne dormions pas, autant profiter à fond de nos jeunes corps trempés ! Marine était à l’aise avec ma suggestion nocturne. D’une manière volontaire et décidée, elle déploya une première main dans sa culotte pour se faire du bien et m’inviter à l’imiter. Je ne réagis pas immédiatement pour me préserver du spectacle, ô combien réjouissant, de ses doigts virtuoses malaxant violemment son sexe tout aussi humide que le reste. Pour donner le change, ma main gauche voyageait de son ventre à sa poitrine, de sa poitrine à son ventre jusqu’au pubis, sans toutefois aller plus loin pour la frustrer un peu. Ce que je nomme frustration était pour elle supplice, elle me lança un regard à la fois autoritaire et suppliant, ma main se mit à ses ordres et en action, nos doigts se mêlèrent et pénétrèrent son sexe tout aussi mouillé que le reste. Elle aimait se masturber à deux doigts, pour ma part, j’en mis un, puis deux, puis bientôt trois, l’un des trois jouait le plus habilement possible avec son clito. Elle poussa un cri puissant, haletant, non-couvert par le ventilateur, elle jouissait pour la première fois dans cette nuit d’Afrique. Son orgasme prit la forme de spasmes puissants, comme des contractions et la fit se cambrer légèrement. Je mis toutes mes forces dans la bataille pour la satisfaire. Puis, elle coupa subitement son élan, je compris qu’elle avait besoin d’un moment pour reprendre ses esprits. Elle ferma les yeux, puis se tournant vers moi, les rouvra. Tout aussi décidée, elle prit ma bite entre ses doigts et me branla énergiquement. Quand nous nous étions rencontrés trois ans plus tôt, Marine avait une plus grande diversité d’expérience que moi et j’avais bien du mal à ne pas jouir presque instantanément à chaque fois qu’elle prenait ma bite en main. Ma fierté de jeune mâle en avait pris un coup, je culpabilisais d’être aussi prompt à éjaculer. Elle, de son côté, sous une apparence sage et romantique, aimait les rapports bruts, physiques et endurants, ne s’embarrassait pas trop de préliminaires et s’empressait de fourrer mon engin dans son sexe trempé. Les premières fois, désarmé par une telle envie et rapidité, je perdais très vite le contrôle de mon sexe, j’éjaculais en elle, et elle avait bien du mal à cacher sa frustration. Mais, mois après mois, après deux années, jusqu’à cette nuit, notre complicité s’était renforcée, elle savait qu’elle pouvait me branler sans vergogne et jusqu’à un certain point. Sans même que j’eus à lui suggérer de stopper, elle cessa nette sa manipulation experte sans lâcher mon engin qu’elle serra de ses deux mains de toute ses forces. Elle m’invita à venir au-dessus d’elle, tout en gardant mon sexe prisonnier de la pression de ses mains. Je pensais qu’elle allait m’enfourner dans sa chatte trempée, mais, à ma grande surprise, elle me suggéra de m’avancer, de telle manière à ce que mon sexe puisse s’emboiter entre ses seins. Elle me lâcha enfin, rapprocha ses seins volumineux qui tendaient naturellement à s’écarter, de fait, me proposa de faire coulisser mon sexe entre ses seins. Si, ado, je m’étais mille fois imaginé me branler entre les seins de Pamela Anderson, je n’avais jamais réussi à persévérer dans cette position, ni avec Marine, ni avec Perle de lycée. C’était pour Marine et moi, jusqu’à ce jour, une étape préliminaire, que nous esquissions sans grande virtuosité, un truc que nous avions l’un et l’autre vu dans des films pornos et que nous essayions de reproduire maladroitement. Une étape un peu fun, jamais une fin en soi. Cette nuit-là, les seins de Marine étaient étonnamment lourds et totalement trempés, ils se dressaient vers moi comme une éclatante fleur. Mon sexe était quant-lui très gonflé, et j’étais prêt à tenter une nouvelle expérience dans ce lit en bois massif, pour notre première nuit sur ce continent inconnu, celui de tous les possibles. Marine savait très bien ce qu’elle voulait, après avoir joui bruyamment, elle voulait me récompenser et elle avait bien l’intention que je me branle entre ses seins. Pour la première fois, j’éprouvais du plaisir à ce coulissement, mon sexe était réellement prisonnier des seins de Marine et elle m’invita à aller plus fort, plus vite. Ses mains pressaient ses seins qui pressaient mon sexe, c’était une sensation délicieuse que je n’avais jamais réussi à éprouver auparavant, Marine semblait quant-à elle satisfaite de la communion entre mon sexe et sa poitrine. Je jetais mon sexe vers l’avant, sa poitrine le freinait, faisant pression et frottement, le terme de branlette n’était donc pas usurpé ! Pour jouir, il fallait un mouvement puissant partant de mes fesses, relayé par mes hanches, glissant par ses seins. Et ces seins étaient un terrain de jeu parfait, pour le jeu que Marine souhaitait nous faire jouer. J’accélérais encore, je lançais à Marine une banalité du genre « j’adore tes seins ». Je n’aurais pu en dire plus, Marine, elle si à l’écoute des besoins sexuels quasi-quotidiens de son amoureux, si ouverte sur des tas de propositions inspirées du porno, parfois violentes, ne tolérait en revanche aucun écart verbal de ma part pouvant s’apparenter à de la vulgarité. Quelques mois plus tôt, alors que sa bouche aspirait mon sexe avec ardeur, j’avais maladroitement lancé un encourageant « pompe moi salope ! » qui l’avait stoppée nette, elle me lança un regard noir, observa une grève du sexe de trois jours et me fit promettre de ne plus jamais recommencer.
J’eus soudain la sensation que j’allais jouir entre ses seins, j’accélérais encore d’un cran, ses seins ayant l’effet de me branler frénétiquement, j’avertis Marine que j’allais enfin jouir, elle redressa la tête pour me voir éjaculer, et j’aspergeais d’un jet violent et abondant, ses rondeurs, son sillon, sa gorge et jusqu’à ses lèvres. Mon sperme, sous l’effet de la chaleur était lourd et visqueux, il se mêlait à la sueur qui recouvrait l’intégralité de nos corps. Marine étala ce magma un peu partout, sur mes fesses, sur mon torse, à mon tour j’étalais ma semence sur sa poitrine, sa gorge. Elle léchait mes doigts pour goûter cette sauce épicée, puis m’embrassait craignant que je ne participe pas à la dégustation. Nous étions maintenant là, sur ce lit massif, dans ces draps légers, trempés de sueur et de sperme mêlés, la gorge sèche, savourant l’air rafraichi du ventilateur dans cette chaleur moite.
Longtemps, nous nous sommes tenus la main, regardant le plafond et moi le sourire aux lèvres de vivre une pareille aventure avec une Marine aussi branchée que moi sur les choses les plus importantes de la vie. Nous ne dormions toujours pas, et l’odeur de mon sperme commençait à sentir vraiment fort dans cet air moite. Attenant à la chambre, une grande salle de bain avec une douche sommaire, un lavabo et un seau. Marine m’invita à la suivre, je bandais déjà, à nouveau. Je la savonnais, m’attardant longtemps sur ses seins et son sexe, elle me savonna à son tour s’attardant sur ma bite. Je mis en route la douche, l’eau glissait sur nous. Dans cette grande pièce, alors que j’aurais pu simplement lui suggérer de me prendre en bouche, j’eus soudainement envie d’une nouvelle expérience. Oui, l’espace était propice à la prendre en levrette, et dans mon for intérieur, je pensais même, peut-être, par derrière… Marine me l’avait proposé plusieurs fois, mais j’étais resté jusqu’ici bien timide, ne sachant pas, et elle non plus, par quel bout m’y prendre. Je me plaçais derrière elle, tentant de coulisser mon sexe ragaillardi entre la fente de ses fesses. Elle m’éconduit avec douceur, elle n’avait pas envie, du moins pas ce soir. Je n’insistais pas, d’autant plus que l’eau s’arrêta de couler. Première confrontation avec ce qui allait être la réalité quotidienne de nos trois mois sur le terrain : comment baiser sous la chaleur des nuits d’Afrique, sans avoir la possibilité de se rincer post-coït. Nous qui aimions tellement nous badigeonner des tous les liquides sortant de nos corps pendant le sexe ! C’est ainsi que nous allions découvrir d’autres odeurs venant de nous deux, plus ou moins agréables c’est vrai, mais la maladie, l’accès à l’eau, la chaleur feraient partie du voyage et n’empêcheraient pas nos rapprochements nocturnes.
Donc, cette première nuit en Afrique fut une nuit de sexe. Au petit matin, nous étions encore éveillés, nos membres engourdis, notre esprit prêt à plonger dans le sommeil, mais nous profitions enfin d’une relative fraîcheur, et des bruits de la ville qui s’éveille, le coq en action, le vrombissement d’une moto, des palabres matinales encore étouffées, les odeurs d’une bouillie qui se répend jusqu’à l’hôtel. Marine, sentant ma frustration, me branla énergiquement une dernière fois, puis elle s’endormit.
Nous étions tous deux à Cotonou. Nous venions vivre notre première nuit de sexe dans un hôtel sans luxe mais propret, pour touristes et expats blancs, plus quelques riches voyageurs d’affaires. J’étais heureux que cette expérience de vie, sur ce continent inconnu, commence sous des auspices aussi familiers, avec Marine. Pendant de longues minutes, je la regardais dormir lourdement, ses deux seins trop lourds déjà recouverts de sueur.
Dans quelques jours, nous quitterions ce nid douillet pour la vraie découverte, la vie dans un village de brousse où se situera notre prochaine aventure…Si vous souhaitez savoir de quelles nouvelles expériences, Marine et moi allions nous nourrir, vous retrouverez la prochaine nuit d’Afrique dans seulement quelques jours.
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