Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 133)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 133)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
- Année 1784 - : Il n'est pas bon de décevoir Le Marquis ! (2) -
Arrivée en cuisine, la jeune esclave peut enfin déposer son lourd plateau d'argent sur l'immense table de bois brut. Ici La Cuisinière règne en Maîtresse absolue sur toute une foule d'esclaves affairés aux tâches culinaires, au ménage et autres services... Mais il y a aussi quelques valets et soubrettes, qui la secondent et n'hésitent pas à jouer de la badine pour faire accélérer la cadence... La nouvelle venue vient à peine de se délester du plateau, que déjà, un valet obèse la saisit par le bras et la pousse jusqu'aux vastes éviers emplis d'eau tiède et de vaisselle entassée...
- "Allez femelle ! Nettoie et vite... Allons ! Et écarte bien les jambes et fait ressortir tes fesses " lance le valet tout en abattant sa badine sur la croupe de l'esclave...
Docile, la fille se met au travail, frottant et lavant assiettes, plats, couverts, avant de les passer à une autre qui se charge de les essuyer... C'est une ambiance particulièrement laborieuse qu'impose Marie, La Cuisinière qui règne sur ce petit monde (NDA : La coïncidence ayant voulu que la cuisinière des Origines de la Saga se passant en 1784 ait le même prénom que la cuisinière de la Saga se passant de nos jours). Elle même est sans cesse en mouvement, allant et venant d'un pas vif et décidé, claquant la nuque d'un esclave qui bâille aux corneilles, saisissant un couteau pour montrer comment mieux éplucher un légume, goûtant sauces et cuissons, ayant l'oeil à tout, l'oreille affûtée et l'esprit attentif à tout. Soudain La redoutable et sévère Cuisinière repère un esclave mâle qui s'est promptement emparé d'un bout de viande tombé au sol et l'a quasiment avalé, ne voulant pas être pris à mastiquer... Mais il n'est pas assez habile pour échapper à la vigilance de Celle qui fait régner l'ordre le plus strict entre Ses murs... Elle fond sur l'esclave, telle un impitoyable prédateur sur sa proie...
Elle le saisit par les cheveux et le gifle à la volée... Plusieurs fois... L'espace d'un bref instant, le plus lourd silence tombe sur la pièce... Mais un simple et bref coup d'oeil suffit à relancer la machine et le bruit d'une intense activité reprend, tandis que la Cuisinière jette d'une bourrade le fautif au sol... Un valet s'approche la badine dressée, afin de La seconder, mais d'un geste, Marie le renvoie. Elle est bien décidée à se charger seule de cet esclave fautif. Le tirant par son collier pour le mettre à terre, elle le force à ramper à travers la vaste pièce, jusqu'à un recoin où pendent des jambons. Les talons ferrés de ses chaussures de travail laissent des traces rouges sur le corps pâle de l'esclave qui gémit... Il rampe servilement jusqu'au coin et là, La Cuisinière le contraint à se redresser en le tirant à nouveau par les cheveux, cette fois. A nouveau, Elle le gifle... puis s'empare d'une pelote de ficelle à cuisson et lui entrave les poignets, lui fait relever les bras et le suspend à un croc, entre les jambons, le forçant à se tenir sur la pointe des orteils et tout le corps offert aux pires envies perverses de Marie... Elle fixe son regard sombre dans les yeux de l'esclave...
- "Voler de la nourriture, je ne connais pas pire crime en mon domaine !"
- "Pitié... " implore l'esclave... " je... " Une gifle le fait taire...
- "Tu vas payer... et je ne parle que de la sanction immédiate... Pour le reste, tu devras comparaître devant Monsieur Le Marquis et Ses Nobles Amis... mais pour le moment, ils ont mieux à faire... Donc je vais m'occuper de toi..." dit Marie d'une voix à faire trembler une statue ...
Tripotant sa pelote de ficelle à cuisson, elle regarde l'esclave qui se tortille un peu, pendu par les bras entre jambons, saucisses et énormes boudins... vulgaire morceau de chair parmi les charcutailles suspendues. Avec un sourire qui se voudrait malicieux mais qui pour bien des observateurs semblerait sans aucun doute diabolique, Marie défile une partie de la pelote et se penche vers le sexe de l'esclave mâle... avec fermeté, sans tenir compte des petits gémissements que ne peut taire le supplicié, elle commence à ligoter son sexe comme s'il s'agissait d'une saucisse... Elle le serre, le ligote, enserrant aussi les couilles dans son filet de corde... les parties bleuissent dans leur carcan de ficelle si serré et l'esclave gémit doucement... Lorsqu'elle a terminé, Marie coupe la corde et recule d'un pas, admirant son oeuvre. Parfaitement ficelé, le "paquet" de l'esclave est presque comparable à un morceau de charcuterie.
- "Bien ... tu finiras ta soirée ici" dit-elle abandonnant l'esclave suspendu, dans une si inconfortable position qu'il n'ose imaginer le serrement qu'il va endurer durant de longues heures ainsi suspendu et ligoté... Mais si dans la cuisine l'activité est fébrile, il n'en va pas de même dans tous les recoins de l'immense bâtisse ancestrale...
émeline ignore totalement où ont bien pu la mener les deux femmes qui lui ont fait traverser de si longs couloirs, monter et descendre d’étroits et abrupts escaliers de pierre en colimaçon, traverser des pièces dans lesquelles se déroulaient d'incroyables scènes orgiaques... De Grandes Dames et de Hauts Seigneurs, usant et abusant d'esclaves femelles et mâles, dans toutes les configurations imaginables, à deux, à plusieurs, mêlés et emmêlés... mais émeline n'a pas eu le temps de tout saisir des scènes qu'elle a croisées... Finalement, Kilima a fixé une laisse à son collier, afin de pouvoir mieux la diriger. Ensuite, la "gueuse" a vite compris ce que, l'on attendait d'elle. Elle a adapté sa progression à quatre pattes au rythme imposé par Kilima, tandis que Njaro restait un peu en retrait, n'hésitant pas à lui frapper les fesses d'une volée de verges si elle ne respectait pas le tempo imposé...
Après et encore un long périple à travers le labyrinthe du Château, les deux esclaves noires ont mené émeline dans une pièce ronde, haute et vide, voûtée mais assez vaste, aux pierres équarries et au salpêtre humide, tel un donjon. En son centre l'unique objet qui l'habille est une sorte de caisse de bois vernis. Mais une caisse, dans laquelle plusieurs trous ont été pratiqués... Soumise aux gestes autoritaires et efficaces de Kilima et Njaro, émeline s'allonge dans la caisse... puis les deux esclaves noires font jouer diverses traverses pratiquées dans le bois, afin de resserrer les parois qui peu à peu enserrent et immobilisent le corps d'émeline qui comprend mieux ce qui l'attend. A l'intérieur de la caisse, tendue de velours noir, les cinq trous pratiqués offrent un libre et total accès à la bouche, aux seins, au sexe et à l'anus de l'esclave... Ainsi immobilisée, prisonnière de ce sarcophage de bois précieux, émeline peut ainsi être livrée à bien des turpitudes. Mais elle ne peut savoir qui, comment, quand... aveuglée qu'elle est, émeline sent que sa nouvelle prison bouge, mais elle ne peut savoir que quatre puissants esclaves noirs, totalement nus à l'exception d'un fin pagne de tulle tombant devant leurs volumineux sexes pendants, viennent de se saisir de quatre poignées situées aux angles de la caisse et la soulèvent.
Puis, les quatre porteurs sortent de la pièce, traversent un long couloir capitonné et descendent le majestueux escalier qui mène jusqu'au vaste hall d'entrée du Château, puis vers le luxueux grand salon, où des invités dansent au son d'un orchestre de musiciens nus, aux yeux bandés... Les danseurs s'écartent au passage de l'étrange sarcophage que les porteurs déposent, à la verticale, au centre même du grand salon. Bien sur, la curiosité l'emporte et tous les Dames et Seigneurs présents convergent vers l'étrange objet... Une foule se presse maintenant et des exclamations fusent au fur et à mesure que chacun comprend de quoi il s'agit et de quel usage peut être ce nouvel objet imaginé par Le Marquis d'Evans.
Timidement, Un Homme se penche, tend le bras, du bout des doigts caresse un sein qui fait comme une douce excroissance échappée de sa chape de bois. Puis, il s'enhardit, caresse le globe si tendre, pince le téton... insiste... Alors, d'autres à leur tour osent... Les mains se font nombreuses, appréciant les quelques parties du corps d'émeline qui ont été laissées à leur disposition... Et puis, c'est Une Dame qui se lance... se penchant sur le coffre, elle hume les chairs intimes de l'esclave, titille doucement les lèvres de sa langue, puis la lèche avidement... C'est alors la curée... tous se précipitent, se bousculent... Oubliée soudain la préséance et les bonnes manières, ces intimes parties, ainsi offertes, excitent les plus bas instincts de cette si noble Assemblée... Bouches, doigts, sexes... tous s'emparent de cette offrande faite à leurs désirs. Dans sa boîte, émeline mouille de plaisir, malgré la fatigue, aussi immobile qu'une momie immobilisée dans son sarcophage, dans la plus totale incapacité à se soustraire à ces attouchements de plus en plus précis, de plus en plus appuyés, elle sent l’excitation, le plaisir monter... et soudain, un sexe qui force ses lèvres et s'enfonce dans sa gorge... des mains qui pétrissent ses seins, des doigts qui fouillent son sexe ouvert et dégoulinant de cyprine... jamais la "gueuse" n'avait ressenti une telle sensation... elle se sent déshumanisée, réduite à l'état d'objet sexuel, de réceptacle des plus diverses sécrétions humaines... elle n'est plus un corps, mais seulement des orifices, des trous de plaisirs et deux globes de chair, offerts en pâture à toutes et tous ceux qui le veulent...
Abandonnant Ses invités accaparés par les délices si divers qu'offre le vertical sarcophage d'émeline, Le Marquis d'Evans quitte discrètement le Grand Salon et rejoint le premier étage... Il passe devant la chambre du Marquis de Sade, où son cher Ami s'est retiré en compagnie de ses deux chiennes, juliette et justine... Des râles s'échappent d'ailleurs de la chambre, entrecoupés du claquement de ce qui est sans doute un fouet. Le Sire d'Evans ne s'attarde point et rejoint le large et long couloir qui rejoint les ailes Est et Ouest de Son Château. Un couloir de plus en plus fréquenté, tandis qu'il s'approche d'un palier qui se situe au coeur même de l'étage. Il entend des rires, des cris, émanant d'un regroupement très animé. Mais à son approche, le petit peuple réuni là se tait et la presse s'écarte... Tous reculent, avec courbettes, d'un pas afin de céder place Au Maître des Lieux. Tous sauf un homme en livrée de valet, les chausses baissées, et le sexe enfoncé jusqu'à la garde dans la bouche du "gueux" toujours enchaîné dans son alcôve et désormais à genoux en train de sucer le valet en question.
- "Allez, vas y salope ! Suce moi bien à fond, comme tu as sucé tous les autres !"
S'esclaffe le domestique que le silence qui s'est soudain abattu sur le couloir fait soudain hésiter. Il se tourne et découvre Le Marquis, son Maître qui l'observe bras croisés, au regard glacial... Dans sa bouche philippe sent la queue du valet qui soudainement devient flasque. L'esclave ne comprend pas, jusqu'à ce qu'il entende La Voix de son Maître, aussi dure et froide que l'acier...
- "N'y a-t-il donc rien à faire en ce Château ?"
Tout en remontant ses chausses, le valet tente de bredouiller des excuses pour cet oubli... abandonné par ses compagnons qui ont au plus vite détalé afin de regagner leurs fonctions en divers coins de La Noble Demeure... Le valet "la queue entre les jambes" s'éloigne maladroitement et Le Marquis se penche sur son esclave dont la bouche dégouline de semence masculine...
- "Tu sembles avoir été fort bien nourri, chien !" constate Le Marquis qui force l'esclave à se redresser. "Je n'ai eu que une (il gifle philippe), deux (autre gifle) trois (gifle et ainsi jusqu'à la septième et dernière gifle)... Sept feuillets seulement ! Je t'avais prévenu, sale chien ! Mais tu ne m'as sans doute pas pris au sérieux..."
- "Mais si... si Maître, je Vous jure !" s'exclame le "gueux"
- "Silence ! Les faits parlent d'eux même et je ne puis en aucun cas tolérer une telle désobéissance. Tu seras donc puni, ainsi que la chienne qui nourrit ton récit" affirme froidement Le Marquis d'Evans qui poursuit "ce soir, comme tous mes esclaves vous faites partie des attractions que j'offre à mes invités ... C'est une grande soirée, puisque nous intronisons cinq nouveaux membres de Notre Noble Confrérie. Je sais que trois d'entre Eux sont déjà passés par là. Ils sont venus me dire qu’ils ont apprécié ton petit cul de chienne et je leur ai promis de leur accorder un séjour durant lequel tu seras totalement dévolu au service de Leurs Queues. Mais là n'est pas l'actualité... Ce soir, j'attends de toi que tu combles tous les désirs de mes invités avec le plus grand dévouement... Et dès demain, dimanche, tu subiras le châtiment en compagnie de ta complice... Assez parlé, tourne toi et tends ta croupe, chien !! Je vais te faire l'honneur de t'enculer en guise de prélude à ce qui t’attend ..."
Docilement, philippe se tourne vers le mur et s'incline afin de faire saillir sa croupe, marquée des divers sévices subis depuis les longues heures qu'a durées son exposition dans l'alcôve. Le Marquis le saisit aux hanches tandis que l'esclave s'aide de ses mains afin d'ouvrir au mieux son cul déjà tellement dilaté par les sodomies en série qui ont suivi les longues heures passées auparavant empalé sur le tabouret du cachot... C'est donc avec une déroutante facilité que Le Marquis pousse son Sexe dur et tendu entre les fesses de l'esclave qu'il baise lentement, poussant aussi profond qu'il se peut Sa Verge épaisse, ne se contentant pas de baiser l'esclave mais le possédant totalement, affirmant par cette pénétration Son Pouvoir, Son Emprise, Son Droit absolu à disposer de l'insignifiante créature...
- "Tu m'appartiens, tu es mon chien, ma chose... Je veux l'entendre, chien" tonne Le Marquis en claquant la croupe déjà tellement marquée...
- "je Vous appartiens, Maître. je Vous appartiens corps et âme (soupire philippe qui gémit sous la poussée de La Queue de son Maître qui va et vient en lui) ... aaarhhhhh..... Vous pouvez disposer de moi comme bon Vous semble, autant qu'il Vous plait, pour Votre usage ou celui de qui il Vous plaira oooohhhh !!!!",
geint l'esclave tandis que Le Marquis prend tout Son Temps pour le baiser... Nul ne vient déranger Le Seigneur tandis qu'il use ainsi de ce qui Lui appartient. Et lorsqu'il se répand en l'esclave, Le Marquis oblige celui-ci à se tourner et à s'agenouiller, usant alors de sa bouche pour nettoyer Son Membre Viril...
- "Je vais t'envoyer quelques Amis" lance négligemment Le Marquis en s'éloignant "tu me sembles quelque peu désoeuvré et je n'aime guère que mes esclaves restent oisifs, ne fut-ce qu'un instant, ha ! ha ! ha !"...
Tremblant, philippe s'appuie un instant contre le mur de l'alcôve... il ne ressent qu'admiration et soumission envers La Silhouette qui s'éloigne et un seul désir désormais : Toujours Lui appartenir et ne plus jamais le décevoir...
(à suivre)
- Année 1784 - : Il n'est pas bon de décevoir Le Marquis ! (2) -
Arrivée en cuisine, la jeune esclave peut enfin déposer son lourd plateau d'argent sur l'immense table de bois brut. Ici La Cuisinière règne en Maîtresse absolue sur toute une foule d'esclaves affairés aux tâches culinaires, au ménage et autres services... Mais il y a aussi quelques valets et soubrettes, qui la secondent et n'hésitent pas à jouer de la badine pour faire accélérer la cadence... La nouvelle venue vient à peine de se délester du plateau, que déjà, un valet obèse la saisit par le bras et la pousse jusqu'aux vastes éviers emplis d'eau tiède et de vaisselle entassée...
- "Allez femelle ! Nettoie et vite... Allons ! Et écarte bien les jambes et fait ressortir tes fesses " lance le valet tout en abattant sa badine sur la croupe de l'esclave...
Docile, la fille se met au travail, frottant et lavant assiettes, plats, couverts, avant de les passer à une autre qui se charge de les essuyer... C'est une ambiance particulièrement laborieuse qu'impose Marie, La Cuisinière qui règne sur ce petit monde (NDA : La coïncidence ayant voulu que la cuisinière des Origines de la Saga se passant en 1784 ait le même prénom que la cuisinière de la Saga se passant de nos jours). Elle même est sans cesse en mouvement, allant et venant d'un pas vif et décidé, claquant la nuque d'un esclave qui bâille aux corneilles, saisissant un couteau pour montrer comment mieux éplucher un légume, goûtant sauces et cuissons, ayant l'oeil à tout, l'oreille affûtée et l'esprit attentif à tout. Soudain La redoutable et sévère Cuisinière repère un esclave mâle qui s'est promptement emparé d'un bout de viande tombé au sol et l'a quasiment avalé, ne voulant pas être pris à mastiquer... Mais il n'est pas assez habile pour échapper à la vigilance de Celle qui fait régner l'ordre le plus strict entre Ses murs... Elle fond sur l'esclave, telle un impitoyable prédateur sur sa proie...
Elle le saisit par les cheveux et le gifle à la volée... Plusieurs fois... L'espace d'un bref instant, le plus lourd silence tombe sur la pièce... Mais un simple et bref coup d'oeil suffit à relancer la machine et le bruit d'une intense activité reprend, tandis que la Cuisinière jette d'une bourrade le fautif au sol... Un valet s'approche la badine dressée, afin de La seconder, mais d'un geste, Marie le renvoie. Elle est bien décidée à se charger seule de cet esclave fautif. Le tirant par son collier pour le mettre à terre, elle le force à ramper à travers la vaste pièce, jusqu'à un recoin où pendent des jambons. Les talons ferrés de ses chaussures de travail laissent des traces rouges sur le corps pâle de l'esclave qui gémit... Il rampe servilement jusqu'au coin et là, La Cuisinière le contraint à se redresser en le tirant à nouveau par les cheveux, cette fois. A nouveau, Elle le gifle... puis s'empare d'une pelote de ficelle à cuisson et lui entrave les poignets, lui fait relever les bras et le suspend à un croc, entre les jambons, le forçant à se tenir sur la pointe des orteils et tout le corps offert aux pires envies perverses de Marie... Elle fixe son regard sombre dans les yeux de l'esclave...
- "Voler de la nourriture, je ne connais pas pire crime en mon domaine !"
- "Pitié... " implore l'esclave... " je... " Une gifle le fait taire...
- "Tu vas payer... et je ne parle que de la sanction immédiate... Pour le reste, tu devras comparaître devant Monsieur Le Marquis et Ses Nobles Amis... mais pour le moment, ils ont mieux à faire... Donc je vais m'occuper de toi..." dit Marie d'une voix à faire trembler une statue ...
Tripotant sa pelote de ficelle à cuisson, elle regarde l'esclave qui se tortille un peu, pendu par les bras entre jambons, saucisses et énormes boudins... vulgaire morceau de chair parmi les charcutailles suspendues. Avec un sourire qui se voudrait malicieux mais qui pour bien des observateurs semblerait sans aucun doute diabolique, Marie défile une partie de la pelote et se penche vers le sexe de l'esclave mâle... avec fermeté, sans tenir compte des petits gémissements que ne peut taire le supplicié, elle commence à ligoter son sexe comme s'il s'agissait d'une saucisse... Elle le serre, le ligote, enserrant aussi les couilles dans son filet de corde... les parties bleuissent dans leur carcan de ficelle si serré et l'esclave gémit doucement... Lorsqu'elle a terminé, Marie coupe la corde et recule d'un pas, admirant son oeuvre. Parfaitement ficelé, le "paquet" de l'esclave est presque comparable à un morceau de charcuterie.
- "Bien ... tu finiras ta soirée ici" dit-elle abandonnant l'esclave suspendu, dans une si inconfortable position qu'il n'ose imaginer le serrement qu'il va endurer durant de longues heures ainsi suspendu et ligoté... Mais si dans la cuisine l'activité est fébrile, il n'en va pas de même dans tous les recoins de l'immense bâtisse ancestrale...
émeline ignore totalement où ont bien pu la mener les deux femmes qui lui ont fait traverser de si longs couloirs, monter et descendre d’étroits et abrupts escaliers de pierre en colimaçon, traverser des pièces dans lesquelles se déroulaient d'incroyables scènes orgiaques... De Grandes Dames et de Hauts Seigneurs, usant et abusant d'esclaves femelles et mâles, dans toutes les configurations imaginables, à deux, à plusieurs, mêlés et emmêlés... mais émeline n'a pas eu le temps de tout saisir des scènes qu'elle a croisées... Finalement, Kilima a fixé une laisse à son collier, afin de pouvoir mieux la diriger. Ensuite, la "gueuse" a vite compris ce que, l'on attendait d'elle. Elle a adapté sa progression à quatre pattes au rythme imposé par Kilima, tandis que Njaro restait un peu en retrait, n'hésitant pas à lui frapper les fesses d'une volée de verges si elle ne respectait pas le tempo imposé...
Après et encore un long périple à travers le labyrinthe du Château, les deux esclaves noires ont mené émeline dans une pièce ronde, haute et vide, voûtée mais assez vaste, aux pierres équarries et au salpêtre humide, tel un donjon. En son centre l'unique objet qui l'habille est une sorte de caisse de bois vernis. Mais une caisse, dans laquelle plusieurs trous ont été pratiqués... Soumise aux gestes autoritaires et efficaces de Kilima et Njaro, émeline s'allonge dans la caisse... puis les deux esclaves noires font jouer diverses traverses pratiquées dans le bois, afin de resserrer les parois qui peu à peu enserrent et immobilisent le corps d'émeline qui comprend mieux ce qui l'attend. A l'intérieur de la caisse, tendue de velours noir, les cinq trous pratiqués offrent un libre et total accès à la bouche, aux seins, au sexe et à l'anus de l'esclave... Ainsi immobilisée, prisonnière de ce sarcophage de bois précieux, émeline peut ainsi être livrée à bien des turpitudes. Mais elle ne peut savoir qui, comment, quand... aveuglée qu'elle est, émeline sent que sa nouvelle prison bouge, mais elle ne peut savoir que quatre puissants esclaves noirs, totalement nus à l'exception d'un fin pagne de tulle tombant devant leurs volumineux sexes pendants, viennent de se saisir de quatre poignées situées aux angles de la caisse et la soulèvent.
Puis, les quatre porteurs sortent de la pièce, traversent un long couloir capitonné et descendent le majestueux escalier qui mène jusqu'au vaste hall d'entrée du Château, puis vers le luxueux grand salon, où des invités dansent au son d'un orchestre de musiciens nus, aux yeux bandés... Les danseurs s'écartent au passage de l'étrange sarcophage que les porteurs déposent, à la verticale, au centre même du grand salon. Bien sur, la curiosité l'emporte et tous les Dames et Seigneurs présents convergent vers l'étrange objet... Une foule se presse maintenant et des exclamations fusent au fur et à mesure que chacun comprend de quoi il s'agit et de quel usage peut être ce nouvel objet imaginé par Le Marquis d'Evans.
Timidement, Un Homme se penche, tend le bras, du bout des doigts caresse un sein qui fait comme une douce excroissance échappée de sa chape de bois. Puis, il s'enhardit, caresse le globe si tendre, pince le téton... insiste... Alors, d'autres à leur tour osent... Les mains se font nombreuses, appréciant les quelques parties du corps d'émeline qui ont été laissées à leur disposition... Et puis, c'est Une Dame qui se lance... se penchant sur le coffre, elle hume les chairs intimes de l'esclave, titille doucement les lèvres de sa langue, puis la lèche avidement... C'est alors la curée... tous se précipitent, se bousculent... Oubliée soudain la préséance et les bonnes manières, ces intimes parties, ainsi offertes, excitent les plus bas instincts de cette si noble Assemblée... Bouches, doigts, sexes... tous s'emparent de cette offrande faite à leurs désirs. Dans sa boîte, émeline mouille de plaisir, malgré la fatigue, aussi immobile qu'une momie immobilisée dans son sarcophage, dans la plus totale incapacité à se soustraire à ces attouchements de plus en plus précis, de plus en plus appuyés, elle sent l’excitation, le plaisir monter... et soudain, un sexe qui force ses lèvres et s'enfonce dans sa gorge... des mains qui pétrissent ses seins, des doigts qui fouillent son sexe ouvert et dégoulinant de cyprine... jamais la "gueuse" n'avait ressenti une telle sensation... elle se sent déshumanisée, réduite à l'état d'objet sexuel, de réceptacle des plus diverses sécrétions humaines... elle n'est plus un corps, mais seulement des orifices, des trous de plaisirs et deux globes de chair, offerts en pâture à toutes et tous ceux qui le veulent...
Abandonnant Ses invités accaparés par les délices si divers qu'offre le vertical sarcophage d'émeline, Le Marquis d'Evans quitte discrètement le Grand Salon et rejoint le premier étage... Il passe devant la chambre du Marquis de Sade, où son cher Ami s'est retiré en compagnie de ses deux chiennes, juliette et justine... Des râles s'échappent d'ailleurs de la chambre, entrecoupés du claquement de ce qui est sans doute un fouet. Le Sire d'Evans ne s'attarde point et rejoint le large et long couloir qui rejoint les ailes Est et Ouest de Son Château. Un couloir de plus en plus fréquenté, tandis qu'il s'approche d'un palier qui se situe au coeur même de l'étage. Il entend des rires, des cris, émanant d'un regroupement très animé. Mais à son approche, le petit peuple réuni là se tait et la presse s'écarte... Tous reculent, avec courbettes, d'un pas afin de céder place Au Maître des Lieux. Tous sauf un homme en livrée de valet, les chausses baissées, et le sexe enfoncé jusqu'à la garde dans la bouche du "gueux" toujours enchaîné dans son alcôve et désormais à genoux en train de sucer le valet en question.
- "Allez, vas y salope ! Suce moi bien à fond, comme tu as sucé tous les autres !"
S'esclaffe le domestique que le silence qui s'est soudain abattu sur le couloir fait soudain hésiter. Il se tourne et découvre Le Marquis, son Maître qui l'observe bras croisés, au regard glacial... Dans sa bouche philippe sent la queue du valet qui soudainement devient flasque. L'esclave ne comprend pas, jusqu'à ce qu'il entende La Voix de son Maître, aussi dure et froide que l'acier...
- "N'y a-t-il donc rien à faire en ce Château ?"
Tout en remontant ses chausses, le valet tente de bredouiller des excuses pour cet oubli... abandonné par ses compagnons qui ont au plus vite détalé afin de regagner leurs fonctions en divers coins de La Noble Demeure... Le valet "la queue entre les jambes" s'éloigne maladroitement et Le Marquis se penche sur son esclave dont la bouche dégouline de semence masculine...
- "Tu sembles avoir été fort bien nourri, chien !" constate Le Marquis qui force l'esclave à se redresser. "Je n'ai eu que une (il gifle philippe), deux (autre gifle) trois (gifle et ainsi jusqu'à la septième et dernière gifle)... Sept feuillets seulement ! Je t'avais prévenu, sale chien ! Mais tu ne m'as sans doute pas pris au sérieux..."
- "Mais si... si Maître, je Vous jure !" s'exclame le "gueux"
- "Silence ! Les faits parlent d'eux même et je ne puis en aucun cas tolérer une telle désobéissance. Tu seras donc puni, ainsi que la chienne qui nourrit ton récit" affirme froidement Le Marquis d'Evans qui poursuit "ce soir, comme tous mes esclaves vous faites partie des attractions que j'offre à mes invités ... C'est une grande soirée, puisque nous intronisons cinq nouveaux membres de Notre Noble Confrérie. Je sais que trois d'entre Eux sont déjà passés par là. Ils sont venus me dire qu’ils ont apprécié ton petit cul de chienne et je leur ai promis de leur accorder un séjour durant lequel tu seras totalement dévolu au service de Leurs Queues. Mais là n'est pas l'actualité... Ce soir, j'attends de toi que tu combles tous les désirs de mes invités avec le plus grand dévouement... Et dès demain, dimanche, tu subiras le châtiment en compagnie de ta complice... Assez parlé, tourne toi et tends ta croupe, chien !! Je vais te faire l'honneur de t'enculer en guise de prélude à ce qui t’attend ..."
Docilement, philippe se tourne vers le mur et s'incline afin de faire saillir sa croupe, marquée des divers sévices subis depuis les longues heures qu'a durées son exposition dans l'alcôve. Le Marquis le saisit aux hanches tandis que l'esclave s'aide de ses mains afin d'ouvrir au mieux son cul déjà tellement dilaté par les sodomies en série qui ont suivi les longues heures passées auparavant empalé sur le tabouret du cachot... C'est donc avec une déroutante facilité que Le Marquis pousse son Sexe dur et tendu entre les fesses de l'esclave qu'il baise lentement, poussant aussi profond qu'il se peut Sa Verge épaisse, ne se contentant pas de baiser l'esclave mais le possédant totalement, affirmant par cette pénétration Son Pouvoir, Son Emprise, Son Droit absolu à disposer de l'insignifiante créature...
- "Tu m'appartiens, tu es mon chien, ma chose... Je veux l'entendre, chien" tonne Le Marquis en claquant la croupe déjà tellement marquée...
- "je Vous appartiens, Maître. je Vous appartiens corps et âme (soupire philippe qui gémit sous la poussée de La Queue de son Maître qui va et vient en lui) ... aaarhhhhh..... Vous pouvez disposer de moi comme bon Vous semble, autant qu'il Vous plait, pour Votre usage ou celui de qui il Vous plaira oooohhhh !!!!",
geint l'esclave tandis que Le Marquis prend tout Son Temps pour le baiser... Nul ne vient déranger Le Seigneur tandis qu'il use ainsi de ce qui Lui appartient. Et lorsqu'il se répand en l'esclave, Le Marquis oblige celui-ci à se tourner et à s'agenouiller, usant alors de sa bouche pour nettoyer Son Membre Viril...
- "Je vais t'envoyer quelques Amis" lance négligemment Le Marquis en s'éloignant "tu me sembles quelque peu désoeuvré et je n'aime guère que mes esclaves restent oisifs, ne fut-ce qu'un instant, ha ! ha ! ha !"...
Tremblant, philippe s'appuie un instant contre le mur de l'alcôve... il ne ressent qu'admiration et soumission envers La Silhouette qui s'éloigne et un seul désir désormais : Toujours Lui appartenir et ne plus jamais le décevoir...
(à suivre)
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