Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 175)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 175)
- Année 1785 (Suite de l'épisode 172) - (Nouvelle année sur Les Terres d'Evans) : blandine et pietro, cette union que les chaînes vont sceller...
Les feux de la fête s'étaient éteints peu à peu, la plupart des Invités se devant de rejoindre leurs Nobles Familles... Monsieur de La Pérouse ayant à préparer son expédition prochaine, tandis que Gilbert du Motier dit le Marquis de La Fayette était attendu à la Cour, où la reine Marie-Antoinette le voulait auprès d'Elle. Tout autant, pour le moins, que la maîtresse en titre du Marquis, Aglaê de Barbantane, comtesse d'Hunolstein, dont il se chuchotait dans les longs couloirs de Versailles qu'elle aimait à se faire chauffer les fesses par une ferme fessée de son aristocratique amant, le Marquis de La Fayette. Ainsi, 1784 s'était achevée par un brillant évènement, le Marquis d'Evans ayant accueilli en Son Château la plus brillante compagnie, offrant à Ses hôtes prestigieux les services attentifs et dévoués d'une foule docile d'esclaves mâles et femelles...
Chevauchant de bon matin en compagnie du Marquis de Sade, Le Marquis Charles-Alexandre d'Evans savourait la fraîcheur de ces premiers jours de 1785... Les deux Seigneurs et amoureux de la littérature devisaient à propos des événements écoulés et de leurs projets respectifs. Sade évoquant avec passion son "Salo ou les 120 journées de Sodome", tandis que le Maître du Domaine envisageait une "Chronique"de ces années si stimulantes (Les générations futures, sa propre Descendance saurait ainsi tout ce qu’il a réalisé) dont il se sentait à la fois acteur et observateur, riche qu'il était des relations les plus diverses....
En rentrant en son Château, cependant, il avait déjà une affaire d'importance à régler ! En effet, lors de la soirée du réveillon, Le Marquis avait offert sans trop y penser l'un de ses esclaves, (un jeune citoyen de Venise, venu jusqu'à Lui quelques mois plus tôt sur la recommandation d'un Noble proche du Doge) à l'épouse du très influent Contrôleur Général des Finances, Monsieur de Calonne. Le fait en soi avait peu d'importance. L'esclave était docile et sa nature le portait à apprécier grandement la situation qui lui était faite. Cadet d'une famille de petite noblesse, il n'avait guère d'avenir à Venise, d'autant que son attirance pour les garçons autant que pour les dames lui avait valu une sulfureuse réputation... "il fanculo" comme on l'avait surnommé avait été heureux de quitter La Sérénissime avant de finir dans une geôle du Pont des Soupirs. Et grâce à ce parent intime du Doge et du Marquis, il avait pu passer en France, où il s'était avec bonheur soumis à L'Autorité du Seigneur d'Evans, devenant un petite présent fort apprécié des couples d'invités appréciant de partager un même partenaire. En fonction des goûts des invités du Marquis, "il fanculo" pouvait se présenter nu comme un ver, en jeune homme voire en robe, son corps gracile et ses membres fins le rendant fort crédible en fille…
C'était d'ailleurs pour un double usage que Marie-Joséphine Marquet de Mont-Saint-Peyre avait souhaité devenir la propriétaire du jeune homme... afin parfois de la soulager des assiduités de son époux... Pour l'heure cependant, Le Marquis n'ignorait pas que La Dame de Mont-Saint-Peyre était en train de profiter des douces lèvres de l'esclave transalpin ... Dans sa chambre, Marie-Joséphine était en effet renversée sur son lit, les multiples froufrous de ses jupes remontés sur le ventre, le haut de ses cuisses nu et entre ses épaisses cuisses largement ouvertes était enfoui le visage de pietro "il fanculo", plongé au plus profond d'une grotte envahie d'une épaisse frondaison. Mais le jeune homme est gourmand... et fort bien dressé ! Quelques mois d'esclavage auprès Du Marquis avaient fait de lui un expert en léchages et au-dessus de lui, La Dame gémissait très fort, ses cuisses tremblotaient tandis que la langue longue et habile la titillait si bien qu'elle en était parcourue par une onde de plaisir sans fin... Ce n'était que cris et soupirs. Depuis le couloir, on entendait des gémissements, des mots sans suite et mal articulés.
- "Vite !", "doucement"... "Arrête !", "continue !" ... les contradictions s'enchaînent. la parole s'affole. "Ah ! ah ! OOohhh ! mon petit chien ! ... Vite ! Vite ! Arrhhh ! OOh je meurs, Ouiiiiiii !!!"
Et pietro, esclave dévoué, ne cesse d'offrir la caresse de sa langue à l'intimité maintenant dégoulinante de La Dame dont le corps est secoué de spasmes et dont les cuisses enserrent son visage à l'étouffer. Stoïquement, il la lèche, s'abreuvant de Son Plaisir, savourant la jouissance comme un divin Nectar. Et lorsqu'elle se détend enfin, s'affale, immobile, il demeure ainsi... n'offrant plus que son souffle léger au con largement ouvert de Celle qui depuis hier est sa Maîtresse et dont il est l'esclave. Saisissant les cheveux du jeune homme, Madame de Mont-Saint-Peyre l'attire à elle, elle aime à sentir son jeune corps musclé qui remonte sur elle et vient se coller à ses épaisses étoffes... Elle le prend entre Ses Bras, le serre tant elle est plus épaisse et plus forte...
- "Mmhh mon petit chien, mon esclave... parle-moi de cette Cité des Doges où tu fus élevé avant que de devenir cette délicieuse créature dont je suis La si comblée Propriétaire"
- "Eh bien Madame, (déclame le jeune esclave avec emphase) je ne sais ce qu'est vraiment la France, dont je ne connais que ce domaine, où je fus dressé, ni ce que l'on fait dans la froide Angleterre. Mais je puis Vous dire que Venise est un pays de cocagne, où l'on fout à coeur joie ! Dans les palais comme dans les ruelles, le plaisir règne en Maître absolu. Il y circule d'anonymes éloges du vit, des sonnets à la gloire du con, et encore des leçons pour bien foutre ! Il est partout des échoppes où l'on Vous vend recettes et ingrédients pour se faire aimer, pour faire durcir les queues et s'enflammer les chattes …"
- "Mmmhh, mon petit chien et toi là dedans qui étais tu ?"
- "Madame, ma Maîtresse vénérée, ma déesse, j'étais le mari des femmes et la femme de leurs maris... Un peu trop sans doute, car je fus dénoncé et la fouterie est partout, mais on n'en doit parler. Aussi fus-je pourchassé et fort heureux de trouver ici refuge"
- "Mais tu y étais esclave... et désormais mon petit chien, est-ce là un destin ?"
- "Que puis-je rêver de plus exquis, ma Divine Maîtresse ? J'étais né esclave mais je n'en savais rien... j'aimais à me faire attacher et fesser... par celles et ceux qui en émettaient le désir, mais jamais je n'avais compris combien il est doux de trouver sa vraie place... (le léger accent du jeune vénitien était gagné d'un léger tremblement) Monsieur Le Marquis D’Evans a su me révéler à moi-même et me permettre de devenir sans artifices ce que je suis ! Et désormais c'est à Vos Pieds que je ramperai pour Vos Plaisirs ou ceux de Votre époux à jamais je vivrai et Vous servirai …"
- "Mmhh vil flatteur !" lance La Dame d’un ton sévère, tout en poussant l'esclave au bas du lit.
En un mouvement d'une étonnante vivacité elle a rabattu ses jupons et atterrit au pied du lit, debout au dessus de l'esclave nu, qui demeure au sol... "il fanculo" a saisi la métamorphose, il se prosterne, son visage est au sol, ses reins se cambrent, sa croupe se redresse... tandis que Madame de Mont-Saint-Peyre enfile Ses chaussures et vient en pointer une devant le nez de l'esclave :
- "Lèche celui-ci maintenant, chien !" ordonne-t-elle et l'esclave obéit.
Dardant la langue qui un instant plus tôt savourait le bouton de rose de sa Maîtresse, il lèche le cuir de la chaussure qui lui est présentée... le jeune homme exubérant s'est, en un clin d'oeil mué en une créature humble et servile... le goût du cuir emplit sa bouche, chassant les relents parfumés et salés du plaisir qui y coulait un court instant plus tôt. Puis la chaussure se retire
- "Relève toi !" l'ordre claque comme un fouet, "les mains sur la cheminée, cambré, chien ! présentes moi ton cul" éructe L'épouse du Contrôleur général dont la voix a abandonné toute douceur languide...
L'esclave obéit et à peine est-il en position, que La Dame se saisit d'une bougie et l'enfonce sans préalables dans le fondement de l'esclave qui, bien qu'ayant le cul bien formaté, ne peut retenir un bref gloussement...
- "Silence !" lance Madame, qui s'étant saisie de lanières de cuir, commence à lui fouetter le cul et les cuisses... - "Il va t'en cuire, vil chien ! (et les coups pleuvent) saches le, je ne puis permettre à un esclave de me voir ainsi à l'abandon. Tu as osé, tu dois donc être châtié ! Mais saches que si tu ne me mènes pas à chaque fois au plaisir, tu seras puni, plus durement encore !"
Et les lanières de cuir claquaient sur la peau, laissant la trace rougie de leur passage... jusqu'à ce que le bras retombe, fatigué. Tremblant, "il fanculo" le petit esclave vénitien craignait une nouvelle volée, mais il n'en fut rien. tout au contraire, sa Dame revint tout près, déposant un baiser dans son cou humide de sueur
- "Mmhh mon petit chien... tu as été bien sage (la main allait et venait sur sa croupe, suivant les courbes des sillons rougis de la punition infligée) tu vas me plaire, tu me plais déjà et tu plairas à mon époux ! J'ai quelque chose pour toi, mais d'abord, il faut te soulager, ha ! ha ! ha ! …"
La dame laisse l'esclave et va ouvrir sa porte, claquant dans ses mains avec autorité et d’un voix autoritaire :
- "Blandine ! Blandine, ici, tout de suite !"
Une jeune fille à l'air timide, vêtue d'un jupon froissé et la poitrine nue, ouvre la petite porte face à celle de sa Maîtresse et franchit promptement le couloir en tenant fermement un petit pot... sans un mot, elle s'avance jusqu'à "il fanculo" qui n'a pas bougé, elle ouvre son pot et trempe sa main dans une crème brune qu'elle répand ensuite sur les traces de flagellation... douceur et fraîcheur soulagent prestement l'esclave sous les yeux satisfaits de la Maîtresse.
- "Suffit !" lance-t-elle et l'humble blandine stoppe et dépose le pot sur le linteau de la cheminée.
- "Ici !" ordonne La Maîtresse et blandine s'avance vers Elle...
S'immobilisant tout près de La Dame, blandine baisse la tête... La Noble Dame tend le bras et saisit fermement un téton de la jeune femme dans la pince de deux doigts qui serrent fortement, jusqu'à sentir le bouton de chair qui durcit et une grimace apparaître sur le visage quelconque de la servante.
- "Ne joue pas avec moi de tes airs innocents. Je sais que tu n'es qu'une catin qui ouvre son con comme son cul à la verge de mon époux ..."
- "Mais... M'dame, c'est que..." bredouille la jeune femme en grimaçant
- "Silence ! Qu'aurais tu à dire ! ? Tu ne peux refuser ? Bien sûr puisque tu Lui appartiens comme à moi ! cela ne te disculpe pas pour autant de ton comportement ! Putain ! Avoue !!" lance la femme en serrant plus fort encore
- "Aïe ! aaahh oui ! ... Oui M'dame, je ne suis qu'une putain. ouiii ! Vous avez raison Maîtresse..." Cette dernière relâche enfin la pression sur le téton meurtri
- "C'est bien... va rejoindre mon chien. Et toi, langue trop agile, redresse toi un peu !"
Blandine rejoint pietro (c’est le véritable prénom de "il fanculo") et tous deux se tiennent debouts, tête basse, face à leur Maîtresse...
- "Ote ton jupon, je veux voir ta chatte !"
Et blandine laisse choir son jupon élimé, apparaissant totalement nue à La Maîtresse qui s'approche et passe Sa Main entre les cuisses, fouillant les chairs, constatant avec plaisir que pubis et entrecuisse ont été récemment épilés...
- "Parfait, lisse comme au premier jour... Je disais bien que tu n'es qu'une catin ! (puis elle pose le regard sur les parties intimes de l'esclave mâle) Il faudra bien entretenir cela... Je veux que mon chien soit parfaitement lisse !"
- "Bien Madame", murmure l'esclave avec sa pointe d'accent vénitien...
- "Va t'asseoir, là, dans le fauteuil !" lance La Dame en indiquant une ample bergère. pietro y prend place
- "Et toi, petite catin va t'asseoir à califourchon sur ses genoux... (l'esclave obéit) Bien ! Relève tes jambes et pose les sur les épaules de ce chien ! Et toi, tiens là par les hanches... oui comme ça ! Bien... Tu bandes chien ?"
- "Oui Madame..."
- "Parfait, alors fourre là ! Que Diantre ! Qu'attends tu ! ?"
- "Oui, Maîtresse; oui..." et d'un mouvement du bassin, pietro pénètre blandine
- "Allez !! Allons, baises là... Mieux que ça !! "
Et peu à peu, les deux esclaves baisent sans retenue, sans plus avoir besoin des encouragements de leur Maîtresse qui contemple les deux corps enlacés, les petits sursauts de la putain de jeune femme au fur et à mesure que la queue du mâle va et vient en elle... blandine renverse la tête en arrière, gémissante, tandis que pietro commence à haleter, lorsque...
- "Suffit ! Lâche là et toi reviens ici !" dit Madame de Mont-Saint-Peyre.
Tout en tirant les cheveux de la soumise qui ne peut que se retirer, abandonnant le mâle avec sa queue tendue et privée de son fourreau de chair... Toujours tenue par les cheveux, blandine est affalée aux pieds de sa Maîtresse et pietro abandonne le fauteuil pour venir s'agenouiller face à Elle... tous deux ont le souffle court du plaisir approché de si près et si brutalement interrompu...
- "Nul plaisir sans que j'y ai consenti ! Telle est La Règle ! Mais il me plaira parfois d'y consentir... peut-être, car sachez le déjà, je vais vous marier !"
Les deux esclaves ne peuvent contenir l'air abasourdi qui envahit leurs visages
- "Oui, je tiens à la décence des choses. Je ne saurai vous permettre de copuler sans y avoir mis bon ordre. aussi, je vais vous marier, ici même sur les terres De Monsieur le Marquis. Je lui en ai parlé, Il y consent !"....
Comme il ne s'agissait que d'esclaves et que La Dame était pressée de retourner à Paris, informer Son cher époux de sa dernière petite folie, la cérémonie fut brève. Dans une pièce voûtée des sous-sols du Château, un autel avait été érigé... Là, le prêtre, complice du Marquis, était venu du village prêt à officier. Seuls assistaient Les deux Marquis d'Evans et Sade ainsi que Madame Marquet de Mont-Saint-Peyre. Tous trois feraient office de témoins... On introduisit le nouveau couple... Ils étaient entièrement nus et quelque peu intimidés... On les mena jusque devant le prêtre qui les unit
- "Par la volonté de votre Maîtresse, à laquelle vous appartenez corps et âme, je vous unis. Cette union ne saurait être rompue que par Celle qui l'a voulue et décidée. Aussi longtemps qu'il Lui plaira, couple vous serez, et partout où vous irez c'est ainsi que l'on vous présentera. Jurez maintenant obéissance et fidélité à votre Maîtresse, ici et maintenant, partout et à jamais !"
- "Nous jurons" dirent blandine et pietro, avant que l'on ne passe à leur annulaire un vulgaire anneau de fermail.
Et surtout, que l'on scelle à leur cou un fin collier de métal, symbole de leur statut et de leur état. C'est ensuite que, mis face à face de part et d'autre de l'autel, ils furent pris, par le Marquis d'Evans pour l'un et le Marquis de Sade pour elle... Les Deux seigneurs les enculèrent avec ardeur, afin de marquer dignement ces noces impromptues. Puis, ils échangèrent les mariés afin de se faire nettoyer le sexe par leurs bouches dociles, sous le regard ravi de leur Maîtresse et fort envieux de l'homme d'église... La Dame remarqua les yeux fiévreux du prêtre :
- "Eh, l'abbé ? Il me semble que la petite épousée est fort à votre goût !" dit-elle.
Le prêtre, qui n'avait cessé de faire glisser sa main sur la bosse de la braguette de sa soutane pouvait difficilement nier
- "Certes Madame... l'ingénue n'est pas pour me déplaire"
- "Eh bien l'abbé ! Que ne le disiez-vous ! Maintenant que Nos deux Nobles Marquis ont consommé l'affaire, la noce est officielle... il est grand temps que le couple vive sa vie, une fois que vous aurez baisé la belle mariée, bien entendu !"
Claquant dans ses mains, elle fit alors comprendre à pietro qu'il était temps de rejoindre sa Maîtresse et, libéré par le Marquis, il la rejoint à quatre pattes
- "Allons mon chien, ta Maîtresse souhaite te féliciter... "
Et La dame quitta la pièce avec pietro la suivant comme un bon petit chien... Suivis par Les Deux Marquis qui comparaient les talents des deux époux, abandonnant blandine aux bons soins du curé
- "Eh, l'abbé" lança Le Marquis d'Evans "amusez vous bien et puis renvoyez la à sa Maîtresse, qui doit quitter Le Château avant le soir"
- "Oui Mon Seigneur" acquiesça l'abbé qui bandait déjà comme un taureau , sortant son Vit hors de sa soutane
L’ecclésiastique laissant déjà glisser un regard gourmand vers blandine, toujours agenouillée et la commissure des lèvres garnie d'un peu de semence blanchâtre... qui gardait timidement les yeux baissés, ses petits seins dressés... aux tétons bruns et aux aréoles larges... L'abbé s'approchait :
- "Lève toi !"
Quand blandine fut face à lui... il la saisit et la poussa jusqu'à la plaquer contre un mur, l'embrassant à pleine bouche de ses lèvres épaisses, infligeant à la fille son haleine de vinasse et d'aïl...
- "Mmhh tu as la peau douce ! Et si blanche" dit-il tout en lui bavant sur les lèvres... Le curé passant une main entre ses cuisses...
- "Et tes autres lèvres sont douces aussi... et humides... je vais les prendre, les unes et les autres...il est naturel que je co-célèbre cette noce, afin de laver tous tes pêchers par la bénédiction de ma verge"...
Le corps suant et odorant de l'homme pesait sur celui si frêle de l'esclave qui se montrait humble et docile... Elle se laissait faire, comme elle l'avait toujours fait depuis qu'elle appartenait à Madame... elle ne pensa même le pas à se plaindre de la pierre rêche qui lui marquait le dos tandis que l'abbé la soulevait et la fourrait contre le mur en la maintenant ainsi au-dessus du sol plaquée contre le mur irrégulier. Il l’a besognait avec vigueur et virilement dans une cadence qui se voulait rapide à grands coups de boutoirs. Elle gémit même lorsqu'il se répandit en elle, assez rapidement. Oui elle gémit comme on le lui avait appris afin que son Maître, le Contrôleur Général des Finances, l'un des plus éminents personnages du Royaume, aimait à l'entendre lorsqu'il la possédait à l'issue d'une soirée abondamment arrosée des meilleurs vins... Lorsqu'il la renvoya vers sa Maîtresse, le prêtre était repu, jovial, pleinement satisfait d'avoir ainsi pu vider ses génitoires, en cette belle journée des premiers moments de l'an 1785...
(à suivre)
Les feux de la fête s'étaient éteints peu à peu, la plupart des Invités se devant de rejoindre leurs Nobles Familles... Monsieur de La Pérouse ayant à préparer son expédition prochaine, tandis que Gilbert du Motier dit le Marquis de La Fayette était attendu à la Cour, où la reine Marie-Antoinette le voulait auprès d'Elle. Tout autant, pour le moins, que la maîtresse en titre du Marquis, Aglaê de Barbantane, comtesse d'Hunolstein, dont il se chuchotait dans les longs couloirs de Versailles qu'elle aimait à se faire chauffer les fesses par une ferme fessée de son aristocratique amant, le Marquis de La Fayette. Ainsi, 1784 s'était achevée par un brillant évènement, le Marquis d'Evans ayant accueilli en Son Château la plus brillante compagnie, offrant à Ses hôtes prestigieux les services attentifs et dévoués d'une foule docile d'esclaves mâles et femelles...
Chevauchant de bon matin en compagnie du Marquis de Sade, Le Marquis Charles-Alexandre d'Evans savourait la fraîcheur de ces premiers jours de 1785... Les deux Seigneurs et amoureux de la littérature devisaient à propos des événements écoulés et de leurs projets respectifs. Sade évoquant avec passion son "Salo ou les 120 journées de Sodome", tandis que le Maître du Domaine envisageait une "Chronique"de ces années si stimulantes (Les générations futures, sa propre Descendance saurait ainsi tout ce qu’il a réalisé) dont il se sentait à la fois acteur et observateur, riche qu'il était des relations les plus diverses....
En rentrant en son Château, cependant, il avait déjà une affaire d'importance à régler ! En effet, lors de la soirée du réveillon, Le Marquis avait offert sans trop y penser l'un de ses esclaves, (un jeune citoyen de Venise, venu jusqu'à Lui quelques mois plus tôt sur la recommandation d'un Noble proche du Doge) à l'épouse du très influent Contrôleur Général des Finances, Monsieur de Calonne. Le fait en soi avait peu d'importance. L'esclave était docile et sa nature le portait à apprécier grandement la situation qui lui était faite. Cadet d'une famille de petite noblesse, il n'avait guère d'avenir à Venise, d'autant que son attirance pour les garçons autant que pour les dames lui avait valu une sulfureuse réputation... "il fanculo" comme on l'avait surnommé avait été heureux de quitter La Sérénissime avant de finir dans une geôle du Pont des Soupirs. Et grâce à ce parent intime du Doge et du Marquis, il avait pu passer en France, où il s'était avec bonheur soumis à L'Autorité du Seigneur d'Evans, devenant un petite présent fort apprécié des couples d'invités appréciant de partager un même partenaire. En fonction des goûts des invités du Marquis, "il fanculo" pouvait se présenter nu comme un ver, en jeune homme voire en robe, son corps gracile et ses membres fins le rendant fort crédible en fille…
C'était d'ailleurs pour un double usage que Marie-Joséphine Marquet de Mont-Saint-Peyre avait souhaité devenir la propriétaire du jeune homme... afin parfois de la soulager des assiduités de son époux... Pour l'heure cependant, Le Marquis n'ignorait pas que La Dame de Mont-Saint-Peyre était en train de profiter des douces lèvres de l'esclave transalpin ... Dans sa chambre, Marie-Joséphine était en effet renversée sur son lit, les multiples froufrous de ses jupes remontés sur le ventre, le haut de ses cuisses nu et entre ses épaisses cuisses largement ouvertes était enfoui le visage de pietro "il fanculo", plongé au plus profond d'une grotte envahie d'une épaisse frondaison. Mais le jeune homme est gourmand... et fort bien dressé ! Quelques mois d'esclavage auprès Du Marquis avaient fait de lui un expert en léchages et au-dessus de lui, La Dame gémissait très fort, ses cuisses tremblotaient tandis que la langue longue et habile la titillait si bien qu'elle en était parcourue par une onde de plaisir sans fin... Ce n'était que cris et soupirs. Depuis le couloir, on entendait des gémissements, des mots sans suite et mal articulés.
- "Vite !", "doucement"... "Arrête !", "continue !" ... les contradictions s'enchaînent. la parole s'affole. "Ah ! ah ! OOohhh ! mon petit chien ! ... Vite ! Vite ! Arrhhh ! OOh je meurs, Ouiiiiiii !!!"
Et pietro, esclave dévoué, ne cesse d'offrir la caresse de sa langue à l'intimité maintenant dégoulinante de La Dame dont le corps est secoué de spasmes et dont les cuisses enserrent son visage à l'étouffer. Stoïquement, il la lèche, s'abreuvant de Son Plaisir, savourant la jouissance comme un divin Nectar. Et lorsqu'elle se détend enfin, s'affale, immobile, il demeure ainsi... n'offrant plus que son souffle léger au con largement ouvert de Celle qui depuis hier est sa Maîtresse et dont il est l'esclave. Saisissant les cheveux du jeune homme, Madame de Mont-Saint-Peyre l'attire à elle, elle aime à sentir son jeune corps musclé qui remonte sur elle et vient se coller à ses épaisses étoffes... Elle le prend entre Ses Bras, le serre tant elle est plus épaisse et plus forte...
- "Mmhh mon petit chien, mon esclave... parle-moi de cette Cité des Doges où tu fus élevé avant que de devenir cette délicieuse créature dont je suis La si comblée Propriétaire"
- "Eh bien Madame, (déclame le jeune esclave avec emphase) je ne sais ce qu'est vraiment la France, dont je ne connais que ce domaine, où je fus dressé, ni ce que l'on fait dans la froide Angleterre. Mais je puis Vous dire que Venise est un pays de cocagne, où l'on fout à coeur joie ! Dans les palais comme dans les ruelles, le plaisir règne en Maître absolu. Il y circule d'anonymes éloges du vit, des sonnets à la gloire du con, et encore des leçons pour bien foutre ! Il est partout des échoppes où l'on Vous vend recettes et ingrédients pour se faire aimer, pour faire durcir les queues et s'enflammer les chattes …"
- "Mmmhh, mon petit chien et toi là dedans qui étais tu ?"
- "Madame, ma Maîtresse vénérée, ma déesse, j'étais le mari des femmes et la femme de leurs maris... Un peu trop sans doute, car je fus dénoncé et la fouterie est partout, mais on n'en doit parler. Aussi fus-je pourchassé et fort heureux de trouver ici refuge"
- "Mais tu y étais esclave... et désormais mon petit chien, est-ce là un destin ?"
- "Que puis-je rêver de plus exquis, ma Divine Maîtresse ? J'étais né esclave mais je n'en savais rien... j'aimais à me faire attacher et fesser... par celles et ceux qui en émettaient le désir, mais jamais je n'avais compris combien il est doux de trouver sa vraie place... (le léger accent du jeune vénitien était gagné d'un léger tremblement) Monsieur Le Marquis D’Evans a su me révéler à moi-même et me permettre de devenir sans artifices ce que je suis ! Et désormais c'est à Vos Pieds que je ramperai pour Vos Plaisirs ou ceux de Votre époux à jamais je vivrai et Vous servirai …"
- "Mmhh vil flatteur !" lance La Dame d’un ton sévère, tout en poussant l'esclave au bas du lit.
En un mouvement d'une étonnante vivacité elle a rabattu ses jupons et atterrit au pied du lit, debout au dessus de l'esclave nu, qui demeure au sol... "il fanculo" a saisi la métamorphose, il se prosterne, son visage est au sol, ses reins se cambrent, sa croupe se redresse... tandis que Madame de Mont-Saint-Peyre enfile Ses chaussures et vient en pointer une devant le nez de l'esclave :
- "Lèche celui-ci maintenant, chien !" ordonne-t-elle et l'esclave obéit.
Dardant la langue qui un instant plus tôt savourait le bouton de rose de sa Maîtresse, il lèche le cuir de la chaussure qui lui est présentée... le jeune homme exubérant s'est, en un clin d'oeil mué en une créature humble et servile... le goût du cuir emplit sa bouche, chassant les relents parfumés et salés du plaisir qui y coulait un court instant plus tôt. Puis la chaussure se retire
- "Relève toi !" l'ordre claque comme un fouet, "les mains sur la cheminée, cambré, chien ! présentes moi ton cul" éructe L'épouse du Contrôleur général dont la voix a abandonné toute douceur languide...
L'esclave obéit et à peine est-il en position, que La Dame se saisit d'une bougie et l'enfonce sans préalables dans le fondement de l'esclave qui, bien qu'ayant le cul bien formaté, ne peut retenir un bref gloussement...
- "Silence !" lance Madame, qui s'étant saisie de lanières de cuir, commence à lui fouetter le cul et les cuisses... - "Il va t'en cuire, vil chien ! (et les coups pleuvent) saches le, je ne puis permettre à un esclave de me voir ainsi à l'abandon. Tu as osé, tu dois donc être châtié ! Mais saches que si tu ne me mènes pas à chaque fois au plaisir, tu seras puni, plus durement encore !"
Et les lanières de cuir claquaient sur la peau, laissant la trace rougie de leur passage... jusqu'à ce que le bras retombe, fatigué. Tremblant, "il fanculo" le petit esclave vénitien craignait une nouvelle volée, mais il n'en fut rien. tout au contraire, sa Dame revint tout près, déposant un baiser dans son cou humide de sueur
- "Mmhh mon petit chien... tu as été bien sage (la main allait et venait sur sa croupe, suivant les courbes des sillons rougis de la punition infligée) tu vas me plaire, tu me plais déjà et tu plairas à mon époux ! J'ai quelque chose pour toi, mais d'abord, il faut te soulager, ha ! ha ! ha ! …"
La dame laisse l'esclave et va ouvrir sa porte, claquant dans ses mains avec autorité et d’un voix autoritaire :
- "Blandine ! Blandine, ici, tout de suite !"
Une jeune fille à l'air timide, vêtue d'un jupon froissé et la poitrine nue, ouvre la petite porte face à celle de sa Maîtresse et franchit promptement le couloir en tenant fermement un petit pot... sans un mot, elle s'avance jusqu'à "il fanculo" qui n'a pas bougé, elle ouvre son pot et trempe sa main dans une crème brune qu'elle répand ensuite sur les traces de flagellation... douceur et fraîcheur soulagent prestement l'esclave sous les yeux satisfaits de la Maîtresse.
- "Suffit !" lance-t-elle et l'humble blandine stoppe et dépose le pot sur le linteau de la cheminée.
- "Ici !" ordonne La Maîtresse et blandine s'avance vers Elle...
S'immobilisant tout près de La Dame, blandine baisse la tête... La Noble Dame tend le bras et saisit fermement un téton de la jeune femme dans la pince de deux doigts qui serrent fortement, jusqu'à sentir le bouton de chair qui durcit et une grimace apparaître sur le visage quelconque de la servante.
- "Ne joue pas avec moi de tes airs innocents. Je sais que tu n'es qu'une catin qui ouvre son con comme son cul à la verge de mon époux ..."
- "Mais... M'dame, c'est que..." bredouille la jeune femme en grimaçant
- "Silence ! Qu'aurais tu à dire ! ? Tu ne peux refuser ? Bien sûr puisque tu Lui appartiens comme à moi ! cela ne te disculpe pas pour autant de ton comportement ! Putain ! Avoue !!" lance la femme en serrant plus fort encore
- "Aïe ! aaahh oui ! ... Oui M'dame, je ne suis qu'une putain. ouiii ! Vous avez raison Maîtresse..." Cette dernière relâche enfin la pression sur le téton meurtri
- "C'est bien... va rejoindre mon chien. Et toi, langue trop agile, redresse toi un peu !"
Blandine rejoint pietro (c’est le véritable prénom de "il fanculo") et tous deux se tiennent debouts, tête basse, face à leur Maîtresse...
- "Ote ton jupon, je veux voir ta chatte !"
Et blandine laisse choir son jupon élimé, apparaissant totalement nue à La Maîtresse qui s'approche et passe Sa Main entre les cuisses, fouillant les chairs, constatant avec plaisir que pubis et entrecuisse ont été récemment épilés...
- "Parfait, lisse comme au premier jour... Je disais bien que tu n'es qu'une catin ! (puis elle pose le regard sur les parties intimes de l'esclave mâle) Il faudra bien entretenir cela... Je veux que mon chien soit parfaitement lisse !"
- "Bien Madame", murmure l'esclave avec sa pointe d'accent vénitien...
- "Va t'asseoir, là, dans le fauteuil !" lance La Dame en indiquant une ample bergère. pietro y prend place
- "Et toi, petite catin va t'asseoir à califourchon sur ses genoux... (l'esclave obéit) Bien ! Relève tes jambes et pose les sur les épaules de ce chien ! Et toi, tiens là par les hanches... oui comme ça ! Bien... Tu bandes chien ?"
- "Oui Madame..."
- "Parfait, alors fourre là ! Que Diantre ! Qu'attends tu ! ?"
- "Oui, Maîtresse; oui..." et d'un mouvement du bassin, pietro pénètre blandine
- "Allez !! Allons, baises là... Mieux que ça !! "
Et peu à peu, les deux esclaves baisent sans retenue, sans plus avoir besoin des encouragements de leur Maîtresse qui contemple les deux corps enlacés, les petits sursauts de la putain de jeune femme au fur et à mesure que la queue du mâle va et vient en elle... blandine renverse la tête en arrière, gémissante, tandis que pietro commence à haleter, lorsque...
- "Suffit ! Lâche là et toi reviens ici !" dit Madame de Mont-Saint-Peyre.
Tout en tirant les cheveux de la soumise qui ne peut que se retirer, abandonnant le mâle avec sa queue tendue et privée de son fourreau de chair... Toujours tenue par les cheveux, blandine est affalée aux pieds de sa Maîtresse et pietro abandonne le fauteuil pour venir s'agenouiller face à Elle... tous deux ont le souffle court du plaisir approché de si près et si brutalement interrompu...
- "Nul plaisir sans que j'y ai consenti ! Telle est La Règle ! Mais il me plaira parfois d'y consentir... peut-être, car sachez le déjà, je vais vous marier !"
Les deux esclaves ne peuvent contenir l'air abasourdi qui envahit leurs visages
- "Oui, je tiens à la décence des choses. Je ne saurai vous permettre de copuler sans y avoir mis bon ordre. aussi, je vais vous marier, ici même sur les terres De Monsieur le Marquis. Je lui en ai parlé, Il y consent !"....
Comme il ne s'agissait que d'esclaves et que La Dame était pressée de retourner à Paris, informer Son cher époux de sa dernière petite folie, la cérémonie fut brève. Dans une pièce voûtée des sous-sols du Château, un autel avait été érigé... Là, le prêtre, complice du Marquis, était venu du village prêt à officier. Seuls assistaient Les deux Marquis d'Evans et Sade ainsi que Madame Marquet de Mont-Saint-Peyre. Tous trois feraient office de témoins... On introduisit le nouveau couple... Ils étaient entièrement nus et quelque peu intimidés... On les mena jusque devant le prêtre qui les unit
- "Par la volonté de votre Maîtresse, à laquelle vous appartenez corps et âme, je vous unis. Cette union ne saurait être rompue que par Celle qui l'a voulue et décidée. Aussi longtemps qu'il Lui plaira, couple vous serez, et partout où vous irez c'est ainsi que l'on vous présentera. Jurez maintenant obéissance et fidélité à votre Maîtresse, ici et maintenant, partout et à jamais !"
- "Nous jurons" dirent blandine et pietro, avant que l'on ne passe à leur annulaire un vulgaire anneau de fermail.
Et surtout, que l'on scelle à leur cou un fin collier de métal, symbole de leur statut et de leur état. C'est ensuite que, mis face à face de part et d'autre de l'autel, ils furent pris, par le Marquis d'Evans pour l'un et le Marquis de Sade pour elle... Les Deux seigneurs les enculèrent avec ardeur, afin de marquer dignement ces noces impromptues. Puis, ils échangèrent les mariés afin de se faire nettoyer le sexe par leurs bouches dociles, sous le regard ravi de leur Maîtresse et fort envieux de l'homme d'église... La Dame remarqua les yeux fiévreux du prêtre :
- "Eh, l'abbé ? Il me semble que la petite épousée est fort à votre goût !" dit-elle.
Le prêtre, qui n'avait cessé de faire glisser sa main sur la bosse de la braguette de sa soutane pouvait difficilement nier
- "Certes Madame... l'ingénue n'est pas pour me déplaire"
- "Eh bien l'abbé ! Que ne le disiez-vous ! Maintenant que Nos deux Nobles Marquis ont consommé l'affaire, la noce est officielle... il est grand temps que le couple vive sa vie, une fois que vous aurez baisé la belle mariée, bien entendu !"
Claquant dans ses mains, elle fit alors comprendre à pietro qu'il était temps de rejoindre sa Maîtresse et, libéré par le Marquis, il la rejoint à quatre pattes
- "Allons mon chien, ta Maîtresse souhaite te féliciter... "
Et La dame quitta la pièce avec pietro la suivant comme un bon petit chien... Suivis par Les Deux Marquis qui comparaient les talents des deux époux, abandonnant blandine aux bons soins du curé
- "Eh, l'abbé" lança Le Marquis d'Evans "amusez vous bien et puis renvoyez la à sa Maîtresse, qui doit quitter Le Château avant le soir"
- "Oui Mon Seigneur" acquiesça l'abbé qui bandait déjà comme un taureau , sortant son Vit hors de sa soutane
L’ecclésiastique laissant déjà glisser un regard gourmand vers blandine, toujours agenouillée et la commissure des lèvres garnie d'un peu de semence blanchâtre... qui gardait timidement les yeux baissés, ses petits seins dressés... aux tétons bruns et aux aréoles larges... L'abbé s'approchait :
- "Lève toi !"
Quand blandine fut face à lui... il la saisit et la poussa jusqu'à la plaquer contre un mur, l'embrassant à pleine bouche de ses lèvres épaisses, infligeant à la fille son haleine de vinasse et d'aïl...
- "Mmhh tu as la peau douce ! Et si blanche" dit-il tout en lui bavant sur les lèvres... Le curé passant une main entre ses cuisses...
- "Et tes autres lèvres sont douces aussi... et humides... je vais les prendre, les unes et les autres...il est naturel que je co-célèbre cette noce, afin de laver tous tes pêchers par la bénédiction de ma verge"...
Le corps suant et odorant de l'homme pesait sur celui si frêle de l'esclave qui se montrait humble et docile... Elle se laissait faire, comme elle l'avait toujours fait depuis qu'elle appartenait à Madame... elle ne pensa même le pas à se plaindre de la pierre rêche qui lui marquait le dos tandis que l'abbé la soulevait et la fourrait contre le mur en la maintenant ainsi au-dessus du sol plaquée contre le mur irrégulier. Il l’a besognait avec vigueur et virilement dans une cadence qui se voulait rapide à grands coups de boutoirs. Elle gémit même lorsqu'il se répandit en elle, assez rapidement. Oui elle gémit comme on le lui avait appris afin que son Maître, le Contrôleur Général des Finances, l'un des plus éminents personnages du Royaume, aimait à l'entendre lorsqu'il la possédait à l'issue d'une soirée abondamment arrosée des meilleurs vins... Lorsqu'il la renvoya vers sa Maîtresse, le prêtre était repu, jovial, pleinement satisfait d'avoir ainsi pu vider ses génitoires, en cette belle journée des premiers moments de l'an 1785...
(à suivre)
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très excitant comme d'hab ! Je me régale à chaque fois, chaque épisode est super !
J'attends le prochain toujours avec impatience. Merci de continuer de nous régaler.
Pierre. M.
J'attends le prochain toujours avec impatience. Merci de continuer de nous régaler.
Pierre. M.
Ca devient long, trop long
J'adore ce mariage décidé et sans que les mariés n'aient le moindre droit à la parole.
Rudy
Rudy