Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 36)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les Origines de la Saga des esclaves au Château...  (épisode 36) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-02-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 36)
Suite des Origines de la Saga ... (de l'épisode 30)
7 - l'épouse dressée
Le mariage à peine célébré, le Marquis de Sade se penche vers son ami d'Evans :
- "Ne pensez vous pas qu'il est temps de consommer le fruit de cette noce ?"Le Marquis d'Evans entraîne Sade vers un coin de la pièce...
- "Naturellement Mon ami ! Voyez, la Duchesse bâille déjà alors que nous n'en sommes qu'aux prémisses de la noce... Ce petit monsieur doit pouvoir garder un souvenir inoubliable de ce jour où il a perdu tout droit et abdiqué toute dignité et nous allons nous charger de cette mission..."...
Le destin du petit sieur d'Anglard est donc scellé... Ce n'est qu'après de longues heures d'abus et d'avilissement qu'il a été rendu à son épouse cacochyme, laquelle n'a pas manqué d'exiger de lui qu'il fit le voyage jusqu'à leur demeure avec le visage enfoui entre les cuisses de La Dame et ne cesse d'y laper affectueusement le fruit du plaisir qu'il parvenait à Lui offrir. Avec promesse de maints supplices s'il venait à La décevoir. Mais laissons là ce nouveau couple, dont naturellement, le narrateur de manquera pas de vous faire un prochain jour le récit de la façon dont ils vécurent.

Revenons plutôt à la jeune baronne d'Esglières, dont le destin est lié à la repousse de sa blonde chevelure ! Les ciseaux maniés par Kilima et Njaro ont en effet taillé sans pitié dans la masse abondante de ses cheveux, faisant tomber au sol d'épaisses boucles, tandis que l'infidèle ingénue pleurait la perte de cette naturelle parure dont elle était si fière. Et on l'a prévenue qu'elle demeurerait le jouet des Marquis aussi longtemps que ses cheveux n'auraient pas repoussé jusqu'à couvrir ses épaules, ce qui marquerait alors son retour sous le joug du mariage, désormais dressée et fidèle, prête à combler toutes les exigences de son vieux barbon de mari.
Depuis des jours, la dite baronne n'a plus vu la lumière du jour. Le jour elle est écartelée par les liens tendus entre les colonnades de son cachot, le corps entièrement nu, livrée aux attouchements et aux jeux pervers de tous ceux qui pénètrent dans la pièce où elle est exposée, offerte, livrée... La nuit, on l'enchaîne au mur après lui avoir permis de manger une infâme bouillie dans une gamelle posée à même le sol. Et chaque matin, elle est frappée de verges, sa croupe et son dos subissant douloureusement cette flagellation quotidienne tandis qu'elle récite jour après jour, son serment d'éternelle fidélité à son époux :
- " La fidélité est la plus noble des servitudes, par ces mots, je m'engage à demeurer éternellement fidèle à mon époux que je reconnais comme mon Seigneur et Maître. Je le chérirai, lui obéirai et le servirai en toutes choses et comblerai le moindre de ses désirs, sans jamais rechigner, sans jamais me dérober. Par ce serment, je Lui appartiens"...
...
Ce matin encore elle a récité ce serment, à haute voix, tandis que le fouet imprimait sur sa chair la marque infamante d'une punition destinée au dressage des animaux domestiques et à celui des esclaves de la traite des blanches ou encore à ceux des négriers. Mais il y a belle lurette que la petite baronne a abdiqué toute fierté.
Chaque bruit la fait tressaillir, car elle sait qu'il signifie de nouvelles épreuves, la découverte d'une nouvelle contrainte qui va lui révéler qu'il n'y a point de limites à ce que l'on peut exiger d'un corps... ou du moins, rien qu'elle n'ait encore subi.
Son corps est brisé par les excès qu'il subit quotidiennement, pourtant elle sait qu'il faut s'attendre à bien pire encore. car jusqu'ici, elle n'a été livrée en pâture qu'à des subalternes, des esclaves ou des laquais... Mais elle sait que Le Maître des Lieux, Le Marquis d'Evans et Son si cher Ami, le fameux Marquis de Sade, n'ont pas encore daigné venir la visiter... Et lorsqu'ils viendront...

Mais ce ne sont pas encore les deux Seigneurs qui se présentent. Tandis que la jeune femme demeure prostrée dans un recoin du cachot, enchaînée au mur par la cheville, le corps souillé par ses propres déjections comme par les divers fluides issus de celles et ceux qui ont déjà abusé d'elle... c'est un prêtre qui franchit la porte. Un déclic se produit en la baronne qui à quatre pattes en train de manger dans sa gamelle, se précipite aux pieds de l'homme de religion.
De ses lèvres encore douces, bien que gercées d'avoir sucé tant et tant de verges tendues, elle baise les orteils sales qui dépassent de vieilles spartiates. elle lèche les ongles noircis par la crasse...

- "Oh mon Père ! Mon Père je Vous en supplie, accordez moi Votre miséricorde, la miséricorde de Dieu et aidez moi à échapper au terrible destin auquel je suis promise !"Le prêtre pose un regard morne sur celle qui rampe à ses pieds, dont les mains tremblantes ont saisi les chevilles en un geste de muette supplication...
- "Eh bien ma fille... qu'y-a-t-il donc ?" interroge le religieux...
Toujours prosternée, la jeune baronne asservie se blottit à ses pieds...
- "Mon Père... si j'ai fauté, ce n'était qu'en raison de ma jeunesse et de mon inexpérience... On me fait subir ici les pires avanies ! Mon Père, je vous en supplie, venez moi en aide, aidez moi pauvre brebis égarée à retrouver un peu de ma dignité.
celle que j'étais en sortant du couvent pour être livrée à un mari pervers !"- "Lève toi !" tonne la voix de l'hommeLa baronne obéit et se redresse lentement, chaque muscle de son corps est douloureux et les stigmates de la flagellation quotidienne qu'elle vient de subir brûlent encore sa croupe marquée...
- "mon Pè..."
Une gifle appliquée par la grosse main épaisse du prêtre l'interrompt !
- "Silence catin ! (il saisit la chevelure qui repousse à peine d'une main et force la jeune fille à lui faire face. De l'autre main, il la gifle encore !). Si tu crains Le Christ, alors crains moi ! Je ne suis pas là pour écouter tes mensonges, vipère adultère ! (une autre gifle claque !) tu dois être soumise à ton Mari comme Au Seigneur, car le Mari est Maître de la femme comme Le Christ est Maître de l'église !
(une nouvelle gifle inscrit la trace rouge des doigts sur la joue de la baronne) Et comme l'église est soumise Au Christ, la femme est soumise en tout à son mari !"
Une dernière gifle envoie la baronne à terre, son corps tendre et nu s'aplatissant au sol, avant qu'elle ne rampe se réfugier dans un angle de murs, comme une pauvre bête aux abois...
Le prêtre s'approche d'elle... Il se dresse au-dessus de la jeune femme recroquevillée et tire de sa soutane une sorte de croix qu'il tend vers elle
- "Vois, chienne lubrique ce symbole de la foi ! C'est La Croix du Christ, tu vas l'adorer, tu vas la vénérer et tu vas te donner à Elle... Et demander pardon pour tes innommables péchés !"Tremblante, la baronne s'agenouille devant le prêtre et baisse les yeux devant La Croix- "Oui …Oui mon Père, oui, je me repends. je demande le pardon pour mes fautes et je me soumettrai à Votre Volonté afin d'expier et de retrouver le chemin de la piété"Elle ne peut voir le sourire sardonique qui éclaire alors le visage du prieur...
Celui-ci s'approche tout auprès d'elle... Soulève sa robe de bure et dévoile devant le visage de la jeune femme agenouillée une verge tendue, au gland rouge et déjà salivant...
- "Prends-la en bouche, chienne ! C'est la seule eucharistie qui te sera accordée, chaque jour, jusqu'à ce que je juge que tu as expié... Alors suce ! et suce bien, sinon tu seras châtiée !"
Rompue, asservie, vaincue, la baronne obéit... sa bouche se colle au sexe tendu, ses lèvres s'ouvrent et elle lèche le gland turgescent avant que ses lèvres ne l'enserrent et qu'elle prenne la queue dure dans sa bouche et la suce, lentement, docilement, avec douceur et application... Le temps est suspendu... Pas un bruit, seulement parfois un bref hoquet lorsque d'un brusque coup de reins, le prêtre enfonce brutalement sa queue tendue jusqu'au plus profond de la gorge de la baronne, jusqu'à brièvement l'étouffer.
Et enfin, un flot épais inonde la bouche et la gorge de la jeune femme qui avale tout.
Le jus dégouline en elle et elle n'en perd pas une goutte. Puis le prêtre se retire de sa bouche et laisse la bure retomber sur ses jambes...

- "C'est bien... Mais ce n'est naturellement qu'un début. Il faut du temps pour extirper le démon du corps des femelles corrompues. Et tu es la pire des corrompues !
tu es une catin adultère ! tu es une putain lubrique qui a livré son corps aux pires turpitudes ! Et tu seras châtiée par là où tu as pêché ! Maintenant, sous le regard de ton Créateur ! Et puis chaque jour, jusqu'à ce que tu es avoué et payé pour chacune de tes fautes, tu seras châtiée comme tu vas l'être maintenant, par le Plus Saint des Instruments !"
Lentement, le prêtre se saisit à deux mains de sa croix, il en dégage la partie haute comme on sort la dague d'un fourreau et dévoile, un long et dur olisbos (godemichet) de bois poli...
- "Vois l'instrument de ta rédemption !" (et il tend l'énorme instrument face aux yeux de la jeune femme effrayée) "Allons ! Lève toi, tourne toi ! Creuse tes reins et tends ta croupe !"La baronne, soumise, obéit et présente ainsi son cul à l'homme de Dieu...
- "Parfait ! Et maintenant, que Sa Volonté soit faite ! Et que tu souffres pour Lui comme il a souffert pour Nous !"Et d'un geste brusque, sec... comme il enfoncerait un poignard dans le flanc d'un ennemi, le prêtre enfonce sans retenue l'olisbos dans l'anus de la baronne qui pousse un cri long et profond...
...
(A suivre ...)

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