Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 49)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 49)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Année 1784 - La fugueuse châtiée (9) (deuxième partie)
Après que les deux Nobles se soient bien divertis à l’auberge, c'est qu'à la nuit que le cortège qui accompagne Les Deux Marquis et l'esclave fugueuse rentre au Château. Les Marquis d'Evans et de Sade chevauchent de concert, en avance de Leur suite. Ils échangent quelques commentaires sur les plaisirs qu'ils ont tiré tantôt des deux esclaves livrés à Leurs Désirs... la charmante brune s'est révélée la plus rouée des catins, sachant faire de chacun de ses orifices le réceptacle des plus excessives pénétrations... tandis que le jeune mâle adulte, timide et si tendre, s'il n'a cessé de pleurnicher, a procuré d'immenses plaisirs Aux Deux Seigneurs qui ont pris un plaisir fort excessif à le forcer sans ménagement, hurlait de douleurs tandis qu'il recevait un énorme godemichet, en bois dur et épais, dans le fondement.
- "Je garderai cette belle brune, car je pense que l'on peut la dresser pour devenir pire chienne que la plus délurée des catins... Cul, con ou bouche, cette belle biche un peu sauvage n'a aucune retenue et j'aurai grand usage d'une telle motivation, lorsque le nombre de mes invités épuise les rangs de mon cheptel", se réjouit Le Marquis d'Evans...
- "Certes, approuve Le Marquis de Sade, quelle salope ! Je n'en finissais qu'à peine avec son cul, que déjà elle râlait de désir, les lèvres humides et l'oeil éperdu... il serait amusant de la mettre à l'épreuve et de l'offrir à une foule, pour jauger de son endurance... Combien d'hommes saura-t-elle satisfaire sans se lasser ou supplier ? Je serai curieux..."
- "Eh bien Mon Ami, voici donc un projet que Je fais Mien ! Nous évaluerons donc le métrage de queues que ma brune saura recevoir, tous orifices confondus. Nous allons donc la livrer en pâture à la foule, et voir ce qu’elle vaut vraiment avant de crier grâce !"
Et Les Deux Seigneurs éclatent de rires aux éclats, tandis que derrière, le cortège des valets porteurs de torches précède le chariot sur lequel sont juchés une dizaine d'esclaves, mâles et femelles, qui ont assisté au châtiment de l'esclave fugitive que l'on entraîne à la suite de leur char, attachée et forcée de suivre à pied le rythme de la procession. Son corps meurtri est couvert de bleus et de traces rougies de flagellations, sa chevelure et son corps souillés et meurtris la font ressembler à une démente... Elle chancelle parfois, mais s'applique encore à garder le rythme du déplacement, car si elle chute, le chariot lui, ne cesse pas d'avancer et c'est à coups de fouet que le garde dévolu à sa surveillance la force à se relever tandis qu'elle est traînée sur le chemin caillouteux...
- "Et quel sera le destin de cette esclave que nous ramenons ?", s'interroge Donatien de Sade...
- "Son destin est scellé, répond énigmatique le Marquis d'Evans, tout comme, d'ailleurs celui de ce mâle qui nous a tant amusé à l’auberge mais qui s'est révélé bien trop pleurnichard à mon goût ! … C'est une nouvelle surprise que je Vous réserve et pas plus tard que cette nuit"...
- "Voilà qui attise ma curiosité cher ami ! Quelle journée chargée de délices mon cher Charles-Edouard d'Evans ! Vous me comblez... Je n’omettrai pas de vous citer dans mes prochains écrits …"
- "Je crois que Vous allez apprécier la suite mon cher Donatien..." et Le Sire d'Evans pousse sa monture, s'éloignant en direction du Château familial avec une petite longueur d'avance sur Sade qui prend sa suite avec l'esprit fort animé …
Devant Le Château, Le Marquis d'Evans n'a pas quitté sa monture... Il attend Sade afin d'accueillir avec Lui le cortège qui a progressé avec plus de lenteur que Leurs vifs pur-sang. Lorsque enfin les esclaves arrivent, les gardes séparent le mâle et la fugitive du reste du troupeau qui, sous les ordres crachés et les coups de badines regagne la grange où sont logés en des stèles numérotées les esclaves qui vivent à demeure au Château.
La fugitive résignée et le jeune mâle tremblant sont amenés Au Maître des Lieux, entravés. Le Marquis se saisit des longes des deux esclaves et les entraîne à sa suite, maintenant son cheval au pas, tout comme le Marquis de Sade qui le suit... Ils s'éloignent du Château et prennent le long chemin sinueux qui mène jusqu'à un lac aux eaux calmes... Là, à la surprise de Sade, de vastes tentes en toile de damas aux couleurs chatoyantes ont été dressées. De grands feux illuminent la nuit et projettent leur lumière jusque sur la surface limpide du magnifique lac... Une autre tente, plus terne, mais plus vaste, a été montée un peu en retrait, devant laquelle se tiennent deux hommes qui, semble-t-il au Marquis montent la garde... Au son des sabots, les pans de la tente la plus proche des feux s'écartent et un groupe d'hommes en sortent, formant immédiatement une haie d'honneur, chacun tenant une haute hallebarde... Cinq hommes de chaque côté portant, constate Sade, turbans sur la tête et tenues maures... Les deux Marquis descendent de cheval et, traînant les deux esclaves, s'avancent jusqu'à passer entre les deux rangées de gardes, vers l'intérieur de la tente.
L'intérieur en est merveilleusement luxueux... Immense, éclairé par de multiples bougeoirs garnis de bougies parfumées, des tentures drapées un peu partout et d'immenses et moëlleux coussins répartis un peu partout... Au milieu trône un Maure, richement vêtu, avec à ses côtés deux femmes entièrement nues, à l'exception des fines chaînes d"or qui soulignent plus leur nudité et leurs formes qu'elles ne dissimulent quoi que ce soit. L'une est noire à l'épaisse chevelure crépue et l'autre blanche de longs cheveux blonds et raides lui tombant jusqu'aux reins, aux corps parfaits, huilés qui brillent dans l'incandescence des centaines de bougies flamboyantes.
Lorsque Le Maure se lève, à l'entrée des deux Nobles Francs, un imperceptible mouvement agite les chaînes des deux femelles qui immédiatement avancent à quatre pattes derrière leur Maître. Le Maure enlace avec un grand sens de respect, d’estime et d’honneur, Le Marquis d'Evans qui lui rend l'accolade avant que de Lui présenter le Marquis de Sade.
- "Quel honneur de recevoir dans mon humble abri D'aussi Illustres et Nobles Personnes ! j'ai lu Vos écrits seigneur de Sade et je gage que Vous ne serez pas déçu par ce que je Vous réserve ! … Mais ? … (il interrompt son propos et porte son regard sur les deux esclaves qui suivent Les Marquis) … qu'est-ce donc ?"
- "Bah, une bien pauvre attention, pour Un si grand Seigneur" répond Le Marquis d'Evans qui poursuit : "Ce ne sont que deux esclaves de peu de valeur, mais qui je n'en doute pas peuvent encore être de quelque profit dans le commerce dont Vous êtes un si précieux expert"...
Le Maure s'approche des esclaves et commence par examiner la fugitive... Il lui inspecte la dentition, puis les cheveux... avant de jauger la gravité des ecchymoses qui couvrent son corps. Finalement, il flatte d'abord sa croupe rebondie, puis passe la main entre ses cuisses et immisce longuement ses longs doigts dans l'intimité de la femelle qui fait de son mieux pour demeurer immobile...
- "Je vois qu'elle a été durement châtiée ! Mais j'apprécie Votre savoir faire, Mon cher Marquis, dont je ne saurai d'ailleurs douter. Les blessures ne sont que superficielles et passeront vite. Une fois soignée et lavée, elle devrait être une assez bonne marchandise. La blonde aux formes généreuses est fort prisée en El Djazaïr... Quant au mâle..."
- "Mauvais élément" commente le Marquis de Sade qui comprend ce qui se passe et commence à goûter ce qui se prépare...
- "Mauvais élément ? … C'est à dire ?", demande Le Maure...
- "Pleunichard ! Il a tendance à essayer de se soustraire aux désirs de Ses Maîtres... même si naturellement il n'a aucune chance d'y échapper " et de rire tous trois aux éclats tandis que le mâle semble rétrécir de terreur... Puis, le Marquis d'Evans s'adressant de nouveau au Maure
- "Je vous les offre tous deux cher ami ! Pour en faire ce qu'il Vous plaira... En gage de bon accueil et dans la perspective de toutes les bonnes affaires que nous allons faire !"
Un large sourire apparaît sur le visage du Maure
- "AAh Mon cher Marquis, Quel Seigneur Vous êtes ! Eh bien (il claque dans ses mains) que l'on aille laver la femelle ! Et lorsqu'elle sera apprêtée, qu'on nous la ramène... Quant au mâle, eh bien... qu'il soit offert à mes Janissaires ! Un nouveau jouet, voilà qui devrait divertir ma garde d'élite et d'ailleurs, qu'on le marque dès ce soir, car il sera affecté aux plaisirs d'une garnison dès notre retour au pays ! Voilà déjà un destin qui est scellé ! Il n'aura plus guère l'occasion de rechigner !" s'esclaffe Le Pacha...
... (à suivre)
Année 1784 - La fugueuse châtiée (9) (deuxième partie)
Après que les deux Nobles se soient bien divertis à l’auberge, c'est qu'à la nuit que le cortège qui accompagne Les Deux Marquis et l'esclave fugueuse rentre au Château. Les Marquis d'Evans et de Sade chevauchent de concert, en avance de Leur suite. Ils échangent quelques commentaires sur les plaisirs qu'ils ont tiré tantôt des deux esclaves livrés à Leurs Désirs... la charmante brune s'est révélée la plus rouée des catins, sachant faire de chacun de ses orifices le réceptacle des plus excessives pénétrations... tandis que le jeune mâle adulte, timide et si tendre, s'il n'a cessé de pleurnicher, a procuré d'immenses plaisirs Aux Deux Seigneurs qui ont pris un plaisir fort excessif à le forcer sans ménagement, hurlait de douleurs tandis qu'il recevait un énorme godemichet, en bois dur et épais, dans le fondement.
- "Je garderai cette belle brune, car je pense que l'on peut la dresser pour devenir pire chienne que la plus délurée des catins... Cul, con ou bouche, cette belle biche un peu sauvage n'a aucune retenue et j'aurai grand usage d'une telle motivation, lorsque le nombre de mes invités épuise les rangs de mon cheptel", se réjouit Le Marquis d'Evans...
- "Certes, approuve Le Marquis de Sade, quelle salope ! Je n'en finissais qu'à peine avec son cul, que déjà elle râlait de désir, les lèvres humides et l'oeil éperdu... il serait amusant de la mettre à l'épreuve et de l'offrir à une foule, pour jauger de son endurance... Combien d'hommes saura-t-elle satisfaire sans se lasser ou supplier ? Je serai curieux..."
- "Eh bien Mon Ami, voici donc un projet que Je fais Mien ! Nous évaluerons donc le métrage de queues que ma brune saura recevoir, tous orifices confondus. Nous allons donc la livrer en pâture à la foule, et voir ce qu’elle vaut vraiment avant de crier grâce !"
Et Les Deux Seigneurs éclatent de rires aux éclats, tandis que derrière, le cortège des valets porteurs de torches précède le chariot sur lequel sont juchés une dizaine d'esclaves, mâles et femelles, qui ont assisté au châtiment de l'esclave fugitive que l'on entraîne à la suite de leur char, attachée et forcée de suivre à pied le rythme de la procession. Son corps meurtri est couvert de bleus et de traces rougies de flagellations, sa chevelure et son corps souillés et meurtris la font ressembler à une démente... Elle chancelle parfois, mais s'applique encore à garder le rythme du déplacement, car si elle chute, le chariot lui, ne cesse pas d'avancer et c'est à coups de fouet que le garde dévolu à sa surveillance la force à se relever tandis qu'elle est traînée sur le chemin caillouteux...
- "Et quel sera le destin de cette esclave que nous ramenons ?", s'interroge Donatien de Sade...
- "Son destin est scellé, répond énigmatique le Marquis d'Evans, tout comme, d'ailleurs celui de ce mâle qui nous a tant amusé à l’auberge mais qui s'est révélé bien trop pleurnichard à mon goût ! … C'est une nouvelle surprise que je Vous réserve et pas plus tard que cette nuit"...
- "Voilà qui attise ma curiosité cher ami ! Quelle journée chargée de délices mon cher Charles-Edouard d'Evans ! Vous me comblez... Je n’omettrai pas de vous citer dans mes prochains écrits …"
- "Je crois que Vous allez apprécier la suite mon cher Donatien..." et Le Sire d'Evans pousse sa monture, s'éloignant en direction du Château familial avec une petite longueur d'avance sur Sade qui prend sa suite avec l'esprit fort animé …
Devant Le Château, Le Marquis d'Evans n'a pas quitté sa monture... Il attend Sade afin d'accueillir avec Lui le cortège qui a progressé avec plus de lenteur que Leurs vifs pur-sang. Lorsque enfin les esclaves arrivent, les gardes séparent le mâle et la fugitive du reste du troupeau qui, sous les ordres crachés et les coups de badines regagne la grange où sont logés en des stèles numérotées les esclaves qui vivent à demeure au Château.
La fugitive résignée et le jeune mâle tremblant sont amenés Au Maître des Lieux, entravés. Le Marquis se saisit des longes des deux esclaves et les entraîne à sa suite, maintenant son cheval au pas, tout comme le Marquis de Sade qui le suit... Ils s'éloignent du Château et prennent le long chemin sinueux qui mène jusqu'à un lac aux eaux calmes... Là, à la surprise de Sade, de vastes tentes en toile de damas aux couleurs chatoyantes ont été dressées. De grands feux illuminent la nuit et projettent leur lumière jusque sur la surface limpide du magnifique lac... Une autre tente, plus terne, mais plus vaste, a été montée un peu en retrait, devant laquelle se tiennent deux hommes qui, semble-t-il au Marquis montent la garde... Au son des sabots, les pans de la tente la plus proche des feux s'écartent et un groupe d'hommes en sortent, formant immédiatement une haie d'honneur, chacun tenant une haute hallebarde... Cinq hommes de chaque côté portant, constate Sade, turbans sur la tête et tenues maures... Les deux Marquis descendent de cheval et, traînant les deux esclaves, s'avancent jusqu'à passer entre les deux rangées de gardes, vers l'intérieur de la tente.
L'intérieur en est merveilleusement luxueux... Immense, éclairé par de multiples bougeoirs garnis de bougies parfumées, des tentures drapées un peu partout et d'immenses et moëlleux coussins répartis un peu partout... Au milieu trône un Maure, richement vêtu, avec à ses côtés deux femmes entièrement nues, à l'exception des fines chaînes d"or qui soulignent plus leur nudité et leurs formes qu'elles ne dissimulent quoi que ce soit. L'une est noire à l'épaisse chevelure crépue et l'autre blanche de longs cheveux blonds et raides lui tombant jusqu'aux reins, aux corps parfaits, huilés qui brillent dans l'incandescence des centaines de bougies flamboyantes.
Lorsque Le Maure se lève, à l'entrée des deux Nobles Francs, un imperceptible mouvement agite les chaînes des deux femelles qui immédiatement avancent à quatre pattes derrière leur Maître. Le Maure enlace avec un grand sens de respect, d’estime et d’honneur, Le Marquis d'Evans qui lui rend l'accolade avant que de Lui présenter le Marquis de Sade.
- "Quel honneur de recevoir dans mon humble abri D'aussi Illustres et Nobles Personnes ! j'ai lu Vos écrits seigneur de Sade et je gage que Vous ne serez pas déçu par ce que je Vous réserve ! … Mais ? … (il interrompt son propos et porte son regard sur les deux esclaves qui suivent Les Marquis) … qu'est-ce donc ?"
- "Bah, une bien pauvre attention, pour Un si grand Seigneur" répond Le Marquis d'Evans qui poursuit : "Ce ne sont que deux esclaves de peu de valeur, mais qui je n'en doute pas peuvent encore être de quelque profit dans le commerce dont Vous êtes un si précieux expert"...
Le Maure s'approche des esclaves et commence par examiner la fugitive... Il lui inspecte la dentition, puis les cheveux... avant de jauger la gravité des ecchymoses qui couvrent son corps. Finalement, il flatte d'abord sa croupe rebondie, puis passe la main entre ses cuisses et immisce longuement ses longs doigts dans l'intimité de la femelle qui fait de son mieux pour demeurer immobile...
- "Je vois qu'elle a été durement châtiée ! Mais j'apprécie Votre savoir faire, Mon cher Marquis, dont je ne saurai d'ailleurs douter. Les blessures ne sont que superficielles et passeront vite. Une fois soignée et lavée, elle devrait être une assez bonne marchandise. La blonde aux formes généreuses est fort prisée en El Djazaïr... Quant au mâle..."
- "Mauvais élément" commente le Marquis de Sade qui comprend ce qui se passe et commence à goûter ce qui se prépare...
- "Mauvais élément ? … C'est à dire ?", demande Le Maure...
- "Pleunichard ! Il a tendance à essayer de se soustraire aux désirs de Ses Maîtres... même si naturellement il n'a aucune chance d'y échapper " et de rire tous trois aux éclats tandis que le mâle semble rétrécir de terreur... Puis, le Marquis d'Evans s'adressant de nouveau au Maure
- "Je vous les offre tous deux cher ami ! Pour en faire ce qu'il Vous plaira... En gage de bon accueil et dans la perspective de toutes les bonnes affaires que nous allons faire !"
Un large sourire apparaît sur le visage du Maure
- "AAh Mon cher Marquis, Quel Seigneur Vous êtes ! Eh bien (il claque dans ses mains) que l'on aille laver la femelle ! Et lorsqu'elle sera apprêtée, qu'on nous la ramène... Quant au mâle, eh bien... qu'il soit offert à mes Janissaires ! Un nouveau jouet, voilà qui devrait divertir ma garde d'élite et d'ailleurs, qu'on le marque dès ce soir, car il sera affecté aux plaisirs d'une garnison dès notre retour au pays ! Voilà déjà un destin qui est scellé ! Il n'aura plus guère l'occasion de rechigner !" s'esclaffe Le Pacha...
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