Les petites stagiaires; Amandine I,2
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les petites stagiaires; Amandine I,2
Pour Jessica, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute : j’étais amoureux d’Amandine.
Toute l’après-midi tu n’as fait que me parler d’elle. Et Amandine par ci. Et Amandine par là. T’es complètement accro, mon cher.
– Amoureux ? Je sais pas. Peut-être. Ce qu’il y a de sûr en tout cas, c’est qu’elle me rend fou. C’est que j’ai envie d’elle comme j’ai jamais eu envie de personne.
– C’est sympa pour moi, ça !
– Mais non, mais…On était sortis ensemble, Jessica et moi, une quinzaine d’années auparavant. Ça avait duré six mois et puis on s’était lassés. Quittés. Elle s’était mariée, avait divorcé, repris contact avec moi. Et on se retrouvait, de temps à autre, pour tailler une petite bavette. En toute amitié.
Pour elle, il n’y avait pas trente-six solutions.
– T’as envie d’elle ? Eh ben couche avec ! C’est encore ce qu’on a trouvé de mieux dans ce genre de situation.
– Oui, ben alors ça ! Elle a été très claire là-dessus : je suis trop vieux.
– Ramènes-en une autre. Éclate-toi avec. Et je te parie que dans quinze jours elle aura changé d’avis. Les femmes, tu sais, dès qu’il y a de la concurrence…– Toi, je te vois venir.
– J’ai toujours aimé rendre service.
– Surtout quand tu y trouves ton compte.
– Pour être tout à fait franche, c’est carrément le désert pour moi côté cul en ce moment. Et avec toi, je connais. Je sais comment ça se passe. Alors…– Alors… Oui. Oui. Elle n’est pas si mauvaise ton idée finalement. À tous points de vue.
– Et tu connais le proverbe : faut battre le fer tant qu’il est chaud.
– Ben, voyons !
Dix minutes plus tard on était chez moi.
– Laisse-toi faire ! Laisse-moi faire !
Elle m’a arraché ma chemise, s’est emparée de mes tétons qu’elle a tour à tour agacés entre ses dents. Sa main s’est faufilée dans mon pantalon, a tâté, soupesé.
– Elle n’a pas changé. Toujours aussi consistante. Dès qu’on la sollicite un peu ! Allez, on met tout ça à l’air.
Elle s’est penchée dessus, m’a longuement mordillé la peau des couilles, est remontée, peu à peu, à petits coups de langue précipités, tout au long de ma queue qu’elle a décalottée, dont elle a englouti le bout entre ses lèvres. Elle l’a savamment enveloppé, interminablement poli. Elle s’est redressée d’un coup.
– Je peux plus… J’en peux plus…Et elle m’a escaladé, enfourné, impatiente, dans sa chatte, chevauché à grands coups de reins éperdus. Elle a joui. On a joui. Très vite. Tout est retombé.
– Quand même ! Quand même, hein ! On peut bien dire ce qu’on veut, mais il y a rien de tel qu’une bonne partie de jambes en l’air. »
Le vendredi suivant, au retour de ses quinze jours à l’école, Amandine a constaté.
‒ Il y a une femme qu’est venue.
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Les affaires dans la salle de bains. Il y en a qui sont pas à moi.
– Elles sont à Jessica.
– C’est qui, celle-là ?
– Une amie.
– Elle va revenir ?
– Si elle a laissé ses affaires…– Quand ? Ce soir ?
– Je sais pas. Peut-être.
Elle n’a pas insisté. Elle s’est préparée. Elle est sortie. Et est rentrée tôt. Très tôt. Beaucoup plus tôt que d’habitude. Seule.
Quand je suis descendu, le lendemain matin, la table du petit déjeuner était mise.
– Pour une fois que je me lève la première ! Faut dire aussi qu’il n’y avait vraiment rien à se mettre sous la dent hier en boîte. Pas un mec de potable. Dans ces cas-là, c’est pas la peine d’insister. Autant rentrer se coucher. Mais elle est pas venue alors, du coup, votre Jessica finalement ?
– Ce n’est que partie remise.
– Je suis vraiment curieuse de voir à quoi elle ressemble, cette bonne femme.
– Ça ne saurait tarder.
Ce fut le mercredi suivant. Sur le coup de neuf heures du soir. Elles ont tout juste eu le temps de s’entrapercevoir toutes les deux, d’échanger, de loin, un vague bonsoir et Jessica m’a entraîné dans la chambre.
‒ J’ai trop envie. Faut dire que dès qu’on commence à y remettre un peu le nez à ce truc-là.
Elle n’y a pas remis que le nez, mais les doigts, les mains, les lèvres, la langue, la bouche. Tout.
– Je me sers, hein ! Je fais comme chez moi.
Elle s’est généreusement servie, a tonitrué son plaisir à pleins poumons, repris son souffle.
– J’adore ça, maintenant, être aux commandes.
– Je vois ça, oui.
– N’importe comment toi aussi t’y trouves ton compte. Tu diras pas le contraire. Et, en plus, ça te fait avancer le schmilblick : parce qu’une nana qu’en entend une autre se pâmer comme ça, elle a forcément envie de l’essayer, le type.
Elle venait souvent. Trois à quatre fois par semaine.
– Faut enfoncer le clou.
Quand on rentrait du bureau, Amandine et moi, on la trouvait aux fourneaux.
– Une poêlée de Saint-Jacques je vous prépare. T’aimes ça, Amandine, au moins ?
Elle aimait, oui.
– J’aime tout n’importe comment.
On dînait tous les trois. On parlait de choses et d’autres. Aussitôt son dessert avalé, Amandine s’éclipsait.
– J’ai plein de trucs à faire. »
Et puis il y avait les soirs où on n’était que tous les deux, Amandine et moi. Où notre tête-à-tête se prolongeait tard. Souvent très tard.
« Faudrait peut-être aller dormir !
– Oh, encore un peu, va ! Qu’on en profite ! Parce que c’est quand même pas pareil, quand elle n’est pas là, l’autre.
– Pas pareil ?
– On peut causer au moins. Comme on fait là, depuis trois heures. De mes trucs à moi. De mes mecs, tout ça. Parce que quand on l’a, elle, par les pieds, on peut pas. Et puis peut-être qu’on n’aura pas toujours l’occasion d’être que tous les deux.
– Comment ça ?
– Ben, à force qu’elle vienne comme ça sans arrêt, elle va bien finir par vouloir carrément s’installer ici. Avec vous.
– Pour le moment, elle n’en parle pas.
– Pour le moment ! Mais elle le fera. Elle le fera forcément. Vous lui direz quoi, vous, ce jour-là ? Vous la laisserez faire ?
– La question n’est pas d’actualité.
– Non, parce que si c’était le cas, faudrait que je dégage, moi. Elle ferait tout pour ça.
– Mais non ! Bien sûr que non ! C’est pas du tout son genre.
– Ben, tiens ! On voit que vous connaissez pas les femmes, vous ! Bon, mais allez ! Vous avez raison. Faut aller dormir.
Elle a regagné sa chambre. Et moi la salle de bains. Je finissais de me brosser les dents quand elle y a surgi, en coup de vent, vêtue, en tout et pour tout, d’une petite culotte affriolante couleur parme et d’un soutien-gorge assorti.
– Vous n’avez pas vu mon portable ? Ah, si ! Si ! Il est là. Non, parce que si je l’ai pas pour me réveiller.
Jessica, à qui j’ai raconté tout ça, était ravie pour moi.
– Ah, le poisson est ferré, on dirait. Il n’y a plus qu’à le ramener en douceur sur la berge. On va s’y employer. »
On déjeunait, selon notre bonne habitude, tous les deux dans la cuisine.
« Eh ben dites donc ! Faut vraiment que tout le monde en profite, quand elle jouit votre Jessica, hein !
– Il y a des moments où on ne maîtrise plus rien. T’es bien placée pour le savoir.
– Oui, mais moi, je fais pas tant de raffut.
– T’as qu’à y croire ! T’es dix fois pire.
– Ben, voyons ! Non, sérieux. C’était quoi la raison pour qu’elle couine comme ça ? Vous lui broutiez le minou ?
– T’es bien curieuse.
– Oh, tu parles ! C’est pas un secret d’État.
– C’est pas son truc, les cunnis.
– Ah, oui ? C’est quoi son truc alors ?
– Que je la caresse, avec mon bout, sur le clito. Et puis tout au long de sa chatte. Longtemps.
– Vous cachez bien votre jeu, vous, hein, finalement ! Parce que vous en êtes de la comédie. Jamais on croirait à vous voir comme ça.
Le surlendemain, sur le coup de sept heures un quart, elle a surgi, tout échevelée, dans la salle de bains.
– Vous l’avez pas entendu que j’étais pas levée ?
– Non. Je te croyais dans la cuisine.
– Je me suis pas réveillée. On va être à la bourre, ça, c’est sûr ! Ça vous ennuie si je me douche pendant que vous vous rasez ?
Elle n’a pas attendu la réponse. Elle s’est débarrassée du pyjama. Le haut. Le bas. A escaladé le rebord de la baignoire. Et, dans la glace, j’ai eu ses seins en pente douce. Si délicieusement seins. Ses fesses. Bien fermes. Généreuses. Son petit fendu. Tout lisse. Pudiquement refermé sur ses trésors.
Jessica a hoché la tête.
– Cette fois tu touches au but. Tu touches vraiment au but. Et si tu ne commets pas d’impair… »
Toute l’après-midi tu n’as fait que me parler d’elle. Et Amandine par ci. Et Amandine par là. T’es complètement accro, mon cher.
– Amoureux ? Je sais pas. Peut-être. Ce qu’il y a de sûr en tout cas, c’est qu’elle me rend fou. C’est que j’ai envie d’elle comme j’ai jamais eu envie de personne.
– C’est sympa pour moi, ça !
– Mais non, mais…On était sortis ensemble, Jessica et moi, une quinzaine d’années auparavant. Ça avait duré six mois et puis on s’était lassés. Quittés. Elle s’était mariée, avait divorcé, repris contact avec moi. Et on se retrouvait, de temps à autre, pour tailler une petite bavette. En toute amitié.
Pour elle, il n’y avait pas trente-six solutions.
– T’as envie d’elle ? Eh ben couche avec ! C’est encore ce qu’on a trouvé de mieux dans ce genre de situation.
– Oui, ben alors ça ! Elle a été très claire là-dessus : je suis trop vieux.
– Ramènes-en une autre. Éclate-toi avec. Et je te parie que dans quinze jours elle aura changé d’avis. Les femmes, tu sais, dès qu’il y a de la concurrence…– Toi, je te vois venir.
– J’ai toujours aimé rendre service.
– Surtout quand tu y trouves ton compte.
– Pour être tout à fait franche, c’est carrément le désert pour moi côté cul en ce moment. Et avec toi, je connais. Je sais comment ça se passe. Alors…– Alors… Oui. Oui. Elle n’est pas si mauvaise ton idée finalement. À tous points de vue.
– Et tu connais le proverbe : faut battre le fer tant qu’il est chaud.
– Ben, voyons !
Dix minutes plus tard on était chez moi.
– Laisse-toi faire ! Laisse-moi faire !
Elle m’a arraché ma chemise, s’est emparée de mes tétons qu’elle a tour à tour agacés entre ses dents. Sa main s’est faufilée dans mon pantalon, a tâté, soupesé.
– Elle n’a pas changé. Toujours aussi consistante. Dès qu’on la sollicite un peu ! Allez, on met tout ça à l’air.
Elle s’est penchée dessus, m’a longuement mordillé la peau des couilles, est remontée, peu à peu, à petits coups de langue précipités, tout au long de ma queue qu’elle a décalottée, dont elle a englouti le bout entre ses lèvres. Elle l’a savamment enveloppé, interminablement poli. Elle s’est redressée d’un coup.
– Je peux plus… J’en peux plus…Et elle m’a escaladé, enfourné, impatiente, dans sa chatte, chevauché à grands coups de reins éperdus. Elle a joui. On a joui. Très vite. Tout est retombé.
– Quand même ! Quand même, hein ! On peut bien dire ce qu’on veut, mais il y a rien de tel qu’une bonne partie de jambes en l’air. »
Le vendredi suivant, au retour de ses quinze jours à l’école, Amandine a constaté.
‒ Il y a une femme qu’est venue.
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Les affaires dans la salle de bains. Il y en a qui sont pas à moi.
– Elles sont à Jessica.
– C’est qui, celle-là ?
– Une amie.
– Elle va revenir ?
– Si elle a laissé ses affaires…– Quand ? Ce soir ?
– Je sais pas. Peut-être.
Elle n’a pas insisté. Elle s’est préparée. Elle est sortie. Et est rentrée tôt. Très tôt. Beaucoup plus tôt que d’habitude. Seule.
Quand je suis descendu, le lendemain matin, la table du petit déjeuner était mise.
– Pour une fois que je me lève la première ! Faut dire aussi qu’il n’y avait vraiment rien à se mettre sous la dent hier en boîte. Pas un mec de potable. Dans ces cas-là, c’est pas la peine d’insister. Autant rentrer se coucher. Mais elle est pas venue alors, du coup, votre Jessica finalement ?
– Ce n’est que partie remise.
– Je suis vraiment curieuse de voir à quoi elle ressemble, cette bonne femme.
– Ça ne saurait tarder.
Ce fut le mercredi suivant. Sur le coup de neuf heures du soir. Elles ont tout juste eu le temps de s’entrapercevoir toutes les deux, d’échanger, de loin, un vague bonsoir et Jessica m’a entraîné dans la chambre.
‒ J’ai trop envie. Faut dire que dès qu’on commence à y remettre un peu le nez à ce truc-là.
Elle n’y a pas remis que le nez, mais les doigts, les mains, les lèvres, la langue, la bouche. Tout.
– Je me sers, hein ! Je fais comme chez moi.
Elle s’est généreusement servie, a tonitrué son plaisir à pleins poumons, repris son souffle.
– J’adore ça, maintenant, être aux commandes.
– Je vois ça, oui.
– N’importe comment toi aussi t’y trouves ton compte. Tu diras pas le contraire. Et, en plus, ça te fait avancer le schmilblick : parce qu’une nana qu’en entend une autre se pâmer comme ça, elle a forcément envie de l’essayer, le type.
Elle venait souvent. Trois à quatre fois par semaine.
– Faut enfoncer le clou.
Quand on rentrait du bureau, Amandine et moi, on la trouvait aux fourneaux.
– Une poêlée de Saint-Jacques je vous prépare. T’aimes ça, Amandine, au moins ?
Elle aimait, oui.
– J’aime tout n’importe comment.
On dînait tous les trois. On parlait de choses et d’autres. Aussitôt son dessert avalé, Amandine s’éclipsait.
– J’ai plein de trucs à faire. »
Et puis il y avait les soirs où on n’était que tous les deux, Amandine et moi. Où notre tête-à-tête se prolongeait tard. Souvent très tard.
« Faudrait peut-être aller dormir !
– Oh, encore un peu, va ! Qu’on en profite ! Parce que c’est quand même pas pareil, quand elle n’est pas là, l’autre.
– Pas pareil ?
– On peut causer au moins. Comme on fait là, depuis trois heures. De mes trucs à moi. De mes mecs, tout ça. Parce que quand on l’a, elle, par les pieds, on peut pas. Et puis peut-être qu’on n’aura pas toujours l’occasion d’être que tous les deux.
– Comment ça ?
– Ben, à force qu’elle vienne comme ça sans arrêt, elle va bien finir par vouloir carrément s’installer ici. Avec vous.
– Pour le moment, elle n’en parle pas.
– Pour le moment ! Mais elle le fera. Elle le fera forcément. Vous lui direz quoi, vous, ce jour-là ? Vous la laisserez faire ?
– La question n’est pas d’actualité.
– Non, parce que si c’était le cas, faudrait que je dégage, moi. Elle ferait tout pour ça.
– Mais non ! Bien sûr que non ! C’est pas du tout son genre.
– Ben, tiens ! On voit que vous connaissez pas les femmes, vous ! Bon, mais allez ! Vous avez raison. Faut aller dormir.
Elle a regagné sa chambre. Et moi la salle de bains. Je finissais de me brosser les dents quand elle y a surgi, en coup de vent, vêtue, en tout et pour tout, d’une petite culotte affriolante couleur parme et d’un soutien-gorge assorti.
– Vous n’avez pas vu mon portable ? Ah, si ! Si ! Il est là. Non, parce que si je l’ai pas pour me réveiller.
Jessica, à qui j’ai raconté tout ça, était ravie pour moi.
– Ah, le poisson est ferré, on dirait. Il n’y a plus qu’à le ramener en douceur sur la berge. On va s’y employer. »
On déjeunait, selon notre bonne habitude, tous les deux dans la cuisine.
« Eh ben dites donc ! Faut vraiment que tout le monde en profite, quand elle jouit votre Jessica, hein !
– Il y a des moments où on ne maîtrise plus rien. T’es bien placée pour le savoir.
– Oui, mais moi, je fais pas tant de raffut.
– T’as qu’à y croire ! T’es dix fois pire.
– Ben, voyons ! Non, sérieux. C’était quoi la raison pour qu’elle couine comme ça ? Vous lui broutiez le minou ?
– T’es bien curieuse.
– Oh, tu parles ! C’est pas un secret d’État.
– C’est pas son truc, les cunnis.
– Ah, oui ? C’est quoi son truc alors ?
– Que je la caresse, avec mon bout, sur le clito. Et puis tout au long de sa chatte. Longtemps.
– Vous cachez bien votre jeu, vous, hein, finalement ! Parce que vous en êtes de la comédie. Jamais on croirait à vous voir comme ça.
Le surlendemain, sur le coup de sept heures un quart, elle a surgi, tout échevelée, dans la salle de bains.
– Vous l’avez pas entendu que j’étais pas levée ?
– Non. Je te croyais dans la cuisine.
– Je me suis pas réveillée. On va être à la bourre, ça, c’est sûr ! Ça vous ennuie si je me douche pendant que vous vous rasez ?
Elle n’a pas attendu la réponse. Elle s’est débarrassée du pyjama. Le haut. Le bas. A escaladé le rebord de la baignoire. Et, dans la glace, j’ai eu ses seins en pente douce. Si délicieusement seins. Ses fesses. Bien fermes. Généreuses. Son petit fendu. Tout lisse. Pudiquement refermé sur ses trésors.
Jessica a hoché la tête.
– Cette fois tu touches au but. Tu touches vraiment au but. Et si tu ne commets pas d’impair… »
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