Les petites stagiaires: Amandine I,8
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les petites stagiaires: Amandine I,8
Juste le temps de déposer ses affaires, de faire un détour éclair par la salle de bains et on y a eu droit. Aussitôt. Sans préambule. Domitille. Et Domitille a dit ci. Et Domitille a fait ça. Et Domitille pense que… Il n’y avait plus que Domitille qui comptait.
‒ C’est vraiment une fille exceptionnelle. Extraordinaire. Comme t’as rarement l’occasion d’en rencontrer. Qui se prend pas la tête ! Elle fait ce qu’elle a envie. Tout ce qu’elle a envie. Quand elle a envie. Comme elle a envie. Ça leur convient aux gens ? Eh bien tant mieux ! Ça leur va pas ? Eh bien tant pis ! Elle en a rien à battre. Et je peux vous dire qu’on en a fait toutes les deux ! Ah, pour chauffer, elles ont chauffé les télécommandes. Même si son truc à elle, en réalité, c’est surtout le plug anal. T’as déjà essayé ça, toi, Aurélie ?
– Pas encore, non.
– Tu devrais ! Elle, elle trouve ça absolument génial. Elle m’a un peu montré, mais juste comme ça, sans trop insister, parce qu’à ce qu’elle dit, il faut y aller en douceur au début. S’habituer progressivement. Mais une fois que tu y as goûté, après, par contre, tu peux plus t’en passer. C’est pas mal, moi j’ai trouvé. Différent comme sensation, mais pas désagréable du tout. Ça m’a donné envie d’y aller voir de plus près du coup. Elle, ce qu’il y a de sûr en tout cas, c’est que là-dessus, elle est carrément acharnée, oui. C’est souvent qu’elle s’endort en l’ayant dedans. « Tu te sens trop bien le matin quand tu te réveilles, attends ! » Ou qu’elle se balade dans la rue comme ça. « Rien que de croiser des gens et de te dire qu’ils se doutent pas que t’as ça entre les fesses, comment tu prends ton pied ! » Pour les mecs aussi elle adore derrière. « Tu l’as toute serrée dedans, sa queue. Et puis alors comment tu la sens bien quand elle éclate ! Ça te répercute partout. Ça t’irradie. C’est de la folie ! »Elle a voulu qu’on appelle Domitille. Sur Skype. Dans leur chambre.
– Qu’elle fasse votre connaissance ! Depuis le temps que je lui parle de vous !
C’était une petite brunette à l’œil vif qui n’y est pas allée par quatre chemins : les présentations à peine terminées, elle a voulu que les filles lui fassent voir comment elles s’y prenaient ensemble. Ce à quoi elles se sont aussitôt prêtées de bonne grâce. Leurs lèvres se sont jointes. Leurs mains se sont fougueusement faufilées sous les vêtements qui se sont éparpillés aux quatre coins de la chambre. Nues l’une contre l’autre. Seins contre seins. Sur l’écran, Domitille se les était, elle aussi, dénudés. Ils étaient lourds, veinés de bleu. Elle s’est mise à s’en caresser les pointes, du bout des pouces, sans jamais nous quitter des yeux.
– J’ai envie ! Non, mais comment j’ai envie !
Et Amandine a poussé Aurélie sur le lit, l’y a fait tomber, lui a piqueté le cou d’une multitude de petits baisers, est lentement descendue. Elle s’est longuement attardée sur les seins. L’un après l’autre. Elle en a fait vivre les tétons qu’elle a léchés, suçotés, emprisonnés entre ses dents avant de reprendre lentement son périple vers la tendre déchirure dentelée. Aurélie s’est ouverte, a gémi en sourdine. Je me suis mis, moi aussi, de la partie. Envie. Tellement. J’ai posé ma main sur la cheville d’Amandine que j’ai longuement encerclée de caresses. J’ai longé l’arrière de la cuisse, en prenant tout mon temps, jusqu’aux premiers contreforts des fesses entre lesquelles je me suis aussitôt faufilé. Elle ruisselait. Mes lèvres, ma langue se sont enfouis dans ses replis soyeux tandis que, du bout du doigt, j’effleurais l’entrée de son petit trou de derrière. Je m’en suis éloigné. J’y suis revenu, l’ai enduit de sa mouille, me suis fait plus précis, plus insistant, ai fini par y introduire mon majeur que j’y ai doucement fait tourbillonner…– T’arrête pas ! Je t’en supplie, t’arrête pas !
Je n’en avais pas la moindre intention. Et j’ai poursuivi de plus belle. Avec ma langue devant. Avec mon doigt derrière. C’est Domitille, à l’écran, qui a joui la première. Dans un grand sanglot ininterrompu et indéfiniment prolongé. Amandine lui a aussitôt succédé. À pleins poumons. Déchaînée. Éperdue. Et puis Aurélie À petites plaintes rauques.
– Et lui ? Vous me le faites couler, les filles ? »Elles ne demandaient pas mieux. Moi non plus. Elles m’ont installé face à elle. Entouré. Leurs mains se sont emparées de moi. De mon torse. De mon dos. De mes hanches. De mes couilles. De ma queue qu’elles ont décalottée, dorlotée et qui a très vite éclaté.
‒ T’es où ? Ah, t’es là ! Ça y est ! Je l’ai, mon BTS ! Ça y est ! Et Domitille aussi. Ce que je suis contente !
– Je suis ravie pour toi.
Je ne l’étais pas tant que ça. Je ne l’étais pas vraiment. Pas du tout. C’était le diplôme de tous les dangers. Qui risquait de l’éloigner de moi à tout jamais. J’ai – très vite – essayé d’allumer des contre-feux.
– J’ignore ce que tu veux faire au juste, mais j’ai parlé à Javeau qui est très content de toi et qui serait tout à fait prêt à te signer un CDI.
– Faut que je voie. Je sais pas. J’ai plein de possibilités en fait.
Elle savait très bien. Je saisissais parfois au vol des bribes de conversation avec Domitille au téléphone, avec Aurélie dans leur chambre qui ne laissaient subsister aucun doute : leur projet de Bretagne était en train de prendre très sérieusement corps. Ce qu’elle m’a confirmé un soir que nous nous trouvions tout seuls tous les deux.
– Faut que je te dise ! Je vais partir.
– Je m’en doutais bien un peu. Quand ?
– La semaine prochaine.
– Ah !
– Oh, mais fais pas cette tête-là ! Je repasserai. On trouvera bien l’occasion de se revoir.
– C’est toujours ce qu’on dit dans ces cas-là. Et puis le temps passe et…– Je te promets !
– T’es sûre de ce que tu fais ? Tu vas pas le regretter ?
– Mais non, t’inquiète pas ! C’est une entreprise qui tient la route, en pleine expansion. Ce qui est rare au jour d’aujourd’hui. On m’offre un salaire plus que correct pour quelqu’un qui débute. On s’est trouvé un coquet petit pavillon dans la banlieue de Rennes qui, à trois, ne devrait pas nous poser financièrement trop de problèmes. Quant aux filles, je sais où je mets les pieds. On s’entend comme larrons en foire toutes les trois.
– Dans ces conditions… »
Et puis ce fut notre dernier soir.
« Allez, viens, je t’emmène !
Elle m’emmenait, mais où ça ?
– Au restaurant.
Elle a garé la voiture devant un hôtel grand luxe enchâssé dans un écrin de verdure.
– Tu es folle ! Ça coûte une fortune ces trucs-là.
– T’occupe ! Ça me fait plaisir. J’avais envie de te remercier. Même si c’est pas grand-chose au regard de la fantastique année que j’ai passée à tes côtés. Tant au boulot qu’à la maison. Ça restera un excellent souvenir.
– Et pour moi donc !
On a passé la moitié du repas à se remémorer nos meilleurs moments et l’autre à évoquer sa nouvelle vie.
– J’ai pas l’air comme ça, mais je suis pas trop tranquille au fond, tu sais ! C’est quand même un sacré saut dans l’inconnu.
– Oui, oh, les risques sont malgré tout limités. Tu pars pas vraiment à l’aventure.
– Il peut y avoir des impondérables. Les collègues, au boulot, peuvent être infects, les voisins nous avoir dans le nez, le quartier s’avérer bruyant.
– Ça, c’est ton imagination qui te joue des tours.
– Tu crois ?
– Je crois pas, je suis sûr. Dans quinze jours, tu me téléphoneras ravie, tu verras.
– J’espère.
On s’est levés. Je me suis dirigé vers la sortie.
– Eh ! Où tu vas ? C’est pas par là.
Et elle s’est résolument engagée dans le monumental escalier qui menait aux chambres.
Elle a jeté la clef sur la table de nuit, s’est déshabillée, enfouie dans le lit.
– Viens !
J’ai souri.
– Un dernier cunni alors ?
– Non ! Enfin si ! Oui ! Aussi. Si t’as envie. Mais pas seulement… Tout ! Tout ce que tu veux cette fois.
– Même ?
– Même…Je me suis glissé à ses côtés.
– C’est un fabuleux cadeau.
Elle m’a posé les mains sur les fesses, a plaqué mon bassin contre le sien.
– Comme t’as envie !
Oh, oui, j’avais envie, oui ! Tellement !
Elle m’a serré plus fort contre elle. Encore plus fort.
– Non ! Attends, Amandine, je…Je suis parti contre son ventre.
Elle a ri.
– Eh ben, dis donc ! Comme à vingt ans !
– Je suis désolé. Mais il y a tellement longtemps…– Que t’as envie de moi. Je sais, oui ! Un an. Presque un an. Mais c’est pas grave. On va tout reprendre à zéro. On a toute la nuit.
Et mes doigts, mes lèvres, ma langue ont couru sur sa peau, sur sa bouche, sur ses seins. Les ont fait pointer. Sont descendus. Sont remontés. Encore et encore. Ont fini par s’installer en bas. Aux abords de son réduit d’amour. Qu’ils ont longé. Qu’ils ont apprivoisé. Qu’ils ont longuement exploré. Elle a geint. De plus en plus fort. De plus en plus vite. M’a voulu en elle. M’y a accueilli avec un immense soupir de satisfaction.
– Derrière ! Va aussi derrière ! Oh, s’il te plaît !
Et aussi derrière. En même temps. D’un doigt tout baigné d’elle. D’un deuxième. Doucement enfoncés en elle. Loin.
– Que c’est bon ! Oh, que c’est bon !
Et elle a déferlé. Elle a clamé son plaisir. Au moment même où, ivre de volupté, je répandais le mien.
Elle a voulu me garder, encastré à elle. On a repris notre souffle, nos esprits.
Et puis je n’ai pas pu m’empêcher :– Tu es sûre ?
– De quoi donc ?
– Qu’on se reverra ? Au moins de temps en temps ?
– Faudra bien ! Parce que mon pucelage de derrière, c’est toi qui l’auras. Je veux que ce soit toi qui l’aies. Quand je serai prête. Dès que je serai prête. »On s’est endormis. L’un contre l’autre.
Au réveil, elle était partie.
‒ C’est vraiment une fille exceptionnelle. Extraordinaire. Comme t’as rarement l’occasion d’en rencontrer. Qui se prend pas la tête ! Elle fait ce qu’elle a envie. Tout ce qu’elle a envie. Quand elle a envie. Comme elle a envie. Ça leur convient aux gens ? Eh bien tant mieux ! Ça leur va pas ? Eh bien tant pis ! Elle en a rien à battre. Et je peux vous dire qu’on en a fait toutes les deux ! Ah, pour chauffer, elles ont chauffé les télécommandes. Même si son truc à elle, en réalité, c’est surtout le plug anal. T’as déjà essayé ça, toi, Aurélie ?
– Pas encore, non.
– Tu devrais ! Elle, elle trouve ça absolument génial. Elle m’a un peu montré, mais juste comme ça, sans trop insister, parce qu’à ce qu’elle dit, il faut y aller en douceur au début. S’habituer progressivement. Mais une fois que tu y as goûté, après, par contre, tu peux plus t’en passer. C’est pas mal, moi j’ai trouvé. Différent comme sensation, mais pas désagréable du tout. Ça m’a donné envie d’y aller voir de plus près du coup. Elle, ce qu’il y a de sûr en tout cas, c’est que là-dessus, elle est carrément acharnée, oui. C’est souvent qu’elle s’endort en l’ayant dedans. « Tu te sens trop bien le matin quand tu te réveilles, attends ! » Ou qu’elle se balade dans la rue comme ça. « Rien que de croiser des gens et de te dire qu’ils se doutent pas que t’as ça entre les fesses, comment tu prends ton pied ! » Pour les mecs aussi elle adore derrière. « Tu l’as toute serrée dedans, sa queue. Et puis alors comment tu la sens bien quand elle éclate ! Ça te répercute partout. Ça t’irradie. C’est de la folie ! »Elle a voulu qu’on appelle Domitille. Sur Skype. Dans leur chambre.
– Qu’elle fasse votre connaissance ! Depuis le temps que je lui parle de vous !
C’était une petite brunette à l’œil vif qui n’y est pas allée par quatre chemins : les présentations à peine terminées, elle a voulu que les filles lui fassent voir comment elles s’y prenaient ensemble. Ce à quoi elles se sont aussitôt prêtées de bonne grâce. Leurs lèvres se sont jointes. Leurs mains se sont fougueusement faufilées sous les vêtements qui se sont éparpillés aux quatre coins de la chambre. Nues l’une contre l’autre. Seins contre seins. Sur l’écran, Domitille se les était, elle aussi, dénudés. Ils étaient lourds, veinés de bleu. Elle s’est mise à s’en caresser les pointes, du bout des pouces, sans jamais nous quitter des yeux.
– J’ai envie ! Non, mais comment j’ai envie !
Et Amandine a poussé Aurélie sur le lit, l’y a fait tomber, lui a piqueté le cou d’une multitude de petits baisers, est lentement descendue. Elle s’est longuement attardée sur les seins. L’un après l’autre. Elle en a fait vivre les tétons qu’elle a léchés, suçotés, emprisonnés entre ses dents avant de reprendre lentement son périple vers la tendre déchirure dentelée. Aurélie s’est ouverte, a gémi en sourdine. Je me suis mis, moi aussi, de la partie. Envie. Tellement. J’ai posé ma main sur la cheville d’Amandine que j’ai longuement encerclée de caresses. J’ai longé l’arrière de la cuisse, en prenant tout mon temps, jusqu’aux premiers contreforts des fesses entre lesquelles je me suis aussitôt faufilé. Elle ruisselait. Mes lèvres, ma langue se sont enfouis dans ses replis soyeux tandis que, du bout du doigt, j’effleurais l’entrée de son petit trou de derrière. Je m’en suis éloigné. J’y suis revenu, l’ai enduit de sa mouille, me suis fait plus précis, plus insistant, ai fini par y introduire mon majeur que j’y ai doucement fait tourbillonner…– T’arrête pas ! Je t’en supplie, t’arrête pas !
Je n’en avais pas la moindre intention. Et j’ai poursuivi de plus belle. Avec ma langue devant. Avec mon doigt derrière. C’est Domitille, à l’écran, qui a joui la première. Dans un grand sanglot ininterrompu et indéfiniment prolongé. Amandine lui a aussitôt succédé. À pleins poumons. Déchaînée. Éperdue. Et puis Aurélie À petites plaintes rauques.
– Et lui ? Vous me le faites couler, les filles ? »Elles ne demandaient pas mieux. Moi non plus. Elles m’ont installé face à elle. Entouré. Leurs mains se sont emparées de moi. De mon torse. De mon dos. De mes hanches. De mes couilles. De ma queue qu’elles ont décalottée, dorlotée et qui a très vite éclaté.
‒ T’es où ? Ah, t’es là ! Ça y est ! Je l’ai, mon BTS ! Ça y est ! Et Domitille aussi. Ce que je suis contente !
– Je suis ravie pour toi.
Je ne l’étais pas tant que ça. Je ne l’étais pas vraiment. Pas du tout. C’était le diplôme de tous les dangers. Qui risquait de l’éloigner de moi à tout jamais. J’ai – très vite – essayé d’allumer des contre-feux.
– J’ignore ce que tu veux faire au juste, mais j’ai parlé à Javeau qui est très content de toi et qui serait tout à fait prêt à te signer un CDI.
– Faut que je voie. Je sais pas. J’ai plein de possibilités en fait.
Elle savait très bien. Je saisissais parfois au vol des bribes de conversation avec Domitille au téléphone, avec Aurélie dans leur chambre qui ne laissaient subsister aucun doute : leur projet de Bretagne était en train de prendre très sérieusement corps. Ce qu’elle m’a confirmé un soir que nous nous trouvions tout seuls tous les deux.
– Faut que je te dise ! Je vais partir.
– Je m’en doutais bien un peu. Quand ?
– La semaine prochaine.
– Ah !
– Oh, mais fais pas cette tête-là ! Je repasserai. On trouvera bien l’occasion de se revoir.
– C’est toujours ce qu’on dit dans ces cas-là. Et puis le temps passe et…– Je te promets !
– T’es sûre de ce que tu fais ? Tu vas pas le regretter ?
– Mais non, t’inquiète pas ! C’est une entreprise qui tient la route, en pleine expansion. Ce qui est rare au jour d’aujourd’hui. On m’offre un salaire plus que correct pour quelqu’un qui débute. On s’est trouvé un coquet petit pavillon dans la banlieue de Rennes qui, à trois, ne devrait pas nous poser financièrement trop de problèmes. Quant aux filles, je sais où je mets les pieds. On s’entend comme larrons en foire toutes les trois.
– Dans ces conditions… »
Et puis ce fut notre dernier soir.
« Allez, viens, je t’emmène !
Elle m’emmenait, mais où ça ?
– Au restaurant.
Elle a garé la voiture devant un hôtel grand luxe enchâssé dans un écrin de verdure.
– Tu es folle ! Ça coûte une fortune ces trucs-là.
– T’occupe ! Ça me fait plaisir. J’avais envie de te remercier. Même si c’est pas grand-chose au regard de la fantastique année que j’ai passée à tes côtés. Tant au boulot qu’à la maison. Ça restera un excellent souvenir.
– Et pour moi donc !
On a passé la moitié du repas à se remémorer nos meilleurs moments et l’autre à évoquer sa nouvelle vie.
– J’ai pas l’air comme ça, mais je suis pas trop tranquille au fond, tu sais ! C’est quand même un sacré saut dans l’inconnu.
– Oui, oh, les risques sont malgré tout limités. Tu pars pas vraiment à l’aventure.
– Il peut y avoir des impondérables. Les collègues, au boulot, peuvent être infects, les voisins nous avoir dans le nez, le quartier s’avérer bruyant.
– Ça, c’est ton imagination qui te joue des tours.
– Tu crois ?
– Je crois pas, je suis sûr. Dans quinze jours, tu me téléphoneras ravie, tu verras.
– J’espère.
On s’est levés. Je me suis dirigé vers la sortie.
– Eh ! Où tu vas ? C’est pas par là.
Et elle s’est résolument engagée dans le monumental escalier qui menait aux chambres.
Elle a jeté la clef sur la table de nuit, s’est déshabillée, enfouie dans le lit.
– Viens !
J’ai souri.
– Un dernier cunni alors ?
– Non ! Enfin si ! Oui ! Aussi. Si t’as envie. Mais pas seulement… Tout ! Tout ce que tu veux cette fois.
– Même ?
– Même…Je me suis glissé à ses côtés.
– C’est un fabuleux cadeau.
Elle m’a posé les mains sur les fesses, a plaqué mon bassin contre le sien.
– Comme t’as envie !
Oh, oui, j’avais envie, oui ! Tellement !
Elle m’a serré plus fort contre elle. Encore plus fort.
– Non ! Attends, Amandine, je…Je suis parti contre son ventre.
Elle a ri.
– Eh ben, dis donc ! Comme à vingt ans !
– Je suis désolé. Mais il y a tellement longtemps…– Que t’as envie de moi. Je sais, oui ! Un an. Presque un an. Mais c’est pas grave. On va tout reprendre à zéro. On a toute la nuit.
Et mes doigts, mes lèvres, ma langue ont couru sur sa peau, sur sa bouche, sur ses seins. Les ont fait pointer. Sont descendus. Sont remontés. Encore et encore. Ont fini par s’installer en bas. Aux abords de son réduit d’amour. Qu’ils ont longé. Qu’ils ont apprivoisé. Qu’ils ont longuement exploré. Elle a geint. De plus en plus fort. De plus en plus vite. M’a voulu en elle. M’y a accueilli avec un immense soupir de satisfaction.
– Derrière ! Va aussi derrière ! Oh, s’il te plaît !
Et aussi derrière. En même temps. D’un doigt tout baigné d’elle. D’un deuxième. Doucement enfoncés en elle. Loin.
– Que c’est bon ! Oh, que c’est bon !
Et elle a déferlé. Elle a clamé son plaisir. Au moment même où, ivre de volupté, je répandais le mien.
Elle a voulu me garder, encastré à elle. On a repris notre souffle, nos esprits.
Et puis je n’ai pas pu m’empêcher :– Tu es sûre ?
– De quoi donc ?
– Qu’on se reverra ? Au moins de temps en temps ?
– Faudra bien ! Parce que mon pucelage de derrière, c’est toi qui l’auras. Je veux que ce soit toi qui l’aies. Quand je serai prête. Dès que je serai prête. »On s’est endormis. L’un contre l’autre.
Au réveil, elle était partie.
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