Les petites stagiaires: Leslie IV,4

- Par l'auteur HDS Exorium -
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Récit libertin : Les petites stagiaires: Leslie IV,4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les petites stagiaires: Leslie IV,4
Leslie arborait un petit air ravi. Heureux. Heureux, oui. C’était le mot.
‒ Tu fais voir ?
Elle a jeté un bref coup d’œil vers la porte.
– T’inquiète pas ! On entendra arriver.
Elle ne s’est pas fait prier. Elle m’a tourné le dos et elle a relevé sa robe. Haut. Le plus haut possible.
– Et, bien sûr, tu n’as pas de culotte !
Elle a eu un petit rire.
– Ah, ben ça, mais maintenant vous savez pourquoi ! C’est trop bon quand ça râpe dessus.
– Qu’est-ce t’as fait ce week-end ?
– Je peux rebaisser ?
– Non ! Attends ! Attends !
J’ai pris un peu de recul et longuement contemplé mon œuvre. Les rouges s’étaient violacés, avaient viré au jaune bleuté par endroits, voire même au noirâtre.
– Vous l’apprenez par cœur ?
– Non, mais il y a quelque chose qui me va pas.
– C’est quoi ?
– Il manque de la couleur, en bas, là, à gauche.
– Oui ! J’avais remarqué, moi aussi. Ben, allez-y ! Rectifiez, si vous voulez.
Je lui ai passé un bras autour de la taille, l’ai solidement maintenue et j’ai lancé trois-quatre claques, à toute volée.
– Ouche !

Elle a laissé retomber sa robe.
– Bon, alors, ce week-end ?
– Oh, ben rien ! Je me suis promenée. Au milieu des gens. En imaginant.
– Quoi ?
– Plein de choses.
– Mais encore ?
– Oh, ben, par exemple, que ceux qu’avaient des lunettes, c’étaient des verres spéciaux qu’enlevaient les vêtements. Ils voyaient ce qui m’était arrivé du coup. Comment j’avais honte !
– Et comment c’était agréable !
– Non. Enfin, si ! Oui. Aussi.
– Tellement agréable que t’as fini par rentrer en courant. Ou presque. Qu’à peine la porte refermée, tu t’es foutue à poil devant la glace. Qu’il t’a fallu ton plaisir, là, tout de suite, l’œil rivé, par-dessus ton épaule, à ton derrière tuméfié. Que ça a été bon ! Rapide, fulgurant, mais tellement bon ! Tu ne t’es pas tenue quitte pour autant. Ah, non, alors ! Tu es allée t’étendre sur ton lit. Tu as laissé tes images t’envahir. Celles de ta flânerie dans la rue. Celles du pot de Zonlier, vendredi soir. Elles t’ont submergée et tu t’es doucement caressée, du bout des doigts. Il y avait les collègues. Il y avait Javeau. Et puis moi. Qui, tout en dansant, t’ai menacée d’une fessée, qui ai fini par réclamer le silence. « Écoutez tous ! Leslie, la stagiaire qu’on m’a infligée cette année est une véritable catastrophe. Pas moyen d’en tirer quoi que ce soit. J’ai tout essayé. Tout. Au point d’en être réduit à lui administrer la fessée. Sans que cela y change, pour le moment, quoi que ce soit. Aussi ai-je décidé, en désespoir de cause, de la punir devant vous. Peut-être cela l’amènera-t-il à prendre enfin son travail à cœur. Peut-être… Je ne me fais guère d’illusions, mais bon, sait-on jamais ? » Je t’ai empoignée. Je t’ai mis les fesses à l’air, ai attendu que le cercle se soit formé autour de nous et j’ai tapé. Ce que tu as gigoté ! Un vrai régal pour ces messieurs auxquels tu ne laissais rien ignorer de tes richesses intimes. Quant aux femmes, tout cela les amusait follement. Elles riaient. Se moquaient ouvertement de toi. Et plus ça allait, plus tu les voyais, plus tu les entendais et plus tes doigts se sont faits précis, plus tes mains se sont faites exigeantes. Non ? Je me trompe ?
– Non ! Pas vraiment. Presque pas. Mais arrêtez, s’il vous plaît ! Dites plus rien !
– Ben, pourquoi ?
– Parce que ça me ramène tout en force que vous racontiez et que ça me fait plein de choses.
– C’est si désagréable que ça ?
– Non, mais j’ai pas de culotte et si vous continuez…
– Ça va être les grandes eaux, ce qui risque de faire effectivement désordre. J’imagine la tête de Javeau. Ou celle des collègues, tout à l’heure, à la cantine.
– Oui, ben moi, ça me ferait pas rire du tout.

Elle a profité de la pause de midi pour aller s’en acheter une.
‒ Oh, mais c’est un appel au peuple, ça !
– C’est surtout qu’avec vous, on peut s’attendre à tout.
– Ah, pour ça, oui ! À ce qu’un de ces jours, je te donne pour de bon la fessée en public. Par exemple.
– Pas cap !
– Alors là !
– Comment j’aimerais trop ça ! Oui, mais non. Parce que devant Javeau ? Devant les collègues ? Vous imaginez ? C’est tout juste pas possible.
– Et pour plein de raisons. Mais il y a pas que Javeau et les collègues.
– À qui vous pensez ?
– À personne en particulier. Mais je peux t’assurer que si, ce soir, je mets une annonce en ligne : « Recherche messieurs pour être les spectateurs discrets d’une fessée administrée à une jeune et charmante stagiaire », demain matin j’ai cinquante réponses. Au moins. Il ne nous resterait plus qu’à faire le tri et à leur fixer rendez-vous aussi loin d’ici que possible. Que tu ne coures aucun risque d’aucune sorte.
– Ils auraient quel âge ?
– Ce serait à toi de voir. De choisir.
– Je sais pas. Dans un sens, des vieux j’aimerais bien. Parce que ça les mettrait dans tous leurs états un truc pareil, mais, dans un autre, des jeunes de mon âge, j’aurais encore bien plus honte.
– L’un n’empêche pas l’autre.
– Ce serait forcément des hommes ?
– Si tu préfères que ce soit des femmes…
– J’aimerais mieux, oui. Qu’elles se moquent carrément de moi. Que je les entende et que je les voie rigoler sur mon dos tout ce qu’elles savent.
– Ça doit pouvoir se trouver.
Elle s’est absorbée dans ses pensées. Dont elle n’a émergé qu’une bonne demi-heure plus tard.
– On va vraiment le faire ?
– T’en crèves d’envie. Et moi aussi.
– Ce sera quand ?
– Peut-être demain. Ou après-demain. Dans une semaine. Ou dans un mois. Peut-être au moment où tu t’y attendras le moins. Où tu n’y croiras plus.
– Ça va être horrible d’attendre !
– Et tellement jouissif. »

* * *

Aglaé et Élodie s’étaient expliquées. Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’elles s’étaient dit, mais toujours est-il qu’en rentrant je les ai trouvées enchantées l’une de l’autre. Et bien décidées à profiter à fond de la virée en club programmée. Aglaé a récapitulé.
‒ Bon, alors ! Plan de bataille. Tu changes rien à tes habitudes, Élodie. T’y vas avec Ewin. Une fois là-bas, vous vous séparez. Chacun à son poste. Dans la foulée, je te rejoins discrètement avec Camille qui se sera mis en mode fille. Après, on avisera. En fonction de la tournure que prendront les événements. Et en espérant que Camille va pouvoir s’occuper d’Ewin.
– Oui, ben alors ça, c’est pas gagné. Il y aura de la concurrence.
– Comment j’aimerais trop voir ça !

Elle s’est brusquement tournée vers moi.
– Bon, mais et toi ?
– Quoi, moi ?
– Tu viens aussi ? Tu pourras nous raconter l’autre côté après comme ça. Comment Ewin a réagi. L’ambiance. Tout.
Je demandais pas mieux, seulement…
– Seulement quoi ? S’il te reconnaît ? Il t’a entraperçu trois fois, vite fait, entre deux portes. Et il est pas physionomiste pour deux sous. Et puis même ! T’as bien le droit de fréquenter ce genre d’endroits, toi aussi ! Sans que ça signifie pour autant qu’on lui ait tendu un piège. De toute façon, ça, c’est le genre de choses qui peuvent même pas lui venir à l’esprit. Alors là, je suis bien tranquille…

Ils étaient une quarantaine, complètement à poil, à attendre sagement leur tour, par petits groupes, en file indienne, devant chacun des douze orifices ménagés dans la cloison. Ewin était l’avant-dernier de la troisième colonne. J’ai aussitôt opté pour celle d’à côté. Le type, devant moi, m’a indiqué, bras tendu, index pointé, la rangée de porte-manteaux.
‒ Tu devrais, toi aussi ! C’est mal vu de rester sapé ici. Ça fait coincé. Et puis tu serais le seul.
Il m’a regardé me déshabiller, suspendre mes vêtements, revenir.
– C’est plus sympa. Ça crée une ambiance. Parce que, si on est là, c’est pour se faire sucer, oui, d’accord ! Mais en attendant que les nanas s’occupent de nous, c’est pas désagréable de profiter un peu les uns des autres. Je te choque pas au moins ?
Il n’a pas attendu la réponse. Il a enchaîné.
– Moi, c’est Manuel. Je t’ai jamais vu ici. C’est la première fois que tu viens ?
C’était la première fois, oui !
– On n’est pas trop rassuré au début, hein ! On n’a qu’une trouille, c’est de tomber sur quelqu’un qu’on connaît. Un voisin. Ou un collègue. Voire même son patron. Il y a peu de chances. Et puis même ! Vu qu’il serait là pour la même raison que toi, il irait pas le chanter sur les toits.
Une voix de femme, de l’autre côté, a grondé son plaisir. La plupart des queues qui m’entouraient se sont aussitôt redressées, tendues vers elle.

Mon voisin a poussé un soupir à fendre l’âme.
– Encore une qui piaule comme ça et je tiens pas le coup, moi ! Je crache avant d’arriver là-bas.
Il m’a discrètement désigné Ewin, du coin de l’œil.
– C’est souvent qu’il vient celui-là… T’as vu comment il est fourni ? Déjà qu’au repos t’as du mal à réaliser que ça existe, mais alors quand il bande ! Non, mais regarde-moi ça ! Elles en sont toutes folles à côté. T’entendrais ce remue-ménage quand elles voient arriver sa queue. Elles ont même failli se battre l’autre jour.
Il y en avait, ça allait très vite. Une minute ou deux. Même pas. Ils geignaient parfois, se retiraient, filaient récupérer leurs vêtements, disparaissaient.
– Ils se seraient branlés avant, ils tiendraient un peu mieux la route.
D’autres prenaient tout leur temps.
– Les femmes préfèrent ça. Elles peuvent savourer.
Trop leur temps parfois.
– Bon, alors ! Qu’est-ce qu’il fout, l’autre ? On va pas coucher là.

Il continuait à en arriver. En permanence. Des jeunes. Des vieux. Des habitués. Qui se déshabillaient, venaient aussitôt prendre place dans l’une des files. D’autres qui l’étaient moins. Qui s’efforçaient maladroitement de le dissimuler.
Sur la gauche, il y a eu des rires. Un impatient venait de se lâcher.
– C’est souvent que ça lui arrive, lui ! C’est d’être au milieu de tous ces mecs qui l’excite. Bien plus que les nanas.
Et puis ça a été son tour. Il s’est engouffré bien à fond, a crispé les fesses, plaqué les deux mains contre la cloison, respiré plus vite.
– Oh, la vache ! Oh, la vache !
Il a gémi, s’est retiré.
– À toi ! Salut ! À une autre fois !
Et il m’a tourné le dos.

Une main s’est aussitôt très délicatement emparée de moi, de mes couilles, les a longuement flattées. J’ai fermé les yeux. C’était qui ? Sûrement pas Camille. J’aurais reconnu son toucher entre mille. Ni Aglaé. Élodie ? Peut-être. Ça a continué. Et puis des lèvres sont venues s’y poser, les ont méthodiquement parcourues avant de les engloutir, de les faire amoureusement rouler en bouche. Ce n’était pas Élodie non plus. Sûr et certain. Non. C’était une inconnue. À la langue veloutée et experte. Bien décidée à prendre tout son temps.

Un cri de l’autre côté de la paroi.
– C’est lui ! Le v’là !
Ewin venait de s’offrir à la convoitise de ces dames.
– Je vous l’avais dit. Je vous l’avais pas dit ?
– Non, mais j’y crois pas ! À ce point-là, j’y crois pas !

Il y a encore eu des rires, des exclamations.
– Eh ben dis donc ! Il y en a une qu’a sacrément du pot, là !
Mon inconnue, qui s’était un instant interrompue, est revenue à moi, s’est faite brusquement plus impatiente, plus exigeante. Elle m’a enserré les couilles avec ardeur et a entamé, sur le bout de ma queue, un impatient mouvement de va-et-vient qui en a, très vite, fait jaillir le suc. Elle m’a avidement bu, avec une petite plainte ininterrompue de fond de gorge et s’est enfuie. Moi aussi. Un autre est venu, aussitôt, me remplacer.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Si elles ne l'étaient pas, elles ne me plairaient pas autant.

Toujours aussi délurées, ces stagiaires!



Texte coquin : Les petites stagiaires: Leslie IV,4
Histoire sexe : Une rose rouge
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