Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 3 : La première sodomie de Roger.

- Par l'auteur HDS Caro16 -
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Récit libertin : Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 3 : La première sodomie de Roger. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 3 : La première sodomie de Roger.
C’est lors d’une soirée chez des amis communs que j’avais rencontré Roger. Physiquement il me correspondait parfaitement, il me semblait brillant mais j’avais également apprécié son petit air réservé, à la limite de la timidité. Mes amies m’avaient faite remarquées qu’il me dévorait des yeux en permanence. Moi-même je me sentais poussée vers lui, nos regards croisés étaient d'une intensité et d'une profondeur si importante qu’ils ne voulaient plus se lâcher. Un véritable coup de foudre, cette sensation électrisante qui faisait battre nos cœurs à la chamade. Il m’avait avoué ensuite que, dès le début, il était tombé amoureux fou de moi. Dès que j’avais compris que c’était sérieux entre nous, je lui avais avoué que pendant les cinq dernières années j’avais collectionné un trop grand nombre d’amants, des hommes bien plus âgés que moi, car j’appréciais les hommes matures mais aussi quelques maîtresses car j’étais aussi attirée par les jolies femmes, voir des couples comme Gwen et Jake qui m’avaient initiée. Je lui avais révélé que je n’avais jamais été réellement amoureuse. Je ne lui avais rien caché de mes nombreuses aventures et de mes besoins sexuels importants, c’était important pour moi. Nous avions l’un et l’autre l’envie de nous stabiliser, de créer un couple durable et épanouie et de fonder une famille.
Roger m’avait tout de suite séduite, c’était un homme séduisant, doux et gentil avec lequel, nous avions basé notre couple sur la communication mais je sentais bien qu'il laissait une barrière entre nous comme une sécurité. Roger avait beaucoup de charme, il plaisait beaucoup aux femmes, j’avais tendance à me faire des films là-dessus car je suis et j’étais très jalouse. J’avais eu avant le début de notre vie commune et notre emménagement ensemble, la sensation qu'il avait déjà eu des expériences ou une attirance pour des hommes, je lui avais tendu la perche à plusieurs reprises il m'avait toujours affirmé qu’il n’y avait pas de sujet et qu'il ne comprenait que je puisse insinuer ça.
Mais après cette épreuve, ma maladie, et surtout son soutien au quotidien pendant ces trois longues années, je sentais qu'il avait remis une barrière, que quelque chose le travaillait, il me semblait souvent absent, dans ses pensées. J’avais de plus en plus de doutes.
Donc je lui avais demandé calmement et clairement de me parler et d'arrêter de me mentir que je pouvais accepter certaines choses, que j'étais assez ouverte d'esprit. Moi-même je lui avais avouée des choses inavouables réalisées avant notre rencontre, mais que je ne supporterais pas qu'il ne parle pas sinon cela altèrerait notre relation à jamais.
Avec grande difficulté Roger m'avait enfin avoué qu'il faisait des recherches sur le minitel comme ça pour fantasmer mais qu’il ne souhaitait pas aller plus loin.
Il m’avait enfin révélé, qu'il avait déjà eu des rapports avec un homme, le fameux Éric du service militaire, il y avait longtemps. A la question était-il homosexuel ou bisexuel il m'avait répondu :
- Homosexuel non, bisexuel je ne sais pas peut être, je ne sais pas pourquoi je fais ça !
Je l'avais senti perdu, j’avais donc convenu avec lui que j'accepterais, même si je me lançais dans l'inconnu, des rapports avec accessoires et que si il avait envie d'aller voir un garçon je préférais qu'il me le dise et plus de mensonges. J’avais toujours séparé le sexe des sentiments dans la limite de « mon » raisonnable, j'avais déjà eu un ex qui m'avait confier sans difficulté qu'il avait eu plusieurs fois des rapports avec des hommes et que de temps en temps ça lui plaisait mais nous n’étions pas rester assez longtemps ensemble pour que je me retrouve confronter au fait qu'il aille voir un homme un soir, et de plus c'était une relation que je ne voyais pas avec un grand avenir. Mais en me posant beaucoup de questions, j’acceptais et le motivais même pour qu’il retrouve sa joie de vivre.
Dans la théorie j'acceptais, mais en pratique je m'étais jamais retrouver confronter à ça et je me posais beaucoup de questions. Était-il vraiment bisexuel, était-ce juste un fantasme occasionnel. Est-ce que s’il allait un soir voir un homme, ma jalousie ne rattraperai pas tout ça malgré le fait que je lui avait dit que j'accepterais. Est ce qu'il oserait vraiment me le dire ou préférait-il me mentir. Beaucoup de questions auxquelles seul nous deux pouvions répondre en réalité.
Je lui avais fait confiance, et j’avais raison, Roger à rencontrer des hommes qui ont changés notre vie. Je laisse le soin à Roger de poursuivre notre récit.
Donc revenons à ce début d'année 1991, où je m'ennuyais sérieusement. C'était d'ailleurs en pensant à cette relation avec Éric que l'idée avait germé à nouveau dans mon esprit. A cette époque je me croyais totalement hétéro, malgré cette petite expérience lointaine, bien qu'avec mon épouse, nous avions déjà fantasmé sur des expériences bisexuelles. Ce qui n'était au départ qu'une blague entre nous, avait commencé à prendre forme dans mes pensées. C’était difficile pour moi, de m'avouer de nouveau cette envie, mais très vite, Carole avait perçue mon malaise, je ne pouvais plus lui cacher cela. Cela devenait trop compliqué pour moi. Nous avions traversé une telle épreuve avec sa maladie, que j'étais persuadé que nous trouverions ensemble une solution pour je puisse franchir mon mal-être passager. Non sans difficultés, je lui avais avoué que je passais mon temps libre à fantasmer, et que je m'étais masturbé plusieurs fois en m'imaginant sucer le sexe d'un homme. Que les petits jeux des cinq derniers mois de mon année de service national étaient revenus à la surface. Les week-ends passés avec Éric et les deux chaudes soirées étaient bien présentes. Et pourtant, nous avions retrouvé des relations plutôt soutenues et très régulières avec Carole. Les traitements avaient été efficaces et la maladie était derrière nous. Malgré cela, je demandais régulièrement à ma femme de me sodomiser, pendant nos rapports, j'appréciais vraiment ces moments, j'en avais besoin, je m'imaginais des choses inavouables. Ma chérie, souhaitait que je sois heureux et épanoui, et avait été très claire avec moi en déclarant que l'on ne pouvait jamais lutter contre ses envies. Elle m'encourageait à rechercher pour voir. Donc, une nuit, à la maison je m’étais connecté sur le minitel comme ça au hasard pour voir, comme me l'avait recommandé mon épouse, comme pour trouver une excuse à mes pulsions de mecs et je découvrais alors un monde vicieux qui me faisait bander comme un ado. Au début, timide, je me contentais de lire des dialogues, des scénarios ou des confessions, très vite j’étais devenu accro, me connectant au minitel de mon bureau, je me donnais rapidement un pseudo bien vicieux "Mecbisex" et à chaque fois je me faisais du bien, je me décalottais et jouissais tout seul en prenant soin au préalable de fermer à clé la porte de mon bureau. Par ailleurs cela ne m'empêchait d'avoir de multiples relations avec mon épouse que je n'avais jamais trompé, elle était pourtant « experte », aimait le sexe, appréciait les fellations, et même la sodomie que nous pratiquions régulièrement à sa demande. Elle avait retrouvé tous ses moyens, la maladie et les traitements étaient oubliés. Je l'informais régulièrement de mes recherches, des dialogues et des confessions que je pouvais trouver, curieusement cela l’excitait également.
Très vite, j'entrais dans le monde virtuel ! Pas facile avec le Minitel. !!! Les jours passaient et un matin, lors d’un dialogue super chaud avec un homme plus âgé que moi, (50 ans) celui-ci m’excitait vraiment avec des mots coquins, il me faisait comprendre que de se finir à poil sur nos lits, la queue à la main en s'écoutant se masturber serait bien pour nous deux. C’était tentant, car j’étais si excité, mais malheureusement je n’étais pas à mon domicile, mais à mon bureau, sur mon lieu de travail. Après quelques temps d'hésitations, d'évaluation des risques auxquels je m'exposais et aussi à force de me branler en le lisant j'avais fini par donner mon numéro de téléphone professionnel. Très anxieux, avec la boule au ventre, j'attendais, le téléphone près de moi, un peu honteux. Puis la sonnerie du téléphone retentissait.
- Oui j’écoute !
- C'est moi Bernard du minitel, c'est toi, Roger ?
- Oui, bonjour, c'est bien moi ! disais-je timidement !
- Alors comme çà tu n'as jamais fait une branlette au téléphone ?
- Euh ! Non, surtout pas de bêtise avec mon numéro de téléphone, je ne veux pas avoir de problème !
- T’inquiète pas, je suis sérieux, je veux simplement jouer maintenant, on se branle ensemble et j'oublie ton numéro sans problème.
- Ok, merci !
- Tu vas voir, c’est bon de se branler entre mecs. Enfin j’adore !
- Euh ! Moi je n'ai pas encore pratiqué, mais je trouve ta voix douce et agréable, j'ai respecté ce que tu m'as demandé, je suis tout nu comme convenu et toi ?
J'étais déjà aux ordres, j'étais nu dans mon bureau, entre 12h00 et 13h30, porte fermée à clé, volets roulants baissés, et l'ensemble du personnel parti déjeuner.
- Moi aussi chéri je suis nu et je me branle doucement, je suis tout raide, tu écris bien et tu m'as chauffé à fond salope, tu aimerais caresser mon sexe ?
- Je ne sais pas peut être que ça doit être bon entre copains de se branler ?
- Hum, oui tu sais je le fais souvent moi, je me gode aussi, tu as des jouets pour t'envoyer en l'air ?
- Oui et non, je me doigte parfois un peu en me masturbant. Mais, mon épouse par contre m'a souvent godé.
- C'est bien ça, ça m'excite ! Tu te fais enculer par ta femme ! Bien alors laisse-moi te guider, je vais te faire jouir comme jamais.
Je devais avouer que pour une première fois au téléphone, j'avais effectivement bien joui. Puis à ma demande, nous avions souvent recommencé en nous organisant mieux, je revenais chez moi, quand mon épouse était absente, pas pour lui cacher quoique ce soit, car je lui racontais absolument tout, mais pour être parfaitement à l'aise. Nous prenions ensemble beaucoup de plaisir, sans prise de tête, c'était très agréable. Puis ensuite Bernard avait eu envie de me rencontrer physiquement, je ne réalisais pas vraiment, j'étais bien, je n'étais pas conscient de l'évolution de notre relation après cette rencontre. Je souhaitais mettre un visage sur Bernard. Je continuais d'avoir des relations normales avec Carole, voir peut être plus bestiale, mais elle appréciait. Mes masturbations téléphoniques l’excitaient. Malgré quelques hésitations de ma part, c'est encore Carole qui m'avait motivé à accepter cette rencontre. Le rendez-vous était pris, un parking d’autoroute entre Rouen et le Havre, suffisamment distant de mon domicile pour la discrétion c'était rassurant, en fin d'après-midi, comme nous étions au mois de février, il faisait relativement nuit tôt. C'était un vendredi soir pluvieux mais pendant le trajet pour aller à ce rendez-vous un tas d'images défilaient dans ma tête et j'hésitais à faire demi-tour à plusieurs reprises. Puis ensuite, je me calmais, pour aborder sans appréhension cette rencontre en pensant faire connaissance avec Bernard, simplement, innocemment, mettre un visage sur cette belle voix, je n'imaginais pas une seule seconde faire quelque chose sur ce parking. Mais finalement, c’était avec le cœur battant d'excitation que j'arrivais au parking vers 18h00, il faisait encore jour. Pour les plus jeunes, je dois rappeler que nous ne disposions pas de téléphone portable au début des années « 90 », et donc pour retrouver Bernard je me faufilais entre les camions, il y avait beaucoup de camions. Je ne trouvais pas sa voiture, celle qu’il m’avait décrite. J'avais un peu attendu, en me disant que finalement, j'étais certainement en train de faire une grosse bêtise !!!
Je me décidais donc à repartir quand soudain Bernard arrivait à pieds, venant à ma fenêtre pour me demander si je m'appelais bien Roger du minitel et des conversations téléphoniques. Il m'invitait à laisser ma voiture, la sienne était garée près d’un petit bois de ce parking autoroutier, un endroit certainement moins fréquenté. J’étais très vite surpris par le physique de Bernard, malgré ses cinquante printemps, c’était un très bel homme, la différence de quinze années ne me gênait pas, je l'observais, il était très classe, très bien habillé, charmant, très beau sourire. Finalement, malgré la lumière du jour qui déclinait, je constatais qu'il me plaisait. Je remarquais que je ne laissais pas indifférent également. Il m’invitait à monter dans sa voiture, bizarrement, j'étais plutôt à l'aise, Bernard me parlait beaucoup, calmement, avec une voix douce, il était très charmant. Il commençait à me caresser, je le laissais me toucher sans protester, bien au contraire, je ne me contrôlais plus. J'avais trouvé ce moment bizarre à vivre, Bernard arrivant, nous nous étions jamais vus, je savais un peu pourquoi nous nous voyions sans vouloir encore me l'avouer. J'avais très envie de l'embrasser, j'oubliais les bonnes paroles de ma maman, je pensais enfin à moi, je me jetais sur lui pour l'embrasser. Bernard me calmait légèrement, puis au fil de la conversation, il devenait plus directif, m'ordonnait de retirer vêtement après vêtement, pour finalement me retrouver entièrement nu dans une voiture d'un presque inconnu, au mois de février, avec une température légèrement positive. J’étais à poil, le sexe bandé, alors qu'on se serrait la main et que nous nous parlions comme deux « étrangers », dix minutes avant.
Mais j'avais chaud, ses caresses et ses mains m'étaient agréables, il me demandait de me tourner, il trouvait que j'avais de jolies fesses, puis il m'embrassait de nouveau dans le cou, me suçait les oreilles, me léchait les tétons, sa main effleurait mon sexe, il positionnait les sièges avant en « couchette » pour être mis sous forme de lit, et nous nous allongions l'un contre l'autre. C'était la première fois de ma vie, que je lâchais prise de cette façon avec un homme, je me laissais porter par l'instant présent, surtout, il ne me fallait pas reculer, pour avoir des regrets ensuite. Nous nous embrassions, Bernard prenait sans cesse l'ascendant sur moi, se mettait sur moi, me bloquait les mains derrière la tête, je pouvais sentir son sexe contre moi derrière son pantalon. Puis il se baissait, ses mains le long de mon torse, se glissait entre mes jambes et me caressait. J'étais dans un état second, je bandais déjà, il entamait une douce fellation en me fixant en même temps, il me caressait le torse, me mangeait le sexe sans les mains. Je me sentais gonfler petit à petit dans sa bouche, c'était excitant de le voir me manger le sexe. Puis, il s'arrêtait, remontait vers moi, m'embrassait, et me demandant de me retourner. J'étais maintenant assis sur lui, il m'embrassait tendrement, il posait ses mains sur mes fesses et commençait à s'approcher de mon anus doucement, des petites approches. La nuit était maintenant tombée, cela faisait au moins une heure que nous étions ensemble. L'endroit était finalement peu rassurant et bien trop fréquenté, nous étions souvent dérangés par les phares et les klaxons des routiers. A mon tour, je me glissais entre ses jambes, Bernard avait toujours ses vêtements, je me laissais totalement aller, je léchais son sexe par-dessus son pantalon, de façon peut-être un peu maladroite, je dégrafais sa ceinture, je déboutonnais son pantalon. Mais Bernard me demandait autoritairement de sortir de la voiture car il souhaitait m'avoir à ses genoux. J'étais entièrement nu, sur cette aire d’autoroute bien trop passagère, il faisait très froid, et pourtant je m’exécutais avec plaisir. Bernard me tendait une couverture pour protéger mes genoux, il s'installait à la portière arrière gauche, debout, il faisait très froid et pourtant j'étais en feu. Je baissais son pantalon puis j'enlevais son boxer, je prenais son sexe en main, je le regardais fixement. J’étais impressionné par la taille, il était énorme, un vrai concombre. Je devais être bien ridicule avec mon sexe de taille moyenne, je commençais par le branler naturellement, puis je me mettais à le lécher pour enfin le mettre dans ma bouche, j'y allais de tout mon cœur. Je le tenais avec ma main à la base et de mon autre main je caressais ses couilles, je m'amusais avec son gland, je m'amusais comme un fou avec sa bite, je reproduisais les bonnes pratiques de mon épouse qui était une très bonne fellatrice.
Bernard appréciait, je le regardais dans les yeux, je le suçais comme si ma vie en dépendait, je ne voulais pas le décevoir, c'était ma première pipe depuis quinze ans, depuis Éric. Je n'avais jamais pris un pied pareil. Malgré les conditions, l'endroit et la température qui était proche de zéro degré. La dureté de son membre m'avait surpris une fois que je l'avais eu en bouche, c'était dur une queue qui bandait bien raide. C'était autre chose que celle d’Éric. Je l'avais pompé goulument comme une actrice de x qui voulait faire jaillir le foutre. Je prenais son sexe en entier en bouche, avec quelques soucis, car Bernard m'avait coincé la tête, il me tirait les cheveux et me faisait faire un va et vient sur sa grosse matraque. Mais peu expérimenté pour les gorges profondes, j'avais des haut-le-cœur, quand Bernard pénétrait ma bouche trop profondément. J'appréciais le gout et son excitation me rendait fou.
- Tu aimes ça, salope ?
- Oh, Oui j'aime ça !
- Alors, assieds-toi contre la voiture.
J'obéissais et alors que ma tête reposait contre la portière, il exigeait que je reste les lèvres bien ouvertes afin qu'il me baise la bouche. Il allait et venait doucement au début. Il enfonçait son membre au fond de ma gorge et ressortait complètement pour mieux revenir ensuite.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui.
Il continuait, rentrait et ressortait de plus en plus violemment.
- Tu aimes la bite ? Toi.
- J'adore, oui.
Et nouveau passage dans ma bouche, encore plus fort.
- Dis-le encore.
- J'aime ta bite !
- Toi, tu vas devenir ma salope préférée ! Je le sais !
Puis, après un certain temps, il me demandait si je voulais gouter à autre chose, si j'étais prêt à tenter une expérience, car il était proche de l'éjaculation. J'étais simplement venu faire connaissance, et pourtant je ne pouvais résister à cette tentation. Il me demandait de m'allonger sur la banquette arrière de sa voiture. Là, les caresses reprenaient, il s'allongeait sur moi, me dominait. J'essayais de faire mine de résister, on jouait un petit peu au chat et à la souris. Puis il me déclarait à l'oreille :
- Mets-toi sur le ventre.
Je m'allongeais sur le ventre, il s'allongeait sur moi, me donnait des petits coups de bassin me laissant présager de la suite. Il me suçait les oreilles, je sentais sa chaleur contre moi, il se levait pour prendre dans le vide poche avant de sa voiture, un petit tube, c'était de la vaseline, mais pas de préservatif. J'y pensais, mais je n'osais lui demander, tant Bernard était directif, et puis il y avait la différence d'âge !
Je sais que c’était irresponsable, mais dans les années 1990, nous étions encore très imprudents.
Enfin je restais allongé, il commençait à " préparer le terrain ", il passait de la vaseline entre mes fesses, cela me semblait un peu froid, puis, commençait à me doigter doucement, il savait ce qu'il faisait. Dans ma tête, je me disais " ça y est, je vais y passer ", j'étais offert à un homme, j'avais un peu d'appréhension, je me sentais à la place d'une femme, il commençait à me mettre un deuxième puis un troisième doigt, je ne sais pas trop comment exprimer ce que je ressentais, c'était une petite intrusion dans mon intimité, c'était plutôt agréable puis il se badigeonnait de vaseline son énorme gourdin, me demandait d'écarter un peu les jambes, ce que je faisais, et s'allongeait sur moi.
- Tu en as envie, ma petite salope ! s'exclamait Bernard.
- Oui, j'en ai envie ! Baise-moi ! Lui répondais-je complètement hystérique.
Il était très attentionné mais directif, me disait que si ça n'allait pas, je devais lui dire et qu'on arrêterait immédiatement. Il m'écartait un peu plus les jambes, il me caressait les fesses, la croupe cambrée, je me mettais en position, j'étais à lui. C'était ce que j'éprouvais. Dans l'attente d'être pénétré, donc dominé, je ressentais un sentiment particulier dans cette position d'infériorité. Enfin, il me pénétrait doucement, je sentais son gland qui essayait de rentrer, mon anus s'ouvrait, c'était un peu douloureux, très douloureux, je respirais fort. Bernard me demandait toujours si ça allait, j'acquiesçais, je ne voulais surtout pas le décevoir, puis il progressait, et là mon anus l'aspirait, il rentrait en moi, je ne pouvais plus bouger, il s'allongeait complètement sur moi, il me tenait les mains, m'écartait un peu plus les jambes avec les siennes et commençait les va-et-vient. J'étais pris, je ne pouvais bouger, il faisait des petits mouvements de bassin, il y allait très doucement pendant plusieurs minutes, je ne ressentais presque plus de douleur, le plaisir venait petit à petit, puis il me glissait des baisers dans le cou, me suçait les oreilles, il adorait faire ça et le faisait très bien.
Puis, il me faisait changer de position, il me demandait de m'allonger sur le dos, puis de relever les jambes. Sur le coup, je ne comprenais pas, il était face à moi au-dessus de moi, il glissait mes jambes par-dessus ses épaules, là je comprenais. Il me pénétrait de nouveau, là je ressentais encore des petites douleurs, mais c'était plus agréable, la position était très excitante, par moment je le regardais dans les yeux, il ne cessait de me regarder avec un air si ferme, si sûr de lui, qui semblait prendre plaisir à me prendre, par moment je regardais les mouvements de son bassin, je le voyais me pénétrer, je me voyais me faire enculer, je voyais son pubis taper contre mes fesses.
Je n'éprouvais pas où plus de honte d'avoir ces pratiques-là, et ne souhaitais surtout plus passer à côté de quelque chose qui pouvait me faire du bien. Bernard commençait à accélérer la cadence, il allait au plus profond de mon cul. J'étais coincé sous lui, par moment il descendait pour m'embrasser. Cela dura un moment, un long moment, je sentais son très gros sexe en moi, je ne réalisais pas vraiment d'être aussi profondément pénétré. Nous étions toujours sur le parking avec les nombreux camions qui circulaient autour de sa voiture avec une température proche de zéro degré.
Malgré tout, il décidait de changer de position, il me faisait mettre assis sur lui, mais cela ne durait pas longtemps. Je n'étais pas à l'aise dans cette position, alors il me faisait mettre à quatre pattes, je me sentais comme une chienne dans cette position, ses mains qui se baladaient sur mes hanches, ses couilles qui tapaient sur mes fesses, j'avais même envie qu'il me claque les fesses, je commençais à ressentir des frissons le long du dos, une chaleur montait à moi. Je criais mon plaisir. Et c'était le début d'une fessée magistrale à ma demande, le rythme s'accélérait, il me défonçait littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aimait sa bite puis il me demandait encore de changer de position, en revenant à celle du début, lui allongé sur moi.
Il me bloquait les mains très fermement, là il devenait très bestial, encore plus violent, il me démontait le cul, il accélérait de plus en plus, il continuait les fessées, il me faisait mal, très mal, mais je n'osais lui dire, je ne cessais de gémir, je m'abandonnais totalement à ses coups de butoir, il s'arrêtait par moments pour me donner un coup de sexe profond, j'adorais quand il faisait ça, il continuait, je transpirais, je ne savais pas si c'était ce qu'on appelle un orgasme mais j'étais en pleine extase, je ressentais des spasmes dans le dos, j'étais ailleurs. Il était endurant, visiblement pas pressé d'éjaculer. Il se retirait, nous nous allongions l'un contre l'autre, malgré notre grande taille, car nous mesurions l'un et l'autre 1.87ml, ce n'était pas facile et confortable dans une voiture. Nous nous embrassions en se branlant mutuellement, puis dans un élan, je me glissais entre ses jambes, je me mettais à le sucer, je voulais le sentir jouir en moi, je ne me contrôlais plus.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui, oh oui Bernard !
- Tu aimes la bite ? Je le savais que tu aimais la bite !
- J'adore.
- Dis-le encore, salope.
- J'aime ta bite !
Je faisais de long va-et-vient, il ne tardait pas à venir, il me demandait d'arrêter, je le regardais en même temps, lui montrant que je ne souhaitais pas m'arrêter, puis il se mettait à gémir, et je sentais son jus chaud dans ma bouche, plusieurs petits jets, j'avalais tout ce que je pouvais, un peu de son sperme coulait le long de mes lèvres sur mon menton et on s'arrêtait là, je me léchais, je m'allongeais contre lui, et nous restions un moment comme ça sans rien dire dans la voiture, je n'avais jamais pris autant de plaisir avec une femme, ce n'était pas une simple lubie.
Bernard me caressait de nouveau les fesses, venait me toucher « la chambre noire » qui était très douloureuse, mais le massage de l'entrée des artistes me faisait du bien et était apprécié. Puis, nous allions devoir nous séparer, j'avais beaucoup de mal à le quitter, je me rhabillais. Bernard me donnait des conseils en repartant vers ma voiture, car il tenait à me raccompagner. Il était soucieux de savoir, si j'allais avouer cette relation consommée à mon épouse. Je repartais vers mon domicile, j'étais heureux, mais l'excitation retombée, « le Trou de Balle » me faisait horriblement souffrir.

Les avis des lecteurs

Merci à vous Olga pour vos nombreux commentaires, c'est très encourageant et cela nous motive à continuer d'écrire "nos mémoires" et de les publier.
Ne vous inquiétez pas j'aurais l'occasion à de nombreuses reprises d'assister mon petit chéri dans ses moments de pur plaisir pour lui.

Quel dommage que Caro n'est pas pu assister à ce grand moment!

Merci Sylvain, la suite arrive et est en cours de validation.

Merci pour ça récit réaliste et excitant pour un homme bi que je suis.... On espère une suite
Sylvain

Histoire Erotique
Très beau récit de plaisirs entres hommes, merci, j espère la suite
Sylvain



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