Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 4 / 1 : Carole découvre la bisexualité de Roger.

- Par l'auteur HDS Caro16 -
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Récit libertin : Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 4 / 1 : Carole découvre la bisexualité de Roger. Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 4 / 1 : Carole découvre la bisexualité de Roger.
Que feriez-vous si vous appreniez que l’homme de votre vie est également attiré par les hommes? Malgré mes doutes que j’avais eus avant le début de notre vie commune et notre emménagement ensemble, j’avais la sensation qu'il avait déjà eu des expériences ou une attirance pour des hommes. J’avais fait le choix de ne pas sacrifier mon couple et de rester avec mon compagnon et futur mari bisexuel.
Roger et moi étions mariés depuis neuf ans et étions parents d’un petit garçon adorable. Si notre relation s’était construite très rapidement, notre rencontre datait d’il y a dix ans.
De manière générale, je ne pouvais pas du tout me plaindre de notre vie sexuelle. Bien au contraire! Si je la comparais à ce que j’avais vécu auparavant, je devais me rendre à l’évidence que Roger était beaucoup plus attentionné que mes trop nombreux précédents partenaires que j’avais collectionnés. Chaque fois que nous faisions l’amour, je sentais qu’il tenait vraiment compte de mes désirs. Bien plus que la majorité des hétéros que j’avais connus avant lui. Roger et moi parlions d’ailleurs beaucoup de nos envies, de nos fantasmes. Nous n’hésitions jamais à expérimenter de nouvelles pratiques. Nous avions goûté aux plaisirs de l’échangisme, cette expérience fût très bonne pour moi, j’avais pris mon pied avec un super amant quand à Roger mon mari, il avait regretté le fait d'avoir été trop stressé puis trop excité. Nous pourrions écrire en fonction des retours un chapitre sur ce sujet. Et puis nous avions eu envie d’aller visiter un club libertin. Nous y avions passé une soirée amusante entre adultes consentants avant de rentrer à la maison. C’était lors de cette soirée que Roger avait ressenti pour la première fois le plaisir à me voir en train de faire l’amour avec d’autres sous ses yeux. Il découvrait qu’il était candauliste et se posait justement la question suivante : « Pourquoi j’ai follement envie de te partager avec plusieurs hommes en même temps ? ».
Ensuite, il y avait eu ma maladie, pendant trois longues années, Je n’avais plus la force de lutter contre mon cancer. Vivre ou mourir ? C’était une question que je me posais quasiment tous les jours. Mais Roger était là, bien présent, il m’avait soutenu, encouragée, il s’était battu pour moi, pour notre fils, pour nous, il s’était épuisé à combattre les obstacles. A l’époque, j’étais fatiguée de vivre et j’étais déjà morte depuis bien longtemps intérieurement, seul mon corps survivait. Mais grâce à son optimisme, sa force morale, sa présence, sa patience et les traitements, je ne savais trop comment, j’avais réussi à me battre et j’avais surpris ceux qui me croyaient perdue.
Après une telle manifestation d’amour pour me sauver la vie, il était important pour moi de lui témoigner en retour ma reconnaissance et vouloir impérativement son bonheur. C’était pour cela que je l’obligeais d'arrêter de me mentir, que je pouvais accepter certaines choses, que j'étais assez ouverte d'esprit. Était-il vraiment bisexuel, était-ce juste un fantasme occasionnel ?
D’emblée, nous avions établi une sorte de charte pour nous assurer que tout était bien clair entre nous. Lorsque Roger ressentirait le besoin de coucher avec un homme, je lui permettrais de le faire si l’occasion se présentait. Mais qu’il ne s’avisait pas de me tromper avec une femme ! Je ne considérais pas les hommes comme des concurrents. Parce que sur le plan sexuel, je n’étais pas en mesure d’offrir à Roger ce qu’un partenaire pouvait lui offrir. L’inverse était évidemment vrai aussi. Dans tous les cas, il fallait évidemment que ces rapports soient protégés. Ce qu’il n’avait pas respecté, et je pourrais dire ce que nous n’avions pas respecté, vous aurez l’occasion de le découvrir plus tard. Après ses aveux, Roger avait toujours été clair sur le fait qu’il ressentait le besoin de contact physique avec les hommes. J’en étais consciente. Je considérais donc que je n’avais pas le droit de tenter de le faire changer d’avis à ce sujet. Pour ma part, j’étais bisexuelle avant de le rencontrer. J’avais couché avec quelques femmes. J’avouais qu’il m’était arrivé d’y penser encore.
Dans notre société, la bisexualité était encore taboue. Les gens l’associaient au fait de ne pas vouloir trancher et de se la jouer comme si tout était permis. La réalité était plus complexe. Ce n’était pas parce que vous décidiez de vous investir dans une relation que votre attirance pour l’autre sexe disparaissait. Ça rendait les choses d’autant plus difficiles à gérer. Entre nous, ça n’avait jamais été la source de conflits. Nous voulions offrir à notre fils et plus tard à notre fille une éducation la plus ouverte possible. L’ouverture et la tolérance étaient des valeurs auxquelles nous tenions beaucoup. Pour nous, une personne pouvait être hétéro, homo, bisexuelle ou transsexuelle. Ça ne faisait aucune différence. Nous gérions d’ailleurs notre situation personnelle de libertins avec beaucoup de naturel.
Roger et moi étions attirés par le même type d’homme. Sans dévoiler les prochains chapitres, nous avions franchis le pas très vite et réalisés des plans à trois et plus.
Quant à savoir si je n’aurais pas préféré que Roger fût exclusivement attiré par les femmes, je vous répondrais que non. Sa bisexualité l’avait doté d’un caractère très doux et bienveillant, une qualité rare chez un homme, dans ma longue liste d’amants que j’avais connus avant lui, en tout cas ! J’étais et je suis consciente de mon bonheur. Notre équilibre est fantastique. Je ne voudrais aucun autre homme que lui !
Toutes ces précisions me paraissaient importantes afin que vous compreniez bien notre situation.
Avant de laisser la plume à Roger, j’ajouterais qu’au retour de son premier rendez-vous avec un homme et de sa première sodomie, Roger était peu bavard, fuyant, je le trouvais vraiment bizarre. Pour prendre sa douche, il m’évitait également, mais je réussissais à découvrir ses fesses aussi rouges que des pommes. Ses fesses étaient rougies par les fessées administrées par Bernard. Je lui demandais des explications et Roger me racontait en détail sa rencontre avec son amant. Dans un premier temps, j’étais très étonnée et surprise, je lui demandais pourquoi ils étaient passés si vite à l’action. Cette relation n’était pas prévue à la base. Ce devait être qu’une rencontre amicale. Je souhaitais connaître les raisons qui l’avaient fait basculer.
Ces précisions étaient effectivement importante Carole, je vais donc poursuivre et prendre le relais pour dire que contre toute attente, à mon retour et à la demande de mon épouse, nous avions eu une relation coquine, très hard. La situation semblait l’exciter. Pendant les jours qui suivirent, je me persuadais que je ne devais pas revoir Bernard, la douleur était toujours présente. Je me posais mille questions, qu’est-ce que je recherchais ? N’allais-je pas ruiner mon couple ?
J’avais une épouse formidable, qui me comblait sexuellement !!!! Même si elle semblait vivre cette situation avec excitation.
Bernard m’avait demandé de le rappeler, il m'avait dit que c'était à moi de lui faire savoir si je souhaitais le revoir. Carole, ma femme adorée, pendant nos rapports me parlait de mes besoins et fantasmes, de sodomie. Elle m’avait même ramené des jouets qu’elle avait achetés dans un Sex-Shop à Rouen. Nous étions tout de suite passés à l’acte, elle avait bien lubrifié ma petite rondelle, et fut étonnée de ma nouvelle facilité à absorber mes nouveaux jouets, et pour cause, cela n’avait rien à voir avec le sexe de Bernard. Pourtant, elle était très douée pour m’enculer, mais c’était bien fade par rapport à ce que j’avais connu avec Bernard.
J’avais pourtant décidé de ne pas le contacter pour préserver mon couple, malgré l’envie de retrouver l’extase avec lui. Pendant six semaines je résistais à la tentation d’appeler Bernard, et pourtant je pensais souvent à ces moments délicieux de ma première sodomie avec cet homme. Mais je résistais. Quelques jours plus tard, en fin de matinée, le téléphone sonnait sur ma ligne directe au bureau, je décrochais :
- Bonjour ! C'est moi Bernard, c’est toi Roger, je suis désolé, je te dérange ?
- Oui c'est moi disais-je timidement ! Euh oui, enfin non !
- Tu es disponible ce midi et cet après-midi ?
- Non, enfin je ne sais pas, peut-être !
- Nous pouvons déjeuner ensemble, si tu le veux bien ?
- Ok t'es sympa.
- Tu peux ?
- Heu ! Je vais m’arranger.
- Tu es disponible cet après-midi ?
- Non !
- Ah ! Tu es certain de ne pas pouvoir ?
- Oui, enfin, non, je vais demander à mon assistante d’annuler mes rendez-vous.
- Je te propose de me retrouver dans un hôtel de luxe à Rouen, il y a un magnifique Spa, une piscine intérieure, un hammam et un sauna, et une suite qui nous attend pour remplacer la voiture, cela te tente ?
- Oui ! J’ai très envie, oui.
Après avoir résisté pendant six semaines, l’appel et l’invitation surprise de Bernard me chamboulait totalement, le fait d’entendre sa voix, me rendait fébrile et impuissant. Il y a deux tragédies dans la vie : l’une est de ne pas satisfaire son désir et l’autre de le satisfaire. Résister, succomber ?
L’attrait d’une chose défendue, suscitait l’envie et le désir. Et le désir d’être de nouveau pris par Bernard était bien présent, je quittais mon bureau rapidement, je demandais à mon assistante d’annuler l’ensemble des rendez-vous de l’après-midi et je prenais la direction de Rouen, j’avais une cinquantaine de minutes de trajet pour rejoindre Bernard. J’étais dans un état indescriptible, nerveux, mais pas inquiet, je savais ce qui m’attendait, je pensais à ma promesse d’arrêter pour préserver mon couple, je pensais à différentes choses dans le désordre :
Bernard m’avait parlé de piscine, mais je n’avais pas de maillot, et puis ma chérie qui m’achetait des sex-toys pour me satisfaire et me faire plaisir, et qui m’enculait régulièrement comme elle pouvait, pour m’aider à passer à autre chose, comme je lui avais demandé, et pourtant j’allais encore la « tromper » avec cet homme beaucoup plus âgé que moi.
Carole était une jeune femme de trente-trois ans, très mignonne et douce, avec des belles petites fesses rebondies, un appétit sexuel largement supérieur à la moyenne. J’imaginais que beaucoup d’hommes devaient rêver d’avoir une telle femme dans son lit. Je culpabilisais un instant, je me disais que ce n’était pas bien, que je devais faire demi-tour. Elle ne méritait pas cela et puis finalement je gambergeais et je continuais en pensant à ce qui m’attendait. Et puis cette relation n’excitait-elle pas ma femme adorée ?
Et puis j’arrivais à Rouen, devant ce bel hôtel particulier du XVIe siècle, hôtel de grande classe avec voiturier qui prenait ma voiture en charge, cela changeait radicalement du premier rendez-vous ou je m’était offert totalement nu sur un parking à routiers. Bernard m’attendait au bar avec un large sourire, très beau, très classe, malgré ses cinquante ans, son regard me bloquait, m’hypnotisait.
J’avais déjà envie de l’embrasser, je ne savais si je pouvais, s’il pouvait apprécier avec l’assistance, mais j’avais trop envie, je l’embrassais. Bernard était un peu gêné mais il appréciait. Nous avions pris un verre, il me déclarait que je lui avais beaucoup manqué. J’avais tenté de lui expliquer mes états d’âmes, ma relation avec Carole que j’aimais. Puis nous étions allés déjeuner, rapidement, nous avions des choses importantes à faire, j’étais impatient et puis et puis !
Dès notre arrivée dans la suite, Bernard frémissait pendant que je retirais un à un les boutons de sa chemise. C’était ce moment-là que j’avais choisi pour égarer ma main entre ses jambes. Il fallait que je sente son sexe dur, j’en avais besoin. Ce contact déclenchait un sentiment d’excitation très fort, alors que je redoublais mes baisers dans son cou pour le faire vaciller. Après quelques secondes, il finissait par se retourner, plantant ses yeux dans les miens. Il voulait percer mon émotion du moment, je le sentais. Et alors que la situation allait à nouveau me mettre mal à l’aise, il approchait ses lèvres des miennes pour glisser sa langue dans ma bouche. Putain, c’était… terriblement bon.
Très vite, nous nous retrouvions tous les deux presque nu. On ne portait plus qu’un boxer qui ne cachait plus rien de l’excitation qui grandissait en chacun de nous. Je ne pouvais m’empêcher de parcourir tout son corps de mes mains, la courbe de sa nuque, son dos discrètement musclé, ses hanches étroites particulièrement sensibles à mes caresses, ses fesses élégamment rebondies.
Nos corps étaient de plus en plus collés l’un à l’autre. Pendant qu’il m’embrassait le cou, je pouvais presque sentir les battements de son cœur contre ma poitrine. Et le contact de son sexe contre le mien me rendait dingue. Je n’avais qu’une envie : le porter à ma bouche. Ce que je faisais presque sans détour. Tout au plus encore une pointe d’appréhension.
Je laissais courir ma langue le long de son membre, cela reste des moments inoubliables pour moi. Après plusieurs allers-retours langoureux, j’effleurais son gland avec mes lèvres pendant que je lui taquinais les bourses et saisissais ses testicules. Les frôlements de mes doigts sur son sexe le faisaient tressaillir. Ses mains posées sur ma tête, il glissait deux doigts dans ma bouche avant de la diriger calmement mais fermement vers son gland. Je laissais alors coulisser mes lèvres de bas en haut et mes mains s’égarer, ses gémissements donnant le tempo. Très vite Bernard me dirigeait vers la douche, mais il me faisait une demande surprise et autoritaire :
- Lave-toi bien les fesses, y compris l’intérieur !
- Euh, c’est-à-dire !!!
Bernard prenait la pomme de douche sèchement, puis dévissait celle-ci.
- Tu vois c’est simple, tu enfonces le tuyau et tu fais couler l’eau lentement, jusqu’au retour de l’eau claire, et s’il te plait, je veux que ton cul soit très propre à chaque rencontre.
J’étais un peu surpris, vexé et même blessé, mais je m’exécutais, je sortais de la salle de bains hyper propre. Bernard était étendu nu sur le grand lit de notre suite, il était beau, je distinguais déjà son énorme sexe, il me demandait de me tourner pour voir mes fesses, de m’approcher :
- Montre-moi ton petit cul de salope !
Il me caressait les fesses et je sentais un doigt passer sur mon anus et tourner, tourner en pénétrant le plus loin possible.
- Tu as tellement envie d’avoir le cul défoncé que tu mouilles comme une fille ! Ma salope !
Et c’était vrai, malgré la douche, je mouillais déjà, provoqué par l’excitation, la vue et la mise en bouche de son gros sexe.
Bernard me distribuait des petites claques sur les fesses, et j’avais aimé.
- J’ai une surprise pour toi, petite pute !
Bernard m’offrait un paquet cadeau, j’étais un peu surpris en l’ouvrant, c’était des sous-vêtements féminins, string, porte jarretelle en dentelle et soie et des bas.
Devant mon étonnement, il m’ordonnait de les passer pour lui faire plaisir, j’avais quelques difficultés par manque d’habitude, cela m’agaçait car j’étais pressé de me blottir dans ses bras, il y avait peut-être un problème de taille, enfin j’arrivais à satisfaire Bernard, il me trouvait très sexy.
Je me regardais dans la glace, c’est vrai, je n’étais pas ridicule, j’étais plutôt à l’aise.
Nous nous étions allongés sur le lit, Bernard me parlait beaucoup, plus calmement par rapport à la douche, il était de nouveau très charmant et attentionné.
Il commençait par me caresser, déjà je ne me contrôlais plus, je me jetais sur lui pour l’embrasser, il me calmait légèrement, en redevenant très directif, ses caresses et ses mains m’étaient très agréables. Puis, il me demandait de me tourner, il embrassait mes fesses, jouant avec la ficelle de mon string puis il m'embrassait de nouveau dans le cou, me suçait les oreilles, me léchait les tétons, sa main effleurait mon sexe.
Il m’embrassait encore et encore, puis me bloquait les mains derrière la tête et il me passait des menottes, il prenait sans cesse l'ascendant sur moi, se mettait sur moi, j’étais vraiment sa chose, je sentais son sexe contre moi bien dur, puis il se baissait, positionnait ses mains le long de mon torse, se glissait entre mes jambes et me caressait longuement.
Je bandais déjà, avec des sensations bien particulières. Un véritable feu d’artifice enflammait mon cerveau, emporté par le désir je lâchais totalement prise, je « décollais ». Il entamait une fellation, je gonflais petit à petit dans sa bouche. Puis je glissais entre ses jambes, toujours les mains attachées derrière la tête, ce n’était pas facile, mais c’était un souhait de Bernard qu’il m’avait ordonné avec autorité.
Je me laissais aller totalement, je léchais son sexe, je lui demandais de me détacher pour prendre son sexe en main. Bernard se fâchait, sortait un fouet et une cravache, me demandait de choisir, je ne devais pas désobéir, je lui demandais timidement :
- Peut-être le fouet ?
Bernard me fouettait énergiquement, il me faisait mal, très mal, je le regardais et lui disait que c’était pour bien le sucer. Il se fâchait de nouveau, avec pour conséquence, la sentence immédiate : cinq coups de cravache, qu’il m’infligeait immédiatement. Bernard, n’avait pas retenu ses coups, il m’avait vraiment fait mal, et je lui demandais d’arrêter immédiatement.
- Si nous arrêtons, tu peux partir,… me disait-il.
- Je ne comprends pas, Bernard !
- Je suis ton Maître, tu dois respecter les désirs de ton Maître.
Je lui demandais de faire une pause.
J’en profite également pour interrompre la première partie de ce chapitre, je vous demande un peu de patience pour connaître la suite de cette rencontre avec Bernard.

Les avis des lecteurs

Merci cher lecteur.
C'est un plaisir pour moi, pour nous de partager nos souvenirs.
Nous apprécions particulièrement les commentaires.
Carole

Histoire Erotique
J’admire votre tolérance et votre ouverture d’esprit. Merci de nous partager vos aventures très excitantes

Merci à vous Olga !

Bravo Carole d'avoir encouragé et soutenu Roger!

Histoire Erotique
Merci à vous pour vos encouragements !
Nous apprécions.
Carole et Roger

Histoire Coquine
Vous partagez une belle relation et aussi de très beaux récits/confessions - bravo



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