Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 4/ 2 : Carole découvre la bisexualité de Roger.
Récit érotique écrit par Caro16 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 4/ 2 : Carole découvre la bisexualité de Roger.
Pour les lecteurs qui n’auraient pas lu le chapitre 4/1 : « Carole découvre la bisexualité de Roger », je les invite à commencer de le lire avant de poursuivre.
Dans le chapitre précédent, Carole avait commenté sa découverte de ma bisexualité, puis j’avais ensuite décidé de ne plus revoir Bernard. Pendant six semaines j’avais réussi à résister, mais quand celui-ci m’avait rappelé, j’avais de nouveau succombé. Nous nous étions retrouvés dans un magnifique hôtel Rouennais. C’était pour resituer rapidement mon récit.
Lors de cet après-midi-là, c’était notre deuxième rencontre, Bernard m’avait fouetté énergiquement, cela m'avait fait réagir et il se fâchait de nouveau pour m’infliger cinq coups de cravache. Il m’avait vraiment fait mal, et je lui demandais d’arrêter immédiatement. Sa réaction était complètement démesurée, il me demandait de partir si nous arrêtions ce genre de jeux. J’étais dans l’incompréhension totale, en retour il me déclarait qu’il était mon Maitre et que je devais respecter ses désirs.
Je lui demandais de faire une pause, en lui précisant bien que je ne souhaitais pas arrêter, que j’avais besoin de lui, que j’avais un réel besoin de sa bite, que je ne pouvais plus m’en passer, mais que je n’aimais pas quand il était violent et trop directif.
Bernard me regardait tendrement et m’embrassait.
- Tu peux partir si c’est ce que tu veux.
- Je n’ai pas dit que je voulais partir.
- Tu aimes ma bite ? Tu mouilles comme une salope.
- Oui, j’aime la bite, ta bite, ton gros sexe.
- Alors, tu dois accepter mes règles, ou partir, tu es ok ?
- Euh ?
- Je n’ai pas entendu, tu veux être ma pute ?
- Oui, je souhaite être ta pute. !!!
- Je vais faire de toi une belle salope, comme tu ne l’imagines même pas.
Après toutes ces émotions, nous nous câlinions, je respectais les consignes de mon « Maître », je caressais son sexe, j’étais toujours impressionné par ce sexe, comment mon anus avait-il pu absorber un tel engin lors de notre première rencontre. Il acceptait de me retirer les menottes. Je commençais par le branler, puis je le léchais pour enfin le mettre dans ma bouche, j'y allais de tout mon cœur, j’étais heureux, je m'amusais avec son gland, je m'amusais comme un fou avec sa bite. Bernard appréciait, je ne voulais pas le décevoir. Je prenais mon pied. Je le pompais comme Carole pouvait me le faire, et c’était une experte, la reine des fellatrice.
- Tu aimes ça, salope ?
- Oui j’aime ça.
- Tu es doué ma salope !!!
- Merci
- Tu me fais les meilleures pipes de toute ma vie, salope !!!
J’avais apprécié le compliment et je continuais de pomper mon homme avec vigueur. Bernard était redevenu très directif. J’obéissais, il exigeait que je reste les lèvres bien ouvertes afin qu’il me baise la bouche. Il allait et venait doucement. Il enfonçait son membre au fond de ma gorge.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui. (pas facile de répondre audiblement avec la bouche pleine).
Il me demandait de m’allonger. Là, les caresses reprenaient, il s'allongeait sur moi, me dominait avec brutalité, je ne résistais même pas, il me demandait de me mettre sur le ventre. Je m'allongeais sur le ventre, il s'allongeait sur moi, me donnait des petits coups de bassin en me laissant présager de la suite. Je sentais sa chaleur contre moi, puis il s'accroupissait et passait sa langue sur mon œillet pour bien l'humecter. Je gémissais et me tordais de plaisir, il m’enfonçait sa langue humide sans mon petit trou pour faciliter le passage. Il préparait le « terrain », il passait de la vaseline entre mes fesses et il me déclarait de nouveau que je mouillais comme une salope.
J’étais en feu, j’avais l’impression que mon cerveau était déconnecté, j’étais dans un état second, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. C’est ce que je lui déclarais.
- Très bien, j’ai bien entendu, tu ne vas pas être déçu… me disait-il.
- Et plusieurs bites, tu voudrais ?
- Oui, pourquoi pas ?
- Tu les auras un jour, ma salope, j’ai beaucoup d’amis, c’est une promesse de ton Maître.
Il commençait par me doigter doucement, avec détermination il m’introduisait un doigt, puis un deuxième et un troisième. J’avais une sensation extraordinaire, décuplée par rapport à la première fois car les conditions n’étaient pas top. Je ne pouvais pas dire ce que je ressentais, c'était très agréable, Bernard me demandait d'écarter un peu les jambes, pour l’instant il était attentionné mais directif.
Il m'écartait un peu plus les jambes, il me caressait les fesses, j’étais à lui.
Puis il se redressait, positionnait son gland trempé, et doucement, il s’enfonçait dans mon cul, je sentais son gland entrer, mon anus s'ouvrait, c'était un peu douloureux, le travail régulier de Carole pendant six semaines avec ses sex-toys payait. Je respirais fort, il rentrait en moi délicatement, il s’enfonçait toujours dans mon cul jusqu'à la garde et commençait les va et vient. Je passais mes mains sur ses fesses pour qu’il s’enfonce encore plus en moi, malgré ses bons vingt centimètres et sa queue très épaisse, puis je lui passais une main entre ses cuisses pour lui caresser les couilles.
Puis, il m'écartait un peu plus les jambes avec les siennes et je ne pouvais plus bouger. J’étais pris, il faisait des petits mouvements, il allait très doucement, le plaisir venait petit à petit, puis il me glissait des baisers dans le cou et me suçait les oreilles, il adorait faire ça.
Puis, il me faisait changer de position, il me demandait de me mettre à quatre pattes, il me pénétrait de nouveau, mais c’était plus agréable, sans douleur, la position était très excitante. Je me sentais comme une chienne dans cette position et pour l’instant avec le peu d’expérience que j’avais, c’était ma position préférée. Ses mains se baladaient sur mes hanches, ses couilles tapaient sur mes fesses, j’avais même envie qu'il me claque les fesses.
Je lui réclamais une fessée. C’était le début d’une fessée magistrale. Je commençais à ressentir des frissons le long du dos, une chaleur montait à moi.
Le rythme s’accélérait, il me défonçait littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aimait sa bite.
- Tu aimerais sucer une autre bite en même temps salope ?
J’étais dans mon délire et tout à mon plaisir.
- Si tu veux, même plusieurs, j’aime trop la bite !
- Je te promets que tu auras d’autres bites, tu en veux vraiment ?
- Oui, je le veux, j’adore !
Cela durait un moment, un long moment, je sentais ses vingt centimètres en moi, je réalisais que j’avais énormément de chance d’être aussi profondément pénétré, d’être pilonné de la sorte.
Les sex-toys de Carole mon épouse n’avaient rien à voir, j’étais sa chienne dans cette position, le rythme s’accélérait encore, Bernard devenait très violent, brutal, il alternait les fessées, il devenait très bestial, encore plus violent, il me démontait le cul, il accélérait de plus en plus, il continuait les fessées, il me faisait mal, très mal, mais, je ne cessais de gémir, je m'abandonnais totalement à ses coups de butoir, il ne s'arrêtait pas, il continuait.
Je transpirais, je pensais que c'était ce qu'on appelait un orgasme, j’étais en pleine extase, je ressentais des spasmes dans le dos, j’étais ailleurs.
- Ça te plaît, salope ? Tu aimes te faire démonter le cul ?
- Oooh oui. !!!
- Tu aimes la bite ?
- J’adore.
- Dis-moi que tu veux que je te fasse mal, petite pute.
- Fais-moi mal Bernard, j’en ai envie !
Il me démontait toujours le cul, il accélérait encore, il poussait des râles de plaisir, il gémissait, n'en pouvant plus, il se vidait complètement en moi par de longs jets puissants. Je sentais son jus chaud dans mon cul, plusieurs petits jets, et puis il se retirait rapidement en m’ordonnant de lui nettoyer son sexe avec ma bouche, j'avalais tout ce que je pouvais, un peu de son sperme, je le léchais goulument, l’odeur n’était pas très agréable et pas définissable et on s'arrêtait là.
Je m'allongeais contre lui, nous restions un long moment comme ça sans rien dire sur le lit, je m’étais aperçu que je m’étais éjaculé dessus. Comme pour la première fois, je n'avais jamais pris autant de plaisir avec une femme.
Bernard m’envoyait dans l’espace à chaque sodomie. Il me caressait les fesses et jouait avec ma petite rondelle meurtrie. Nous étions restés allonger à parler, de Carole, mon épouse. Bernard souhaitait la voir en photo, je lui montrais des photos de Carole habillée, il la trouvait très jolie, très jeune, très fraiche, ce qui semblait normal pour une jeune femme de trente-trois ans.
Bernard me demandait d’autres photos d’elle plus dénudées, j’hésitais un instant, mais il insistait, il me promettait le fouet, je lui montrais donc des photos de Carole plus osées, plus hard.
- C’est une belle petite poupée !!! Ton épouse.
- Oui, c’est une belle femme.
- Et elle baise bien en plus ?
- Oui, elle adore ça !
Bernard me demandait si j’avais parlé de lui à Carole, si elle comprenait mon besoin d’être sodomisé. Comme la réponse était positive, il me suggérait d’éventuellement lui demander si elle accepterait de le rencontrer. Pourquoi s’intéressait-il à mon épouse, car il insistait sur le fait qu’elle devait être très ouverte à la discussion en fonction de ma description et de sa réaction.
Le sujet me troublait fortement, et je demandais l’autorisation de retirer mes bas et mon porte jarretelle pour aller prendre une douche, pour couper court à la discussion.
Le string avait été ôté ou arraché pendant la bataille très certainement. Bernard se chargeait de me retirer mes accessoires, et me recommandait un nettoyage complet.
A la sortie de la douche, Bernard me tendait un peignoir, que j’enfilais, j’étais nu en dessous. Bernard avait prévu lui un maillot de bain, puis nous étions descendus au R-1, pour rejoindre l’espace piscine, sauna, jacuzzi et hammam.
Nous avions croisé deux couples avec des grandes différences d’âges entre les deux messieurs et les deux jeunes femmes, la piscine ayant la particularité d’être visible depuis le bar à l’étage supérieur.
Bernard plongeait et me demandait de le rejoindre, un des couples croisé tout à l’heure était revenu, j’étais gêné, puis je laissais glisser le peignoir et je plongeais nu le plus rapidement possible. Pour me venger, je rejoignais Bernard pour l’embrasser, il était surpris, mais finalement jouait le jeu, nous nous amusions comme des fous. Bernard enlevait également son maillot, le couple décidait de nous rejoindre également dans la piscine. Nous les croiserons au jacuzzi et ensuite au sauna, c’était une agréable compagnie qui nous privera de quelques câlins.
Après avoir pris un verre au bar, nous remontions dans notre suite, pour entamer notre deuxième mi-temps tout aussi riche en émotions.
Bernard appréciait mes gâteries, je suçais d’après lui divinement bien, puis deuxième démontage de cul de l’après-midi, sans beaucoup lubrifier dans différentes positions à sa demande. A chaque fois je m’exécutais et j’appréciais.
Mais c’était la levrette que je préférais, il me démontait littéralement le cul, ce n’était pas possible, il poussait des râles de plaisir, il gémissait de plus en plus fort comme un animal.
Bernard était brutal, de plus en plus violent, je serrais les dents, j’encaissais sa brutalité sans broncher, en fait j’étais ailleurs. Il me transportait sur une autre planète, je n’avais jamais ressenti cela avec ma femme, il gémissait encore plus fort en me donnant des fessées et en me traitant de salope.
Et puis, il se retirait, avant d'éjaculer, nous nous allongions l'un contre l'autre, je me glissais entre ses jambes, je le suçais, je voulais le sentir jouir en moi, je ne me contrôlais plus. Je faisais de long va-et-vient, il ne tardait pas à venir, il me demandait d'arrêter, je le regardais, il gémissait, et je sentais son jus chaud dans ma bouche, plusieurs petits jets, j'avalais tout ce que je pouvais. Ce n’était pas désagréable, cette texture chaude et gluante amère et un peu salée, c’était une saveur sèche, qui se sentait au fond de la gorge, j’étais très fier de pouvoir tout avaler, j’étais sa salope.
- Tu aimes ça, salope ?
- Oui, Bernard, J’adore !
- Je vais te faire gouter d’autres bites, ma salope !!!
- Si tu veux, pourquoi pas ? Lui répondais-je un peu provocateur.
- J’ai des amis qui aiment les avaleuses de sperme, tu vas pouvoir gouter leur caviar très rapidement !!!
- Maintenant ?
J’étais sur une autre planète, et je racontais n’importe quoi, mais Bernard était sérieux, il me parlait d’un ami d’un club, un certain Pierre, qui devait être âgé de cinquante-neuf ou soixante ans, à qui je pourrai faire du bien, il n’avait plus de relation avec sa femme.
- Tu n’es pas sérieux ?
- Si au contraire, tu peux lui faire du bien.
- Ben voyons Bernard, je n’ai pas envie d’un autre homme !!!
- Quand tu as ma bite dans le cul, ce n’est pas ce que tu dis !!!
- C’est vrai, mais… Pierre a pratiquement l’âge de mon père !!!
- Et alors, tu dois me faire plaisir, c’est à toi de voir.
Le temps passait très vite avec Bernard, et je devais partir rapidement, mais il me donnait des ordres, il souhaitait avoir d’autres photos de Carole plus hard, c’est-à-dire, son anatomie après un rapport, après une sodomie, son visage au moment d’une fellation.
Mais à cette époque, nous n’étions pas à l’ère du numérique, nous étions au bon temps de l’argentique avec développement obligatoire chez notre photographe. Celui-ci prenait un malin plaisir à bien vérifier avec moi que c’était bien mes photos qu’il me remettait, avec un petit sourire vicieux car Carole aimait beaucoup poser pour les photos. Inconsciemment, c’était à cette période que j’avais découvert le plaisir de partager mon épouse en photos avec d’autres hommes.
Puis Bernard me prodiguait encore quelques recommandations par rapport à mon épouse qu’il souhaitait vraiment découvrir et rencontrer.
Il souhaitait me voir au moins dans deux semaines et si possible avec la présence de Pierre en spectateur si nous arrivions à faire conjuguer nos emplois du temps.
Je lui faisais part de mon désaccord, mais Bernard très sûr de lui, me répondait que j’apprécierais, que c’était une évidence pour lui, j’aimais trop le sexe pour ne pas vouloir gouter à ce genre de relations.
Je repartais de Rouen vers mon domicile, j’étais heureux, comblé, troublé par l’idée de Bernard d’inviter son ami Pierre, inquiet du retour à la maison et du regard de Carole.
Mon « le Trou de Balle » était douloureux. Le retour à la maison fût aussi compliqué que la première fois, j’évitais Carole pour la douche, car les fessées avaient marqué mes fesses. Mon épouse me trouvait bizarre, elle pensait que j’étais malade. Cette fois-ci, la rencontre n’était pas prévue, pas planifiée.
Ce fut compliqué pour moi, de lui avouer que j’avais rejoint Bernard dans la journée, suite à son appel, sans la prévenir.
Les jours suivants, je me disais que je ne devais plus revoir Bernard. Mes maux de ventre et mes douleurs anales, me rappelaient la brutalité de celui-ci lors de nos rapports. Je pensais que je risquais vraiment de ruiner mon couple. Que j’avais une épouse formidable, qui m’aimait.
Et puis après trois semaines, Bernard commençait à me manquer, enfin les relations avec lui.
Je parlais régulièrement de mes fantasmes, de mes besoins de sodomie, à Carole, que j’aimerai gouter de nouveau à cette pratique qu’elle appréciait tant. Chaque jour, nous discutions de cela. Ma femme appréciait ma franchise. Sa réaction fût surprenante, préférant que je rencontre un homme qu’une femme qu’elle n’accepterait pas.
Elle me déclarait qu’elle comprenait mon besoin, et qu’elle trouvait cela encourageant et bien pour moi, cette différence d’âge entre mon amant Bernard et moi.
Et puis après nos deux rencontres où nous avions eu des relations, cela n’avait rien d’engageant, nous nous retrouvions simplement pour des instants de plaisir.
Nos échanges et nos discussions franches me permettaient de me sentir mieux.
J’étais plus à l’aise sexuellement avec Carole, je prenais de nouveau beaucoup de plaisir avec elle, Carole continuant de s’occuper de ma petite rondelle. Elle était étonnée de la facilité d’absorption de mon anus vis-à-vis de ses jouets, plus petits que l’énorme sexe de Bernard, et elle décidait de tester avec un concombre, Carole était douée pour m’enculer.
Carole m’encourageait à contacter Bernard afin de lui fixer un rendez-vous.
Dès le lendemain je contactais mon « quinquagénaire », je l’informais de la réaction encourageante et positive de Carole, mais la date ne lui convenait pas, et nous devrons donc patienter deux semaines pour nous retrouver un samedi.
- Tu me manques petite salope, j’ai très envie de ton cul !!!
- Toi aussi, tu me manques, mais ce n’est pas possible avant.
- Tu peux venir demain après-midi à Cabourg ou Deauville ?
- Non, enfin je ne sais pas, peut-être.
- Je contacte Pierre, si c’est possible pour lui.
- Non, je ne veux pas Bernard, franchement !!!
- Tu vas voir, tu vas aimer ma petite pute.
- Non Bernard !!!
- Tu vas voir, Pierre est un riche industriel, très généreux.
- Mais voyons !!!
- Je veux que tu sois ma pute !!! Tu veux être ma pute ???
- Oui, je le veux, mais pas comme cela. Et puis vis-à-vis de Carole, cela me gêne.
- Ne t’inquiète pas.
- Si je m’inquiète et je ne suis peut-être pas disponible.
- A toi de choisir, mais je ne peux pas encore attendre deux semaines, et je vais passer à autre chose.
Bernard raccrochait subitement, je me disais que finalement c’était mieux comme cela, que je ne pouvais accepter sa proposition et puis, vis-à-vis de Carole, c’était une trahison, elle acceptait ma relation avec un homme, mais là, ce ne pouvait pas être acceptable.
Quelques heures plus tard, le téléphone sonnait sur ma ligne directe au bureau, je décrochais :
- C'est moi Bernard, je te dérange ?
- Non Bernard.
- Donc rendez-vous demain douze heures au « Grand Hôtel » de Cabourg.
- Non, ce n’est pas possible.
- Tu as tort, Pierre organise tout, il est charmant, il se fait un plaisir de te rencontrer.
- Bernard, franchement, c’est difficile pour moi.
- Viens, tu verras sur place. Tu sais c’est un palace, tu vas apprécier.
- Heu,… Je vais m’arranger.
- Je te remercie ma petite salope, je suis persuadé que cela va bien se passer.
- J’espère, mais Pierre est uniquement spectateur ? Promis Bernard ?
- Je vous laisse gérer cela ensemble en fonction de vos envies.
- Je peux confirmer la date du quatre mai pour Carole ?
- Bien sûr au contraire, confirme pour Carole, je suis très impatient de la rencontrer.
Je me posais mille questions. Devais-je aller à Cabourg ou bien rester sagement au bureau ?
Dans le chapitre précédent, Carole avait commenté sa découverte de ma bisexualité, puis j’avais ensuite décidé de ne plus revoir Bernard. Pendant six semaines j’avais réussi à résister, mais quand celui-ci m’avait rappelé, j’avais de nouveau succombé. Nous nous étions retrouvés dans un magnifique hôtel Rouennais. C’était pour resituer rapidement mon récit.
Lors de cet après-midi-là, c’était notre deuxième rencontre, Bernard m’avait fouetté énergiquement, cela m'avait fait réagir et il se fâchait de nouveau pour m’infliger cinq coups de cravache. Il m’avait vraiment fait mal, et je lui demandais d’arrêter immédiatement. Sa réaction était complètement démesurée, il me demandait de partir si nous arrêtions ce genre de jeux. J’étais dans l’incompréhension totale, en retour il me déclarait qu’il était mon Maitre et que je devais respecter ses désirs.
Je lui demandais de faire une pause, en lui précisant bien que je ne souhaitais pas arrêter, que j’avais besoin de lui, que j’avais un réel besoin de sa bite, que je ne pouvais plus m’en passer, mais que je n’aimais pas quand il était violent et trop directif.
Bernard me regardait tendrement et m’embrassait.
- Tu peux partir si c’est ce que tu veux.
- Je n’ai pas dit que je voulais partir.
- Tu aimes ma bite ? Tu mouilles comme une salope.
- Oui, j’aime la bite, ta bite, ton gros sexe.
- Alors, tu dois accepter mes règles, ou partir, tu es ok ?
- Euh ?
- Je n’ai pas entendu, tu veux être ma pute ?
- Oui, je souhaite être ta pute. !!!
- Je vais faire de toi une belle salope, comme tu ne l’imagines même pas.
Après toutes ces émotions, nous nous câlinions, je respectais les consignes de mon « Maître », je caressais son sexe, j’étais toujours impressionné par ce sexe, comment mon anus avait-il pu absorber un tel engin lors de notre première rencontre. Il acceptait de me retirer les menottes. Je commençais par le branler, puis je le léchais pour enfin le mettre dans ma bouche, j'y allais de tout mon cœur, j’étais heureux, je m'amusais avec son gland, je m'amusais comme un fou avec sa bite. Bernard appréciait, je ne voulais pas le décevoir. Je prenais mon pied. Je le pompais comme Carole pouvait me le faire, et c’était une experte, la reine des fellatrice.
- Tu aimes ça, salope ?
- Oui j’aime ça.
- Tu es doué ma salope !!!
- Merci
- Tu me fais les meilleures pipes de toute ma vie, salope !!!
J’avais apprécié le compliment et je continuais de pomper mon homme avec vigueur. Bernard était redevenu très directif. J’obéissais, il exigeait que je reste les lèvres bien ouvertes afin qu’il me baise la bouche. Il allait et venait doucement. Il enfonçait son membre au fond de ma gorge.
- Ça te plaît, petite pute ?
- Oui. (pas facile de répondre audiblement avec la bouche pleine).
Il me demandait de m’allonger. Là, les caresses reprenaient, il s'allongeait sur moi, me dominait avec brutalité, je ne résistais même pas, il me demandait de me mettre sur le ventre. Je m'allongeais sur le ventre, il s'allongeait sur moi, me donnait des petits coups de bassin en me laissant présager de la suite. Je sentais sa chaleur contre moi, puis il s'accroupissait et passait sa langue sur mon œillet pour bien l'humecter. Je gémissais et me tordais de plaisir, il m’enfonçait sa langue humide sans mon petit trou pour faciliter le passage. Il préparait le « terrain », il passait de la vaseline entre mes fesses et il me déclarait de nouveau que je mouillais comme une salope.
J’étais en feu, j’avais l’impression que mon cerveau était déconnecté, j’étais dans un état second, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. C’est ce que je lui déclarais.
- Très bien, j’ai bien entendu, tu ne vas pas être déçu… me disait-il.
- Et plusieurs bites, tu voudrais ?
- Oui, pourquoi pas ?
- Tu les auras un jour, ma salope, j’ai beaucoup d’amis, c’est une promesse de ton Maître.
Il commençait par me doigter doucement, avec détermination il m’introduisait un doigt, puis un deuxième et un troisième. J’avais une sensation extraordinaire, décuplée par rapport à la première fois car les conditions n’étaient pas top. Je ne pouvais pas dire ce que je ressentais, c'était très agréable, Bernard me demandait d'écarter un peu les jambes, pour l’instant il était attentionné mais directif.
Il m'écartait un peu plus les jambes, il me caressait les fesses, j’étais à lui.
Puis il se redressait, positionnait son gland trempé, et doucement, il s’enfonçait dans mon cul, je sentais son gland entrer, mon anus s'ouvrait, c'était un peu douloureux, le travail régulier de Carole pendant six semaines avec ses sex-toys payait. Je respirais fort, il rentrait en moi délicatement, il s’enfonçait toujours dans mon cul jusqu'à la garde et commençait les va et vient. Je passais mes mains sur ses fesses pour qu’il s’enfonce encore plus en moi, malgré ses bons vingt centimètres et sa queue très épaisse, puis je lui passais une main entre ses cuisses pour lui caresser les couilles.
Puis, il m'écartait un peu plus les jambes avec les siennes et je ne pouvais plus bouger. J’étais pris, il faisait des petits mouvements, il allait très doucement, le plaisir venait petit à petit, puis il me glissait des baisers dans le cou et me suçait les oreilles, il adorait faire ça.
Puis, il me faisait changer de position, il me demandait de me mettre à quatre pattes, il me pénétrait de nouveau, mais c’était plus agréable, sans douleur, la position était très excitante. Je me sentais comme une chienne dans cette position et pour l’instant avec le peu d’expérience que j’avais, c’était ma position préférée. Ses mains se baladaient sur mes hanches, ses couilles tapaient sur mes fesses, j’avais même envie qu'il me claque les fesses.
Je lui réclamais une fessée. C’était le début d’une fessée magistrale. Je commençais à ressentir des frissons le long du dos, une chaleur montait à moi.
Le rythme s’accélérait, il me défonçait littéralement, en me traitant de petite pute, de salope qui aimait sa bite.
- Tu aimerais sucer une autre bite en même temps salope ?
J’étais dans mon délire et tout à mon plaisir.
- Si tu veux, même plusieurs, j’aime trop la bite !
- Je te promets que tu auras d’autres bites, tu en veux vraiment ?
- Oui, je le veux, j’adore !
Cela durait un moment, un long moment, je sentais ses vingt centimètres en moi, je réalisais que j’avais énormément de chance d’être aussi profondément pénétré, d’être pilonné de la sorte.
Les sex-toys de Carole mon épouse n’avaient rien à voir, j’étais sa chienne dans cette position, le rythme s’accélérait encore, Bernard devenait très violent, brutal, il alternait les fessées, il devenait très bestial, encore plus violent, il me démontait le cul, il accélérait de plus en plus, il continuait les fessées, il me faisait mal, très mal, mais, je ne cessais de gémir, je m'abandonnais totalement à ses coups de butoir, il ne s'arrêtait pas, il continuait.
Je transpirais, je pensais que c'était ce qu'on appelait un orgasme, j’étais en pleine extase, je ressentais des spasmes dans le dos, j’étais ailleurs.
- Ça te plaît, salope ? Tu aimes te faire démonter le cul ?
- Oooh oui. !!!
- Tu aimes la bite ?
- J’adore.
- Dis-moi que tu veux que je te fasse mal, petite pute.
- Fais-moi mal Bernard, j’en ai envie !
Il me démontait toujours le cul, il accélérait encore, il poussait des râles de plaisir, il gémissait, n'en pouvant plus, il se vidait complètement en moi par de longs jets puissants. Je sentais son jus chaud dans mon cul, plusieurs petits jets, et puis il se retirait rapidement en m’ordonnant de lui nettoyer son sexe avec ma bouche, j'avalais tout ce que je pouvais, un peu de son sperme, je le léchais goulument, l’odeur n’était pas très agréable et pas définissable et on s'arrêtait là.
Je m'allongeais contre lui, nous restions un long moment comme ça sans rien dire sur le lit, je m’étais aperçu que je m’étais éjaculé dessus. Comme pour la première fois, je n'avais jamais pris autant de plaisir avec une femme.
Bernard m’envoyait dans l’espace à chaque sodomie. Il me caressait les fesses et jouait avec ma petite rondelle meurtrie. Nous étions restés allonger à parler, de Carole, mon épouse. Bernard souhaitait la voir en photo, je lui montrais des photos de Carole habillée, il la trouvait très jolie, très jeune, très fraiche, ce qui semblait normal pour une jeune femme de trente-trois ans.
Bernard me demandait d’autres photos d’elle plus dénudées, j’hésitais un instant, mais il insistait, il me promettait le fouet, je lui montrais donc des photos de Carole plus osées, plus hard.
- C’est une belle petite poupée !!! Ton épouse.
- Oui, c’est une belle femme.
- Et elle baise bien en plus ?
- Oui, elle adore ça !
Bernard me demandait si j’avais parlé de lui à Carole, si elle comprenait mon besoin d’être sodomisé. Comme la réponse était positive, il me suggérait d’éventuellement lui demander si elle accepterait de le rencontrer. Pourquoi s’intéressait-il à mon épouse, car il insistait sur le fait qu’elle devait être très ouverte à la discussion en fonction de ma description et de sa réaction.
Le sujet me troublait fortement, et je demandais l’autorisation de retirer mes bas et mon porte jarretelle pour aller prendre une douche, pour couper court à la discussion.
Le string avait été ôté ou arraché pendant la bataille très certainement. Bernard se chargeait de me retirer mes accessoires, et me recommandait un nettoyage complet.
A la sortie de la douche, Bernard me tendait un peignoir, que j’enfilais, j’étais nu en dessous. Bernard avait prévu lui un maillot de bain, puis nous étions descendus au R-1, pour rejoindre l’espace piscine, sauna, jacuzzi et hammam.
Nous avions croisé deux couples avec des grandes différences d’âges entre les deux messieurs et les deux jeunes femmes, la piscine ayant la particularité d’être visible depuis le bar à l’étage supérieur.
Bernard plongeait et me demandait de le rejoindre, un des couples croisé tout à l’heure était revenu, j’étais gêné, puis je laissais glisser le peignoir et je plongeais nu le plus rapidement possible. Pour me venger, je rejoignais Bernard pour l’embrasser, il était surpris, mais finalement jouait le jeu, nous nous amusions comme des fous. Bernard enlevait également son maillot, le couple décidait de nous rejoindre également dans la piscine. Nous les croiserons au jacuzzi et ensuite au sauna, c’était une agréable compagnie qui nous privera de quelques câlins.
Après avoir pris un verre au bar, nous remontions dans notre suite, pour entamer notre deuxième mi-temps tout aussi riche en émotions.
Bernard appréciait mes gâteries, je suçais d’après lui divinement bien, puis deuxième démontage de cul de l’après-midi, sans beaucoup lubrifier dans différentes positions à sa demande. A chaque fois je m’exécutais et j’appréciais.
Mais c’était la levrette que je préférais, il me démontait littéralement le cul, ce n’était pas possible, il poussait des râles de plaisir, il gémissait de plus en plus fort comme un animal.
Bernard était brutal, de plus en plus violent, je serrais les dents, j’encaissais sa brutalité sans broncher, en fait j’étais ailleurs. Il me transportait sur une autre planète, je n’avais jamais ressenti cela avec ma femme, il gémissait encore plus fort en me donnant des fessées et en me traitant de salope.
Et puis, il se retirait, avant d'éjaculer, nous nous allongions l'un contre l'autre, je me glissais entre ses jambes, je le suçais, je voulais le sentir jouir en moi, je ne me contrôlais plus. Je faisais de long va-et-vient, il ne tardait pas à venir, il me demandait d'arrêter, je le regardais, il gémissait, et je sentais son jus chaud dans ma bouche, plusieurs petits jets, j'avalais tout ce que je pouvais. Ce n’était pas désagréable, cette texture chaude et gluante amère et un peu salée, c’était une saveur sèche, qui se sentait au fond de la gorge, j’étais très fier de pouvoir tout avaler, j’étais sa salope.
- Tu aimes ça, salope ?
- Oui, Bernard, J’adore !
- Je vais te faire gouter d’autres bites, ma salope !!!
- Si tu veux, pourquoi pas ? Lui répondais-je un peu provocateur.
- J’ai des amis qui aiment les avaleuses de sperme, tu vas pouvoir gouter leur caviar très rapidement !!!
- Maintenant ?
J’étais sur une autre planète, et je racontais n’importe quoi, mais Bernard était sérieux, il me parlait d’un ami d’un club, un certain Pierre, qui devait être âgé de cinquante-neuf ou soixante ans, à qui je pourrai faire du bien, il n’avait plus de relation avec sa femme.
- Tu n’es pas sérieux ?
- Si au contraire, tu peux lui faire du bien.
- Ben voyons Bernard, je n’ai pas envie d’un autre homme !!!
- Quand tu as ma bite dans le cul, ce n’est pas ce que tu dis !!!
- C’est vrai, mais… Pierre a pratiquement l’âge de mon père !!!
- Et alors, tu dois me faire plaisir, c’est à toi de voir.
Le temps passait très vite avec Bernard, et je devais partir rapidement, mais il me donnait des ordres, il souhaitait avoir d’autres photos de Carole plus hard, c’est-à-dire, son anatomie après un rapport, après une sodomie, son visage au moment d’une fellation.
Mais à cette époque, nous n’étions pas à l’ère du numérique, nous étions au bon temps de l’argentique avec développement obligatoire chez notre photographe. Celui-ci prenait un malin plaisir à bien vérifier avec moi que c’était bien mes photos qu’il me remettait, avec un petit sourire vicieux car Carole aimait beaucoup poser pour les photos. Inconsciemment, c’était à cette période que j’avais découvert le plaisir de partager mon épouse en photos avec d’autres hommes.
Puis Bernard me prodiguait encore quelques recommandations par rapport à mon épouse qu’il souhaitait vraiment découvrir et rencontrer.
Il souhaitait me voir au moins dans deux semaines et si possible avec la présence de Pierre en spectateur si nous arrivions à faire conjuguer nos emplois du temps.
Je lui faisais part de mon désaccord, mais Bernard très sûr de lui, me répondait que j’apprécierais, que c’était une évidence pour lui, j’aimais trop le sexe pour ne pas vouloir gouter à ce genre de relations.
Je repartais de Rouen vers mon domicile, j’étais heureux, comblé, troublé par l’idée de Bernard d’inviter son ami Pierre, inquiet du retour à la maison et du regard de Carole.
Mon « le Trou de Balle » était douloureux. Le retour à la maison fût aussi compliqué que la première fois, j’évitais Carole pour la douche, car les fessées avaient marqué mes fesses. Mon épouse me trouvait bizarre, elle pensait que j’étais malade. Cette fois-ci, la rencontre n’était pas prévue, pas planifiée.
Ce fut compliqué pour moi, de lui avouer que j’avais rejoint Bernard dans la journée, suite à son appel, sans la prévenir.
Les jours suivants, je me disais que je ne devais plus revoir Bernard. Mes maux de ventre et mes douleurs anales, me rappelaient la brutalité de celui-ci lors de nos rapports. Je pensais que je risquais vraiment de ruiner mon couple. Que j’avais une épouse formidable, qui m’aimait.
Et puis après trois semaines, Bernard commençait à me manquer, enfin les relations avec lui.
Je parlais régulièrement de mes fantasmes, de mes besoins de sodomie, à Carole, que j’aimerai gouter de nouveau à cette pratique qu’elle appréciait tant. Chaque jour, nous discutions de cela. Ma femme appréciait ma franchise. Sa réaction fût surprenante, préférant que je rencontre un homme qu’une femme qu’elle n’accepterait pas.
Elle me déclarait qu’elle comprenait mon besoin, et qu’elle trouvait cela encourageant et bien pour moi, cette différence d’âge entre mon amant Bernard et moi.
Et puis après nos deux rencontres où nous avions eu des relations, cela n’avait rien d’engageant, nous nous retrouvions simplement pour des instants de plaisir.
Nos échanges et nos discussions franches me permettaient de me sentir mieux.
J’étais plus à l’aise sexuellement avec Carole, je prenais de nouveau beaucoup de plaisir avec elle, Carole continuant de s’occuper de ma petite rondelle. Elle était étonnée de la facilité d’absorption de mon anus vis-à-vis de ses jouets, plus petits que l’énorme sexe de Bernard, et elle décidait de tester avec un concombre, Carole était douée pour m’enculer.
Carole m’encourageait à contacter Bernard afin de lui fixer un rendez-vous.
Dès le lendemain je contactais mon « quinquagénaire », je l’informais de la réaction encourageante et positive de Carole, mais la date ne lui convenait pas, et nous devrons donc patienter deux semaines pour nous retrouver un samedi.
- Tu me manques petite salope, j’ai très envie de ton cul !!!
- Toi aussi, tu me manques, mais ce n’est pas possible avant.
- Tu peux venir demain après-midi à Cabourg ou Deauville ?
- Non, enfin je ne sais pas, peut-être.
- Je contacte Pierre, si c’est possible pour lui.
- Non, je ne veux pas Bernard, franchement !!!
- Tu vas voir, tu vas aimer ma petite pute.
- Non Bernard !!!
- Tu vas voir, Pierre est un riche industriel, très généreux.
- Mais voyons !!!
- Je veux que tu sois ma pute !!! Tu veux être ma pute ???
- Oui, je le veux, mais pas comme cela. Et puis vis-à-vis de Carole, cela me gêne.
- Ne t’inquiète pas.
- Si je m’inquiète et je ne suis peut-être pas disponible.
- A toi de choisir, mais je ne peux pas encore attendre deux semaines, et je vais passer à autre chose.
Bernard raccrochait subitement, je me disais que finalement c’était mieux comme cela, que je ne pouvais accepter sa proposition et puis, vis-à-vis de Carole, c’était une trahison, elle acceptait ma relation avec un homme, mais là, ce ne pouvait pas être acceptable.
Quelques heures plus tard, le téléphone sonnait sur ma ligne directe au bureau, je décrochais :
- C'est moi Bernard, je te dérange ?
- Non Bernard.
- Donc rendez-vous demain douze heures au « Grand Hôtel » de Cabourg.
- Non, ce n’est pas possible.
- Tu as tort, Pierre organise tout, il est charmant, il se fait un plaisir de te rencontrer.
- Bernard, franchement, c’est difficile pour moi.
- Viens, tu verras sur place. Tu sais c’est un palace, tu vas apprécier.
- Heu,… Je vais m’arranger.
- Je te remercie ma petite salope, je suis persuadé que cela va bien se passer.
- J’espère, mais Pierre est uniquement spectateur ? Promis Bernard ?
- Je vous laisse gérer cela ensemble en fonction de vos envies.
- Je peux confirmer la date du quatre mai pour Carole ?
- Bien sûr au contraire, confirme pour Carole, je suis très impatient de la rencontrer.
Je me posais mille questions. Devais-je aller à Cabourg ou bien rester sagement au bureau ?
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Bernard savait ce qu'il voulait. Roger était une première étape