Les plaisirs de l'Est III
Récit érotique écrit par Kappa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les plaisirs de l'Est III
Lorsque je rouvris les yeux, je m'aperçus que Milena n'était plus dans mes bras. Je me
demandais où elle pouvait être partie. Ses vêtements étant encore au sol, je me dis
qu'elle ne devait pas être allée très loin et qu'elle allait revenir. J'étais toujours
étendu nu dans le fauteuil, la queue à demi dure, à me remémorer le beau striptease
que ma copine m'avait fait et à me caresser le sexe d'un léger mouvement de va et
vient en repensant à la superbe fellation qu'elle m'avait administrée suivie de la
meilleure branlette espagnole qu'une fille ne m'avait jamais prodiguée.
Des bruits de pas vinrent briser mon rêve éveillé. Milena reparut avec un plateau
chargé de tartines et deux tasses de café. Elle posa le tout sur une petite table de
nuit et s'assit dans un sofa en m'annonçant: «Petit-déjeuner! Tu me diras s'il est
aussi bon que celui de l'hôtel.»
Nous commençâmes à manger. J'eus l'agréable surprise de constater que ma copine était
toujours en petite culotte, ses seins toujours à l'air. Ma queue prit de la vigueur.
Milena en sourit et me demanda d'une voix amusée: «Alors, tu as aimé ma petite
surprise?»
«Oui, j'ai adoré! Je ne m'y attendais vraiment pas. Chez moi, une fille qui m'aurait
parlé de surprise m'aurait plutôt emmené dans une jolie petite chambre bien arrangée
avec de jolies petites bougies et m'aurait sussuré un "Prends-moi". Mais toi, tu n'as
pas hésité à me faire un show. Pour cela, je garderai un bon souvenir de toi quand je
devrai, à regrets, rentrer en France.»
«Tant mieux! Ce que tu viens de dire me touche beaucoup. Les autres garçons avant toi,
des étrangers pour la plupart, trouvaient que "j'osais"un peu trop. Ne t'en fais pas.
Je te réserve encore une autre surprise avant que tu ne t'en ailles. »
«Ils n'étaient pas faits pour toi. Moi, je t'aime parce que tu n'as pas peur du sexe.
Tu montres clairement ce que tu acceptes de faire et ce que tu ne veux pas dans la
sexualité. Je trouve ça super. J'ai hâte de connaître la surprise que tu me réserves.»
Elle me sourit sans mot dire et nous continuâmes de manger notre repas. Après l'avoir
terminé, nous débarrassâmes les deux tasses sur le plateau et Milena alla le déposer
chez elle en me disant de l'attendre. Je restai donc assis dans le fauteuil à attendre
le retour de ma copine. Milena revint quelques minutes plus tard et vint me rejoindre
dans le fauteuil.
«Merci pour ce petit-déjeuner! Il a été bien meilleur que celui de l'hôtel.»
«En quoi? La qualité de ce que tu as mangé ou celle de la personne qui te l'a servi?»
«Les deux...»
En prononçant ces deux derniers mots, j'attirai Milena à moi et l'embrassai à pleine
bouche. Ma belle me rendit mon baiser et nous passâmes un doux moment à nous
embrasser, enlacés dans les bras l'un de l'autre.
En caressant le corps de Milena, je glissai doucement une main dans sa petite culotte
et fis glisser le sous-vêtement le long de ses jambes. À présent totalement nue elle
aussi, Milena se frotta le sexe contre mon ventre. Pensant qu'elle voulait s'empaler
sur ma queue, je la laissai faire son petit show de masturbation pré-pénétration. Mais
ce qu'elle fit ensuite me surprit agréablement. Au lieu de venir s'empaler sur ma
bite, elle se retourna et se mit à genoux sur moi de façon à ce que son cul arrive à
hauteur de mon visage pour finalement prendre mon sexe en bouche et m'administrer une
agréable fellation. Ne voulant pas rester inactif, je pris le cul de Milena dans mes
mains et me mis à le lécher. Sous l'effet du plaisir que lui procurait l'anulingus que
je lui faisais, ma copine me suça encore plus fort jusqu'à la garde. Et moi, pris dans
ce cercle vertueux du plaisir à deux, sous l'effet du plaisir que me procurait la
fellation que me faisait Milena, je continuai de lui lécher le cul et lui enfonçai
deux doigts dans sa chatte mouillée.
Au bout d'un agréable quart d'heure, il fallut que le cercle vertueux du plaisir à
deux se brise par une explosion tout aussi vertueuse, l'orgasme. Je jouis dans la
bouche de Milena qui avala tout le sperme que je lui offrais et nous retombâmes,
épuisés mais heureux, dans les bras l'un de l'autre. Nous passâmes tout le reste de la
matinée dans notre intimité sans nous soucier de rien. Malheureusement, ce moment fut
de trop courte durée.
Tout à coup, mon téléphone vibra dans mon pantalon. J'avais reçu un message. Je me dis
que c'était probablement Frank qui se demandait où j'étais passé. Je saisis mon
portable pour répondre lorsque je vis avec horreur que le message que j'avais reçu
n'était pas de Frank mais de ma mère.
«Papa a eu un accident de voiture et il est à l'hôpital, inconscient. Je crains le
pire. Il faut que tu rentres au plus vite.»
En voyant ce texto, j'eus tout juste la force de prévenir Frank de notre départ
prématuré avant de lâcher mon portable sous l'effet du choc. En me voyant dans cet
état, Milena me demanda ce qui n'allait pas. Je lui dis que mon père avait eu un
accident de voiture, qu'il était entre la vie et la mort et qu'il fallait que je
rentre en France au plus vite. J'ajoutai avec tristesse que j'aurais voulu connaître
sa surprise.
«Au fait, la surprise que je voulais te faire, c'est te dire que j'ai une maison en
France et que je viendrais avec toi pour le voyage du retour. Mais bon, il va falloir
avancer la surprise à aujourd'hui. Nous affronterons ça ensemble.»
Je hochai la tête et nous nous rhabillâmes en vitesse pour nous rendre à l'aéroport.
En arrivant, je vis que Frank avait déjà rassemblé nos affaires. En me voyant, mon ami
me donna une accolade et me souffla un "désolé mon pote". Il me tendit les billets et
nous allâmes tous les quatre expliquer la situation aux autorités afin qu'elles
puissent nous réserver une place sur le premier vol pour la France qui partirait. Par
chance, les policiers furent compréhensifs et contactèrent les contrôleurs par
téléphone en leur disant de nous laisser passer avec nos billets. Nous les remerciâmes
et ils nous souhaitèrent un bon voyage ainsi qu'un bon rétablissement à mon père.
Nous embarquâmes dans un avion qui devait décoller une heure après et nous quittâmes
cette belle ville de Budapest dans laquelle nous avions passé si peu de temps mais de
laquelle nous avions ramené tant de souvenirs. Nous arrivâmes en France environ une
heure plus tard. Je prévins ma mère de mon arrivée et Milena, Ilona, Frank et moi
prîmes la direction de l'hôpital. Lorsque nous arrivâmes dans le bâtiment, nous
montâmes les trois étages qui menaient à la chambre de mon père. Dans la chambre se
trouvaient déjà ma mère et mes deux sœurs, Rosalie et Joanna. Mon père, toujours
inconscient, était blanc comme un linge et semblait avoir eu un choc très conséquent
vu la plaie encore sanguinolente qui lui barrait la joue et le menton.
Nous repassâmes tous les jours rendre visite à mon père jusqu'à ce qu'il finisse par
se réveiller et qu'il puisse, avec le feu vert des médecins, rentrer à la maison. Je
finis par épouser Milena et Frank et Ilona se dirent oui peu de temps après Milena et
moi.
Voilà comment se termine mon histoire. J'espère qu'elle vous a plu. Pour ce qui est de
la suite, ma petite sœur Joanna vous l'écrira.
Bonne lecture à toutes et à tous.
William
demandais où elle pouvait être partie. Ses vêtements étant encore au sol, je me dis
qu'elle ne devait pas être allée très loin et qu'elle allait revenir. J'étais toujours
étendu nu dans le fauteuil, la queue à demi dure, à me remémorer le beau striptease
que ma copine m'avait fait et à me caresser le sexe d'un léger mouvement de va et
vient en repensant à la superbe fellation qu'elle m'avait administrée suivie de la
meilleure branlette espagnole qu'une fille ne m'avait jamais prodiguée.
Des bruits de pas vinrent briser mon rêve éveillé. Milena reparut avec un plateau
chargé de tartines et deux tasses de café. Elle posa le tout sur une petite table de
nuit et s'assit dans un sofa en m'annonçant: «Petit-déjeuner! Tu me diras s'il est
aussi bon que celui de l'hôtel.»
Nous commençâmes à manger. J'eus l'agréable surprise de constater que ma copine était
toujours en petite culotte, ses seins toujours à l'air. Ma queue prit de la vigueur.
Milena en sourit et me demanda d'une voix amusée: «Alors, tu as aimé ma petite
surprise?»
«Oui, j'ai adoré! Je ne m'y attendais vraiment pas. Chez moi, une fille qui m'aurait
parlé de surprise m'aurait plutôt emmené dans une jolie petite chambre bien arrangée
avec de jolies petites bougies et m'aurait sussuré un "Prends-moi". Mais toi, tu n'as
pas hésité à me faire un show. Pour cela, je garderai un bon souvenir de toi quand je
devrai, à regrets, rentrer en France.»
«Tant mieux! Ce que tu viens de dire me touche beaucoup. Les autres garçons avant toi,
des étrangers pour la plupart, trouvaient que "j'osais"un peu trop. Ne t'en fais pas.
Je te réserve encore une autre surprise avant que tu ne t'en ailles. »
«Ils n'étaient pas faits pour toi. Moi, je t'aime parce que tu n'as pas peur du sexe.
Tu montres clairement ce que tu acceptes de faire et ce que tu ne veux pas dans la
sexualité. Je trouve ça super. J'ai hâte de connaître la surprise que tu me réserves.»
Elle me sourit sans mot dire et nous continuâmes de manger notre repas. Après l'avoir
terminé, nous débarrassâmes les deux tasses sur le plateau et Milena alla le déposer
chez elle en me disant de l'attendre. Je restai donc assis dans le fauteuil à attendre
le retour de ma copine. Milena revint quelques minutes plus tard et vint me rejoindre
dans le fauteuil.
«Merci pour ce petit-déjeuner! Il a été bien meilleur que celui de l'hôtel.»
«En quoi? La qualité de ce que tu as mangé ou celle de la personne qui te l'a servi?»
«Les deux...»
En prononçant ces deux derniers mots, j'attirai Milena à moi et l'embrassai à pleine
bouche. Ma belle me rendit mon baiser et nous passâmes un doux moment à nous
embrasser, enlacés dans les bras l'un de l'autre.
En caressant le corps de Milena, je glissai doucement une main dans sa petite culotte
et fis glisser le sous-vêtement le long de ses jambes. À présent totalement nue elle
aussi, Milena se frotta le sexe contre mon ventre. Pensant qu'elle voulait s'empaler
sur ma queue, je la laissai faire son petit show de masturbation pré-pénétration. Mais
ce qu'elle fit ensuite me surprit agréablement. Au lieu de venir s'empaler sur ma
bite, elle se retourna et se mit à genoux sur moi de façon à ce que son cul arrive à
hauteur de mon visage pour finalement prendre mon sexe en bouche et m'administrer une
agréable fellation. Ne voulant pas rester inactif, je pris le cul de Milena dans mes
mains et me mis à le lécher. Sous l'effet du plaisir que lui procurait l'anulingus que
je lui faisais, ma copine me suça encore plus fort jusqu'à la garde. Et moi, pris dans
ce cercle vertueux du plaisir à deux, sous l'effet du plaisir que me procurait la
fellation que me faisait Milena, je continuai de lui lécher le cul et lui enfonçai
deux doigts dans sa chatte mouillée.
Au bout d'un agréable quart d'heure, il fallut que le cercle vertueux du plaisir à
deux se brise par une explosion tout aussi vertueuse, l'orgasme. Je jouis dans la
bouche de Milena qui avala tout le sperme que je lui offrais et nous retombâmes,
épuisés mais heureux, dans les bras l'un de l'autre. Nous passâmes tout le reste de la
matinée dans notre intimité sans nous soucier de rien. Malheureusement, ce moment fut
de trop courte durée.
Tout à coup, mon téléphone vibra dans mon pantalon. J'avais reçu un message. Je me dis
que c'était probablement Frank qui se demandait où j'étais passé. Je saisis mon
portable pour répondre lorsque je vis avec horreur que le message que j'avais reçu
n'était pas de Frank mais de ma mère.
«Papa a eu un accident de voiture et il est à l'hôpital, inconscient. Je crains le
pire. Il faut que tu rentres au plus vite.»
En voyant ce texto, j'eus tout juste la force de prévenir Frank de notre départ
prématuré avant de lâcher mon portable sous l'effet du choc. En me voyant dans cet
état, Milena me demanda ce qui n'allait pas. Je lui dis que mon père avait eu un
accident de voiture, qu'il était entre la vie et la mort et qu'il fallait que je
rentre en France au plus vite. J'ajoutai avec tristesse que j'aurais voulu connaître
sa surprise.
«Au fait, la surprise que je voulais te faire, c'est te dire que j'ai une maison en
France et que je viendrais avec toi pour le voyage du retour. Mais bon, il va falloir
avancer la surprise à aujourd'hui. Nous affronterons ça ensemble.»
Je hochai la tête et nous nous rhabillâmes en vitesse pour nous rendre à l'aéroport.
En arrivant, je vis que Frank avait déjà rassemblé nos affaires. En me voyant, mon ami
me donna une accolade et me souffla un "désolé mon pote". Il me tendit les billets et
nous allâmes tous les quatre expliquer la situation aux autorités afin qu'elles
puissent nous réserver une place sur le premier vol pour la France qui partirait. Par
chance, les policiers furent compréhensifs et contactèrent les contrôleurs par
téléphone en leur disant de nous laisser passer avec nos billets. Nous les remerciâmes
et ils nous souhaitèrent un bon voyage ainsi qu'un bon rétablissement à mon père.
Nous embarquâmes dans un avion qui devait décoller une heure après et nous quittâmes
cette belle ville de Budapest dans laquelle nous avions passé si peu de temps mais de
laquelle nous avions ramené tant de souvenirs. Nous arrivâmes en France environ une
heure plus tard. Je prévins ma mère de mon arrivée et Milena, Ilona, Frank et moi
prîmes la direction de l'hôpital. Lorsque nous arrivâmes dans le bâtiment, nous
montâmes les trois étages qui menaient à la chambre de mon père. Dans la chambre se
trouvaient déjà ma mère et mes deux sœurs, Rosalie et Joanna. Mon père, toujours
inconscient, était blanc comme un linge et semblait avoir eu un choc très conséquent
vu la plaie encore sanguinolente qui lui barrait la joue et le menton.
Nous repassâmes tous les jours rendre visite à mon père jusqu'à ce qu'il finisse par
se réveiller et qu'il puisse, avec le feu vert des médecins, rentrer à la maison. Je
finis par épouser Milena et Frank et Ilona se dirent oui peu de temps après Milena et
moi.
Voilà comment se termine mon histoire. J'espère qu'elle vous a plu. Pour ce qui est de
la suite, ma petite sœur Joanna vous l'écrira.
Bonne lecture à toutes et à tous.
William
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Commentaire d'EXTREMAMANT :
Cher Kappa j'ai bien aimé ton histoire, bien excitante avec le réalisme des mots et
des descrition.
Apparemment, tu as lu récemment le début de mon premier récit "LA VIE SEXUELLE DE
LOUISE, 53 ANS" et tu sembles avoir aimé. Je t'invite à lire la deuxième partie
publiée aujourd'hui. La tension sexuelle va monter d'épisodes en épisode pour conduire
Louise dans d'inimaginables limites. Je pense que tu aimeras. Je vais lire tranquille
tes autres récits.
Cher Kappa j'ai bien aimé ton histoire, bien excitante avec le réalisme des mots et
des descrition.
Apparemment, tu as lu récemment le début de mon premier récit "LA VIE SEXUELLE DE
LOUISE, 53 ANS" et tu sembles avoir aimé. Je t'invite à lire la deuxième partie
publiée aujourd'hui. La tension sexuelle va monter d'épisodes en épisode pour conduire
Louise dans d'inimaginables limites. Je pense que tu aimeras. Je vais lire tranquille
tes autres récits.