Les punitions d'Olga T. (4)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les punitions d'Olga T. (4)
Elle est restée à plat ventre sur le lit. À reprendre lentement ses esprits, les fesses brûlantes. Un cœur lui battait douloureusement et voluptueusement dans le derrière. C’était bon, une fessée. Comment c’était bon ! Ah, il savait y faire, l’animal ! Il était passé où d’ailleurs ? Qu’est-ce qu’il était allé chercher ? Il en mettait un temps ! En attendant, sa queue, en douce qu’il avait pas voulu la lui mettre, cet abruti ! Oh, mais alors là, elle l’aurait ! Elle allait l’avoir.
‒ Et pas plus tard que tout à l’heure ! Alors ça, tu vas pas y couper, mon bonhomme !
Et elle s’est mise à en rêver. À l’imaginer. Elle était comment ? Bien épaisse ? Il avait intérêt ! Qu’elle la sente bien ! Qu’elle la remplisse bien ! Avec un gland harmonieux, tout velouté. Et une paire de couilles consistantes qui te tenaient bien dans la main quand tu les soupesais.
Elle a fermé les yeux. Elle est descendue s’effleurer. Du bout des doigts. S’est faite plus précise. Plus insistante. S’est ouverte. Pénétrée.
Elle s’est levée d’un bond.
‒ Et merde ! Qu’est-ce qu’il fout ?
Est allée jusqu’à la fenêtre.
‒ Hein ! Mais c’est pas vrai !
Sa voiture n’était plus sur le parking.
‒ Il s’est tiré, le salopard ! Quelle ordure ! Non, mais alors ça, il va me le payer !
Elle s’est rhabillée.
‒ Il me faut une queue ! N’importe laquelle ! Mais après une fessée comme ça, il me faut une queue ! Tout de suite.
Et elle est descendue.
Quand elle a fait son entrée dans le bar, toutes les conversations se sont interrompues. Tous les regards se sont agrippés à elle. Elle a roulé des fesses jusqu’au comptoir. S’est juchée sur un tabouret. Y a croisé haut les jambes.
Les conversations ont peu à peu repris.
‒ Et pour Mademoiselle, ce sera ?
‒ Un whisky. Double.
Il était pas mal du tout, ce barman ! Jeune. Mignon. Avec beaucoup de charme. Elle se serait bien occupée de son cas. Seulement le problème…
‒ Vous êtes ouverts jusqu’à quelle heure ?
‒ Deux heures du matin.
Oui, ben elle allait sûrement pas attendre jusque-là…
Et elle s’est tournée vers la salle. Les vieux du bout, là-bas, c’était pas la peine. Les jeunes, de l’autre côté, non plus. Par contre, le petit trio, là, près de la porte, valait peut-être la peine de se pencher sur le dossier. Oui, sûrement, même. Le plus grand lui a jeté un regard appuyé. Elle l’a soutenu. Un peu. Juste ce qu’il fallait. Pas trop. Il a dit quelque chose à voix basse aux deux autres qui ont, à leur tour, regardé dans sa direction. Il y en a un qui lui a souri. Qui s’est levé. Approché. La quarantaine. Des yeux bleus envoûtants.
‒ Vous êtes toute seule ?
Elle a éclaté de rire.
‒ C’est tout ce que vous avez trouvé ?
‒ C’est de votre faute. Vous êtes si séduisante que j’en perds tous mes moyens.
‒ Ben, bien sûr ! Je vais vous croire.
‒ Si, c’est vrai, hein !
Elle a jeté un coup d’œil appuyé à son alliance.
‒ Elle va vous attendre…
‒ Non ! Parce que, le vendredi, elle sort. Avec une copine. À ce qu’elle dit. Parce que ça, moi, je suis pas vraiment convaincu… Si ça tombe cette soi-disant copine, elle a de la barbe et une paire de couilles.
‒ Et donc, vous pendant ce temps-là, vous en profitez pour aller tirer votre coup.
‒ Vous êtes très perspicace. Disons que je tente ma chance. Il y a des fois, ça marche, et d’autres pas du tout…
‒ Et ce soir ?
‒ Je sais pas encore. Ça va dépendre de vous.
‒ Ça peut peut-être s’envisager.
Il lui a posé une main sur la cuisse.
‒ Seulement peut-être ?
Elle l’a recouverte de la sienne.
‒ Ils vont s’ennuyer, tes copains, pendant ce temps-là…
‒ Ils s’en remettront.
‒ Dis-leur de venir, s’ils veulent…
Il lui a jeté un regard effaré.
‒ Que je…
S’est aussitôt repris. Leur a fait signe.
Ils les ont rejoints, ravis de l’aubaine.
Et ils se sont tous les quatre engagés dans l’escalier. Elle devant et eux, derrière.
* * *
Elle s’est assise sur le lit.
‒ Vous êtes trois. Ça tombe rudement bien. Vous savez pourquoi, j’imagine…
Ils avaient bien leur petite idée, oui !
‒ T’as trois orifices.
‒ Voilà, oui ! Qu’il va falloir remplir. Et simultanément de préférence. En fonction des particularités de l’outillage dont chacun d’entre vous dispose. Voyons ça ! Allez, mettez-vous à l’aise…
Ils ne se sont pas fait prier. Pantalons, slips et boxers sont aussitôt tombés sur les chevilles.
Un rapide tour d’horizon.
Ils bandaient.
‒ Bon, ben déjà, vous êtes en état de marche. Tous les trois. C’est toujours ça de pris.
Un autre.
‒ Oh, toi… Comment tu t’appelles ?
‒ Basile…
‒ Eh bien, Basile, alors là, toi, c’est vraiment le genre de queue qu’on a envie de prendre en bouche.
Elle s’est allongée, elle l’a attiré à elle et elle a joint le geste à la parole. Elle se l’est appropriée. Avec un petit grognement de volupté.
‒ Comment elle est bonne !
Elle l’a savourée. D’une langue impatiente.
En bas, il y a eu des mains sur elle. Des mains à foison. Qui l’ont déshabillée. Mise à nu. Parcourue. Investie. Sa chatte. Son petit trou de derrière.
Il y en a un qui a constaté.
‒ Elle est à point. Ça va glisser tout seul.
Ça a coulé dans sa bouche, Ça s’y est répandu. Elle l’a bu, agrippée à ses cheveux.
Une queue est venue se poser aux portes de son réduit d’amour. S’y est introduite. Installée. Elle l’a accueillie avec un grondement de reconnaissance. Il y a commencé de lents mouvements de va-et-vient.
‒ Oh, c’est bon ! C’est trop bon !
Une autre bite. À l’entrée de son cul. Dans lequel elle s’est aventurée. Elle s’y est enfoncée, l’a investi. Loin.
Devant ça s’est fait plus rapide. Plus exigeant. Elle a haleté. Et supplié.
‒ Engosse-moi ! Vas-y ! Engosse-moi !
Ils ont giclé ensemble.
Et elle a joui. À pleins poumons.
‒ Et pas plus tard que tout à l’heure ! Alors ça, tu vas pas y couper, mon bonhomme !
Et elle s’est mise à en rêver. À l’imaginer. Elle était comment ? Bien épaisse ? Il avait intérêt ! Qu’elle la sente bien ! Qu’elle la remplisse bien ! Avec un gland harmonieux, tout velouté. Et une paire de couilles consistantes qui te tenaient bien dans la main quand tu les soupesais.
Elle a fermé les yeux. Elle est descendue s’effleurer. Du bout des doigts. S’est faite plus précise. Plus insistante. S’est ouverte. Pénétrée.
Elle s’est levée d’un bond.
‒ Et merde ! Qu’est-ce qu’il fout ?
Est allée jusqu’à la fenêtre.
‒ Hein ! Mais c’est pas vrai !
Sa voiture n’était plus sur le parking.
‒ Il s’est tiré, le salopard ! Quelle ordure ! Non, mais alors ça, il va me le payer !
Elle s’est rhabillée.
‒ Il me faut une queue ! N’importe laquelle ! Mais après une fessée comme ça, il me faut une queue ! Tout de suite.
Et elle est descendue.
Quand elle a fait son entrée dans le bar, toutes les conversations se sont interrompues. Tous les regards se sont agrippés à elle. Elle a roulé des fesses jusqu’au comptoir. S’est juchée sur un tabouret. Y a croisé haut les jambes.
Les conversations ont peu à peu repris.
‒ Et pour Mademoiselle, ce sera ?
‒ Un whisky. Double.
Il était pas mal du tout, ce barman ! Jeune. Mignon. Avec beaucoup de charme. Elle se serait bien occupée de son cas. Seulement le problème…
‒ Vous êtes ouverts jusqu’à quelle heure ?
‒ Deux heures du matin.
Oui, ben elle allait sûrement pas attendre jusque-là…
Et elle s’est tournée vers la salle. Les vieux du bout, là-bas, c’était pas la peine. Les jeunes, de l’autre côté, non plus. Par contre, le petit trio, là, près de la porte, valait peut-être la peine de se pencher sur le dossier. Oui, sûrement, même. Le plus grand lui a jeté un regard appuyé. Elle l’a soutenu. Un peu. Juste ce qu’il fallait. Pas trop. Il a dit quelque chose à voix basse aux deux autres qui ont, à leur tour, regardé dans sa direction. Il y en a un qui lui a souri. Qui s’est levé. Approché. La quarantaine. Des yeux bleus envoûtants.
‒ Vous êtes toute seule ?
Elle a éclaté de rire.
‒ C’est tout ce que vous avez trouvé ?
‒ C’est de votre faute. Vous êtes si séduisante que j’en perds tous mes moyens.
‒ Ben, bien sûr ! Je vais vous croire.
‒ Si, c’est vrai, hein !
Elle a jeté un coup d’œil appuyé à son alliance.
‒ Elle va vous attendre…
‒ Non ! Parce que, le vendredi, elle sort. Avec une copine. À ce qu’elle dit. Parce que ça, moi, je suis pas vraiment convaincu… Si ça tombe cette soi-disant copine, elle a de la barbe et une paire de couilles.
‒ Et donc, vous pendant ce temps-là, vous en profitez pour aller tirer votre coup.
‒ Vous êtes très perspicace. Disons que je tente ma chance. Il y a des fois, ça marche, et d’autres pas du tout…
‒ Et ce soir ?
‒ Je sais pas encore. Ça va dépendre de vous.
‒ Ça peut peut-être s’envisager.
Il lui a posé une main sur la cuisse.
‒ Seulement peut-être ?
Elle l’a recouverte de la sienne.
‒ Ils vont s’ennuyer, tes copains, pendant ce temps-là…
‒ Ils s’en remettront.
‒ Dis-leur de venir, s’ils veulent…
Il lui a jeté un regard effaré.
‒ Que je…
S’est aussitôt repris. Leur a fait signe.
Ils les ont rejoints, ravis de l’aubaine.
Et ils se sont tous les quatre engagés dans l’escalier. Elle devant et eux, derrière.
* * *
Elle s’est assise sur le lit.
‒ Vous êtes trois. Ça tombe rudement bien. Vous savez pourquoi, j’imagine…
Ils avaient bien leur petite idée, oui !
‒ T’as trois orifices.
‒ Voilà, oui ! Qu’il va falloir remplir. Et simultanément de préférence. En fonction des particularités de l’outillage dont chacun d’entre vous dispose. Voyons ça ! Allez, mettez-vous à l’aise…
Ils ne se sont pas fait prier. Pantalons, slips et boxers sont aussitôt tombés sur les chevilles.
Un rapide tour d’horizon.
Ils bandaient.
‒ Bon, ben déjà, vous êtes en état de marche. Tous les trois. C’est toujours ça de pris.
Un autre.
‒ Oh, toi… Comment tu t’appelles ?
‒ Basile…
‒ Eh bien, Basile, alors là, toi, c’est vraiment le genre de queue qu’on a envie de prendre en bouche.
Elle s’est allongée, elle l’a attiré à elle et elle a joint le geste à la parole. Elle se l’est appropriée. Avec un petit grognement de volupté.
‒ Comment elle est bonne !
Elle l’a savourée. D’une langue impatiente.
En bas, il y a eu des mains sur elle. Des mains à foison. Qui l’ont déshabillée. Mise à nu. Parcourue. Investie. Sa chatte. Son petit trou de derrière.
Il y en a un qui a constaté.
‒ Elle est à point. Ça va glisser tout seul.
Ça a coulé dans sa bouche, Ça s’y est répandu. Elle l’a bu, agrippée à ses cheveux.
Une queue est venue se poser aux portes de son réduit d’amour. S’y est introduite. Installée. Elle l’a accueillie avec un grondement de reconnaissance. Il y a commencé de lents mouvements de va-et-vient.
‒ Oh, c’est bon ! C’est trop bon !
Une autre bite. À l’entrée de son cul. Dans lequel elle s’est aventurée. Elle s’y est enfoncée, l’a investi. Loin.
Devant ça s’est fait plus rapide. Plus exigeant. Elle a haleté. Et supplié.
‒ Engosse-moi ! Vas-y ! Engosse-moi !
Ils ont giclé ensemble.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, Didier.
Ce n'est pas un exercice très facile que de "faire de la fiction" dans un tel contexte alors que les témoignages d'Olga restent, eux, au plus près de son vécu. Mais c'est néanmoins un exercice très stimulant.
Ce n'est pas un exercice très facile que de "faire de la fiction" dans un tel contexte alors que les témoignages d'Olga restent, eux, au plus près de son vécu. Mais c'est néanmoins un exercice très stimulant.
Par dépit et par défi!
Exorium,
merci pour très belle suite très torride en soi.
On a le plaisir d'y retrouver une Olga initialement frustrée par un Harold qui l'a laissée en plan avec son envie de sexe.
Néanmoins, étant excitée, la belle se rattrape en se mettant en chasse et comblant ce manque dans un gang band endiablé avec 3 beaux mâles.
Olga l'a t'elle fait par dépit ou par défi???
En effet, n'espère t'elle pas ainsi recevoir une nouvelle fessée qui lui donne tant de plaisir...
Vivement la suite.
Didier
merci pour très belle suite très torride en soi.
On a le plaisir d'y retrouver une Olga initialement frustrée par un Harold qui l'a laissée en plan avec son envie de sexe.
Néanmoins, étant excitée, la belle se rattrape en se mettant en chasse et comblant ce manque dans un gang band endiablé avec 3 beaux mâles.
Olga l'a t'elle fait par dépit ou par défi???
En effet, n'espère t'elle pas ainsi recevoir une nouvelle fessée qui lui donne tant de plaisir...
Vivement la suite.
Didier