Les punitions d'Olga T. (5)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les punitions d'Olga T. (5)
Le lundi, Harold l’a rejointe à la machine à café. Où, à ce moment-là, elle se trouvait seule.
‒ Alors ?
‒ Alors quoi ?
‒ Apparemment, toi, une fessée et hop, tu prends ton pied.
‒ Non, tu crois ?
‒ Le problème, c’est que ce n’était pas fait du tout dans cette intention-là.
‒ Je sais, oui !
‒ Et que si nous voulons atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés, il nous va falloir changer notre fusil d’épaule.
Et il entendait quoi par là ?
‒ Qu’on va passer à la vitesse supérieure. Au prochain dérapage, ce sera le martinet. Et, si ça ne suffit pas, on envisagera la cravache. Et là, je peux te dire que tu vas y rentrer dans les clous. Bon gré mal gré. Parce que la cravache, alors là, c’est pas de plaisir que tu vas couiner…
Il a voulu qu’elle vienne l’acheter avec lui, le martinet.
Non, mais il croyait quoi ? Que ça allait l’impressionner ? Il lui en fallait plus que ça. Beaucoup plus.
Il l’a emmenée dans une autre ville. Loin.
Il y avait un peu de monde dans la boutique. Cinq ou six personnes. Des hommes. Des femmes.
Quand ça a été leur tour, il a claironné.
‒ Mon amie voudrait un martinet…
On s’est retourné sur eux. Il y a eu deux ou trois sourires entendus.
Le commerçant, impassible, les a entraînés jusqu’au tourniquet où ils étaient suspendus.
‒ Si Mademoiselle veut se donner la peine de choisir…
Harold ne l’a pas laissé repartir.
‒ Ce qu’il nous faudrait, c’est quelque chose de particulièrement efficace. Parce qu’elle est sur une mauvaise pente en ce moment. Une très mauvaise pente. Et elle est elle-même parfaitement consciente que si on n’y met pas bon ordre rapidement…
Le commerçant a soupiré.
‒ À qui le dites-vous ! J’en sais quelque chose. Les jeunes, aujourd’hui, ils n’ont strictement rien dans la cervelle. Si vous saviez ce qu’ils m’en font voir, les miens…
Il en a décroché un.
‒ Mais enfin vous, vous avez la chance qu’elle reconnaisse qu’elle en a besoin. Parce qu’il y en a d’autres…
Il le lui a tendu. À elle.
‒ Celui-là, avec les nœuds, il devrait très rapidement vous remettre dans le droit chemin.
Elle en a fait couler les lanières entre ses doigts. Elle a frémi. Ça s’est mis à perler entre ses cuisses.
‒ Alors ? Vous en dites quoi ?
Elle a soutenu son regard.
Elle en disait que…
‒ Oui… Oui… Il a l’air très bien.
Elle a tenu à payer.
‒ Si ! Si ! C’est pour moi !
Harold n’a pas voulu que le commerçant l’emballe.
‒ Non ! Non ! Elle va l’emmener comme ça…
Ils ont fait quelques pas sur le trottoir.
‒ Là ! Et maintenant essaie d’y remettre le nez pour voir !
Elle n’a pas répondu. Mais sûr qu’elle allait y remettre le nez. Et pas que le nez ! Parce qu’elle l’aurait, sa queue ! Il avait beau vouloir jouer les pères la vertu, elle finirait par l’avoir. Il était comme les autres. Fallait juste savoir le prendre.
* * *
Le délégué allemand s’éternisait dans des considérations oiseuses.
Elle a poussé du coude son voisin, Paolo, le bel Apollon italien. Et lui a glissé à l’oreille.
‒ Je m’emmerde. Pas toi ?
Il a levé les yeux au ciel.
‒ Oh, si, alors !
Elle a proposé.
‒ On se casse ?
‒ Tous les deux ? Ensemble ? Ce serait mal vu.
‒ On imagine qu’on le fait alors… Qu’on sort. Tu m’emmènes où ?
‒ Devine !
‒ Cochon ! Vous pensez qu’à ça, vous, les hommes !
‒ Vous n’avez qu’à pas être aussi excitantes, vous, les femmes !
Elle lui a coulé son regard de braise.
‒ Je t’excite ? C’est vrai ?
Elle lui a posé la main sur le genou. Est lentement, très lentement, remontée le long de la cuisse. Y a séjourné quelques instants. Tout en haut. S’est approchée de sa queue. Approchée encore. S’en est emparée.
‒ Ah, oui, dis donc ! Je te fais de l’effet.
Absorbé dans ses dossiers, Harold ne leur prêtait pas la moindre attention.
À travers le pantalon, elle a savamment pétri Paolo. Qui s’est imperceptiblement raidi. Qui l’a doucement repoussée.
‒ Attends !
‒ Que j’attende quoi ?
‒ Si tu continues, je réponds plus de rien.
‒ Ben, justement ! Raison de plus !
‒ Pas ici !
‒ Ben, pourquoi ? Au contraire ! Ça rajoute du piquant.
Sous la table, la main de Paolo était restée posée sur la sienne. Pour la retenir. Pour l’empêcher de reprendre ses investigations.
Elle a murmuré.
‒ Tu sais quoi ? J’ai pas de culotte. J’en mets jamais quand je viens aux réunions.
Il a esquissé un petit sourire dubitatif.
‒ Tu me crois pas ? Va vérifier !
Il ne s’est pas fait prier. Il est allé droit au but sous la robe. Sans s’attarder en route.
‒ Ah, oui ! Et comment t’es trempée !
Il lui a enfourné un doigt. Un autre.
Autour d’eux on s’est agité. La séance était levée.
‒ Viens !
Ils ont navigué entre les groupes de collègues qui s’attardaient à discuter.
‒ Viens !
Dans les toilettes des hommes. Elle l’a entraîné dans une cabine. Dont elle a refermé la porte sur eux.
Elle l’a déboutonné. Elle la lui a sortie. S’est pressée contre lui.
‒ Fourre-moi !
Elle l’a accueilli dans un grand râle de béatitude.
‒ Oh, oui ! Vas-y ! Bien à fond.
Elle a joui presque tout de suite. Elle a éperdument hurlé son plaisir. Et puis encore, une autre fois, quand Paolo s’est déversé en elle.
Il y a eu des rires de l’autre côté de la porte.
‒ Ben, dis donc ! Il y en a qui s’en font pas là-dedans !
‒ Alors ?
‒ Alors quoi ?
‒ Apparemment, toi, une fessée et hop, tu prends ton pied.
‒ Non, tu crois ?
‒ Le problème, c’est que ce n’était pas fait du tout dans cette intention-là.
‒ Je sais, oui !
‒ Et que si nous voulons atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés, il nous va falloir changer notre fusil d’épaule.
Et il entendait quoi par là ?
‒ Qu’on va passer à la vitesse supérieure. Au prochain dérapage, ce sera le martinet. Et, si ça ne suffit pas, on envisagera la cravache. Et là, je peux te dire que tu vas y rentrer dans les clous. Bon gré mal gré. Parce que la cravache, alors là, c’est pas de plaisir que tu vas couiner…
Il a voulu qu’elle vienne l’acheter avec lui, le martinet.
Non, mais il croyait quoi ? Que ça allait l’impressionner ? Il lui en fallait plus que ça. Beaucoup plus.
Il l’a emmenée dans une autre ville. Loin.
Il y avait un peu de monde dans la boutique. Cinq ou six personnes. Des hommes. Des femmes.
Quand ça a été leur tour, il a claironné.
‒ Mon amie voudrait un martinet…
On s’est retourné sur eux. Il y a eu deux ou trois sourires entendus.
Le commerçant, impassible, les a entraînés jusqu’au tourniquet où ils étaient suspendus.
‒ Si Mademoiselle veut se donner la peine de choisir…
Harold ne l’a pas laissé repartir.
‒ Ce qu’il nous faudrait, c’est quelque chose de particulièrement efficace. Parce qu’elle est sur une mauvaise pente en ce moment. Une très mauvaise pente. Et elle est elle-même parfaitement consciente que si on n’y met pas bon ordre rapidement…
Le commerçant a soupiré.
‒ À qui le dites-vous ! J’en sais quelque chose. Les jeunes, aujourd’hui, ils n’ont strictement rien dans la cervelle. Si vous saviez ce qu’ils m’en font voir, les miens…
Il en a décroché un.
‒ Mais enfin vous, vous avez la chance qu’elle reconnaisse qu’elle en a besoin. Parce qu’il y en a d’autres…
Il le lui a tendu. À elle.
‒ Celui-là, avec les nœuds, il devrait très rapidement vous remettre dans le droit chemin.
Elle en a fait couler les lanières entre ses doigts. Elle a frémi. Ça s’est mis à perler entre ses cuisses.
‒ Alors ? Vous en dites quoi ?
Elle a soutenu son regard.
Elle en disait que…
‒ Oui… Oui… Il a l’air très bien.
Elle a tenu à payer.
‒ Si ! Si ! C’est pour moi !
Harold n’a pas voulu que le commerçant l’emballe.
‒ Non ! Non ! Elle va l’emmener comme ça…
Ils ont fait quelques pas sur le trottoir.
‒ Là ! Et maintenant essaie d’y remettre le nez pour voir !
Elle n’a pas répondu. Mais sûr qu’elle allait y remettre le nez. Et pas que le nez ! Parce qu’elle l’aurait, sa queue ! Il avait beau vouloir jouer les pères la vertu, elle finirait par l’avoir. Il était comme les autres. Fallait juste savoir le prendre.
* * *
Le délégué allemand s’éternisait dans des considérations oiseuses.
Elle a poussé du coude son voisin, Paolo, le bel Apollon italien. Et lui a glissé à l’oreille.
‒ Je m’emmerde. Pas toi ?
Il a levé les yeux au ciel.
‒ Oh, si, alors !
Elle a proposé.
‒ On se casse ?
‒ Tous les deux ? Ensemble ? Ce serait mal vu.
‒ On imagine qu’on le fait alors… Qu’on sort. Tu m’emmènes où ?
‒ Devine !
‒ Cochon ! Vous pensez qu’à ça, vous, les hommes !
‒ Vous n’avez qu’à pas être aussi excitantes, vous, les femmes !
Elle lui a coulé son regard de braise.
‒ Je t’excite ? C’est vrai ?
Elle lui a posé la main sur le genou. Est lentement, très lentement, remontée le long de la cuisse. Y a séjourné quelques instants. Tout en haut. S’est approchée de sa queue. Approchée encore. S’en est emparée.
‒ Ah, oui, dis donc ! Je te fais de l’effet.
Absorbé dans ses dossiers, Harold ne leur prêtait pas la moindre attention.
À travers le pantalon, elle a savamment pétri Paolo. Qui s’est imperceptiblement raidi. Qui l’a doucement repoussée.
‒ Attends !
‒ Que j’attende quoi ?
‒ Si tu continues, je réponds plus de rien.
‒ Ben, justement ! Raison de plus !
‒ Pas ici !
‒ Ben, pourquoi ? Au contraire ! Ça rajoute du piquant.
Sous la table, la main de Paolo était restée posée sur la sienne. Pour la retenir. Pour l’empêcher de reprendre ses investigations.
Elle a murmuré.
‒ Tu sais quoi ? J’ai pas de culotte. J’en mets jamais quand je viens aux réunions.
Il a esquissé un petit sourire dubitatif.
‒ Tu me crois pas ? Va vérifier !
Il ne s’est pas fait prier. Il est allé droit au but sous la robe. Sans s’attarder en route.
‒ Ah, oui ! Et comment t’es trempée !
Il lui a enfourné un doigt. Un autre.
Autour d’eux on s’est agité. La séance était levée.
‒ Viens !
Ils ont navigué entre les groupes de collègues qui s’attardaient à discuter.
‒ Viens !
Dans les toilettes des hommes. Elle l’a entraîné dans une cabine. Dont elle a refermé la porte sur eux.
Elle l’a déboutonné. Elle la lui a sortie. S’est pressée contre lui.
‒ Fourre-moi !
Elle l’a accueilli dans un grand râle de béatitude.
‒ Oh, oui ! Vas-y ! Bien à fond.
Elle a joui presque tout de suite. Elle a éperdument hurlé son plaisir. Et puis encore, une autre fois, quand Paolo s’est déversé en elle.
Il y a eu des rires de l’autre côté de la porte.
‒ Ben, dis donc ! Il y en a qui s’en font pas là-dedans !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est exactement ainsi que je pratiquais en marge de ces réunions!
Harold, ayant vent de la dernière incartade, jouissance, de la belle Olga, décide de devenir plus sévère à l’avenir.
Il décide donc d’emmener l’insolente demoiselle acheter l’instrument de sa futur punition, un martinet.
Ne reculant toujours devant rien, Olga le choisi et a le culot de plus de le payer…
Lors de la réunion suivante, sûrement désireuse de le tester rapidement, l’incorrigible Olga s’empresse de «séduire» Paolo le bel italien et l’entraîne dans un bref mais jouissif ébat dans les toilettes…
Olga sera t’elle ou pas enfin récompensée de ses efforts?
Oui, aura t’elle droit au martinet ? ou à la queue d’Harold ?
A moins que ce ne soit les deux…
Didier
Il décide donc d’emmener l’insolente demoiselle acheter l’instrument de sa futur punition, un martinet.
Ne reculant toujours devant rien, Olga le choisi et a le culot de plus de le payer…
Lors de la réunion suivante, sûrement désireuse de le tester rapidement, l’incorrigible Olga s’empresse de «séduire» Paolo le bel italien et l’entraîne dans un bref mais jouissif ébat dans les toilettes…
Olga sera t’elle ou pas enfin récompensée de ses efforts?
Oui, aura t’elle droit au martinet ? ou à la queue d’Harold ?
A moins que ce ne soit les deux…
Didier