Les punitions d'Olga T. (6)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les punitions d'Olga T. (6)
Il devait lui être revenu aux oreilles, à Harold, son petit extra avec Paolo dans les toilettes. Forcément. Parce qu’il s’en parlait. Il y avait des allusions à peine voilées sur son passage. Des sourires entendus. Des propositions on ne peut plus directes. « Si t’es encore en manque, fais-moi signe ! Hésite pas ! Je sais être de bon service quand il faut… » Et pourtant, non ! Tout se passait comme s’il n’était, lui, au courant de rien. Ce qui était impossible. Complètement impossible. D’autant qu’il ne pouvait pas ne pas être à l’affût de tout ce qui la concernait. Alors à quoi il jouait ? Qu’est-ce qu’il avait comme idée derrière la tête ? Il attendait quoi ? Qu’elle s’enferre un peu plus encore ? Qu’elle en rajoute une couche ? Oh, si c’était que ça, elle pouvait faire, hein ! Elle savait faire.
Et elle a fait. Le surlendemain. Alors qu’il venait de lui octroyer l’aumône, en la croisant, d’un rapide bonjour distant, presque indifférent. Elle a fait. Il y avait trois types dehors dans la cour, un Danois, Sœren, et deux Français, Marc et Patrice, qui jetaient des coups d’œil appuyés dans sa direction. Elle est allée vers eux. Ils l’ont regardée approcher en souriant.
‒ On parlait de toi justement.
‒ En bien, j’espère…
‒ En fait ce qu’on se demandait, c’est, si tu devais choisir l’un d’entre nous, lequel ce serait.
‒ Choisir ? Pour ?
‒ Une petite chevauchée.
‒ Oh, ben, le mieux monté. Forcément ! Lequel c’est ?
Ils se sont regardés les uns les autres.
‒ Ben…
Elle a enfoncé le clou.
‒ Faudrait que vous me fassiez voir…
‒ Ici !
‒ Évidemment, ici ! Ça vous pose problème ?
Ils ont jeté de petits coups d’œil inquiets tout autour d’eux.
‒ Vous êtes pas joueurs, les garçons ! Vraiment pas. C’est décevant. Très. Bon, mais allez ! Assez perdu de temps ! Toi !
Patrice.
‒ Moi ?
Avec un sourire ravi.
‒ Ben oui, toi ! T’as un joli petit minois. Avec un peu de chance, le reste sera à l’avenant. Allez, amène-toi !
Et ils se sont engouffrés tous les deux dans l’une des petites salles du bas.
Elle n’a pas perdu de temps. Elle lui a littéralement sauté à la braguette. Elle a palpé, fouillé, dévoilé. Fait bander. Décalotté.
Et est allée se pencher, à l’équerre, sur la table la plus proche.
‒ Mets-la-moi !
Il a ri.
‒ Ah, ça urge, hein !
Elle a supplié.
‒ Discute pas ! Fonce ! Enfonce !
Mais il a pris son temps. Tout son temps. Pour lui relever la robe bien au-dessus des reins. Pour la déculotter. Pour lui palper longuement les fesses.
‒ Allez ! Fais pas chier ! Vas-y !
Mais il n’a pas voulu. Pas tout de suite.
‒ Non. C’est trop génial à contempler, un cul de petite femelle en rut. Un plaisir de fin gourmet. Alors je savoure.
‒ Salaud ! T’es rien qu’un salaud !
‒ Remue-la bien, ta croupe ! Ondule-la bien ! Oui, comme ça ! Comment elle l’implore, la queue, cette petite chatte en chaleur ! Un vrai bonheur.
Il s’est attardé à la regarder. Un temps infini.
‒ Mais viens, putain ! Viens !
Il s’y est enfin résolu. Il la lui a mise. Juste à l’entrée. Et juste le bout du bout. Avec lequel il l’a lissée.
‒ Oh, Patrice ! Oh, Patrice !
Elle s’est tendue vers lui. Offerte. Béante.
‒ Embroche-moi ! Bourre-moi !
Il s’est enfoncé en elle. Et elle l’a englouti. Dans un grand feulement de bonheur.
Il a entrepris un lent mouvement de va-et-vient.
‒ Je te baise.
‒ Oh, oui, Patrice ! Oui. Tu me mets. Tu me fous. Tu me passes dessus.
‒ En bonne petite pute que tu es.
‒ Je suis à toi. Je suis ta chose. Oh, que c’est bon !
Ses va-et-vient se sont faits plus rapides. Plus profonds.
Et elle a perdu pied.
‒ Je viens. Je vais jouir. Je jouis.
Et elle a déferlé. À grandes vagues ravageuses. À grands cris délivrés.
Il s’est répandu en elle. Sa semence. Son foutre. Sa jute. À elle. Pour elle.
Encore quelques lampées de plaisir. Qu’elle a savourées en ronronnant.
Il s’est retiré. Lui a lancé une petite claque sur les fesses.
‒ Tu me les as bien vidées. Comment ça soulage !
Elle, elle n’a pas bougé. Elle est restée là, sur la table, penchée à l’équerre. Le temps de reprendre ses esprits. De revenir à elle. Abandonnée. Satisfaite. Heureuse.
D’autres voix. Presque aussitôt.
Celle de Marc.
‒ Qu’est-ce tu lui as mis !
‒ Oui, hein ! Vous avez vu ça ?
‒ Ah, pour voir, on a vu. Aux premières loges on était.
Celle de Sœren.
‒ Elle a eu son compte, en tout cas.
Patrice a eu un petit rire.
‒ Oui, oh, alors ça, avec elle… Elle en prendrait bien encore une petite rasade, je suis sûr…
‒ Tu crois ?
Encore un rire. Des rires.
Une main s’est posée sur ses fesses. Lui a effleuré la chatte. Elle a frémi.
‒ Oh, oui, qu’elle en veut encore ! Hein, petite cochonne, que t’en veux encore ?
Une bite est venue palpiter contre sa cuisse. Bien pleine. Toute gorgée de sève. Elle s’est tendue vers elle.
‒ Non, mais regardez-moi ça ! Ah, pour en être, elle en est !
C’était Sœren. La voix de Sœren. La bite de Sœren. Qui l’a pénétrée d’un coup. Qui s’est résolument élancée à la recherche de son plaisir. Qui l’a encore fait jouir, dans un grand râle. Qui s’est répandue en elle.
‒ À mon tour !
Marc.
Qui a pris la place de Sœren. Qui s’est enfoui en elle.
‒ Tu vas couiner, ma belle ! Je peux te dire que tu vas couiner !
Elle a couiné. Elle a feulé. Elle a rugi.
Et elle a fait. Le surlendemain. Alors qu’il venait de lui octroyer l’aumône, en la croisant, d’un rapide bonjour distant, presque indifférent. Elle a fait. Il y avait trois types dehors dans la cour, un Danois, Sœren, et deux Français, Marc et Patrice, qui jetaient des coups d’œil appuyés dans sa direction. Elle est allée vers eux. Ils l’ont regardée approcher en souriant.
‒ On parlait de toi justement.
‒ En bien, j’espère…
‒ En fait ce qu’on se demandait, c’est, si tu devais choisir l’un d’entre nous, lequel ce serait.
‒ Choisir ? Pour ?
‒ Une petite chevauchée.
‒ Oh, ben, le mieux monté. Forcément ! Lequel c’est ?
Ils se sont regardés les uns les autres.
‒ Ben…
Elle a enfoncé le clou.
‒ Faudrait que vous me fassiez voir…
‒ Ici !
‒ Évidemment, ici ! Ça vous pose problème ?
Ils ont jeté de petits coups d’œil inquiets tout autour d’eux.
‒ Vous êtes pas joueurs, les garçons ! Vraiment pas. C’est décevant. Très. Bon, mais allez ! Assez perdu de temps ! Toi !
Patrice.
‒ Moi ?
Avec un sourire ravi.
‒ Ben oui, toi ! T’as un joli petit minois. Avec un peu de chance, le reste sera à l’avenant. Allez, amène-toi !
Et ils se sont engouffrés tous les deux dans l’une des petites salles du bas.
Elle n’a pas perdu de temps. Elle lui a littéralement sauté à la braguette. Elle a palpé, fouillé, dévoilé. Fait bander. Décalotté.
Et est allée se pencher, à l’équerre, sur la table la plus proche.
‒ Mets-la-moi !
Il a ri.
‒ Ah, ça urge, hein !
Elle a supplié.
‒ Discute pas ! Fonce ! Enfonce !
Mais il a pris son temps. Tout son temps. Pour lui relever la robe bien au-dessus des reins. Pour la déculotter. Pour lui palper longuement les fesses.
‒ Allez ! Fais pas chier ! Vas-y !
Mais il n’a pas voulu. Pas tout de suite.
‒ Non. C’est trop génial à contempler, un cul de petite femelle en rut. Un plaisir de fin gourmet. Alors je savoure.
‒ Salaud ! T’es rien qu’un salaud !
‒ Remue-la bien, ta croupe ! Ondule-la bien ! Oui, comme ça ! Comment elle l’implore, la queue, cette petite chatte en chaleur ! Un vrai bonheur.
Il s’est attardé à la regarder. Un temps infini.
‒ Mais viens, putain ! Viens !
Il s’y est enfin résolu. Il la lui a mise. Juste à l’entrée. Et juste le bout du bout. Avec lequel il l’a lissée.
‒ Oh, Patrice ! Oh, Patrice !
Elle s’est tendue vers lui. Offerte. Béante.
‒ Embroche-moi ! Bourre-moi !
Il s’est enfoncé en elle. Et elle l’a englouti. Dans un grand feulement de bonheur.
Il a entrepris un lent mouvement de va-et-vient.
‒ Je te baise.
‒ Oh, oui, Patrice ! Oui. Tu me mets. Tu me fous. Tu me passes dessus.
‒ En bonne petite pute que tu es.
‒ Je suis à toi. Je suis ta chose. Oh, que c’est bon !
Ses va-et-vient se sont faits plus rapides. Plus profonds.
Et elle a perdu pied.
‒ Je viens. Je vais jouir. Je jouis.
Et elle a déferlé. À grandes vagues ravageuses. À grands cris délivrés.
Il s’est répandu en elle. Sa semence. Son foutre. Sa jute. À elle. Pour elle.
Encore quelques lampées de plaisir. Qu’elle a savourées en ronronnant.
Il s’est retiré. Lui a lancé une petite claque sur les fesses.
‒ Tu me les as bien vidées. Comment ça soulage !
Elle, elle n’a pas bougé. Elle est restée là, sur la table, penchée à l’équerre. Le temps de reprendre ses esprits. De revenir à elle. Abandonnée. Satisfaite. Heureuse.
D’autres voix. Presque aussitôt.
Celle de Marc.
‒ Qu’est-ce tu lui as mis !
‒ Oui, hein ! Vous avez vu ça ?
‒ Ah, pour voir, on a vu. Aux premières loges on était.
Celle de Sœren.
‒ Elle a eu son compte, en tout cas.
Patrice a eu un petit rire.
‒ Oui, oh, alors ça, avec elle… Elle en prendrait bien encore une petite rasade, je suis sûr…
‒ Tu crois ?
Encore un rire. Des rires.
Une main s’est posée sur ses fesses. Lui a effleuré la chatte. Elle a frémi.
‒ Oh, oui, qu’elle en veut encore ! Hein, petite cochonne, que t’en veux encore ?
Une bite est venue palpiter contre sa cuisse. Bien pleine. Toute gorgée de sève. Elle s’est tendue vers elle.
‒ Non, mais regardez-moi ça ! Ah, pour en être, elle en est !
C’était Sœren. La voix de Sœren. La bite de Sœren. Qui l’a pénétrée d’un coup. Qui s’est résolument élancée à la recherche de son plaisir. Qui l’a encore fait jouir, dans un grand râle. Qui s’est répandue en elle.
‒ À mon tour !
Marc.
Qui a pris la place de Sœren. Qui s’est enfoui en elle.
‒ Tu vas couiner, ma belle ! Je peux te dire que tu vas couiner !
Elle a couiné. Elle a feulé. Elle a rugi.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Faire passer Olga d'autrice à actrice, il fallait y penser. Procédé ambitieux et reste à savoir si elle va se reconnaitre...
N'obtenant aucunes réactions d'Harold suite à sa dernière incartade, Olga toujours autant effrontée persiste et signe dans de nouvelles frasques avec trois nouveaux étalons.
Jusqu'où cette satanée Olga devra-t-elle aller pour enfin obtenir d'Harold ce qu'elle souhaite, elle espère tant...
Didier
Jusqu'où cette satanée Olga devra-t-elle aller pour enfin obtenir d'Harold ce qu'elle souhaite, elle espère tant...
Didier
On attend la réaction d'Harold. Sera-t-elle à la hauteur de la provocation?