Les récits de Sandie. N° 6. Le jeune homme timide (Nota = s'intercale après le N° 5 )
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les récits de Sandie. N° 6. Le jeune homme timide (Nota = s'intercale après le N° 5 )
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Me prostituer (suite) Le jeune homme timide.
Un jeune homme blond la vingtaine s'approchait de moi en rougissant. Il avait dû attendre d'avoir assez de courage pour m'aborder :- Je,… je peux venir avec vous ?
Je regardai Catie à la dérobée, elle me sourit.
- Oui bien sûr, je suis là pour ça. C'est cent euro pour faire l'amour avec moi. Je me mets toute nue. Et autrement je peux vous… te sucer pour trente euros et je reste habillée.
- Je pourrais vous touchez ? Vous embrassez ?
- Vous toucherez et embrasserez où vous voulez. Vous venez ?
Il semblait hésiter. Catie c'était un peu éloignée pour ne pas le gêner.
- Oui, je veux bien madame.
- Viens… suis-moi.
Je regardai Catie, et lui dis :- Appelle le, dis-lui que c'est ok.
Je pris les escaliers avec un beau jeune homme timide et rougissant. Je devinai je sentis presque son regard sur mes hanches mes fesses à ce moment. Essayait-il de regarder sous ma mini-jupe, avait-il envie de passer sa main sur mes cuisses pour toucher mes bas ? Je le regardai qui payé la chambre. Il avait un visage clair, un fin duvet au-dessus de ses lèvres que je j'aurais aimée gouter, mordre. J'étais presque sûr qu'il ne se rasait pas encore. Je pris la serviette et remerciai Gérard d'un généreux sourire et je dis à mon « client » :- Viens… c'est par ici !
Je refermai la porte sur nous deux. Il me regarda, je le trouvai beau :- Tu me donnes mon petit cadeau ?
Il rougissait je m'amusai de sa gêne, de sa timidité. Je rangeai les billets dans ma sacoche et enlevai mon blouson d'un geste lent en le regardant dans les yeux :- Déshabilles-toi.
Il commença à enlever ses vêtements en me tournant le dos. J'enlevai mes bottes puis ma jupe. Lui était torse-nu et portait encore son pantalon. Je m'approchai de lui :- Ote tes chaussures, laisses-moi faire, n'aies pas peur.
Je posai mes mains sur sa ceinture et la détachai. Il sentait bon.
Il regarda mon corps.
Il pouvait voir mes seins, mon ventre et mon sexe qui se distinguaient parfaitement sous la transparence du voile noir du body. Je déboutonnai son pantalon et fis descendre la fermeture éclair. Je touchai son torse. Il était chaud et doux. Timidement, il m’avoua :- C'est la première fois.
Je le regardai dans les yeux, sa voix était douce :- La première fois que quoi ?
- Que je fais ça.
- Que tu fais quoi ?
Je m'avançai, me collai à lui. Sa bouche, ses yeux m'attiraient, je posai mes lèvres sur les siennes. Il murmura sur mes lèvres :- Que je fais l'amour, c'est la première fois.
Je le poussai sur le lit.
Il s'allongea, je baissai et enlevai son pantalon.
Un autre boxer noir, décidément…J'embrassai son ventre son nombril et je passai ma main sur la bosse de son sexe.
Sa respiration s'accéléra. Ses yeux me regardaient, je le caressais doucement du plat de la main. Il tremblait de désirs.
Je remontai la main sur le ventre et la glissai sous le boxer. Elle était là, chaude et dure. Je me penchai pour la voir, je la dégageai de la culotte, j'ouvris la bouche pour la prendre. Il se tendait en arrière. J'enlevai entièrement son boxer.
Je ne voulais pas qu'il jouisse dans ma bouche. C’eut été trop facile.
Je montai sur lui et l'enjambai. Je me levai sur les genoux au-dessus de son ventre. Il regardait mon corps, ses mains posées sur mes hanches. Je sentis son sexe derrière moi, entre mes fesses :- Caresse moi, n'aies pas peur.
Je le regardais découvrir mon corps de ses mains de ses yeux.
Timide au début, ses mains allaient de mes cuisses au creux de mes reins.
Il pressait mes seins avec douceur, avançait la tête pour les embrasser.
Je me penchais pour l'aider.
Sa main passait entre mes cuisses et il me touchait de façon maladroite comme beaucoup de débutants :- Doucement, dégrafe le body, tu y arriveras ?
Je le regardais faire. Je croisai les bras et je relevai le body pour l'enlever par le haut. Je restai nue les cuisses écartées de part et d'autre de son torse devant lui un long moment, lui laissant le temps de me regarder, de me toucher. Il était maladroit, tantôt brusque me faisant mal, tantôt très doux...
Je dus freiner certaines de ses caresses et lui en interdire d'autres. De temps en temps je sentais son sexe entre mes fesses, comme s’il cherchait une entrée…Je me suis assise sur ses cuisses… je pris le préservatif et le déroulai le long de sa verge tendue. Relevée de nouveau au-dessus de lui, j'ai pris et dirigeai son sexe devant le mien.
Il me regardait faire me tenant par les hanches.
Doucement je me suis pénétrée.
Je regardais son visage, ses yeux. Je bougeais doucement… je contractais les muscles de mon vagin sur son membre. Il était si beau, je me penchais sur lui. Je sentis ses mains courir sur mon corps. Le plaisir qui grandissait dans son ventre fut presque perceptible à la vue. Son visage, ses yeux, les mouvements de son ventre, ses mains qui me serraient les hanches à m'en faire mal, sa respiration. Il se libéra en fermant les yeux le visage crispé comme si il souffrait… Je restai un moment au-dessus de lui le laissant reprendre son souffle.
Je le raccompagnai jusqu'à la porte du couloir où m'attendait Catie. Il pleuvait, il me regarda une dernière fois avant de disparaitre.
La pluie venait de reprendre et ne cessait de tomber. Je tendis Catie les billets que je venais de gagner :- Un puceau, c'est mon premier.
- Je me suis un peu doutée qu'il était puceau. C'est souvent que les garçons perdent leur pucelage avec nous.
- Les filles… c'est plus rare ?
Nous eûmes un éclat de rire. Elle regarda le ciel et fit la grimace :- Jean-Paul sera là dans dix minutes.
Je la regardai :- Comment te dire, je n'ai pas trop envie de… souffrir réellement.
- Ecoute Sandie cela va bien se passer. Tu n'as rien à craindre. Il va te faire peur, te donner quelques claques sur les fesses, t'attacher peut être et te prendre un peu durement.
- Je ne l'ai jamais fait comme cela.
- Tout se passera bien. Tu vas découvrir la soumission. Il en pince vraiment pour toi. Je suis sure que tu vas beaucoup aimer… et que tu en redemanderas.
Je fis la grimace, pas vraiment convaincue par les explications de Catie qui me disait d’appeler Jean-Paul « MAITRE ».
- Monte dans ma chambre et attends-nous. Je l'attends ici. Rassure toi je lui dirai de te ménager, je vais lui parler. Tu veux bien ?
- Oui Catie t’es sympa !
- Demande ma clé à Gérard et attends-nous. Dis-lui que pour ce soir c'est fini. Il pleut trop fort et plus personne ne viendra.
Je laissai Catie sous le porche et rejoignis Gérard qui me donna la clé de la chambre. Je lui dis qu'il pleuvait beaucoup et que Catie voulait rentrer… que pour ce soir c'était plus ou moins fini.
J'eus la nette impression que Catie ne désirait pas trop que j'entende la conversation à mon sujet avec Jean-Paul. J'allai dans la chambre de Catie et m'assis sur le lit en attendant qu'elle remonte. Je n’étais pas vraiment inquiète, jusqu'ici l'expérience l'aventure se déroulait relativement bien. J'en savais un peu plus en une soirée sur les hommes, leurs désirs, leurs fantasmes, leurs vices, leur façon de nous regarder, de nous désirer, de nous toucher.
J'en savais aussi beaucoup plus sur moi. Je ne me saurais jamais crue capable de telles choses. Je m'étonnais moi-même. Je repensais au début de soirée chez moi, au routier, au magrébin, le type de Toulon qui m'avait peut-être reconnu, je n'en n'étais pas vraiment sûr.
Le jeune puceau qui lui était si tendre si beau dans son innocence. Tous ces hommes qui venaient de croiser ma vie durant cette nuit. J'avais partagé avec eux des moments de tendresse, de plaisir. L'arrivée de Catie mit un terme à mes réflexions :- Il vient de téléphoner, il sera là dans cinq minutes. C'est lui qui te ramène, Alain et moi nous rentrons. Plus personne de viendra, il pleut à verse.
- Non, Catie pas chez moi ! J'ai trop peur des…- Attends, tu ne vas rien faire chez toi. Vous restez ici et il te raccompagnera après. Cela te va ?
- Oui comme cela je préfère.
- En plus il a payé entièrement ta dette, et même beaucoup plus. Tu ne dois plus rien et je lui ai demandé de te ménager. Il n'y a pas de problème, il fera très attention.
- Je ne vous dois plus rien ?
- A Alain non c'est fini. Maintenant, tu vois avec Jean-Paul. Il… il t'a achetée. Je veux dire, il a acheté ta dette. C'est pareil, tu comprends ?
- Oui, enfin non pas vraiment. Il vient quand ?
- D'un instant à l'autre, Gérard est parti, c'est lui qui raccompagne les deux filles qui tapinaient plus bas. Je l'attends aussi pour lui donner les clés et je me sauve, Alain m'attend dans la voiture. Viens, on va l'attendre en bas. Vous aurez l'hôtel pour vous deux.
- Comment ça ? Il n'y aura plus personne ?
- Vous serez que tous les deux. Il y a de grandes chances qu'il t'emmènera dans la chambre du haut. Alors ne sois pas surprise…- Quelle chambre du haut ?
- Celle qui est équipée pour les séances de sadomasochistes. Sandie… je t'ai déjà expliqué.
- Je sors ton manteau et le laisse dans la loge. Tu ne l'oublieras pas Sandie. Garde le blouson si tu veux, c'est un cadeau. La fille à qui il appartenait ne reviendra plus.
Je la suivis. Elle déposa mon manteau sur la chaise dans la loge de Gérard. Un homme montait les escaliers. Il apparut dans la lumière, mon cœur ce mit à battre plus vite. Je vis son regard en premier, ses yeux un frison parcourut mon épiderme et me donna la chair-de-poule. Grand plutôt maigre vêtu d'un costume sombre il tenait dans sa main un sac en papier. Il me regarda un court instant droit dans les yeux. J'eus subitement très froid quand Catie dit :- Tu es déjà là ? Je ne t'ai pas entendu venir.
- Oui… ils t’attendent dans la voiture juste devant. J'avais hâte de commencer le dressage de ma nouvelle… recrue. Je fermerai la porte avec la clé d'Alain, tiens je te confie les miennes.
- Jean-Paul… ferme bien à clé aussi.
- Ne t'en fais pas Catie de toute façon je suis là jusqu'à deux ou trois heures. Cela ne devrait pas prendre beaucoup plus de temps.
- Oui, je crois moi aussi… Bon j'y vais… moi, j’en ai assez pour cette nuit !
Je regardai l'heure, il n'était pas onze heures. Je devrais donc passer trois à quatre heures seule avec lui ? J'eus un moment d'inquiétude, j'essayais de ne pas le laisser paraitre. Je ne comprenais pas tout le sens des phrases qu'ils prononçaient.
- Je vous laisse les tourtereaux. Amusez-vous bien et ne faites pas trop de bruit. Au revoir Sandie et à un de ces jours… je suis sûre. Tu es très gentille et suis contente d'avoir fait ta connaissance.
- Au revoir Catie, moi aussi.
- Jean-Paul, à demain, et vas-y doucement ! Hein ? Le travail est déjà presque fait !
Catie descendait et me laissait seule dans l'immeuble avec Jean-Paul. J'entendis la porte ce refermer et quelque instant plus tard la serrure claquer dans un bruit métallique. Jean-Paul entra dans la loge et prit un verre vide qui trainait sur la table, ouvrit le sac en papier qu'il tenait, en sortit une bouteille de whisky qu'il recouvrit avec le verre. Il me regarda et me montra la bouteille :- Pour toi Sandrine, pour t'aider… et te réchauffer.
Je fronçai les sourcils, du whisky… pour m'aider à quoi ?
- C'est… vous qui allez me ramener à Toulon ?
- Maître, appelle-moi maître maintenant tu as compris ?
- -….
- Répète ta question.
- C’est pour quoi Maître ?
Son regard ne me quittait pas, le ton de sa voix avait changé. J'avais lu et vu des photos, des articles qui se rapportaient aux relations sadomasochistes consenties. Je devais baisser les yeux devant lui. Ne pas soutenir son regard. Je baissai les yeux en signe de soumission :- C'est… c'est vous maître qui allez me ramener à Toulon… ?
Je répétai ma question d'une voix plus douce. Une délicieuse boule d'angoisse et de désir prenait naissance au creux de mon estomac. Je pensai que j'allais vivre des moments d'émotions et de plaisirs encore insoupçonnés. Une suite logique à mes yeux en cet instant après tout ce que je venais de vivre. Je ne voyais pas encore le danger, le piège dans lequel je m'étais mise seule, il a une semaine de cela en téléphonant à Roger. Piège qui venait juste de se refermer sur moi en faisant un bruit métallique de serrure qu'on ferme.
- Tu ne rentreras chez toi que lorsque j'en aurai vraiment fini avec toi. Tu as compris ? Tu as compris Sandrine ?
- Oui… Maître.
Le ton de sa voix était menaçant. Il alluma les lumières de l'escalier supérieur et éteignit celles de l'escalier du bas et de la loge :- Beaucoup de choses vont changer pour toi.
Je ne comprenais pas le sens de ses paroles. Ce qu'il voulait me dire. Il continua :- Tu rentreras chez toi lorsque tu les auras acceptées pas avant. Monte ! Le dressage d'une jeune pouliche prend du temps.
L'ordre m'était donné d'un ton sec. Je pris l'escalier il me suivit. Je me retenais pour ne pas paniquer. Je ne sentais pas le froid, mais je tremblais.
- Couloir de droite, porte du fond.
Le couloir était dans la pénombre, une sorte de veilleuse jaune en était la seule source d'éclairage, disposée juste au-dessus de la porte du fond. Il éteignit la lumière de l'escalier et me rejoignait devant la porte. Il tenait la clé dans sa main. Je le regardai tourner la clé dans la serrure. La porte s'ouvrit avec un grincement qui me donna la chair de poule.
Après plusieurs heures passées dans cette chambre avec Jean-Paul, il me ramena à Tou
Me prostituer (suite) Le jeune homme timide.
Un jeune homme blond la vingtaine s'approchait de moi en rougissant. Il avait dû attendre d'avoir assez de courage pour m'aborder :- Je,… je peux venir avec vous ?
Je regardai Catie à la dérobée, elle me sourit.
- Oui bien sûr, je suis là pour ça. C'est cent euro pour faire l'amour avec moi. Je me mets toute nue. Et autrement je peux vous… te sucer pour trente euros et je reste habillée.
- Je pourrais vous touchez ? Vous embrassez ?
- Vous toucherez et embrasserez où vous voulez. Vous venez ?
Il semblait hésiter. Catie c'était un peu éloignée pour ne pas le gêner.
- Oui, je veux bien madame.
- Viens… suis-moi.
Je regardai Catie, et lui dis :- Appelle le, dis-lui que c'est ok.
Je pris les escaliers avec un beau jeune homme timide et rougissant. Je devinai je sentis presque son regard sur mes hanches mes fesses à ce moment. Essayait-il de regarder sous ma mini-jupe, avait-il envie de passer sa main sur mes cuisses pour toucher mes bas ? Je le regardai qui payé la chambre. Il avait un visage clair, un fin duvet au-dessus de ses lèvres que je j'aurais aimée gouter, mordre. J'étais presque sûr qu'il ne se rasait pas encore. Je pris la serviette et remerciai Gérard d'un généreux sourire et je dis à mon « client » :- Viens… c'est par ici !
Je refermai la porte sur nous deux. Il me regarda, je le trouvai beau :- Tu me donnes mon petit cadeau ?
Il rougissait je m'amusai de sa gêne, de sa timidité. Je rangeai les billets dans ma sacoche et enlevai mon blouson d'un geste lent en le regardant dans les yeux :- Déshabilles-toi.
Il commença à enlever ses vêtements en me tournant le dos. J'enlevai mes bottes puis ma jupe. Lui était torse-nu et portait encore son pantalon. Je m'approchai de lui :- Ote tes chaussures, laisses-moi faire, n'aies pas peur.
Je posai mes mains sur sa ceinture et la détachai. Il sentait bon.
Il regarda mon corps.
Il pouvait voir mes seins, mon ventre et mon sexe qui se distinguaient parfaitement sous la transparence du voile noir du body. Je déboutonnai son pantalon et fis descendre la fermeture éclair. Je touchai son torse. Il était chaud et doux. Timidement, il m’avoua :- C'est la première fois.
Je le regardai dans les yeux, sa voix était douce :- La première fois que quoi ?
- Que je fais ça.
- Que tu fais quoi ?
Je m'avançai, me collai à lui. Sa bouche, ses yeux m'attiraient, je posai mes lèvres sur les siennes. Il murmura sur mes lèvres :- Que je fais l'amour, c'est la première fois.
Je le poussai sur le lit.
Il s'allongea, je baissai et enlevai son pantalon.
Un autre boxer noir, décidément…J'embrassai son ventre son nombril et je passai ma main sur la bosse de son sexe.
Sa respiration s'accéléra. Ses yeux me regardaient, je le caressais doucement du plat de la main. Il tremblait de désirs.
Je remontai la main sur le ventre et la glissai sous le boxer. Elle était là, chaude et dure. Je me penchai pour la voir, je la dégageai de la culotte, j'ouvris la bouche pour la prendre. Il se tendait en arrière. J'enlevai entièrement son boxer.
Je ne voulais pas qu'il jouisse dans ma bouche. C’eut été trop facile.
Je montai sur lui et l'enjambai. Je me levai sur les genoux au-dessus de son ventre. Il regardait mon corps, ses mains posées sur mes hanches. Je sentis son sexe derrière moi, entre mes fesses :- Caresse moi, n'aies pas peur.
Je le regardais découvrir mon corps de ses mains de ses yeux.
Timide au début, ses mains allaient de mes cuisses au creux de mes reins.
Il pressait mes seins avec douceur, avançait la tête pour les embrasser.
Je me penchais pour l'aider.
Sa main passait entre mes cuisses et il me touchait de façon maladroite comme beaucoup de débutants :- Doucement, dégrafe le body, tu y arriveras ?
Je le regardais faire. Je croisai les bras et je relevai le body pour l'enlever par le haut. Je restai nue les cuisses écartées de part et d'autre de son torse devant lui un long moment, lui laissant le temps de me regarder, de me toucher. Il était maladroit, tantôt brusque me faisant mal, tantôt très doux...
Je dus freiner certaines de ses caresses et lui en interdire d'autres. De temps en temps je sentais son sexe entre mes fesses, comme s’il cherchait une entrée…Je me suis assise sur ses cuisses… je pris le préservatif et le déroulai le long de sa verge tendue. Relevée de nouveau au-dessus de lui, j'ai pris et dirigeai son sexe devant le mien.
Il me regardait faire me tenant par les hanches.
Doucement je me suis pénétrée.
Je regardais son visage, ses yeux. Je bougeais doucement… je contractais les muscles de mon vagin sur son membre. Il était si beau, je me penchais sur lui. Je sentis ses mains courir sur mon corps. Le plaisir qui grandissait dans son ventre fut presque perceptible à la vue. Son visage, ses yeux, les mouvements de son ventre, ses mains qui me serraient les hanches à m'en faire mal, sa respiration. Il se libéra en fermant les yeux le visage crispé comme si il souffrait… Je restai un moment au-dessus de lui le laissant reprendre son souffle.
Je le raccompagnai jusqu'à la porte du couloir où m'attendait Catie. Il pleuvait, il me regarda une dernière fois avant de disparaitre.
La pluie venait de reprendre et ne cessait de tomber. Je tendis Catie les billets que je venais de gagner :- Un puceau, c'est mon premier.
- Je me suis un peu doutée qu'il était puceau. C'est souvent que les garçons perdent leur pucelage avec nous.
- Les filles… c'est plus rare ?
Nous eûmes un éclat de rire. Elle regarda le ciel et fit la grimace :- Jean-Paul sera là dans dix minutes.
Je la regardai :- Comment te dire, je n'ai pas trop envie de… souffrir réellement.
- Ecoute Sandie cela va bien se passer. Tu n'as rien à craindre. Il va te faire peur, te donner quelques claques sur les fesses, t'attacher peut être et te prendre un peu durement.
- Je ne l'ai jamais fait comme cela.
- Tout se passera bien. Tu vas découvrir la soumission. Il en pince vraiment pour toi. Je suis sure que tu vas beaucoup aimer… et que tu en redemanderas.
Je fis la grimace, pas vraiment convaincue par les explications de Catie qui me disait d’appeler Jean-Paul « MAITRE ».
- Monte dans ma chambre et attends-nous. Je l'attends ici. Rassure toi je lui dirai de te ménager, je vais lui parler. Tu veux bien ?
- Oui Catie t’es sympa !
- Demande ma clé à Gérard et attends-nous. Dis-lui que pour ce soir c'est fini. Il pleut trop fort et plus personne ne viendra.
Je laissai Catie sous le porche et rejoignis Gérard qui me donna la clé de la chambre. Je lui dis qu'il pleuvait beaucoup et que Catie voulait rentrer… que pour ce soir c'était plus ou moins fini.
J'eus la nette impression que Catie ne désirait pas trop que j'entende la conversation à mon sujet avec Jean-Paul. J'allai dans la chambre de Catie et m'assis sur le lit en attendant qu'elle remonte. Je n’étais pas vraiment inquiète, jusqu'ici l'expérience l'aventure se déroulait relativement bien. J'en savais un peu plus en une soirée sur les hommes, leurs désirs, leurs fantasmes, leurs vices, leur façon de nous regarder, de nous désirer, de nous toucher.
J'en savais aussi beaucoup plus sur moi. Je ne me saurais jamais crue capable de telles choses. Je m'étonnais moi-même. Je repensais au début de soirée chez moi, au routier, au magrébin, le type de Toulon qui m'avait peut-être reconnu, je n'en n'étais pas vraiment sûr.
Le jeune puceau qui lui était si tendre si beau dans son innocence. Tous ces hommes qui venaient de croiser ma vie durant cette nuit. J'avais partagé avec eux des moments de tendresse, de plaisir. L'arrivée de Catie mit un terme à mes réflexions :- Il vient de téléphoner, il sera là dans cinq minutes. C'est lui qui te ramène, Alain et moi nous rentrons. Plus personne de viendra, il pleut à verse.
- Non, Catie pas chez moi ! J'ai trop peur des…- Attends, tu ne vas rien faire chez toi. Vous restez ici et il te raccompagnera après. Cela te va ?
- Oui comme cela je préfère.
- En plus il a payé entièrement ta dette, et même beaucoup plus. Tu ne dois plus rien et je lui ai demandé de te ménager. Il n'y a pas de problème, il fera très attention.
- Je ne vous dois plus rien ?
- A Alain non c'est fini. Maintenant, tu vois avec Jean-Paul. Il… il t'a achetée. Je veux dire, il a acheté ta dette. C'est pareil, tu comprends ?
- Oui, enfin non pas vraiment. Il vient quand ?
- D'un instant à l'autre, Gérard est parti, c'est lui qui raccompagne les deux filles qui tapinaient plus bas. Je l'attends aussi pour lui donner les clés et je me sauve, Alain m'attend dans la voiture. Viens, on va l'attendre en bas. Vous aurez l'hôtel pour vous deux.
- Comment ça ? Il n'y aura plus personne ?
- Vous serez que tous les deux. Il y a de grandes chances qu'il t'emmènera dans la chambre du haut. Alors ne sois pas surprise…- Quelle chambre du haut ?
- Celle qui est équipée pour les séances de sadomasochistes. Sandie… je t'ai déjà expliqué.
- Je sors ton manteau et le laisse dans la loge. Tu ne l'oublieras pas Sandie. Garde le blouson si tu veux, c'est un cadeau. La fille à qui il appartenait ne reviendra plus.
Je la suivis. Elle déposa mon manteau sur la chaise dans la loge de Gérard. Un homme montait les escaliers. Il apparut dans la lumière, mon cœur ce mit à battre plus vite. Je vis son regard en premier, ses yeux un frison parcourut mon épiderme et me donna la chair-de-poule. Grand plutôt maigre vêtu d'un costume sombre il tenait dans sa main un sac en papier. Il me regarda un court instant droit dans les yeux. J'eus subitement très froid quand Catie dit :- Tu es déjà là ? Je ne t'ai pas entendu venir.
- Oui… ils t’attendent dans la voiture juste devant. J'avais hâte de commencer le dressage de ma nouvelle… recrue. Je fermerai la porte avec la clé d'Alain, tiens je te confie les miennes.
- Jean-Paul… ferme bien à clé aussi.
- Ne t'en fais pas Catie de toute façon je suis là jusqu'à deux ou trois heures. Cela ne devrait pas prendre beaucoup plus de temps.
- Oui, je crois moi aussi… Bon j'y vais… moi, j’en ai assez pour cette nuit !
Je regardai l'heure, il n'était pas onze heures. Je devrais donc passer trois à quatre heures seule avec lui ? J'eus un moment d'inquiétude, j'essayais de ne pas le laisser paraitre. Je ne comprenais pas tout le sens des phrases qu'ils prononçaient.
- Je vous laisse les tourtereaux. Amusez-vous bien et ne faites pas trop de bruit. Au revoir Sandie et à un de ces jours… je suis sûre. Tu es très gentille et suis contente d'avoir fait ta connaissance.
- Au revoir Catie, moi aussi.
- Jean-Paul, à demain, et vas-y doucement ! Hein ? Le travail est déjà presque fait !
Catie descendait et me laissait seule dans l'immeuble avec Jean-Paul. J'entendis la porte ce refermer et quelque instant plus tard la serrure claquer dans un bruit métallique. Jean-Paul entra dans la loge et prit un verre vide qui trainait sur la table, ouvrit le sac en papier qu'il tenait, en sortit une bouteille de whisky qu'il recouvrit avec le verre. Il me regarda et me montra la bouteille :- Pour toi Sandrine, pour t'aider… et te réchauffer.
Je fronçai les sourcils, du whisky… pour m'aider à quoi ?
- C'est… vous qui allez me ramener à Toulon ?
- Maître, appelle-moi maître maintenant tu as compris ?
- -….
- Répète ta question.
- C’est pour quoi Maître ?
Son regard ne me quittait pas, le ton de sa voix avait changé. J'avais lu et vu des photos, des articles qui se rapportaient aux relations sadomasochistes consenties. Je devais baisser les yeux devant lui. Ne pas soutenir son regard. Je baissai les yeux en signe de soumission :- C'est… c'est vous maître qui allez me ramener à Toulon… ?
Je répétai ma question d'une voix plus douce. Une délicieuse boule d'angoisse et de désir prenait naissance au creux de mon estomac. Je pensai que j'allais vivre des moments d'émotions et de plaisirs encore insoupçonnés. Une suite logique à mes yeux en cet instant après tout ce que je venais de vivre. Je ne voyais pas encore le danger, le piège dans lequel je m'étais mise seule, il a une semaine de cela en téléphonant à Roger. Piège qui venait juste de se refermer sur moi en faisant un bruit métallique de serrure qu'on ferme.
- Tu ne rentreras chez toi que lorsque j'en aurai vraiment fini avec toi. Tu as compris ? Tu as compris Sandrine ?
- Oui… Maître.
Le ton de sa voix était menaçant. Il alluma les lumières de l'escalier supérieur et éteignit celles de l'escalier du bas et de la loge :- Beaucoup de choses vont changer pour toi.
Je ne comprenais pas le sens de ses paroles. Ce qu'il voulait me dire. Il continua :- Tu rentreras chez toi lorsque tu les auras acceptées pas avant. Monte ! Le dressage d'une jeune pouliche prend du temps.
L'ordre m'était donné d'un ton sec. Je pris l'escalier il me suivit. Je me retenais pour ne pas paniquer. Je ne sentais pas le froid, mais je tremblais.
- Couloir de droite, porte du fond.
Le couloir était dans la pénombre, une sorte de veilleuse jaune en était la seule source d'éclairage, disposée juste au-dessus de la porte du fond. Il éteignit la lumière de l'escalier et me rejoignait devant la porte. Il tenait la clé dans sa main. Je le regardai tourner la clé dans la serrure. La porte s'ouvrit avec un grincement qui me donna la chair de poule.
Après plusieurs heures passées dans cette chambre avec Jean-Paul, il me ramena à Tou
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