Les règles du jeu Ep05 Le secret
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les règles du jeu Ep05 Le secret
Les règles du jeu Ep05
Le secret
Ça n'a pas traîné, les photos étaient publiées dans la presse, pas seulement dans la revue du club mais dans la presse nationale.
Dans les vestiaire le coach, regardait les articles, me regardait et poussait un grand soupir … C'est tout ce qu'il en a dit. Mes camarades s'arrachaient les revues au sens propre comme au figuré. Ils voulaient tous, eux aussi, une séance photo.
Pendant un longtemps on ne parlait plus que ça. Après les match j'entendais des réflexions du genre.
– C'est toi le top-modèle ?
– Tu sais que tu es mignon tout nu ?
– Tu devrais faire du mannequinat tu sais ?
Et ensuit en général le mec rajoutait.
– Viens par là que je t'encule !
Et en général il m'enculait, sauf s'il n'était pas assez rapide et qu'un autre vainqueur m'enculait avant lui.
Je ne sais pas si ces photo dans la presse on joué mais j'avais comme l'impression que je plaisait de plus en plus. Après le dernier combats, la dernière défaite je veux dire … On m'a enculé trois fois ! J'en pouvais plus mais j'ai pris un pied comme jamais.
Mais il faut se dire que je commence à vraiment apprécier. Maintenant j'apprécie vraiment me faire enculer. Il parait que certains continuent à avoir un mec bien après, ils se marient font des enfant et contrairement à tout le monde ils ne prennent pas une maîtresse mais un amant.
Ou alors ils se mettent en couple comme le photographe Germain et son doudou Toby. Mais ce qui est sûr, c'est que ça laisse des traces. Devenir joueur de la boule sur glace, ça vous marque un homme.
Le secret était tenu, toujours bien tenu. Vous savez le secret, la cage, personne ne doit le savoir. Je ne sais pas pourquoi on m'avait dit que c'était un secret de polichinelle, j'avais bien l'impression que le secret était très bien tenu. Personne, non personne n'avait le moindre doute, personne n'aurait imaginé un truc pareil.
L'après tournoi se passait toujours pareil. Ce jour là, pendant un moment j'avais bien cru que nous allions gagner. Je me voyais déjà en train d'enculer le grand brun là bas. Celui qui joue les frimeur et qui a une carrure d'armoire à glace. Oui bon avec notre tenue de sport, nous avions tous une carrure d'armoire à glace.
Nous avons perdu à deux points près. À deux points près je lui défonçait le cul. À deux points près c'est lui qui me défonçait le cul. Heureusement je commençais vraiment à aimer ça.
Il m'avait repéré, il s'est approché de moi, me regardait droit dans les yeux avec son regard sombre, ses sourcils étaient très épais et lui donnaient un air grave. Il m'a pris par le bras.
– Suce moi !
C'était directe mais, nous avions perdu le match, eux, l'avait gagné. Nous garderions la cage à bite encore une fois. Eux avaient retiré la leur et cette manière directe de me faire savoir ce qu'il voulait était normal.
Qu'est-ce que vous pensez que j'ai fait ?
Je me suis mis à genoux et je l'ai sucé. C'était la première fois avec ce joueur, c'était le premier match contre cette équipe. Je l'avais remarqué déjà dans le passé, déjà j'avais eu envie de lui. Je me demandais comment il était foutu, j'avais déjà eu envie de lui. Mais jusque là, j'avais envie de l'enculer.
Ça ne se passait pas comme prévu.
Il appuyais sur ma tête, il la tirait vers lui. Je ne résistais pas, j'avalais sa queue sur toute sa longueur. Elle était de belle taille sans être anormalement grosse, bien droite et se terminait par un gros gland bien lisse et brillant.
Je me régalais, son gland s'écrasait contre le fond de ma gorge, il était doux et dur à la fois. Quand je reculais ma tête sa queue ressortait presque entièrement et j'en profitais pour la caresser, pour le masturber doucement. Je ne voulais pas qu'il éjacule trop vite.
Il laissait la place à un de ses coéquipier. J'étais accroupi et je suçais alors cette nouvelle queue qu'on me présentait. Une première fois, là encore, je ne connaissais aucun des membres de cette équipe comme je vous le disais. Lui aussi avait une belle queue, lui aussi je lui aurais bien défoncé le cul.
Décidément, là j'étais en manque et j'avais envie de jouer les actifs. Ça arrive quelquefois, puis ça passe.
Le premier joueur que j'avais sucé longuement était passé dans mon dos il glissait une main entre mes cuisse m'attrapait les couilles et tirait dessus avec une certaine force. Il m'obligeait à me relever, il me faisait même un peu mal mais ce sont là des choses qui arrivent.
Je me retrouvais relevé, penché en avant à angle droit, les cuisses écartées. J'aurais bien râlé pour qu'il me lâche les couille mais j'avais une grosse bite dans la bouche. Je tenais debout comme je pouvais. Juste en équilibre.
Un me tirait sur les couilles et je penchais en arrière, l'autre me tirais la tête et je penchais en avant sa queue s'enfonçait dans ma gorge. J'agitais les mains pour trouver un peu d'équilibre. Je ne pouvais ni repousser l'un ni m'accrocher à l'autre.
Puis sans prévenir, le gars dans mon dos me lâchait les couilles et me prenait par les hanches. Il s'était bien lubrifié la bite et me l'enfonçait directe dans le cul.
J'aurais bien crié si j'avais pu mais une grosse queue me bâillonnait et je ne pouvais pas crier.
Et les deux s'amusaient avec moi. Un me tirait vers lui, sa queue s'enfonçait dans ma gorge et c'est la queue de l'autre qui ressortait, puis c'était le contraire.
C'était bon, vraiment bon, c'était un peu violent. Si l'un s'amusait à m'écraser le ne nez sur son ventre, l'autre faisait claquer son ventre sur mes fesses à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi.
C'était inévitable un des deux devait jouir. La dernière fois qu'ils s'étaient vidé les couilles, c'était la dernière fois qu'ils avaient gagné un match. Ça faisait peut être plusieurs semaines, même s'ils gagnaient plus souvent que nous.
C'est vrai que mon équipe était la plus nulle.
Il s'est bien vidé les couilles le gars, j'en avais plein la bouche. J'ai tout avalé pendant que l'autre continuait à me limer le cul et faire claquer son ventre sur mes fesses.
Là enfin je râlais. Je râlais de plaisir et j'en redemandais. Finalement ce n'était pas non plus désagréable de perdre. Mais si on pouvait gagner un peu plus souvent, ce ne serait pas mal non plus.
Il me retenait avec force, sa queue s'enfonçait bien à fond et ressortait puis recommençait. Il ressortait sa queue complètement par moment, glissait un ou deux doigts pour s'assurer que tout allait bien pour moi, ou juste comme ça, pour le plaisir puis, il revenait avec force.
En un coup violent il s'enfonçait entièrement, il faisait claquer son ventre sur mes fesses avec force. Il ne se retenait plus. Autour de nous, tous les autres faisaient pareil. Certains se défoulaient sur le cul des autres ou encaissaient comme ils pouvaient.
Tout le monde avait l'habitude de ce genre de situation. Dans mon équipe les joueurs étaient surtout habitués à s'en prendre plein le cul, même si quelquefois quand on arrivait à gagner un match … Enfin, ça c'était rare …
Un gars de l'autre équipe me repérait, et venait vers moi. Il posait sa main sur ma nuque, appuyait et m'obligeait à avaler sa queue bien à fond. Je n'ai pas résisté du tout, j'ai pris sa queue dans la bouche. Il était plus petit que le précédent mais j'ai bien aimé.
Sa queue entrait dans ma bouche sans résistance, je pouvais l'avaler presque sans effort. Il y allait fort lui, il me tirait bien contre lui. Je lui caressais la queue avec ma langue, son gland glissait sur ma langue. La queue de l'autre glissait dans mon cul. Le plaisir montait.
Je respirais fort, j'avais du mal à avaler ma salive mais je tenais bien le coup. C'était presque une question d'honneur, il fallait être bon perdant. On n'avait pas le choix. Bon gagnant c'est mieux mais pour nous c'était tellement rare …
L'un jutais dans ma bouche, j'avalais, l'autre jutais dans mon cul. Il a crié de plaisir, J'aurais bien crié moi aussi mais à ce moment j'avais la bouche pleine. Et à ce moment j'avalais quelque chose en plus.
La fin de la soirée s'approchait, la tension sexuelle retombait. Tout le monde avait pris son plaisir, d'autres l'avaient subis mais bon, ce sont là les règles du jeux.
On passait tous sous nos douches respectives. Les vainqueurs remettaient leur dispositifs de chasteté, et les perdants … C'est vrai que eux l'avaient gardé.
Nous étions habillé et présentables quand le coach arrivait, il avait l'ait énervé.
– Notre secret est divulgué ! S'écriait-il.
– C'est pas moi je le jure ! M'exclamais-je par réaction réflexe.
Tous les regards se portaient vers moi.
– Mais qui parle de toi Paillasson ? Non, c'est l'équipe du Coinpaumé. Un de leur joueur à posé pour une revue mais lui à posé entièrement nu sans rien cacher.
Il avait une revue dans les mains ouverte à la page centrale. Il n'a fallu que quelques secondes pour que la revue passe entre nos mains. Et en effet sur la page centrale on pouvait contempler dans le plus simple appareil le joueur en question. Sur les pages suivantes il y avait d'autres photos ou il était entièrement nu aussi.
Suivait un interview ou il racontait tout, nos coutumes très viriles.
– Elle gagne souvent cette équipe ? Demandais-je bêtement.
– Pas plus que nous. Me répondait-on.
– Ils sont aussi nuls que nous.
– Ah non, ils ont gagné deux parties pendant la saison dernière .
– Ils sont comme nous quoi ! Répondais-je.
– Pas vraiment, la dernière partie qu'on a gagné était la première depuis trois saisons …
– La fédération ne va pas apprécier ! Déclarait alors le coach.
En effet, le lendemain la fédération donnait ses consignes. Il nous était formellement interdit de répondre à un journaliste.
Ce n'était pas la bonne solution, une telle réaction augmentait la curiosité des journalistes qui se demandaient comment les joueurs d'un sport aussi ' viril ' pouvaient porter un dispositif de chasteté.
On était harcelé et rapidement un malaise s'installait. Quand un journaliste m'a posé la question, je ne savais pas quoi répondre mais je m'en sortais par une pirouette.
– Est-il vrai Paillasson que vous portez vous aussi un dispositif de chasteté ?
– Et vous pensez vraiment que j'en porte un ?
Ma réponse l'a un peu surpris et l'a calmé mais pas bien longtemps …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le secret
Ça n'a pas traîné, les photos étaient publiées dans la presse, pas seulement dans la revue du club mais dans la presse nationale.
Dans les vestiaire le coach, regardait les articles, me regardait et poussait un grand soupir … C'est tout ce qu'il en a dit. Mes camarades s'arrachaient les revues au sens propre comme au figuré. Ils voulaient tous, eux aussi, une séance photo.
Pendant un longtemps on ne parlait plus que ça. Après les match j'entendais des réflexions du genre.
– C'est toi le top-modèle ?
– Tu sais que tu es mignon tout nu ?
– Tu devrais faire du mannequinat tu sais ?
Et ensuit en général le mec rajoutait.
– Viens par là que je t'encule !
Et en général il m'enculait, sauf s'il n'était pas assez rapide et qu'un autre vainqueur m'enculait avant lui.
Je ne sais pas si ces photo dans la presse on joué mais j'avais comme l'impression que je plaisait de plus en plus. Après le dernier combats, la dernière défaite je veux dire … On m'a enculé trois fois ! J'en pouvais plus mais j'ai pris un pied comme jamais.
Mais il faut se dire que je commence à vraiment apprécier. Maintenant j'apprécie vraiment me faire enculer. Il parait que certains continuent à avoir un mec bien après, ils se marient font des enfant et contrairement à tout le monde ils ne prennent pas une maîtresse mais un amant.
Ou alors ils se mettent en couple comme le photographe Germain et son doudou Toby. Mais ce qui est sûr, c'est que ça laisse des traces. Devenir joueur de la boule sur glace, ça vous marque un homme.
Le secret était tenu, toujours bien tenu. Vous savez le secret, la cage, personne ne doit le savoir. Je ne sais pas pourquoi on m'avait dit que c'était un secret de polichinelle, j'avais bien l'impression que le secret était très bien tenu. Personne, non personne n'avait le moindre doute, personne n'aurait imaginé un truc pareil.
L'après tournoi se passait toujours pareil. Ce jour là, pendant un moment j'avais bien cru que nous allions gagner. Je me voyais déjà en train d'enculer le grand brun là bas. Celui qui joue les frimeur et qui a une carrure d'armoire à glace. Oui bon avec notre tenue de sport, nous avions tous une carrure d'armoire à glace.
Nous avons perdu à deux points près. À deux points près je lui défonçait le cul. À deux points près c'est lui qui me défonçait le cul. Heureusement je commençais vraiment à aimer ça.
Il m'avait repéré, il s'est approché de moi, me regardait droit dans les yeux avec son regard sombre, ses sourcils étaient très épais et lui donnaient un air grave. Il m'a pris par le bras.
– Suce moi !
C'était directe mais, nous avions perdu le match, eux, l'avait gagné. Nous garderions la cage à bite encore une fois. Eux avaient retiré la leur et cette manière directe de me faire savoir ce qu'il voulait était normal.
Qu'est-ce que vous pensez que j'ai fait ?
Je me suis mis à genoux et je l'ai sucé. C'était la première fois avec ce joueur, c'était le premier match contre cette équipe. Je l'avais remarqué déjà dans le passé, déjà j'avais eu envie de lui. Je me demandais comment il était foutu, j'avais déjà eu envie de lui. Mais jusque là, j'avais envie de l'enculer.
Ça ne se passait pas comme prévu.
Il appuyais sur ma tête, il la tirait vers lui. Je ne résistais pas, j'avalais sa queue sur toute sa longueur. Elle était de belle taille sans être anormalement grosse, bien droite et se terminait par un gros gland bien lisse et brillant.
Je me régalais, son gland s'écrasait contre le fond de ma gorge, il était doux et dur à la fois. Quand je reculais ma tête sa queue ressortait presque entièrement et j'en profitais pour la caresser, pour le masturber doucement. Je ne voulais pas qu'il éjacule trop vite.
Il laissait la place à un de ses coéquipier. J'étais accroupi et je suçais alors cette nouvelle queue qu'on me présentait. Une première fois, là encore, je ne connaissais aucun des membres de cette équipe comme je vous le disais. Lui aussi avait une belle queue, lui aussi je lui aurais bien défoncé le cul.
Décidément, là j'étais en manque et j'avais envie de jouer les actifs. Ça arrive quelquefois, puis ça passe.
Le premier joueur que j'avais sucé longuement était passé dans mon dos il glissait une main entre mes cuisse m'attrapait les couilles et tirait dessus avec une certaine force. Il m'obligeait à me relever, il me faisait même un peu mal mais ce sont là des choses qui arrivent.
Je me retrouvais relevé, penché en avant à angle droit, les cuisses écartées. J'aurais bien râlé pour qu'il me lâche les couille mais j'avais une grosse bite dans la bouche. Je tenais debout comme je pouvais. Juste en équilibre.
Un me tirait sur les couilles et je penchais en arrière, l'autre me tirais la tête et je penchais en avant sa queue s'enfonçait dans ma gorge. J'agitais les mains pour trouver un peu d'équilibre. Je ne pouvais ni repousser l'un ni m'accrocher à l'autre.
Puis sans prévenir, le gars dans mon dos me lâchait les couilles et me prenait par les hanches. Il s'était bien lubrifié la bite et me l'enfonçait directe dans le cul.
J'aurais bien crié si j'avais pu mais une grosse queue me bâillonnait et je ne pouvais pas crier.
Et les deux s'amusaient avec moi. Un me tirait vers lui, sa queue s'enfonçait dans ma gorge et c'est la queue de l'autre qui ressortait, puis c'était le contraire.
C'était bon, vraiment bon, c'était un peu violent. Si l'un s'amusait à m'écraser le ne nez sur son ventre, l'autre faisait claquer son ventre sur mes fesses à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi.
C'était inévitable un des deux devait jouir. La dernière fois qu'ils s'étaient vidé les couilles, c'était la dernière fois qu'ils avaient gagné un match. Ça faisait peut être plusieurs semaines, même s'ils gagnaient plus souvent que nous.
C'est vrai que mon équipe était la plus nulle.
Il s'est bien vidé les couilles le gars, j'en avais plein la bouche. J'ai tout avalé pendant que l'autre continuait à me limer le cul et faire claquer son ventre sur mes fesses.
Là enfin je râlais. Je râlais de plaisir et j'en redemandais. Finalement ce n'était pas non plus désagréable de perdre. Mais si on pouvait gagner un peu plus souvent, ce ne serait pas mal non plus.
Il me retenait avec force, sa queue s'enfonçait bien à fond et ressortait puis recommençait. Il ressortait sa queue complètement par moment, glissait un ou deux doigts pour s'assurer que tout allait bien pour moi, ou juste comme ça, pour le plaisir puis, il revenait avec force.
En un coup violent il s'enfonçait entièrement, il faisait claquer son ventre sur mes fesses avec force. Il ne se retenait plus. Autour de nous, tous les autres faisaient pareil. Certains se défoulaient sur le cul des autres ou encaissaient comme ils pouvaient.
Tout le monde avait l'habitude de ce genre de situation. Dans mon équipe les joueurs étaient surtout habitués à s'en prendre plein le cul, même si quelquefois quand on arrivait à gagner un match … Enfin, ça c'était rare …
Un gars de l'autre équipe me repérait, et venait vers moi. Il posait sa main sur ma nuque, appuyait et m'obligeait à avaler sa queue bien à fond. Je n'ai pas résisté du tout, j'ai pris sa queue dans la bouche. Il était plus petit que le précédent mais j'ai bien aimé.
Sa queue entrait dans ma bouche sans résistance, je pouvais l'avaler presque sans effort. Il y allait fort lui, il me tirait bien contre lui. Je lui caressais la queue avec ma langue, son gland glissait sur ma langue. La queue de l'autre glissait dans mon cul. Le plaisir montait.
Je respirais fort, j'avais du mal à avaler ma salive mais je tenais bien le coup. C'était presque une question d'honneur, il fallait être bon perdant. On n'avait pas le choix. Bon gagnant c'est mieux mais pour nous c'était tellement rare …
L'un jutais dans ma bouche, j'avalais, l'autre jutais dans mon cul. Il a crié de plaisir, J'aurais bien crié moi aussi mais à ce moment j'avais la bouche pleine. Et à ce moment j'avalais quelque chose en plus.
La fin de la soirée s'approchait, la tension sexuelle retombait. Tout le monde avait pris son plaisir, d'autres l'avaient subis mais bon, ce sont là les règles du jeux.
On passait tous sous nos douches respectives. Les vainqueurs remettaient leur dispositifs de chasteté, et les perdants … C'est vrai que eux l'avaient gardé.
Nous étions habillé et présentables quand le coach arrivait, il avait l'ait énervé.
– Notre secret est divulgué ! S'écriait-il.
– C'est pas moi je le jure ! M'exclamais-je par réaction réflexe.
Tous les regards se portaient vers moi.
– Mais qui parle de toi Paillasson ? Non, c'est l'équipe du Coinpaumé. Un de leur joueur à posé pour une revue mais lui à posé entièrement nu sans rien cacher.
Il avait une revue dans les mains ouverte à la page centrale. Il n'a fallu que quelques secondes pour que la revue passe entre nos mains. Et en effet sur la page centrale on pouvait contempler dans le plus simple appareil le joueur en question. Sur les pages suivantes il y avait d'autres photos ou il était entièrement nu aussi.
Suivait un interview ou il racontait tout, nos coutumes très viriles.
– Elle gagne souvent cette équipe ? Demandais-je bêtement.
– Pas plus que nous. Me répondait-on.
– Ils sont aussi nuls que nous.
– Ah non, ils ont gagné deux parties pendant la saison dernière .
– Ils sont comme nous quoi ! Répondais-je.
– Pas vraiment, la dernière partie qu'on a gagné était la première depuis trois saisons …
– La fédération ne va pas apprécier ! Déclarait alors le coach.
En effet, le lendemain la fédération donnait ses consignes. Il nous était formellement interdit de répondre à un journaliste.
Ce n'était pas la bonne solution, une telle réaction augmentait la curiosité des journalistes qui se demandaient comment les joueurs d'un sport aussi ' viril ' pouvaient porter un dispositif de chasteté.
On était harcelé et rapidement un malaise s'installait. Quand un journaliste m'a posé la question, je ne savais pas quoi répondre mais je m'en sortais par une pirouette.
– Est-il vrai Paillasson que vous portez vous aussi un dispositif de chasteté ?
– Et vous pensez vraiment que j'en porte un ?
Ma réponse l'a un peu surpris et l'a calmé mais pas bien longtemps …
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