Les règles du jeu Ep06 Le secret révélé
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les règles du jeu Ep06 Le secret révélé
Les règles du jeu Ep06
Le secret révélé
Tout le monde à pris cette information comme une catastrophe? On avait toujours pensé que nos petites traditions devaient rester entre nous. Et là, le public savait tout.
Depuis des siècles le système fonctionnait comme ça ! Enfin quand je dis des siècles, disons … Deux générations, pas plus. En fait, c'était une idée assez moderne.
Les différentes fédérations organisaient une grande réunion, une partie était semi publique, l'autre était réservés aux représentants de chaque équipe. Je me rendais compte à la partie publique, pour savoir ce qui serait décidé. Attention quand je dis publique, seuls les joueurs et membres d'une équipe était autorisée à entrer.
Les journalistes installaient un siège autour du salon des congrès ou s'organisait cette grande réunion. On débattait, on parlait fort, on se disputait, et finalement on votait .
J'étais nouveau dans le milieu, je n'arrivais pas à tout comprendre.
On votait l'expulsion du traître, celui qui avait fuité. Il y avait des cris, des hurlement mais rien n'arrêtait les débats. On votait la levé du secret, cette décision était suivie d'un grand silence.
Tout le monde saurait que … Moi par exemple je me fait enculer au moins une fois après chaque match et tout le monde le saurait, jusque là personne n'était au courant. Maintenant tout le monde saurait que les perdant se faisait défoncer le cul …
J'espérais seulement que personne n'allait nous trouver des surnoms désobligeants. Paillasson, c'était bien suffisant pour moi !
Il y avait déjà dans ce jeux un peu de mépris pour les perdants de la part des spectateurs. Un mépris qui s'amusait de les voir se faire marcher dessus. Quand les spectateurs on appris que les perdants se faisait défoncer le cul, ils ont adoré l'idée.
Personne n'y aurait cru mais, en fait ça les faisait rigoler de voir ces mecs virils, prendre des coups, se faire marcher dessus, et savoir que ensuite ils se faisaient enculer … Bon d'accord ils ne le voyaient pas mais certains le demandait, une transmission télé par exemple.
Je me souviens de tous ces admirateurs qui venaient me soutenir dans les matchs qui suivaient. Certains me gueulaient .
' Paillasson je t'encule quand tu veux ! '
C'était mignon, si si, c'est vrai le ton n'était pas méchant, un peu moqueur peut être mais c'était mignon. Il n'y avait pas de mauvaise intention, c'était juste une invitation et quelquefois le mec qui me gueulait ça était très attirant.
Cette dernière partie de la saison s'était bien passée. Nous l'avions gagné. On était les premiers surpris. Il faut bien se dire qu'on n'avait pas l'habitude. L'autre équipe avait sans doute eu des problème, c'est vrai qu'ils avaient changé d'entraîneur mais bon moi j'étais content. C'est pas que j'aime pas me faire défoncer le cul mais changer de position de temps, en temps c'est bien aussi.
On ressortait excité comme des fous, certains avaient pris quelques stimulants … Oui je sais c'est pas loyal mais comme ça faisait des mois qu'on était enfermé dans des cages minuscules, presque microscopique ( bon là je sais j'exagère ) enfin des de petites cages. Et on perd souvent le réflexe d'érection.
Oh je vous rassure ça ne dure pas dans le temps, en quelques jours tout redevient normal mais là, justement, ces quelques jours on ne les avaient pas. On n'avait que la soirée. Donc quelques uns prenaient un stimulant. Enfin une bonne partie de l'équipe en avait pris.
Bon d'accord on en avait tous pris !
C'était la première fois que je prenais un truc comme ça et je ne vous dis pas mais ça marchait terrible. On sortait tous des douches comme des furieux. Les autre n'avait qu'à s'inquiéter pour leur cul !
De toutes façons, quand ils gagnent, ils font pareil !
On s'en prends toujours plein le cul, là ce serait leur tour. C'est vrai que ça ne nous arrivait pas souvent de gagner. Notre équipe était nulle !
J'agrippais le premier mec que je rencontrais sur mon chemin.
– Suce ? Lui ordonnais-je.
Puis je le reconnaissais, il m'avait enculé la dernière fois, et il est bien monté, là il faisait pitié avec sa cage à bite. Ça m'excitait de plus en plus cette affaire.
Le gars n'hésitait pas il connaissait les règles, il s'accroupissait devant moi puis me suçais la queue. Je bandais ferme, j'en revenais pas. Mon cœur battait fort. Je ne perdais pas de temps, j'appuyais sur sa tête pour qu'il prenne bien ma queue en entier tout de suite.
Vous savez on a le droit d'abuser, ça fait partie des règles et quand on perd, les autres ne s'en privent pas.
J'appuyais avec force sur sa tête, ma queue entrait et se faisait chatouiller par sa glotte. C'était bon, terriblement bon. C'était sans doute le manque qui me fait dire ça. Ça faisait des mois que je n'avais pas joui, et j'avais bien l'intention d'en profiter.
Je lui limais la bouche sans me retenir, je le voyais il fermait les yeux, il faisait une grimace, il pleurait. Mais là ne vous détrompez pas, il ne faut pas se laisser piéger par un peu trop de sensiblerie. Il m'avait marché dessus trois fois pendant ce match.
Puis brusquement je me retirais de sa bouche.
– Debout, retourne toi, penche toi en avant !
Il obtempérait, il connaissait les règles, il avait peut être pris un stimulant lui aussi. Je refermais mes bras autour de lui, lui tripotait un peu les couilles, il y avait de la pression dans sa cage. Ses couilles étaient bien fermes et formaient une grosse boule. Pendant quelques instants je la malaxais avec fermeté, il finissait par repousser ma main en gémissant.
C'est à ce moment que j'ai poussé mon bassin en avant. Ma bite est rentrée sans difficulté. Ça c'est un truc, quand on sait qu'on va se faire défoncer on se prépare, on se lubrifie et plus même. Comme ça, ça passe tout seul sans faire trop mal.
Je l'ai senti se crisper. Je l'ai entendu gémir, un long gémissement qui ne pouvait être que du plaisir. J'ai alors donné un violent coup de bassin, mon ventre à claqué contre ses fesses et il a poussé un cri de plaisir, ou alors c'était peut être le gars à côté qui gémissait de plaisir. Lui il se prenait une grosse queue, une très grosse queue, bien plus grosse que la mienne. Il devait apprécier ! Un court moment j'ai pensé à moi, je me suis vu à sa place.
Décidément j'aime vraiment bien me faire défoncer le cul ! Mais bon, je chassait cette idée de ma pensée. Je me ferais défoncer une autre fois.
Je me ressaisissais et je le limais sans retenue. Mes mouvements devenaient réguliers, fluides, rapide. J'accélérais ou je ralentissais, je changeais de rythme, il encaissait.
Vous devez vous imaginer que si nous avions gagné alors que étions parmi les plus mauvaises équipes, c'est que l'autre équipe n'était pas des meilleur non plus. Ils avaient tous l'habitude de se faire défoncer le cul après la partie. Le gars que je limait avec délectation avait donc l'habitude.
Le plaisir montait, brusquement le plaisir montait vite, je ne contrôlais plus rien et j'ai joui, j'ai éjaculé et j'ai joui comme jamais.
Ce plaisir devenu rare était intense, particulièrement violant. J'ai crié de plaisir, et j'étais pas le seul. Je me retirait, j'ai vu qu'un de mes camarades attrapait le gars et l'enculait à son tour. La fête continuait.
J'avalais une petite bière, puis j'y retournais.
Je trouvais rapidement un petit gars, lui aussi je le reconnaissais, il m'avait déjà enculé. Il était là à genoux en train de sucer un de mes camarades. J'ai rien demandé à personne, je ne débandais toujours pas, je me suis rapproché et je lui ai défoncé le cul.
J'y suis allé directe, il a réagi, il a voulu m'écarter avec sa main, je lui ai saisi sa main et j'ai poussé de toutes mes forces ma queue dans son cul. Il n'a pas râlé, pas gueulé, il n'a rien dit … C'est vrai qu'il avait déjà la queue de mon pote dans la bouche …
Alors je l'ai limé avec force, il aimait, je savais qu'il aimait aussi je limais.
Je suis passé dans la gorge d'une autre garçon, puis dans son cul puis un autre. Je ne sais pas ce que c'était le truc, le stimulant qu'on nous avait donné mais il était efficace. On bandait sans difficulté toute la soirée, pendant plus de deux heures, on s'amusait, on marquait des points, on pétait des culs.
Puis la fatigue se faisait sentir, un à un on commençait à débander, j'avais éjaculé plus de cinq fois. Je me sentais vidé, je me sentais bien, épuisé mais bien.
L'ambiance retombait doucement. On passait sous la douche, chacun la sienne. C'était bien des douches communes mais on ne mélangeait pas les équipe. Ça on venait de le faire, on se rhabillait, mais il n'y avait plus d'ambiance, tout le monde était calme. On retrouvait nos cages.
On retrouvait nos habitudes, on passait tous devant le coach, il avait déjà refermé sa cage, il s'assurait qu'on serait bien verrouillé. Il faisait preuve de zèle le coach.
Puis on restait encore un moment à discuter de la victoire, du match.
– Vous savez les gars, j'aimerais bien pouvoir tirer mon coup plus souvent moi !
Il était comme nous, il portait un dispositif et tout comme nous, il ne pouvait le retirer qu'en cas de victoire.
– Tu n'as qu'à mieux nous entraîner coach ! Répondait un d'entre nous, les autres rigolaient.
– Vous seriez moins nul aussi, que voulez vous que je fasse avec vous ?
Suivait une séance ou il nous faisait la morale.
En l'écoutant d'une oreille, on se rhabillait. Nos gestes semblaient plus lents, la fatigue sans doutes ou le stimulant. C'était une douce torpeur qui nous prenait, on se sentait bien.
On sortait.
– Eh ! Paillasson ! Me criait un gars que je ne connaissait pas.
Je me retournais, il me semblait l'avoir vu plus tôt au premier rang. Je lui souriais, je pensais qu'il voulait un autographe.
– Tu veux que je te raccompagne ? Me proposait-il.
Je le regardais de la tête aux pieds, il était grand, large, musclé et surtout présentait une belle forme arrondie entre ses cuisse, une belle bosse qui semblait prometteuse ?
J'ai brusquement senti ma queue protester, elle tentait de se relever, elle en voulait encore. Rien ne pouvait se voir, la cage dissimulait tout.
Je faisais oui de la tête.
Une demie heure plus tard on était chez moi.
– Tu m'invites à un dernier verre … ? Me demandait-il.
– Une petite bière ? Lui proposais-je.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le secret révélé
Tout le monde à pris cette information comme une catastrophe? On avait toujours pensé que nos petites traditions devaient rester entre nous. Et là, le public savait tout.
Depuis des siècles le système fonctionnait comme ça ! Enfin quand je dis des siècles, disons … Deux générations, pas plus. En fait, c'était une idée assez moderne.
Les différentes fédérations organisaient une grande réunion, une partie était semi publique, l'autre était réservés aux représentants de chaque équipe. Je me rendais compte à la partie publique, pour savoir ce qui serait décidé. Attention quand je dis publique, seuls les joueurs et membres d'une équipe était autorisée à entrer.
Les journalistes installaient un siège autour du salon des congrès ou s'organisait cette grande réunion. On débattait, on parlait fort, on se disputait, et finalement on votait .
J'étais nouveau dans le milieu, je n'arrivais pas à tout comprendre.
On votait l'expulsion du traître, celui qui avait fuité. Il y avait des cris, des hurlement mais rien n'arrêtait les débats. On votait la levé du secret, cette décision était suivie d'un grand silence.
Tout le monde saurait que … Moi par exemple je me fait enculer au moins une fois après chaque match et tout le monde le saurait, jusque là personne n'était au courant. Maintenant tout le monde saurait que les perdant se faisait défoncer le cul …
J'espérais seulement que personne n'allait nous trouver des surnoms désobligeants. Paillasson, c'était bien suffisant pour moi !
Il y avait déjà dans ce jeux un peu de mépris pour les perdants de la part des spectateurs. Un mépris qui s'amusait de les voir se faire marcher dessus. Quand les spectateurs on appris que les perdants se faisait défoncer le cul, ils ont adoré l'idée.
Personne n'y aurait cru mais, en fait ça les faisait rigoler de voir ces mecs virils, prendre des coups, se faire marcher dessus, et savoir que ensuite ils se faisaient enculer … Bon d'accord ils ne le voyaient pas mais certains le demandait, une transmission télé par exemple.
Je me souviens de tous ces admirateurs qui venaient me soutenir dans les matchs qui suivaient. Certains me gueulaient .
' Paillasson je t'encule quand tu veux ! '
C'était mignon, si si, c'est vrai le ton n'était pas méchant, un peu moqueur peut être mais c'était mignon. Il n'y avait pas de mauvaise intention, c'était juste une invitation et quelquefois le mec qui me gueulait ça était très attirant.
Cette dernière partie de la saison s'était bien passée. Nous l'avions gagné. On était les premiers surpris. Il faut bien se dire qu'on n'avait pas l'habitude. L'autre équipe avait sans doute eu des problème, c'est vrai qu'ils avaient changé d'entraîneur mais bon moi j'étais content. C'est pas que j'aime pas me faire défoncer le cul mais changer de position de temps, en temps c'est bien aussi.
On ressortait excité comme des fous, certains avaient pris quelques stimulants … Oui je sais c'est pas loyal mais comme ça faisait des mois qu'on était enfermé dans des cages minuscules, presque microscopique ( bon là je sais j'exagère ) enfin des de petites cages. Et on perd souvent le réflexe d'érection.
Oh je vous rassure ça ne dure pas dans le temps, en quelques jours tout redevient normal mais là, justement, ces quelques jours on ne les avaient pas. On n'avait que la soirée. Donc quelques uns prenaient un stimulant. Enfin une bonne partie de l'équipe en avait pris.
Bon d'accord on en avait tous pris !
C'était la première fois que je prenais un truc comme ça et je ne vous dis pas mais ça marchait terrible. On sortait tous des douches comme des furieux. Les autre n'avait qu'à s'inquiéter pour leur cul !
De toutes façons, quand ils gagnent, ils font pareil !
On s'en prends toujours plein le cul, là ce serait leur tour. C'est vrai que ça ne nous arrivait pas souvent de gagner. Notre équipe était nulle !
J'agrippais le premier mec que je rencontrais sur mon chemin.
– Suce ? Lui ordonnais-je.
Puis je le reconnaissais, il m'avait enculé la dernière fois, et il est bien monté, là il faisait pitié avec sa cage à bite. Ça m'excitait de plus en plus cette affaire.
Le gars n'hésitait pas il connaissait les règles, il s'accroupissait devant moi puis me suçais la queue. Je bandais ferme, j'en revenais pas. Mon cœur battait fort. Je ne perdais pas de temps, j'appuyais sur sa tête pour qu'il prenne bien ma queue en entier tout de suite.
Vous savez on a le droit d'abuser, ça fait partie des règles et quand on perd, les autres ne s'en privent pas.
J'appuyais avec force sur sa tête, ma queue entrait et se faisait chatouiller par sa glotte. C'était bon, terriblement bon. C'était sans doute le manque qui me fait dire ça. Ça faisait des mois que je n'avais pas joui, et j'avais bien l'intention d'en profiter.
Je lui limais la bouche sans me retenir, je le voyais il fermait les yeux, il faisait une grimace, il pleurait. Mais là ne vous détrompez pas, il ne faut pas se laisser piéger par un peu trop de sensiblerie. Il m'avait marché dessus trois fois pendant ce match.
Puis brusquement je me retirais de sa bouche.
– Debout, retourne toi, penche toi en avant !
Il obtempérait, il connaissait les règles, il avait peut être pris un stimulant lui aussi. Je refermais mes bras autour de lui, lui tripotait un peu les couilles, il y avait de la pression dans sa cage. Ses couilles étaient bien fermes et formaient une grosse boule. Pendant quelques instants je la malaxais avec fermeté, il finissait par repousser ma main en gémissant.
C'est à ce moment que j'ai poussé mon bassin en avant. Ma bite est rentrée sans difficulté. Ça c'est un truc, quand on sait qu'on va se faire défoncer on se prépare, on se lubrifie et plus même. Comme ça, ça passe tout seul sans faire trop mal.
Je l'ai senti se crisper. Je l'ai entendu gémir, un long gémissement qui ne pouvait être que du plaisir. J'ai alors donné un violent coup de bassin, mon ventre à claqué contre ses fesses et il a poussé un cri de plaisir, ou alors c'était peut être le gars à côté qui gémissait de plaisir. Lui il se prenait une grosse queue, une très grosse queue, bien plus grosse que la mienne. Il devait apprécier ! Un court moment j'ai pensé à moi, je me suis vu à sa place.
Décidément j'aime vraiment bien me faire défoncer le cul ! Mais bon, je chassait cette idée de ma pensée. Je me ferais défoncer une autre fois.
Je me ressaisissais et je le limais sans retenue. Mes mouvements devenaient réguliers, fluides, rapide. J'accélérais ou je ralentissais, je changeais de rythme, il encaissait.
Vous devez vous imaginer que si nous avions gagné alors que étions parmi les plus mauvaises équipes, c'est que l'autre équipe n'était pas des meilleur non plus. Ils avaient tous l'habitude de se faire défoncer le cul après la partie. Le gars que je limait avec délectation avait donc l'habitude.
Le plaisir montait, brusquement le plaisir montait vite, je ne contrôlais plus rien et j'ai joui, j'ai éjaculé et j'ai joui comme jamais.
Ce plaisir devenu rare était intense, particulièrement violant. J'ai crié de plaisir, et j'étais pas le seul. Je me retirait, j'ai vu qu'un de mes camarades attrapait le gars et l'enculait à son tour. La fête continuait.
J'avalais une petite bière, puis j'y retournais.
Je trouvais rapidement un petit gars, lui aussi je le reconnaissais, il m'avait déjà enculé. Il était là à genoux en train de sucer un de mes camarades. J'ai rien demandé à personne, je ne débandais toujours pas, je me suis rapproché et je lui ai défoncé le cul.
J'y suis allé directe, il a réagi, il a voulu m'écarter avec sa main, je lui ai saisi sa main et j'ai poussé de toutes mes forces ma queue dans son cul. Il n'a pas râlé, pas gueulé, il n'a rien dit … C'est vrai qu'il avait déjà la queue de mon pote dans la bouche …
Alors je l'ai limé avec force, il aimait, je savais qu'il aimait aussi je limais.
Je suis passé dans la gorge d'une autre garçon, puis dans son cul puis un autre. Je ne sais pas ce que c'était le truc, le stimulant qu'on nous avait donné mais il était efficace. On bandait sans difficulté toute la soirée, pendant plus de deux heures, on s'amusait, on marquait des points, on pétait des culs.
Puis la fatigue se faisait sentir, un à un on commençait à débander, j'avais éjaculé plus de cinq fois. Je me sentais vidé, je me sentais bien, épuisé mais bien.
L'ambiance retombait doucement. On passait sous la douche, chacun la sienne. C'était bien des douches communes mais on ne mélangeait pas les équipe. Ça on venait de le faire, on se rhabillait, mais il n'y avait plus d'ambiance, tout le monde était calme. On retrouvait nos cages.
On retrouvait nos habitudes, on passait tous devant le coach, il avait déjà refermé sa cage, il s'assurait qu'on serait bien verrouillé. Il faisait preuve de zèle le coach.
Puis on restait encore un moment à discuter de la victoire, du match.
– Vous savez les gars, j'aimerais bien pouvoir tirer mon coup plus souvent moi !
Il était comme nous, il portait un dispositif et tout comme nous, il ne pouvait le retirer qu'en cas de victoire.
– Tu n'as qu'à mieux nous entraîner coach ! Répondait un d'entre nous, les autres rigolaient.
– Vous seriez moins nul aussi, que voulez vous que je fasse avec vous ?
Suivait une séance ou il nous faisait la morale.
En l'écoutant d'une oreille, on se rhabillait. Nos gestes semblaient plus lents, la fatigue sans doutes ou le stimulant. C'était une douce torpeur qui nous prenait, on se sentait bien.
On sortait.
– Eh ! Paillasson ! Me criait un gars que je ne connaissait pas.
Je me retournais, il me semblait l'avoir vu plus tôt au premier rang. Je lui souriais, je pensais qu'il voulait un autographe.
– Tu veux que je te raccompagne ? Me proposait-il.
Je le regardais de la tête aux pieds, il était grand, large, musclé et surtout présentait une belle forme arrondie entre ses cuisse, une belle bosse qui semblait prometteuse ?
J'ai brusquement senti ma queue protester, elle tentait de se relever, elle en voulait encore. Rien ne pouvait se voir, la cage dissimulait tout.
Je faisais oui de la tête.
Une demie heure plus tard on était chez moi.
– Tu m'invites à un dernier verre … ? Me demandait-il.
– Une petite bière ? Lui proposais-je.
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