Les règles du jeu Ep08 Thonny Mc Jump
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les règles du jeu Ep08 Thonny Mc Jump
Les règles du jeu Ep08
Thonny Mc Jump
J'ai passé une très belle nuit, la plus belle nuit de ma vie. Je l'avais passée dans les bras de Thonny Mc Jump.
C'était un jeune sportif très prometteur à cette époque, il était terriblement beau gosse et toutes les filles lui couraient après. Surtout que en plus il pratiquait un sport qui exultait les formes du corps. Il faisait de la natation.
Moi je portais plusieurs couches de vêtements de protection, lui ne portait pratiquement aucun vêtement. Enfin un petit, un tout petit bien ajusté. Son maillot était étudier pour ne pas être trop érotique, on ne voyait pas la forme de sa queue ou ses deux couilles, genre la bite dans un sens, les couilles dans l'autre.
Le petit tissus retenait l'ensemble en un seul paquet bien solide, bien confiné on ne pouvais voir qu'une boule formée de tout cela, une belle boule bien définie. Mais si on ne pouvait presque rien distinguer, on savait que tout était en place.
Il me l'avait bien prouvé la veille au soir. Il me le prouvait de nouveau ce matin, sous la douche. On pouvait voir que non seulement il avait bien une bite, mais en plus elle était de très belle taille, longue, large et ses proportions étaient parfaites.
Elle se balançait sous la douche, j'étais là à le regarder, nu moi aussi. Ma cage à bite le fascinait, il la regardait et par moment il me frôlait, me caressait et s'amusait à me tripoter les couilles.
Sous la douche il se retenait, il bandait mou, c'était le mieux qu'il pouvait faire le matin. Puis on a pris notre petit déjeuner, ensuite c'était un bonheur de le voir s'habiller. Il pratiquait le free-balling et son pantalon sans être du genre moule boules restait un peu moulant tout de même.
Au dessus il y avait la tablette de chocolat blanc, magnifique, tout ça bien planté sur deux jambes musclées et fines à la fois. Deux bras bien épais pour nager la brasse et tout était là !
Pardon, j'avais oublié la tête, des cheveux courts, clairs couleur champ de blé, deux yeux bleus qui lui donnait cette impression de soleil sur le front et un sourire éblouissant.
Il était beau comme un dieu !
Et en plus Thonny Mc Jump, c'était mon idole ! Je me demande si je ne me répète pas un peu là. Il faut me dire si c'est le cas.
Il était en passe de devenir professionnel. Bein oui pour ceux qui suivent l'actualité sportive, c'était il y a déjà quelques années ! Je dis ça pour replacer l'histoire à la bonne époque.
Il avait donc un emploi du temps chronométré. Je savais ou le trouver à peu près à n'importe quelle heure. Le lendemain je passais le voir à la piscine. Il était beau mon Thommy, je restais là, un long moment à le regarder, il semblait glisser sur l'eau, on avait presque l'impression qu'il ne touchait pas l'eau.
Je le voyais déjà marcher sur l'eau et courir un deux cent mètres à la surface de la piscine.
Bon il faut vraiment que je me calme moi. Je vous ai déjà dit que Thonny Mc Jump était mon idole, et en plus un petit peu mon amant … ( on me fait signe que oui, je l'ai déjà dit ).
j'avais envie de le suivre mais moi quand je nage, je ressemble plus à une éclaboussure qui passe. Je n'ai rien de cette grâce aquatique qui émanait de chacun de ses muscles. On les voyait bien ses muscles, il s'agitaient sous sa peau, c'était un plaisir.
Ma queue se faisait remarquer, j'étais le seul à m'en rendre compte, c'est ça qui est pratique quand on porte une cage à bite. Même si on fait du free-balling, rien ne se voit. Je ne vous dirai pas que c'est confortable mais c'est efficace.
La piscine n'était pas ouverte au public pendant les entraînements mais je n'étais pas le public, j'étais paillasson ! J'avais moi aussi le droit de venir m’entraîner à la nage, on me demandais seulement de ne pas déranger les pros. Thonny m'a vu, mais il était très occupé, il me faisait un signe de la main pour me saluer. Je l'aurais bien pris dans mes bras mais pas devant tout le monde.
Et puis il y avait ce petit maillot de bain, c'était pas un truc ultra mini, non, c'était un truc normal … Petit !
Et il y avait cette trop belle boule qui se montrait sous l'étoffe très fine du maillot. Ils en avait tous une pareil. Là je me demandais s'il n'y avait pas un trucage. Ils ne pouvaient pas tous être monté comme mon Thonny.
Il était sexy mon Thonny, vous savez … Bon ok, je ne dis rien.
Je voulais un maillot de bain pareil, je me demandais comment la cage apparaîtrait sous le maillot.
Bref, en un mot, je me rinçais l’œil.
Je ne pouvais pas rester très longtemps, je devais moi aussi aller me faire marcher dessus. Pardon je voulais dire … je devais moi aussi aller à l'entraînement. Comme j'étais sur place j'achetais deux maillots de bain aux couleurs de l'équipe de mon Thonny.
Et j'allais le cœur léger me faire marcher dessus à la patinoire … C'est pas pour rien qu'on m'avait surnommé ' Paillasson ' !
Le soir c'est Thonny qui passait me voir. Il m'avait emmené des fleurs, c'est pas mignon. Remarquez il pouvait faire n'importe quoi, je trouvais ça mignon.
Je ne te dérange pas au moins, j'osais pas passer, je ne savais pas si …
Je l’agrippais par le col, le tirais à l'intérieur de l'appartement et lui sautais dessus. Remarquez, là c'est sûr, il a compris qu'il ne dérangeait pas. Il me saisissait à mon tour, et la porte de l'appartement n'avait pas encore claquée que nos vêtements volaient dans tous les sens dans l'appartement.
– Ta séance d'entraînement s'est bien passé ? Me demandait-il.
– Très bien !
– Tu t'es bien fait piétiné ?
– Toute l'équipe s'est essuyée les pieds sur moi.
Il rigolait à ma réponse et déjà il m'embrassait dans le cou, sur les épaules … Il était plus rapide que moi sur le coup. Il me serrait fort contre lui, et je sentais sa queue qui durcissait contre ma cuisse.
Nous étions déjà torse nue, d'un geste décidé je lui ouvrais son pantalon et en même temps que je m'accroupissais je lui faisais tomber son pantalon sur les chevilles. Sa queue se redressait, il était surpris de la vigueur de ma réaction mais me laissait faire. Sa queue se retrouvais dans ma bouche, là encore il faisait du free-balling. C'était là une habitude que je commençais à apprécier.
Cette queue me rendais fou, elle était magnifique et je me demandais toujours comment elle tenait dans son maillot. A cet instant je vous garantis qu'elle n'y tiendrait pas, elle avait déjà du mal à tenir dans ma bouche.
Il dégageait ses pieds de son pantalon, il était totalement nu entre mes bras. J'en profitais pour caresser sa peau, elle était tellement douce. C'est vrai qu'il avait du tremper dans l'eau pendant une grosse partie de la journée.
Il me caressait doucement les épaules et toujours très doucement il appuyait sur ma tête. C'était un signe qui m'encourageait à aller encore plus loin, sa queue allait plus profond dans ma gorge, j'arrivais à ma limite. Il faut bien se dire que sa bite était longue et large.
Il appuyait encore un peu, juste un peu, je pouvais ne pas en tenir compte mais je voulais lui faire plaisir. Je bloquais ma respiration et appuyais mon visage encore un peu plus. Je forçais, j'avalais ma salive, sa queue suivait, elle rentrait encore un peu plus, toujours un peu plus et mon nez s'écrasait sur son ventre. Mes lèvres se refermaient à la base de sa queue.
Je ne pensais pas que je pourrais faire ça.
Sa queue entrait dans ma gorge et là c'était pas une impression. Il gémissait de plaisir. Je tentais de tenir le plus longtemps possible mais là je ne respirais plus, ça ne pouvais donc pas durer. Je me retirais, retrouvais mon souffle, et le regardais.
Il me regardais et me faisais un grand sourire, je toussais.
– Alors là bravo ! On ne me l'avais jamais fait !
Je prenais cet encouragement comme un défi et avec une grande conviction je replongeais. Sa queue était longue, elle glissait sur ma langue, il poussait un long gémissement, puis c'est moi qui donnais le coup de grâce. J'appuyais mon visage avec conviction. Mon nez s'écrasait de nouveau sur son ventre, puis je me retirais.
Il me saisissait alors la tête, me la maintenait et me donnait quelques coups de bassin, quelques coups de bite dans la gorge. Sa queue s'enfonçait avec force, je laissais faire puis, n'en pouvant plus je me dégageai. Il ne tentais pas de me retenir plus.
Je toussais, c'était violent, c'était un peu trop pour moi. Je regardais cette énorme bite et je me demandais jusqu’où elle entrait. Elle était trop longue, normalement elle ne pouvait pas rentrer entièrement, elle débordait forcément. En fait elle débordait dans ma gorge. Le plus dur était de ne pas vomir. Pour cela, je réglais ma respiration sur ses mouvements.
Il recommençait à me limer la bouche, puis la gorge. Son gland était doux et c'est donc avec douceur et force qu'il me remplissait la gorge. Encore une fois je m'étonnais de ce que je parvenais à faire. Il gémissait et m'encourageait.
– Oui vas-y, c'est bon ! Tu es un as !
Puis il me laissait faire, il ne me retenais plus, je continuais à le sucer. Quand je retirais mon visage, je le caressais avec la main, je le masturbais, je le sentais trembler sous mes caresses.
Puis j'avalais de nouveau sa bite. J'allais de plus en plus vite. Quand je relevais les yeux je ne voyais plus son visage, il penchait sa tête en arrière et respirait très fort.
Il me caressait les cheveux, doucement sans appuyer sur ma tête. Puis brusquement.
– Bouge plus ! Oui caresse moi mais ne bouge plus ta tête.
Je n'ai pas compris ou il voulait en venir mais j'ai fait comme il disait. Je n'ai pas bougé mais j'ai continué à le masturber.
Quelques secondes plus tard, il m'éjaculais à la figure. J'ai fermé les yeux. Il m'a arrosé les cheveux, et m'a recouvert le visage de sa semence. J'en avais dans les yeux, sur les lèvre, sur mon nez. Enfin bref j'en étais couvert.
J'ouvrais un œil, il me regardait et il rigolait. Je lui souriais, il se penchait sur moi et m'embrassait. Ce baiser réveillait ma queue qui s'était un peu faite oublier. Il avait le goût de son sperme, c'était bon.
Je l'avais calmé, je l'avais comblé je suppose. Il ne bougeait plus, il m'embrassait et quand il ne m'embrassait pas il me souriait. Je me perdais dans ses yeux.
Puis brusquement il se relevait.
– Dis donc ! Ça c'est un accueil ! Allez on passe sous la douche.
En fait c'est à ce moment que j'ai remarqué que j'avais toujours mon pantalon. Ma queue se réveillait et manifestait très fort.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Thonny Mc Jump
J'ai passé une très belle nuit, la plus belle nuit de ma vie. Je l'avais passée dans les bras de Thonny Mc Jump.
C'était un jeune sportif très prometteur à cette époque, il était terriblement beau gosse et toutes les filles lui couraient après. Surtout que en plus il pratiquait un sport qui exultait les formes du corps. Il faisait de la natation.
Moi je portais plusieurs couches de vêtements de protection, lui ne portait pratiquement aucun vêtement. Enfin un petit, un tout petit bien ajusté. Son maillot était étudier pour ne pas être trop érotique, on ne voyait pas la forme de sa queue ou ses deux couilles, genre la bite dans un sens, les couilles dans l'autre.
Le petit tissus retenait l'ensemble en un seul paquet bien solide, bien confiné on ne pouvais voir qu'une boule formée de tout cela, une belle boule bien définie. Mais si on ne pouvait presque rien distinguer, on savait que tout était en place.
Il me l'avait bien prouvé la veille au soir. Il me le prouvait de nouveau ce matin, sous la douche. On pouvait voir que non seulement il avait bien une bite, mais en plus elle était de très belle taille, longue, large et ses proportions étaient parfaites.
Elle se balançait sous la douche, j'étais là à le regarder, nu moi aussi. Ma cage à bite le fascinait, il la regardait et par moment il me frôlait, me caressait et s'amusait à me tripoter les couilles.
Sous la douche il se retenait, il bandait mou, c'était le mieux qu'il pouvait faire le matin. Puis on a pris notre petit déjeuner, ensuite c'était un bonheur de le voir s'habiller. Il pratiquait le free-balling et son pantalon sans être du genre moule boules restait un peu moulant tout de même.
Au dessus il y avait la tablette de chocolat blanc, magnifique, tout ça bien planté sur deux jambes musclées et fines à la fois. Deux bras bien épais pour nager la brasse et tout était là !
Pardon, j'avais oublié la tête, des cheveux courts, clairs couleur champ de blé, deux yeux bleus qui lui donnait cette impression de soleil sur le front et un sourire éblouissant.
Il était beau comme un dieu !
Et en plus Thonny Mc Jump, c'était mon idole ! Je me demande si je ne me répète pas un peu là. Il faut me dire si c'est le cas.
Il était en passe de devenir professionnel. Bein oui pour ceux qui suivent l'actualité sportive, c'était il y a déjà quelques années ! Je dis ça pour replacer l'histoire à la bonne époque.
Il avait donc un emploi du temps chronométré. Je savais ou le trouver à peu près à n'importe quelle heure. Le lendemain je passais le voir à la piscine. Il était beau mon Thommy, je restais là, un long moment à le regarder, il semblait glisser sur l'eau, on avait presque l'impression qu'il ne touchait pas l'eau.
Je le voyais déjà marcher sur l'eau et courir un deux cent mètres à la surface de la piscine.
Bon il faut vraiment que je me calme moi. Je vous ai déjà dit que Thonny Mc Jump était mon idole, et en plus un petit peu mon amant … ( on me fait signe que oui, je l'ai déjà dit ).
j'avais envie de le suivre mais moi quand je nage, je ressemble plus à une éclaboussure qui passe. Je n'ai rien de cette grâce aquatique qui émanait de chacun de ses muscles. On les voyait bien ses muscles, il s'agitaient sous sa peau, c'était un plaisir.
Ma queue se faisait remarquer, j'étais le seul à m'en rendre compte, c'est ça qui est pratique quand on porte une cage à bite. Même si on fait du free-balling, rien ne se voit. Je ne vous dirai pas que c'est confortable mais c'est efficace.
La piscine n'était pas ouverte au public pendant les entraînements mais je n'étais pas le public, j'étais paillasson ! J'avais moi aussi le droit de venir m’entraîner à la nage, on me demandais seulement de ne pas déranger les pros. Thonny m'a vu, mais il était très occupé, il me faisait un signe de la main pour me saluer. Je l'aurais bien pris dans mes bras mais pas devant tout le monde.
Et puis il y avait ce petit maillot de bain, c'était pas un truc ultra mini, non, c'était un truc normal … Petit !
Et il y avait cette trop belle boule qui se montrait sous l'étoffe très fine du maillot. Ils en avait tous une pareil. Là je me demandais s'il n'y avait pas un trucage. Ils ne pouvaient pas tous être monté comme mon Thonny.
Il était sexy mon Thonny, vous savez … Bon ok, je ne dis rien.
Je voulais un maillot de bain pareil, je me demandais comment la cage apparaîtrait sous le maillot.
Bref, en un mot, je me rinçais l’œil.
Je ne pouvais pas rester très longtemps, je devais moi aussi aller me faire marcher dessus. Pardon je voulais dire … je devais moi aussi aller à l'entraînement. Comme j'étais sur place j'achetais deux maillots de bain aux couleurs de l'équipe de mon Thonny.
Et j'allais le cœur léger me faire marcher dessus à la patinoire … C'est pas pour rien qu'on m'avait surnommé ' Paillasson ' !
Le soir c'est Thonny qui passait me voir. Il m'avait emmené des fleurs, c'est pas mignon. Remarquez il pouvait faire n'importe quoi, je trouvais ça mignon.
Je ne te dérange pas au moins, j'osais pas passer, je ne savais pas si …
Je l’agrippais par le col, le tirais à l'intérieur de l'appartement et lui sautais dessus. Remarquez, là c'est sûr, il a compris qu'il ne dérangeait pas. Il me saisissait à mon tour, et la porte de l'appartement n'avait pas encore claquée que nos vêtements volaient dans tous les sens dans l'appartement.
– Ta séance d'entraînement s'est bien passé ? Me demandait-il.
– Très bien !
– Tu t'es bien fait piétiné ?
– Toute l'équipe s'est essuyée les pieds sur moi.
Il rigolait à ma réponse et déjà il m'embrassait dans le cou, sur les épaules … Il était plus rapide que moi sur le coup. Il me serrait fort contre lui, et je sentais sa queue qui durcissait contre ma cuisse.
Nous étions déjà torse nue, d'un geste décidé je lui ouvrais son pantalon et en même temps que je m'accroupissais je lui faisais tomber son pantalon sur les chevilles. Sa queue se redressait, il était surpris de la vigueur de ma réaction mais me laissait faire. Sa queue se retrouvais dans ma bouche, là encore il faisait du free-balling. C'était là une habitude que je commençais à apprécier.
Cette queue me rendais fou, elle était magnifique et je me demandais toujours comment elle tenait dans son maillot. A cet instant je vous garantis qu'elle n'y tiendrait pas, elle avait déjà du mal à tenir dans ma bouche.
Il dégageait ses pieds de son pantalon, il était totalement nu entre mes bras. J'en profitais pour caresser sa peau, elle était tellement douce. C'est vrai qu'il avait du tremper dans l'eau pendant une grosse partie de la journée.
Il me caressait doucement les épaules et toujours très doucement il appuyait sur ma tête. C'était un signe qui m'encourageait à aller encore plus loin, sa queue allait plus profond dans ma gorge, j'arrivais à ma limite. Il faut bien se dire que sa bite était longue et large.
Il appuyait encore un peu, juste un peu, je pouvais ne pas en tenir compte mais je voulais lui faire plaisir. Je bloquais ma respiration et appuyais mon visage encore un peu plus. Je forçais, j'avalais ma salive, sa queue suivait, elle rentrait encore un peu plus, toujours un peu plus et mon nez s'écrasait sur son ventre. Mes lèvres se refermaient à la base de sa queue.
Je ne pensais pas que je pourrais faire ça.
Sa queue entrait dans ma gorge et là c'était pas une impression. Il gémissait de plaisir. Je tentais de tenir le plus longtemps possible mais là je ne respirais plus, ça ne pouvais donc pas durer. Je me retirais, retrouvais mon souffle, et le regardais.
Il me regardais et me faisais un grand sourire, je toussais.
– Alors là bravo ! On ne me l'avais jamais fait !
Je prenais cet encouragement comme un défi et avec une grande conviction je replongeais. Sa queue était longue, elle glissait sur ma langue, il poussait un long gémissement, puis c'est moi qui donnais le coup de grâce. J'appuyais mon visage avec conviction. Mon nez s'écrasait de nouveau sur son ventre, puis je me retirais.
Il me saisissait alors la tête, me la maintenait et me donnait quelques coups de bassin, quelques coups de bite dans la gorge. Sa queue s'enfonçait avec force, je laissais faire puis, n'en pouvant plus je me dégageai. Il ne tentais pas de me retenir plus.
Je toussais, c'était violent, c'était un peu trop pour moi. Je regardais cette énorme bite et je me demandais jusqu’où elle entrait. Elle était trop longue, normalement elle ne pouvait pas rentrer entièrement, elle débordait forcément. En fait elle débordait dans ma gorge. Le plus dur était de ne pas vomir. Pour cela, je réglais ma respiration sur ses mouvements.
Il recommençait à me limer la bouche, puis la gorge. Son gland était doux et c'est donc avec douceur et force qu'il me remplissait la gorge. Encore une fois je m'étonnais de ce que je parvenais à faire. Il gémissait et m'encourageait.
– Oui vas-y, c'est bon ! Tu es un as !
Puis il me laissait faire, il ne me retenais plus, je continuais à le sucer. Quand je retirais mon visage, je le caressais avec la main, je le masturbais, je le sentais trembler sous mes caresses.
Puis j'avalais de nouveau sa bite. J'allais de plus en plus vite. Quand je relevais les yeux je ne voyais plus son visage, il penchait sa tête en arrière et respirait très fort.
Il me caressait les cheveux, doucement sans appuyer sur ma tête. Puis brusquement.
– Bouge plus ! Oui caresse moi mais ne bouge plus ta tête.
Je n'ai pas compris ou il voulait en venir mais j'ai fait comme il disait. Je n'ai pas bougé mais j'ai continué à le masturber.
Quelques secondes plus tard, il m'éjaculais à la figure. J'ai fermé les yeux. Il m'a arrosé les cheveux, et m'a recouvert le visage de sa semence. J'en avais dans les yeux, sur les lèvre, sur mon nez. Enfin bref j'en étais couvert.
J'ouvrais un œil, il me regardait et il rigolait. Je lui souriais, il se penchait sur moi et m'embrassait. Ce baiser réveillait ma queue qui s'était un peu faite oublier. Il avait le goût de son sperme, c'était bon.
Je l'avais calmé, je l'avais comblé je suppose. Il ne bougeait plus, il m'embrassait et quand il ne m'embrassait pas il me souriait. Je me perdais dans ses yeux.
Puis brusquement il se relevait.
– Dis donc ! Ça c'est un accueil ! Allez on passe sous la douche.
En fait c'est à ce moment que j'ai remarqué que j'avais toujours mon pantalon. Ma queue se réveillait et manifestait très fort.
A suivre
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