Les règles du jeu Ep09 En couple
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les règles du jeu Ep09 En couple
Les règles du jeu Ep09
En couple
Rapidement notre relation devenait régulière, Thonny était mon idole et mon régulier. Sans l'équipe à laquelle j'appartenais il aurait été le seul. Avec un match par semaine, je ne me faisait défoncer le cul que par quatre ou cinq mecs différents par semaine. En comptant Thonny bien sûr !
On nous voyait ensemble, nous étions tous les deux très connus. Lui parce qu'il était beau comme un dieu et que en plus il commençait à se faire remarquer dans son domaine. C'est ce qui lui permettait de passer professionnel, et avec un diplôme en poche il voyait l'avenir d'une manière sereine.
Moi mon diplôme c'était dans quelques années, mais bon je n'étais pas professionnel et mon sport n'avait rien de noble. Ça faisait rigoler tout le monde de dire le contraire. C'était un sport populaire, plus de la moitié des spectateurs étaient saouls pendant les matchs. Mais ça payait tout de même, ça payait bien même.
C'est surtout la pub qui payait bien et moi j'avais des contrats bien plus lucratifs que mon doudou Thonny ( Thonny c'est mon doudou ), surtout depuis que je devenais célèbre sous le nom de Paillasson. Il ne fallait surtout pas se formaliser de se faire marcher dessus par tous un tas de joueurs de l'autre équipe pendant le match ( parfois les deux ). Il ne fallait surtout pas se formaliser non plus de se voire en photo dans la presse écrasé contre la vitre. Vous savez la vitre qui nous sépare des spectateurs, elle est blindée.
Il y a même un poster de moi ou on me voit parfaitement écrasé contre la vitre avec trois joueurs qui m’aplatissent méthodiquement. C'est pathétique je sais, surtout qu'il y en avait même un qui était de mon équipe et qui m'a expliqué que lui il voulait écraser le joueur qui lui écrasait le gars qui m'écrasait.
J'ai pas cru une seconde à son histoire mais la publication du poster qui s'est très bien vendu m'a rapporté une jolie somme. On a au moins les droits à l'image, on ne nous demande pas notre avis pour mes publications mais on est payé, et j'ai déjà payé mes études avec ça.
Thonny Mc Jump, lui est moins bien loti au niveau finances. Quand il commencera à gagner des médailles tout sera différents et là, c'est moi qui ne gagnerai plus rien !
En attendant on sortait souvent ensemble, rapidement on se retrouvais entourés de fans. Il y avait des mecs, là c'était surtout pour moi. Tout le monde savait que je me faisais enculer régulièrement, ça faisait partie du jeu. Les filles c'était pour Thonny. Je ne vous dis pas comment il était super canon mon Thonny Mc Jump, et j'étais pas le seul à le penser.
Elles étaient mignonnes mais si une d'entre elles arrivait à s'accrocher à son bras elle me lançait un regard méchant à faire peur si je m'approchais.
Mais bon, c'est la vie, et on en profitait. On avait des réductions partout ou on allait. C'était la belle vie !
Mon Thonny venait à mes tournois, j'allais à ses compétitions. Je le retrouvais dans les vestiaires après, lui n'avait pas le droit de venir dans mes vestiaires. Je ne vous dis pas le bordel que c'était dans mes vestiaires … Enfin il me semble que si, je vous en ai parlé !
Je le retrouvais quelques heures après le match. Le temps pour moi de me faire défoncer le cul. Il ne faut pas oublier qu'on ne gagnait presque jamais. Et je retrouvais mon Thonny. Avouez que c'était une relation de couple un peu singulière. Ensuite c'est lui qui me défonçait le cul.
On traînait dans des bars, parfois avec l'équipe. Là je rentrais toujours en titubant. Heureusement qu'il était là mon Thonny. Je vous jure, avec l'équipe c'est moins reposant et le lendemain on a des acouphènes. Ils veulent tout faire un karaoké, c'est à dire qu'ils veulent tous gueuler plus fort que les autres sur une musique qu'on n'entend même plus.
Bref c'est donc avec un sifflement dans les oreilles qu'on rentrait. L'ambiance retombait, tout redevenait calme, mon Thonny prenait soin de moi. Il s'inquiétait de ma santé, il avait vu un mec me sauter pieds joints sur la tête. Quelques heures plus tôt. Mais j'ai un casque et le gars à glissé sur mon casque et c'est lui qui s'est fait mal, pas moi !
Oui bon je le reconnais, c'était lamentable. A la maison c'est en titubant que je tentait de déshabiller mon Thonny, il rigolait, j'étais maladroit. C'est moi qui me retrouvait à poil en premier. En général il voulait abuser de moi après ce genre de soirée. Moi aussi je voulais abuser de lui et je tentais de l'embrasser autant que je pouvais. Je finissais bien par le retrouver totalement nu.
Il bandait. Il bandait toujours quand on se retrouvais à poil tous les deux. Il bandait quand ma peau touchait la sienne, il bandait quand mes lèvres glissaient sur son corps.
Moi aussi j'aurais bien bandé, mais voilà, moi je ne pouvais pas mais dans ma cage c'était la folie. Une pression intense poussait contre ma cage et je sentais à quel point elle était indestructible, sinon elle aurait éclater depuis longtemps.
Il me saisissait, s'emparait de moi, me retournais avec une grande facilité, surtout que je ne résistais pas.
Quelquefois on sautait les préliminaires, il se lubrifiait la queue et en un mouvement, violent, rapide, sec, il me défonçait le cul. Son énorme queue entrait en moi, son ventre claquait contre mes fesses. Je m'étais fait défoncer le cul et j'étais encore très ouvert, très accueillant.
Et la je criais, le plaisir était intense, immédiat et intense. On m'avait déjà stimulé on m'avait longuement stimulé. Ensuite sans attendre il me limait le cul, il se retirait puis revenait, tout de suite, il était a fond. J'étais prêt et je ne demandais que cela.
C'est tellement mieux quand on se fait enculer par un mec qu'on aime plutôt qu'avec n'importe qui.
Avec Thonny c'était tellement mieux, sa peau était mieux, son corps était plus chaud, ses muscles étaient plus fermes avec douceur. Je l'avais dans la peau, je l'avais dans le cul. Je râlais de plaisir, chaque mouvement de son corps sur ma peau ou en moi me rendait fou de plaisir. J'en voulais encore, j'en voulais plus.
Je ne restais pas seulement allongé à subir ses assauts. Je gigotais, il s'enfonçait en moi, je relevais mon cul. Il se retirait, je me retirais aussi et si jamais sa queue sortait de mon cul, c'était là encore dans des éclats de plaisir qui me faisaient remuer encore. Il revenait à la charge, sans ménagement. Un coup violent, un claquement de son ventre sur mes fesses et il reprenait.
Il me limait de nouveau, longuement sans aucun ménagement.
C'est bruyamment qu'il jouissait dans mon cul. Il se laissait alors retomber de tout son poids sur mon dos. Je ne bougeais plus, nous respirions fort, lentement et fort.
Il me donnait encore par moment quelques baisers dans le dos, juste entre les omoplates, vous savez juste là ou ça fait guili-guili. Il parvenait à me faire frémir encore un peu, il était toujours en moi et ne débandait pas.
C'est le plus souvent à ce moment que je jouissais. Mon cul se contractait par intermittence, en réponse sa queue se contractait elle aussi, il avait joui, il avait éjaculé et je sentais un liquide qui coulait de mon cul à côté de la base de mon sexe.
J'ai senti un très légère stimulation, en quelques instant elle devenait plus forte puis j'ai joui, j'ai éjaculé. Il s'en ai rendu compte et m'a pris dans ses bras. Il bandait toujours, il bandait mou mais brusquement j'ai senti sa queue redevenir plus dure, plus ferme. Il me donnait un coup de bassin, un coup de bite bien à fond dans mon cul.
C'était l'extase, j'ai pris un pied de dingue, encore un. Il était le seul à pouvoir me donne ce plaisir. C'est parce que c'était lui que c'était si bon. Ce n'était pas seulement mécanique, le cœur y était aussi, pas seulement le cul.
Je l'avais réveillé et il recommençais à me limer le cul, je recommençais à gémir à chaque coup que je recevais. J'étais pris d'un sanglot, il redoublait de force. De nouveau il me limait mais là ses mouvements semblaient retenus, ils étaient calculés, réguliers mais plus lents plus amples, il se retirait presque totalement puis revenait bien à fond, il terminait en balançant un dernier coup de rein.
Je gémissais, je me plaignais, je pleurais de bonheur, ça aussi il est le seul à pouvoir me le donner, parce que c'est lui. Parce que je l'aime, j'aime tout en lui. Il faudrait être difficile, il est parfait .
C'est mon idole, enfin plus seulement mon idole, c'est mon mec !
Pendant je ne sais pas combien de temps, il m'a limé le cul, je l'ai senti et je le sentais encore au moment ou nous passions sous la douche. A ce moment ce n'était plus que douceur et tendresse. Chacun prenait soin du corps de l'autre, pour ma cage c'était un peu technique le savonnage et je m'en occupais moi même.
Thonny a bien essayé de me laver le bout de la bite mais dès qu'il me touchait je bandais. Ma cage se remplissait alors instantanément sous l'effet d'une grosse pression et là, bein on ne pouvait plus rien faire … Tout le monde connaît ça. C'est normal, quand il me touchait, je bandais. Quand je le touchais, je bandais. Quand je le voyais plongeais dans la piscine, je bandais. C'est comme ça avec Thommy, je bandais tout le temps.
Alors vous imaginez sous la douche …
Ensuite on se séchait, et c'est pas ça qui me calmait, je bandais encore plus. Lui s'était bien vidé les couilles et se détendait, sa grosse queue pendait lourdement devant lui.
On se retrouvait dans le lit. Là c'était câlin, c'était toujours câlin. Je le caressais, il faisait de même. Je profitais de la chaleur et de la douceur de sa peau. Je me blottissais contre lui, je le caressais, ma main était irrésistiblement attirée vers sa bite. Par moment je la réveillais un peu, je m'amusais avec, il me laissait faire et me rendait la politesse. Lui il aimait bien me tripoter les couilles.
– Ta saison se termine quand ? Me demandait-il.
– Encore deux semaines !
– Ensuite tu pourras retirer ta cage ?
– Sauf si l'équipe est dernière dans le classement.
– Et vous êtes classés comment ? Me demandait-il en éclatant de rire.
– première, a égalité. En commençant par la fin.
Il pouffait de rire.
– C'est vrai que vous êtes des champions.
– Avant un peu de chance on pourrait terminer avant dernier.
– Sinon …
– Sinon je garderai ma cage pendant toute l'intersaison.
– J'aime bien ta cage.
– Tu en veux une ?
– Non pas pour moi ! Mais sur toi je trouve ça super.
– Ah oui ! Lui répondais-je en le regardant de travers.
– Et là, tu la porte depuis combien de temps ?
– Un peu plus de huit mois.
– C'est ça qui te rend si sexy.
– Tu me trouves sexy ?
– À fond !
Suivait un câlin.
– Dis moi Paillasson, si ton équipe n'est pas dernière du classement !
– Ça se pourrait bien en plus !
– Tu accepterait de garder la cage ?
Il me regardait avec un air trop mignon. Vous auriez répondu quoi vous ?
– Pour te faire plaisir ?
– Je te trouve si sexy comme ça !
– Je te donnerai la clé, sans aucune obligation de ta part pour ce qui est de me libérer.
Là il me donnait un gros baiser passionné en m'écrasant les couilles.
Je regrettais déjà cette promesse !
Fin de l'épisode
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
En couple
Rapidement notre relation devenait régulière, Thonny était mon idole et mon régulier. Sans l'équipe à laquelle j'appartenais il aurait été le seul. Avec un match par semaine, je ne me faisait défoncer le cul que par quatre ou cinq mecs différents par semaine. En comptant Thonny bien sûr !
On nous voyait ensemble, nous étions tous les deux très connus. Lui parce qu'il était beau comme un dieu et que en plus il commençait à se faire remarquer dans son domaine. C'est ce qui lui permettait de passer professionnel, et avec un diplôme en poche il voyait l'avenir d'une manière sereine.
Moi mon diplôme c'était dans quelques années, mais bon je n'étais pas professionnel et mon sport n'avait rien de noble. Ça faisait rigoler tout le monde de dire le contraire. C'était un sport populaire, plus de la moitié des spectateurs étaient saouls pendant les matchs. Mais ça payait tout de même, ça payait bien même.
C'est surtout la pub qui payait bien et moi j'avais des contrats bien plus lucratifs que mon doudou Thonny ( Thonny c'est mon doudou ), surtout depuis que je devenais célèbre sous le nom de Paillasson. Il ne fallait surtout pas se formaliser de se faire marcher dessus par tous un tas de joueurs de l'autre équipe pendant le match ( parfois les deux ). Il ne fallait surtout pas se formaliser non plus de se voire en photo dans la presse écrasé contre la vitre. Vous savez la vitre qui nous sépare des spectateurs, elle est blindée.
Il y a même un poster de moi ou on me voit parfaitement écrasé contre la vitre avec trois joueurs qui m’aplatissent méthodiquement. C'est pathétique je sais, surtout qu'il y en avait même un qui était de mon équipe et qui m'a expliqué que lui il voulait écraser le joueur qui lui écrasait le gars qui m'écrasait.
J'ai pas cru une seconde à son histoire mais la publication du poster qui s'est très bien vendu m'a rapporté une jolie somme. On a au moins les droits à l'image, on ne nous demande pas notre avis pour mes publications mais on est payé, et j'ai déjà payé mes études avec ça.
Thonny Mc Jump, lui est moins bien loti au niveau finances. Quand il commencera à gagner des médailles tout sera différents et là, c'est moi qui ne gagnerai plus rien !
En attendant on sortait souvent ensemble, rapidement on se retrouvais entourés de fans. Il y avait des mecs, là c'était surtout pour moi. Tout le monde savait que je me faisais enculer régulièrement, ça faisait partie du jeu. Les filles c'était pour Thonny. Je ne vous dis pas comment il était super canon mon Thonny Mc Jump, et j'étais pas le seul à le penser.
Elles étaient mignonnes mais si une d'entre elles arrivait à s'accrocher à son bras elle me lançait un regard méchant à faire peur si je m'approchais.
Mais bon, c'est la vie, et on en profitait. On avait des réductions partout ou on allait. C'était la belle vie !
Mon Thonny venait à mes tournois, j'allais à ses compétitions. Je le retrouvais dans les vestiaires après, lui n'avait pas le droit de venir dans mes vestiaires. Je ne vous dis pas le bordel que c'était dans mes vestiaires … Enfin il me semble que si, je vous en ai parlé !
Je le retrouvais quelques heures après le match. Le temps pour moi de me faire défoncer le cul. Il ne faut pas oublier qu'on ne gagnait presque jamais. Et je retrouvais mon Thonny. Avouez que c'était une relation de couple un peu singulière. Ensuite c'est lui qui me défonçait le cul.
On traînait dans des bars, parfois avec l'équipe. Là je rentrais toujours en titubant. Heureusement qu'il était là mon Thonny. Je vous jure, avec l'équipe c'est moins reposant et le lendemain on a des acouphènes. Ils veulent tout faire un karaoké, c'est à dire qu'ils veulent tous gueuler plus fort que les autres sur une musique qu'on n'entend même plus.
Bref c'est donc avec un sifflement dans les oreilles qu'on rentrait. L'ambiance retombait, tout redevenait calme, mon Thonny prenait soin de moi. Il s'inquiétait de ma santé, il avait vu un mec me sauter pieds joints sur la tête. Quelques heures plus tôt. Mais j'ai un casque et le gars à glissé sur mon casque et c'est lui qui s'est fait mal, pas moi !
Oui bon je le reconnais, c'était lamentable. A la maison c'est en titubant que je tentait de déshabiller mon Thonny, il rigolait, j'étais maladroit. C'est moi qui me retrouvait à poil en premier. En général il voulait abuser de moi après ce genre de soirée. Moi aussi je voulais abuser de lui et je tentais de l'embrasser autant que je pouvais. Je finissais bien par le retrouver totalement nu.
Il bandait. Il bandait toujours quand on se retrouvais à poil tous les deux. Il bandait quand ma peau touchait la sienne, il bandait quand mes lèvres glissaient sur son corps.
Moi aussi j'aurais bien bandé, mais voilà, moi je ne pouvais pas mais dans ma cage c'était la folie. Une pression intense poussait contre ma cage et je sentais à quel point elle était indestructible, sinon elle aurait éclater depuis longtemps.
Il me saisissait, s'emparait de moi, me retournais avec une grande facilité, surtout que je ne résistais pas.
Quelquefois on sautait les préliminaires, il se lubrifiait la queue et en un mouvement, violent, rapide, sec, il me défonçait le cul. Son énorme queue entrait en moi, son ventre claquait contre mes fesses. Je m'étais fait défoncer le cul et j'étais encore très ouvert, très accueillant.
Et la je criais, le plaisir était intense, immédiat et intense. On m'avait déjà stimulé on m'avait longuement stimulé. Ensuite sans attendre il me limait le cul, il se retirait puis revenait, tout de suite, il était a fond. J'étais prêt et je ne demandais que cela.
C'est tellement mieux quand on se fait enculer par un mec qu'on aime plutôt qu'avec n'importe qui.
Avec Thonny c'était tellement mieux, sa peau était mieux, son corps était plus chaud, ses muscles étaient plus fermes avec douceur. Je l'avais dans la peau, je l'avais dans le cul. Je râlais de plaisir, chaque mouvement de son corps sur ma peau ou en moi me rendait fou de plaisir. J'en voulais encore, j'en voulais plus.
Je ne restais pas seulement allongé à subir ses assauts. Je gigotais, il s'enfonçait en moi, je relevais mon cul. Il se retirait, je me retirais aussi et si jamais sa queue sortait de mon cul, c'était là encore dans des éclats de plaisir qui me faisaient remuer encore. Il revenait à la charge, sans ménagement. Un coup violent, un claquement de son ventre sur mes fesses et il reprenait.
Il me limait de nouveau, longuement sans aucun ménagement.
C'est bruyamment qu'il jouissait dans mon cul. Il se laissait alors retomber de tout son poids sur mon dos. Je ne bougeais plus, nous respirions fort, lentement et fort.
Il me donnait encore par moment quelques baisers dans le dos, juste entre les omoplates, vous savez juste là ou ça fait guili-guili. Il parvenait à me faire frémir encore un peu, il était toujours en moi et ne débandait pas.
C'est le plus souvent à ce moment que je jouissais. Mon cul se contractait par intermittence, en réponse sa queue se contractait elle aussi, il avait joui, il avait éjaculé et je sentais un liquide qui coulait de mon cul à côté de la base de mon sexe.
J'ai senti un très légère stimulation, en quelques instant elle devenait plus forte puis j'ai joui, j'ai éjaculé. Il s'en ai rendu compte et m'a pris dans ses bras. Il bandait toujours, il bandait mou mais brusquement j'ai senti sa queue redevenir plus dure, plus ferme. Il me donnait un coup de bassin, un coup de bite bien à fond dans mon cul.
C'était l'extase, j'ai pris un pied de dingue, encore un. Il était le seul à pouvoir me donne ce plaisir. C'est parce que c'était lui que c'était si bon. Ce n'était pas seulement mécanique, le cœur y était aussi, pas seulement le cul.
Je l'avais réveillé et il recommençais à me limer le cul, je recommençais à gémir à chaque coup que je recevais. J'étais pris d'un sanglot, il redoublait de force. De nouveau il me limait mais là ses mouvements semblaient retenus, ils étaient calculés, réguliers mais plus lents plus amples, il se retirait presque totalement puis revenait bien à fond, il terminait en balançant un dernier coup de rein.
Je gémissais, je me plaignais, je pleurais de bonheur, ça aussi il est le seul à pouvoir me le donner, parce que c'est lui. Parce que je l'aime, j'aime tout en lui. Il faudrait être difficile, il est parfait .
C'est mon idole, enfin plus seulement mon idole, c'est mon mec !
Pendant je ne sais pas combien de temps, il m'a limé le cul, je l'ai senti et je le sentais encore au moment ou nous passions sous la douche. A ce moment ce n'était plus que douceur et tendresse. Chacun prenait soin du corps de l'autre, pour ma cage c'était un peu technique le savonnage et je m'en occupais moi même.
Thonny a bien essayé de me laver le bout de la bite mais dès qu'il me touchait je bandais. Ma cage se remplissait alors instantanément sous l'effet d'une grosse pression et là, bein on ne pouvait plus rien faire … Tout le monde connaît ça. C'est normal, quand il me touchait, je bandais. Quand je le touchais, je bandais. Quand je le voyais plongeais dans la piscine, je bandais. C'est comme ça avec Thommy, je bandais tout le temps.
Alors vous imaginez sous la douche …
Ensuite on se séchait, et c'est pas ça qui me calmait, je bandais encore plus. Lui s'était bien vidé les couilles et se détendait, sa grosse queue pendait lourdement devant lui.
On se retrouvait dans le lit. Là c'était câlin, c'était toujours câlin. Je le caressais, il faisait de même. Je profitais de la chaleur et de la douceur de sa peau. Je me blottissais contre lui, je le caressais, ma main était irrésistiblement attirée vers sa bite. Par moment je la réveillais un peu, je m'amusais avec, il me laissait faire et me rendait la politesse. Lui il aimait bien me tripoter les couilles.
– Ta saison se termine quand ? Me demandait-il.
– Encore deux semaines !
– Ensuite tu pourras retirer ta cage ?
– Sauf si l'équipe est dernière dans le classement.
– Et vous êtes classés comment ? Me demandait-il en éclatant de rire.
– première, a égalité. En commençant par la fin.
Il pouffait de rire.
– C'est vrai que vous êtes des champions.
– Avant un peu de chance on pourrait terminer avant dernier.
– Sinon …
– Sinon je garderai ma cage pendant toute l'intersaison.
– J'aime bien ta cage.
– Tu en veux une ?
– Non pas pour moi ! Mais sur toi je trouve ça super.
– Ah oui ! Lui répondais-je en le regardant de travers.
– Et là, tu la porte depuis combien de temps ?
– Un peu plus de huit mois.
– C'est ça qui te rend si sexy.
– Tu me trouves sexy ?
– À fond !
Suivait un câlin.
– Dis moi Paillasson, si ton équipe n'est pas dernière du classement !
– Ça se pourrait bien en plus !
– Tu accepterait de garder la cage ?
Il me regardait avec un air trop mignon. Vous auriez répondu quoi vous ?
– Pour te faire plaisir ?
– Je te trouve si sexy comme ça !
– Je te donnerai la clé, sans aucune obligation de ta part pour ce qui est de me libérer.
Là il me donnait un gros baiser passionné en m'écrasant les couilles.
Je regrettais déjà cette promesse !
Fin de l'épisode
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