Les rencontres indésirables - 1
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les rencontres indésirables - 1
Etant donné, mon mode de vie, et surtout les lieux de rencontres entre hommes, que je fréquente.
Il est normal que je subisse quelques "inconvénients" fâcheux !
Même si Toulon est une ville cosmopolite, très peuplée, et très visitée aussi !
Et que l'on peut y profiter d'un certain anonymat.
Où je veux en venir ?
Ben, malgré le nombre énorme d'hommes (mariés pour la plupart !) qui se renouvelle constamment, il m'arrive de croiser des hommes que je connais dans ma vie "publique" !
Et ça, je crains ! Je tiens à ce que mes penchants de salope pour hommes, restent secrets.
Si c'est un homme que je côtoie souvent, je me cache très rapidement !
J'attend qu'il parte, sinon, je m'en vais, déçu de ne pas avoir assez joui !
Il vient de gâcher ma journée !
Il y a ceux que vous appréciez, et les autres ! Les gros cons !
Ceux là ! Se régalent de vous baiser, si vous n'avez pas eu le temps de les éviter !
Et ils s'ajoutent à la liste de ceux qui vous feront du chantage !
"Arrêtes de râler ! Suces-moi !", ou encore "Laisses moi te baiser, sinon !".
Les sympas deviennent vos complices !
Il m'est arrivé aussi, d'apprécier qu'un connard m'encule, à la longue !
Surement, à cause de mon attirance pour la soumission !
Bref ! Ca s'est toujours bien passé, mais j'avais toujours horreur de ces situations !
C'est comme ça, j'aime pas mélanger ma vie "officielle", et mes fantasmes pervers !
L'un d'eux m'a eu, par surprise !
J'étais au cinéma porno, je sortais de l'armée, depuis quelques mois.
Je commençais à tromper mon premier amour, une fille de 16 ans.
Les plaisirs entre hommes, me manquaient trop.
Après quelques fellations dans les rangées de sièges, je me rend dans les W.C toilettes !
Je suis pris d'assauts par quatre hommes, que je dois sucer, et encaisser dans l'anus.
Je vis mes premiers orgasmes anaux, le nombre me le permet !
Ils ne sont plus que deux, l'un devant, dans ma gorge, encore pleine, du gout de sperme du précédent.
L'autre annonce, qu'il va ajouter son éjaculation dans mon anus, en me secouant comme un forcené.
Il jouit enfin, je peux me concentrer sur la verge devant moi, en appréciant mon plaisir anal qui retombe !
L'homme recule, mon trou reste béant, pollué et poisseux !
De nouvelles mains m'entourent la taille, puis un gros sexe me transperce d'une traite !
"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Elle est bonne, ta grosse queue ! Arghhhhhhh ! D'où tu viens ? Toi ?".
"D'abord, on dit bonjour ! Voisin ! J'étais pas sûr que c'était toi ! Mais, je me trompais pas ! Donc, tu l'aimes, ma grosse bite !".
"Qu... Quoi ? Non ! Pas vous ! Orghhhhhhhh ! Putain ! Moins fort ! Arghhhhhhh !".
"Putain, j'y crois pas ! J'me tape le fils du voisin ! Lui qui a horreur des pédés ! Toutes les insultes qu'il m'a envoyées, ce con ! J'me venge, enfin ! J'vais lui dire que je t'ai enculé ! Il arrêtera de me faire chier !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Non, s'il vous plait ! Arghhhhhhhhhh !".
"Allez suces ! P'tite salope !".
Il me renvoie, sur la verge que j'ai cessé de sucer !
Rapidement, l'inconnu me remplit la gorge, de son éjaculation chaude et gluante.
J'essaie de ne pas ressentir de plaisir anal, mais mon voisin m'encule trop bien !
Je joui, en me détestant de le faire !
"Putain, c'est le pied ! Si tu veux pas que je raconte tout, tu vas venir me voir ! J'en ai pas fini avec toi ! Ton père m'en a trop fait voir ! On est d'accord ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Mais votre copain ? Arghhhhhhhhhh !...".
"Il est chez ses parents, pour 3 semaines ! C'est pour ça que je suis ici ! J'ai envie de baiser ! Et tu tombes à pic ! Laisses-moi le temps de m'organiser ! Tu viens samedi soir !".
"Arghhhhhhhhhh ! D'accord ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
Ce salaud m'a démonté, encore un moment, puis m'a inséminé, en me traitant de petite salope !
Il a quitté le cinéma ensuite !
Quand à moi, je m'en remet pas, et reste un long moment en fond de salle.
Comment, je vais faire, pour gérer ça ?
Puis, je retrouve mes désirs, et je partage avec d'autres hommes, le plaisir de les sucer, et de les avaler.
Un dernier m'encule dans le cabinet de toilettes.
Assez longtemps, pour que je me fasse éjaculer, en me branlant, pendant qu'il me défonce le cul !
Ca y est ! J'ai eu mon compte, je peux rentrer !
J'ai un certain blocage, en arrivant sur le palier de mes parents !
Je vois la porte du voisin !
Putain ! Je me déteste ! Il m'a enculé le salaud ! Et j'ai aimé ça !
Si je ne fréquentais pas le cinéma porno, il ne m'aurait jamais baisé !
C'est ma faute !
Mais soyons réaliste ! J'en ai trop besoin moi ! De ce cinéma !
Pour vous décrire le personnage, il vit depuis 2 ans, sur notre palier, il est en couple avec un homme, un peu plus jeune que lui.
J'estime qu'ils ont près de 40 ans, pour le plus jeune, et 50 ans pour lui !
Le souci, c'est que mon père est raciste, homophobe, et alcoolique ! Tout ça, ne fait pas bon ménage !
Hormis ces défauts, c'est un homme très gentil ! Et c'est mon père, quand même !
Il s'attrape souvent avec le voisin, il ne supporte pas d'avoir des pédés sur son palier !
S'il savait que "l'ennemi", est chez lui, également !
Je m'en veux, mais j'avoue que parfois, je participe aux plaisanteries sur les homos !
Lors de diners avec des amis de mon père, ou les miens !
J'ai le sentiment de "noyer le poisson", ils ne pourront pas deviner que des hommes me baisent !
Le samedi soir, à 20 h, je dis à mes parents que je sors avec des potes, pour la soirée.
En tapotant discrètement, chez le voisin, j'en mène pas large !
Il ouvre, et me tire par le bras !
"Viens là, p'tite salope !".
Il rajoute à ma peur d'être surpris !
Il ferme le loquet, puis m'entraine vers son salon.
Il y a deux autres hommes de son âge, qui boivent du vin.
"J'vous présente le fils du voisin ! Celui qui me casse les couilles, depuis deux ans ! Vous allez m'aider à me venger ! On va bien le baiser ! Il adore ça, en plus ! C'est quoi ton prénom déjà ?".
"P... Pascal...".
"Détends toi Pascal ! On va pas te manger ! Ca va bien se passer !".
C'est le plus typé des deux, qui me dit ça !
Je me sens pris au piège, mais je me rassure aussi !
Ils ne peuvent pas me faire de mal !
Je vais seulement, assumer ma passion pour la bite !
Ils vont utiliser mon corps, voilà tout !
Olivier, mon voisin, m'ordonne de me déshabiller devant eux.
Gilberto, le plus typé des deux invités, avec François, s'assoit.
Il dégage sa verge foncée, pour se branler en me matant, tout en sirotant son verre.
François me caresse, il me fait des compliments, sur mon physique de jeune garçon, et ma "p'tite gueule d'ange".
Olivier se dénude, et s'assoit sur un fauteuil.
"Viens me sucer la bite ! Montres leur, comme tu aimes ça ! Mets-toi à quatre pattes !".
Je m'avance, comme il me le demande.
Les deux autres me matent le cul.
Je lui lèche les testicules, puis, remonte vers son gros gland gonflé.
J'entends François et Gilberto, qui se dénudent derrière moi.
Ils se lâchent verbalement, au fur et à mesure, que mon voisin se venge sur moi, en m'insultant.
Ma gorge coulisse de plus en plus profondément, sur la bite d'Olivier.
Je montre des signes évidents, que j'aime lui sucer la bite.
Il se dresse, pour que je suce ses amis, en même temps que lui.
"Putain, j'aimerai appeler ton père, pour qu'il te voit ! Avec nos bites dans la bouche ! P'tite salope ! Tu veux ?".
"Non, s'il vous plait ! Faites ce que vous voulez, mais pas ça !".
"Elle sait, ta copine, que tu te fais baiser par des hommes de nôtre âge ?".
"Non plus ! Mais, ...j'arrive pas à m'en passer !".
"Ahhh ! C'est bon ! La bite ! Hein ! Et puis, j'ai vu que tu prenais ton pied, quand tu te faisais défoncer la chatte ! Tu couines bien ! Tu m'as bien excité, au cinéma !".
"Mmmmmm ! Mmmmm ! Moui ! C'est trop bon ! Mais, j'aime les filles aussi ! Je veux pas être comme vous !".
"Pourtant ! Tu l'es ! Dommage, pour toi ! Mais, on va se régaler, quand même ! Qui c'est, qui le baise en premier ?".
Gilberto se baisse, pour me lécher la rosette anale.
Je comprends que c'est lui, qui va me prendre en premier.
Je m'en veux beaucoup, mais ces trois complices me donnent beaucoup de plaisir !
Et pourtant, je n'ai pas encore eu, leurs verges dans l'anus !
Mais le simple fait qu'ils me désirent, ça me remplit de frissons pervers !
"Ne vous gênez pas ! Il faut le faire gueuler ! Peut être que son vieux, l'entendra ! Qu'est ce que t'en dit ? Pascal ?".
"Orhhh ! Oui ! Vous avez raison ! Moi aussi ! Je supporte plus sa haine des homos ! Faites moi crier ! Enculez moi ! Orhhh ! J'suis trop excité par vos queues !".
Mon muscle anal s'est détendu, grâce à la langue experte de Gilberto !
Il se colle au centre de mes fesses, et pousse fermement.
Je m'appuie sur le sexe d'Olivier, et le ventre de François.
La belle verge de Gilberto glisse doucement, en m'écartelant les parois anales.
"Arhhhhhhhhhh ! Orhhhh ! C'est bon ! Gilberto ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
"Hummm ! Il est parfait, ton p'tit voisin ! Je pense qu'il va bien m'encaisser ! Ca rentre tout seul !".
Je prend rapidement, ses premiers enfoncements profonds.
J'ai besoin de temps pour m'y habituer, avant de reprendre mes fellations sur Olivier et son copain.
Les coups de queues se font plus virulents.
Ils me provoquent une certaine douleur, à cause des enfoncements qu'ils engendrent, sur les deux gros glands, que je suce, tour à tour.
Ils constatent mon plaisir évident !
"Hummm ! Il veut pas être comme nous, mais c'est une vraie p'tite pédale, quand même ! Une vraie p'tite chienne ! Je les adorent comme ça ! Putain, t'as de la chance, Oliv' ! J'aimerai bien avoir un p'tit voisin, comme lui !".
"Ouais, j'y ai pas cru, quand je l'ai reconnu au ciné ! Mais, crois-moi, que je vais en profiter, avant que mon chéri revienne ici !".
Je dois serrer mes dents, entre chaque pénétration buccale, pour ne pas crier mes orgasmes.
Gilberto me baise à nouveau la gorge.
C'est François qui m'encule, à présent !
Je joui encore, et encore !
Olivier s'étale sur sa table de salon, je dois m'empaler sur lui.
Finalement, j'oublie mes anciennes réticences !
J'aime sa grosse bite d'homosexuel assumé, moi qui préfère les "faux hétéros".
Lui, sait bien mieux m'enculer !
Je me cale sur ses assauts, pour prendre plus de plaisir anal !
Je laisse échapper quelques râles, puis me retiens !
Putain, c'est trop dur de jouir, sans se laisser aller à gueuler !
Heureusement, à cette heure-ci, mes parents regardent la télé, et plutôt fort !
Gilberto demande à Olivier:
"Tu crois que je peux le baiser en double ?".
Mon voisin me tient par la nuque, et me pose la question:
"T'en as envie ? Ma p'tite salope ?".
"Arghhhhhh ! Oui, je l'ai déjà fait ! Allez y !".
Gilberto se colle à l'autre verge, son gland force un peu.
Puis, je pousse un long râle, quand il force, et glisse au fond de ma chatte.
Mon visage est déformé par cette pénétration extrême !
J'adore ce moment si spécial, quand le gland parvient à forcer l'anus.
Puis, quand il glisse lentement, au fond de vous, en vous écartelant !
Olivier me rapproche de sa bouche, et me donne notre premier baiser !
Il m'aide ainsi, à ne pas crier, sous les enfoncements de Gilberto, qui bouge à l'opposé, de la verge de mon voisin.
C'est toujours, empalé ainsi, que mon voisin me redresse le torse.
Il permet à François, de me baiser la gorge.
"Putain ! Là, je la tiens bien, ma vengeance ! Ca mériterait que je te prenne en photo ! Pour la montrer à ton père ! Il verrait que son fils est une vraie p'tite pute ! Orhhh ! Ca m'fait trop bander ! Tu la sens ? Salope ?".
"Mmmmm ! Oui ! Je vous sens bien ! Arghhhhhhh ! Je joui du cul encore ! Orhhhh ! C'est trop bon ! Défoncez moi ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
Gilberto est dépassé par son plaisir.
"Putain ! François ! Viens me remplacer ! Je vais lui baiser la bouche, un peu ! Sinon, je lui balance la purée, dans la chatte !".
Le moment de calme, entre deux doubles pénétrations anales, est presque étrange !
Lorsque François, me comble avec sa verge, contre celle d'Olivier, je ressens un bonheur immense !
Le plaisir anal remonte, il m'envahit, pendant que mes lèvres s'ouvrent.
La bite gonflée d'envie, de Gilberto me viole la gorge, j'aime ça !
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Moui, encore ! Gilberto ! Orghhhhh ! Vous me faites jouir, tous les trois ! Arhhhhhhhh !".
"Orhhh ! En plus, il réclame, cette salope ! Arghhhhhhh ! Tiens ! C'est ça que tu veux ? Tu veux du foutre ? Arhhhhhhhhhhhh !".
"Mmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmmm ! Gllllllllllrp ! Gllllllllllrp ! Mouiiii ! C'est ça ! Gllllllllllrp ! Encore ! Mmmmm !...".
J'avale son sperme brulant, pendant que les deux autres s'excitent, en me défonçant de plus belle.
Olivier me soulève, afin d'ôter sa grosse verge, il ne veut pas jouir, maintenant !
Ca permet à François de m'enculer à sa guise, plus aisément !
Je commence à bander fermement.
J'accompagne ses enfoncements.
Il cède au plaisir, et se libère de son éjaculation, sur l'entrée de ma chatte, puis termine à l'intérieur.
Olivier se dégage de mon corps, qui s'étale sur la table, sur le ventre.
Je leur montre mon cul poisseux, dégoulinant de sperme, et à la disposition de leurs verges.
François, en use et abuse, encore un peu, puis, il cède la place à mon voisin.
Olivier joue avec le foutre, sur mon anus, il n'a aucun mal à glisser, au plus profond de mes intestins.
Il m'encule comme une chienne, en m'insultant.
Il me demande d'acquiescer tout ce qu'il dit sur mon père, et sur ma condition de jeune salope !
Il me cambre, en m'enculant devant les autres !
Si longtemps, que j'éjacule sur sa petite table de salon, sans me toucher la queue !
Gilberto et François ont le regard qui s'illumine !
Olivier me recule, sans s'arrêter, et m'ordonne:
"Nettoie-moi ça ! Salope ! Sinon, j'arrête de t'enculer ! C'est ça que tu veux ?".
"Arggghhhhh ! Arggghhhhh ! Arggghhhhh ! Non, sllllrp ! Sllllllllllllrp ! Je nettoie ! Encules-moi, encore ! Slllrp ! Mmmmm !".
Je ne sais pas, à ce moment précis, qu'il est sur le point de jouir, lui aussi !
Je le comprend, à ses secousses dans ma chatte, et ses mains qui me serrent, à la limite de la douleur, sur mes flancs !
Il prend ensuite, beaucoup de plaisir, à imiter son ami, en déposant ses restes de foutre, sur ma rosette anale, puis me transperce, encore et encore !
"Hummm ! On t'as bien souillé, mon salaud ! Tu feras moins le beau, quand on se recroisera !".
Les trois complices se servent à boire, pendant que je reste près d'eux, épuisé par leurs saillies.
Olivier m'indique ou se trouve la douche.
A mon retour, il est seul.
"Bon, tu peux rentrer chez toi ! Va t'en !".
Il est différent, quelque chose ne va pas !
Il refuse toute conversation !
Je choisi de rentrer chez moi, sans poser de question ! Même s'il n'est que 23 h30 !
Je sombre assez vite, dans mon lit !
Mais l'armée m'a réglé, comme du papier à musique !
Je me réveille, bien avant 7 h du matin !
Je sors de chez moi, discrètement, puis, j'ose ouvrir sa porte.
C'est l'époque, ou les gens n'ont pas encore peur, et ne s'enferment pas !
Je ferme derrière moi, sans bruit.
Je l'entend dormir ! J'approche de la chambre, il est nu !
Je me dénude, à l'entrée de sa chambre, puis, me glisse près de lui.
Il se tourne sur le dos, sa grosse verge est droite comme la veille, quand il m'enculait !
Je la recouvre, de ma gorge chaude !
J'essaie d'être le plus doux, et agréable possible !
Ma bouche coulisse tendrement sur sa bite, bien humidifiée, à présent !
Il gémit dans son sommeil, j'aime ça !
Le contact de ses mains, sur mon crâne, me révèle qu'il s'est réveillé !
"Hummmm ! Encore ! C'est trop bon ! Je m'attendais pas à ça ! Merci Pascal ! Orhhh ! Continues !".
Il me laisse, lui faire l'amour buccalement, pendant de longues minutes !
Puis, il me déplace pour me lécher l'anus, pendant que je m'applique à lui pomper la queue, avec amour et avidité !
Je devine, qu'il veut que je m'arrête !
Mais, j'insiste !
Il essaie de sortir sa grosse verge de ma gorge.
Mais je résiste, jusqu'à son explosion dans ma gorge !
Ses râles m'excitent énormément ! Ils me rendent fier de ma fellation !
Ses flots de sperme m'emplissent d'un plaisir cérébral immense !
J'avale en gloussant de plaisir.
"Mmmmmm ! Mmmmmmmm ! Glllllllrp ! Glllllllllllrp ! C'est bon ! j'aime te faire jouir ! Il est bon, ton sperme !".
Il me donne des coups de gland, au fond de la gorge, putain, ça m'excite !
J'aime, quand la fellation devient juteuse et chaude, comme ça !
"Orhhh ! Putain ! Quelle pipe ! Tu m'as eu ! On peut pas dire que tu sois rancunier ! Toi !".
"Je sais pas pourquoi, j'en avais envie !".
Il prend mon visage et m'embrasse longuement.
"Je m'en veux pour hier soir ! J'aurais pas du ! Tu méritais pas ça ! C'est ton père !".
"Non, je l'ai mérité ! Et puis, moi aussi, j'en ai marre du coté raciste et anti homo, de mon père ! Mais, ça reste mon père ! Je suivrai pas son exemple, mais, je l'aime quand même ! Et puis, ..., j'ai beaucoup joui, hier soir !".
"Ahh ! Ca ! Je l'ai remarqué ! Mes potes se sont régalés ! Autant que moi !".
Je m'allonge près de lui, sur le ventre, et avec mes fesses rebondies.
"Ne restes pas comme ça ! T'es trop beau, avec ton p'tit cul cambré !".
Il plonge entre mes fesses, et reprend son anulingus !
Puis, il me surprend, quand il pointe sa grosse verge contre mon petit trou !
Patiemment, il me pénètre jusqu'aux couilles !
"Arghhhhhhhh ! Olivier ! Tu viens de jouir ! Argggghhhhh ! Comment ?...".
"Parce que tu me plais trop ! Pascal ! Ca m'arrive, quand je suis trop excité !".
Il me burine comme un fou, me fait jouir comme la veille.
Puis, il se retire, et me relève pour m'enculer en levrette.
Je joui encore, en copulant ainsi avec lui.
Je dis copuler, parce que je m'envoie sur sa grosse bite, aussi fort, qu'il me défonce la chatte !
Les orgasmes sont si fort, que je fuis sa verge pour les faire retomber !
puis, il me transperce encore ! Et ainsi de suite !
Il s'affale sur le coté ! Il est fatigué, lui aussi !
"Orhhh ! Putain, tu m'excites trop ! J'arriverai pas à jouir !".
J'agis par instinct.
Je monte sur lui, puis m'empale, en l'embrassant avec sensualité.
L'ambiance change, je me laisse aller, à ses enfoncements profonds, mais retenus ! Puissants, mais tout en douceur.
Notre plaisir commun, monte inexorablement !
Nos mains frottent le corps de l'autre, sans cesse !
J'aime, quand il écartèle mes lobes fessiers, avec ses mains, pour mieux me posséder !
Il prend son temps, puis explose plus de 15 minutes après !
On n'arrête plus de s'enfoncer l'un dans l'autre, pour ne rien perdre de notre orgasme mutuel.
On vient de faire l'amour sensuellement, et j'en ai pas honte !
J'ai adoré ce moment !
Il brise un silence qui devient presque gênant !
"Pascal ! Ca me fait peur ! Il ne faut plus que tu viennes ici !".
"Hummm ! Pourquoi, c'était pas bon ? Moi, j'ai adoré !".
"Si, justement ! Normalement, je fais ça avec mon mec ! J'ai quelqu'un dans ma vie ! Et je sais que je vais m'attacher à toi, si tu reviens ! Tu me plais trop ! T'es jeune ! T'es très beau, tu as tout pour plaire ! Et tu vas me faire souffrir, je le sais !".
"Bon, dommage ! Je comprend ! Tant pis ! Mais, si tu as encore envie ! Je suis pas loin !".
"Merci ! J'y penserai ! Allez ! Prends une douche, et va t'en !".
Je suis rentré, encore une fois. Mais encore plus déçu, que la veille !
Il faut vite que je fasse l'amour avec ma copine !
Histoire d'oublier ce moment, que je n'avais vécu que rarement !
Olivier m'a attrapé au vol, plusieurs fois, sur les deux années, avant mon départ de chez mes parents !
C'était autant des baises urgentes, que des retrouvailles sensuelles !
Avant que mes parents déménagent à leur tour, et lors de mes visites chez eux, on a pu recommencer aussi.
C'est lui qui avait raison, je lui aurai fait du mal !
Il savait que je n'aurai jamais assumé mon homosexualité ! C'est bien comme ça !
Voilà donc, une de mes histoires vécues, à cause de mes trop nombreuses excursions, en lieux de rencontres !
Je vous en conterai d'autres !
Il est normal que je subisse quelques "inconvénients" fâcheux !
Même si Toulon est une ville cosmopolite, très peuplée, et très visitée aussi !
Et que l'on peut y profiter d'un certain anonymat.
Où je veux en venir ?
Ben, malgré le nombre énorme d'hommes (mariés pour la plupart !) qui se renouvelle constamment, il m'arrive de croiser des hommes que je connais dans ma vie "publique" !
Et ça, je crains ! Je tiens à ce que mes penchants de salope pour hommes, restent secrets.
Si c'est un homme que je côtoie souvent, je me cache très rapidement !
J'attend qu'il parte, sinon, je m'en vais, déçu de ne pas avoir assez joui !
Il vient de gâcher ma journée !
Il y a ceux que vous appréciez, et les autres ! Les gros cons !
Ceux là ! Se régalent de vous baiser, si vous n'avez pas eu le temps de les éviter !
Et ils s'ajoutent à la liste de ceux qui vous feront du chantage !
"Arrêtes de râler ! Suces-moi !", ou encore "Laisses moi te baiser, sinon !".
Les sympas deviennent vos complices !
Il m'est arrivé aussi, d'apprécier qu'un connard m'encule, à la longue !
Surement, à cause de mon attirance pour la soumission !
Bref ! Ca s'est toujours bien passé, mais j'avais toujours horreur de ces situations !
C'est comme ça, j'aime pas mélanger ma vie "officielle", et mes fantasmes pervers !
L'un d'eux m'a eu, par surprise !
J'étais au cinéma porno, je sortais de l'armée, depuis quelques mois.
Je commençais à tromper mon premier amour, une fille de 16 ans.
Les plaisirs entre hommes, me manquaient trop.
Après quelques fellations dans les rangées de sièges, je me rend dans les W.C toilettes !
Je suis pris d'assauts par quatre hommes, que je dois sucer, et encaisser dans l'anus.
Je vis mes premiers orgasmes anaux, le nombre me le permet !
Ils ne sont plus que deux, l'un devant, dans ma gorge, encore pleine, du gout de sperme du précédent.
L'autre annonce, qu'il va ajouter son éjaculation dans mon anus, en me secouant comme un forcené.
Il jouit enfin, je peux me concentrer sur la verge devant moi, en appréciant mon plaisir anal qui retombe !
L'homme recule, mon trou reste béant, pollué et poisseux !
De nouvelles mains m'entourent la taille, puis un gros sexe me transperce d'une traite !
"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Elle est bonne, ta grosse queue ! Arghhhhhhh ! D'où tu viens ? Toi ?".
"D'abord, on dit bonjour ! Voisin ! J'étais pas sûr que c'était toi ! Mais, je me trompais pas ! Donc, tu l'aimes, ma grosse bite !".
"Qu... Quoi ? Non ! Pas vous ! Orghhhhhhhh ! Putain ! Moins fort ! Arghhhhhhh !".
"Putain, j'y crois pas ! J'me tape le fils du voisin ! Lui qui a horreur des pédés ! Toutes les insultes qu'il m'a envoyées, ce con ! J'me venge, enfin ! J'vais lui dire que je t'ai enculé ! Il arrêtera de me faire chier !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Non, s'il vous plait ! Arghhhhhhhhhh !".
"Allez suces ! P'tite salope !".
Il me renvoie, sur la verge que j'ai cessé de sucer !
Rapidement, l'inconnu me remplit la gorge, de son éjaculation chaude et gluante.
J'essaie de ne pas ressentir de plaisir anal, mais mon voisin m'encule trop bien !
Je joui, en me détestant de le faire !
"Putain, c'est le pied ! Si tu veux pas que je raconte tout, tu vas venir me voir ! J'en ai pas fini avec toi ! Ton père m'en a trop fait voir ! On est d'accord ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Mais votre copain ? Arghhhhhhhhhh !...".
"Il est chez ses parents, pour 3 semaines ! C'est pour ça que je suis ici ! J'ai envie de baiser ! Et tu tombes à pic ! Laisses-moi le temps de m'organiser ! Tu viens samedi soir !".
"Arghhhhhhhhhh ! D'accord ! Arghhhhhhhhhh ! ...".
Ce salaud m'a démonté, encore un moment, puis m'a inséminé, en me traitant de petite salope !
Il a quitté le cinéma ensuite !
Quand à moi, je m'en remet pas, et reste un long moment en fond de salle.
Comment, je vais faire, pour gérer ça ?
Puis, je retrouve mes désirs, et je partage avec d'autres hommes, le plaisir de les sucer, et de les avaler.
Un dernier m'encule dans le cabinet de toilettes.
Assez longtemps, pour que je me fasse éjaculer, en me branlant, pendant qu'il me défonce le cul !
Ca y est ! J'ai eu mon compte, je peux rentrer !
J'ai un certain blocage, en arrivant sur le palier de mes parents !
Je vois la porte du voisin !
Putain ! Je me déteste ! Il m'a enculé le salaud ! Et j'ai aimé ça !
Si je ne fréquentais pas le cinéma porno, il ne m'aurait jamais baisé !
C'est ma faute !
Mais soyons réaliste ! J'en ai trop besoin moi ! De ce cinéma !
Pour vous décrire le personnage, il vit depuis 2 ans, sur notre palier, il est en couple avec un homme, un peu plus jeune que lui.
J'estime qu'ils ont près de 40 ans, pour le plus jeune, et 50 ans pour lui !
Le souci, c'est que mon père est raciste, homophobe, et alcoolique ! Tout ça, ne fait pas bon ménage !
Hormis ces défauts, c'est un homme très gentil ! Et c'est mon père, quand même !
Il s'attrape souvent avec le voisin, il ne supporte pas d'avoir des pédés sur son palier !
S'il savait que "l'ennemi", est chez lui, également !
Je m'en veux, mais j'avoue que parfois, je participe aux plaisanteries sur les homos !
Lors de diners avec des amis de mon père, ou les miens !
J'ai le sentiment de "noyer le poisson", ils ne pourront pas deviner que des hommes me baisent !
Le samedi soir, à 20 h, je dis à mes parents que je sors avec des potes, pour la soirée.
En tapotant discrètement, chez le voisin, j'en mène pas large !
Il ouvre, et me tire par le bras !
"Viens là, p'tite salope !".
Il rajoute à ma peur d'être surpris !
Il ferme le loquet, puis m'entraine vers son salon.
Il y a deux autres hommes de son âge, qui boivent du vin.
"J'vous présente le fils du voisin ! Celui qui me casse les couilles, depuis deux ans ! Vous allez m'aider à me venger ! On va bien le baiser ! Il adore ça, en plus ! C'est quoi ton prénom déjà ?".
"P... Pascal...".
"Détends toi Pascal ! On va pas te manger ! Ca va bien se passer !".
C'est le plus typé des deux, qui me dit ça !
Je me sens pris au piège, mais je me rassure aussi !
Ils ne peuvent pas me faire de mal !
Je vais seulement, assumer ma passion pour la bite !
Ils vont utiliser mon corps, voilà tout !
Olivier, mon voisin, m'ordonne de me déshabiller devant eux.
Gilberto, le plus typé des deux invités, avec François, s'assoit.
Il dégage sa verge foncée, pour se branler en me matant, tout en sirotant son verre.
François me caresse, il me fait des compliments, sur mon physique de jeune garçon, et ma "p'tite gueule d'ange".
Olivier se dénude, et s'assoit sur un fauteuil.
"Viens me sucer la bite ! Montres leur, comme tu aimes ça ! Mets-toi à quatre pattes !".
Je m'avance, comme il me le demande.
Les deux autres me matent le cul.
Je lui lèche les testicules, puis, remonte vers son gros gland gonflé.
J'entends François et Gilberto, qui se dénudent derrière moi.
Ils se lâchent verbalement, au fur et à mesure, que mon voisin se venge sur moi, en m'insultant.
Ma gorge coulisse de plus en plus profondément, sur la bite d'Olivier.
Je montre des signes évidents, que j'aime lui sucer la bite.
Il se dresse, pour que je suce ses amis, en même temps que lui.
"Putain, j'aimerai appeler ton père, pour qu'il te voit ! Avec nos bites dans la bouche ! P'tite salope ! Tu veux ?".
"Non, s'il vous plait ! Faites ce que vous voulez, mais pas ça !".
"Elle sait, ta copine, que tu te fais baiser par des hommes de nôtre âge ?".
"Non plus ! Mais, ...j'arrive pas à m'en passer !".
"Ahhh ! C'est bon ! La bite ! Hein ! Et puis, j'ai vu que tu prenais ton pied, quand tu te faisais défoncer la chatte ! Tu couines bien ! Tu m'as bien excité, au cinéma !".
"Mmmmmm ! Mmmmm ! Moui ! C'est trop bon ! Mais, j'aime les filles aussi ! Je veux pas être comme vous !".
"Pourtant ! Tu l'es ! Dommage, pour toi ! Mais, on va se régaler, quand même ! Qui c'est, qui le baise en premier ?".
Gilberto se baisse, pour me lécher la rosette anale.
Je comprends que c'est lui, qui va me prendre en premier.
Je m'en veux beaucoup, mais ces trois complices me donnent beaucoup de plaisir !
Et pourtant, je n'ai pas encore eu, leurs verges dans l'anus !
Mais le simple fait qu'ils me désirent, ça me remplit de frissons pervers !
"Ne vous gênez pas ! Il faut le faire gueuler ! Peut être que son vieux, l'entendra ! Qu'est ce que t'en dit ? Pascal ?".
"Orhhh ! Oui ! Vous avez raison ! Moi aussi ! Je supporte plus sa haine des homos ! Faites moi crier ! Enculez moi ! Orhhh ! J'suis trop excité par vos queues !".
Mon muscle anal s'est détendu, grâce à la langue experte de Gilberto !
Il se colle au centre de mes fesses, et pousse fermement.
Je m'appuie sur le sexe d'Olivier, et le ventre de François.
La belle verge de Gilberto glisse doucement, en m'écartelant les parois anales.
"Arhhhhhhhhhh ! Orhhhh ! C'est bon ! Gilberto ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
"Hummm ! Il est parfait, ton p'tit voisin ! Je pense qu'il va bien m'encaisser ! Ca rentre tout seul !".
Je prend rapidement, ses premiers enfoncements profonds.
J'ai besoin de temps pour m'y habituer, avant de reprendre mes fellations sur Olivier et son copain.
Les coups de queues se font plus virulents.
Ils me provoquent une certaine douleur, à cause des enfoncements qu'ils engendrent, sur les deux gros glands, que je suce, tour à tour.
Ils constatent mon plaisir évident !
"Hummm ! Il veut pas être comme nous, mais c'est une vraie p'tite pédale, quand même ! Une vraie p'tite chienne ! Je les adorent comme ça ! Putain, t'as de la chance, Oliv' ! J'aimerai bien avoir un p'tit voisin, comme lui !".
"Ouais, j'y ai pas cru, quand je l'ai reconnu au ciné ! Mais, crois-moi, que je vais en profiter, avant que mon chéri revienne ici !".
Je dois serrer mes dents, entre chaque pénétration buccale, pour ne pas crier mes orgasmes.
Gilberto me baise à nouveau la gorge.
C'est François qui m'encule, à présent !
Je joui encore, et encore !
Olivier s'étale sur sa table de salon, je dois m'empaler sur lui.
Finalement, j'oublie mes anciennes réticences !
J'aime sa grosse bite d'homosexuel assumé, moi qui préfère les "faux hétéros".
Lui, sait bien mieux m'enculer !
Je me cale sur ses assauts, pour prendre plus de plaisir anal !
Je laisse échapper quelques râles, puis me retiens !
Putain, c'est trop dur de jouir, sans se laisser aller à gueuler !
Heureusement, à cette heure-ci, mes parents regardent la télé, et plutôt fort !
Gilberto demande à Olivier:
"Tu crois que je peux le baiser en double ?".
Mon voisin me tient par la nuque, et me pose la question:
"T'en as envie ? Ma p'tite salope ?".
"Arghhhhhh ! Oui, je l'ai déjà fait ! Allez y !".
Gilberto se colle à l'autre verge, son gland force un peu.
Puis, je pousse un long râle, quand il force, et glisse au fond de ma chatte.
Mon visage est déformé par cette pénétration extrême !
J'adore ce moment si spécial, quand le gland parvient à forcer l'anus.
Puis, quand il glisse lentement, au fond de vous, en vous écartelant !
Olivier me rapproche de sa bouche, et me donne notre premier baiser !
Il m'aide ainsi, à ne pas crier, sous les enfoncements de Gilberto, qui bouge à l'opposé, de la verge de mon voisin.
C'est toujours, empalé ainsi, que mon voisin me redresse le torse.
Il permet à François, de me baiser la gorge.
"Putain ! Là, je la tiens bien, ma vengeance ! Ca mériterait que je te prenne en photo ! Pour la montrer à ton père ! Il verrait que son fils est une vraie p'tite pute ! Orhhh ! Ca m'fait trop bander ! Tu la sens ? Salope ?".
"Mmmmm ! Oui ! Je vous sens bien ! Arghhhhhhh ! Je joui du cul encore ! Orhhhh ! C'est trop bon ! Défoncez moi ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".
Gilberto est dépassé par son plaisir.
"Putain ! François ! Viens me remplacer ! Je vais lui baiser la bouche, un peu ! Sinon, je lui balance la purée, dans la chatte !".
Le moment de calme, entre deux doubles pénétrations anales, est presque étrange !
Lorsque François, me comble avec sa verge, contre celle d'Olivier, je ressens un bonheur immense !
Le plaisir anal remonte, il m'envahit, pendant que mes lèvres s'ouvrent.
La bite gonflée d'envie, de Gilberto me viole la gorge, j'aime ça !
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Moui, encore ! Gilberto ! Orghhhhh ! Vous me faites jouir, tous les trois ! Arhhhhhhhh !".
"Orhhh ! En plus, il réclame, cette salope ! Arghhhhhhh ! Tiens ! C'est ça que tu veux ? Tu veux du foutre ? Arhhhhhhhhhhhh !".
"Mmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmmm ! Gllllllllllrp ! Gllllllllllrp ! Mouiiii ! C'est ça ! Gllllllllllrp ! Encore ! Mmmmm !...".
J'avale son sperme brulant, pendant que les deux autres s'excitent, en me défonçant de plus belle.
Olivier me soulève, afin d'ôter sa grosse verge, il ne veut pas jouir, maintenant !
Ca permet à François de m'enculer à sa guise, plus aisément !
Je commence à bander fermement.
J'accompagne ses enfoncements.
Il cède au plaisir, et se libère de son éjaculation, sur l'entrée de ma chatte, puis termine à l'intérieur.
Olivier se dégage de mon corps, qui s'étale sur la table, sur le ventre.
Je leur montre mon cul poisseux, dégoulinant de sperme, et à la disposition de leurs verges.
François, en use et abuse, encore un peu, puis, il cède la place à mon voisin.
Olivier joue avec le foutre, sur mon anus, il n'a aucun mal à glisser, au plus profond de mes intestins.
Il m'encule comme une chienne, en m'insultant.
Il me demande d'acquiescer tout ce qu'il dit sur mon père, et sur ma condition de jeune salope !
Il me cambre, en m'enculant devant les autres !
Si longtemps, que j'éjacule sur sa petite table de salon, sans me toucher la queue !
Gilberto et François ont le regard qui s'illumine !
Olivier me recule, sans s'arrêter, et m'ordonne:
"Nettoie-moi ça ! Salope ! Sinon, j'arrête de t'enculer ! C'est ça que tu veux ?".
"Arggghhhhh ! Arggghhhhh ! Arggghhhhh ! Non, sllllrp ! Sllllllllllllrp ! Je nettoie ! Encules-moi, encore ! Slllrp ! Mmmmm !".
Je ne sais pas, à ce moment précis, qu'il est sur le point de jouir, lui aussi !
Je le comprend, à ses secousses dans ma chatte, et ses mains qui me serrent, à la limite de la douleur, sur mes flancs !
Il prend ensuite, beaucoup de plaisir, à imiter son ami, en déposant ses restes de foutre, sur ma rosette anale, puis me transperce, encore et encore !
"Hummm ! On t'as bien souillé, mon salaud ! Tu feras moins le beau, quand on se recroisera !".
Les trois complices se servent à boire, pendant que je reste près d'eux, épuisé par leurs saillies.
Olivier m'indique ou se trouve la douche.
A mon retour, il est seul.
"Bon, tu peux rentrer chez toi ! Va t'en !".
Il est différent, quelque chose ne va pas !
Il refuse toute conversation !
Je choisi de rentrer chez moi, sans poser de question ! Même s'il n'est que 23 h30 !
Je sombre assez vite, dans mon lit !
Mais l'armée m'a réglé, comme du papier à musique !
Je me réveille, bien avant 7 h du matin !
Je sors de chez moi, discrètement, puis, j'ose ouvrir sa porte.
C'est l'époque, ou les gens n'ont pas encore peur, et ne s'enferment pas !
Je ferme derrière moi, sans bruit.
Je l'entend dormir ! J'approche de la chambre, il est nu !
Je me dénude, à l'entrée de sa chambre, puis, me glisse près de lui.
Il se tourne sur le dos, sa grosse verge est droite comme la veille, quand il m'enculait !
Je la recouvre, de ma gorge chaude !
J'essaie d'être le plus doux, et agréable possible !
Ma bouche coulisse tendrement sur sa bite, bien humidifiée, à présent !
Il gémit dans son sommeil, j'aime ça !
Le contact de ses mains, sur mon crâne, me révèle qu'il s'est réveillé !
"Hummmm ! Encore ! C'est trop bon ! Je m'attendais pas à ça ! Merci Pascal ! Orhhh ! Continues !".
Il me laisse, lui faire l'amour buccalement, pendant de longues minutes !
Puis, il me déplace pour me lécher l'anus, pendant que je m'applique à lui pomper la queue, avec amour et avidité !
Je devine, qu'il veut que je m'arrête !
Mais, j'insiste !
Il essaie de sortir sa grosse verge de ma gorge.
Mais je résiste, jusqu'à son explosion dans ma gorge !
Ses râles m'excitent énormément ! Ils me rendent fier de ma fellation !
Ses flots de sperme m'emplissent d'un plaisir cérébral immense !
J'avale en gloussant de plaisir.
"Mmmmmm ! Mmmmmmmm ! Glllllllrp ! Glllllllllllrp ! C'est bon ! j'aime te faire jouir ! Il est bon, ton sperme !".
Il me donne des coups de gland, au fond de la gorge, putain, ça m'excite !
J'aime, quand la fellation devient juteuse et chaude, comme ça !
"Orhhh ! Putain ! Quelle pipe ! Tu m'as eu ! On peut pas dire que tu sois rancunier ! Toi !".
"Je sais pas pourquoi, j'en avais envie !".
Il prend mon visage et m'embrasse longuement.
"Je m'en veux pour hier soir ! J'aurais pas du ! Tu méritais pas ça ! C'est ton père !".
"Non, je l'ai mérité ! Et puis, moi aussi, j'en ai marre du coté raciste et anti homo, de mon père ! Mais, ça reste mon père ! Je suivrai pas son exemple, mais, je l'aime quand même ! Et puis, ..., j'ai beaucoup joui, hier soir !".
"Ahh ! Ca ! Je l'ai remarqué ! Mes potes se sont régalés ! Autant que moi !".
Je m'allonge près de lui, sur le ventre, et avec mes fesses rebondies.
"Ne restes pas comme ça ! T'es trop beau, avec ton p'tit cul cambré !".
Il plonge entre mes fesses, et reprend son anulingus !
Puis, il me surprend, quand il pointe sa grosse verge contre mon petit trou !
Patiemment, il me pénètre jusqu'aux couilles !
"Arghhhhhhhh ! Olivier ! Tu viens de jouir ! Argggghhhhh ! Comment ?...".
"Parce que tu me plais trop ! Pascal ! Ca m'arrive, quand je suis trop excité !".
Il me burine comme un fou, me fait jouir comme la veille.
Puis, il se retire, et me relève pour m'enculer en levrette.
Je joui encore, en copulant ainsi avec lui.
Je dis copuler, parce que je m'envoie sur sa grosse bite, aussi fort, qu'il me défonce la chatte !
Les orgasmes sont si fort, que je fuis sa verge pour les faire retomber !
puis, il me transperce encore ! Et ainsi de suite !
Il s'affale sur le coté ! Il est fatigué, lui aussi !
"Orhhh ! Putain, tu m'excites trop ! J'arriverai pas à jouir !".
J'agis par instinct.
Je monte sur lui, puis m'empale, en l'embrassant avec sensualité.
L'ambiance change, je me laisse aller, à ses enfoncements profonds, mais retenus ! Puissants, mais tout en douceur.
Notre plaisir commun, monte inexorablement !
Nos mains frottent le corps de l'autre, sans cesse !
J'aime, quand il écartèle mes lobes fessiers, avec ses mains, pour mieux me posséder !
Il prend son temps, puis explose plus de 15 minutes après !
On n'arrête plus de s'enfoncer l'un dans l'autre, pour ne rien perdre de notre orgasme mutuel.
On vient de faire l'amour sensuellement, et j'en ai pas honte !
J'ai adoré ce moment !
Il brise un silence qui devient presque gênant !
"Pascal ! Ca me fait peur ! Il ne faut plus que tu viennes ici !".
"Hummm ! Pourquoi, c'était pas bon ? Moi, j'ai adoré !".
"Si, justement ! Normalement, je fais ça avec mon mec ! J'ai quelqu'un dans ma vie ! Et je sais que je vais m'attacher à toi, si tu reviens ! Tu me plais trop ! T'es jeune ! T'es très beau, tu as tout pour plaire ! Et tu vas me faire souffrir, je le sais !".
"Bon, dommage ! Je comprend ! Tant pis ! Mais, si tu as encore envie ! Je suis pas loin !".
"Merci ! J'y penserai ! Allez ! Prends une douche, et va t'en !".
Je suis rentré, encore une fois. Mais encore plus déçu, que la veille !
Il faut vite que je fasse l'amour avec ma copine !
Histoire d'oublier ce moment, que je n'avais vécu que rarement !
Olivier m'a attrapé au vol, plusieurs fois, sur les deux années, avant mon départ de chez mes parents !
C'était autant des baises urgentes, que des retrouvailles sensuelles !
Avant que mes parents déménagent à leur tour, et lors de mes visites chez eux, on a pu recommencer aussi.
C'est lui qui avait raison, je lui aurai fait du mal !
Il savait que je n'aurai jamais assumé mon homosexualité ! C'est bien comme ça !
Voilà donc, une de mes histoires vécues, à cause de mes trop nombreuses excursions, en lieux de rencontres !
Je vous en conterai d'autres !
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