Les rencontres indésirables - 4 - histoire érotique

Donc, la vie est ainsi faite !
On rencontre des tas de gens, un peu partout !

J'ai du sucer plusieurs fois, un type, dans le bus.
Très tôt, le matin, parce qu'il avait déjà gouté à ma gorge, en lieu de rencontre !
Il a profité de moi, pendant tout son mois d'essai, dans mon entreprise !
Comme il m'aimait bien, il a eu d'autres idées perverses.
Il a donc testé la sodomie sur moi ! J'étais le premier garçon qu'il enculait !
Et il a aimé ça ! Evidement ! Il m'a possédé trois fois.
Il aimait dire:

"Oh, putain ! Ca c'est trop bon ! Tu sais ce que je préfère , C'est que j'ai pas besoin de me retenir ! je peux tout te mettre ! Il n'y a pas de risque, que tu sois enceinte ! C'est génial ! En plus, c'est plus serré qu'une chatte ! J'adore !".

Il y a aussi Gilles ! Qui s'est trouvé, être le père d'un de mes meilleurs amis !
Si ça me bloquait, au début, lui était encore plus motivé, pour me baiser !

Et tous ces inconnus, qui ont participé aux soirées spéciales !
Ou, j'étais le seul à ne pas porter de masque !
Des hommes ont osé m'aborder, par la suite !
Me donnant RDV, chez eux, ou à l'hôtel, en me disant à l'oreille:

"Si ca te dit, de t'amuser un peu !".
"Mais, monsieur, on se connait pas ?".
"Si ! Moi, je te connais, je sais que t'aimes sucer des bites, et te faire enculer ! Appelles-moi ! Tu vas adorer !".

Est-ce qu'ils étaient à une soirée ? Je ne le saurai jamais !
Je n'ai accepté que 3 fois, les types me plaisaient bien, et j'en avais envie !
J'ai bien fait, je me suis bien amusé !
C'était entre eux et moi, pas de témoin ! C'était excitant !

Un autre, très cérébral et âgé de 60 ans environ, en a voulu plus que les précédents !
Il n'a pas voulu se contenter des baises au bord de mer !
Il voulait aussi me baiser chez moi !

J'ai du attendre que Corinne s'absente pour le recevoir !
Il m'a utilisé comme un jouet sexuel !

Il a amené un gros sac avec lui.
Il était plein de godes divers ! Mon anus a servi de trou, pour les tester tous, les uns après les autres, parfois ensemble !
J'avoue que cette fois, il m'a perdu !
Malgré le plaisir anal, je m'ennuyais fortement !

Si j'ai envie d'un gode, je prend un des miens ! J'ai pas besoin de lui !
Même, si je lui suçai la bite, quand il m'enculait avec ses jouets.
J'y étais plus !

Il a joui, en ajoutant sa queue, à l'un des godes dans ma chatte !
Ca n'a pas duré assez longtemps pour que je jouisse !
Il a utilisé son foutre comme lubrifiant, pour me faire orgasmer avec son gode !
Enfin !

J'ai voulu l'ignorer, par la suite !
Mais il a insisté !

"Désolé ! Robert ! Mais, je commence à me lasser, passes à quelqu'un d'autre !".
"Mais, comment je vais trouver ? Moi ! Tu me plais trop, en plus On s'amuse bien, non ?".
"Je sais pas, je suis pas le seul ! Essaies le minitel !".

Notre relation n'a duré que quelques jours !
Pourtant, pas facile de m'en débarrasser !
Il a trouvé le moyen de me baiser, encore une autre fois !
Avec un argument de poids, il connaissait mon point faible !

"Et si je te présente un copain, qui a une grosse bite ?".

Au début, j'ai fait la sourde oreille, puis, il a réussi à m'intriguer, et donner envie, aussi !
Donc, cette fois, c'était chez son pote !
Le type était à mon gout ! Très grand, et son pantalon fin, avait du mal à contenir son appareil génital !
C'est Robert qui a lancé les hostilités !

Il m'a baisé en premier, alors que je me régalais avec la bouche, des proportions impressionnantes de son ami, Thomas !

Robert a joui très rapidement.
Ensuite, il a compris qu'il était de trop.
Au bout de trente minutes de saillie extrême, par Thomas, il constate que ma jouissance est bien plus forte !

"Bon, je vous laisse. Je vous sers plus à grand chose !".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".

Je suis trop occupé par mes orgasmes !
Je suis en position de chienne soumise, le corps cambré, et le visage enfoncé dans le canapé.

"Ouais ! Salut Robert, merci pour le tuyau ! Je me régale ! Orrrrhhh ! Désolé, je suis trop occupé ! Il a une chatte d'enfer, ton p'tit copain !".
"Je te l'avais dis ! c'est une bonne salope ! Bonne défonce ! Il adore ta bite, en tout cas !".
" Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Encore, Thomas ! Arghhhhhhhhh !...".

Robert a du constater, que j'avais éjaculé tout mon sperme, grâce à la bite de son copain.
Et s'il continue, je vais vider ma vessie sur son canapé !

Je n'ai jamais su, ni ou, ni comment, le fameux Thomas avait connu Robert !
Ils n'avaient rien de commun.

Thomas avait 15 ans de plus que moi, (donc 40 ans, pour lui) avec la fougue que cela offre !
Il profitait de la maison de sa mère, pendant l'été, avant qu'elle la vende !
Moi, je n'ai profité de sa bite, que 3 fois, sur 3 semaines !
Pour plus de discrétion, c'est moi qui l'appelait.

"C'est Pascal !".
"Viens, mon chéri ! Tu tombes à pic ! On va bien s'amuser !".
"J'arrive !".

Il est retourné dans sa région, ensuite.
Dommage ! Je vous en reparlerai peut être !

Le plus marquant, ce fut ma rencontre inattendue avec une ancienne connaissance.
Un homme de plus de 50 ans, encore !
Je l'ai connu adolescent, de mes 15, à mes 18 ans !

J'ai 22 ans, ce jour là ! J'étais au Sex-shop, dans un coin sombre.
Cet autre Sex-shop (au centre ville, près de la Poste) à la particularité de faire payer l'accès à un couloir de cabines de projection X.
Cela pour une heure seulement, il faut donc faire très vite, pour baiser !
J'y allais peu souvent !

L'homme m'a repéré de dos, quand j'entrai dans une cabine éteinte.
Mon cul a du lui donner envie !

Il vient vers moi, puis me serre contre son corps.

"Hummm ! T'as l'air mignon, toi ! Tu dois être jeune ? T'as quel âge ?".
"22 ans ! Et vous ?".
"57 ! Ca va ? C'est pas trop vieux pour toi ?".
"Non ! Ca ne me déranges pas ! Au contraire ! Ca m'excites !".
"Moi, c'est toi qui m'excite ! Tu sens comme je bande !".

Il me tient par les joues, et m'embrasse avec perversité !
Celui là, il aime les jeunes garçons !
Je le ressens dans sa fougue, et son érection !
Ma main serre déjà sa verge épaisse.
Hummm ! Ca promet d'être jouissif !

Le fait de baiser dans la pénombre, nous excite tous les deux.
Il me guide vers sa large queue, que je devine d'une bonne vingtaine de centimètres.

Je glousse littéralement de bonheur, en le suçant.
Je me régale avec avidité, il me remplit bien la gorge !

Tout en gémissant son plaisir, il me caresse tendrement les cheveux.
J'aime ce moment de partage, en plaisir buccal.
Ses gémissements se mêlent aux miens, on s'entend parfaitement !

Ensuite, il me soulève, et me tourne contre le mur.

"Orhhhh ! Il faut que je te prenne ! J'ai trop envie de toi ! Tu m'plais ! Comment tu t'appelles ?".
"Pascal ! Orghhh ! J'ai envie moi, aussi ! Arhhhhhhhhh !".

Comme j'ai vécu une première sodomie avec un autre inconnu, il me pénètre sans difficulté !
Mais, grâce à ses proportions bien plus avantageuses, je prend vite un premier orgasme anal !

Il est pris d'un désir incontrôlable, il me laboure la chatte sans discontinuer.
Il me colle puissamment contre la paroi, en me transperçant le cul.
J'aime sa puissance.
La cabine s'empli de mes râles de jouissance anale, pendant qu'il m'empale avec force.
C'est si fort que j'éjacule contre la paroi devant moi.

Mes râles de plaisir le font craquer, et il se vide les couilles dans mon anus, sans retenue.
J'aime ce moment, au point de lui caresser la nuque, pendant qu'il m'insémine.

On reste un long moment sans parler, il faut que ça redescende un peu.
C'était trop bon !

Il parle en premier:

"Hummm ! Pascal ! J'ai adoré ! Ca te dirai de recommencer chez moi ?".
"Orhhh ! Humm ! Oui ! J'adorerai ! Moi aussi, j'ai aimé !".
On sort de la pénombre, après un nettoyage précaire.
Son visage m'apparait enfin à la lumière !
Il me regarde, étonné !

"Non ! C'est toi ? Pascal ? Putain ! Je suis désolé !".
"Euh, oui, c'est moi, Monsieur G.... ! M... Moi aussi, je suis désolé !".

Ce type était mon prof d'histoire de l'art !
On est aussi gêné l'un que l'autre !

"Oh, putain ! On fait quoi ? C'est un peu tard pour revenir en arrière ! En plus, je t'ai pas ménagé ! Tu regrettes ?".
"C'est sûr ! Mais c'est ce que j'aime ! j'ai honte, mais c'est comme ça !".
"Pas de souci, pour moi ! Au contraire ! On se revoit quand même, alors ?".
"J'aimerai bien, mais je comprendrai que vous ne vouliez plus !".
"Ah, non, c'était trop bien ! T'es libre quand ?".
"Euh, je suis encore chez mes parents, donc tous les soirs !".
"Vendredi soir ! C'est bon ?".
"Oui, ou ça ?".
"Attends-moi à 20 h sur la place D... !".

"Ok ! Ca me fait bizarre, encore !".
"Moi, aussi ! Tu me plaisais beaucoup à l'époque ! En plus, t'étais un très bon élève ! Mon préféré, dans ta classe ! Mais j'osais pas imaginer que je te baiserai, tu penses bien que je m'interdis ce genre de relation, avec des élèves ! C'est normal !".
"J'imagine ! Mais c'est un accident ! On pouvait pas savoir !".
"Oui ! Un heureux accident ! je trouve !".

On se sourit, puis on se quitte.
Les 5 jours qui suivent sont étranges pour moi.
Je suis entre l'excitation du plaisir vécu avec lui, et celle du fait que mon ancien prof d'histoire, m'a baisé avec vice.

Je n'arrive pas à m'en vouloir d'être excité, comme jamais auparavant .
Jamais, je n'aurai deviné qu'il aimait les jeunes garçons !
Il cache bien son jeu ! Bien que je ne lui connaisse pas de relation féminine !

Le soir venu, il est au rendez vous !
On est très sages, dans l'auto, jusque chez lui.
On entre dans son salon.

"Tu as mangé, Pascal ?".
"Oui, merci, M'sieur G... !".
"Ca me fait drôle, tu veux pas m'appeler autrement ?".
"Euh, j'y arriverai pas ! Et puis, c'est fait, on peut pas changer ce qu'on a fait !".
"Oui, et je regrette pas ! Viens là !".

Il m'embrasse fougueusement, avec sa grosse langue râpeuse.

"Hummm ! T'es toujours aussi beau ! Tu m'excites ! J'ai déjà envie de toi ! Quand je pense, que je t'ai mis ma grosse queue dans les fesses, sans savoir que c'était toi !".

Ses grosses mains se glissent entre mon pantalon, et mes fesses cambrées.
Il m'écarte les lobes fessiers, sans quitter ma bouche.
J'avoue que je suis encore un peu dépassé, par cette relation inattendue.
Je m'offre à ses mains, et sa bouche, sans résistance.

"Oh ! Putain ! Pascal, tu m'excites trop ! Il faut que je te prenne maintenant, tu m'en veux pas ?".
"Non ! Prenez moi ! J'en ai envie, moi aussi !".

"Merci, occupes toi de ma queue, pendant que je me déshabille !".
"Mmmm ! Sllrpp ! Mmmmm ! J'aime vous avoir dans la bouche ! Mmmmmm ! Mmmmmmmmmmm !".

Son corps m'apparait, il me dénude également.
Puis, il profite encore de ma langue et ma gorge humide, sur sa verge épaisse.

"Hummmm ! Pour ça aussi, t'es très doué, tu t'appliques beaucoup, Ourhhh ! C'est bon !".
"Mmmmm ! Merci, M'sieur G... ! C'est parce que j'adore ça !".
"Orhhh ! Ca se voit mon p'tit Pascal ! Continues alors ! Fais toi plaisir !".

Il me laisse lui donner un long plaisir buccal, assis sur une chaise de salon.
Je suis au sol, nu, entre ses cuisses écartées.
Mon visage coulisse longuement sur sa verge gonflée d'envie.
Quand je pense qu'à l'époque, je refusais d'imaginer que je ferai ça à des hommes !
Et aujourd'hui, je me régale, de sucer mon ancien prof de 57 ans !

"Stop ! Pascal ! J'veux te prendre, maintenant !".
Il me couche en travers de son canapé, et écarte mes cuisses.
Ma tête est coincée, forçant mon regard vers sa pénétration.

"Orhhh ! Il faut que je me calme, je vais jouir trop vite ! Ce serait dommage !".

Il plonge entre mes jambes, et me lèche l'anus, en salivant énormément.
Putain ! Monsieur G... me bouffe le cul !

Ca dure assez longtemps, puis il se place entre mes fesses.
Son gros gland dilate mon anus, lentement.
Je gémis de plaisir.

"On va prendre notre temps ! Mon p'tit Pascal ! Je veux pas gâcher ce moment !".
"Ohhh ! Oui ! Arghhhhh ! Oui ! Comme ça !".

Lentement, sa grosse verge me remplit les parois anales.
Jusqu'à toucher mon œillet, avec la base de sa queue.

Une contraction fait gonfler sa verge dans mon anus, je gémis de plaisir !

"Orghhhhhh ! Oui, c'est bon ! M'sieur G... ! Encore !".

Il bouge d'un coup sec, le plus profondément possible !

"Comme ça ? C'est ça que tu veux, mon p'tit ?".
"Arghhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Encore ! Lâchez vous M'sieur G... ! J'aime ça !".

"Tu veux que je me lâche ? T'inquiètes ! Je vais le faire ! Pour le moment, je profite de toi !".

Il s'enfonce en moi, en cherchant mes profondeurs anales.
A chaque remplissage, il me fait râler de plaisir, en cambrant mon corps !

"Arghhhhhh ! C'est bon ! M'sieur G... ! Encore ! Je vais jouir comme ça !".
"Oui, viens, mon p'tit Pascal ! T'es excitant à baiser ! J'adore te prendre le cul !".

"Oui, encore ! Enculez-moi, encooooorrre ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Oh ! Mais c'est qu'on aime les mots crus ! Tu aimes que je t'encule !".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhh !...".

Il sort de mon anus, admire ma béance, puis crache à l'intérieur, et m'insère son gros gland avec perversité.

"Hummm ! J'adore jouer avec ta p'tite chatte ! C'est bon ! T'es excitant ! Tu le sais ?".
"Arhhh ! Merci ! Pourquoi, je vous plais autant ?".
"T'es le fantasme parfait pour les hommes comme moi ! Tu es beau, jeune, tu aimes le sexe ! On adore vous dévergonder ! Il vous en faut peu, pour vous faire ce qu'on veux ! Regardes ! Je fais ce que je veux avec ton p'tit cul ! Une vraie chatte !".
"Arhhhhhhhhhh ! Orghhhhhh ! Oui ! Continuez M'sieur G... ! Vous m'excitez, vous aussi !".

Il se couche sur moi, en gardant mes cuisses, très ouvertes, et m'embrasse en me possédant plus intensément.
Je joui du cul, en l'entourant de mes bras et mes jambes.

Putain, j'aime baiser avec mon ancien prof d'histoire de l'art !

Il augmente ses rythmes d'assauts, puis, il me couche sur le ventre, et monte sur moi.

Mon fessier est labouré comme un champ, à coups de butoirs.
Je crie à chaque enfoncement, de plus en plus violent.

Je lui annonce que je macule son canapé, avec mon éjaculation, malgré moi.
Il s'en réjouit, et crache ses premiers jets de foutre, dans mon anus.
Ensuite, il se recule assez, pour m'arroser l'entrée de la chatte.
Il replonge en moi, et bouge encore, pour le pur plaisir de rester dans mon cul.

"Arghhhhhhh ! Orhhhhhhhhhhh ! M'sieur G... ! C'était trop bon ! Vous m'avez trop bien baisé ! Hummm ! J'ai pas envie que vous enleviez votre queue !".
"Hummm ! Ca fait plaisir d'entendre ça ! Décidément ! Tu es parfait ! Un élève doué ! Même pour la baise ! Mais dis-moi, depuis quand, tu couches avec des hommes ?".
Il ne cesse pas, de bouger sa grosse verge.
"Arghhhhhhh ! Depuis deux ans ! J'aime les filles aussi ! Mais quand vous m'avez connu, je jouais déjà avec mon cul ! C'était inévitable, pour moi ! Orhhh ! c'est bon, encore !".

"Hummm ! Ah, bon ? J'aurais bien aimé faire ton éducation ! Tu me plaisais beaucoup au Lycée professionnel ! Même si j'aurai pas pu passer à l'acte ! Bon ! Finalement, c'est mieux comme ça !".

Il nous tourne, sur le coté.

"Je pensais pas vous rencontrer dans ce genre d'endroit ! Mais en rentrant, ça m'a excité de penser que vous m'aviez baisé !".
"Je voudrais que tu restes un peu, on est bien tous les deux ! Tu penses pas ? Et puis, j'aimerai bien recommencer !".
"Oui, je veux bien ! Merci !".

C'est lui qui m'a fait prendre conscience, du pouvoir d'attraction de ma jeunesse.
J'avais un pouvoir énorme, sur les hommes de son âge.

"Tu dois attirer les mecs, comme des mouches !".
"C'est vrai, mais je sais pas vraiment pourquoi ! Même quand je suis pas, au cinéma ou en lieu de baise ! On me drague !".

"C'est évident, tu dégages quelque chose, on devine ce genre de truc, davantage maintenant, qu'avant ! Tu es dans la fleur de l'âge ! T'es super attirant ! Profites en !".
"Oui, je veux bien ! Mais comme officiellement, je suis hétéro ! C'est pas toujours facile !".
"Même ça, c'est encore plus excitant !".

Comme beaucoup de mes relations cachées, je me suis lassé de nos rendez vous, qui s'espaçaient de plus en plus.
Je le trompais avec d'autres hommes, moins respectueux, mais j'en avais besoin !
Il a compris, et n'a pas cherché à me retenir !

"Allez ! Mon p'tit Pascal ! Suis ta route ! Amuses toi bien !".

C'est comme ça, j'étais dans ma période de boulimie sexuelle, avec un énorme besoin de soumission perverse.
Je voulais qu'on me maltraite, en m'enculant !
Qu'on transforme la personne sure d'elle, intelligente, douce et gentille, en véritable salope vicieuse, réclamant qu'on la défonce, en lui proférant des mots vulgaires !

Après ces séances anales, très cérébrales, je reprenais ma petite vie de fiancé hétéro, parfait.

Mes moments préférés, avec lui, furent notre première fois, la seconde, et ce jour, ou il n'était pas seul, chez lui !