Les retrouvailles 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les retrouvailles 2
Gilles et son copain viennent de me remettre en selle au niveau homosexualité.
Ils m'ont bien baisé, deux heures durant. J'avoue que ce retour au sexe avec des hommes m'a fait du bien.
Je suis plus épanoui, j'aime ma vie !
A peine trois jours plus tard, Phil, le copain de Gilles est passé me voir, juste avant midi, en me disant:
"Tu peux me sucer vite fait ? J'ai pas beaucoup de temps !".
"Bon, d'accord, moi non plus ! J'ai pas trop le temps ! Et je dirai pas non, à une bonne queue ! Vous avez relancé mes envies !".
On s'enferme au fond de la boutique, puis je lui dévore la bite et les couilles jusqu'à ce qu'il m'inonde de sperme brulant.
J'avale son plaisir avec gourmandise et passion, pourquoi me suis-je privé de ce dessert ?
Phil soupire en jouissant, il apprécie ma bouche apparemment.
"Oh ! Putain ! C'est efficace ! Tu m'as bien pompé la bite ! Si j'ai un moment, je repasse demain, et on recommence ! OK ?".
Je souris, fier de moi, et lui répond:
"Avec plaisir ! Quand tu veux !".
"Tu commences à quelle heure ?".
"9 heures ! Mais je suis toujours là, un peu plus tôt !".
"Si je viens vers 8h 45, Tu peux t'occuper de moi ?".
"Hummm ! Bien sûr !".
"Bon, alors, à demain !".
Il me dépose une caresse avec son doigt, sur le bord des lèvres et m'offre un grand sourire.
"Allez va manger ! Merci encore Pascal ! Je suis content que Gilles m'ai emmené la dernière fois ! Je le vois ce soir, je lui raconterai tout ça !".
"Bon appétit, Phil ! Merci à toi aussi !".
"Au fait ! Promis, je m'occupe de ton p'tit cul, dès que j'ai plus de temps !".
"J'espère !".
Finalement, il a raison, une sodomie trop hâtive est source de frustration, je préfère jouir pleinement.
Une fellation, par contre, est une gourmandise dont je raffole et je n'y résiste jamais.
Le lendemain, il est dans ma boutique bien plus tôt que prévu, vers 8h 15.
Je ferme la porte vitrée et il me suit dans l'arrière salle.
A peine, ai-je passé la porte qu'il m'enserre contre lui et glisse sa main entre ma ceinture et mes fesses.
"Mmmm ! On va avoir le temps ! Cette fois ! J'en ai trop envie ! Rien que le fait d'en reparler avec Gilles, j'ai eu envie de t'enculer encore ! Je me suis couché avec la trique ! Il faut que tu me vides les couilles, Pascal !".
"Oh, C'est excitant tout ça, j'espère être à la hauteur et que tu vas prendre ton pied, alors !".
Il exerce une puissante pression sur mes épaules pour me placer devant sa braguette.
Je constate qu'il déforme son pantalon à cause d'une érection magnifique.
Je me sens comblé de bonheur et investi d'un devoir de lui donner ce qu'il attend de moi.
Je défais son bouton de ceinture, puis ouvre sa fermeture éclair.
Son slip a du mal à retenir sa grosse protubérance.
Je glisse mes doigts sous l'élastique de son sous-vêtement et baisse lentement l'ensemble de ses habits jusqu'à ses pieds.
Sa bite émerge en venant cogner contre mon front.
"Oh, Putain ! Pascal ! Prends-moi vite dans ta bouche ! J'en peux plus !".
"Je vois ! Tu m'excites ! Elle est belle ta queue ! J'en ai envie, moi aussi !".
Je saisi sa bite à la base et la recouvre délicatement de mes lèvres chaudes et humides.
"Ahhhhhhhh ! Ohhhhhh ! C'est bon ! Enfin ! Oui, suces moi un peu et après, je t'encule a fond !".
Ces mots me rendent goulu et avide, je me délecte de sa verge comme d'un dessert délicieux dont on se nourrit sans fin.
Il s'impatiente et me demande de me préparer, pour me faire prendre.
Je me déshabille et me place en position offerte sur mon canapé.
Il crache sur mon trou et sur sa verge plusieurs fois, puis il entame sa pénétration.
Je m'étonne encore d'avoir autant envie qu'il me baise, alors que je ne suis pas vraiment en demande d'homosexualité.
Son désir m'excite, je veux qu'il se soulage avec mon cul.
Progressivement, je me sens investi par sa grosse queue, en ressentant un plaisir énorme.
Il glisse en moi de plus en plus aisément, mon lavement matinal lui permet de profiter plus vite de mes écoulements de muqueuses lubrifiantes.
"Oh, putain, tu mouilles bien encore ! J'adore ça !".
"Arhhhhhhhhh ! Tu te sens bien ! Alors ? Ouhhh ! Tu l'aimes mon cul ?".
"Ah, ouais ! Tu peux pas savoir comme j'aime t'enculer ! Je suis comme dans une chatte, en plus sérré ! Putain, ce que j'aime être dans un cul comme le tien !".
"Ohhhh ! Arghhhhhhhh ! Putain, tu es dur ! Tu bandes fort ! Arhhhhhhh ! Je te sens bien !".
Il me transperce comme un forcené, son ventre claque contre mon cul avec violence, continuellement, en me faisant crier de plaisir anal.
Il glisse une main sur mon sexe pour me faire bander en m'enculant, puis cale ma queue à la verticale contre le bord du canapé.
Je coule de l'anus abondamment, et vient maculer ma bite jusqu'à mon gland gonflé prêt à exploser, sous ses assauts puissants et profonds.
"Oh putain ! Salope ! Ce que j'aime te casser le cul ! Ahhhhhh !".
Je joui sans discontinuer, puis j'éjacule au bout de vingt minutes de sodomie poussée et profonde.
Je tache mon canapé sans m'arrêter d'orgasmer analement, en même temps.
Il sort de mes fesses, me frappe un grand coup, puis revient avec force en se déchainant comme un dingue.
Je crie encore et encore, jusqu'à chaque nouvelle fois, qu'il recommence ce petit jeu.
Puis, alors que je suis sur le point de vider ma vessie, suite à ses nombreux assauts anaux.
Il annonce:
"Arhhhhhhh ! Pascal ! Ma petite salope ! Je vais te remplir le cul ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Prends ça ! Arhhhhhh!".
Malgré ma retenue, je gicle un peu contre mon canapé, je joui en me nourrissant du plaisir que ressent Phil en se déversant dans mon anus.
"Arghhhhhhhhh ! Je me vide ! C'est trop bon ! J'aime ton cul, Pascal ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Nos commentaires salaces mutuels continuent de fuser, je me redresse contre lui.
Il m'enserre et termine son éjaculation profonde en moi.
Lentement, ses gestes ralentissent, ses mains caressent mon corps, encore planté sur lui.
"Putain, j'ai bien joui encore ! Je suis trop bien dans ta chatte !".
"Moi aussi, j'ai bien joui ! Plusieurs fois ! Tu m'as bien enculé ! Merci !".
"On a fini juste à temps ! Il est 9h !".
"Oui ! Je sais pas comment je vais faire avec le cul éclaté comme ça ! Je vais être obligé de serrer les fesses !".
"Tu dois assumer ! C'est comme ça ! Bon, je me rhabilles, j'y vais vite ! Merci Pascal !".
"Merci aussi !".
Il remonte son jeans, pendant que je remets mes vêtements.
Je glisse un kleenex entre mes fesses pour prévenir un éventuel accident.
Ce qui n'a pas manqué d'arriver, je me suis retenu devant le client, puis dès qu'il est sorti, je me suis relâché.
J'ai fermé momentanément pour me nettoyer ensuite aux toilettes, le mouchoir était couvert de muqueuses et de sperme, en grande quantité.
J'ai repris mon travail sans problème, jusqu'à midi moins dix.
C'est le moment qu'a choisit Gilles pour débarquer.
"Salut mon p'tit Pascal ! Tu fermes, qu'on soit tranquille ?".
Je baisse mon rideau, puis il me dit:
"Alors ? Comme ça, on suce la bite de mon pote dans mon dos ? C'est pas gentil ça !".
Il se défait la ceinture, afin d'arborer sa magnifique queue épaisse.
"Tu vois, comme elle est jalouse ! Tu vas devoir te faire pardonner !".
"Je vais faire ce que je peux ! Tu changes pas, t'es toujours aussi vicieux !".
"Ca te plait ! Je le sais !".
"Oui, ça m'a manqué, d'ailleurs !".
"Ben, j'aimerai bien te baiser chez toi, mais on peut plus !".
"Ben oui, j'ai des enfants maintenant !".
"Finalement, c'est bien que t'ai pris cette boutique ! Je vais même prendre le temps de te baiser !".
"Encore !".
"Comment encore ?".
"Euh, Phil est passé ce matin, il m'a défoncé jusqu'à 9h !".
"Eh ben ! Il en profite, à ce que je vois ! Bon, on va commencer par ton cul, alors !".
"Gilles ! S'il te plait !".
Il vient se coller à moi, et me dénude les fesses, puis il me plaque contre un meuble et me crache sur l'anus.
Il remonte et force aussitôt pour se planter entre mes lobes fessiers.
En quelques petits assauts, il s'enfonce d'une traite, en moi.
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! Gilles ! Elle est plus grosse, ta bite, tu vas trop vite ! Arhhhhhhhhh !".
Il se met en mouvement, et me pénètre puissamment. Je râle mon plaisir un peu fort.
Mon anus est encore sensibilisé par la folle saillie de Phil, les sensations sont augmentées.
Mon premier orgasme arrive très vite, et je recouvre rapidement sa bite, de jus anal et de sperme liquéfié.
"Chtt ! Salope ! Laisse moi t'enculer comme je veux ! Moi aussi, j'y ai droit !".
"Arhhhhhhhhh ! Oui, mais toi, tu es plus endurant ! Tu vas me tuer encore ! Arhh ! Arhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Ehhh ! Je vois que ça glisse comme dans du beurre, il t'a rempli le cul, on dirait ?".
"Oui ! Il doit y avoir encore un peu de son foutre ! Arhhhhhh !".
"Hummmm ! C'est super qu'on se soit retrouvé, ma p'tite salope ! Ca va ? Tu prends ton pied, tu l'aimes toujours ma bite ?".
"Ouiiii ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh!".
Tout mon corps est pris de spasmes de plaisir anal.
Au bout de quelques minutes, il termine ce qu'avait entamé Phil, il me fait couler abondamment sur le sol de ma boutique.
"Arhhhhhhhhh ! Salaud, t'as pas le droit !".
"Je m'en fous ! Gicles, salope !".
Puis voyant que le sol devient glissant, il me dit:
"Viens ! Je vais te casser le cul dans la pièce du fond ! On sera plus tranquille !".
J'aime la manière dont il me domine, en me prenant par la main vigoureusement.
Il comprend que j'ai du mal à le suivre avec mon pantalon sur les pieds.
"Allez ! Dépêches toi d'enlever ça !".
Je m'exécute et lui tend à nouveau mon bras pour qu'il m'entraine dans ma remise, excité comme jamais.
En ouvrant la porte, on a une vue parfaite sur le coté de mon canapé, les taches que je n'ai pas eu le temps d'essuyer sont très visibles.
"Il t'a fait ça comme un cochon, je vois !".
"C'est pas lui, c'est moi qui ai fait ces taches ! Pendant qu'il m'enculait !".
"T'as pris ton pied alors !".
"Oui !".
"A mon tour maintenant !".
Il me demande de m'agenouiller sur le canapé avec les fesses vers lui, il me pénètre plusieurs fois en jouant de la béance de mon anus.
"Hummm ! T'es bien ouvert, j'adore ça ! C'est excitant comme tu me trempes la bite !".
"Arhhhhhh ! Tu me rends dingue ! Salaud, ça te plait de jouer avec mon cul !".
"Ouais ! T'as un cul de salope ! Ca fait plus de dix ans que je t'encule et je m'en lasse pas ! C'est bien que mon fils m'ai dit que t'avais ouvert cette boutique !".
"Arghhhh ! Je l'ai pas fait pour que tu viennes m'enculer, mais j'avoue que c'est pratique ! Arghhhhhhhhh ! T'as bien fait de venir !".
"Bon ! Fini de jouer, je vais te défoncer la chatte, maintenant ! T'es prête ? Salope !".
Il entre alors dans un rythme éfréné.
"Oh putain ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !...".
Il me fait orgasmer avec fougue, je me tiens le ventre en râlant de plaisir.
"Oh, putain, Pascal ! Ca me manquait de te baiser ! Pas toi ?".
"Arhhhhhh ! Si, moi aussi ! Mais ça fait drôle de me faire enculer aussi souvent, après tout ce temps ! Arhhhhhhh ! Oh, mon pauvre cul ! Arghhhhhhhh !".
Comme toujours, il lui faut beaucoup de temps pour éjaculer, nous varions les positions.
Il m'éclate analement en m'écartant les cuisses, face à moi, puis je m'empale sur lui, pendant qu'il m'embrasse vicieusement.
Il termine en se plantant sur moi, sans retenue, pendant que je suis sur le ventre.
Il crie son plaisir éjaculatoire, je ressens chaque insertion de sperme comme un plaisir extrême.
Puis, il se retire et vient se glisser sous mon visage pour que je lui dévore la queue.
Je me régale de sa bite, embuée de foutre encore chaud.
J'en deviens goulu, tant, je suis excité.
Il ne débande pas, je rêve !
Il se masturbe énergiquement, puis me demande de remplacer sa main sur sa bite, sans cesser de le sucer.
Après de longues minutes de pompage vicieux, ou je suis excité et me branle frénétiquement, il se contorsionne, et me prévient:
"Arrêtes ! Laisses-moi me lever !".
Il se dégage de mon visage et revient dans mon cul, pour finir de jouir en râlant comme un dingue.
"Putain, c'est excitant de te remplir encore comme ça ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Il se tient sur ses mains et bouge lentement dans mon anus, il joui en regardant sa bite, secouée de spasmes d'éjection continus.
Pendant ce temps, je suis au bord de l'explosion à mon tour, je me cambre en soulevant mes fesses pour me masturber encore, prêt à éjaculer.
"Oh, c'est bon de se vider deux fois d'affilée ! C'est encore meilleur que tout à l'heure !".
Il met du temps à cesser de bouger en moi, puis il se redresse, et me demande:
"Mets-toi au bord du canapé et montres-moi ce que je t'ai mis !".
Je me place comme demandé, il me tient les cuisses en l'air, en disant:
"Vas-y salope ! Continues de te branler, Et fais sortir mon jus !".
J'éjacule au même moment qu'un phénomène se produit.
Dès la première tentative, un jet de foutre s'échappe de mon œillet, comme un mini lavement, suivi de quatre autres, aussi abondants.
Le sperme s'éjecte presque simultanément de ma bite et mon anus.
Cette perversité décuple mon orgasme, j'en deviens fou de plaisir.
"Ouais, j'ai bien fait de pas me branler depuis l'autre jour, avant de venir te baiser encore ! Je t'ai mis une bonne dose !".
Je reviens lentement à la surface, mes doigts et mon ventre sont maculés de mon sperme, puis je souffle en lui répondant:
"Aahh ! J'ai l'impression, tu jouis toujours beaucoup, mais là, y en a plus, c'est vrai ! J'aime moi aussi ! Ca m'a rendu fou !".
"Bon, c'est super ! Tu m'as bien soulagé ! Tu veux profiter de la demi heure qui reste, pour manger quelque part ?".
"J'aimerai bien, je nettoierai plus tard !".
On va s'assoir devant un snack, en s'éloignant des autres clients.
Il me reparle des débuts de notre relation, le Sex-Shop, la baise devant Corinne, au jour de l'An, les nombreuses défonces chez lui, avec mes amis, à coté, sa femme aussi. Chez moi également, puis, la suite en se contentant des rencontres furtives au Sex-Shop et parfois dans des endroits insolites.
Il fait le constat comme moi, qu'il préfère me baiser hors du Sex-shop, à cause de la faculté de nous voir plus souvent.
"Je suis content que mon fils m'ai dit que t'avais ce magasin !".
Il me replonge dans cet état de fait, le père d'un très bon ami, me baise !
Je retiens quelques flatulences en mangeant mon sandwich américain, puis une fois terminé, je vais rouvrir ma boutique.
Il me quitte en me disant:
"A bientôt ! Mon p'tit Pascal ! A très vite ! Et sois sage avec Phil !".
Puis, il ajoute à voix basse:
"Prépares bien ton p'tit cul, mon chéri !".
J'ai pris la liberté d'attendre un quart d'heure avant de lever le rideau, il me fallait nettoyer le sperme sur le canapé et le sol, puis mes écoulements et jeter les morceaux d'essuie-tout nécessaires pour effacer nos ébats vicieux.
J'ai laissé ma porte bien ouverte pour laisser s'échapper l'odeur de foutre qui régnait.
Pendant plusieurs mois, je me suis contenté de leurs visites quasi journalières, qui vont s'espacer avec le temps et la lassitude, c'est normal, après tout.
Mais, il reste néanmoins que ça m'a fait du bien de retomber dans cette relation plus assidue, avec Gilles. Il a réveillé la salope qui sommeillait en moi.
Et puis, il y a Phil également, que je considérai comme un dessert quotidien.
Inutile de préciser que lorsqu'ils venaient ensemble, j'avais du mal à tenir ma boutique, par la suite.
Corinne a noté un changement:
"Tu bosses bien à la boutique ?".
"Comme d'habitude ! Pourquoi ?".
"Je te trouve épanoui ! Tu étais plus stressé avant !".
J'ai des scrupules à lui avouer que je revois Gilles et un autre homme, quasi quotidiennement.
"Que veux tu ! J'adore mon boulot !".
Ils m'ont bien baisé, deux heures durant. J'avoue que ce retour au sexe avec des hommes m'a fait du bien.
Je suis plus épanoui, j'aime ma vie !
A peine trois jours plus tard, Phil, le copain de Gilles est passé me voir, juste avant midi, en me disant:
"Tu peux me sucer vite fait ? J'ai pas beaucoup de temps !".
"Bon, d'accord, moi non plus ! J'ai pas trop le temps ! Et je dirai pas non, à une bonne queue ! Vous avez relancé mes envies !".
On s'enferme au fond de la boutique, puis je lui dévore la bite et les couilles jusqu'à ce qu'il m'inonde de sperme brulant.
J'avale son plaisir avec gourmandise et passion, pourquoi me suis-je privé de ce dessert ?
Phil soupire en jouissant, il apprécie ma bouche apparemment.
"Oh ! Putain ! C'est efficace ! Tu m'as bien pompé la bite ! Si j'ai un moment, je repasse demain, et on recommence ! OK ?".
Je souris, fier de moi, et lui répond:
"Avec plaisir ! Quand tu veux !".
"Tu commences à quelle heure ?".
"9 heures ! Mais je suis toujours là, un peu plus tôt !".
"Si je viens vers 8h 45, Tu peux t'occuper de moi ?".
"Hummm ! Bien sûr !".
"Bon, alors, à demain !".
Il me dépose une caresse avec son doigt, sur le bord des lèvres et m'offre un grand sourire.
"Allez va manger ! Merci encore Pascal ! Je suis content que Gilles m'ai emmené la dernière fois ! Je le vois ce soir, je lui raconterai tout ça !".
"Bon appétit, Phil ! Merci à toi aussi !".
"Au fait ! Promis, je m'occupe de ton p'tit cul, dès que j'ai plus de temps !".
"J'espère !".
Finalement, il a raison, une sodomie trop hâtive est source de frustration, je préfère jouir pleinement.
Une fellation, par contre, est une gourmandise dont je raffole et je n'y résiste jamais.
Le lendemain, il est dans ma boutique bien plus tôt que prévu, vers 8h 15.
Je ferme la porte vitrée et il me suit dans l'arrière salle.
A peine, ai-je passé la porte qu'il m'enserre contre lui et glisse sa main entre ma ceinture et mes fesses.
"Mmmm ! On va avoir le temps ! Cette fois ! J'en ai trop envie ! Rien que le fait d'en reparler avec Gilles, j'ai eu envie de t'enculer encore ! Je me suis couché avec la trique ! Il faut que tu me vides les couilles, Pascal !".
"Oh, C'est excitant tout ça, j'espère être à la hauteur et que tu vas prendre ton pied, alors !".
Il exerce une puissante pression sur mes épaules pour me placer devant sa braguette.
Je constate qu'il déforme son pantalon à cause d'une érection magnifique.
Je me sens comblé de bonheur et investi d'un devoir de lui donner ce qu'il attend de moi.
Je défais son bouton de ceinture, puis ouvre sa fermeture éclair.
Son slip a du mal à retenir sa grosse protubérance.
Je glisse mes doigts sous l'élastique de son sous-vêtement et baisse lentement l'ensemble de ses habits jusqu'à ses pieds.
Sa bite émerge en venant cogner contre mon front.
"Oh, Putain ! Pascal ! Prends-moi vite dans ta bouche ! J'en peux plus !".
"Je vois ! Tu m'excites ! Elle est belle ta queue ! J'en ai envie, moi aussi !".
Je saisi sa bite à la base et la recouvre délicatement de mes lèvres chaudes et humides.
"Ahhhhhhhh ! Ohhhhhh ! C'est bon ! Enfin ! Oui, suces moi un peu et après, je t'encule a fond !".
Ces mots me rendent goulu et avide, je me délecte de sa verge comme d'un dessert délicieux dont on se nourrit sans fin.
Il s'impatiente et me demande de me préparer, pour me faire prendre.
Je me déshabille et me place en position offerte sur mon canapé.
Il crache sur mon trou et sur sa verge plusieurs fois, puis il entame sa pénétration.
Je m'étonne encore d'avoir autant envie qu'il me baise, alors que je ne suis pas vraiment en demande d'homosexualité.
Son désir m'excite, je veux qu'il se soulage avec mon cul.
Progressivement, je me sens investi par sa grosse queue, en ressentant un plaisir énorme.
Il glisse en moi de plus en plus aisément, mon lavement matinal lui permet de profiter plus vite de mes écoulements de muqueuses lubrifiantes.
"Oh, putain, tu mouilles bien encore ! J'adore ça !".
"Arhhhhhhhhh ! Tu te sens bien ! Alors ? Ouhhh ! Tu l'aimes mon cul ?".
"Ah, ouais ! Tu peux pas savoir comme j'aime t'enculer ! Je suis comme dans une chatte, en plus sérré ! Putain, ce que j'aime être dans un cul comme le tien !".
"Ohhhh ! Arghhhhhhhh ! Putain, tu es dur ! Tu bandes fort ! Arhhhhhhh ! Je te sens bien !".
Il me transperce comme un forcené, son ventre claque contre mon cul avec violence, continuellement, en me faisant crier de plaisir anal.
Il glisse une main sur mon sexe pour me faire bander en m'enculant, puis cale ma queue à la verticale contre le bord du canapé.
Je coule de l'anus abondamment, et vient maculer ma bite jusqu'à mon gland gonflé prêt à exploser, sous ses assauts puissants et profonds.
"Oh putain ! Salope ! Ce que j'aime te casser le cul ! Ahhhhhh !".
Je joui sans discontinuer, puis j'éjacule au bout de vingt minutes de sodomie poussée et profonde.
Je tache mon canapé sans m'arrêter d'orgasmer analement, en même temps.
Il sort de mes fesses, me frappe un grand coup, puis revient avec force en se déchainant comme un dingue.
Je crie encore et encore, jusqu'à chaque nouvelle fois, qu'il recommence ce petit jeu.
Puis, alors que je suis sur le point de vider ma vessie, suite à ses nombreux assauts anaux.
Il annonce:
"Arhhhhhhh ! Pascal ! Ma petite salope ! Je vais te remplir le cul ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Prends ça ! Arhhhhhh!".
Malgré ma retenue, je gicle un peu contre mon canapé, je joui en me nourrissant du plaisir que ressent Phil en se déversant dans mon anus.
"Arghhhhhhhhh ! Je me vide ! C'est trop bon ! J'aime ton cul, Pascal ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Nos commentaires salaces mutuels continuent de fuser, je me redresse contre lui.
Il m'enserre et termine son éjaculation profonde en moi.
Lentement, ses gestes ralentissent, ses mains caressent mon corps, encore planté sur lui.
"Putain, j'ai bien joui encore ! Je suis trop bien dans ta chatte !".
"Moi aussi, j'ai bien joui ! Plusieurs fois ! Tu m'as bien enculé ! Merci !".
"On a fini juste à temps ! Il est 9h !".
"Oui ! Je sais pas comment je vais faire avec le cul éclaté comme ça ! Je vais être obligé de serrer les fesses !".
"Tu dois assumer ! C'est comme ça ! Bon, je me rhabilles, j'y vais vite ! Merci Pascal !".
"Merci aussi !".
Il remonte son jeans, pendant que je remets mes vêtements.
Je glisse un kleenex entre mes fesses pour prévenir un éventuel accident.
Ce qui n'a pas manqué d'arriver, je me suis retenu devant le client, puis dès qu'il est sorti, je me suis relâché.
J'ai fermé momentanément pour me nettoyer ensuite aux toilettes, le mouchoir était couvert de muqueuses et de sperme, en grande quantité.
J'ai repris mon travail sans problème, jusqu'à midi moins dix.
C'est le moment qu'a choisit Gilles pour débarquer.
"Salut mon p'tit Pascal ! Tu fermes, qu'on soit tranquille ?".
Je baisse mon rideau, puis il me dit:
"Alors ? Comme ça, on suce la bite de mon pote dans mon dos ? C'est pas gentil ça !".
Il se défait la ceinture, afin d'arborer sa magnifique queue épaisse.
"Tu vois, comme elle est jalouse ! Tu vas devoir te faire pardonner !".
"Je vais faire ce que je peux ! Tu changes pas, t'es toujours aussi vicieux !".
"Ca te plait ! Je le sais !".
"Oui, ça m'a manqué, d'ailleurs !".
"Ben, j'aimerai bien te baiser chez toi, mais on peut plus !".
"Ben oui, j'ai des enfants maintenant !".
"Finalement, c'est bien que t'ai pris cette boutique ! Je vais même prendre le temps de te baiser !".
"Encore !".
"Comment encore ?".
"Euh, Phil est passé ce matin, il m'a défoncé jusqu'à 9h !".
"Eh ben ! Il en profite, à ce que je vois ! Bon, on va commencer par ton cul, alors !".
"Gilles ! S'il te plait !".
Il vient se coller à moi, et me dénude les fesses, puis il me plaque contre un meuble et me crache sur l'anus.
Il remonte et force aussitôt pour se planter entre mes lobes fessiers.
En quelques petits assauts, il s'enfonce d'une traite, en moi.
"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! Gilles ! Elle est plus grosse, ta bite, tu vas trop vite ! Arhhhhhhhhh !".
Il se met en mouvement, et me pénètre puissamment. Je râle mon plaisir un peu fort.
Mon anus est encore sensibilisé par la folle saillie de Phil, les sensations sont augmentées.
Mon premier orgasme arrive très vite, et je recouvre rapidement sa bite, de jus anal et de sperme liquéfié.
"Chtt ! Salope ! Laisse moi t'enculer comme je veux ! Moi aussi, j'y ai droit !".
"Arhhhhhhhhh ! Oui, mais toi, tu es plus endurant ! Tu vas me tuer encore ! Arhh ! Arhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Ehhh ! Je vois que ça glisse comme dans du beurre, il t'a rempli le cul, on dirait ?".
"Oui ! Il doit y avoir encore un peu de son foutre ! Arhhhhhh !".
"Hummmm ! C'est super qu'on se soit retrouvé, ma p'tite salope ! Ca va ? Tu prends ton pied, tu l'aimes toujours ma bite ?".
"Ouiiii ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh!".
Tout mon corps est pris de spasmes de plaisir anal.
Au bout de quelques minutes, il termine ce qu'avait entamé Phil, il me fait couler abondamment sur le sol de ma boutique.
"Arhhhhhhhhh ! Salaud, t'as pas le droit !".
"Je m'en fous ! Gicles, salope !".
Puis voyant que le sol devient glissant, il me dit:
"Viens ! Je vais te casser le cul dans la pièce du fond ! On sera plus tranquille !".
J'aime la manière dont il me domine, en me prenant par la main vigoureusement.
Il comprend que j'ai du mal à le suivre avec mon pantalon sur les pieds.
"Allez ! Dépêches toi d'enlever ça !".
Je m'exécute et lui tend à nouveau mon bras pour qu'il m'entraine dans ma remise, excité comme jamais.
En ouvrant la porte, on a une vue parfaite sur le coté de mon canapé, les taches que je n'ai pas eu le temps d'essuyer sont très visibles.
"Il t'a fait ça comme un cochon, je vois !".
"C'est pas lui, c'est moi qui ai fait ces taches ! Pendant qu'il m'enculait !".
"T'as pris ton pied alors !".
"Oui !".
"A mon tour maintenant !".
Il me demande de m'agenouiller sur le canapé avec les fesses vers lui, il me pénètre plusieurs fois en jouant de la béance de mon anus.
"Hummm ! T'es bien ouvert, j'adore ça ! C'est excitant comme tu me trempes la bite !".
"Arhhhhhh ! Tu me rends dingue ! Salaud, ça te plait de jouer avec mon cul !".
"Ouais ! T'as un cul de salope ! Ca fait plus de dix ans que je t'encule et je m'en lasse pas ! C'est bien que mon fils m'ai dit que t'avais ouvert cette boutique !".
"Arghhhh ! Je l'ai pas fait pour que tu viennes m'enculer, mais j'avoue que c'est pratique ! Arghhhhhhhhh ! T'as bien fait de venir !".
"Bon ! Fini de jouer, je vais te défoncer la chatte, maintenant ! T'es prête ? Salope !".
Il entre alors dans un rythme éfréné.
"Oh putain ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh !...".
Il me fait orgasmer avec fougue, je me tiens le ventre en râlant de plaisir.
"Oh, putain, Pascal ! Ca me manquait de te baiser ! Pas toi ?".
"Arhhhhhh ! Si, moi aussi ! Mais ça fait drôle de me faire enculer aussi souvent, après tout ce temps ! Arhhhhhhh ! Oh, mon pauvre cul ! Arghhhhhhhh !".
Comme toujours, il lui faut beaucoup de temps pour éjaculer, nous varions les positions.
Il m'éclate analement en m'écartant les cuisses, face à moi, puis je m'empale sur lui, pendant qu'il m'embrasse vicieusement.
Il termine en se plantant sur moi, sans retenue, pendant que je suis sur le ventre.
Il crie son plaisir éjaculatoire, je ressens chaque insertion de sperme comme un plaisir extrême.
Puis, il se retire et vient se glisser sous mon visage pour que je lui dévore la queue.
Je me régale de sa bite, embuée de foutre encore chaud.
J'en deviens goulu, tant, je suis excité.
Il ne débande pas, je rêve !
Il se masturbe énergiquement, puis me demande de remplacer sa main sur sa bite, sans cesser de le sucer.
Après de longues minutes de pompage vicieux, ou je suis excité et me branle frénétiquement, il se contorsionne, et me prévient:
"Arrêtes ! Laisses-moi me lever !".
Il se dégage de mon visage et revient dans mon cul, pour finir de jouir en râlant comme un dingue.
"Putain, c'est excitant de te remplir encore comme ça ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Il se tient sur ses mains et bouge lentement dans mon anus, il joui en regardant sa bite, secouée de spasmes d'éjection continus.
Pendant ce temps, je suis au bord de l'explosion à mon tour, je me cambre en soulevant mes fesses pour me masturber encore, prêt à éjaculer.
"Oh, c'est bon de se vider deux fois d'affilée ! C'est encore meilleur que tout à l'heure !".
Il met du temps à cesser de bouger en moi, puis il se redresse, et me demande:
"Mets-toi au bord du canapé et montres-moi ce que je t'ai mis !".
Je me place comme demandé, il me tient les cuisses en l'air, en disant:
"Vas-y salope ! Continues de te branler, Et fais sortir mon jus !".
J'éjacule au même moment qu'un phénomène se produit.
Dès la première tentative, un jet de foutre s'échappe de mon œillet, comme un mini lavement, suivi de quatre autres, aussi abondants.
Le sperme s'éjecte presque simultanément de ma bite et mon anus.
Cette perversité décuple mon orgasme, j'en deviens fou de plaisir.
"Ouais, j'ai bien fait de pas me branler depuis l'autre jour, avant de venir te baiser encore ! Je t'ai mis une bonne dose !".
Je reviens lentement à la surface, mes doigts et mon ventre sont maculés de mon sperme, puis je souffle en lui répondant:
"Aahh ! J'ai l'impression, tu jouis toujours beaucoup, mais là, y en a plus, c'est vrai ! J'aime moi aussi ! Ca m'a rendu fou !".
"Bon, c'est super ! Tu m'as bien soulagé ! Tu veux profiter de la demi heure qui reste, pour manger quelque part ?".
"J'aimerai bien, je nettoierai plus tard !".
On va s'assoir devant un snack, en s'éloignant des autres clients.
Il me reparle des débuts de notre relation, le Sex-Shop, la baise devant Corinne, au jour de l'An, les nombreuses défonces chez lui, avec mes amis, à coté, sa femme aussi. Chez moi également, puis, la suite en se contentant des rencontres furtives au Sex-Shop et parfois dans des endroits insolites.
Il fait le constat comme moi, qu'il préfère me baiser hors du Sex-shop, à cause de la faculté de nous voir plus souvent.
"Je suis content que mon fils m'ai dit que t'avais ce magasin !".
Il me replonge dans cet état de fait, le père d'un très bon ami, me baise !
Je retiens quelques flatulences en mangeant mon sandwich américain, puis une fois terminé, je vais rouvrir ma boutique.
Il me quitte en me disant:
"A bientôt ! Mon p'tit Pascal ! A très vite ! Et sois sage avec Phil !".
Puis, il ajoute à voix basse:
"Prépares bien ton p'tit cul, mon chéri !".
J'ai pris la liberté d'attendre un quart d'heure avant de lever le rideau, il me fallait nettoyer le sperme sur le canapé et le sol, puis mes écoulements et jeter les morceaux d'essuie-tout nécessaires pour effacer nos ébats vicieux.
J'ai laissé ma porte bien ouverte pour laisser s'échapper l'odeur de foutre qui régnait.
Pendant plusieurs mois, je me suis contenté de leurs visites quasi journalières, qui vont s'espacer avec le temps et la lassitude, c'est normal, après tout.
Mais, il reste néanmoins que ça m'a fait du bien de retomber dans cette relation plus assidue, avec Gilles. Il a réveillé la salope qui sommeillait en moi.
Et puis, il y a Phil également, que je considérai comme un dessert quotidien.
Inutile de préciser que lorsqu'ils venaient ensemble, j'avais du mal à tenir ma boutique, par la suite.
Corinne a noté un changement:
"Tu bosses bien à la boutique ?".
"Comme d'habitude ! Pourquoi ?".
"Je te trouve épanoui ! Tu étais plus stressé avant !".
J'ai des scrupules à lui avouer que je revois Gilles et un autre homme, quasi quotidiennement.
"Que veux tu ! J'adore mon boulot !".
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonne histoire mais un peu affadie par ces considérations de timing…. Bref ça manque un peu de testostérone
Kevin
Kevin