Les retrouvailles avec Pierre . 4. - histoire érotique

Donc, un mois après nos retrouvailles, je recontacte Pierre.
Je me rend dans une cabine, près de chez mes parents.
Les portables n'existent pas encore en 1981.
"Allo ?".
"Pierre ? C'est Pascal !".
"Oh ! Pascal ! Ca fait plaisir de t'entendre ! Mais j'en peux plus d'attendre ! C'est quand que je te baise !".
"Ben, quand tu veux, j'en ai envie là !".
"Humm, je passe te prendre comme la dernière fois, et je te ramène le lendemain ! Ca te va, ma petite salope ?".
"Oui, ça me va ! A vendredi 18h, alors !".
"Super, prépares bien ton petit cul, tu vas prendre cher encore !".
Son ton m'excite, je raccroche, tout remué par le besoin de lui appartenir et assouvir ses envies perverses.
Les deux jours suivants, j'ai du mal à cacher mon manque de désir hétéro à ma copine.
Même si j'adore son corps, j'ai envie d'autre chose !
Lorsque je la quitte, j'ai déjà l'esprit ailleurs.
J'ai hâte que Pierre arrive au point de Rendez-vous.
Comme il me l'a demandé, je me suis préparé pour lui, en pratiquant un lavement anal.
Son sourire vicieux en dit long sur ses intentions à mon égard, lorsqu'il se gare enfin, près de moi.
En entrant dans le véhicule, il me met tout de suite dans l'ambiance du Week-end.
"Bon, t'es prêt, ma petite salope ? T'es tout à moi, jusqu'à demain après-midi ?".
"Oui, je suis à toi !".
"C'est bien ! Dès qu'on peux, tu vas me sucer la bite ! Alors !".
Il dirige ma main vers sa queue et redémarre, pendant que je le caresse discrètement.
Je suis tout excité en devinant sa queue qui grossit sous mes doigts.
On entre vite sur la voie rapide qui mène à l'autoroute.
"Allez, c'est bon, maintenant ! Bouffes-moi la bite !".
"Déjà ?".
"Oui, dépêches toi !".
Je défait son bouton et baisse sa braguette, il se soulève pour que je le dégage en baissant son pantalon, puis il me dirige vers sa grosse bite en érection.
C'est encore avec beaucoup de bonheur, que je retrouve cette sensation agréable, d'avoir une belle queue dans ma bouche.
"Oh, putain ! C'est bon ! J'adore ta bouche ! Pascal !".
Comme la première fois, il cherche à se faire voir des camionneurs qu'il double.
L'axe est très fréquenté, j'ai droit à quelques coups de klaxon.
"Putain, ça m'excite qu'on te voit me sucer !".
"Salaud !".
"J'assume ! J'adore ça !".
Un routier se fait entendre plus longtemps, Pierre ralentit pour se caler derrière lui, puis je comprend qu'on s'arrête sur une petite aire peu fréquentée.
Il a suivi le camion, l'homme se dirige vers les toilettes de l'aire.
"Allez, viens ! On y va !".
En arrivant, l'homme se masturbe déjà énergiquement.
"Viens me sucer, moi aussi !".
Je regarde mon amant, qui me dit:
"Qu'est-ce que tu attends ? Suces le ! T'es ma petite pute ! Oui ou non?".
"Oui !".
L'endroit sent l'urine, mais la vue de sa belle queue m'excite et je m'agenouille devant lui pour le sucer.
Les deux hommes jouent avec ma bouche, très longuement, puis le routier se hasarde à toucher mon anus en questionnant mon complice.
"Je peux ?".
"Bien sur, moi, j'ai jusqu'à demain pour le baiser ! Tu verras, il encaisse super bien ! Et il a un cul super agréable !".
L'homme se fait aider de Pierre pour accéder à mes fesses.
Pierre me couvre de salive, pendant que le routier maintient son érection en se branlant et vient toucher mon anus, avec son gros gland.
En quelques poussées, il s'enfonce en moi, qui râle de plaisir sous cette possession soudaine.
"Arhhhhhh ! Ouais, il a un bon cul ! J'y suis bien ! Je vais bien la baiser, ta petite salope !".
L'homme s'active comme un dingue en me faisant crier, j'espère que personne n'aura l'idée de s'arrêter sur notre aire, tant je crie mes orgasmes successifs.
"Putain, il couine comme une vrai chienne ! Ca m'excite trop ! Putain ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Je me fais remplir l'anus, en recevant ses derniers assauts destructeurs.
J'ai probablement autant joui que lui, tout en suçant Pierre, qui fait attention à ne pas éjaculer trop vite.
"Eh, c'était génial, il m'a bien vidé les couilles ! T'as de la chance ! Vous êtes du coin, je le baiserai bien encore !".
"On doit y aller, une autre fois qui sait ?".
"Dommage !".
Je suis mon amant qui m'emmène chez lui en se faisant sucer avec douceur, sur le reste de la route.
Par deux fois, je veux me relever aux péages, mais Pierre me maintient enfoncé sur sa bite, vicieusement.
Il m'emmène dans la même pizzéria que la première fois.
"Prends des forces, tu vas en avoir besoin !".
Après le repas, je comprends qu'il m'entraine dans un lieu nouveau, en bord de mer, non loin de Marseille.
Cela ressemble à une colline avec un vieux bâtiment fortifié, on monte et croisons quelques hommes qui me dévisagent en entrant dans un bosquet.
Plusieurs inconnus disent "bonsoir" à mon amant.
"Pierre ? C'est quoi tous ces hommes ? Ils sont là pour quoi ?".
"Pour baiser ! Qu'est-ce que tu crois ! Il y a plein d'endroits comme ici, un peu partout ! C'est un peu comme un marché, il y a l'offre et la demande ! Des salopes qui cherchent des queues et des hommes vicieux qui veulent des bouches ou des culs pour se soulager. Les plus demandés, c'est les jeunes comme toi ! Tu as beaucoup de succès, ça promet !".
Je repense au cinéma porno ou le lieutenant m'a emmené deux fois, je comprend que je vais peut être perdre le contrôle des événements.
Pierre me rassure en me demandant:
"C'est quoi tes limites ?".
"Euh, ben, pas de violence, ni de trucs trop sales ! Ah ! Je veux pas de petites bites ! Ca ne m'excites pas du tout ! Ni les hommes qui ont trop de ventre, ou plus jeunes que moi, j'aime être dominé par quelqu'un plus âgé !".
"Super ! Je vois ce que tu aimes, je vais gérer !".
On monte jusqu'en haut de l'endroit et on se place entre deux voutes d'une ruine.
Il m'embrasse en me déshabillant les fesses.
Puis, il me plie pour me placer contre son gland, gonflé par l'érection.
En quelques mouvements pénétrants, il vient cogner contre le fond de mon anus.
Je me retiens pas de râler mon plaisir.
Des hommes ne tardent pas à nous rejoindre, Pierre s'en donne à cœur joie dans mon cul.
En jouissant sur sa bite, je m'excite en regardant les queues qui se dévoilent devant mes yeux.
Pierre me tient par l'épaule en m'enculant, mes mains commencent à toucher les plus beaux membres qui s'offrent à moi.
L'un d'eux m'excite énormément à cause de ses mensurations, on se fixe très longuement, tous les deux.
Pierre me demande:
"Il te plait ?".
"Oui, je le veux !".
Il s'adresse à l'homme:
"Viens ! Je te le laisse !".
L'homme passe dans mon dos et attend que la bite de mon amant quitte mon anus.
Il se présente à son tour, J'ai une délicieuse sensation d'écartèlement extrême quand il s'enfonce en moi.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Putain, elle est trop bonne ! Arhhhhhhhhhhh !".
Pierre me dirige le visage vers les bites qui sont devant moi.
Les hommes font un ballet pervers, en profitant à tour de rôle de ma gorge humide et chaude.
Pierre se masturbe en me regardant, me faire humilier par toutes ses bites, sous de nombreuses insultes.
Il me semble l'entendre dire que je suis sa "petite pute" à un autre homme, qu'il a l'air de connaitre.
Je joui énormément grâce aux assauts profonds de celui qui me casse le cul.
Cela me gêne dans mes fellations multiples, les éjaculations s'enchainent dans ma bouche.
On m'a débarrassé du haut de mes vêtements.
L'homme qui m'encule me secoue avec virulence, encouragé par Pierre.
"Ouais, vas-y défonces le ! Il adore ça !".
Il se met enfin à gémir plus puissamment et se déverse dans mon cul.
Pierre gère la situation et demande à un autre homme de s'allonger sur le sol.
Il se fait aider pour m'ôter le reste de mes habits et m'empale sur la queue de l'homme au sol.
Il demande alors:
"Vous pouvez l'enculer à deux, si vous voulez ! Qui ça intéresse ?".
Un autre s'empresse de se placer derrière moi et m'écartèle l'anus.
La présence des deux bites en moi, me procure un plaisir énorme, malgré le manque de pratique des deux hommes.
Celui de dessus ne tarde pas à se vider en moi, il est très vite remplacé.
S'en suit un ballet incessant de queues diverses, toutes de belles dimensions, à ma demande, qui me possèdent.
Je m'étonne du nombre important de magrébins, entre 30 et 50 ans qui aiment baiser des jeunes hommes.
Le sperme s'éjecte un peu partout sur mon corps, dans ma bouche et mon cul, bien sur.
Le mien aussi, à coulé, depuis très longtemps, avant la fin de cette orgie.
J'ai donc répandu mon foutre sur le ventre d'un inconnu sous moi, toujours possédé par sa queue et celle d'un autre, derrière moi.
Pierre m'impose de donner mon corps jusqu'au dernier homme intéressant, suivant mes critères.
Je le voit regarder sa montre, comme si, il attendait quelqu'un.
"Ah ! Il arrive !".
Un homme très grand, vient lui serrer la main.
"Salut Pierre ! Tu le connais ?".
"Salut Kaddour ! Oui, c'est ma nouvelle petite salope ! Il devrait te plaire ! Il est fait pour toi !".
"Ah bon ? On va voir ça ! Il est magnifique ! En tout cas ! Il me plait beaucoup !".
Kaddour attend patiemment derrière mon cul, que celui qui me baise se soulage de son besoin de jouir.
Puis, dès qu'il le peut il pose une main sur mes fesses nues, et dirige de l'autre, son gland, que je devine hors normes.
Par chance, les doubles anales m'ont bien ouvert l'anus, il m'écarte les parois anales au maximum, et coulisse lentement jusqu'au fond de mon cul.
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Oh, putain, c'est quoi cette queue ? Arhhhhhhhhh ! Il me déchire le cul !".
"T'as raison Pierre ! Il est parfait pour moi !".
Il se tient à la base de sa bite en s'enfonçant de plus en plus profondément en moi, comme un bourrin.
Il retire sa main en constatant qu'il fait toucher son ventre contre mon cul en m'enculant.
Je joui encore plus fort qu'avant, ses assauts me rendent dingue, je ne peux retenir de nombreux jets qui sortent de mon sexe.
Urine ? Cyprine mâle ? Je sais pas, Il sollicite ma prostate et provoque donc cette réaction incontrôlable.
Je me répand entre mes jambes, au rythme de sa défonce anale.
Pierre se branle énergiquement, il est surexcité par le spectacle porno que je lui offre.
J'avale encore du foutre en me faisant déchirer le cul.
Kaddour constate alors:
"Humm, t'aimes le jus, tu vas avoir le mien alors ! Putain ! Pierre, J'adore le baiser ! Il faudra que tu me le ramènes, encore !".
Les autres hommes éjaculent entre leurs doigts, sur moi et dans ma bouche, ils comprennent qu'après Kaddour, ils ne pourront plus me baiser.
Je supplie d'ailleurs, mon amant.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Après Kaddour ! je pourrai plus, il me fait trop jouir ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"Putain, j'adore l'entendre gueuler ! C'est une vraie chienne !".
"Je savais qu'il te plairait !".
Kaddour joue avec l'ouverture extrême de mon anus, qui ruisselle de sperme et de jus anal.
Il écarte mes fesses en admirant son effet destructeur sur moi et replonge d'un coup sec, en me faisant crier encore et encore.
"Oh, j'en peux plus ! Il faut que je jouisse !".
Il s'active comme un forcené en s'accrochant à mon corps, à grands coups puissants et profonds.
"Ahhhhhhhhh ! Ca y est, ça monte ! Je vais cracher salope ! Putain, j'adore ton cul ! Arhhhhhhhhh !".
Il recule en serrant fermement sa queue à la base, puis se précipite devant ma bouche, que j'ouvre au maximum.
Je suis surpris par la violence de ses jets, brulants et très âpres, au gout salé.
Son abondance me provoque des régurgitations répétées, mais je parviens malgré tout, à contenir son jus et j'avale longuement tout son plaisir.
Son déversement se transforme en fellation tendre et passionnée.
"Hummm, il suce bien en plus ! Il est parfait, ton petit copain !".
"Je sais ! Je l'adore, moi aussi !".
Kaddour me saisit par les cheveux en me tournant le visage pour que je fixe son regard.
"T'es une bonne salope ! Tu t'appelles comment ?".
"Pascal !".
Il me remplit encore la gorge avec sa bite et ajoute:
"Tu m'as ben vidé les couilles, mon petit Pascal !".
Il se rhabille, peu de temps après, pendant que je termine de faire jouir les derniers hommes présents.
Il nous quitte en remerciant Pierre, qui ne tarde plus à dire aux autres,que c'est la fin.
Je suis agenouillé, comme un automate qui fait son boulot, mais j'avoue que j'en ai assez.
Les 3 derniers se pressent d'éjaculer, l'un d'eux à du mal a jouir, je l'autorise à se servir de mon cul comme masturbateur.
Cela fonctionne, puisqu'il éjacule, au bout de cinq minutes, dans mon anus.
Pierre m'entraine ensuite à l'écart, pour que je puisse me rhabiller après un nettoyage sommaire de mon corps et mon cul avec des mouchoirs en papier.
Il m'enlace plusieurs fois, en me disant que je l'ai rendu fou d'excitation, qu'il adore me donner aux autres hommes.
Puis, il me ramène chez lui, il est 22 heures, je me suis fait baiser pendant plus de deux heures, peut être plus.
Je m'allonge tout habillé sur son lit, il me déshabille et me couvre avec le drap, puis se met nu et me rejoint.
"Putain, Pascal ! Tu m'as trop excité tout à l'heure, il faut que je t'encule encore !".
Il me retourne sur le ventre et me burine le cul avec sa grosse queue, comme un marteau piqueur.
Il me fait encore hurler d'orgasme anal, jusqu'à son interminable éjaculation en moi.
Cette dernière jouissance commune est énorme encore, c'est une intense délivrance, pour lui comme pour moi.
"Oh, Pascal ! C'était trop bon ! Tu me rends dingue ! Il faudra recommencer ce qu'on a fait !".
"Pas à chaque fois ! s'il te pait ! C'est trop ! Je suis mort ! J'ai plus de force, j'ai trop joui ! je suis vidé ! Sans parler de mon cul ! J'ai des spasmes continus ! Il est éclaté !".
"Ok, tu me diras, alors !".
"Merci, mais tu crois que chez moi, il y a des endroits comme celui-là ?".
"A Toulon ? Bien sur, je peux te dire où, si ça t'intéresse !".
"Avec plaisir !".
"Par contre, tu vas toujours avoir besoin de venir me voir ? J'espère !".
"Oui, ne t'inquiètes pas, je te dois bien ça, j'aimerai bien revoir le lieutenant d'ailleurs ! Et Kaddour aussi !".
"C'est pour ça que je t'adore ! T'es une vraie salope ! Ne changes pas !".
On a pas tardé à sombrer dans un profond sommeil.
Au petit matin, j'ai été réveillé par ses mains qui soulevaient mes jambes, il commençait à enfoncer sa grosse bite en moi.
La présence du sperme de la veille lui a permis de glisser aisément dans mon cul et j'ai encore connu plusieurs orgasmes anaux jusqu'à son éjaculation affolée dans ma bouche.
Il m'a fait un énorme plaisir en m'offrant son jus chaud au réveil, j'adore ce petit déjeuner sexuel.
Nous avons eu la visite de Jacques en fin de matinée, qui a profité de moi lui aussi.
Pierre lui racontait mon orgie de la veille pendant qu'il m'enculait.
"Ah Ouais ? Ils étaient combien ?".
"Oh, je pense plus d'une trentaine !".
La révélation de ce chiffre m'a fait peur et m'a ecité en même temps
Comme ma copine était en famille, Pierre m'a gardé jusqu'au Dimanche soir.
Il a réussi à contacter Kaddour et deux autres complices qui m'ont défoncé avec lui, toute l'après-midi du Dimanche.