Les retrouvailles avec Sophie.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Les retrouvailles avec Sophie. Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les retrouvailles avec Sophie.
-Alain !
-Sophie !
-Tu m’as reconnu ?
-Eh comment ! C’est que tu n’as pas changé.
-Qu’est-ce que tu fous là.
-Eh bien je travaille là.
-Tu peux t’asseoir un peu au moins ?
-Bien sûr.
Je tire une chaise à moi et pose mon fessier dessus. Très vite la discussion s’établit entre nous. D’abord sur le présent. Elle m’apprend qu’elle est divorcée, et moi que je suis marié et que j’ai trois enfants.
Et bien sûr, peu à peu les souvenirs du passé prennent le dessus.
-Dis-moi, fait-elle, tu as toujours la folie des culottes portées.
-Sophie…
-Quoi Sophie ? Les années ont passé mais les souvenirs me sont restés. Je me rappelle parfaitement que tu avais un penchant pour les culottes portées de ma mère.
-Doucement Sophie on pourrait nous entendre.
-Pourquoi veux-tu qu’on nous entende avec cette musique.
-Il faut avouer qu’elles sentaient bon !
-Et ceux de ma belle-sœur ?
-J’aimais moins, mais à défaut d’autre chose.
-Tu sais qu’elle a un commerce en ville.
-Oui, je sais elle travaille avec ton frangin. J’ai quelques rapports avec eux. J’avoue quand je suis en leur compagnie de repenser à autrefois.
-Et cela te fait quoi ?
-Je bande comme un dingue.
-Tu n’as osé lui avouer ?
-A qui ? A ta belle-sœur ?
-Et bien oui, à qui d’autre ?
-ça ne va pas elle va me prendre pour un détraqué.
-Ce qui est bien chez toi c’est que tu le reconnais.
-De quoi ?
-D’être un pervers.
-Si d’aimer les culottes portées de femme c’est d’être pervers, alors je suis un grand immoral.
-Tu es le seul type dans ma connaissance d’être comme cela !
-C’est alors que je suis le seul à aimer les femmes. Bon ! Sur ceux je vais te laisser.
-Et pourquoi ? Tu ne me gênes pas !
-Tu n’attends personne ?
-Oui une copine, mais elle vient plus tard. Tu peux rester quelques instants encore, enfin si cela de dit. Je ne te force à rien.
-Je le sais, c’est bien pour ça que je vais m’autoriser à rester avec toi. Mais avant je vais aller te chercher à boire.
A mon retour avec deux cannettes en mains nous nous sommes remis à discuter. De sexe bien sûr. A un tel point que je bandais comme un fou. Prêt à faire des cochonneries avec elle comme autrefois, d’ailleurs elle m’en parla.
-Tu te rappelles quand tu m’as collé tes lèvres sur ma chatte ?
-Comme si c’était hier.
-Eh bien sache que je garde dans ma tête. Il ne se passe pas un jour sans que j’y pense. La première foi j’avais trouvé cela un peu blizzard mais au fur et à mesure de nos séances j’ai trouvé ça très envoûtant.
-Envoûtant ?
-Oui pour ne pas dire jouissif. Tu sais à l’heure que je te parle je prends mon pied.
-Merci !
-Pas toi, con ! Tu ne sais pas mais j’ai enfourné un truc dans ma chatte qui me fait frissonner.
-Je vois !
-Tu vois quoi ?
-J’imagine un truc vibrant.
-Parfaitement et voilà la télécommande. Lâche-t-elle en me tendant un petit boitier noir.
Avec mon plus beau sourire, je m’en saisis. J’appuie sur le bouton et Sophie a du mal à contenir son plaisir mais, par pudeur, tente de masquer son émoi tant bien que mal. Elle se rend bien compte que des signes la trahissent, comme ses tétons qui pointent en tendant le tissu de sa robe. J’appuie de nouveau et perçois le regard presque agressif de Sophie qui semble me supplier de remettre en marche l’objet dissimulé dans sa chatte et qui lui procure un tel plaisir qu’elle croit vaciller en permanence.
Avec un sourire pétillant elle boit une gorgée en me fixant droit dans les yeux. Mon excitation prend le pas sur la surprise et instantanément ma queue se met à gonfler encore dans mon pantalon et le déforme visiblement. J’active la télécommande et je vois Sophie secouée d’un spasme digne d’un orgasme au moment où l’engin recommence à vibrer dans sa foune.
Les gens autour de nous vivent sans savoir ce qui se trame à notre table. Après seulement quelques minutes de cette caresse enflammée, Sophie est secouée par un violent orgasme qui lui arrache un cri de plaisir difficile à dissimuler malgré la musique. L’atmosphère est chargée d’érotisme. Je lui propose de l’emmener dans un endroit discret ce qu’elle accepte sans difficulté.
Sitôt enfermé dans mon bureau, Sophie m’embrasse à pleine bouche. Je la fais prendre place sur mon fauteuil. Elle se cambre sur le siège, sa culotte au niveau de ma figure. D’une tape de son pied droit sur ma fesse, elle me pousse à me baisser entre ses cuisses. Mes joues glissent sur sa peau soyeuse, et mon nez s’écrase sur sa culotte. Le contact avec la dentelle me fait perdre les pédales, tout autant que ses lèvres que la culotte moulée parfaitement.
- Ah ! Que de temps perdu ! Lâche-t-elle. Tu ne crois pas ?
Je ne crois rien du tout ! Comme ce n’est pas suffisant pour elle, Sophie appuie ses mains sur mes épaules pour m’obliger à coller mon visage sur son sexe. J’agrippe ses fesses, dont la peau est plus douce que la soie. Une onde lancinante tourmente mon sexe comprimé dans mon slip. Cela me bouleverse autant que le jour où j’avais posé mes lèvres pour la première fois sur son sexe.
J’écarte la culotte et j’entrouvre ma bouche, juste assez pour m’imprégner du goût de sa chair. Je tire sur la ficelle et peu à peu m’apparaît l’engin enfoui dans son vagin, et cela sans effort, aidé par la mouille due à son excitation. Sous ses yeux ravis je me mets à lécher la sphère en silicone enduite d’une couche de sécrétion.
Guidé par l’instinct et le désir, j’écarte de nouveau sa culotte sur le côté. L’étroit rectangle de poils sombres nuancés de roux qui orne son pubis me fascine. Comme c’était le cas quelques années plus tôt. Elle écarte les jambes. Je comprends l’invitation. Je ne résiste pas très longtemps. Je me penche entre ses cuisses pour l’embrasser. Son odeur moite me monte aux narines. Je respire à pleins poumons. Sous l’emprise de cette drogue, je n’ai aucun mal à pousser plus loin mon exploration.
Hormis ce petit vestige de toison souple. Sa peau humide sous les poils est un régal sous mes lèvres. Ma langue s’immisce dans sa fente. Son goût est particulier, puissant au point d’envahir toute ma bouche. À peine l’ai-je savouré que j’en veux davantage. Je lape sa chatte avec une dévorante gourmandise. Je l’entends émettre un gémissement de plaisir. Grisé par son divin nectar, je plonge mon visage entre ses cuisses.
Je la hume, je la bois sans pouvoir m’en rassasier. Ma langue rencontre la pointe saillante, toute rose et luisante. Elle a un sursaut. Je soude mes lèvres à son bouton qui palpite et je le suce de la même manière que je maltraite ses tétons. Elle renverse la tête en arrière. Je lèche de toute ma soûle. Parcourant sa fente pour ne rien perdre d’elle. Fouillant les moindres replis de sa chatte jusqu’à son vagin pour me repaître à la source.
- Vicieux et pervers ! Tu es fait pour faire plaisir aux femmes.
Sophie se met à onduler contre ma figure. Elle plaque une main sur l’arrière de mon crâne et me soude plus fermement à sa cicatrice. Cela me propulse au summum de l’excitation. Je suis prêt à la dévorer. Ses coups de reins se font plus nerveux. Entre mes jambes, ma queue s’emballe, au point que je crois que je vais éjaculer sans me toucher. Puis Sophie se tend.
Avec le bout du nez, j’écarte sa vulve suintante, puis guide ma langue dans son trou. Sophie répond en contractant son ventre. Son sexe frémit sous ma langue. Plus rien ne me stopper mon élan. Son jus épicé noie ma bouche. Parfois elle me tire par les cheveux, pour réfréner ma fièvre.
Je niche ma langue dans son orifice. Les parois élastiques de son vagin se gonflent, j’aspire son bulbe. Son sexe fond dans ma bouche, ma salive s’unit à ses sécrétions. Sa chatte ondule contre ma figure tandis que le siège couine sous mes assauts fougueux. Puis ses cuisses frappent contre mes oreilles. Leur pression est si forte que je ne peux plus fermer les lèvres ni remuer la langue. Elle n’en finit pas de gémir de plaisir. Les convulsions provoquées par l’orgasme serrent les parois de son vagin, ne faisant ainsi participer à sa jouissance. Quand la tension de son sexe se relâche, elle s’affale sur son siège.
Je profite de son abandon pour me placer entre ses jambes. Je me sens euphorique avec tout au fond de moi-même cette palpitation délicieuse que j’éprouve chaque fois de je vais foutre. À ce détail près, elle est particulièrement chaude. Et possède en plus la capacité rare de resserrer sa féminité autour de mon membre qui à présent, est entièrement avalée dans son sexe. J’ai l’impression qu’une main me saisit à l’intérieur même du ventre de ma partenaire, pour me malaxer et me pétrir mes va-et-vient. Gémissant sur un rythme de plus en plus précipité et le bruit de son souffle rauque suffit à gommer la musique venant de la salle. Parfois entre deux râles, un mot bref, une phrase hachée sort de sa bouche.
Emporté par cette fougue, je laisse se déchaîner ma frénésie d’homme, allant et venant presque sauvagement dans le sexe à chaque poussée plus liquide et plus chaude et la faisant gémir davantage. Sophie donne libre cours à ses gémissements. Ma queue navigue dans sa chatte dégorgeant de mouille. Sophie donne des coups de reins pour que je m’enfonce plus loin, elle s’agite, resserre encore et encore son con autour de ma verge.
Elle devient encore plus raide. Mes couilles plus dures. Je pousse un petit cri étouffé et me répand en elle, en jets drus. Mon sperme gluant gicle violemment. Sophie est comme saisie de convulsions. Elle se met à râler, les vagues de l’orgasme la secouant. Sa bouche s’ouvre sur un long cri. Puis elle s’immobilise. Vaincue. Paraissant s’être endormie.
-Il faut qu’on se revoie ! Me lâche-t-elle, alors qu’elle prend le chemin la menant à sa table.
-Tu crois ?
-C’est ma chatte qui l’exige.
-Alors, si c’est ta chatte !

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Histoire sexe : Une rose rouge
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