LES ROUTIERS SONT SYMPAS Chapitre 15
Récit érotique écrit par Petikokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LES ROUTIERS SONT SYMPAS Chapitre 15
LES ROUTIERS SONT SYMPAS Chapitre 15Mon amour de fontaine – 5Depuis quelque temps je pense à changer de vie... À trente-deux ans passés, après presque huit ans d’armée et quatre ans sur les routes, je voudrai bien trouver un emploi qui me permet de rentrer chez moi tous les soirs... Je voudrai bien fonder une famille... Je dois trouver celle qui sera à mes côtés chaque jour, celle qui sera la mère de mes futurs enfants...
De toutes les filles ou les femmes que j’ai connues et que je connais encore, il y en a beaucoup qui sont mariées ou en couple... Parmi celles qui sont encore libres, ou bien elles veulent rester célibataires, ou bien elles ne veulent pas avoir d’enfants, ou bien il y a trop d’incompatibilité entre nous pour vivre ensemble... Plus j’y pense, plus mon choix se restreint...
Cela ne m'empêche pas d’avoir, de temps en temps, des relations intimes avec des amies qui aiment bien partager, avec moi, un peu de plaisir...
Ce week-end, j’ai invité Élodie...
Si vous avez lu mes histoires, vous connaissez Élodie... C’est une collègue de travail. Elle est au service « transports et affrètements » de notre entreprise. Elle est célibataire, vingt-cinq ans, sympathique. Bref, une belle fille à l’allure sportive.
C’est une femme fontaine... Aux cours de ses rapports sexuels, très excitée, quand elle jouit, des geysers jets de liquide giclent de son vagin... Les deux premières relations qu’elle a eues avec des hommes ont été des échecs... Ces messieurs ont cru qu’elle leur urinait dessus... Traumatisée, elle se croyait anormale...
Elle m’a confié son secret... Nous avons rencontré des personnes « spécialisées ». Elles lui ont fait comprendre que son défaut n’était pas si grave que cela... Malgré sa bonne volonté, elle n’a pas surmonté son traumatisme... Elle n’a jamais tenté d’avoir de nouvelles relations sexuelles..., je suis le seul, avec qui elle se laisse aller dans des relations intimes...
Nous avons passé la journée de ce samedi ensemble, à nous balader, au cinéma, au restaurant... Le soir, nous nous sommes retrouvés, bien sagement, côte à côte, sur son divan...
« Élodie, la communauté de commune va créer un service de transports interurbains. Ils feront aussi le ramassage scolaire. J’ai fait acte de candidature pour un emploi d’agent de maitrise. Le recrutement se faisant par concours, j’ai réussi les épreuves écrites. La partie orale doit avoir lieu dans quelques jours... Si j’obtiens ce poste, j’arrêterai de faire la route...
Je souhaite que tu sois retenu... Je serai bien contente pour toi... On pourra se voir plus souvent...
Ça veut dire quoi « se voir plus souvent » ?... Depuis que nous avons vu Michelle et Yvette, tu nous as promis de rencontrer des garçons de ton âge pour trouver un copain...
Je vais t’avouer que j’ai cherché... J’ai rencontré des gars très bien... Nous avons flirté, nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés, j’ai eu beaucoup de plaisir, mais j’ai toujours refusé d’aller jusqu’au bout... Je n’ose pas... Je ne peux pas...
On te l’a dit, tu nous as promis... Avant de passer à l’acte, dis la vérité à ton partenaire... Si ce n’est pas un rustre, soit il n’osera pas aller plus loin, soit il comprendra et voudra découvrir...
Justement, s’il veut découvrir, comme tu dis, je ne sais pas comment faire pour « limiter les dégâts »...
Évidemment, c’est à toi de prévoir et d’organiser la chose... Tu peux, par exemple, s’il fait beau, faire ça dans la nature, dans un lieu isolé... Dans une baignoire, Sur un lit ou tu auras étendu une grande serviette de bain...
Tu parles bien... Mais je ne peux pas... C’est plus fort que moi...
Si tu avais vraiment envie, tu trouverais une solution...
Quand j’ai vraiment envie ou quand un garçon m’a bien excité, je me donne du plaisir seule... Je me masturbe jusqu’à l'orgasme... Parfois, ça gicle... Je le sens venir... Je tiens une serviette de toilette devant et je laisse aller...
Tu peux aussi faire ça dans des positions plus adaptées...
Tu sais bien que je n’ai aucune expérience... Tu es le seul avec qui j’ai eu de vrais rapports sexuels... »Tout en parlant, en nous embrassant, de temps en temps, nous nous caressons... Mon chibre est aussi raide qu’une matraque... Au son de sa voie et au rythme de sa respiration, je comprends qu’elle aussi est de plus en plus excitée...
« Maintenant, tu as envie de faire l’amour ?...
Oui !... » Me dit-elle dans un souffle en plaquant sa bouche sur la mienne... »Nous nous retrouvons dans sa chambre... On étale un drap de bain sur le lit... Debout dans les bras l’un de l’autre, nous nous embrassons jusqu’à en perdre le souffle... Tout en se caressant, l’un déshabille l’autre... Nus, nous nous allongeons sur le lit... De petits baisers en petits mordillages, chacun explore le corps de l’autre... Nos mains ne restent pas inactives... Ce sont des caresses, et des massages, sur toute la surface de nos corps... J’ai une attirance particulière pour sa poitrine aux seins bien ronds et fermes... Pendant que mes mains s’occupent de ses nénés, ma bouche aspire et fait rouler, entre les lèvres, les tétons aussi durs que des sucres d’orge...
Nous nous retrouvons en tête-à-queue... Sans nous concerter, nous entamons un soixante-neuf particulièrement aguichant...
Je sens mon phallus pris en main, branlé lentement, en douceur...
Je lèche et embrasse l’intérieur des cuisses, le bas ventre de ma partenaire...
Mon gland est pris entre ses lèvres... Sa langue, chaude et humide, le titille gentiment...
Mes mains écartent les collines du mont fendu... Ma bouche embrasse sa minette ainsi ouverte...
Je sens mon pénis aspiré et englouti dans un gouffre chaud et humide... Sa langue n’arrête pas de tourner autour...
D’un long baiser, je réveille la marmotte qui sommeille ans son terrier rose...
En un duo parfaitement synchronisé, sa main et sa bouche branlent mon pivot de la joie crescendo...
Sous mes coups de langue, le dormeur du val pointe son nez à la porte du paradis...
Avec un tel traitement, Popol, comme un brave soldat au garde à vous, est prêt à accomplir son devoir...
Au rythme de sa respiration, aux vibrations de son corps, je sens qu’Élodie est prête pour se propager dans les nuages...
Je bois une dernière lampée à la coupe du plaisir...
Je fais mettre Élodie à quatre pattes, puis, lui faisant replier les bras, je la fais mettre en position de levrette...
Je me mets à genoux derrière elle et positionne ma trique, couverte d’une capote, devant la porte secrète du paradis... Sans hésitation, je m'introduis dans le corridor des braves pour glisser vers la terre promise...
Sous la fulgurance de cet assaut, Élodie tremble de tout son corps, elle se raidit, se cambre, se tétanise...
Dans un dernier souffle, elle murmure : « Je pars... » avant de s’évanouir sous la puissance de son orgasme... Tout en déchargeant ma semence, je la prends par les fesses, je m’enfonce au plus profond de sa foufoune... Cela permet de casser la puissance des jets de sa fontaine...
C'est le drap de bain qui a pompé tout le liquide... Revenus au calme, nous l’enlevons et allons faire un brin de toilette...
Nus, nous nous glissons entre les draps, serrés l’un contre l’autre... Nous nous congratulons mutuellement...
Tu vois, tu peux faire l’amour, avec un homme, sans crainte de gâcher votre plaisir...
« Élodie, tu es heureuse ?...
Oui... Avec toi, j’oublie tout... Sur tes bons conseils, Je me laisse aller... J’écoute mon corps... Je me sens véritablement femme...
Dis-moi franchement, tu ne serais pas un peu amoureuse ?...
Peut-être... Je crois que oui...
Nous sommes amis... Nous nous sommes promis de tout nous dire... Tu es toujours d’accord ?...
Oui..., Toi, tu as quelque chose à me dire... Tu n’oses pas ?...
Ce que je veux te dire, tu le sais déjà, en partie... Tant que je serai chauffeur routier, je ne chercherai pas une relation suivie avec une copine... J’ai grand espoir d’avoir cet emploi à la communauté de commune... Si je suis retenu, j’arrêterai de faire la route...
Et alors, tu chercheras une copine ?... Tu penseras à moi ?...
Non !... Je ne chercherai pas...
Pourquoi ?...
Parce que je crois avoir trouvé celle qui pourrait partager ma vie...
Tu vas me dire qui c’est ?... Je la connais ?...
Oh oui ! Tu la connais !... Élodie, si j’obtiens ce travail, voudras-tu devenir ma copine et, si nous avons assez d’affinités communes, partager, ensemble, le reste de notre vie ?...
Bien sur, j’attends cette demande depuis que nous nous connaissons... »Des larmes de joie aux yeux, nous nous embrassons longuement jusqu’à ce que le sommeil nous prenne...
Épilogue : Il ne faut jamais dire : femme fontaine, je ne boirai pas de ton eauJ’ai obtenu l’emploi à la communauté de commune... En fait, je devais devenir le chef du service quand sa création serait terminée. Dans cette perspective, j’ai demandé et obtenu le recrutement d’une secrétaire... C’est Élodie qui a été embauchée...
Un mois après avoir quitté notre entreprise, nous avons offert un pot de départ à tous anciens collègues. Nous avons eu droit au traditionnel discours de notre patron. Nous avons, aussi, eu droit aux traditionnels cadeaux de départ... Nous avons partagé le verre de l’amitié... Avant de nous séparer, j’ai réclamé le silence car j’avais une demande à faire à une personne en particulier.
Élodie, nous allons travailler ensemble... Une nouvelle vie s’offre à nous... Voudras-tu être celle qui voudra partager cette vie avec moi ?...
Ho oui !- » S’écrit-elle en se précipitant dans mes bras, les larmes de joie aux yeux.
Nous nous embrassons sous les applaudissements et les félicitations de nos anciennes et anciens camarades.
Nous avons aménagé ensemble, nous sommes devenus parents d’une fille... Elle s’appelle Yvette Denise. Elle a deux marraines : Michelle et Nathalie...
Depuis son accouchement, aux cours de nos rapports, Élodie jouit toujours autant mais ne gicle plus...
Vous allez faire connaissance de Nathalie dans les prochaines histoires...
Petikokin
De toutes les filles ou les femmes que j’ai connues et que je connais encore, il y en a beaucoup qui sont mariées ou en couple... Parmi celles qui sont encore libres, ou bien elles veulent rester célibataires, ou bien elles ne veulent pas avoir d’enfants, ou bien il y a trop d’incompatibilité entre nous pour vivre ensemble... Plus j’y pense, plus mon choix se restreint...
Cela ne m'empêche pas d’avoir, de temps en temps, des relations intimes avec des amies qui aiment bien partager, avec moi, un peu de plaisir...
Ce week-end, j’ai invité Élodie...
Si vous avez lu mes histoires, vous connaissez Élodie... C’est une collègue de travail. Elle est au service « transports et affrètements » de notre entreprise. Elle est célibataire, vingt-cinq ans, sympathique. Bref, une belle fille à l’allure sportive.
C’est une femme fontaine... Aux cours de ses rapports sexuels, très excitée, quand elle jouit, des geysers jets de liquide giclent de son vagin... Les deux premières relations qu’elle a eues avec des hommes ont été des échecs... Ces messieurs ont cru qu’elle leur urinait dessus... Traumatisée, elle se croyait anormale...
Elle m’a confié son secret... Nous avons rencontré des personnes « spécialisées ». Elles lui ont fait comprendre que son défaut n’était pas si grave que cela... Malgré sa bonne volonté, elle n’a pas surmonté son traumatisme... Elle n’a jamais tenté d’avoir de nouvelles relations sexuelles..., je suis le seul, avec qui elle se laisse aller dans des relations intimes...
Nous avons passé la journée de ce samedi ensemble, à nous balader, au cinéma, au restaurant... Le soir, nous nous sommes retrouvés, bien sagement, côte à côte, sur son divan...
« Élodie, la communauté de commune va créer un service de transports interurbains. Ils feront aussi le ramassage scolaire. J’ai fait acte de candidature pour un emploi d’agent de maitrise. Le recrutement se faisant par concours, j’ai réussi les épreuves écrites. La partie orale doit avoir lieu dans quelques jours... Si j’obtiens ce poste, j’arrêterai de faire la route...
Je souhaite que tu sois retenu... Je serai bien contente pour toi... On pourra se voir plus souvent...
Ça veut dire quoi « se voir plus souvent » ?... Depuis que nous avons vu Michelle et Yvette, tu nous as promis de rencontrer des garçons de ton âge pour trouver un copain...
Je vais t’avouer que j’ai cherché... J’ai rencontré des gars très bien... Nous avons flirté, nous nous sommes embrassés, nous nous sommes caressés, j’ai eu beaucoup de plaisir, mais j’ai toujours refusé d’aller jusqu’au bout... Je n’ose pas... Je ne peux pas...
On te l’a dit, tu nous as promis... Avant de passer à l’acte, dis la vérité à ton partenaire... Si ce n’est pas un rustre, soit il n’osera pas aller plus loin, soit il comprendra et voudra découvrir...
Justement, s’il veut découvrir, comme tu dis, je ne sais pas comment faire pour « limiter les dégâts »...
Évidemment, c’est à toi de prévoir et d’organiser la chose... Tu peux, par exemple, s’il fait beau, faire ça dans la nature, dans un lieu isolé... Dans une baignoire, Sur un lit ou tu auras étendu une grande serviette de bain...
Tu parles bien... Mais je ne peux pas... C’est plus fort que moi...
Si tu avais vraiment envie, tu trouverais une solution...
Quand j’ai vraiment envie ou quand un garçon m’a bien excité, je me donne du plaisir seule... Je me masturbe jusqu’à l'orgasme... Parfois, ça gicle... Je le sens venir... Je tiens une serviette de toilette devant et je laisse aller...
Tu peux aussi faire ça dans des positions plus adaptées...
Tu sais bien que je n’ai aucune expérience... Tu es le seul avec qui j’ai eu de vrais rapports sexuels... »Tout en parlant, en nous embrassant, de temps en temps, nous nous caressons... Mon chibre est aussi raide qu’une matraque... Au son de sa voie et au rythme de sa respiration, je comprends qu’elle aussi est de plus en plus excitée...
« Maintenant, tu as envie de faire l’amour ?...
Oui !... » Me dit-elle dans un souffle en plaquant sa bouche sur la mienne... »Nous nous retrouvons dans sa chambre... On étale un drap de bain sur le lit... Debout dans les bras l’un de l’autre, nous nous embrassons jusqu’à en perdre le souffle... Tout en se caressant, l’un déshabille l’autre... Nus, nous nous allongeons sur le lit... De petits baisers en petits mordillages, chacun explore le corps de l’autre... Nos mains ne restent pas inactives... Ce sont des caresses, et des massages, sur toute la surface de nos corps... J’ai une attirance particulière pour sa poitrine aux seins bien ronds et fermes... Pendant que mes mains s’occupent de ses nénés, ma bouche aspire et fait rouler, entre les lèvres, les tétons aussi durs que des sucres d’orge...
Nous nous retrouvons en tête-à-queue... Sans nous concerter, nous entamons un soixante-neuf particulièrement aguichant...
Je sens mon phallus pris en main, branlé lentement, en douceur...
Je lèche et embrasse l’intérieur des cuisses, le bas ventre de ma partenaire...
Mon gland est pris entre ses lèvres... Sa langue, chaude et humide, le titille gentiment...
Mes mains écartent les collines du mont fendu... Ma bouche embrasse sa minette ainsi ouverte...
Je sens mon pénis aspiré et englouti dans un gouffre chaud et humide... Sa langue n’arrête pas de tourner autour...
D’un long baiser, je réveille la marmotte qui sommeille ans son terrier rose...
En un duo parfaitement synchronisé, sa main et sa bouche branlent mon pivot de la joie crescendo...
Sous mes coups de langue, le dormeur du val pointe son nez à la porte du paradis...
Avec un tel traitement, Popol, comme un brave soldat au garde à vous, est prêt à accomplir son devoir...
Au rythme de sa respiration, aux vibrations de son corps, je sens qu’Élodie est prête pour se propager dans les nuages...
Je bois une dernière lampée à la coupe du plaisir...
Je fais mettre Élodie à quatre pattes, puis, lui faisant replier les bras, je la fais mettre en position de levrette...
Je me mets à genoux derrière elle et positionne ma trique, couverte d’une capote, devant la porte secrète du paradis... Sans hésitation, je m'introduis dans le corridor des braves pour glisser vers la terre promise...
Sous la fulgurance de cet assaut, Élodie tremble de tout son corps, elle se raidit, se cambre, se tétanise...
Dans un dernier souffle, elle murmure : « Je pars... » avant de s’évanouir sous la puissance de son orgasme... Tout en déchargeant ma semence, je la prends par les fesses, je m’enfonce au plus profond de sa foufoune... Cela permet de casser la puissance des jets de sa fontaine...
C'est le drap de bain qui a pompé tout le liquide... Revenus au calme, nous l’enlevons et allons faire un brin de toilette...
Nus, nous nous glissons entre les draps, serrés l’un contre l’autre... Nous nous congratulons mutuellement...
Tu vois, tu peux faire l’amour, avec un homme, sans crainte de gâcher votre plaisir...
« Élodie, tu es heureuse ?...
Oui... Avec toi, j’oublie tout... Sur tes bons conseils, Je me laisse aller... J’écoute mon corps... Je me sens véritablement femme...
Dis-moi franchement, tu ne serais pas un peu amoureuse ?...
Peut-être... Je crois que oui...
Nous sommes amis... Nous nous sommes promis de tout nous dire... Tu es toujours d’accord ?...
Oui..., Toi, tu as quelque chose à me dire... Tu n’oses pas ?...
Ce que je veux te dire, tu le sais déjà, en partie... Tant que je serai chauffeur routier, je ne chercherai pas une relation suivie avec une copine... J’ai grand espoir d’avoir cet emploi à la communauté de commune... Si je suis retenu, j’arrêterai de faire la route...
Et alors, tu chercheras une copine ?... Tu penseras à moi ?...
Non !... Je ne chercherai pas...
Pourquoi ?...
Parce que je crois avoir trouvé celle qui pourrait partager ma vie...
Tu vas me dire qui c’est ?... Je la connais ?...
Oh oui ! Tu la connais !... Élodie, si j’obtiens ce travail, voudras-tu devenir ma copine et, si nous avons assez d’affinités communes, partager, ensemble, le reste de notre vie ?...
Bien sur, j’attends cette demande depuis que nous nous connaissons... »Des larmes de joie aux yeux, nous nous embrassons longuement jusqu’à ce que le sommeil nous prenne...
Épilogue : Il ne faut jamais dire : femme fontaine, je ne boirai pas de ton eauJ’ai obtenu l’emploi à la communauté de commune... En fait, je devais devenir le chef du service quand sa création serait terminée. Dans cette perspective, j’ai demandé et obtenu le recrutement d’une secrétaire... C’est Élodie qui a été embauchée...
Un mois après avoir quitté notre entreprise, nous avons offert un pot de départ à tous anciens collègues. Nous avons eu droit au traditionnel discours de notre patron. Nous avons, aussi, eu droit aux traditionnels cadeaux de départ... Nous avons partagé le verre de l’amitié... Avant de nous séparer, j’ai réclamé le silence car j’avais une demande à faire à une personne en particulier.
Élodie, nous allons travailler ensemble... Une nouvelle vie s’offre à nous... Voudras-tu être celle qui voudra partager cette vie avec moi ?...
Ho oui !- » S’écrit-elle en se précipitant dans mes bras, les larmes de joie aux yeux.
Nous nous embrassons sous les applaudissements et les félicitations de nos anciennes et anciens camarades.
Nous avons aménagé ensemble, nous sommes devenus parents d’une fille... Elle s’appelle Yvette Denise. Elle a deux marraines : Michelle et Nathalie...
Depuis son accouchement, aux cours de nos rapports, Élodie jouit toujours autant mais ne gicle plus...
Vous allez faire connaissance de Nathalie dans les prochaines histoires...
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