Les talons rouges (épisode N°08) Elle ose.
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les talons rouges (épisode N°08) Elle ose.
LES TALONS ROUGES (épisode N°08)
Agathe Donamaria de Urroz âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence entraîne également sa sœur, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Elle se laisse dominer par le jeune homme et se laisse aimer charnellement dans un des appartements inoccupés du château. Puis elle offre son derrière à Jacque qui lui déflore son cul sans pitié pour le corps gracile de la belle châtelaine.
VIII – Elle ose
Lorsque tous deux refont surface, il s’est passé plus de deux heures depuis leur violente apothéose. Sans s’en rendre compte ils se sont endormis comme une masse, épuisés par l’effort consenti et la violence de leur jouissance. Gaëlle regarde Jacques encore endormi. Il est beau cet homme qui a l’âge de son fils. Comment peut-il prendre du plaisir avec une vieille femme comme elle. Il est vrai que son corps n’est pas abîmé et que son amant ne triche apparemment pas ; il a vraiment envie d’elle. Il est incontestable qu’aujourd’hui elle lui a tout donné. Aussi bien sa bouche qui a reçu sa verge et son sperme que son anus qu’il a perforé avec son gros sexe, lui faisant un mal effroyable. Pourtant elle reconnaît avoir eut du plaisir, aussi bien du sperme qu’elle a avalé qu’au pieu fiché au plus profond de ses entrailles annales. C’est incroyable que la douleur lui ait occasionné autant de jouissance. Elle se pose mille questions sur les pratiques sadomasochistes qu’elle a lues et qui lui paraissaient incroyables.
À ce moment, Jacques se réveille et happe un de ses seins dans sa bouche, mordillant le mamelon pour se mettre en forme. Elle rit de se savoir tant désirée, et, pour ne pas être ne reste, elle va à la recherche du pénis de son compagnon, qui apparemment a repris une bonne taille, car elle du mal à en faire le tour de ses doigts, sa main il est vrai étant à la mesure de sa taille. Mais Jacques la soulève de ses mains et l’installe à califourchon et à l’envers sur lui, sa tête venant se loger entre ses fesses et ses cuisses. Il atteint bientôt avec sa langue la chatte odorante et encore gluante de cyprine à peine sèche. Il tripote avec délices les parties génitales de sa compagne, alors que celle-ci, ayant la verge à sa portée, l’enfourne dans sa bouche sans hésiter, grimaçant tout de même car son homme a dû racler des matières fécales dans son derrière et l’odeur est un peu nauséabonde. Elle se surprend pourtant à lécher et nettoyer la hampe un peu maculée, sans avoir de haut le cœur comme elle aurait pu le craindre ; l’odeur forte qui se dégage de l’entrejambe de l’homme, attise plutôt ses envies et elle nettoie même la raie culière de son amant, n’hésitant pas à introduire sa langue dans l’œillet contracté, accompagné bientôt d’un doigt puis de deux, regardant avec intérêt la rosace qui se déploie sous ses doigts et le goulet anal qui s’ouvre légèrement ; elle fait onduler ses doigts dans l’anus, y prenant un certain plaisir, rêvant qu’elle aussi pourrait sodomiser son amant.
À ce moment, tombe sous ses yeux les godemichés en plastique qui ont servi à la préparer. Sans hésiter elle les prend, et, choisissant le moyen, elle essaie de l’introduire dans le derrière de l’homme qui lui a dépucelé son derrière. Elle attrape aussi la crème et en enduit avec ses doigts les parois de la gaine anale, puis elle essaie de faire entrer le phallus artificiel dans le rectum masculin. Mais l’engin est trop gros et l’œillet contracté repousse à chaque fois l’olisbos. Elle entend les halètements de Jacques qui apparemment se prête le plus possible aux agissements de sa compagne en poussant ses fesses vers la main qui n’arrive pas à introduire la verge pastiche dans son rectum. Encouragée par son comportement, Gaëlle n’hésite plus. Elle prend ses deux mains et d’une poussée un peu plus forte elle fait tout à coup irruption dans le canal étroit, arrachant cette fois un hurlement à l’homme qui n’a jamais du être enculé de la sorte.
Gaëlle est à la fois surprise de sa réussite et de la réaction de l’homme qu’elle trouve bien identique à la sienne. En effet si Jacques ne se laisse pas aller à pleurer comme elle, il pousse des grognements inarticulés et des soupirs qui laisse entrevoir sa douleur. Pourtant, il encourage de la voix Gaëlle.
- Allez ! N’hésitez pas ! Enculez-moi chérie. Prenez votre pied et vengez-vous ! Ne vous gênez pas, regardez bien mon trou de balle, vous comprendrez ce que vous avez subi.
En effet, Gaëlle en examinant l’énorme god qu’elle fait aller et venir dans l’anus masculin comprend ce que Jacques veut dire et ce qui l’a pénétré, il y a peu. Pourtant ce n’est que le phallus moyen dont elle s’est servie, alors qu’elle a reçu aussi celui qui est le plus imposant sans compter la verge de Jacques qui est encore plus impressionnante. Elle se surprend à prendre justement le gros godemiché et, sans réfléchir, elle ôte le premier qu’elle avait enfoncé dans la croupe de Jacques, puis, positionnant le second, elle entreprend de le ficher dans l’anus masculin. Celui-ci comprend immédiatement ce que sa compagne veut faire. Ne reculant pas devant ce qu’il a fait subir à Gaëlle, il se prête avec complaisance à sa prétention, écartant ses fesses avec ses mains pour qu’elle saisisse son accord tacite.
La châtelaine est tout de même un peu effarée de ce qu’elle va devoir faire, mais comprenant que son enculeur est d’accord, elle appuie avec force sur l’œillet qui s’écarte difficilement, et creuse le goulet étroit en tenant de ses deux mains l’engin, le forçant à se frayer un passage dans l’anus aussi vierge que le sien il y a peu. Jacques serre les dents pour ne pas crier, car la douleur est intolérable. Il se souvient de tous les culs qu’il a dépucelés et se rend compte à présent des souffrances qu’il a occasionnées. Gaëlle prend du plaisir à forcer le cul de cet homme qui l’a déniaisée, elle approfondit encore le trou, fourrageant dans les entrailles avec entrain, alors qu’elle remarque que la verge qui l’a enculée, il y a peu, se redresse orgueilleusement devant elle. L’homme à n’en pas douter est lui aussi stimulé, sans nul doute par son psychisme hautement sollicité, mais aussi par le plaisir masochiste qu’il ressent par ce que lui fait subir l’aristocrate. Pour observer l’excavation qu’elle a creusée, elle retire soudain l’olisbos du cul supplicié, arrachant cette fois un cri bref et rauque à Jacques. Elle contemple alors l’orifice béant, dont les chairs rougies et sombres laissent apercevoir les suintements de la crème qu’elle a introduite heureusement en grande quantité. Le cratère qu’elle a creusé la fascine, elle sent la mouille dégouliner entre ses cuisses tellement cette situation graveleuse la bouleverse. Surexcitée par la conduite ignominieuse dans laquelle elle se complaît, Gaëlle, enfournant à nouveau le phallus en plastique, le plonge jusqu’à la garde dans le conduit rectal lui imprimant un va-et-vient infernal, alors que Jacques n’en pouvant plus, sa verge gonflée et dure comme un morceau de bois, éjacule soudain à gros traits sur le visage de Gaëlle en criant son euphorie. Celle-ci, n’hésitant pas une seconde, prend le vit dans sa bouche et le pompe ardemment, avalant le sperme crémeux qui envahit sa gorge, tout en continuant de fourrer le cul de son amant avec l’olibos fiché entre ses fesses jusqu’à ce que l’homme crie grâce.
Lorsqu’ils peuvent de nouveau se regarder en face, les deux amants se sourient complices. Ils ont été ce soir au bout de leurs fantasmes et chacun y a trouvé son compte. Jacques, connaissant depuis près de vingt ans la mère de son ami, habituellement si prude et si effacée, est de toute évidence interloqué des prédispositions surprenantes de la châtelaine. Celle-ci, de son côté, est sidérée de son audace effrontée et de la délectation voluptueuse qu’elle prend à sa conduite inqualifiable. Perdue dans ses pensées, elle considère que lorsque sa sœur va rentrer de croisière, elle sera celle qui aura le plus d’ascendant sur l’autre. Elle spécule, qu’avec tout ce que Jacques va pouvoir lui apprendre dans les quelques jours où ils seront seuls pour faire l’amour sans aucune décence, elle va enfin vivre pleinement sa sexualité jusqu’ici refoulée. Aussi, elle compte bien rattraper le temps perdu auprès d’un mari qui n’a jamais su la contenter. Elle suppute, qu’elle pourra se livrer aussi bien aux amours incestueuses retrouvées, qu’à des pratiques libertines indécentes et scandaleuses avec l’aide de son bel amant. Incroyable qu’à son âge avancé, elle puisse avoir accès à des pratiques aussi libertines que dépravées. Il est vrai que le désir évident de son amant pour son corps gracile facilite sa vocation tardive.
Longtemps, durant presque toute la nuit, ils se font des confidences. Devant ses réticences faisant état de son âge, il lui dit que ce n’est pas cela qui compte, mais qu’il faut qu’elle réalise que c’est d’abord une femme très désirable, qu’elle a un corps parfait, des petits seins appétissants en diable, que la chair de sa vulve est tendre et goûteuse, et surtout, qu’elle fait l’amour comme une déesse. Il lui dit aussi qu’il n’est jamais trop tard. Que beaucoup d’hommes seraient honorés de pouvoir faire l’amour avec elle, d’ailleurs, si elle le veut, il pourra peut-être lui proposer de participer à des parties à plusieurs. Elle le regarde avec des yeux effarés mais aussi concupiscents par la promesse de réjouissances encore mystérieuses. Décidément, songe Jacques, la ravissante châtelaine risque d’être pour lui, une amante exceptionnelle, et, si sa sœur confirme ses dispositions, il pourra vivre avec elles des expériences des plus savoureuses de sa carrière de séducteur.
Enfin, il lui parle des futurs amants éventuels qu’elle pourra être incitée à connaître. Il lui recommande de bien se couvrir et lui fait voir comment mettre des préservatifs. Il lui dit qu’avec sa sœur vierge et elle, en manque depuis si longtemps, ils ne prenaient aucun risque, mais qu’à présent, qu’elles se feront certainement baiser par d’autres, il faut faire attention. Il lui dit aussi, qu’elle pourra remettre des culottes avec les autres, car pour beaucoup d’hommes ce sont les salopes qui se promènent culs nus. Pour lui le mot salope n’a pas le même sens. Ce sont des femmes qui s’assument sexuellement et sont plus fortes que les hommes, comme elle l’a fait ce soir en l’enculant sans hésiter. Il désire qu’elle soit une vraie salope, qui aille aux bouts de ses désirs et de ses fantasmes. Il lui promet qu’il lui fera connaître d’autres plaisirs et qu’elle sera caressée et baisée par d’autres que lui. Elle tremble d’angoisse à l’annonce de ce qui l’attend, mais elle frissonne aussi d’une certaine exaltation à l’idée des plaisirs inconnus que son amant lui promet.
Agathe Donamaria de Urroz âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence entraîne également sa sœur, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Elle se laisse dominer par le jeune homme et se laisse aimer charnellement dans un des appartements inoccupés du château. Puis elle offre son derrière à Jacque qui lui déflore son cul sans pitié pour le corps gracile de la belle châtelaine.
VIII – Elle ose
Lorsque tous deux refont surface, il s’est passé plus de deux heures depuis leur violente apothéose. Sans s’en rendre compte ils se sont endormis comme une masse, épuisés par l’effort consenti et la violence de leur jouissance. Gaëlle regarde Jacques encore endormi. Il est beau cet homme qui a l’âge de son fils. Comment peut-il prendre du plaisir avec une vieille femme comme elle. Il est vrai que son corps n’est pas abîmé et que son amant ne triche apparemment pas ; il a vraiment envie d’elle. Il est incontestable qu’aujourd’hui elle lui a tout donné. Aussi bien sa bouche qui a reçu sa verge et son sperme que son anus qu’il a perforé avec son gros sexe, lui faisant un mal effroyable. Pourtant elle reconnaît avoir eut du plaisir, aussi bien du sperme qu’elle a avalé qu’au pieu fiché au plus profond de ses entrailles annales. C’est incroyable que la douleur lui ait occasionné autant de jouissance. Elle se pose mille questions sur les pratiques sadomasochistes qu’elle a lues et qui lui paraissaient incroyables.
À ce moment, Jacques se réveille et happe un de ses seins dans sa bouche, mordillant le mamelon pour se mettre en forme. Elle rit de se savoir tant désirée, et, pour ne pas être ne reste, elle va à la recherche du pénis de son compagnon, qui apparemment a repris une bonne taille, car elle du mal à en faire le tour de ses doigts, sa main il est vrai étant à la mesure de sa taille. Mais Jacques la soulève de ses mains et l’installe à califourchon et à l’envers sur lui, sa tête venant se loger entre ses fesses et ses cuisses. Il atteint bientôt avec sa langue la chatte odorante et encore gluante de cyprine à peine sèche. Il tripote avec délices les parties génitales de sa compagne, alors que celle-ci, ayant la verge à sa portée, l’enfourne dans sa bouche sans hésiter, grimaçant tout de même car son homme a dû racler des matières fécales dans son derrière et l’odeur est un peu nauséabonde. Elle se surprend pourtant à lécher et nettoyer la hampe un peu maculée, sans avoir de haut le cœur comme elle aurait pu le craindre ; l’odeur forte qui se dégage de l’entrejambe de l’homme, attise plutôt ses envies et elle nettoie même la raie culière de son amant, n’hésitant pas à introduire sa langue dans l’œillet contracté, accompagné bientôt d’un doigt puis de deux, regardant avec intérêt la rosace qui se déploie sous ses doigts et le goulet anal qui s’ouvre légèrement ; elle fait onduler ses doigts dans l’anus, y prenant un certain plaisir, rêvant qu’elle aussi pourrait sodomiser son amant.
À ce moment, tombe sous ses yeux les godemichés en plastique qui ont servi à la préparer. Sans hésiter elle les prend, et, choisissant le moyen, elle essaie de l’introduire dans le derrière de l’homme qui lui a dépucelé son derrière. Elle attrape aussi la crème et en enduit avec ses doigts les parois de la gaine anale, puis elle essaie de faire entrer le phallus artificiel dans le rectum masculin. Mais l’engin est trop gros et l’œillet contracté repousse à chaque fois l’olisbos. Elle entend les halètements de Jacques qui apparemment se prête le plus possible aux agissements de sa compagne en poussant ses fesses vers la main qui n’arrive pas à introduire la verge pastiche dans son rectum. Encouragée par son comportement, Gaëlle n’hésite plus. Elle prend ses deux mains et d’une poussée un peu plus forte elle fait tout à coup irruption dans le canal étroit, arrachant cette fois un hurlement à l’homme qui n’a jamais du être enculé de la sorte.
Gaëlle est à la fois surprise de sa réussite et de la réaction de l’homme qu’elle trouve bien identique à la sienne. En effet si Jacques ne se laisse pas aller à pleurer comme elle, il pousse des grognements inarticulés et des soupirs qui laisse entrevoir sa douleur. Pourtant, il encourage de la voix Gaëlle.
- Allez ! N’hésitez pas ! Enculez-moi chérie. Prenez votre pied et vengez-vous ! Ne vous gênez pas, regardez bien mon trou de balle, vous comprendrez ce que vous avez subi.
En effet, Gaëlle en examinant l’énorme god qu’elle fait aller et venir dans l’anus masculin comprend ce que Jacques veut dire et ce qui l’a pénétré, il y a peu. Pourtant ce n’est que le phallus moyen dont elle s’est servie, alors qu’elle a reçu aussi celui qui est le plus imposant sans compter la verge de Jacques qui est encore plus impressionnante. Elle se surprend à prendre justement le gros godemiché et, sans réfléchir, elle ôte le premier qu’elle avait enfoncé dans la croupe de Jacques, puis, positionnant le second, elle entreprend de le ficher dans l’anus masculin. Celui-ci comprend immédiatement ce que sa compagne veut faire. Ne reculant pas devant ce qu’il a fait subir à Gaëlle, il se prête avec complaisance à sa prétention, écartant ses fesses avec ses mains pour qu’elle saisisse son accord tacite.
La châtelaine est tout de même un peu effarée de ce qu’elle va devoir faire, mais comprenant que son enculeur est d’accord, elle appuie avec force sur l’œillet qui s’écarte difficilement, et creuse le goulet étroit en tenant de ses deux mains l’engin, le forçant à se frayer un passage dans l’anus aussi vierge que le sien il y a peu. Jacques serre les dents pour ne pas crier, car la douleur est intolérable. Il se souvient de tous les culs qu’il a dépucelés et se rend compte à présent des souffrances qu’il a occasionnées. Gaëlle prend du plaisir à forcer le cul de cet homme qui l’a déniaisée, elle approfondit encore le trou, fourrageant dans les entrailles avec entrain, alors qu’elle remarque que la verge qui l’a enculée, il y a peu, se redresse orgueilleusement devant elle. L’homme à n’en pas douter est lui aussi stimulé, sans nul doute par son psychisme hautement sollicité, mais aussi par le plaisir masochiste qu’il ressent par ce que lui fait subir l’aristocrate. Pour observer l’excavation qu’elle a creusée, elle retire soudain l’olisbos du cul supplicié, arrachant cette fois un cri bref et rauque à Jacques. Elle contemple alors l’orifice béant, dont les chairs rougies et sombres laissent apercevoir les suintements de la crème qu’elle a introduite heureusement en grande quantité. Le cratère qu’elle a creusé la fascine, elle sent la mouille dégouliner entre ses cuisses tellement cette situation graveleuse la bouleverse. Surexcitée par la conduite ignominieuse dans laquelle elle se complaît, Gaëlle, enfournant à nouveau le phallus en plastique, le plonge jusqu’à la garde dans le conduit rectal lui imprimant un va-et-vient infernal, alors que Jacques n’en pouvant plus, sa verge gonflée et dure comme un morceau de bois, éjacule soudain à gros traits sur le visage de Gaëlle en criant son euphorie. Celle-ci, n’hésitant pas une seconde, prend le vit dans sa bouche et le pompe ardemment, avalant le sperme crémeux qui envahit sa gorge, tout en continuant de fourrer le cul de son amant avec l’olibos fiché entre ses fesses jusqu’à ce que l’homme crie grâce.
Lorsqu’ils peuvent de nouveau se regarder en face, les deux amants se sourient complices. Ils ont été ce soir au bout de leurs fantasmes et chacun y a trouvé son compte. Jacques, connaissant depuis près de vingt ans la mère de son ami, habituellement si prude et si effacée, est de toute évidence interloqué des prédispositions surprenantes de la châtelaine. Celle-ci, de son côté, est sidérée de son audace effrontée et de la délectation voluptueuse qu’elle prend à sa conduite inqualifiable. Perdue dans ses pensées, elle considère que lorsque sa sœur va rentrer de croisière, elle sera celle qui aura le plus d’ascendant sur l’autre. Elle spécule, qu’avec tout ce que Jacques va pouvoir lui apprendre dans les quelques jours où ils seront seuls pour faire l’amour sans aucune décence, elle va enfin vivre pleinement sa sexualité jusqu’ici refoulée. Aussi, elle compte bien rattraper le temps perdu auprès d’un mari qui n’a jamais su la contenter. Elle suppute, qu’elle pourra se livrer aussi bien aux amours incestueuses retrouvées, qu’à des pratiques libertines indécentes et scandaleuses avec l’aide de son bel amant. Incroyable qu’à son âge avancé, elle puisse avoir accès à des pratiques aussi libertines que dépravées. Il est vrai que le désir évident de son amant pour son corps gracile facilite sa vocation tardive.
Longtemps, durant presque toute la nuit, ils se font des confidences. Devant ses réticences faisant état de son âge, il lui dit que ce n’est pas cela qui compte, mais qu’il faut qu’elle réalise que c’est d’abord une femme très désirable, qu’elle a un corps parfait, des petits seins appétissants en diable, que la chair de sa vulve est tendre et goûteuse, et surtout, qu’elle fait l’amour comme une déesse. Il lui dit aussi qu’il n’est jamais trop tard. Que beaucoup d’hommes seraient honorés de pouvoir faire l’amour avec elle, d’ailleurs, si elle le veut, il pourra peut-être lui proposer de participer à des parties à plusieurs. Elle le regarde avec des yeux effarés mais aussi concupiscents par la promesse de réjouissances encore mystérieuses. Décidément, songe Jacques, la ravissante châtelaine risque d’être pour lui, une amante exceptionnelle, et, si sa sœur confirme ses dispositions, il pourra vivre avec elles des expériences des plus savoureuses de sa carrière de séducteur.
Enfin, il lui parle des futurs amants éventuels qu’elle pourra être incitée à connaître. Il lui recommande de bien se couvrir et lui fait voir comment mettre des préservatifs. Il lui dit qu’avec sa sœur vierge et elle, en manque depuis si longtemps, ils ne prenaient aucun risque, mais qu’à présent, qu’elles se feront certainement baiser par d’autres, il faut faire attention. Il lui dit aussi, qu’elle pourra remettre des culottes avec les autres, car pour beaucoup d’hommes ce sont les salopes qui se promènent culs nus. Pour lui le mot salope n’a pas le même sens. Ce sont des femmes qui s’assument sexuellement et sont plus fortes que les hommes, comme elle l’a fait ce soir en l’enculant sans hésiter. Il désire qu’elle soit une vraie salope, qui aille aux bouts de ses désirs et de ses fantasmes. Il lui promet qu’il lui fera connaître d’autres plaisirs et qu’elle sera caressée et baisée par d’autres que lui. Elle tremble d’angoisse à l’annonce de ce qui l’attend, mais elle frissonne aussi d’une certaine exaltation à l’idée des plaisirs inconnus que son amant lui promet.
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