Les toilettes du petit square de quartier. - histoire érotique

Même style de lieu, mais circonstances différentes !

Cela se passe avant la précédente histoire, je suis plus jeune, 21 ans !
Après mon premier job, je voyais ma copine du moment.

Cet après-midi là, on s'est contenté d'une promenade, et de baisers passionnés.
La veille, on a fait l'amour dans le grenier, au dessus de chez mes parents !
Je la raccompagne chez elle, avec un dernier baiser amoureux.

Pour rentrer chez moi, je passe à pied, pas très loin de WC publics, souvent vides !
Ils seront détruits quelques années plus tard !

Ils étaient placés sur une place de quartier.
Bien à l'écart, et cachés par des arbustes, qui poussaient de plus en plus, au fil des années !

Il n'y a qu'un seul réverbère, qui diffuse une faible lumière à l'intérieur.
Comme presque toujours, il y a beaucoup de messages à caractère sexuel, sur les murs !

Il m'arrive de temps en temps, de m'y arrêter, pour essayer de rencontrer des inconnus !
Mais sans jamais concrétiser ! C'est décourageant.

Parfois, je m'y masturbe pour calmer mon envie de sexe !
Ce soir là, vers 18h30, la nuit est déjà tombée, c'est l'hiver !

J'y retourne, sans penser a baiser ! Simplement pour m'y branler !
Je trouve dommage de ne pas pouvoir bien lire les messages, et voir les dessins de sodomies masculines, bites en érection, crachant du sperme, etc... !

Cela doit faire deux semaines, que j'y suis plus entré !
J'entend des pas !

Tiens ? Quelqu'un connait ce lieu ?
L'homme me voit devant un urinoir, avec la main sur ma queue en érection.
Après hésitation, il ressort !

Je pense aussitôt: Oh non, dommage ! J'en avais envie !
Décidément, cet endroit est maudit !

L'inconnu revient !
Mais il n'est pas tout seul ! Un autre homme du même âge est avec lui !
Tout se passe alors sans un mot.
Je me demande ce qui va m'arriver, mais je le désire aussi !

Ils m'entourent, en me touchant le corps d'une main, et se déballant la bite de l'autre !
Ils me rendent dingue, ils sentent la transpiration, mais ça m'excite !
Je me sens fragile entre leurs deux torses.
Ils sont massifs et puissants, et doivent avoir plus de 40 ans.
L'un d'eux est magrébin, c'est sûr ! L'autre doit être latino, peut être Portuguais, Espagnol ou Italien !

J'aime leur aspect sale, de fin de journée de travail !
Le latino lance:

"Bingo ! Mourad ! On a fait une bonne pioche, cette fois ! Enfin, quelqu'un d'intéressant !".

Je commence à bander plus fermement, j'ai leurs verges dans chaque main.
Ca m'excite ! Moi aussi, j'ai de la chance !

Tout va très vite !
Mourad me fait agenouiller devant leurs pieds.
Je passe de verge en verge, en les suçant avec gourmandise.
J'aime leurs commentaires, entre chaque gémissement.

"Orhhhh ! Putain ! Ca fait du bien ! Elle est chaude ta bouche !".

J'aime me retourner sans cesse, pour donner du plaisir à chacun d'eux.
Puis, ensemble, quand ils collent leurs queues.
Ils aiment mes fellations, puisque cela dure un bon moment !

"T'as raison ! Il suce bien, en plus ! Tu fais quoi jeune ? Tu te fais baiser aussi ?".
"Mmmmm ! Sllllrp ! Mmmmm ! Oui ! Mmmmm !...".
"Tu commences Claudio ?".

Mourad me redresse pour m'embrasser, pendant que Claudio me dénude le bas du corps.
Mes vêtements m'entravent les pieds, j'ai un peu froid au fesses.
Mais les mains de Claudio me réchauffent, pendant qu'il me lèche l'anus.

"Hummm ! Tu dois pas être bien vieux, toi, J'adore les culs sans poils, comme le tien ! T'as quel âge ?".

J'en ai un peu assez des réflexions, sur mon aspect physique juvénile, je décide de mentir !

"J'ai 17 ans !".
"Je m'en doutais !". Ajoute Mourad.

"Ouais ! Ca se voit ! Tu commences jeune ! Tant mieux pour nous !".
"On va bien s'occuper de toi ! Tu vas adorer nos queues ! Tu verras !".

Il ne croit pas si bien dire, celle de son pote, est déjà collée contre mon anus !
Je suis entre leurs corps, maintenu en haut des fesses, par leurs quatre mains !

Mourad m'écarte les lobes fessiers, pendant que le gland de Claudio entame son insertion.

"Orghhhh ! Oui, j'en ai envie ! Arghhh ! Doucement ! Ne vas pas trop vite !".
"T'inquiètes pas ! J'ai l'habitude ! J'aime pas faire du mal, tu vas adorer ma bite ! Minot !".

Il ne se doute pas, que j'ai déjà encaissé des verges similaires !
Mais, il me faut un temps d'adaptation, quand même !
Je repense à mes fellations sur leurs verges !
Elle étaient bien larges dans ma gorge !

Il recule, puis revient plusieurs fois !
Il revient encore, et peut enfin glisser jusqu'à la naissance de sa grosse bite.
Mourad me voit râler dans ma main.

"Ca y est ? Tu y es ?".
"Ouais ! Ca y est ! Il m'a entièrement dans le cul ! Putain, il est bon ! Ce p'tit con !".

Claudio entame sa possession, pendant que Mourad me maintient face à lui.
En quelques minutes, sa grosse verge coulisse sans obstacle, grâce à mon jus anal.

Mourad a placé une main sous mon canal urinaire, pour mieux sentir la verge de son pote qui me transperce !
Ca me provoque des frottements contre son bras, je bande en me faisant enculer !
Je râle de plus en plus fort, coincé entre eux !
Je vis mon premier orgasme anal, sans qu'ils s'en aperçoivent !

"Passes le moi, un peu ! Il faut que je le baise, moi aussi !".
Claudio vient me tenir, je me cambre en recevant le membre épais de Mourad !

"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Orhhh ! C'est bon ! Encules-moi, toi aussi !".
"Alors ? On avait pas raison, tu les adore nos grosses bites ! Pas vrai ?".
"Ouiiiiiii ! Arghhhhhhhhh ! Je vais jouir du cul ! Arggggggggggggg !...".
"Putain, il s'éclate le jeune ! Il aime vraiment la bite celui-là !".

Mourad est trop occupé à se masturber dans ma chatte, il demande quand même:
"Orhhh ! Tu passes souvent par là ? On aimerait bien te revoir ! T'es au top ! Minot !".
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Je... Je... Je repasserai ! Arghhhhhhhhh !... Quand vous voudrez !".

Claudio me baisse sur sa bite, pour que je le suce, et ajoute:

"C'est super, on revient lundi soir ! Il nous reste deux semaines de chantier ! On va en profiter !".
"Mmmm ! Mmmmmmmm ! Arghhhhhhhhh ! Oui ! Je viendrai ! Mmmmm ! Mmmmmmm !".

Ils changent encore de rôle.
Ca les aide à être plus endurants, et me permet de jouir analement, bien plus fort !
Ma queue rétrécit, pour laisser place au plaisir anal de ma chatte béante.
J'essaie de retenir mes cris, et mes râles, pour ne pas attirer l'attention de rares passants.

"Putain, Mourad, il faut que je lui lâche mon jus ! Ca devient urgent !".
"Vas-y Mec ! On a plus beaucoup de temps, et on a de la route ! Je prend la suite après toi !".

Dés lors, sa saillie devient plus déchainée.
Le gland de Mourad, au fond ma gorge, me provoque des étouffements, suite aux enfoncements violents de Claudio, dans ma chatte.
Je joui en m'étranglant sur la bite du magrébin !

C'est presque une délivrance, quand je comprends qu'il se libère de tout son foutre, au fond de moi.
La suite est précipitée, Claudio me surprend en venant dans ma bouche.

Mourad m'encule aussitôt !
Je m'étonne d'avoir quelques derniers jets de sperme dans la gorge !

"Putain ! Claudio, on lui éclaté la chatte ! Ca rentre comme dans du beurre ! J'adore ! Il est plein de jus !".

Claudio a terminé de jouir, il voit que je me suis mis à rebander !
Mais plus par excitation ! Cette fois !
C'est la conséquence de leurs verges, contre ma prostate !

Il saisit ma queue, et se cale sur le rythme de Mourad !
Ce sont les coups de queues violents du magrébin qui me branlent la bite !

Je craque rapidement, en moins de cinq minutes !

Ensuite, c'est lui qui se déverse dans ma chatte, en râlant sans faire gaffe aux passants.
Je me fais inonder l'anus, alors que mes dernières gouttes de sperme, arrosent le sol des W-C !

Mourad prend son temps, ca me permet de laisser retomber mon orgasme, en prenant encore du plaisir anal.

"Alors ! Jeune ? T'as aimé ça ?".
"Arhh ! Orhhh ! Oui ! Vous reviendrez Lundi ? C'est sûr ?".
"Oui, on est sur Fréjus ! Et on a encore deux semaines, ici ! T'inquiètes pas, on va encore te baiser ! Tu connais d'autres coins, plus chauds ? Parce que celui-là, il y a jamais personne !".

Je leur donne des plans, dont les cinémas pornos, qu'ils ne peuvent pas utiliser, faute de temps
Mais ils retiennent le bord de mer, qui est gratuit et accessible, même entre midi et 14h.

Mourad se nettoie la bite avec un Kleenex.

"Je peux en avoir un ?... Merci !".

Je m'essuie la verge, moi aussi, puis, fait de même avec mon anus spermé.
C'est pas évident ! Tant pis ! C'était trop bon !

On marche ensemble, vers leur chantier.

"Voilà, c'est là qu'on bosse ! Bon, on te laisse ! Comment tu t'appelles ? Au fait ?".
"Pascal ! Merci !".
"Il nous dit merci, en plus ! Il est adorable, ce jeune ! A lundi soir !".
"A lundi !".

Je les vois partir dans leur fourgonnette, avec un sentiment de plénitude !
Ca faisait longtemps, que l'on ne m'avait pas baisé comme ça !

En rentrant mon père me fait une réflexion:
"Tu rentres tard, ce soir ! Tu vas manger froid ! Qu'est-ce que tu foutais ?".
"J'ai rencontré des potes ! Désolé ! Je vais réchauffer mon assiette ! Ca ira !".

J'ai du avaler mon repas, en retenant un besoin de rejet anal !
Le moment du coucher, venu, j'ai du me branler en y repensant !