Les tontons partie 2
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les tontons partie 2
Suite de l’histoire « Les tontons partie 1 »
Quand elle m’a enfin rejoint, j’étais assis à la terrasse d’un bar non loin de l’appart.
Elle m’a embrassée goulûment, fourrant sa langue directement dans ma bouche, un gout bizarre m’a fait penser qu’elle avait dû se taper un mec avant de me rejoindre.
Je lui ai alors dit :
« Toi tu n’as pas été sage »
Elle m’a souri en guise de réponse.
J’ai ensuite continué :
« Ce n’est pas cool, je t’ai cherché partout, je suis retourné à l’appart mais tu n’y étais plus, Jean m’a dit que tu étais passé et repartie pas longtemps après, il m’a même proposé de participer à une partouze, il m’a dit qu’il avait dégotté une petite salope qui aime la bite et qui se faisait démonter par tous les mecs qui venait à l’appart, mais j’ai refusé »
Elle a éclaté de rire en me disant :
« Tu aurais baisé ta femme »
Voyant que j’avais du mal à comprendre elle a continué :
« La petite salope qui aime la bite et qui s’est faite démonter par tout le monde c’était moi »
S’approchant de mon oreille et en posant discrètement sa main à la hauteur de mon sexe elle m’a dit :
« Ils sont au moins une quinzaine à m’être passé dessus, les tontons m’ont même pris ensemble, Jean m’a enculé pendant que Raymond me baisait et que je suçais Fred, j’ai adoré ça »
Mon sexe me faisait mal tellement je bandais, ses paroles m’avaient excité.
Un autre sentiment moins agréable m’a envahi aussi, celui d’être le cocu de la bande, cocu aux yeux de tous ceux que j’avais ou j’allais côtoyer pendant notre séjour, cocu aux yeux des deux tontons.
Cette situation me gênait mais m’excitais en même temps, puis je me suis dit que je ne les reverrais certainement jamais alors à quoi bon se miner pour ça.
Le seul que l’on reverrait c’est Fred et lui baisait déjà ma femme avant.
Nous avons continué à nous amuser encore, chantant, buvant, rigolant, dansant.
Quand je dansais avec ma femme, elle se collait parfois à moi en me susurrant à l’oreille :
« Hummm pense à toutes les queues qui ont jouis en moi cette après-midi, à tous les mecs qui m’ont baisé ou que j’ai sucé » et aussitôt mon sexe se retrouvait au garde à vous.
Elle faisait exprès de m’exciter, à force de multiplier les érections, mon slip était trempé de secrétions, elle s’en doutait et je pense que ça l’excitait aussi de me mettre dans cette état.
Elle a joué à ce petit jeux une bonne partie de la soirée, elle dansait aussi parfois avec d’autres en se collant comme avec moi.
Je voyais des mains se balader sur ses fesses ou ses seins, certains l’ont embrassé mais elle n’allait jamais plus loin et revenait très vite vers moi.
Dans la nuit, il y a eu plusieurs débuts de bagarre, les esprits commençaient à s’échauffer, nous avons décidé de rentrer car à plusieurs endroits, l’excès d’alcool de certains rendait la fête moins folle.
Des matelas jonchaient le sol, les mecs couchaient en travers, beaucoup cuvaient le surplus de bière accumulé.
Nous sommes allés directement dans la salle de bain, il fallait dans un premier temps que je change de slip.
Nathalie s’est accroupie et, après m’avoir enlevé le bas, à gober ma queue dégoulinante de secrétions, sa bouche était divine, sa langue si experte et ses mains si douce, j’attendais cette instant depuis que je l’avais retrouvé, je bandais comme un âne et savais que même en essayant de me retenir, je n’allais pas tenir très longtemps, si bien que j’ai eu l’impression de déverser des litres de sperme quand j’ai éjaculé dans sa bouche.
Nous avons réussi à trouver un endroit pour nous allonger, j’étais avec un slip propre et Nathalie avait juste enlever le nœud de son chemisier pour lui servir de chemise de nuit sans aucun autre sous-vêtement.
Allongé sur le côté, elle est venue se coller dans mon dos en m’entourant de ses bras après avoir enlevé son chemisier et nous avoir couvert d’un drap.
Malgré les ronflements dans la pièce, j’ai commencé à m’endormir.
Des mouvements et des grognements humains m’ont réveillé, d’après la pendule accroché au mur, cela faisait à peine trente minutes que nous étions couchés.
Je m’étais remis sur le dos en entrouvrant à peine les yeux, Fred se faisait une place en virant un mec qui dormait à droite de ma femme pour se coucher près d’elle.
Il a regardé vers moi pour voir certainement si je dormais, j’ai aussitôt fermé les yeux, je ne sais pas s’il a vu que j’étais réveillé ou pas, je crois en tout cas qu’il s’en fichait pas mal sur le moment car il a directement commencé à caresser ma femme, il avait certainement pas mal bu aussi et ses sens en était désinhibés.
Elle s’est retournée d’abord sur le dos puis sur le côté vers lui pour l’embrasser.
Je me suis dit bêtement à ce moment-là :
« A son tour de sentir le goût de mon sperme dans la bouche de Nathalie »
Ca n’avait pas l’air de le gêner car ils ont mélangé leurs langues longuement.
Ses mains caressaient le dos et les fesses de ma femme puis se sont insinué entre ses cuisses pour commencer à la doigter.
Elle avait attrapé sa queue pour le branler puis est descendu le sucer.
Je voyais quelques têtes se relever, essayant de regarder ce qui se passait, j’avais posé mes mains sur mon sexe qui bandait car je ne voulais pas que quelqu’un remarque dans la pénombre la bosse sous le drap.
J’ai entendu un bruit de préservatif qu’on enfilait sur une queue, c’était Fred, décidément il avait tout prévu.
Nathalie s’est retournée vers moi en tendant bien ses fesses en arrière pour qu’il la pénètre.
Il a essayé de prendre son cul mais elle l’a tout de suite, avec sa main, remis dans le droit chemin.
Elle a expulsé un grand soupir de plaisir lorsqu’il s’est enfoncé en elle.
Elle gémissait doucement à chaque coup de reins, elle savait que je ne dormais pas et voulais me faire profiter en direct du plaisir qu’elle prenait avec son amant.
Il la tenait par la hanche et la baisait sans fioriture se fichant de qui pouvait voir ou entendre ce qu’il faisait, les claquements de leurs corps qui s’accouplaient résonnez dans la pièce.
Il regardait parfois par-dessus l’épaule de Nathalie pour vérifier si je dormais ou peut-être pour être sûr que je sente ce qu’il faisait en se disant :
« Tu vois ce soir c’est moi qui la baise et c’est sous tes yeux »
Je crois qu’il avait compris notre manège et qu’il prenait plaisir à me faire cocu devant tout le monde, il n’avait plus l’appréhension que je me réveille et la baisait bien fort, il l’a ensuite fait mettre à quatre pattes, maintenant tous ceux qui ne dormaient pas pouvez voir qu’il démontait ma femme à côté de moi, il la tenait fort par les hanches et lui donnait des grands coups de reins en la traitant de salope, elle gémissait et avait du mal à contenir ses cris de jouissance.
L’alcool lui avait donné des ailes et je pense qu’il essayait de m’humilier au maximum devant les autres, presque comme si ma femme lui appartenait, il semblait être au paroxysme de son excitation.
« Tu l’aime ma bite, salope, elle est bonne ma queue, sale petite pute, t’aime ça quand je te défonce comme une sale chienne à côté de ton mari »
Ces paroles semblaient l’exciter encore plus, ce qui fait que quelques secondes plus tard il éjaculait dans son ventre dans un grognement bestiale.
Il s’est affalé sur le matelas et s’est endormi aussitôt sans même retirer le préservatif.
Nathalie m’a dit qu’il ne lui avait jamais reparlé de cette nuit, ni du fait qu’il se douté que je savais qu’il la baisait quand je n’étais pas là, comme s’il avait honte ou tout simplement oublié ce moment où il s’est complètement lâché devant tout le monde.
Le lendemain matin, quand Nathalie s’est levée, j’ai ouvert un œil, elle a enfilé son chemisier et s’est dirigée vers la salle de bain.
Fred dormait toujours, allongé sur le dos, la bite en érection toujours coiffée de sa capote, effectivement il avait une belle queue, je me suis tourné sur le côté pour redormir un peu en repensant à la nuit dernière.
Quand ma femme est sortie de la salle de bain, elle avait enfilé un gilet qui m’appartenais, il lui descendait sous les fesses mais vu qu’il était trop grand pour elle, il était très échancré sur le devant.
« Après tout » s’est-elle dit, « ils m’ont quasiment tous sauté et vu à poil »
« Bonjour tout le monde »
« Bonjour la petite » a répondu Jean « Alors tu as empêché les gens de dormir cette nuit parait-il, dommage, j’ai loupé ça » « Vient donc t’asseoir sur mes genoux en attendant qu’on t’apporte un café »
Bien évidemment, à peine assise sur lui, ses mains se sont emparées de sa poitrine et il lui a dit :
« C’est dingue ça, dès le matin tu me fou la trique, regarde comme je bande, vas-y suce moi avant que ton mec se lève »
Il l’a poussé gentiment mais fermement pour qu’elle se retrouve à genoux devant lui, une fois son pantalon baissé, sa bite bien raide est apparu, il a aussitôt pris la tête de ma femme entre ses mains pour la diriger vers son méat bien dressé.
S’adressant aux trois personnes présentes il a dit :
« Vous avez vu comme elle me bouffe bien la queue, on voit qu’elle aime ça, c’est un beau cadeau qu’il nous a ramené Fredo. »
Nathalie s’appliquait à bien le sucer, sa langue s’enroulait autour de son gland tout en l’aspirant goulûment, elle descendait ensuite sur sa hampe en la léchant tout du long pour arriver jusqu’à ses couilles qu’elle mordillait puis gobait.
Elle le branlait d’une main, de l’autre lui caressait les boules pendant qu’avec sa langue elle léchait son gland qui commençait à suinter de liquide séminale.
« Putain elle va me faire gicler la salope »
Peu de temps après ses mots, il lui a bloquer la tête, en la tenant par les cheveux, pour les envoyer plusieurs giclées de sperme copieux au fond de la gorge.
« Vas-y nettoie moi bien la queue, avale tout » lui a-t-il dit.
Quand Raymond est arrivé dans la cuisine, son frère était en train d’éjaculer dans la bouche de ma femme, profitant du spectacle, il l’a laissé finir puis a dit :
« Cool vous avez déjà commencé les hostilités, il n’est pas là le mari ? »
« Chuttt, il dort » a répondu Jean.
« Super j’avais envie d’en profiter un peu encore » dit à nouveau Raymond en prenant la main de Nathalie et en lui disant :
« Viens avec moi dans la salle de bain, je veux un peu d’intimité »
« J’aimerais bien boire mon café avant » dit-elle d’un ton ferme.
« Ok, Ok »
A peine fini sa boisson, il lui a repris la main pour l’attirer jusque dans la salle de bain qu’il a fermé à clé pour être tranquille.
Il a enlevé son pantalon et son slip et lui disant :
« Vas-y suce moi un peu avant que je te baise »
A genoux devant lui, elle a très vite, après quelques coups de langue savant, fait bander son partenaire, qu’elle a sucé avec vigueur pendant un bon moment.
Il l’a ensuite fait se relever face à lui, lui a poser une jambe sur la baignoire, s’est ensuite positionné derrière elle pour la pénétrer.
Elle avait quand même vérifié, avant qu’il ne s’enfonce en elle, qu’il avait bien mis un préservatif.
Il l’a prise ainsi en la tenant par les hanches, ses vas et vient était rapide et profond, il la baisait bien fort et elle aimait ça car elle gémissait à chaque coup de rein.
Son premier orgasme l’a déséquilibré et a failli la faire tomber, il est sorti d’elle et lui a dit de se mettre à quatre pattes sur le tapis.
Cette position était plus sûre, il pouvait maintenant s’en donner à cœur joie et la baiser à sa guise en lui donnant des claques sur les fesses.
Il s’est arrêté et c’était maintenant elle qui allait et venait sur sa queue, elle tendait bien son cul pour s’empaler sur son chibre, elle voulait le sentir bien au fond de son sexe qui dégoulinait de plaisir.
Trois fois de suite elle a joui avant qu’il ne se lâche à son tour, éjaculant bruyamment au fond de son ventre :
« Putain de salope t’es vraiment trop bonne, j’adore te bourrer petite pute »
Puis une fois qu’il s’était vidé :
« Tu vas me nettoyer la bite aussi maintenant »
Il est sorti de sa chatte, puis a enlevé la capote et s’est présenté devant elle pour qu’elle fasse ce qu’il lui avait dit.
Quand elle est venue me réveiller, elle avait enfilé une minijupe à volant et un tee-shirt hyper moulant, ses seins semblaient énormes (ils le sont en fait) et on voyait bien les tétons pointer, elle n’avait aucun sous-vêtements comme à son habitude.
Fred dormait toujours à côté mais il ne bandait plus.
Je me suis levé pour aller boire un café après avoir mis un tee-shirt.
En entrant dans la cuisine, il y avait sept ou huit personne et il y a eu un grand silence très gênant pour moi, puis au bout de quelques secondes Jean m’a demandé :
« Alors bien dormi mon gars ? »
« Oui comme un bébé, je crois que j’ai bu un peu trop d’alcool hier, je me suis endormi comme une masse et ce matin j’ai mal au crane »
Si j’avais eu un peu d’humour à ce moment-là, j’aurais dit :
« Ce sont les cornes qui poussent »
Mais je suis certains que d’autres y ont pensé.
« Tiens prends ça, ça ira mieux après » m’a-t-il dit en me donnant un cachet.
Un café, une bonne douche et j’étais fin prêt, Nathalie m’attendais dans la cuisine, entourée de deux mecs que je n’avais jamais vu, qui se sont écarté d’elle dès qu’ils m’ont entendu sortir de la salle de bain.
« Ben et Adam prennent le même train que nous ce soir, on va voir si on peut échanger les places pour que l’on soit ensemble pendant le voyage » m’a-t-elle dit.
Ben, environ vingt-cinq ans, était un grand brun, athlétique à la peau mate et de type maghrébin.
Adam, le même âge que son pote, était un petit blond avec des faux airs de Tom Cruise.
Ils n’étaient pas avec le groupe d’hier car ils logeaient chez un pote à eux, mais ce sont retrouvé ici car ils connaissaient le copain d’un copain qui lui était présent la veille et qui leurs avaient parlé des prestations de Nathalie, la croyant libre et célibataire, ils avaient commencé à l’entreprendre.
Elle a fini par leur dire assez vite qu’elle était mariée et que là j’étais dans la salle de bain.
Je lui ai répondu :
« Pourquoi pas, il faudra que l’on se donne rendez-vous à un endroit précis pour prendre le train ensemble »
Fred ne rentrait pas avec nous, il voulait rester quelques jours en plus avec sa famille.
Nous avions donc pour l’instant une place de libre dans notre compartiment, pour l’autre nous verrons le moment venu.
Nous sommes repartis en ville pour continuer à faire la fête, cette fois-ci je ne voulais pas lâcher ma femme, je voulais passer un peu de temps avec elle, même si ses escapades d’hier m’avait beaucoup excité.
Je me suis raisonné aussi pour boire moins que la veille, je ne voulais pas être malade dans le train et je souhaitais aussi profité de la journée et du voyage de retour…
J’avais bien remarqué que sa tenue semblait affoler nos deux nouveaux amis.
Vers seize heures nous sommes revenus à l’appart pour dire au revoir et remercier nos hôtes pour l’hébergement, et prendre nos affaires pour rentrer, notre train partait vers dix-huit heures.
Nathalie a voulu prendre une douche pour être plus fraîche pour le voyage, elle est réapparue avec une nouvelle mini-jupe droite, rose et encore plus courte que la précédente avec en haut un chemisier en voile transparent, rose aussi, elle avait quand même choisi de mettre aussi une petite veste légère, rose bien évidemment.
Nous étions pour le moment seuls dans notre compartiment, comme à l’aller il y avait quatre couchettes.
Ben et Adam était dans le wagon d’avant et pour le moment seuls aussi.
Quand le train a démarré, personne n’était rentré dans notre couchette, apparemment il n’y avait pas beaucoup de monde qui remontait sur Paris.
Nous avons attendu un peu avant que Nathalie n’aille proposer à ses deux nouveaux amis de venir avec nous.
Ils semblaient tout heureux de pouvoir se joindre à nous et se sont installés à peine rentré, Adam sur la couche du haut, face à moi et Ben sur celle du bas face à Nathalie qui, une fois arrivée dans le wagon avait quitté sa petite veste.
Nous avons discuté un peu de tout mais principalement de notre séjour ici ou l’ambiance et la beauté de la ville avait plu à tout le monde.
Vers vingt heures, Nathalie a sorti nos sandwich, les deux autres compères n’avaient rien prévu.
« Je crois qu’il y a un wagon ou on peut acheter de la nourriture » a dit Ben, puis a proposé à Adam :
« On va voir ce qu’il y a ? »
« Oh j’ai la flemme de bouger, prends-moi n’importe quoi j’aime tout » a répondu son pote.
Nathalie lui a aussitôt proposé :
« Attends je vais venir t’accompagner comme ça je pourrais fumer en même temps »
Les voilà donc parti à la recherche d’encas, ils ont trouvé facilement, c’était seulement à trois wagon de nous et Ben a acheté ce qu’il fallait pour lui et son copain.
Sur le retour, il a remarqué que plusieurs compartiments étaient vides :
« Regarde il n’y a personne dedans, viens on entre pour voir s’ils sont tous pareils »
Il ne lui a pas laissé le choix, il a ouvert la porte et l’a pris par la main pour la faire entrer en refermant aussitôt derrière elle.
Sans hésitation il l’a plaqué contre la porte, se collant à elle et en lui disant :
« Mes potes m’ont parlé de toi toute la journée, ils nous ont raconté le délire dans l’appart et te voir habillée comme ça, j’en peu plus, tu m’excite trop grave »
Voyant qu’il n’était ni violent ni agressif et qu’il avait l’air sincère, de plus il ne lui déplaisait pas, elle s’est laissé aller à l’embrasser.
Il a aussitôt plaqué ses mains sur sa généreuse poitrine et a déboutonné son chemisier pour aller les lécher, une main sur un seins l’autre sur ses fesses, il la caressait de partout.
Nathalie a posé sa main sur son sexe à travers le short puis l’a déboutonné pour libérer le chibre en érection, elle s’est accroupie pour commencer à le sucer.
Sa queue était grosse, longue et bien dure, elle n’arrivait pas à la prendre complètement dans sa bouche, elle pouvait le branler d’une main et l’avaler en même temps, sa langue jouait avec son gland et ses lèvres entouraient bien sa hampe pendant que de son autre main elle lui caressait les couilles.
Au bout de quelques minutes de ce supplice, il lui a demandé d’arrêter car il allait finir par ne plus pouvoir se retenir, il l’a faite se relever, l’a retourné face à la porte, a relevé sa jupe jusqu’à la taille et s’est collé contre elle en lui disant :
« J’ai envie de toi »
Elle lui a répondu :
« Tu as ce qu’il faut ? »
« Oui »
« Humm alors vas-y prends-moi, j’ai trop envie de sentir ta grosse queue me défoncer »
Sitôt dit, sitôt fait, il lui a fait écarter les jambes pour s’enfoncer en elle doucement, sa bite était grosse et il fallait y aller en douceur avant de pouvoir la rentrer complètement.
Quelques coups de reins assez lent, le temps qu’elle s’habitue, c’est ensuite elle qui lui a donné le feu vert :
« Vas-y prends-moi fort »
Il a accéléré le mouvement et s’est enfoncé encore plus loin dans son ventre.
Elle se sentait complètement rempli par cet énorme pieu qui allait et venait en elle de plus en plus vite et de plus en plus loin.
Il la pilonnait bien fort en la tenant fermement par les hanches.
Parfois il ralentissait pour se regarder la baiser :
« Putain t’as un cul magnifique »
Puis reprenait de plus belle son pilonnage.
Elle se retenait pour ne pas faire trop de bruit au cas où quelques passerait dans le couloir et soit un peu trop curieux.
La queue qui la labourait lui faisait beaucoup de bien, elle mouillait abondement tellement elle éprouvait de plaisir.
Quand il s’est vidé dans son ventre au bout d’une vingtaine de minutes, elle a senti les spasmes de son braquemart qui se libérait en elle par saccades.
« J’ai encore envi de te reprendre » lui a-t-il dit.
« Non ce n’est pas possible, mon mari va s’inquiéter, déjà que ça fait un bon moment que l’on est parti, il risque de nous chercher »
« Oui c’est vrai, tu as raison, on ne sait jamais et peut-être que dans la nuit on pourra remettre ça »
Elle lui a fait un grand sourire prometteur, s’est réajusté puis est sortie du compartiment.
« Je vais vous rejoindre un peu plus tard, le temps de débander et d’aller me nettoyer dans les toilettes »
De nouveau elle a souri puis, a passée lentement sa langue sur ses lèvres avec un air gourmand et aguicheur en le regardant droit dans les yeux avant de venir nous retrouver.
Pour nous occuper un peu, nous avons joué aux cartes une partie de la soirée, entrecoupé de pauses cigarettes de Adam et Nathalie et en picolant le stock de bières qu’ils avaient emmené dans leurs sacs, ils n’avaient pas prévu de nourriture, mais en liquide ils avaient largement ce qu’il fallait.
Vers minuit, je me sentais un peu fatigué et nous avons arrêté de jouer.
Je me suis déshabillé et, juste en slip, suis monté dans ma couchette.
Les deux fumeurs sont retournés s’intoxiquer et Ben a rangé le reste de bières dans son sac.
Ils s’amusaient avec des ronds avec la fumée de leurs cigarettes.
« Tu connais la soufflette » demanda Adam.
« Non »
« C’est simple, je tire une taf sur ma clope, je n’avale pas la fumée et je te l’envoi dans la bouche pour que toi tu avale, bien sûr il faut être assez près »
« Et le but c’est quoi ? »
« Bein c’est marrant c’est tout, vas-y approche on essaye, n’ouvre pas trop la bouche sinon la fumée va sortir, tu aspire quand je souffle »
Les deux ou trois essais n’étant pas concluant il lui a dit :
« C’est simple pourtant, regarde, tu mets ta bouche en rond, tendu vers la mienne, moi j’approche mes lèvres dans la même position, je te souffle dans la bouche et toi tu aspire, on fait un essai à vide si tu veux »
Nathalie lui a répondu :
« Viens voir, moi je préfère ça à ta soufflette »
Elle lui a pris la tête pour l’attirer vers elle, a collé sa bouche contre la sienne puis a enfoncé sa langue pour l’embrasser.
Il a aussitôt répondu à son baiser en laissant ses mains explorer le corps de ma femme.
« Tout le monde peut nous voir, on essaie de trouver un endroit plus discret » lui a-t-il dit.
« J’en connais un » a répondu Nathalie.
« Attends-moi, je reviens, je vais chercher ce qu’il faut »
Et il est retourné presque en courant vers notre compartiment.
Ben était assis sur le lit du bas et quand il a vu revenir son pote seul il lui a chuchoté :
« Elle est où ? »
Adam sur un même ton de chuchotement lui a demandé :
« Il dort son mec ? »
« Oui »
« Super car elle m’attend, elle veut que je la baise, je viens chercher des capotes »
Sans trop s’attarder, il a pris ce dont il avait besoin et est allé retrouver ma femme.
Il fallait que je continu à faire semblant de dormir pour ne pas me faire griller en attendre la suite des évènements.
Nathalie a emmené Adam jusqu’au compartiment vide ou Ben l’avait baisé tout à l’heure.
A peine la porte fermé, ils se sont collés l’un à l’autre en s’embrassant et se déshabillant mutuellement.
Elle s’est accroupie pour engloutir le sexe de son partenaire du moment.
Celui-là, elle pouvait le prendre presque entier dans sa bouche, il n’avait pas la même taille que celui de son pote, il n’était pas petit mais dans la moyenne, de quoi s’amuser avec quand même.
Pendant qu’elle l’avalait, elle lui léchait les couilles en même temps, puis elle le ressortait de sa bouche pour passer sa langue tout le long de son membre jusqu’à son gland qu’elle aspirait ensuite entre ses lèvres pulpeuses, puis, elle le branlait un peu avant de recommencer à l’avaler complètement.
« Stop, stop, stop, je ne veux pas jouir tout de suite, viens on va sur la couchette » lui a-t-il dit.
Il s’est allongé, a enfilé une capote et a attiré ma femme pour qu’elle s’allonge sur lui.
Les jambes bien écartées, elle s’est empalée.
Elle allait et venait sur lui pour bien le sentir en elle, à chaque coup de reins il se tendait vers elle comme s’il voulait aller encore plus loin, le rythme s’accélérait et la couchette faisait de plus en plus de bruit.
Ils s’embrassaient, se caressaient partout, ils respiraient de plus en plus vite et de plus en plus fort l’excitation montait.
Nathalie lui a dit qu’elle allait jouir, alors il a encore intensifié ses mouvements jusqu’à ce qu’elle se lâche enfin dans un long feulement.
Ils ont repris gentiment leurs esprits, lui bandait toujours car il n’avait pas joui et il a dit :
« Je crois qu’il vaut mieux continuer par terre car la couchette ne va pas supporter »
Il a jeté une couverture au sol, ma femme s’est mise à quatre patte en lui disant :
« Viens me prendre en levrette »
Bien installé derrière elle, il a recommencé à la baiser avec vigueur.
C’était un acrobate, il changeait de position très souvent, à genoux, accroupi, une jambe en l’air, assis, tout ça, alors que, elle, était toujours dans la même.
Malgré sa bite bien moins grosse que celle de Ben, elle a réussi à prendre aussi beaucoup de plaisir, il l’a faite jouir quatre ou cinq fois et l’a prise pendant presque une heure, jusqu’à ce qu’a son tour il éjacule au fond de son ventre.
Je me suis endormi avant qu’ils ne reviennent et ne les ai pas entendus rentrer.
Ben n’a pas laissé le temps à ma femme de passer la porte du compartiment et l’a prise par la main pour l’emmener jusqu’à là où il l’avait baisé tout à l’heure.
Elle s’est de nouveau mise à quatre patte et il est venu s’installer derrière elle, grâce à ses multiple jouissance, elle était bien lubrifiée et il a pu rentrer facilement au fond d’elle.
Elle a très vite eu un nouvel orgasme en l’inondant pendant que lui continuait à la démonter fougueusement, elle tendait bien son cul vers lui pendant qu’il la prenait et chaque fois qu’elle jouissait, elle se donnait encore plus.
Après une demi-heure de pilonnage intensif et de jouissance successive de ma femme il s’est enfin lâché à son tour.
« Oh putain j’ai envie de jouir sur ta petite gueule de salope »
« Viens »
Alors il est sorti d’elle pour se mettre en face et s’est branlé quelques secondes avant de lui envoyer plusieurs giclées de foutre sur le visage en proférant tout un tas d’insanités.
Arrivée à Paris nous nous sommes quittés et ne les avons jamais revus.
Quand elle m’a enfin rejoint, j’étais assis à la terrasse d’un bar non loin de l’appart.
Elle m’a embrassée goulûment, fourrant sa langue directement dans ma bouche, un gout bizarre m’a fait penser qu’elle avait dû se taper un mec avant de me rejoindre.
Je lui ai alors dit :
« Toi tu n’as pas été sage »
Elle m’a souri en guise de réponse.
J’ai ensuite continué :
« Ce n’est pas cool, je t’ai cherché partout, je suis retourné à l’appart mais tu n’y étais plus, Jean m’a dit que tu étais passé et repartie pas longtemps après, il m’a même proposé de participer à une partouze, il m’a dit qu’il avait dégotté une petite salope qui aime la bite et qui se faisait démonter par tous les mecs qui venait à l’appart, mais j’ai refusé »
Elle a éclaté de rire en me disant :
« Tu aurais baisé ta femme »
Voyant que j’avais du mal à comprendre elle a continué :
« La petite salope qui aime la bite et qui s’est faite démonter par tout le monde c’était moi »
S’approchant de mon oreille et en posant discrètement sa main à la hauteur de mon sexe elle m’a dit :
« Ils sont au moins une quinzaine à m’être passé dessus, les tontons m’ont même pris ensemble, Jean m’a enculé pendant que Raymond me baisait et que je suçais Fred, j’ai adoré ça »
Mon sexe me faisait mal tellement je bandais, ses paroles m’avaient excité.
Un autre sentiment moins agréable m’a envahi aussi, celui d’être le cocu de la bande, cocu aux yeux de tous ceux que j’avais ou j’allais côtoyer pendant notre séjour, cocu aux yeux des deux tontons.
Cette situation me gênait mais m’excitais en même temps, puis je me suis dit que je ne les reverrais certainement jamais alors à quoi bon se miner pour ça.
Le seul que l’on reverrait c’est Fred et lui baisait déjà ma femme avant.
Nous avons continué à nous amuser encore, chantant, buvant, rigolant, dansant.
Quand je dansais avec ma femme, elle se collait parfois à moi en me susurrant à l’oreille :
« Hummm pense à toutes les queues qui ont jouis en moi cette après-midi, à tous les mecs qui m’ont baisé ou que j’ai sucé » et aussitôt mon sexe se retrouvait au garde à vous.
Elle faisait exprès de m’exciter, à force de multiplier les érections, mon slip était trempé de secrétions, elle s’en doutait et je pense que ça l’excitait aussi de me mettre dans cette état.
Elle a joué à ce petit jeux une bonne partie de la soirée, elle dansait aussi parfois avec d’autres en se collant comme avec moi.
Je voyais des mains se balader sur ses fesses ou ses seins, certains l’ont embrassé mais elle n’allait jamais plus loin et revenait très vite vers moi.
Dans la nuit, il y a eu plusieurs débuts de bagarre, les esprits commençaient à s’échauffer, nous avons décidé de rentrer car à plusieurs endroits, l’excès d’alcool de certains rendait la fête moins folle.
Des matelas jonchaient le sol, les mecs couchaient en travers, beaucoup cuvaient le surplus de bière accumulé.
Nous sommes allés directement dans la salle de bain, il fallait dans un premier temps que je change de slip.
Nathalie s’est accroupie et, après m’avoir enlevé le bas, à gober ma queue dégoulinante de secrétions, sa bouche était divine, sa langue si experte et ses mains si douce, j’attendais cette instant depuis que je l’avais retrouvé, je bandais comme un âne et savais que même en essayant de me retenir, je n’allais pas tenir très longtemps, si bien que j’ai eu l’impression de déverser des litres de sperme quand j’ai éjaculé dans sa bouche.
Nous avons réussi à trouver un endroit pour nous allonger, j’étais avec un slip propre et Nathalie avait juste enlever le nœud de son chemisier pour lui servir de chemise de nuit sans aucun autre sous-vêtement.
Allongé sur le côté, elle est venue se coller dans mon dos en m’entourant de ses bras après avoir enlevé son chemisier et nous avoir couvert d’un drap.
Malgré les ronflements dans la pièce, j’ai commencé à m’endormir.
Des mouvements et des grognements humains m’ont réveillé, d’après la pendule accroché au mur, cela faisait à peine trente minutes que nous étions couchés.
Je m’étais remis sur le dos en entrouvrant à peine les yeux, Fred se faisait une place en virant un mec qui dormait à droite de ma femme pour se coucher près d’elle.
Il a regardé vers moi pour voir certainement si je dormais, j’ai aussitôt fermé les yeux, je ne sais pas s’il a vu que j’étais réveillé ou pas, je crois en tout cas qu’il s’en fichait pas mal sur le moment car il a directement commencé à caresser ma femme, il avait certainement pas mal bu aussi et ses sens en était désinhibés.
Elle s’est retournée d’abord sur le dos puis sur le côté vers lui pour l’embrasser.
Je me suis dit bêtement à ce moment-là :
« A son tour de sentir le goût de mon sperme dans la bouche de Nathalie »
Ca n’avait pas l’air de le gêner car ils ont mélangé leurs langues longuement.
Ses mains caressaient le dos et les fesses de ma femme puis se sont insinué entre ses cuisses pour commencer à la doigter.
Elle avait attrapé sa queue pour le branler puis est descendu le sucer.
Je voyais quelques têtes se relever, essayant de regarder ce qui se passait, j’avais posé mes mains sur mon sexe qui bandait car je ne voulais pas que quelqu’un remarque dans la pénombre la bosse sous le drap.
J’ai entendu un bruit de préservatif qu’on enfilait sur une queue, c’était Fred, décidément il avait tout prévu.
Nathalie s’est retournée vers moi en tendant bien ses fesses en arrière pour qu’il la pénètre.
Il a essayé de prendre son cul mais elle l’a tout de suite, avec sa main, remis dans le droit chemin.
Elle a expulsé un grand soupir de plaisir lorsqu’il s’est enfoncé en elle.
Elle gémissait doucement à chaque coup de reins, elle savait que je ne dormais pas et voulais me faire profiter en direct du plaisir qu’elle prenait avec son amant.
Il la tenait par la hanche et la baisait sans fioriture se fichant de qui pouvait voir ou entendre ce qu’il faisait, les claquements de leurs corps qui s’accouplaient résonnez dans la pièce.
Il regardait parfois par-dessus l’épaule de Nathalie pour vérifier si je dormais ou peut-être pour être sûr que je sente ce qu’il faisait en se disant :
« Tu vois ce soir c’est moi qui la baise et c’est sous tes yeux »
Je crois qu’il avait compris notre manège et qu’il prenait plaisir à me faire cocu devant tout le monde, il n’avait plus l’appréhension que je me réveille et la baisait bien fort, il l’a ensuite fait mettre à quatre pattes, maintenant tous ceux qui ne dormaient pas pouvez voir qu’il démontait ma femme à côté de moi, il la tenait fort par les hanches et lui donnait des grands coups de reins en la traitant de salope, elle gémissait et avait du mal à contenir ses cris de jouissance.
L’alcool lui avait donné des ailes et je pense qu’il essayait de m’humilier au maximum devant les autres, presque comme si ma femme lui appartenait, il semblait être au paroxysme de son excitation.
« Tu l’aime ma bite, salope, elle est bonne ma queue, sale petite pute, t’aime ça quand je te défonce comme une sale chienne à côté de ton mari »
Ces paroles semblaient l’exciter encore plus, ce qui fait que quelques secondes plus tard il éjaculait dans son ventre dans un grognement bestiale.
Il s’est affalé sur le matelas et s’est endormi aussitôt sans même retirer le préservatif.
Nathalie m’a dit qu’il ne lui avait jamais reparlé de cette nuit, ni du fait qu’il se douté que je savais qu’il la baisait quand je n’étais pas là, comme s’il avait honte ou tout simplement oublié ce moment où il s’est complètement lâché devant tout le monde.
Le lendemain matin, quand Nathalie s’est levée, j’ai ouvert un œil, elle a enfilé son chemisier et s’est dirigée vers la salle de bain.
Fred dormait toujours, allongé sur le dos, la bite en érection toujours coiffée de sa capote, effectivement il avait une belle queue, je me suis tourné sur le côté pour redormir un peu en repensant à la nuit dernière.
Quand ma femme est sortie de la salle de bain, elle avait enfilé un gilet qui m’appartenais, il lui descendait sous les fesses mais vu qu’il était trop grand pour elle, il était très échancré sur le devant.
« Après tout » s’est-elle dit, « ils m’ont quasiment tous sauté et vu à poil »
« Bonjour tout le monde »
« Bonjour la petite » a répondu Jean « Alors tu as empêché les gens de dormir cette nuit parait-il, dommage, j’ai loupé ça » « Vient donc t’asseoir sur mes genoux en attendant qu’on t’apporte un café »
Bien évidemment, à peine assise sur lui, ses mains se sont emparées de sa poitrine et il lui a dit :
« C’est dingue ça, dès le matin tu me fou la trique, regarde comme je bande, vas-y suce moi avant que ton mec se lève »
Il l’a poussé gentiment mais fermement pour qu’elle se retrouve à genoux devant lui, une fois son pantalon baissé, sa bite bien raide est apparu, il a aussitôt pris la tête de ma femme entre ses mains pour la diriger vers son méat bien dressé.
S’adressant aux trois personnes présentes il a dit :
« Vous avez vu comme elle me bouffe bien la queue, on voit qu’elle aime ça, c’est un beau cadeau qu’il nous a ramené Fredo. »
Nathalie s’appliquait à bien le sucer, sa langue s’enroulait autour de son gland tout en l’aspirant goulûment, elle descendait ensuite sur sa hampe en la léchant tout du long pour arriver jusqu’à ses couilles qu’elle mordillait puis gobait.
Elle le branlait d’une main, de l’autre lui caressait les boules pendant qu’avec sa langue elle léchait son gland qui commençait à suinter de liquide séminale.
« Putain elle va me faire gicler la salope »
Peu de temps après ses mots, il lui a bloquer la tête, en la tenant par les cheveux, pour les envoyer plusieurs giclées de sperme copieux au fond de la gorge.
« Vas-y nettoie moi bien la queue, avale tout » lui a-t-il dit.
Quand Raymond est arrivé dans la cuisine, son frère était en train d’éjaculer dans la bouche de ma femme, profitant du spectacle, il l’a laissé finir puis a dit :
« Cool vous avez déjà commencé les hostilités, il n’est pas là le mari ? »
« Chuttt, il dort » a répondu Jean.
« Super j’avais envie d’en profiter un peu encore » dit à nouveau Raymond en prenant la main de Nathalie et en lui disant :
« Viens avec moi dans la salle de bain, je veux un peu d’intimité »
« J’aimerais bien boire mon café avant » dit-elle d’un ton ferme.
« Ok, Ok »
A peine fini sa boisson, il lui a repris la main pour l’attirer jusque dans la salle de bain qu’il a fermé à clé pour être tranquille.
Il a enlevé son pantalon et son slip et lui disant :
« Vas-y suce moi un peu avant que je te baise »
A genoux devant lui, elle a très vite, après quelques coups de langue savant, fait bander son partenaire, qu’elle a sucé avec vigueur pendant un bon moment.
Il l’a ensuite fait se relever face à lui, lui a poser une jambe sur la baignoire, s’est ensuite positionné derrière elle pour la pénétrer.
Elle avait quand même vérifié, avant qu’il ne s’enfonce en elle, qu’il avait bien mis un préservatif.
Il l’a prise ainsi en la tenant par les hanches, ses vas et vient était rapide et profond, il la baisait bien fort et elle aimait ça car elle gémissait à chaque coup de rein.
Son premier orgasme l’a déséquilibré et a failli la faire tomber, il est sorti d’elle et lui a dit de se mettre à quatre pattes sur le tapis.
Cette position était plus sûre, il pouvait maintenant s’en donner à cœur joie et la baiser à sa guise en lui donnant des claques sur les fesses.
Il s’est arrêté et c’était maintenant elle qui allait et venait sur sa queue, elle tendait bien son cul pour s’empaler sur son chibre, elle voulait le sentir bien au fond de son sexe qui dégoulinait de plaisir.
Trois fois de suite elle a joui avant qu’il ne se lâche à son tour, éjaculant bruyamment au fond de son ventre :
« Putain de salope t’es vraiment trop bonne, j’adore te bourrer petite pute »
Puis une fois qu’il s’était vidé :
« Tu vas me nettoyer la bite aussi maintenant »
Il est sorti de sa chatte, puis a enlevé la capote et s’est présenté devant elle pour qu’elle fasse ce qu’il lui avait dit.
Quand elle est venue me réveiller, elle avait enfilé une minijupe à volant et un tee-shirt hyper moulant, ses seins semblaient énormes (ils le sont en fait) et on voyait bien les tétons pointer, elle n’avait aucun sous-vêtements comme à son habitude.
Fred dormait toujours à côté mais il ne bandait plus.
Je me suis levé pour aller boire un café après avoir mis un tee-shirt.
En entrant dans la cuisine, il y avait sept ou huit personne et il y a eu un grand silence très gênant pour moi, puis au bout de quelques secondes Jean m’a demandé :
« Alors bien dormi mon gars ? »
« Oui comme un bébé, je crois que j’ai bu un peu trop d’alcool hier, je me suis endormi comme une masse et ce matin j’ai mal au crane »
Si j’avais eu un peu d’humour à ce moment-là, j’aurais dit :
« Ce sont les cornes qui poussent »
Mais je suis certains que d’autres y ont pensé.
« Tiens prends ça, ça ira mieux après » m’a-t-il dit en me donnant un cachet.
Un café, une bonne douche et j’étais fin prêt, Nathalie m’attendais dans la cuisine, entourée de deux mecs que je n’avais jamais vu, qui se sont écarté d’elle dès qu’ils m’ont entendu sortir de la salle de bain.
« Ben et Adam prennent le même train que nous ce soir, on va voir si on peut échanger les places pour que l’on soit ensemble pendant le voyage » m’a-t-elle dit.
Ben, environ vingt-cinq ans, était un grand brun, athlétique à la peau mate et de type maghrébin.
Adam, le même âge que son pote, était un petit blond avec des faux airs de Tom Cruise.
Ils n’étaient pas avec le groupe d’hier car ils logeaient chez un pote à eux, mais ce sont retrouvé ici car ils connaissaient le copain d’un copain qui lui était présent la veille et qui leurs avaient parlé des prestations de Nathalie, la croyant libre et célibataire, ils avaient commencé à l’entreprendre.
Elle a fini par leur dire assez vite qu’elle était mariée et que là j’étais dans la salle de bain.
Je lui ai répondu :
« Pourquoi pas, il faudra que l’on se donne rendez-vous à un endroit précis pour prendre le train ensemble »
Fred ne rentrait pas avec nous, il voulait rester quelques jours en plus avec sa famille.
Nous avions donc pour l’instant une place de libre dans notre compartiment, pour l’autre nous verrons le moment venu.
Nous sommes repartis en ville pour continuer à faire la fête, cette fois-ci je ne voulais pas lâcher ma femme, je voulais passer un peu de temps avec elle, même si ses escapades d’hier m’avait beaucoup excité.
Je me suis raisonné aussi pour boire moins que la veille, je ne voulais pas être malade dans le train et je souhaitais aussi profité de la journée et du voyage de retour…
J’avais bien remarqué que sa tenue semblait affoler nos deux nouveaux amis.
Vers seize heures nous sommes revenus à l’appart pour dire au revoir et remercier nos hôtes pour l’hébergement, et prendre nos affaires pour rentrer, notre train partait vers dix-huit heures.
Nathalie a voulu prendre une douche pour être plus fraîche pour le voyage, elle est réapparue avec une nouvelle mini-jupe droite, rose et encore plus courte que la précédente avec en haut un chemisier en voile transparent, rose aussi, elle avait quand même choisi de mettre aussi une petite veste légère, rose bien évidemment.
Nous étions pour le moment seuls dans notre compartiment, comme à l’aller il y avait quatre couchettes.
Ben et Adam était dans le wagon d’avant et pour le moment seuls aussi.
Quand le train a démarré, personne n’était rentré dans notre couchette, apparemment il n’y avait pas beaucoup de monde qui remontait sur Paris.
Nous avons attendu un peu avant que Nathalie n’aille proposer à ses deux nouveaux amis de venir avec nous.
Ils semblaient tout heureux de pouvoir se joindre à nous et se sont installés à peine rentré, Adam sur la couche du haut, face à moi et Ben sur celle du bas face à Nathalie qui, une fois arrivée dans le wagon avait quitté sa petite veste.
Nous avons discuté un peu de tout mais principalement de notre séjour ici ou l’ambiance et la beauté de la ville avait plu à tout le monde.
Vers vingt heures, Nathalie a sorti nos sandwich, les deux autres compères n’avaient rien prévu.
« Je crois qu’il y a un wagon ou on peut acheter de la nourriture » a dit Ben, puis a proposé à Adam :
« On va voir ce qu’il y a ? »
« Oh j’ai la flemme de bouger, prends-moi n’importe quoi j’aime tout » a répondu son pote.
Nathalie lui a aussitôt proposé :
« Attends je vais venir t’accompagner comme ça je pourrais fumer en même temps »
Les voilà donc parti à la recherche d’encas, ils ont trouvé facilement, c’était seulement à trois wagon de nous et Ben a acheté ce qu’il fallait pour lui et son copain.
Sur le retour, il a remarqué que plusieurs compartiments étaient vides :
« Regarde il n’y a personne dedans, viens on entre pour voir s’ils sont tous pareils »
Il ne lui a pas laissé le choix, il a ouvert la porte et l’a pris par la main pour la faire entrer en refermant aussitôt derrière elle.
Sans hésitation il l’a plaqué contre la porte, se collant à elle et en lui disant :
« Mes potes m’ont parlé de toi toute la journée, ils nous ont raconté le délire dans l’appart et te voir habillée comme ça, j’en peu plus, tu m’excite trop grave »
Voyant qu’il n’était ni violent ni agressif et qu’il avait l’air sincère, de plus il ne lui déplaisait pas, elle s’est laissé aller à l’embrasser.
Il a aussitôt plaqué ses mains sur sa généreuse poitrine et a déboutonné son chemisier pour aller les lécher, une main sur un seins l’autre sur ses fesses, il la caressait de partout.
Nathalie a posé sa main sur son sexe à travers le short puis l’a déboutonné pour libérer le chibre en érection, elle s’est accroupie pour commencer à le sucer.
Sa queue était grosse, longue et bien dure, elle n’arrivait pas à la prendre complètement dans sa bouche, elle pouvait le branler d’une main et l’avaler en même temps, sa langue jouait avec son gland et ses lèvres entouraient bien sa hampe pendant que de son autre main elle lui caressait les couilles.
Au bout de quelques minutes de ce supplice, il lui a demandé d’arrêter car il allait finir par ne plus pouvoir se retenir, il l’a faite se relever, l’a retourné face à la porte, a relevé sa jupe jusqu’à la taille et s’est collé contre elle en lui disant :
« J’ai envie de toi »
Elle lui a répondu :
« Tu as ce qu’il faut ? »
« Oui »
« Humm alors vas-y prends-moi, j’ai trop envie de sentir ta grosse queue me défoncer »
Sitôt dit, sitôt fait, il lui a fait écarter les jambes pour s’enfoncer en elle doucement, sa bite était grosse et il fallait y aller en douceur avant de pouvoir la rentrer complètement.
Quelques coups de reins assez lent, le temps qu’elle s’habitue, c’est ensuite elle qui lui a donné le feu vert :
« Vas-y prends-moi fort »
Il a accéléré le mouvement et s’est enfoncé encore plus loin dans son ventre.
Elle se sentait complètement rempli par cet énorme pieu qui allait et venait en elle de plus en plus vite et de plus en plus loin.
Il la pilonnait bien fort en la tenant fermement par les hanches.
Parfois il ralentissait pour se regarder la baiser :
« Putain t’as un cul magnifique »
Puis reprenait de plus belle son pilonnage.
Elle se retenait pour ne pas faire trop de bruit au cas où quelques passerait dans le couloir et soit un peu trop curieux.
La queue qui la labourait lui faisait beaucoup de bien, elle mouillait abondement tellement elle éprouvait de plaisir.
Quand il s’est vidé dans son ventre au bout d’une vingtaine de minutes, elle a senti les spasmes de son braquemart qui se libérait en elle par saccades.
« J’ai encore envi de te reprendre » lui a-t-il dit.
« Non ce n’est pas possible, mon mari va s’inquiéter, déjà que ça fait un bon moment que l’on est parti, il risque de nous chercher »
« Oui c’est vrai, tu as raison, on ne sait jamais et peut-être que dans la nuit on pourra remettre ça »
Elle lui a fait un grand sourire prometteur, s’est réajusté puis est sortie du compartiment.
« Je vais vous rejoindre un peu plus tard, le temps de débander et d’aller me nettoyer dans les toilettes »
De nouveau elle a souri puis, a passée lentement sa langue sur ses lèvres avec un air gourmand et aguicheur en le regardant droit dans les yeux avant de venir nous retrouver.
Pour nous occuper un peu, nous avons joué aux cartes une partie de la soirée, entrecoupé de pauses cigarettes de Adam et Nathalie et en picolant le stock de bières qu’ils avaient emmené dans leurs sacs, ils n’avaient pas prévu de nourriture, mais en liquide ils avaient largement ce qu’il fallait.
Vers minuit, je me sentais un peu fatigué et nous avons arrêté de jouer.
Je me suis déshabillé et, juste en slip, suis monté dans ma couchette.
Les deux fumeurs sont retournés s’intoxiquer et Ben a rangé le reste de bières dans son sac.
Ils s’amusaient avec des ronds avec la fumée de leurs cigarettes.
« Tu connais la soufflette » demanda Adam.
« Non »
« C’est simple, je tire une taf sur ma clope, je n’avale pas la fumée et je te l’envoi dans la bouche pour que toi tu avale, bien sûr il faut être assez près »
« Et le but c’est quoi ? »
« Bein c’est marrant c’est tout, vas-y approche on essaye, n’ouvre pas trop la bouche sinon la fumée va sortir, tu aspire quand je souffle »
Les deux ou trois essais n’étant pas concluant il lui a dit :
« C’est simple pourtant, regarde, tu mets ta bouche en rond, tendu vers la mienne, moi j’approche mes lèvres dans la même position, je te souffle dans la bouche et toi tu aspire, on fait un essai à vide si tu veux »
Nathalie lui a répondu :
« Viens voir, moi je préfère ça à ta soufflette »
Elle lui a pris la tête pour l’attirer vers elle, a collé sa bouche contre la sienne puis a enfoncé sa langue pour l’embrasser.
Il a aussitôt répondu à son baiser en laissant ses mains explorer le corps de ma femme.
« Tout le monde peut nous voir, on essaie de trouver un endroit plus discret » lui a-t-il dit.
« J’en connais un » a répondu Nathalie.
« Attends-moi, je reviens, je vais chercher ce qu’il faut »
Et il est retourné presque en courant vers notre compartiment.
Ben était assis sur le lit du bas et quand il a vu revenir son pote seul il lui a chuchoté :
« Elle est où ? »
Adam sur un même ton de chuchotement lui a demandé :
« Il dort son mec ? »
« Oui »
« Super car elle m’attend, elle veut que je la baise, je viens chercher des capotes »
Sans trop s’attarder, il a pris ce dont il avait besoin et est allé retrouver ma femme.
Il fallait que je continu à faire semblant de dormir pour ne pas me faire griller en attendre la suite des évènements.
Nathalie a emmené Adam jusqu’au compartiment vide ou Ben l’avait baisé tout à l’heure.
A peine la porte fermé, ils se sont collés l’un à l’autre en s’embrassant et se déshabillant mutuellement.
Elle s’est accroupie pour engloutir le sexe de son partenaire du moment.
Celui-là, elle pouvait le prendre presque entier dans sa bouche, il n’avait pas la même taille que celui de son pote, il n’était pas petit mais dans la moyenne, de quoi s’amuser avec quand même.
Pendant qu’elle l’avalait, elle lui léchait les couilles en même temps, puis elle le ressortait de sa bouche pour passer sa langue tout le long de son membre jusqu’à son gland qu’elle aspirait ensuite entre ses lèvres pulpeuses, puis, elle le branlait un peu avant de recommencer à l’avaler complètement.
« Stop, stop, stop, je ne veux pas jouir tout de suite, viens on va sur la couchette » lui a-t-il dit.
Il s’est allongé, a enfilé une capote et a attiré ma femme pour qu’elle s’allonge sur lui.
Les jambes bien écartées, elle s’est empalée.
Elle allait et venait sur lui pour bien le sentir en elle, à chaque coup de reins il se tendait vers elle comme s’il voulait aller encore plus loin, le rythme s’accélérait et la couchette faisait de plus en plus de bruit.
Ils s’embrassaient, se caressaient partout, ils respiraient de plus en plus vite et de plus en plus fort l’excitation montait.
Nathalie lui a dit qu’elle allait jouir, alors il a encore intensifié ses mouvements jusqu’à ce qu’elle se lâche enfin dans un long feulement.
Ils ont repris gentiment leurs esprits, lui bandait toujours car il n’avait pas joui et il a dit :
« Je crois qu’il vaut mieux continuer par terre car la couchette ne va pas supporter »
Il a jeté une couverture au sol, ma femme s’est mise à quatre patte en lui disant :
« Viens me prendre en levrette »
Bien installé derrière elle, il a recommencé à la baiser avec vigueur.
C’était un acrobate, il changeait de position très souvent, à genoux, accroupi, une jambe en l’air, assis, tout ça, alors que, elle, était toujours dans la même.
Malgré sa bite bien moins grosse que celle de Ben, elle a réussi à prendre aussi beaucoup de plaisir, il l’a faite jouir quatre ou cinq fois et l’a prise pendant presque une heure, jusqu’à ce qu’a son tour il éjacule au fond de son ventre.
Je me suis endormi avant qu’ils ne reviennent et ne les ai pas entendus rentrer.
Ben n’a pas laissé le temps à ma femme de passer la porte du compartiment et l’a prise par la main pour l’emmener jusqu’à là où il l’avait baisé tout à l’heure.
Elle s’est de nouveau mise à quatre patte et il est venu s’installer derrière elle, grâce à ses multiple jouissance, elle était bien lubrifiée et il a pu rentrer facilement au fond d’elle.
Elle a très vite eu un nouvel orgasme en l’inondant pendant que lui continuait à la démonter fougueusement, elle tendait bien son cul vers lui pendant qu’il la prenait et chaque fois qu’elle jouissait, elle se donnait encore plus.
Après une demi-heure de pilonnage intensif et de jouissance successive de ma femme il s’est enfin lâché à son tour.
« Oh putain j’ai envie de jouir sur ta petite gueule de salope »
« Viens »
Alors il est sorti d’elle pour se mettre en face et s’est branlé quelques secondes avant de lui envoyer plusieurs giclées de foutre sur le visage en proférant tout un tas d’insanités.
Arrivée à Paris nous nous sommes quittés et ne les avons jamais revus.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Une sacrée gourmande !!! Elle ne dit jamais non...
Un sacrée coquine...
Un sacrée coquine...
En meme temps elle a mis la honte à son mari , avaler du sperm comme ça si les mecs ont 1 merde sur leurs bites, son mari sera aux 1 ere loges pour recevoir 1 cadeau non prévu !!! LOL
Le pire c'est la misogynie ambiente , les mecs avaient 1 femme prete à niquer avec tout le quartier mais il a fallu qu'ils parlent de la femme comme d'une pute alors qu'elle leur a apporté 1 max de plaisir.
Bref ça ne restera pas dans les annales.
Le pire c'est la misogynie ambiente , les mecs avaient 1 femme prete à niquer avec tout le quartier mais il a fallu qu'ils parlent de la femme comme d'une pute alors qu'elle leur a apporté 1 max de plaisir.
Bref ça ne restera pas dans les annales.