Les tribulations d'un cadre de l'agro alimentaire - 1ère partie.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les tribulations d'un cadre de l'agro alimentaire - 1ère partie.
1. Surprise.
Une fois de plus mon travail pour cette grande société agroalimentaire internationale m’avait conduis en terre étrangère pour trois journées de contrôle sur le terrain et des rencontres avec les responsables locaux afin de bien mesurer les conditions de culture des produis que nous importions vers la France.
Le dernier soir de ma tournée d’inspection, mes hôtes espagnols chez qui je dînais, m’ont invité pour une sortie en boîte de nuit. Nous étions quatre à table, Antonio mon responsable de secteur avec se femme Juanita et une de ses copines Amalia.
Les deux femmes se ressemblaient beaucoup, grandes brunes aux cheveux longs relevés artistement en chignon, elles portaient toute les deux des robes légères qui, dans un décolleté assez généreux, laissait voir une poitrine de taille moyenne mais bien galbée maintenue par un soutien gorge qui la relevait… J’avais bien du mal de détourner les yeux du spectacle que les deux femmes offraient ainsi. La taille étroite prise dans une large ceinture de cuir souple s’évasait sur des hanche un peu larges pour Juanita ( elle avait deux enfants encore jeunes ) et plutôt étroite pour Amalia.
Nous avons profité du repas pour faire plus amplement connaissance puis le repas terminé aux environs de minuit, nous nous sommes installés dans le cabriolet d’Antonio qui nous attendait devant la maison. Au bout d’un trajet d’une vingtaine de minutes nous sommes arrivés devant la boîte de nuit située en bord de mer.
Antonio semblait bien connaitre le personnel et il a pu nous obtenir une table située sur la mezzanine d’où nous pourrions voir le spectacle de danses et chants flamenca qui allaient se dérouler sur la scène et le piste de danse. Pendant l’entracte, un DJ a lancé des musiques propres à danser et nous en avons profité… Après une première danse avec mon hôtesse, c’est Amalia qui est devenue ma cavalière attitrée. C’était un plaisir de la faire danser, de la guider dans les figures diverses des pasodobles et sambas qui s’enchainaient. Lorsque vers trois heures du matin nous avons quitté la boîte… La nuit serait courte avant la réunion finale du groupe de travail à neuf heures !
Lorsque nous sommes arrivés devant mon hôtel, j’ai pris congé de mes hôtes en remerciant chaleureusement Juanita que je ne verrais plus avant mon départ. La surprise a été totale quand Amalia a également pris congé et ajouté à mon intention :
• Viens, je t’accompagne… J’habite aussi cet hôtel.
Elle a glissé son bras sous le mien et c’est bras dessus-bras dessous que nous sommes entrés avec nos clés magnétiques.
Dans l’ascenseur Juanita s’est collée contre moi et m’a offert ses lèvres dans un baiser torride. Je sentais contre mon torse ses seins durs, ses hanches dansaient d’une manière lubrique contre mon bassin… Jamais au cours de la soirée elle n’avait manifesté une quelconque attirance et de mon côté, même si elle me plaisait beaucoup, je n’avais jamais envisagé que la soirée se termine ainsi.
C’est donc tout naturellement que nous nous sommes dirigés vers ma chambre. Dès que nous sommes entrés, Amalia a continué de m’embrasser de plus en plus chaudement, mêlant sa langue à la mienne dans des baisers ardents tout en ôtant mes vêtements. Lorsque j’ai été nu, n’ayant plus que mon boxer, elle fit voler sa robe par-dessus tête et dégrafa son soutif qui glissa au sol. J’avais devant moi une femme magnifique à la peau ambrée des filles du soleil… Je le contemplais désormais avec envie, envie qu’elle avait su faire naître dans l’ascenseur…
Ma bite était dressée dans mon boxer et le gland dépassait de la ceinture. Nous étions à égalité. Plus qu’une pièce à enlever pour être intégralement nus. Amalia se mit à genoux sur le tapis et fit glisser mon boxer. Prenant mon sexe dans une main, elle l’inclina vers ses lèvres et d’un seul coup, je me trouvai au fond de sa gorge. Je caressais ses seins menus en faisant rouler les bouts saillants entre mes doigts. Elle me suçait avec application, alternant les aspirations profondes, les léchouilles le long de la hampe et le gobage de mes prunes…
J’en voulais plus… Une fellation, aussi bonne soit-elle, ne vaut jamais une bonne baise. Je sortis de la bouche de ma compagne et je la conduisis vers le lit pour qu’elle s’y allonge. Roulant sur le ventre, elle me présentait une belle chute de reins bien cambrée mais elle ne semblait pas pressée de faire descendre sa culotte. Cette dernière, oh surprise, n’était pas assortie au soutif. En tissus opaque rebrodé, elle moulait étroitement ses fesses. Amalia se retourna enfin avec un grand sourire et un regard coquin… C’est là que j’ai compris en voyant son pubis encore masqué. Il était très proéminent et entre les jambes, je distinguais une grosseur. C’est à c e moment que ma compagnie me dit avec un grand sourire :
• Cela ne te gêne pas de me faire l’amour ? Je ne suis pas un travesti mais simplement la nature n’a donné une belle paire de petits seins et une bite !
En disant cela en français avec un accent inimitable, Amalia descendit sa culotte et dévoila un sexe mâle d’une taille modeste à moitié bandée. Aussitôt elle se releva et prit la position de la levrette sur le lit elle me dit :
• Viens, Tu vas me prendre par derrière… Je pense que ce ne sera pas ta première sodomie !
• Non, certainement pas, mais je ne suis pas un adepte régulier…
Pour la première fois, j’allais baiser un être mi-homme mi-femme, cela ne m’était encore jamais arrivé d’en rencontrer un / une et rien que d’y penser, j’étais complètement excité. Elle a ajouté :
• Tu peux y aller franchement… Je suis ouverte… Tu entreras facilement.
Selon ma bonne habitude bien ancrée chez moi, célibataire endurci mais dragueur impénitent ( on ne sait jamais quelle bonne fortune nous attend ) j’allai chercher sous mon oreiller un préservatif que je glissai rapidement sur ma bite désormais bandée à l’extrême. Entre les jambes de ma compagne je pouvais voir le scrotum et s queue qui balançaient doucement et son anus plissé dans lequel un Plug en latex était glissé.
Retire-le… cela maintient l’ouverture… Je savais comment le repas se terminerait ! Antonio m’avait prévenue que tu était un bon coup !
Aussitôt après, j’ai sais sa taille entre mes mains et d’une seule poussée lente mais puissante et continue, j’ai pris sont petit trou… Si j’étais entré facilement, une fois à l’intérieur, j’ai senti les muscles intimes se resserrer autour de mon vit et commencer un savant massage. Mes va-et-vient arrachaient des soupirs d’aise à Juanita qui me disait tantôt en français, tantôt en espagnol que c’était bon de baiser ainsi. Dans un des grands miroirs de la chambre, je voyais notre accouplement et j’avais complètement oublié avec quel genre de personnage je faisais l’amour…
Derrière elle, je le besognais avec vigueur lais sans violence… Je voyais ses petits seins se balancer doucement sous son torse sous l’action de mes poussées pendant qu’elle se masturbait d’une main restée libre… Cela a achevé de faire monter mon excitation et je n’ai pas tardé à jouir et déverser dans la capote quelques bonnes giclées de sperme. Amalia jouit du cul en même temps… Elle avait attendu que je perte pour laisser éclater son plaisir.
Nous nos sommes désunis et Amalia s’est couchée sur le dos. Sa bite était toujours dressée et elle la masturbait encore si bien qu’un jet de sperme en est sorti et s’est écoulé sur ses doigts. Peu de temps après, elle s’est levée, a ramassé ses affaires et s’est rendue dans la salle de bains. Lorsqu’elle en est ressortie, habillée et pomponnée, elle est revenue vers moi en me disant combien elle avait apprécié la soirée et que je l’avais bien baisée. Elle quitta ma chambre en me souhaitant une bonne nuit… Oui… elle avait été bonne mais courte.
Une fois de plus mon travail pour cette grande société agroalimentaire internationale m’avait conduis en terre étrangère pour trois journées de contrôle sur le terrain et des rencontres avec les responsables locaux afin de bien mesurer les conditions de culture des produis que nous importions vers la France.
Le dernier soir de ma tournée d’inspection, mes hôtes espagnols chez qui je dînais, m’ont invité pour une sortie en boîte de nuit. Nous étions quatre à table, Antonio mon responsable de secteur avec se femme Juanita et une de ses copines Amalia.
Les deux femmes se ressemblaient beaucoup, grandes brunes aux cheveux longs relevés artistement en chignon, elles portaient toute les deux des robes légères qui, dans un décolleté assez généreux, laissait voir une poitrine de taille moyenne mais bien galbée maintenue par un soutien gorge qui la relevait… J’avais bien du mal de détourner les yeux du spectacle que les deux femmes offraient ainsi. La taille étroite prise dans une large ceinture de cuir souple s’évasait sur des hanche un peu larges pour Juanita ( elle avait deux enfants encore jeunes ) et plutôt étroite pour Amalia.
Nous avons profité du repas pour faire plus amplement connaissance puis le repas terminé aux environs de minuit, nous nous sommes installés dans le cabriolet d’Antonio qui nous attendait devant la maison. Au bout d’un trajet d’une vingtaine de minutes nous sommes arrivés devant la boîte de nuit située en bord de mer.
Antonio semblait bien connaitre le personnel et il a pu nous obtenir une table située sur la mezzanine d’où nous pourrions voir le spectacle de danses et chants flamenca qui allaient se dérouler sur la scène et le piste de danse. Pendant l’entracte, un DJ a lancé des musiques propres à danser et nous en avons profité… Après une première danse avec mon hôtesse, c’est Amalia qui est devenue ma cavalière attitrée. C’était un plaisir de la faire danser, de la guider dans les figures diverses des pasodobles et sambas qui s’enchainaient. Lorsque vers trois heures du matin nous avons quitté la boîte… La nuit serait courte avant la réunion finale du groupe de travail à neuf heures !
Lorsque nous sommes arrivés devant mon hôtel, j’ai pris congé de mes hôtes en remerciant chaleureusement Juanita que je ne verrais plus avant mon départ. La surprise a été totale quand Amalia a également pris congé et ajouté à mon intention :
• Viens, je t’accompagne… J’habite aussi cet hôtel.
Elle a glissé son bras sous le mien et c’est bras dessus-bras dessous que nous sommes entrés avec nos clés magnétiques.
Dans l’ascenseur Juanita s’est collée contre moi et m’a offert ses lèvres dans un baiser torride. Je sentais contre mon torse ses seins durs, ses hanches dansaient d’une manière lubrique contre mon bassin… Jamais au cours de la soirée elle n’avait manifesté une quelconque attirance et de mon côté, même si elle me plaisait beaucoup, je n’avais jamais envisagé que la soirée se termine ainsi.
C’est donc tout naturellement que nous nous sommes dirigés vers ma chambre. Dès que nous sommes entrés, Amalia a continué de m’embrasser de plus en plus chaudement, mêlant sa langue à la mienne dans des baisers ardents tout en ôtant mes vêtements. Lorsque j’ai été nu, n’ayant plus que mon boxer, elle fit voler sa robe par-dessus tête et dégrafa son soutif qui glissa au sol. J’avais devant moi une femme magnifique à la peau ambrée des filles du soleil… Je le contemplais désormais avec envie, envie qu’elle avait su faire naître dans l’ascenseur…
Ma bite était dressée dans mon boxer et le gland dépassait de la ceinture. Nous étions à égalité. Plus qu’une pièce à enlever pour être intégralement nus. Amalia se mit à genoux sur le tapis et fit glisser mon boxer. Prenant mon sexe dans une main, elle l’inclina vers ses lèvres et d’un seul coup, je me trouvai au fond de sa gorge. Je caressais ses seins menus en faisant rouler les bouts saillants entre mes doigts. Elle me suçait avec application, alternant les aspirations profondes, les léchouilles le long de la hampe et le gobage de mes prunes…
J’en voulais plus… Une fellation, aussi bonne soit-elle, ne vaut jamais une bonne baise. Je sortis de la bouche de ma compagne et je la conduisis vers le lit pour qu’elle s’y allonge. Roulant sur le ventre, elle me présentait une belle chute de reins bien cambrée mais elle ne semblait pas pressée de faire descendre sa culotte. Cette dernière, oh surprise, n’était pas assortie au soutif. En tissus opaque rebrodé, elle moulait étroitement ses fesses. Amalia se retourna enfin avec un grand sourire et un regard coquin… C’est là que j’ai compris en voyant son pubis encore masqué. Il était très proéminent et entre les jambes, je distinguais une grosseur. C’est à c e moment que ma compagnie me dit avec un grand sourire :
• Cela ne te gêne pas de me faire l’amour ? Je ne suis pas un travesti mais simplement la nature n’a donné une belle paire de petits seins et une bite !
En disant cela en français avec un accent inimitable, Amalia descendit sa culotte et dévoila un sexe mâle d’une taille modeste à moitié bandée. Aussitôt elle se releva et prit la position de la levrette sur le lit elle me dit :
• Viens, Tu vas me prendre par derrière… Je pense que ce ne sera pas ta première sodomie !
• Non, certainement pas, mais je ne suis pas un adepte régulier…
Pour la première fois, j’allais baiser un être mi-homme mi-femme, cela ne m’était encore jamais arrivé d’en rencontrer un / une et rien que d’y penser, j’étais complètement excité. Elle a ajouté :
• Tu peux y aller franchement… Je suis ouverte… Tu entreras facilement.
Selon ma bonne habitude bien ancrée chez moi, célibataire endurci mais dragueur impénitent ( on ne sait jamais quelle bonne fortune nous attend ) j’allai chercher sous mon oreiller un préservatif que je glissai rapidement sur ma bite désormais bandée à l’extrême. Entre les jambes de ma compagne je pouvais voir le scrotum et s queue qui balançaient doucement et son anus plissé dans lequel un Plug en latex était glissé.
Retire-le… cela maintient l’ouverture… Je savais comment le repas se terminerait ! Antonio m’avait prévenue que tu était un bon coup !
Aussitôt après, j’ai sais sa taille entre mes mains et d’une seule poussée lente mais puissante et continue, j’ai pris sont petit trou… Si j’étais entré facilement, une fois à l’intérieur, j’ai senti les muscles intimes se resserrer autour de mon vit et commencer un savant massage. Mes va-et-vient arrachaient des soupirs d’aise à Juanita qui me disait tantôt en français, tantôt en espagnol que c’était bon de baiser ainsi. Dans un des grands miroirs de la chambre, je voyais notre accouplement et j’avais complètement oublié avec quel genre de personnage je faisais l’amour…
Derrière elle, je le besognais avec vigueur lais sans violence… Je voyais ses petits seins se balancer doucement sous son torse sous l’action de mes poussées pendant qu’elle se masturbait d’une main restée libre… Cela a achevé de faire monter mon excitation et je n’ai pas tardé à jouir et déverser dans la capote quelques bonnes giclées de sperme. Amalia jouit du cul en même temps… Elle avait attendu que je perte pour laisser éclater son plaisir.
Nous nos sommes désunis et Amalia s’est couchée sur le dos. Sa bite était toujours dressée et elle la masturbait encore si bien qu’un jet de sperme en est sorti et s’est écoulé sur ses doigts. Peu de temps après, elle s’est levée, a ramassé ses affaires et s’est rendue dans la salle de bains. Lorsqu’elle en est ressortie, habillée et pomponnée, elle est revenue vers moi en me disant combien elle avait apprécié la soirée et que je l’avais bien baisée. Elle quitta ma chambre en me souhaitant une bonne nuit… Oui… elle avait été bonne mais courte.
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