Les tribulations d'un cadre de l'agro alimentaire - 2ème partie.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les tribulations d'un cadre de l'agro alimentaire - 2ème partie.
Dans le cadre de mon travail, je recevais ces derniers jours Antonio, mon correspondant espagnol d’Alicante. Il était accompagné par sa femme Juanita avec qui j’avais fait connaissance lors de mon dernier séjour en Espagne. Les réunions de travail et visites à Rungis se déroulaient toutes la journée, aussi avait-elle profité de cette journée de vendredi pour passer son temps libre à faire les boutiques.
Le soir, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le hall de leur hôtel au bord du boulevard périphérique au bout de l’avenue de la Grande Armée puis nous sommes allés dîner dans un restaurant du quartier des Halles. Après un repas assez vite expédié, nous avons repris un taxi qui nous a conduit Place Clichy. Je voulais leur faire connaître un cabaret qui venait d’ouvrir dans le secteur et dont on disait beaucoup de bien.
L’enseigne « HUMOUR & DELICES » clignotait au-dessus d’une porte cochère d’un immeuble ancien mais visiblement en bon état. De part et d’autre, il y avait des petites vitrines éclairées montrant des vues de la salle et annonçant les spectacles présentés.
Nous sommes entrés dans le hall brillamment éclairé et, après avoir traversé un salon ovale faisant office de vestiaire, nous sommes descendus profondément au sous-sol par un large escalier de marbre recouvert d’une épaisse moquette rouge.
Nous avons débouché dans la salle proprement dite, une immense cave dont la voute était soutenue par de gros piliers en pierre brute. Nous nous trouvions visiblement dans une ancienne carrière comme il en existe bon nombre dans le sous sol de Paris. L’architecte avait su tirer parti de ce dont il disposait pour y créer un lieu de spectacle insolite mais particulièrement réussi.
A gauche des marches, il y avait un vestiaire secondaire puis le bar avec ses traditionnels tabourets hauts, au fond, une petite scène masquée par un lourd rideau rouge était ménagée dans l’amorce d’une vaste galerie. Au centre, il y avait une petite piste de danse animée par un D.J. Tout autour, il y avait deux rangées de tables pour deux ou quatre personnes.
A notre arrivée, c’est un jeune humoriste qui faisait son spectacle… Sa renommée montante lui valait un franc succès. Puis après son final, la salle a été plongée dans l’obscurité quasi-totale. Des projecteurs se sont braqués vers deux alvéoles fermées par une grille de part et d’autre de la scène. Deux filles y dansaient au sol d’une musique rythmée, une danse lascive, sorte d’invitation érotique propre à faire naître des fantasmes chez les hommes présents.
L’une était une noire sculpturale aux cheveux très courts, grande, avec des seins en obus dressés sur son buste, des hanches galbées et des fesses ronde sous une taille ceinte d’une lourde chaîne dorée. Son faciès n’était pas particulièrement remarquable avec ses lèvres lippus et son nez épaté mais il s’en dégageait, tout comme du reste de son corps, un magnétisme érotique très puissant.
L’autre était une européenne, grande également, aux longs cheveux châtain clair légèrement ondulés, avec des formes moins généreuses mais tout aussi attrayantes. Tous les regards étaient dirigés vers les deux filles jusqu’à un roulement de tambour sur lequel elles ont quitté leur cage pour aller ouvrir le rideau de scène pour le clou du spectacle.
Un homme était assis au centre du halo violent d’un spot lumineux. Habillé d’un smoking qui luisait dans la lumière, il faisait semblant de fumer négligemment une cigarette. Les deux filles ont tourné quelques temps autour de lui puis elles l’ont fait lever. La noire a commencé à retirer les vêtements un à un pour les tendre à l’autre fille qui semblait être leur assistante. Chaque pièce était alors ponctuée d’un roulement de tambour… Puis après un certain temps et de nouveaux pas de danse, la noire et l’homme se sont retirés mutuellement les derniers vêtements pour se présenter à la foule en en boxer et avec un simple cache sexe pour elle.
Leurs corps semblaient enduits d’une huile mêlée de paillettes dorées et argentés qui luisaient sous les projecteurs. Pendant quelques temps, ils poursuivirent leur dans lascive… Ce n’étaient que frôlement et attouchements de plus en plus sensuels jusqu’à ce que la noire se mette de profil par rapport à la salle, le buste légèrement incliné et les bras en appui sur le dossier de la chaise dorée. Ses seins pendaient d’une manière quasi obscène sous son buste et les jambes écartées, elle semblait attendre… l’homme collé contre ses fesses.
Ayant arraché son boxer, il mimait l’axe sexuel… Etait-il en train de baiser réellement la fille ? Etait-ce simulé ? La fille ondulait des reins et on la voyait passer sa langue sur ses lèvres… Le final fut salué d’un tonnerre d’applaudissements lorsqu’ils firent semblant ( ??? ) de prendre leur pied… Peut-être le prirent-ils réellement car cela avait été assez long… Le rideau se referma…
Quelques temps après le spectacle, les deux filles sont venues en compagnie de quelques autres pour se faire voir de plus près et aguicher les hommes seul ou les couples… C’est la grande blonde qui est venue à notre table. Elle avait du remarquer que j’étais seul avec un couple. En nous demandant si le spectacle nous avait plu, elle s’est assise sans vergogne sur mes genoux en passant un bras derrière ma nuque. Je la voyais de près et j’appréciais sa beauté fraîche et en même temps que son parfum capiteux m’enivrait, je sentais mon sexe se dresser dans mon boxer. Elle a du le sentir car elle s’est arrangée pour que la bosse soit entre ses cuisses qu’elle bougeait sans arrêt. Nous bavardions tous les quatre depuis quelques minutes quand elle m’a dit à l’oreille :
• Je te fais envie ? Alors attends-moi dans une demie heure à la sortie de la boîte… J’ai terminé ma soirée… Tu ne le regretteras pas !
• Si mes amis sont d’accord, il n’y a pas de problème.
• Alors c’est OK ! Prends une bouteille de champagne au bar et nous la boirons chez moi, c’est tout près !
Comme c’était l’heure de la danse et que le lendemain, la journée commençait assez tôt, j’ai payé les consommations, acheté la bouteille et nous avons regagné la sortie où Julia, notre gogo girl nous attendait déjà. Elle nous proposa de l’accompagner jusqu’à son studio tout proche pour une partie à quatre. Antonio et Juanita acceptèrent mais pour eux, il n’était pas question de partouser ni d’échangisme.
Après cinq minutes de marche, nous sommes arrivés devant son immeuble. Son appartement se trouvait au second étage. Elle nous fit entrer dans une pièce immense où trônait un grand lit éclairé par divers projecteurs. Dans un angle de la pièce, il y avait une barre de pole dance et proche de la fenêtre un divan et des fauteuils. Il y avait aussi une caméra vidéo placée sur un trépied et un ordinateur avec un grand écran.
Devant notre étonnement, elle expliqua que pour financer ses études, elle était sur un réseau de caméras où des animatrices proposaient des petits spectacles érotiques aux clients éventuels… C’était son lieu de travail lorsqu’elle avait achevé ses cours à la fac…
Après que Julia ait servi le champagne elle est venue s’asseoir près de moi sur le divan pendant que mes amis se serraient dans un des vastes fauteuils. Nous avons trinqué puis Julia m’a tendu ses lèvres en disant :
Si nous reprenions où nous en étions tout à l’heure !
Je l’enlaçai e j’entrepris de lui ôter ses vêtements… Oh, elle ne portait pas grand-chose… Juste un string des plus réduits sous son pantalon et la poitrine nue sous sons sweatshirt… C’était vraiment une très belles femme… 25 ans environ, des hanches étroites et de longues jambes de danseuse… un jolie poitrine aux seins en forme de dôme et haut placés… Hum, très agréables à regarder et à caresser ! Lorsqu’elle a été nue, Julia m’a déshabillé à mon tour et lorsque mon sexe apparut, elle se baissa pour venir gober le gland qui était ultra sensible… En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, j’étais déjà bandé comme un taureau.
De leur côté, Antonio et Juanita s’étaient mis au diapason et n’avaient pas perdu de temps… Certainement excités par l’érotisme du spectacle de la soirée et de me voir avec Julia, ils étaient déjà nus eux aussi, en position de 6 9 sur le grand lit. Nous avions la vue magnifique du cul haut levé de la belle Juanita avec ses hanches un peu large de latine et de mère. Elle avait un cul magnifique… Je ne l’avais jamais vu et j’étais surpris de la beauté des deux beaux globes charnus, légèrement plus pâles que le reste du corps, avec une fente profonde dans laquelle folâtraient quelques poils autour du trou plissé. Je ne surpris à envier Antonio car Juanita est le type de femme que j’affectionne en particulier… c'est-à-dire avec des formes juste un peu généreuses… Mais pour l’instant j’avais tiré un beau petit lot…
J’inversai les rôles… Je fis mettre Julia sur le dos et je me mis tête-bêche au dessus d’elle pour lui manger la chatte. De son côté, au début, elle avait avalé mon sexe jusqu’au fond de sa gorge mais maintenant, elle se contentait de chatouiller le gland avec le bout de sa langue… Avait-elle compris que si elle continuait à me sucer comme elle avait commencé, je ne tarderais pas à jouir comme un ingrat, la laissant sur sa faim ???
Je voulais lui faire l’amour aussi, je la fis basculer pour qu’elle vienne s’empaler sur mon vit dressé dans la position du cheval renversé. Mais avant, elle couvrit mon sexe d’un préservatif. Lorsqu’il fut dans sa chatte, je relevai les jambes pour que Julia se mette en appui sur elles. Ainsi, elle aurait plus facile pour faire les mouvements de bas en haut, telle une cavalière sur sa monture lancée au trot… De mon côté, je pourrais me repaître du spectacle de se jolie poitrine dont les pointes turgescentes montrait le plaisir qu’elle prenait…
Chaque fois que mon sexe arrivait au fon du sien, elle s’inclinait légèrement pour que e puisse embraser l’un ou l’autre des tétons. Soudain, nous entendîmes Antonio et Juanita bramer leur plaisir haut et fort. Cela nous fit partir à notre tour dans une jouissance torride.
En se dégageant de mon étreinte, Julia s’est tournée vers Juanita et l’a embrassée amoureusement. Cette dernière n’a pas protesté, bien au contraire, elle a entraîné Julia vers le sexe d’Antonio et elles en ont fait la toilette à deux. De les voir ainsi, cela nous a fait bander à nouveau et nous avons retrouvé nos partenaires respectives pour les baiser une seconde fois. J’ai opté pour la levrette, position que j’affectionne particulièrement car elle permet de titiller l’orifice plissé tout en allant et venant dans le sexe de ma partenaire. Antonio avait opté pour la position appelée « le bateau ivre ». Il maintenait les jambes de sa femme de chaque côté de son buste et il la besognait avec ardeur. Et la jouissance finale nous a emportés une fois encore.
Julia nous a offert une boisson désaltérante… Nous en avions besoin après cette dépense d’énergie. J’ai appelé un taxi puis nous avons quitté notre belle effeuilleuse à qui j’ai glissé discrètement un joli billet… Je lui devais bien cela. Lorsque j’ai laissé Antonio et Juanita au pied de leur hôtel ils me dire :
• Serge, tu nous as fait découvrir les nuits de Paris… Merci… C’était très chaud comme nous l’imagions.
Le taxi ma ensuite ramené jusqu’à mon domicile. Quand ma copine du moment rentrerait de son voyage d’affaires au Mexique, j’aurais des choses à lui raconter. C’est l’accord que nous avons conclu quand il nous arrive de belles aventures…
Le soir, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le hall de leur hôtel au bord du boulevard périphérique au bout de l’avenue de la Grande Armée puis nous sommes allés dîner dans un restaurant du quartier des Halles. Après un repas assez vite expédié, nous avons repris un taxi qui nous a conduit Place Clichy. Je voulais leur faire connaître un cabaret qui venait d’ouvrir dans le secteur et dont on disait beaucoup de bien.
L’enseigne « HUMOUR & DELICES » clignotait au-dessus d’une porte cochère d’un immeuble ancien mais visiblement en bon état. De part et d’autre, il y avait des petites vitrines éclairées montrant des vues de la salle et annonçant les spectacles présentés.
Nous sommes entrés dans le hall brillamment éclairé et, après avoir traversé un salon ovale faisant office de vestiaire, nous sommes descendus profondément au sous-sol par un large escalier de marbre recouvert d’une épaisse moquette rouge.
Nous avons débouché dans la salle proprement dite, une immense cave dont la voute était soutenue par de gros piliers en pierre brute. Nous nous trouvions visiblement dans une ancienne carrière comme il en existe bon nombre dans le sous sol de Paris. L’architecte avait su tirer parti de ce dont il disposait pour y créer un lieu de spectacle insolite mais particulièrement réussi.
A gauche des marches, il y avait un vestiaire secondaire puis le bar avec ses traditionnels tabourets hauts, au fond, une petite scène masquée par un lourd rideau rouge était ménagée dans l’amorce d’une vaste galerie. Au centre, il y avait une petite piste de danse animée par un D.J. Tout autour, il y avait deux rangées de tables pour deux ou quatre personnes.
A notre arrivée, c’est un jeune humoriste qui faisait son spectacle… Sa renommée montante lui valait un franc succès. Puis après son final, la salle a été plongée dans l’obscurité quasi-totale. Des projecteurs se sont braqués vers deux alvéoles fermées par une grille de part et d’autre de la scène. Deux filles y dansaient au sol d’une musique rythmée, une danse lascive, sorte d’invitation érotique propre à faire naître des fantasmes chez les hommes présents.
L’une était une noire sculpturale aux cheveux très courts, grande, avec des seins en obus dressés sur son buste, des hanches galbées et des fesses ronde sous une taille ceinte d’une lourde chaîne dorée. Son faciès n’était pas particulièrement remarquable avec ses lèvres lippus et son nez épaté mais il s’en dégageait, tout comme du reste de son corps, un magnétisme érotique très puissant.
L’autre était une européenne, grande également, aux longs cheveux châtain clair légèrement ondulés, avec des formes moins généreuses mais tout aussi attrayantes. Tous les regards étaient dirigés vers les deux filles jusqu’à un roulement de tambour sur lequel elles ont quitté leur cage pour aller ouvrir le rideau de scène pour le clou du spectacle.
Un homme était assis au centre du halo violent d’un spot lumineux. Habillé d’un smoking qui luisait dans la lumière, il faisait semblant de fumer négligemment une cigarette. Les deux filles ont tourné quelques temps autour de lui puis elles l’ont fait lever. La noire a commencé à retirer les vêtements un à un pour les tendre à l’autre fille qui semblait être leur assistante. Chaque pièce était alors ponctuée d’un roulement de tambour… Puis après un certain temps et de nouveaux pas de danse, la noire et l’homme se sont retirés mutuellement les derniers vêtements pour se présenter à la foule en en boxer et avec un simple cache sexe pour elle.
Leurs corps semblaient enduits d’une huile mêlée de paillettes dorées et argentés qui luisaient sous les projecteurs. Pendant quelques temps, ils poursuivirent leur dans lascive… Ce n’étaient que frôlement et attouchements de plus en plus sensuels jusqu’à ce que la noire se mette de profil par rapport à la salle, le buste légèrement incliné et les bras en appui sur le dossier de la chaise dorée. Ses seins pendaient d’une manière quasi obscène sous son buste et les jambes écartées, elle semblait attendre… l’homme collé contre ses fesses.
Ayant arraché son boxer, il mimait l’axe sexuel… Etait-il en train de baiser réellement la fille ? Etait-ce simulé ? La fille ondulait des reins et on la voyait passer sa langue sur ses lèvres… Le final fut salué d’un tonnerre d’applaudissements lorsqu’ils firent semblant ( ??? ) de prendre leur pied… Peut-être le prirent-ils réellement car cela avait été assez long… Le rideau se referma…
Quelques temps après le spectacle, les deux filles sont venues en compagnie de quelques autres pour se faire voir de plus près et aguicher les hommes seul ou les couples… C’est la grande blonde qui est venue à notre table. Elle avait du remarquer que j’étais seul avec un couple. En nous demandant si le spectacle nous avait plu, elle s’est assise sans vergogne sur mes genoux en passant un bras derrière ma nuque. Je la voyais de près et j’appréciais sa beauté fraîche et en même temps que son parfum capiteux m’enivrait, je sentais mon sexe se dresser dans mon boxer. Elle a du le sentir car elle s’est arrangée pour que la bosse soit entre ses cuisses qu’elle bougeait sans arrêt. Nous bavardions tous les quatre depuis quelques minutes quand elle m’a dit à l’oreille :
• Je te fais envie ? Alors attends-moi dans une demie heure à la sortie de la boîte… J’ai terminé ma soirée… Tu ne le regretteras pas !
• Si mes amis sont d’accord, il n’y a pas de problème.
• Alors c’est OK ! Prends une bouteille de champagne au bar et nous la boirons chez moi, c’est tout près !
Comme c’était l’heure de la danse et que le lendemain, la journée commençait assez tôt, j’ai payé les consommations, acheté la bouteille et nous avons regagné la sortie où Julia, notre gogo girl nous attendait déjà. Elle nous proposa de l’accompagner jusqu’à son studio tout proche pour une partie à quatre. Antonio et Juanita acceptèrent mais pour eux, il n’était pas question de partouser ni d’échangisme.
Après cinq minutes de marche, nous sommes arrivés devant son immeuble. Son appartement se trouvait au second étage. Elle nous fit entrer dans une pièce immense où trônait un grand lit éclairé par divers projecteurs. Dans un angle de la pièce, il y avait une barre de pole dance et proche de la fenêtre un divan et des fauteuils. Il y avait aussi une caméra vidéo placée sur un trépied et un ordinateur avec un grand écran.
Devant notre étonnement, elle expliqua que pour financer ses études, elle était sur un réseau de caméras où des animatrices proposaient des petits spectacles érotiques aux clients éventuels… C’était son lieu de travail lorsqu’elle avait achevé ses cours à la fac…
Après que Julia ait servi le champagne elle est venue s’asseoir près de moi sur le divan pendant que mes amis se serraient dans un des vastes fauteuils. Nous avons trinqué puis Julia m’a tendu ses lèvres en disant :
Si nous reprenions où nous en étions tout à l’heure !
Je l’enlaçai e j’entrepris de lui ôter ses vêtements… Oh, elle ne portait pas grand-chose… Juste un string des plus réduits sous son pantalon et la poitrine nue sous sons sweatshirt… C’était vraiment une très belles femme… 25 ans environ, des hanches étroites et de longues jambes de danseuse… un jolie poitrine aux seins en forme de dôme et haut placés… Hum, très agréables à regarder et à caresser ! Lorsqu’elle a été nue, Julia m’a déshabillé à mon tour et lorsque mon sexe apparut, elle se baissa pour venir gober le gland qui était ultra sensible… En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, j’étais déjà bandé comme un taureau.
De leur côté, Antonio et Juanita s’étaient mis au diapason et n’avaient pas perdu de temps… Certainement excités par l’érotisme du spectacle de la soirée et de me voir avec Julia, ils étaient déjà nus eux aussi, en position de 6 9 sur le grand lit. Nous avions la vue magnifique du cul haut levé de la belle Juanita avec ses hanches un peu large de latine et de mère. Elle avait un cul magnifique… Je ne l’avais jamais vu et j’étais surpris de la beauté des deux beaux globes charnus, légèrement plus pâles que le reste du corps, avec une fente profonde dans laquelle folâtraient quelques poils autour du trou plissé. Je ne surpris à envier Antonio car Juanita est le type de femme que j’affectionne en particulier… c'est-à-dire avec des formes juste un peu généreuses… Mais pour l’instant j’avais tiré un beau petit lot…
J’inversai les rôles… Je fis mettre Julia sur le dos et je me mis tête-bêche au dessus d’elle pour lui manger la chatte. De son côté, au début, elle avait avalé mon sexe jusqu’au fond de sa gorge mais maintenant, elle se contentait de chatouiller le gland avec le bout de sa langue… Avait-elle compris que si elle continuait à me sucer comme elle avait commencé, je ne tarderais pas à jouir comme un ingrat, la laissant sur sa faim ???
Je voulais lui faire l’amour aussi, je la fis basculer pour qu’elle vienne s’empaler sur mon vit dressé dans la position du cheval renversé. Mais avant, elle couvrit mon sexe d’un préservatif. Lorsqu’il fut dans sa chatte, je relevai les jambes pour que Julia se mette en appui sur elles. Ainsi, elle aurait plus facile pour faire les mouvements de bas en haut, telle une cavalière sur sa monture lancée au trot… De mon côté, je pourrais me repaître du spectacle de se jolie poitrine dont les pointes turgescentes montrait le plaisir qu’elle prenait…
Chaque fois que mon sexe arrivait au fon du sien, elle s’inclinait légèrement pour que e puisse embraser l’un ou l’autre des tétons. Soudain, nous entendîmes Antonio et Juanita bramer leur plaisir haut et fort. Cela nous fit partir à notre tour dans une jouissance torride.
En se dégageant de mon étreinte, Julia s’est tournée vers Juanita et l’a embrassée amoureusement. Cette dernière n’a pas protesté, bien au contraire, elle a entraîné Julia vers le sexe d’Antonio et elles en ont fait la toilette à deux. De les voir ainsi, cela nous a fait bander à nouveau et nous avons retrouvé nos partenaires respectives pour les baiser une seconde fois. J’ai opté pour la levrette, position que j’affectionne particulièrement car elle permet de titiller l’orifice plissé tout en allant et venant dans le sexe de ma partenaire. Antonio avait opté pour la position appelée « le bateau ivre ». Il maintenait les jambes de sa femme de chaque côté de son buste et il la besognait avec ardeur. Et la jouissance finale nous a emportés une fois encore.
Julia nous a offert une boisson désaltérante… Nous en avions besoin après cette dépense d’énergie. J’ai appelé un taxi puis nous avons quitté notre belle effeuilleuse à qui j’ai glissé discrètement un joli billet… Je lui devais bien cela. Lorsque j’ai laissé Antonio et Juanita au pied de leur hôtel ils me dire :
• Serge, tu nous as fait découvrir les nuits de Paris… Merci… C’était très chaud comme nous l’imagions.
Le taxi ma ensuite ramené jusqu’à mon domicile. Quand ma copine du moment rentrerait de son voyage d’affaires au Mexique, j’aurais des choses à lui raconter. C’est l’accord que nous avons conclu quand il nous arrive de belles aventures…
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