Les turpitudes de Mauricette 1
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les turpitudes de Mauricette 1
Les turpitudes de Mauricette.
Cette épisode précède les suivants.
Ne correspondant pas à la politique du site, il a été profondément remanié pour une nouvelle version qui arrive donc après.
Je m'appelle Mauricette, j'ai vingt sept ans et je vis depuis quelques mois en région parisienne où j'ai été mutée.
Aujourd'hui, je suis allée à confesse à l'église la plus proche de mon domicile.
La dernière fois où cela m'était arrivé, c'était après avoir été dépucelée par un cousin lors d'un mariage dans la voiture de ses parents. J'avais beaucoup bu et chahuté quand, il m'a pris. Cela s'est passé très vite et je n'ai rien ressenti que d'avoir été salie.
Le prêtre m'avait sermonné, car j'avais commis le pêché de chair en dehors des liens sacrés du mariage.
J'en avais été meurtrie et fâchée.
J'ai attendu qu'une vieille bigote tout de noir vêtue me laisse la place et je me suis adressé à un prêtre dans la cinquantaine au visage avenant.
« J'ai beaucoup pêché mon père par action.
_ Dites mon enfant, je vous écoute.
_ Voilà, la semaine dernière, deux gars à scooter m'a arraché mon sac à la sortie du collège où je travaille. Plus de carte de transport, plus de téléphone, clés, argent, papiers. J'étais choquée et désemparée.
Un élève est venu à mon secours. Il m'a dit qu'il connait mes agresseurs et que son frère va les retrouver.
Effectivement, une heure plus tard, il arrive à bord d'une grosse berline noire. Tout y est, même l'argent.
Il me propose de me ramener chez moi. Je n'ose refuser. En chemin, il rencontre des collègues à lui et on se retrouve dans un appartement.
Il me propose à boire. J'ai très soif et accepte un verre de punch puis une pina coleda puis du rhum arrangé le tout en mangeant des pizzas.
Je suis euphorique et ne sais comment remercier mon sauveur.
Nous dansons sur des rythmes caribéens de salsa et de reggae, il fait chaud, je me dévêts et je suis en jupe et caraco quand je me retrouve dans ses bras musclés. Il mesure près de deux mètres et j’ai la tête sur sa poitrine. Je suis soulagée et heureuse de faire la fête avec ces trois guadeloupéens. Ils dansent bien et mon cavalier a beaucoup de charme.
Cela ne m'était jamais arrivé. S'ensuit un baiser passionné puis il me déshabille entièrement, je me laisse faire. Je continue à danser dans le plus simple appareil sous leurs encouragements.
Depuis mon installation, ma vie affective est un vrai désert, je trouve mon visage quelconque, je suis rousse avec quelques tâches de rousseur, une tignasse rebelle et je ne sais pas me maquiller.
Nous avons encore bu puis je me souviens d'une verge énorme qui m'a pénétré très facilement et qui m'a procuré beaucoup de plaisir. J'étais allongée sur la table basse du salon sur le dos la tête dépassant d'un côté. Driss m'a longuement labouré avant de se répandre sur mon ventre . Ensuite il est venu au dessus de mon visage et j'ai ouvert la bouche pour le nettoyer, j'ai goûté son sperme mélangé à mes odeurs intimes et cela ne m'a pas rebuté. Ses amis se masturbaient en nous regardant puis l'un m'a présenté sa verge à sucer pendant que l'autre me pénétrait et ils ont inversé. J'ai joui plusieurs fois.
Puis, ils m'ont retourné pour me mettre sur le ventre et ils ont recommencé en proférant toutes sortes d'insanités à mon égard pour s'encourager. Il m'ont aussi claqué les fesses à de nombreuses reprises. J'ai encore joui.
Le prêtre qui s'agitait dans le confessionnal, m'interrompt : « Si vous avez été forcé, c'est un viol collectif, il faut porter plainte.
_ Non pas du tout, j'ai été entraînée, c'est certain. C'était un coup monté mais j'ai pris beaucoup de plaisir. A aucun moment, je me suis dérobée ou refusée quoi que ce soit.
Si je viens à vous, c'est que j'ai aimé m'avilir et que je suis prêtre à aller encore plus loin.
_ Dites mon enfant, je dois tout connaître.
_ Depuis mon adolescence, je rêve de situations troubles où je suis l'esclave d'hommes lubriques.
J'aime me promener dans les maisons abandonnées au fond des bois ,dans des caves ou des usines en friche espérant être violée par des clandestins en manque de femme qui me feraient subir les pires outrages… »
Je vois le visage cramoisi du prêtre qui s'agite beaucoup. Apres un grand soupir, il me répond :
"Je ne suis pas psychiatre, vous avez beaucoup pêché mais la chair est faible. Je vous absous et revenez me voir."
Il fit un grand signe de croix et sortit précipitamment comme s'il avait vu le diable.
Quand je suis sorti de l'église, j'avais encore l'image de la verge de Driss et de la suite.
J'étais couverte de sperme quand j'ai remis mes vêtements et que Driss m'a raccompagné chez moi.
Il m'a à nouveau déshabillé, mise dans la douche, lavée, séchée et pour finir, Driss m'a refait l'amour sur le canapé lit tendrement, il m'a caressé puis embrassé jusqu'à ce que je m'endorme.
Le lendemain, je me réveille péniblement, je reçois une dizaine de photos sur mon téléphone.
On me voit nue en train de danser, mon visage caché par mes bras, allongée, prise par Driss, l'image coupée à la hauteur de mon cou. Le ventre couvert de sperme, en sandwich quand j'avais ses deux amis en moi, bien sûr, je suis sur le ventre et ma tignasse cache mon visage… puis un coup de sonnette retentit dans l'appartement .
Je n'ai pas encore pris ma douche, j'ai juste mes mules et une nuisette à bretelles en soie.
C'est Driss, j'ouvre, il me saisit par la taille et m'embrasse passionnément. Ses mains me caressent et il me déshabille en un tour de main. Il fait tomber son jogging et me présente son sexe énorme devant ma bouche.
Il est vraiment gros et je suis subjugué. Comment, moi si mince et menue, j'ai pu recevoir un tel engin. Ma bouche ne peut en avaler que la moitié, mes lèvres ayant du mal à en faire le tour.
Il me dit qu'hier soir, c'était une sacré soirée mais que je tenais mal l'alcool. Il voulait savoir si j'allais bien.
Je lui parle des photos reçues ce matin. Il rigole pour me dire que ça restera privées tant que je le voudrais. C'est pour me montrer sa confiance, une sorte de pacte.
D'ailleurs, il me montre toutes ses photos et sur aucune, je ne suis identifiable puis il me montre des profils avec qui il est en contact sur un site libertin.
Je n'en reviens pas mais cela m'ėmoustille, je suis assise sur une de ses cuisses et sa main caresse ma vulve pendant que les photos défilent. Il sent que ma vulve dégouline, il se lève pour me prendre par la taille, me soulève et me laisse retomber sur son sexe à la verticale. J'ai le souffle coupé, il me reprend et recommence, des larmes me montent aux yeux, je suis pourfendu, rempli et son sexe ne me pénètre qu'au trois quarts quand il bute sur mon utérus.
Mes bras enserrent son cou, je suis suspendue, ses mains sous mes fesses. Je monte et je descends sur son barreau, il sèche mes larmes de sa langue et me dit :
« Ce n'est rien bébé ! Tu vas t'y habituer et tu ne pourras plus t'en passer. »
Effectivement, un plaisir immense m'envahit.
Il me couche sur le canapé et me pilonne, je suis au bord de la syncope quand je suis secouée par l'orgasme qui accompagne le sien. Il se répand sur mon ventre et gicle jusqu'à mes lèvres.
Il me tend son boudin maculé que je ne refuse pas.
J'ouvre la bouche et sors la langue pour bien le nettoyer, je lèche son méat en le regardant avec des yeux de biche…
On se lave mutuellement dans la grande baignoire et on décide de se faire un fast-food avant d'aller bronzer dans un endroit dont il a le secret.
Tandis qu'il passe commande, je vais aux toilettes et à mon retour, je lui donne ma culotte qu'il met dans sa poche. :
« Tu apprends vite bébé. »
Je n'ai que ma mini jupe quand je suis juchée sur des grands tabouret de bar. Il pose sa main sur ma cuisse et un doigt s'insinue jusque sur mes lèvres qu'il écarte. La serveuse nous apporte notre plateau, je suis collée contre la table et mes joues sont certainement écarlates. Il fait de petits mouvements lents et profonds avec son doigt en crochet.
Ses doigts sont à son image, longs et épais.
Je dégouline et j'ai l'impression d'inonder le siège. Il me fait sucer son doigt avant d'entamer nos burgers.
Il me murmure des paroles salaces à l'oreille sur ce que nous pourrions faire avec la crème glacée…
Nous quittons l'établissement et une demi heure plus tard arrivons sur un parking où quelques voitures sont garées et nous prenons un petit chemin jusqu'à une clairière ensoleillée au bord d'un étang.
Quelques personnes nues bronzent au soleil. Nous nous déshabillons un peu à l'écart. Il a pensé à prendre de la crème solaire qu'il m'enduit généreusement sur ma peau claire de rousse.
Il insiste particulièrement sur mes parties intimes, les fesses, seins, mais aussi épaules, cuisse, nez ….
Étant restée debout, nous offrons déjà un spectacle. Je n'ai pas le loisir de lui rendre la pareille, avec sa peau chocolat en est dispensée.
Nous allongeons sur un vaste plaid sur l'herbe quand il ne tarde pas à s'assoupir. J'ai le ventre sur ses abdominaux quand il se met sur le côté, son sexe est au repos et caché à la vue quand je le touche. Je le caresse, l'effleure sur toute la longueur et je le vois s'allonger doucement par à coups. Il se relève de quelques millimètres quand je peux en faire le tour et le masturber. Je rampe pour me mettre à sa hauteur et j'observe le grain de sa peau. Il me fascine et ne peux m'empêcher de le prendre en bouche. Je commence par des petits coups de langue.
Driss se réveille, il ne dormait plus et il s'assoit en tailleur. Ma tête apparemment cachée par son buste monte et descend sur son braquemart. De ses mains, il rythme la fellation. Puis il me couche et me prend en missionnaire.
Pendant les préliminaires, je n'avais pas remarqué qu'un jeune couple s'était installé à côté de nous. Il s'était mis tête bêche et se faisait du bien. La fille au dessus a tendu un bras en ma direction pour saisir un sein puis elle a délaissé son compagnon pour le sucer et m'embrasser fougueusement.
Driss a joui puis nous les avons regardé copuler.
La fille m'a encore attiré à elle pour que je me mette à genoux et que je lui donne ma vulve à lécher. Mon jus et le sperme de Driss coulait dans sa bouche et son cou et apparemment, elle se régalait.
Un cercle de voyeurs s'était formé et se masturbaient. J'ai branlé et sucé les plus belles bites.
Ils ont changé de position, elle s'est mise à quatre pattes pour sucer son amant tandis que Driss la prenait en levrette et ils ont joui tous les deux en elle pendant que les voyeurs l'aspergeaient.
Apres une toilette sommaire dans l'étang, nous avons fait connaissance et échanger nos 06.
(A suivre )
Cette épisode précède les suivants.
Ne correspondant pas à la politique du site, il a été profondément remanié pour une nouvelle version qui arrive donc après.
Je m'appelle Mauricette, j'ai vingt sept ans et je vis depuis quelques mois en région parisienne où j'ai été mutée.
Aujourd'hui, je suis allée à confesse à l'église la plus proche de mon domicile.
La dernière fois où cela m'était arrivé, c'était après avoir été dépucelée par un cousin lors d'un mariage dans la voiture de ses parents. J'avais beaucoup bu et chahuté quand, il m'a pris. Cela s'est passé très vite et je n'ai rien ressenti que d'avoir été salie.
Le prêtre m'avait sermonné, car j'avais commis le pêché de chair en dehors des liens sacrés du mariage.
J'en avais été meurtrie et fâchée.
J'ai attendu qu'une vieille bigote tout de noir vêtue me laisse la place et je me suis adressé à un prêtre dans la cinquantaine au visage avenant.
« J'ai beaucoup pêché mon père par action.
_ Dites mon enfant, je vous écoute.
_ Voilà, la semaine dernière, deux gars à scooter m'a arraché mon sac à la sortie du collège où je travaille. Plus de carte de transport, plus de téléphone, clés, argent, papiers. J'étais choquée et désemparée.
Un élève est venu à mon secours. Il m'a dit qu'il connait mes agresseurs et que son frère va les retrouver.
Effectivement, une heure plus tard, il arrive à bord d'une grosse berline noire. Tout y est, même l'argent.
Il me propose de me ramener chez moi. Je n'ose refuser. En chemin, il rencontre des collègues à lui et on se retrouve dans un appartement.
Il me propose à boire. J'ai très soif et accepte un verre de punch puis une pina coleda puis du rhum arrangé le tout en mangeant des pizzas.
Je suis euphorique et ne sais comment remercier mon sauveur.
Nous dansons sur des rythmes caribéens de salsa et de reggae, il fait chaud, je me dévêts et je suis en jupe et caraco quand je me retrouve dans ses bras musclés. Il mesure près de deux mètres et j’ai la tête sur sa poitrine. Je suis soulagée et heureuse de faire la fête avec ces trois guadeloupéens. Ils dansent bien et mon cavalier a beaucoup de charme.
Cela ne m'était jamais arrivé. S'ensuit un baiser passionné puis il me déshabille entièrement, je me laisse faire. Je continue à danser dans le plus simple appareil sous leurs encouragements.
Depuis mon installation, ma vie affective est un vrai désert, je trouve mon visage quelconque, je suis rousse avec quelques tâches de rousseur, une tignasse rebelle et je ne sais pas me maquiller.
Nous avons encore bu puis je me souviens d'une verge énorme qui m'a pénétré très facilement et qui m'a procuré beaucoup de plaisir. J'étais allongée sur la table basse du salon sur le dos la tête dépassant d'un côté. Driss m'a longuement labouré avant de se répandre sur mon ventre . Ensuite il est venu au dessus de mon visage et j'ai ouvert la bouche pour le nettoyer, j'ai goûté son sperme mélangé à mes odeurs intimes et cela ne m'a pas rebuté. Ses amis se masturbaient en nous regardant puis l'un m'a présenté sa verge à sucer pendant que l'autre me pénétrait et ils ont inversé. J'ai joui plusieurs fois.
Puis, ils m'ont retourné pour me mettre sur le ventre et ils ont recommencé en proférant toutes sortes d'insanités à mon égard pour s'encourager. Il m'ont aussi claqué les fesses à de nombreuses reprises. J'ai encore joui.
Le prêtre qui s'agitait dans le confessionnal, m'interrompt : « Si vous avez été forcé, c'est un viol collectif, il faut porter plainte.
_ Non pas du tout, j'ai été entraînée, c'est certain. C'était un coup monté mais j'ai pris beaucoup de plaisir. A aucun moment, je me suis dérobée ou refusée quoi que ce soit.
Si je viens à vous, c'est que j'ai aimé m'avilir et que je suis prêtre à aller encore plus loin.
_ Dites mon enfant, je dois tout connaître.
_ Depuis mon adolescence, je rêve de situations troubles où je suis l'esclave d'hommes lubriques.
J'aime me promener dans les maisons abandonnées au fond des bois ,dans des caves ou des usines en friche espérant être violée par des clandestins en manque de femme qui me feraient subir les pires outrages… »
Je vois le visage cramoisi du prêtre qui s'agite beaucoup. Apres un grand soupir, il me répond :
"Je ne suis pas psychiatre, vous avez beaucoup pêché mais la chair est faible. Je vous absous et revenez me voir."
Il fit un grand signe de croix et sortit précipitamment comme s'il avait vu le diable.
Quand je suis sorti de l'église, j'avais encore l'image de la verge de Driss et de la suite.
J'étais couverte de sperme quand j'ai remis mes vêtements et que Driss m'a raccompagné chez moi.
Il m'a à nouveau déshabillé, mise dans la douche, lavée, séchée et pour finir, Driss m'a refait l'amour sur le canapé lit tendrement, il m'a caressé puis embrassé jusqu'à ce que je m'endorme.
Le lendemain, je me réveille péniblement, je reçois une dizaine de photos sur mon téléphone.
On me voit nue en train de danser, mon visage caché par mes bras, allongée, prise par Driss, l'image coupée à la hauteur de mon cou. Le ventre couvert de sperme, en sandwich quand j'avais ses deux amis en moi, bien sûr, je suis sur le ventre et ma tignasse cache mon visage… puis un coup de sonnette retentit dans l'appartement .
Je n'ai pas encore pris ma douche, j'ai juste mes mules et une nuisette à bretelles en soie.
C'est Driss, j'ouvre, il me saisit par la taille et m'embrasse passionnément. Ses mains me caressent et il me déshabille en un tour de main. Il fait tomber son jogging et me présente son sexe énorme devant ma bouche.
Il est vraiment gros et je suis subjugué. Comment, moi si mince et menue, j'ai pu recevoir un tel engin. Ma bouche ne peut en avaler que la moitié, mes lèvres ayant du mal à en faire le tour.
Il me dit qu'hier soir, c'était une sacré soirée mais que je tenais mal l'alcool. Il voulait savoir si j'allais bien.
Je lui parle des photos reçues ce matin. Il rigole pour me dire que ça restera privées tant que je le voudrais. C'est pour me montrer sa confiance, une sorte de pacte.
D'ailleurs, il me montre toutes ses photos et sur aucune, je ne suis identifiable puis il me montre des profils avec qui il est en contact sur un site libertin.
Je n'en reviens pas mais cela m'ėmoustille, je suis assise sur une de ses cuisses et sa main caresse ma vulve pendant que les photos défilent. Il sent que ma vulve dégouline, il se lève pour me prendre par la taille, me soulève et me laisse retomber sur son sexe à la verticale. J'ai le souffle coupé, il me reprend et recommence, des larmes me montent aux yeux, je suis pourfendu, rempli et son sexe ne me pénètre qu'au trois quarts quand il bute sur mon utérus.
Mes bras enserrent son cou, je suis suspendue, ses mains sous mes fesses. Je monte et je descends sur son barreau, il sèche mes larmes de sa langue et me dit :
« Ce n'est rien bébé ! Tu vas t'y habituer et tu ne pourras plus t'en passer. »
Effectivement, un plaisir immense m'envahit.
Il me couche sur le canapé et me pilonne, je suis au bord de la syncope quand je suis secouée par l'orgasme qui accompagne le sien. Il se répand sur mon ventre et gicle jusqu'à mes lèvres.
Il me tend son boudin maculé que je ne refuse pas.
J'ouvre la bouche et sors la langue pour bien le nettoyer, je lèche son méat en le regardant avec des yeux de biche…
On se lave mutuellement dans la grande baignoire et on décide de se faire un fast-food avant d'aller bronzer dans un endroit dont il a le secret.
Tandis qu'il passe commande, je vais aux toilettes et à mon retour, je lui donne ma culotte qu'il met dans sa poche. :
« Tu apprends vite bébé. »
Je n'ai que ma mini jupe quand je suis juchée sur des grands tabouret de bar. Il pose sa main sur ma cuisse et un doigt s'insinue jusque sur mes lèvres qu'il écarte. La serveuse nous apporte notre plateau, je suis collée contre la table et mes joues sont certainement écarlates. Il fait de petits mouvements lents et profonds avec son doigt en crochet.
Ses doigts sont à son image, longs et épais.
Je dégouline et j'ai l'impression d'inonder le siège. Il me fait sucer son doigt avant d'entamer nos burgers.
Il me murmure des paroles salaces à l'oreille sur ce que nous pourrions faire avec la crème glacée…
Nous quittons l'établissement et une demi heure plus tard arrivons sur un parking où quelques voitures sont garées et nous prenons un petit chemin jusqu'à une clairière ensoleillée au bord d'un étang.
Quelques personnes nues bronzent au soleil. Nous nous déshabillons un peu à l'écart. Il a pensé à prendre de la crème solaire qu'il m'enduit généreusement sur ma peau claire de rousse.
Il insiste particulièrement sur mes parties intimes, les fesses, seins, mais aussi épaules, cuisse, nez ….
Étant restée debout, nous offrons déjà un spectacle. Je n'ai pas le loisir de lui rendre la pareille, avec sa peau chocolat en est dispensée.
Nous allongeons sur un vaste plaid sur l'herbe quand il ne tarde pas à s'assoupir. J'ai le ventre sur ses abdominaux quand il se met sur le côté, son sexe est au repos et caché à la vue quand je le touche. Je le caresse, l'effleure sur toute la longueur et je le vois s'allonger doucement par à coups. Il se relève de quelques millimètres quand je peux en faire le tour et le masturber. Je rampe pour me mettre à sa hauteur et j'observe le grain de sa peau. Il me fascine et ne peux m'empêcher de le prendre en bouche. Je commence par des petits coups de langue.
Driss se réveille, il ne dormait plus et il s'assoit en tailleur. Ma tête apparemment cachée par son buste monte et descend sur son braquemart. De ses mains, il rythme la fellation. Puis il me couche et me prend en missionnaire.
Pendant les préliminaires, je n'avais pas remarqué qu'un jeune couple s'était installé à côté de nous. Il s'était mis tête bêche et se faisait du bien. La fille au dessus a tendu un bras en ma direction pour saisir un sein puis elle a délaissé son compagnon pour le sucer et m'embrasser fougueusement.
Driss a joui puis nous les avons regardé copuler.
La fille m'a encore attiré à elle pour que je me mette à genoux et que je lui donne ma vulve à lécher. Mon jus et le sperme de Driss coulait dans sa bouche et son cou et apparemment, elle se régalait.
Un cercle de voyeurs s'était formé et se masturbaient. J'ai branlé et sucé les plus belles bites.
Ils ont changé de position, elle s'est mise à quatre pattes pour sucer son amant tandis que Driss la prenait en levrette et ils ont joui tous les deux en elle pendant que les voyeurs l'aspergeaient.
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Bien raconté, j'adore