Les turpitudes de Mauricette 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les turpitudes de Mauricette 2
Les turpitudes de Mauricette 2
Au retour, il me questionne sur ce que nous venons de vivre. Je lui avoue que je suis une oie blanche qui ignore tout de la sexualité mais dès mon installation , la gynéco m'a prescrit la pilule. Peut-être cela m'a libéré des interdits de l'adolescence…
En fait, je me suis laissée faire. Il me demande si je suis prête à aller plus loin. Pourquoi pas, je lui fais confiance.
Il me dit qu'en prison, c'était dur et que les mecs sortent de là avec des scénarios de ouf !
Je lui demande ce que lui a aimé.
Il a aimé que je prenne l'initiative de lui donner ma culotte, de le sucer dans la nature et de m'être laissée faire quand il m'a doigté au fast-food et quand l'autre couple est venu nous rejoindre.
Il me dit qu'il va les recontacter et que la fille est trop bonne. « C'est un canon en manque de grosses bites de black. » selon ses propres termes.
Il me ramène chez moi, prend une douche et repart dans sa cité.
Il m'a dit qu'il vaut mieux que je reste à l'écart pour le moment mais que je ne serai plus ennuyée en allant au collège et qu'Il me téléphonera.
Un soir, effectivement, il m'attend à proximité de la sortie et nous allons chez moi.
Il se montre très doux et câlin, il me masturbe longtemps, prend du gel pour introduire un doigt dans mon anus, le fait tourner puis en ajoute un second. Ses doigts sont longs et assez gros à l'image de sa personne.
Il me demande si je suis vierge de ce côté-là. Il ajoute que les mecs adorent prendre les femmes par derrière . Il me raconte que dans la cité, pour ne pas être enceinte, les gamines se laissent sodomiser dans les tournantes.
Je lui demande des précisions.
Il me raconte que les filles sont très surveillées par les grands frères et les mères mais il arrive parfois que des filles extérieures à la cité tombent amoureuse d'un lascar.
Souvent, elles veulent s'affranchir, transgresser les interdits et se laissent entraîner dans les caves.
Parfois, elles ont flirté avant, de façon poussée, parfois, elles prennent la pilule mais il y a aussi des beurettes qui échappent à la surveillance et se laissent tenter.
Pendant qu'il me doigte, je m'imagine à leur place. Il continue : Parfois, il ne sont que deux ou trois, l'un après l'autre mais il arrive que cela tourne à la partouze avec plus de partenaires.
Bien sûr, elles en ont honte mais certaines s'assument et y reviennent. Cela reste des secrets bien gardés car aucun gars ne veut être accusé de viol.
Au fur et à mesure, mon excitation et la sienne grandissent, je ressens un plaisir physique à cette pénétration mais aussi cérébral.
Il me dit qu'il sait comment me préparer. J'ai pris son sexe dans ma bouche et ce soir là nous avons fait l'amour tranquillement. Il est resté dormir pour la première fois.
Il me dit qu'il me prendra Vendredi pour faire des achats.
Effectivement, il arrive sur son 31. Il a troqué son survêtement blanc à la marque au crocodile contre un pantalon noir et une magnifique chemise blanche. Nous allons d'abord à Pigalle dans une boutique de cuir.
La vendeuse me fait essayer différents modèles de jupes, de bottines et caracos qu'il m'achète ainsi qu'un blouson clouté et même une casquette.
Il sort des liasses de billets de cinquante euros qui représentent pour moi plus de deux mois de salaire.
J'ai l'impression d'être déguisée quand je me retrouve dehors puis nous allons dans une boutique de lingerie.
La vendeuse m'aide à passer des guêpières, des bustiers et autres combinaisons. Elle met la main à la pâte avec beaucoup de conviction sous l'œil attentif de mon amant. Elle me relève systématiquement la poitrine et en profite pour me caresser les seins avant d'ajuster bonnets et bretelles.
Nous sommes dans une pièce qui me semble surchauffée, elle me fait promener tout en me caressant les fesses, le ventre et le dos pour m'aider à me tenir droite et cambrée.
Elle choisit un assortiment de soutien-gorges pigeonnants et des culottes assorties. Elle me fait essayer des collants avec une découpe au niveau du sexe, des bodies sans bonnets, m'aide à attacher les bas en résille sur mes portes jarretelles et combinaisons.
La vendeuse a fermé boutique quand nous sommes encore dans les essayages. Elle commente les avantages de telle ou telle parure et lui demande son avis, elle lui demande souvent de l'aide.
Aucune femme ne peut rester insensible à ces essayages et à ces matières, et aucun hommes bien sûr. Je vois d'ailleurs une énorme bosse sur le devant du pantalon de Driss qui fait beaucoup d'effort pour rester sage.
Driss sort encore une liasse de billets malgré une ristourne importante.
Je demande à Driss s'il a dévalisé une banque, il me répond que son business rapporte gros avec des risques.
« Ça va, ça vient… On ne sait pas ce que demain réserve, autant en profiter. »
Je ressorts avec une culotte échancrée et fendue sous ma mini jupe fendue en cuir. Un top en tulle sous ma veste en cuir complètent mon habillement quand il me fait entrer dans un sex shop.
C'est aussi une première pour moi, j'ai bien un sextoy acheté sur internet mais jamais je n'avais osé franchir le pas.
Ce qui me surprend ce sont les articles fétichistes et le nombre de DVD. Nous parcourons rapidement les rayons.
Il en profite pour acheter des plugs de différentes tailles, du lubrifiant, des pinces pour les seins, une canule pour les lavements, des boules de geishas en acier… et nous choisissons un rosebud.
Il m'explique l'usage de chaque article.
Il est petit, arrondi en pointe, en acier chromé avec un embout étroit et une base large orné d'un bijou bleu ciel. Nous allons dans une cabine pour l'essayer. Il utilise pour cela, du gel lubrifiant. Puis je déambule dans le magasin seulement vêtue de mes bottines et de mon top noir diaphane.
La sensation me surprend, je sens un poids dans mon rectum, j'ai l'impression qu'il va tomber et je serre mes fesses pour le retenir. C'est très excitant, je me sens remplie, exhibée et salope.
Je suis très excitée depuis les essayages.
Dans ce magasin, il y a un sous sol avec des cabines fréquenté par des hommes et une salle de cinéma à l'étage qui diffuse des films hétéros en boucle apparemment fréquentée par des couples.
Il est 21 heures et peu de monde. Je suis curieuse et Driss est mon garde du corps.
Effectivement, il y deux couples dans la cinquantaine qui sont venus s'encanailler et réveiller leur libido. Driss m'emmène au sous-sol : lumière rouge blafarde, murs noirs, les écrans diffusent un peu de lumière. Driss me montre des cabines sans écran percés de trous. Devant mon interrogation, il me fait assoir et ferme la porte. Une verge apparaît puis une autre, il me chuchote de les prendre en mains et de les masturber puis de les sucer. Cela me fait rire et nous ressortons.
Ensuite, nous allons dîner au restaurant et Surprise ! Nous retrouvons le couple de la dernière fois et...la vendeuse de lingerie avec une amie. Ils sont amis et nous avions rendez-vous.
Driss avait bien préparé son coup car je n'était pas dans la confidence.
Le repas est joyeux et arrosé, les deux amies se présentent comme étant bisexuelles. La vendeuse nous apprend qu'elle a été callgirl avant d'acheter son magasin et qu'elle a rencontré son ami dans un tournage X.
Nous la questionnons beaucoup sur ce milieu. Elles nous proposent de boire un dernier verre chez elle et de nous montrer ses vidéos.
A peine dix minutes plus tard, nous sommes avachis dans son salon face à sa télé. Elles sucent une verge et s'embrassent sur l'écran, nous déshabillons nos hommes pour faire la même chose et quand elles voient la mantule de Driss, elles se jettent sur lui. J'embrasse fougueusement mon amant qui en profite pour me doigter.
Je le remercie de porter une culotte fendue, il peut ainsi tout à loisir me fouiller pendant que lui-même se fait pomper le dard par nos deux lesbiennes….
Je porte toujours mon rosebud et ses doigts frottent sur la paroi qui sépare les deux orifices.
A ce moment là, les trois filles se gamahuchent dans un triangle amoureux et j'ai les deux hommes pour moi.
Driss, joue avec le rosebud, il le retire pour le remettre aussitôt tandis l'autre m'a donné sa verge à sucer, il me biffle et me pince les seins tandis que Driss joue avec mon anus. Je me laisse malmener par les deux hommes, je happe la verge qui maintenant utilise ma bouche comme un vagin tandis que je ressens de plus un plus de plaisir dans l'anus.
Driss utilise sa main pour me pénétrer sauvagement mon vagin, il fait des aller retour de plus en plus vite et je jouis brutalement en même temps que mon tourmenteur jouit sur mon visage.
Pendant que je fais un brin de toilette, Driss satisfait les trois femmes à tour de rôle tandis qu'elles continuent à s'embrasser.
Il les besogne longuement en levrette puis en missionnaire. Seules les images du film X éclaire la scène et les râles se mêlent à ceux de l'écran.
Quand il se relève et se masturbe frénétiquement, je m'agenouille à ses pieds pour recevoir son sperme. Je sors la langue et il finit par jouir sur mon front, mon nez et ma bouche. Un peu de sperme coule sur ma poitrine.
Quand j'ouvre la bouche pour le nettoyer, elles se précipitent pour me lécher et recueillir un peu de sa jouissance.
Nous prenons effectivement un dernier verre pour se quitter en promettant de se revoir bientôt.
Driss repart avec l'adresse de metteurs en scène qui recherchent toujours de nouveaux étalons aux dimensions hors normes.
(A suivre )
Au retour, il me questionne sur ce que nous venons de vivre. Je lui avoue que je suis une oie blanche qui ignore tout de la sexualité mais dès mon installation , la gynéco m'a prescrit la pilule. Peut-être cela m'a libéré des interdits de l'adolescence…
En fait, je me suis laissée faire. Il me demande si je suis prête à aller plus loin. Pourquoi pas, je lui fais confiance.
Il me dit qu'en prison, c'était dur et que les mecs sortent de là avec des scénarios de ouf !
Je lui demande ce que lui a aimé.
Il a aimé que je prenne l'initiative de lui donner ma culotte, de le sucer dans la nature et de m'être laissée faire quand il m'a doigté au fast-food et quand l'autre couple est venu nous rejoindre.
Il me dit qu'il va les recontacter et que la fille est trop bonne. « C'est un canon en manque de grosses bites de black. » selon ses propres termes.
Il me ramène chez moi, prend une douche et repart dans sa cité.
Il m'a dit qu'il vaut mieux que je reste à l'écart pour le moment mais que je ne serai plus ennuyée en allant au collège et qu'Il me téléphonera.
Un soir, effectivement, il m'attend à proximité de la sortie et nous allons chez moi.
Il se montre très doux et câlin, il me masturbe longtemps, prend du gel pour introduire un doigt dans mon anus, le fait tourner puis en ajoute un second. Ses doigts sont longs et assez gros à l'image de sa personne.
Il me demande si je suis vierge de ce côté-là. Il ajoute que les mecs adorent prendre les femmes par derrière . Il me raconte que dans la cité, pour ne pas être enceinte, les gamines se laissent sodomiser dans les tournantes.
Je lui demande des précisions.
Il me raconte que les filles sont très surveillées par les grands frères et les mères mais il arrive parfois que des filles extérieures à la cité tombent amoureuse d'un lascar.
Souvent, elles veulent s'affranchir, transgresser les interdits et se laissent entraîner dans les caves.
Parfois, elles ont flirté avant, de façon poussée, parfois, elles prennent la pilule mais il y a aussi des beurettes qui échappent à la surveillance et se laissent tenter.
Pendant qu'il me doigte, je m'imagine à leur place. Il continue : Parfois, il ne sont que deux ou trois, l'un après l'autre mais il arrive que cela tourne à la partouze avec plus de partenaires.
Bien sûr, elles en ont honte mais certaines s'assument et y reviennent. Cela reste des secrets bien gardés car aucun gars ne veut être accusé de viol.
Au fur et à mesure, mon excitation et la sienne grandissent, je ressens un plaisir physique à cette pénétration mais aussi cérébral.
Il me dit qu'il sait comment me préparer. J'ai pris son sexe dans ma bouche et ce soir là nous avons fait l'amour tranquillement. Il est resté dormir pour la première fois.
Il me dit qu'il me prendra Vendredi pour faire des achats.
Effectivement, il arrive sur son 31. Il a troqué son survêtement blanc à la marque au crocodile contre un pantalon noir et une magnifique chemise blanche. Nous allons d'abord à Pigalle dans une boutique de cuir.
La vendeuse me fait essayer différents modèles de jupes, de bottines et caracos qu'il m'achète ainsi qu'un blouson clouté et même une casquette.
Il sort des liasses de billets de cinquante euros qui représentent pour moi plus de deux mois de salaire.
J'ai l'impression d'être déguisée quand je me retrouve dehors puis nous allons dans une boutique de lingerie.
La vendeuse m'aide à passer des guêpières, des bustiers et autres combinaisons. Elle met la main à la pâte avec beaucoup de conviction sous l'œil attentif de mon amant. Elle me relève systématiquement la poitrine et en profite pour me caresser les seins avant d'ajuster bonnets et bretelles.
Nous sommes dans une pièce qui me semble surchauffée, elle me fait promener tout en me caressant les fesses, le ventre et le dos pour m'aider à me tenir droite et cambrée.
Elle choisit un assortiment de soutien-gorges pigeonnants et des culottes assorties. Elle me fait essayer des collants avec une découpe au niveau du sexe, des bodies sans bonnets, m'aide à attacher les bas en résille sur mes portes jarretelles et combinaisons.
La vendeuse a fermé boutique quand nous sommes encore dans les essayages. Elle commente les avantages de telle ou telle parure et lui demande son avis, elle lui demande souvent de l'aide.
Aucune femme ne peut rester insensible à ces essayages et à ces matières, et aucun hommes bien sûr. Je vois d'ailleurs une énorme bosse sur le devant du pantalon de Driss qui fait beaucoup d'effort pour rester sage.
Driss sort encore une liasse de billets malgré une ristourne importante.
Je demande à Driss s'il a dévalisé une banque, il me répond que son business rapporte gros avec des risques.
« Ça va, ça vient… On ne sait pas ce que demain réserve, autant en profiter. »
Je ressorts avec une culotte échancrée et fendue sous ma mini jupe fendue en cuir. Un top en tulle sous ma veste en cuir complètent mon habillement quand il me fait entrer dans un sex shop.
C'est aussi une première pour moi, j'ai bien un sextoy acheté sur internet mais jamais je n'avais osé franchir le pas.
Ce qui me surprend ce sont les articles fétichistes et le nombre de DVD. Nous parcourons rapidement les rayons.
Il en profite pour acheter des plugs de différentes tailles, du lubrifiant, des pinces pour les seins, une canule pour les lavements, des boules de geishas en acier… et nous choisissons un rosebud.
Il m'explique l'usage de chaque article.
Il est petit, arrondi en pointe, en acier chromé avec un embout étroit et une base large orné d'un bijou bleu ciel. Nous allons dans une cabine pour l'essayer. Il utilise pour cela, du gel lubrifiant. Puis je déambule dans le magasin seulement vêtue de mes bottines et de mon top noir diaphane.
La sensation me surprend, je sens un poids dans mon rectum, j'ai l'impression qu'il va tomber et je serre mes fesses pour le retenir. C'est très excitant, je me sens remplie, exhibée et salope.
Je suis très excitée depuis les essayages.
Dans ce magasin, il y a un sous sol avec des cabines fréquenté par des hommes et une salle de cinéma à l'étage qui diffuse des films hétéros en boucle apparemment fréquentée par des couples.
Il est 21 heures et peu de monde. Je suis curieuse et Driss est mon garde du corps.
Effectivement, il y deux couples dans la cinquantaine qui sont venus s'encanailler et réveiller leur libido. Driss m'emmène au sous-sol : lumière rouge blafarde, murs noirs, les écrans diffusent un peu de lumière. Driss me montre des cabines sans écran percés de trous. Devant mon interrogation, il me fait assoir et ferme la porte. Une verge apparaît puis une autre, il me chuchote de les prendre en mains et de les masturber puis de les sucer. Cela me fait rire et nous ressortons.
Ensuite, nous allons dîner au restaurant et Surprise ! Nous retrouvons le couple de la dernière fois et...la vendeuse de lingerie avec une amie. Ils sont amis et nous avions rendez-vous.
Driss avait bien préparé son coup car je n'était pas dans la confidence.
Le repas est joyeux et arrosé, les deux amies se présentent comme étant bisexuelles. La vendeuse nous apprend qu'elle a été callgirl avant d'acheter son magasin et qu'elle a rencontré son ami dans un tournage X.
Nous la questionnons beaucoup sur ce milieu. Elles nous proposent de boire un dernier verre chez elle et de nous montrer ses vidéos.
A peine dix minutes plus tard, nous sommes avachis dans son salon face à sa télé. Elles sucent une verge et s'embrassent sur l'écran, nous déshabillons nos hommes pour faire la même chose et quand elles voient la mantule de Driss, elles se jettent sur lui. J'embrasse fougueusement mon amant qui en profite pour me doigter.
Je le remercie de porter une culotte fendue, il peut ainsi tout à loisir me fouiller pendant que lui-même se fait pomper le dard par nos deux lesbiennes….
Je porte toujours mon rosebud et ses doigts frottent sur la paroi qui sépare les deux orifices.
A ce moment là, les trois filles se gamahuchent dans un triangle amoureux et j'ai les deux hommes pour moi.
Driss, joue avec le rosebud, il le retire pour le remettre aussitôt tandis l'autre m'a donné sa verge à sucer, il me biffle et me pince les seins tandis que Driss joue avec mon anus. Je me laisse malmener par les deux hommes, je happe la verge qui maintenant utilise ma bouche comme un vagin tandis que je ressens de plus un plus de plaisir dans l'anus.
Driss utilise sa main pour me pénétrer sauvagement mon vagin, il fait des aller retour de plus en plus vite et je jouis brutalement en même temps que mon tourmenteur jouit sur mon visage.
Pendant que je fais un brin de toilette, Driss satisfait les trois femmes à tour de rôle tandis qu'elles continuent à s'embrasser.
Il les besogne longuement en levrette puis en missionnaire. Seules les images du film X éclaire la scène et les râles se mêlent à ceux de l'écran.
Quand il se relève et se masturbe frénétiquement, je m'agenouille à ses pieds pour recevoir son sperme. Je sors la langue et il finit par jouir sur mon front, mon nez et ma bouche. Un peu de sperme coule sur ma poitrine.
Quand j'ouvre la bouche pour le nettoyer, elles se précipitent pour me lécher et recueillir un peu de sa jouissance.
Nous prenons effectivement un dernier verre pour se quitter en promettant de se revoir bientôt.
Driss repart avec l'adresse de metteurs en scène qui recherchent toujours de nouveaux étalons aux dimensions hors normes.
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