Les turpitudes de Mauricette 3

- Par l'auteur HDS Sucette -
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Récit libertin : Les turpitudes de Mauricette 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les turpitudes de Mauricette 3
Les turpitudes de Mauricette 3

Le lendemain, nous faisons un brunch puis nous sortons, j'ai toujours le rosebud et il m'a mis les boules de Geishas dans le vagin. Heureusement que j'ai une culotte car je crois que je vais tout perdre. J'ai ma mini en cuir, bottines et tee shirt. Je ne porte rien d'autre. Mes seins bougent librement. Nous faisons les courses dans un supermarché. De temps à autre, furtivement, il saisit un sein, m'embrasse dans le cou ou passe sa main sous ma jupe.
Les boules dans mon vagin s'entrechoquent quand je marche et frottent l'une contre l'autre et sur les parois de mon vagin. Je mouille naturellement et je contracte involontairement mes muscles pelviens pour les faire tenir en place. Cela me demande un effort !. Le rosebud tient tout sol mais appuie sur les billes à moins que ce soit l'inverse. J'ai l'impression de n'être qu'un sexe…
Nous sommes assis au comptoir et c'est une position plus confortable.
Driss me demande mes impressions. Il m'autorise à aller aux toilettes. A mon retour, je lui donne les boules dans ma culotte qui disparaissent dans sa poche.
Il me dit que cela devrait me resserrer et augmenter mon plaisir et le sien. Le rosebud lui, c'est pour mon mental, développer les sensations anales et me rappeler que bientôt il va me sodomiser.
Il me demande si j'aime les filles car hier soir, je n'ai rien fait.
Je lui raconte que si je n ai pas eu de cour masculine, ni frères, ni sœur , j'ai eu des copines de classe. Nous avons souvent joué à s'échanger nos vêtements, se maquiller et se regarder nue. Nous continuons à échanger des confidences :


Je lui ai raconté que j'étais très voyeuse et exhibitionniste en voyant mes copines se changer à la piscine ou au vestiaire. J'ai souvent tenu la porte entrouverte des toilettes sans lumière pour les regarder uriner. Moi-même j' aimais m'exhiber entre deux portières ou derrière un arbre en faisant exprès d'être maladroite en particulier en remontant ma culotte. Il m'est arrivé d'uriner au bord d'un banc dans un parc ou sur la plage simplement en écartant ma culotte. Mes amitiés étaient tendres et chastes mais j'avais beaucoup de fantasmes. J'ai souvent rêvé d'étreintes passionnées, en me réveillant le sexe moite. Je m'imaginais être l'égérie d’une professeure très sévère qui faisait de moi son esclave.
J'aime aussi ces situations troubles, les ruines, les caves et m'imagine la proie de pervers. Attachée à un arbre, fouettée aux orties, exposée nue et aveugle en sentant des mains anonymes me caresser, me fouiller avant de me battre.
Driss m'a parlé de la prison. Il a fait dix huit mois ferme pour une condamnation de quatre ans pour trafic de drogue.
D'abord à Fresnes puis à Fleury.
Au début, une meuf venait régulièrement me voir pour lui apporter du change et des articles de toilettes. Elle lui a aussi apporté un téléphone caché dans son vagin et après pour elle venait pour se faire baiser. Les frères l'ont gâté avant le procès contre son silence ….
Il lui avait demandé de mettre des collants troués sous une robe boutonnées en haut avec un soutif qui s'ouvre par devant.
Dès que le maton a eu le dos tourné, il a baissé son froc et elle est venue s’assoir sur lui, il a ouvert sa robe pour empaumer ses nibards qu’il a malaxé comme un malade. Elle, jambes écartées et debout le branlait pour ensuite s'empaler. Le coït n'a duré que quelques minutes quand il l'a renversé sur la table. Le maton revenait et il a dû interrompre et se rassoir comme si de rien n'était le pantalon a moitié baissé.
De retour en cellule, il était fou de frustration. Il avait déjà transformé son codétenu en lavette. Il faisait son lit et le ménage, il l'a attrapé par le col ce jour là, mis à genoux, il a ouvert la bouche quand il a baissé son jogging aux chevilles sans rien demander , tellement il a eu peur.
Il l'a sucé à fond et il lui a repeint la face.
Ensuite, il en a fait sa petite femme, dès la dernière ronde, il était à genoux par terre, la tête sur son lit, un oreiller par-dessus .
Il le sodomisais vigoureusement, se haïssant au passage pour se venger de lui-même et de la prison. Évidemment personne n'en a rien su. Dans la journée, rien ne transparaissait. Ils avaient même des discussions intéressantes et il cantinait pour lui. C'était un jeune beur tombé pour un trafic de voitures volées. Libéré avant lui, il a dû se contenter de sa main gauche tandis que la meuf s'était évaporée.
Ensuite, l'isolement à Fleury… On gamberge beaucoup, on en ressort violent ou impuissant .

Pour moi aussi, ces années de célibat ont nourri tous mes fantasmes. C'est peut être pour ça que je ne me suis pas mariée comme mes copines. D'ailleurs on m'a demandé plusieurs fois si j'étais lesbienne. Il est vrai que ma tignasse et mon visage disgracieux n'aident pas.
Driss : « Mais tu as un corps de rêve avec des petits seins en poire que j'adore. D'ailleurs j'ai pris rendez-vous avec une coiffeuse pour te faire des mèches et une coiffure branchée.
Tu vas aussi te faire épilée et je voudrais voir avec des tatouages et des anneaux. »

Un mercredi après-midi, on a commencé par l'épilation à la cire chez une esthéticienne maghrébine. Nue, elle commencé par les aisselles, bras et jambes puis elle s'est occupée de mon pubis.
Après avoir passé une lotion apaisante, elle m'a enlevé à la pince à épiler un par un des dizaines de poils récalcitrants particulièrement sur la vulve puis elle s'est occupée de ma raie culière dans les mêmes conditions. Le fait de poser ses doigts de part et d'autre commençait à m'émoustiller.
La séance avait déjà commencé depuis trois quarts d'heure et nous discutions beaucoup de choses et d'autres. C'était un jeune beurette, intéressante et très jolie.
A ce moment-là, elle se rend compte que j'ai toujours mon rosebud ( et rien d'autre heureusement ). Pas gênée du tout, elle m'interroge. Je lui explique que c'est un jouet érotique que m'a offert mon amant pour exciter la zone anale et nous parlons sexualité . Elle a interrompu la séance pour boire un thé parfumé au jasmin.

De fil en aiguille, je lui ai montré mon rosebud qu'elle a pris dans ses mains et qu'elle m'a replacé. Je suis toujours nue et elle me montre ses piercings intimes.
J'avais déjà remarqué qu'elle avait plusieurs petits anneaux en haut des lobes d'oreille, un autre sur les sourcils et la lèvre inférieure.
Elle me montre ce qu'elle a sur chaque tétons et un bijoux au nombril. Elle a écarté les pans de sa blouse. Elle me fait toucher les barrels sur ses tétons érigés. Je remarque aussi qu'elle a plusieurs tatouages.
Je les touche et nos regards se croisent, nos bouches sont très proches et nous nous embrassons.
Elle m'entraine dans une petite pièce de repos sur un tatamis recouvert de tissus éponge. Elle me couche sur le dos, me saupoudre de talc et me caresse sur tout le corps , nos bouches se rejoignent et reprenons là où l'on s'était arrêté, je la goûte, elle a un goût sucré et je retrouve l'odeur du thé au jasmin. Je la mange et l'enserre dans mes bras. Je la déshabille progressivement tandis que sa bouche descend sur mon cou, elle me lèche et me fait des petits suçons, puis elle saisit mes tétons entre ses dents. Elle les mordille et je pousse un cri. Aussitôt, elle m'embrasse pour se faire pardonner.
Mes mains caressent ses fesses mais elle descend et happe mon abricot, sa langue trouve mon clitoris, elle me lape, me goûte, tourne autour. La sensation est terriblement efficace. Je voudrais à mon tour lui rendre la pareille mais elle m'empêche de bouger.
J'arrive à bouger imperceptiblement mon bassin pour accompagner son geste, j'ai les jambes repliées et elle glisse plusieurs doigts dans mon vagin rendu étroit par la présence du rosebud. Elle fait des va et viens en tournant ses doigts puis son poignet. Je jouis soudain et inonde sa main.
Nous restons un long moment allongées et je me relève pour lui rendre la pareille. Je m'arrête en constatant qu'elle a plusieurs anneaux sur ses grandes lèvres et un, orné d'un diamant sur le capuchon du clitoris. J'admire également un magnifique tatouage qui court du dos a son pubis glabre. Je la questionne à ce propos et nous parlons piercing et tatouages.
Elle parle de ses désirs, du plaisir et de la souffrance à l'image de l'ėpilation mais en plus intense et me promet de m'accompagner pour une première fois.
Deux jours plus tard, Driss vient dîner, j'ai prévu un repas aux chandelles,. Nous sommes assis par terre devant la table du salon.
Pour l'occasion, je suis allée chez la coiffeuse et esthéticienne m'a maquillée et posé des faux ongles du plus bel effet.
J'ai les pieds nus gainés de bas attachés aux portes jarretelles et un top noir quasi transparent sous une nuisette qui m'arrive à mi cuisses simplement nouée à la taille.
Des son arrivée, il m'enlace et m'embrasse passionnément. Il se recule pour mesurer tous les changements, il devine mes seins en transparence, admire ma coiffure et mon maquillage, sa main défait le nœud de ma nuisette dont les pans s'écartent et glisse sur ma peau lisse. Il caresse mon mont de venus et glisse un doigt .
Je passe ma main sur la bosse de son pantalon, défait ceinture et j'ouvre son pantalon. Je découvre qu'il a mis un boxer noir transparent qui moule son sexe qui enfin respire. Je le deplie et le replace dans une position plus confortable. Il a un haut de la même matière sous sa veste qui met en valeur sa musculature. Je lui tends la bouteille de champagne pendant que je sors les canapés du four.
Nous entrecroisons nos bras pour boire, il est à genoux pour être à ma hauteur. Et nous continuons à échanger nos amuse gueules. . Nous corsons le jeu en fermant les yeux puis je lui demande de deviner ce que je lui donne a manger. Nous nous amusons comme des fous. Puis nous jouons à « ni non" Chaque erreur est punie d'un verre. Nous éclusons une première bouteille de champagne avec les sushis. Nous avons continué avec des gages au dessert. Driss m’a allongé au sol, nue a l'exception des bas et il m'a recouverte de crème chantilly qui accompagnait les fraises. Évidemment il m'a nettoyé avec sa langue, y compris sur ma vulve. Quand il a eut fini, j'ai attrapé sa verge et je lui ai appliqué le même traitement.
Ensuite, nous avons pris une douche et débarrassé. J'ai ouvert le canapé, Driss s'est approché avec un petit papier où il avait écrit un gage.
‘’ C’est ce soir que je te sodomise"
Je m'y attendais, je m'y étais préparée mentalement et j'en avais très envie. Envie de franchir le pas, envie de lui faire plaisir.


Je me suis allongée sur le ventre. Il a posé ses grosses mains sur mes fesses, m'a caresser puis claquer brutalement. J'ai crié de surprise, il a recommencé puis il a pris du gel lubrifiant sur ses doigts qu'il a enfoncé dans mon vagin. Il a fait quelques aller retour puis il m'a caressé l'anus. Quand l'oeuillet a été bien lubrifié, il a enfoncé un doigt puis un deuxième. Ce traitement a bien duré cinq minutes.
Il a pris un plug noir de trois bon centimètres dans sa partie la plus renflee il m'a demandé de me mettre en position, la tête sur le lit , il a présenté la pointe. J'étais aveugle, seule les sensations me permettaient de comprendre ce qu'il faisait.
Il effectuait des va et viens quand il m'a dit de pousser. J'ai senti l'anneau céder et le plug être en place comme le rosebud.
Puis il l'a enlevé pour aussitôt le remettre. Il a répété plusieurs fois la même chose en rajoutant du gel.
Le plug m'élargissait davantage l'anus et me semblait plus intrusif mais le rosebud étant plus lourd m'apportait une sensation plus forte.
Ensuite, Driss est venu me présenter sa verge pour que je la suce. Ce soir là, j'avais l'impression qu'elle était encore plus grosse.
Cinq minutes après, il a recommencé à enlever le plug mais quand il l'a remis ce n'était plus le plug mais son gland circoncis. Il attendu quelques secondes, s'est retiré et a remis du gel.
Ensuite, j'ai senti l'anaconda me remplir progressivement, je me suis masturbėe très fort au fur et mesure de sa progression. Quand son pubis a touché mes fesses, j'ai compris ce qu'il avait voulu.
Quand il me baisait, sa queue butait sur mon utérus, il ne pouvait pas aller plus loin. Après une dizaine de seconde, il s'est reculé de quelques centimètres pour replonger, j'avais l'impression que mes intestins allaient remonter dans ma bouche. Je me sentais écartelée, empalée est le terme exact.
Driss m'a demandé si ca allait. Comme je ne disais rien, il a reculé complètement pour me réinvestir puis il a accéléré au moins une vingtaine de fois en me claquant les fesses puis il s'est immobilisé et j'ai senti son éjaculation par saccades. J'ai eu du plaisir sans aller à l'orgasme. Il a déculé et nous avons repris une douche. J'ai utilisé la canule pour les lavements tant, il y avait du sperme mélangé au gel et d'autres choses.
Driss était heureux et satisfait du bon déroulement de la soirée. Il a été très tendre. Le lendemain en allant à la selle, j'ai constaté que mon anus avait repris sa tonicité, même pas irrité.
Driss m'a demandé de recommencer dès que possible pour qu'il garde son élasticité et que je trouve autant de plaisir que lui.

Les avis des lecteurs

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Texte coquin : Les turpitudes de Mauricette 3
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