Les turpitudes de Mauricette 5
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les turpitudes de Mauricette 5
Les turpitudes de Mauricette 5
Je suis allée plusieurs fois chez le tatoueur.
Avec Driss, nous avons choisi un magnifique tatouage qui court du cou à mes fesses. Il s’agit d'un dragon ailé qui a demandé beaucoup de séances de 45 minutes.
La sensation est délicieuse entre la piqûre, les doigts en latex sur ma peau, la passivité, l'abandon de soi et le regard de mon amant.
Après chaque séance, je suis excitée, j'ai besoin d'être pénétrée sauvagement pour éteindre le feu en moi.
Le tatoueur participe aussi à nos ébats. Il commence par exiger une fellation. Parfois, il éjacule très vite sur mon visage et ma poitrine mais en général, il me pénètre avec capote et me lime longtemps. Je suce Driss en même temps qui lui préfère me sodomiser.
Il m'enlève le rosebud, me prépare avec du gel. Ses doigts tournent un bon moment, il frotte sur mon clitoris et s'introduit dans mon vagin en même temps. Il effectue des mouvements rapides qui finissent par provoquer un premier orgasme puis il me pénètre brutalement et me pilonne longtemps avant de me remplir.
Le tatoueur prend des photos ou filme en préservant mon anonymat.
Il se masturbe et parfois me pénètre à nouveau quand mon seigneur et maître a déculé.
Pour aller plus vite et pour certains détails, il a fait appel à un ami, expert dans la couleur de certaines parties du dragon.
En plus, c'était des parties sensibles qui étaient concernées : les aréoles de la poitrine, mon pubis.
C'était un homme sans âge, à la peau entièrement tatouée, une barbe hirsute, le crâne rasé, un corps volumineux, musclé. Tout du biker d'Anarchy.
Il officiait tout vêtu de cuir, un gilet sans manche recouvrait sa poitrine.
A la fin de la séance, il enlève une pièce rectangulaire sur le devant de son pantalon et un braquemart turgescent apparaît. John, le tatoueur s'agenouille et lui taille une pipe avant de se faire enculer en même temps qu'il me baise.
Ce jour là, Driss était absent, je ne sais pas s'il aurait participé et de quelle manière.
L'œuvre terminée , il a décidé de m'exhiber dans une soirée libertine dans un établissement chic de la vie bruxelloise.
Nous étions accompagnés de Marie.
En chemin, elle me prépare mentalement car Driss a prévu un scénario où je dois m'exhiber mais aussi sucer un maximum de gars dans une cabine équipée de plusieurs gloryholes en sa compagnie.
Arrivés sur places, une quinzaine de véhicules de luxe sont garés. Nous pénétrons dans ce qui ressemble à une simple discothèque et sommes très bien accueilli avec une bonne coupe de champagne .
En sortant du vestiaire, Marie et moi arborons le même dresscode : mules, bas résille, porte jarretelles, string et gilet en tulle transparent. Moi en bleu, elle en rouge… je suppose que Driss va copier JC Gauthier….
Nous commençons par nous déhancher sur la piste, Marie étant très tactile, elle se frotte constamment à moi, cherche mes lèvres puis nous jouons à la pool dance en multipliant les positions érotiques. Marie qui a de l'expérience ajoute des positions acrobatiques sous les applaudissements des spectateurs.
La mixité est bien respectée, cependant, les hommes sont souvent plus âgés, la gente féminine est plus sexy et parfois très jeunes.
Après ce hors d'œuvres, nous nous sommes installées au bar où l'on nous a offert plusieurs collations.
Driss est arrivé tout de blanc vêtu comme je l'avais pressenti et a entamé un numéro de séduction en jouant sur nos tenues et en prenant l'assistance à témoin.
L'alcool a très vite fait son effet et c'est en riant que nous avons franchis le rideau métallique matérialisant la sex zone.
Driss nous a emmené dans une grande pièce avec un lit rond et des miroirs. Marie s'est jetée sur moi pour m'embrasser furieusement, me caresser et me pénétrer de ses doigts.
J'ai répondu illico à son étreinte, chauffée par les épisodes précédents.
Driss nous filmait avec son téléphone puis est venu pour que toutes les deux nous le sucions.
Marie et moi, nous nous mises tête bèche pour nous gamahucher tandis que Driss, pénétrait l'une ou l'autre.
Il a profité que j'étais dessus pour m'enlever le rosebud et me faire une feuille de rose. Il a salivé et caressé ma rondelle puis il s'est servi du rosebud. Il plaçait la partie la plus large sur mon sphincter et l'enlevait avant de le remettre pour bien me préparer. Il a fait le tour pour que je le prenne en bouche. J'ai beaucoup salivé sur son gourdin d'ébène.
Quand il m'a pénétré, je me suis sentie remplie. Après quelques va et viens, j'ai explosé, Marie me mordant le clitoris et les grandes lèvres.
Driss m'a embrassé et remis le rosebud que j'ai à nouveau accepté malgré une certaine irritation.
En quittant la pièce, j'ai vu que les miroirs étaient sans tain et que nous avions encore fait le spectacle.
Nous avons longé plusieurs couloirs avant de rentrer dans une cabine Marie et moi. Driss lui a confié son téléphone.
A l'intérieur, des tabourets et des trous de différents diamètres à différentes hauteurs sur trois côtés. Marie me fait lire un message sur le téléphone : je dois recevoir dix éjaculations en bouche.
Je peux recracher dans la poubelle mais Marie filme et apporte la preuve. Je peux me faire baiser, je peux branler mais je dois recevoir l'éjaculation dans la bouche.
C'est vrai que j'aime sucer et ceux que j'ai vu dans le sex shop m'ont émoustillé.
La première bite qui apparaît est grosse et noire. C'est Driss assurément et je choisis de l'ignorer. C'est Marie qui entame la fellation. Je la regarde faire. Quelle salope ! Elle y met tout son cœur et il ne va pas tarder à cracher. Elle prend tout en bouche, s'approche et m'embrasse tandis que j'ai commencé à branler deux queues simultanément.
La queue de Driss est toujours en place et elle retourne le nettoyer.
Cela fait maintenant dix minutes que je suce alternativement les deux queues sans succès. Je choisis celui qui a la plus forte érection et le coiffe d'un préservatif. Je m'empale dessus , ce qui est un peu acrobatique mais je suis jeune et souple. Je rentabilise mes années éprouvantes de danse classique….
J'ai effectué une dizaine d'aller retour très jouissif en me frottant le clitoris, j'ôte la capote au moment où il se répand sur mes lèvres, j’ouvre la bouche et récupère son jus . Marie immortalise l'instant.
Plusieurs queues m'attendent, Marie les branle et commence les fellations. Je prend le relais quand l'action est bien avancée. Elle en profite aussi pour se faire baiser. Heureusement, nous sommes bien équipés : gel, capotes, mouchoirs et même une bouteille d'eau….Plusieurs éjaculations m'échappent, le mec jouit sur Marie, par terre alors que je vais le sucer… Au bout d'une heure, mission accomplie.
Finalement, une quinzaine ont pratiqué ma bouche. J'ai l'impression d'avoir les lèvres boursouflées, la bouche insensibilisée, la langue irritée par le sperme. Et une énorme soif malgré la bouteille d'eau qui a servi entre deux clients.
J'ai réalisé mon fantasme, j'y ai pris réellement du plaisir et Driss m'a permis de réaliser ce désir.
Ensuite, nous sommes retournées au bar puis sur la piste de danse.
Driss m'a emmené dans une cabine confortable avec encore des miroirs pour faire l'amour tendrement puis de façon sauvage. Il m'a pilonné comme j'aime avant de se répandre en moi.
Au retour, je me suis endormie à l'arrière dans la voiture et réveillée dans les bras de Marie….
Je suis allée plusieurs fois chez le tatoueur.
Avec Driss, nous avons choisi un magnifique tatouage qui court du cou à mes fesses. Il s’agit d'un dragon ailé qui a demandé beaucoup de séances de 45 minutes.
La sensation est délicieuse entre la piqûre, les doigts en latex sur ma peau, la passivité, l'abandon de soi et le regard de mon amant.
Après chaque séance, je suis excitée, j'ai besoin d'être pénétrée sauvagement pour éteindre le feu en moi.
Le tatoueur participe aussi à nos ébats. Il commence par exiger une fellation. Parfois, il éjacule très vite sur mon visage et ma poitrine mais en général, il me pénètre avec capote et me lime longtemps. Je suce Driss en même temps qui lui préfère me sodomiser.
Il m'enlève le rosebud, me prépare avec du gel. Ses doigts tournent un bon moment, il frotte sur mon clitoris et s'introduit dans mon vagin en même temps. Il effectue des mouvements rapides qui finissent par provoquer un premier orgasme puis il me pénètre brutalement et me pilonne longtemps avant de me remplir.
Le tatoueur prend des photos ou filme en préservant mon anonymat.
Il se masturbe et parfois me pénètre à nouveau quand mon seigneur et maître a déculé.
Pour aller plus vite et pour certains détails, il a fait appel à un ami, expert dans la couleur de certaines parties du dragon.
En plus, c'était des parties sensibles qui étaient concernées : les aréoles de la poitrine, mon pubis.
C'était un homme sans âge, à la peau entièrement tatouée, une barbe hirsute, le crâne rasé, un corps volumineux, musclé. Tout du biker d'Anarchy.
Il officiait tout vêtu de cuir, un gilet sans manche recouvrait sa poitrine.
A la fin de la séance, il enlève une pièce rectangulaire sur le devant de son pantalon et un braquemart turgescent apparaît. John, le tatoueur s'agenouille et lui taille une pipe avant de se faire enculer en même temps qu'il me baise.
Ce jour là, Driss était absent, je ne sais pas s'il aurait participé et de quelle manière.
L'œuvre terminée , il a décidé de m'exhiber dans une soirée libertine dans un établissement chic de la vie bruxelloise.
Nous étions accompagnés de Marie.
En chemin, elle me prépare mentalement car Driss a prévu un scénario où je dois m'exhiber mais aussi sucer un maximum de gars dans une cabine équipée de plusieurs gloryholes en sa compagnie.
Arrivés sur places, une quinzaine de véhicules de luxe sont garés. Nous pénétrons dans ce qui ressemble à une simple discothèque et sommes très bien accueilli avec une bonne coupe de champagne .
En sortant du vestiaire, Marie et moi arborons le même dresscode : mules, bas résille, porte jarretelles, string et gilet en tulle transparent. Moi en bleu, elle en rouge… je suppose que Driss va copier JC Gauthier….
Nous commençons par nous déhancher sur la piste, Marie étant très tactile, elle se frotte constamment à moi, cherche mes lèvres puis nous jouons à la pool dance en multipliant les positions érotiques. Marie qui a de l'expérience ajoute des positions acrobatiques sous les applaudissements des spectateurs.
La mixité est bien respectée, cependant, les hommes sont souvent plus âgés, la gente féminine est plus sexy et parfois très jeunes.
Après ce hors d'œuvres, nous nous sommes installées au bar où l'on nous a offert plusieurs collations.
Driss est arrivé tout de blanc vêtu comme je l'avais pressenti et a entamé un numéro de séduction en jouant sur nos tenues et en prenant l'assistance à témoin.
L'alcool a très vite fait son effet et c'est en riant que nous avons franchis le rideau métallique matérialisant la sex zone.
Driss nous a emmené dans une grande pièce avec un lit rond et des miroirs. Marie s'est jetée sur moi pour m'embrasser furieusement, me caresser et me pénétrer de ses doigts.
J'ai répondu illico à son étreinte, chauffée par les épisodes précédents.
Driss nous filmait avec son téléphone puis est venu pour que toutes les deux nous le sucions.
Marie et moi, nous nous mises tête bèche pour nous gamahucher tandis que Driss, pénétrait l'une ou l'autre.
Il a profité que j'étais dessus pour m'enlever le rosebud et me faire une feuille de rose. Il a salivé et caressé ma rondelle puis il s'est servi du rosebud. Il plaçait la partie la plus large sur mon sphincter et l'enlevait avant de le remettre pour bien me préparer. Il a fait le tour pour que je le prenne en bouche. J'ai beaucoup salivé sur son gourdin d'ébène.
Quand il m'a pénétré, je me suis sentie remplie. Après quelques va et viens, j'ai explosé, Marie me mordant le clitoris et les grandes lèvres.
Driss m'a embrassé et remis le rosebud que j'ai à nouveau accepté malgré une certaine irritation.
En quittant la pièce, j'ai vu que les miroirs étaient sans tain et que nous avions encore fait le spectacle.
Nous avons longé plusieurs couloirs avant de rentrer dans une cabine Marie et moi. Driss lui a confié son téléphone.
A l'intérieur, des tabourets et des trous de différents diamètres à différentes hauteurs sur trois côtés. Marie me fait lire un message sur le téléphone : je dois recevoir dix éjaculations en bouche.
Je peux recracher dans la poubelle mais Marie filme et apporte la preuve. Je peux me faire baiser, je peux branler mais je dois recevoir l'éjaculation dans la bouche.
C'est vrai que j'aime sucer et ceux que j'ai vu dans le sex shop m'ont émoustillé.
La première bite qui apparaît est grosse et noire. C'est Driss assurément et je choisis de l'ignorer. C'est Marie qui entame la fellation. Je la regarde faire. Quelle salope ! Elle y met tout son cœur et il ne va pas tarder à cracher. Elle prend tout en bouche, s'approche et m'embrasse tandis que j'ai commencé à branler deux queues simultanément.
La queue de Driss est toujours en place et elle retourne le nettoyer.
Cela fait maintenant dix minutes que je suce alternativement les deux queues sans succès. Je choisis celui qui a la plus forte érection et le coiffe d'un préservatif. Je m'empale dessus , ce qui est un peu acrobatique mais je suis jeune et souple. Je rentabilise mes années éprouvantes de danse classique….
J'ai effectué une dizaine d'aller retour très jouissif en me frottant le clitoris, j'ôte la capote au moment où il se répand sur mes lèvres, j’ouvre la bouche et récupère son jus . Marie immortalise l'instant.
Plusieurs queues m'attendent, Marie les branle et commence les fellations. Je prend le relais quand l'action est bien avancée. Elle en profite aussi pour se faire baiser. Heureusement, nous sommes bien équipés : gel, capotes, mouchoirs et même une bouteille d'eau….Plusieurs éjaculations m'échappent, le mec jouit sur Marie, par terre alors que je vais le sucer… Au bout d'une heure, mission accomplie.
Finalement, une quinzaine ont pratiqué ma bouche. J'ai l'impression d'avoir les lèvres boursouflées, la bouche insensibilisée, la langue irritée par le sperme. Et une énorme soif malgré la bouteille d'eau qui a servi entre deux clients.
J'ai réalisé mon fantasme, j'y ai pris réellement du plaisir et Driss m'a permis de réaliser ce désir.
Ensuite, nous sommes retournées au bar puis sur la piste de danse.
Driss m'a emmené dans une cabine confortable avec encore des miroirs pour faire l'amour tendrement puis de façon sauvage. Il m'a pilonné comme j'aime avant de se répandre en moi.
Au retour, je me suis endormie à l'arrière dans la voiture et réveillée dans les bras de Marie….
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