Les vacances 11: Le retour de mon infirmière, mon cousin rentre dans la danse
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2018 dans la catégorie Plus on est
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Les vacances 11: Le retour de mon infirmière, mon cousin rentre dans la danse
Aujourd’hui Marie Anne reprend son travail, je suis tout excité à l’idée de la retrouver. Je ne me suis pas ennuyé pendant ces quelques jours mais je suis bien content de la retrouver. Surtout que depuis ce matin je suis seul, mon cousin est allé signé un contrat avec l’homme qu’il est allé rejoindre pendant le week end. Je me demande bien ce que mon infirmière me réserve pour aujourd’hui!
Depuis ce matin je n’arrête pas de bander en pensant à elle et moi seul dans cette grande maison. Pour passer le temps, je sors mon ordinateur et j’écris mes dernières aventures pour les partager avec vous. Ca fait, je ne sais combien de temps que je tape sur mon clavier quand j’entends une voiture se garer devant la maison.
Je ne finis même pas ma phrase et range tout, dans mon caleçon je pince ma queue pour débander. Quand elle sonne, je suis derrière la porte et lui ouvre directement. Marie Anne n’a pas l’air aussi joyeuse que d’habitude alors je lui propose de boire quelque chose pour faire une pause et savoir ce qui ne va pas. Elle accepte et ayant pitié de moi c’est elle qui prépare le café.
Je brise le silence en lui demandant comment se sont passés ces derniers jours. Je commence à voir ses yeux se remplir de larmes. Je lui tends un mouchoir et lui attrape sa main de libre que je sers plutôt fortement pour lui faire comprendre que je la soutiens. Apres s’être un peu calmé, elle me raconte que sa mère est malade. Heureusement elle a été pris en charge rapidement mais le traitement va être lourd.
Je la laisse parler pour qu’elle vide son sac et j’essaye de la réconforter au maximum, Je vais même jusqu’à dire des conneries pour essayer de la faire sourire. Ca marche mais seulement de temps en temps, au bout d’un moment de silence elle change de sujet et me dit:« Alors comment ça s’est passé avec Delphine? »C’est l’infirmière qu’elle m’a envoyé en son absence. Je lui caresse le dos et lui répond:« Efficace, mais je préfère quand tu t’occupes de moi… »
Elle me sourit et se lève en déclamant:« On papote mais on a d’autre chose à faire. »Et elle pousse mon fauteuil roulant jusque dans la chambre. Je monte tout seul sur le lit et mon infirmière s’occupe directement de mon pansement. La plaie se referme bien, il n’y a pas de signe d’infection. Elle protège ma blessure pour que nous fassions ma douche.
Elle m’aide à enlever mon caleçon, mais sans aucune sensualité, pendant que l’eau chauffe. Puis elle se déshabille à son tour mais garde ses sous vêtements. Le tabouret qu’avez installé Laurent est toujours là alors je l’utilise et je commence à me rincer. Anne Marie se rapproche et me savonne, j’essaye de lui caresser le corps mais elle se dégage. A ma troisième tentatives elle me dit:« Je ne suis pas trop d’humeur aujourd’hui! »
Après un moment d’hésitation je la colle contre moi, sa petite tenue se mouille rapidement et je l’embrasse à pleine bouche. Quand nos lèvres se décolle je lui dit que de penser à autre chose pourrait lui faire du bien mais elle recule quand même et reprend son travail comme si de rien était. Je me laisse faire et une fois que je suis sec je roule tout seul jusqu’à la chambre.
Je tire un caleçon propre et en l’attendant je m’allonge sur mon lit pour qu’elle refasse mon pansement. Je l’attends pendant quelques minutes qui me semble une éternité. Quand elle revient elle est uniquement entourée d’une serviette, attachée au dessus de la poitrine, elle tient ses habits dans une main et je devine qu’elle a mis son soutien gorge et sa culotte à sécher. Sans un mot elle se dirige directement vers ma jambe et me soigne.
Une fois qu’elle a fini elle remonte vers ma tête en laissant ses doigts sur ma peau qui suivent le mouvement du reste de son corps. Ca m’électrise et je commence à bander, une fois à ma hauteur j’attrape son bras et la fais se pencher vers moi pour de nouveau l’embrasser à pleine bouche. Quand je libère sa main je pose la mienne à l’intérieure de ses cuisses nues et je commence à la caresser tout doucement.
Alors que nos langues dansent serrées l’une contre l’autre, ma main atteint son mont de Venus qui a commencé à liquéfier. Avec mes doigts de libre je remonte le long de son bras pour ensuite caresser sa belle crinière et collé encore plus son visage contre le mien. Elle est tellement ouverte que j’introduis facilement mon index entre ses lèvres intimes très vite suivi par mon majeur.
Au bout de quelques minutes, alors que nos bouches sont toujours scellées, Marie Anne fait tomber sa serviette et monte sur moi. Elle se position pour que ses grandes lèvres enlacent ma bite tendue et commence à se frotter dessus. Je pose mes mains sur son dos et la caresse au même rythme que ses mouvements. Elle mouille tellement que je sens son nectar dégouliner sur le côté de mes cuisses.
Mon infirmière prend appui sur mes épaules et s’assoie bien droite sur moi pour augmenter la pression entre nos deux sexes. J’en profite pour malaxer ses seins, plus je pince ses tétons plus elle gémit. Au bout de quelques minutes je n’en peux plus, je l’attrape par sous les bras et je la fait remonter pour que sa poitrine soit au niveau de ma tête.
Elle se penche sur moi et j’accueille une partie de son sein gauche dans ma bouche, ce qui devrait permettre à ma bite de se calmer. Alors que je mordille son téton droit, ma main descend vers son entrejambe et je la pénètre directement avec deux doigts. Ils entrent et sortent dans sa grotte pendant un moment puis je les fais tournoyer en elle, mon infirmière piaille de plus en plus fort. Je me concentre à fond sur son corps quand j’entends un drôle de bruit.
J’arrête tout et lui demande de faire du silence, à part nos respirations haletantes nous n’entendons rien. J’attends encore un peu et quand je me dis que j’ai rêver je replonge mon visage dans sa poitrine et mes doigts dans sa chatte. Mais mon infirmière fait coulisser son corps pour remplacer ma main par ma queue.
Elle s’empale directement sur moi et commence à me chevaucher vigoureusement. J’attrape ses seins que je malaxe au rythme des mouvements de son bassin quand je remarque mon cousin Stéphane qui nous observe depuis la porte. Je continue de la baiser comme si je ne l’avais pas vu mais je plaque le corps de mon infirmière contre le mien pour donner une meilleure vue à mon cousin de ma queue qui coulisse entre les lèvres intimes de son ex.
J’essaye de jeter des petits coups d’oeil discret pour voir s’il se caresse toujours au dessus de son pantalon ou a enfin sorti sa queue mais il comprend que je l’ai vu et me sourit. Je la lime sans m’arrêter pour lui faire comprendre que sa présence ne me gêne pas, au contraire mais c’est un message plus compliqué à faire passer. Je commence à lécher l’oreille de Marie Anne quand je sens ma queue quitter sa grotte.
Mon infirmière se redresse, empoigne ma queue pour la placer à l’entrée de son trou et quand je m’enfonce en elle je sens que c’est plus serré. Je comprends tout de suite que je me glisse dans ses entrailles et je l’aide avec des petites secousses inutiles vu comme elle est ouverte aussi de ce côté. Une fois que ses fesses sont sur mes cuisses et ma bite entièrement entre dans ses entrailles, mon infirmière prend appuie sur mon torse et commence à se soulever.
Quand le replis de mon champignon tape l’intérieure de son ourlet, elle se laisse retomber sur moi et m’enfonce en elle d’un coup sec. Je jette un coup d’oeil vers Stéphane, il n’a toujours pas sorti sa bite mais sa main est dans son caleçon et vu ses mouvements, il se branle allègrement. Marie continue ses montées et descentes le long de ma tige mais au bout d’un moment je l’attrape par la taille et me plante totalement en elle.
Je plaque une main sur son dos et la fais se pencher sur moi pour l’embrasser alors que mon pieu est toujours planté dans son cul. Pendant que je lèche ses lèvres avant de rentrer ma langue dans sa bouche je vais signe à mon cousin de s’approcher. Je décolle mon visage de celui de ma belle pour voir ce que fais Stéphane.
Il est en slip blanc duquel dépasse un gland calotté mais retire sinon il ne porte rien d’autre. Marie Anne en profite pour recommencer à me chevaucher ardemment. Quand je vois mon cousin approcher, enfin complètement nu, avec sa bite bien raide en haut de ses jambes (il est un peu moins bien monté que moi mais ses couilles semblent extrêmement pleines), je plaque mon infirmière vers moi et lui dit à l’oreille mais assez fort pour être entendu par notre hôte:« Nous ne sommes plus seuls. »
Alors qu’elle continue à soulever et rabaisser son bassin, je vois à sa tête qu’elle ne comprend pas alors de façon tout aussi audible j’ajoute:« C’est la main de Stéphane que tu vas sentir! » Je ne sais pas quelle partie de son corps il touche mais ça la fait tressaillir et encore plus s’exciter sur ma tige.
Elle bouge tellement qu’elle me fait déculer, j’essaye de rentrer en elle tout seul mais j’ai du mal. Une main empoigne ma queue mais ce n’est pas celle de mon infirmière puisqu’elle prend toujours appui sur mon torse. Je n’en reviens pas de mon cousin qui avait honte de me remettre mon caleçon. Par contre quand je rentre dans le trou, vu comme il est mouillé, chaud et ouvert je réalise qu’il m’a fait retourner dans la chatte de Marie Anne.
Elle commence à monter et descendre mais rapidement Stéphane l’a fait s’immobiliser et se pencher sur moi. Je sens le gland de mon cousin se poser contre la base de mon sexe puis remonter doucement. Les lèvres intimes de mon infirmière préfère s’ouvrent pour aussi accueillir son ex en elle. Je sens sa queue gorgée de sang remonter le long de la mienne et mon plaisir monter crescendo. A chaque centimètre que Stéphane insère en elle, Marie Anne gémit de plus belle et je la stimule encore plus en glissant mes mains entre nos corps pour m’occuper de ses seins.
Je commence aussi à, de plus en plus, manifester mon plaisir à force de sentir la bite de Stéphane frotter directement la mienne. Nous partageons déjà sa maison mais je ne pensais pas que nous serions aussi colocataire dans la moule de Marie Anne. Je reste bien planté en elle alors que mon cousin commence à s’agiter contre moi dans la grotte trempée de son ex.
Notre proie ne gémit plus mais hurle son plaisir, heureusement que les premiers voisins sont assez loin. Au bout de seulement quelques minutes je sens la chatte de Marie Anne se contracter et encore plus presser nos deux queues l’une contre l’autre. Stéphane s’excite de plus en plus en elle mais je fais aussi des petits mouvements pour bien stimuler son point G.
Quand les hurlements de madame diminuent, nos allers retours en elle se calme aussi. Elle demande rapidement à mon cousin de ressortir pour en avoir plus qu’une dans chaque trou. Je profite d’avoir encore sa bite contre moi avant de me retrouver seul dans cette chatte bien élargie.
Une fois sorti Stéphane badigeonne de mouille la rondelle de Marie Anne, je sens régulièrement son gland taper le bas de ma queue qui va et vient en elle. Quand je sens qu’il arrête ses mouvement et qu’il doit commencer à la sodomiser, je me plante bien en elle pour le laisser rentrer tranquillement. Sa grotte qui a été un peu trop ouverte par nos sexes et entrain de se resserrer autour de moi alors que mon cousin envahit ses entrailles.
Je ne le sens pas aussi bien que tout à l’heure à frotter ma queue mais le plaisir et quand même là, malgré la membrane qui nous sépare maintenant. Une fois qu’il est bien au fond nous restons un moment les deux plantés en elle. Je contracte les muscles de ma queue pour bouger en elle ce qui la fait encore plus gémir.
Comme mon cousin ne bouge toujours pas je commence des petits mouvements de vas et vient en elle. Il suit rapidement mon rythme en déculant pendant que je m’enfonce et envahissant le cul de Marie Anne pendant que je libère sa grotte. Nous la baisons comme ça à différents rythmes, mais toujours en harmonie, jusqu’à lui faire avoir un nouvel orgasme tout aussi sonore que le précédent.
Une fois qu’elle redescend de son nuage alors que nous la limons toujours à bonne cadence, elle nous demande d’arrêter. Quand elle se soulève de moi elle ajoute:« Vous m’avez démoli je n’en peux plus. » Elle empoigne ma bite et à l’aide de sa mouille commence à me branler alors qu’elle s’agenouille devant mon cousin pour le sucer.
Vu ma position je n’arrive pas à regarder le spectacle alors je m’allonge bien et ferme les yeux pour profiter au maximum des sensations. Au bout d’un moment je sens la main de mon infirmière être accompagné par ses lèvres dans ses mouvements. J’ouvre les yeux et soulève la tête pour admirer ma suceuse mais je découvre que je suis dans la bouche de mon cousin.
Vu comme il me pompe je comprends rapidement que ce n’est pas sa première pipe. Bien que je lui remplisse la bouche, il gémit de plus en plus en se vidant dans la bouche de Marie Anne. Quand elle se soulève, elle n’a pas l’air si étonné de voir son ex me sucer. Elle remonte vers moi pour m’embrasser et partager le jus de mon cousin que j’avale tout en lâchant plusieurs bonnes giclées dans la bouche de Stéphane.
Une fois que nos lèvres se décollent, mon infirmière par rejoindre Stéphane pour partager avec lui mon sperme. Je dois dire que de les voir s’embrasser en imaginant ma semence passer d’une bouche à l’autre m’excite bien. Je me remets immédiatement à bander et m’assois pour me rapprocher d’eux.
Quand mon infirmière voit mon érection, elle se recule et nous dit:« Désolée mais je n’ai pas le temps de remettre le couvert. »Et elle disparait dans la salle de bain. Je me retrouve nu en face de mon cousin, nous avons chacun le gout du sperme de l’autre dans notre bouche. Je dois dire que cette situation atypique ne m’aide pas à calmer mon excitation et apparement pas non plus celle de mon cousin.
Quand Marie Anne réapparaît, elle est habillée. Je ne sais pas si elle remarque notre pseudo gêne mais elle voit tout de suite nos érections. Elle s’approche de nous, m’embrasse sur la joue en caressant ma bite, elle fait la même chose avec mon cousin et juste avant de disparaitre nous dit:« Mais apparement vous n’avez pas besoin de moi pour vous amuser! »
Dès que nous entendons la porte d’entrée claquée, Stéphane me replace au lit et monte sur moi en 69. J’accueille avec plaisir sa queue alors que lui me gobe immédiatement en me massant les couilles. J’ai un peu du mal à bien le sucer alors je décide de lui masser la rondelle, j’ai surtout l’intention de voir si ses entrailles semblent vierge ou pas.
Vu comme mon majeur le pénètre facilement je ne pense pas que ça soit le cas. Mes lèvres sont fermées sur son frein alors que ma langue s’occupe de son gland pendant que je le sodomise maintenant à deux doigts. Je rentre mes doigts tellement profondément en lui que je tape à chaque fois sa prostate ce qui le fait jouir assez rapidement.
Nous restons dans cette position quelques minutes après que je me sois, de nouveau, vidé dans sa bouche. Cette fois j’ai lâché moins de jus mais mon orgasme a été tout aussi intense. Il recrache ma bite, je fais pareil avec la sienne et il se retourne pour que nous mélangions ensemble nos jus. J’ai fantasmé pendant des années sur mon cousin mais jamais je ne pensais l’embrasser de cette façon.
Quand nos lèvres se séparent il roule et s’allonge nu sur ma droite. Il vient se blottir contre moi, j’ouvre mes bras pour l’accueillir et bien qu’il ne soit pas encore 20 heures il part immédiatement rejoindre Morphée. Je m’endors lentement en me disant que je ne passe pas du tout les vacances que j’imaginais mais ce n’est pas plus mal.
Je me réveille un moment plus tard, Stéphane est maintenant sur le dos et dort toujours. J’admire un moment ses fesses que je convoitise depuis tant d’année mais je ne peux m’empêcher de me demander comment va se dérouler la suite de mon séjour mais aussi comment va réagir mon infirmière à notre prochain rendez vous suite à ce trio bi inattendu…
Depuis ce matin je n’arrête pas de bander en pensant à elle et moi seul dans cette grande maison. Pour passer le temps, je sors mon ordinateur et j’écris mes dernières aventures pour les partager avec vous. Ca fait, je ne sais combien de temps que je tape sur mon clavier quand j’entends une voiture se garer devant la maison.
Je ne finis même pas ma phrase et range tout, dans mon caleçon je pince ma queue pour débander. Quand elle sonne, je suis derrière la porte et lui ouvre directement. Marie Anne n’a pas l’air aussi joyeuse que d’habitude alors je lui propose de boire quelque chose pour faire une pause et savoir ce qui ne va pas. Elle accepte et ayant pitié de moi c’est elle qui prépare le café.
Je brise le silence en lui demandant comment se sont passés ces derniers jours. Je commence à voir ses yeux se remplir de larmes. Je lui tends un mouchoir et lui attrape sa main de libre que je sers plutôt fortement pour lui faire comprendre que je la soutiens. Apres s’être un peu calmé, elle me raconte que sa mère est malade. Heureusement elle a été pris en charge rapidement mais le traitement va être lourd.
Je la laisse parler pour qu’elle vide son sac et j’essaye de la réconforter au maximum, Je vais même jusqu’à dire des conneries pour essayer de la faire sourire. Ca marche mais seulement de temps en temps, au bout d’un moment de silence elle change de sujet et me dit:« Alors comment ça s’est passé avec Delphine? »C’est l’infirmière qu’elle m’a envoyé en son absence. Je lui caresse le dos et lui répond:« Efficace, mais je préfère quand tu t’occupes de moi… »
Elle me sourit et se lève en déclamant:« On papote mais on a d’autre chose à faire. »Et elle pousse mon fauteuil roulant jusque dans la chambre. Je monte tout seul sur le lit et mon infirmière s’occupe directement de mon pansement. La plaie se referme bien, il n’y a pas de signe d’infection. Elle protège ma blessure pour que nous fassions ma douche.
Elle m’aide à enlever mon caleçon, mais sans aucune sensualité, pendant que l’eau chauffe. Puis elle se déshabille à son tour mais garde ses sous vêtements. Le tabouret qu’avez installé Laurent est toujours là alors je l’utilise et je commence à me rincer. Anne Marie se rapproche et me savonne, j’essaye de lui caresser le corps mais elle se dégage. A ma troisième tentatives elle me dit:« Je ne suis pas trop d’humeur aujourd’hui! »
Après un moment d’hésitation je la colle contre moi, sa petite tenue se mouille rapidement et je l’embrasse à pleine bouche. Quand nos lèvres se décolle je lui dit que de penser à autre chose pourrait lui faire du bien mais elle recule quand même et reprend son travail comme si de rien était. Je me laisse faire et une fois que je suis sec je roule tout seul jusqu’à la chambre.
Je tire un caleçon propre et en l’attendant je m’allonge sur mon lit pour qu’elle refasse mon pansement. Je l’attends pendant quelques minutes qui me semble une éternité. Quand elle revient elle est uniquement entourée d’une serviette, attachée au dessus de la poitrine, elle tient ses habits dans une main et je devine qu’elle a mis son soutien gorge et sa culotte à sécher. Sans un mot elle se dirige directement vers ma jambe et me soigne.
Une fois qu’elle a fini elle remonte vers ma tête en laissant ses doigts sur ma peau qui suivent le mouvement du reste de son corps. Ca m’électrise et je commence à bander, une fois à ma hauteur j’attrape son bras et la fais se pencher vers moi pour de nouveau l’embrasser à pleine bouche. Quand je libère sa main je pose la mienne à l’intérieure de ses cuisses nues et je commence à la caresser tout doucement.
Alors que nos langues dansent serrées l’une contre l’autre, ma main atteint son mont de Venus qui a commencé à liquéfier. Avec mes doigts de libre je remonte le long de son bras pour ensuite caresser sa belle crinière et collé encore plus son visage contre le mien. Elle est tellement ouverte que j’introduis facilement mon index entre ses lèvres intimes très vite suivi par mon majeur.
Au bout de quelques minutes, alors que nos bouches sont toujours scellées, Marie Anne fait tomber sa serviette et monte sur moi. Elle se position pour que ses grandes lèvres enlacent ma bite tendue et commence à se frotter dessus. Je pose mes mains sur son dos et la caresse au même rythme que ses mouvements. Elle mouille tellement que je sens son nectar dégouliner sur le côté de mes cuisses.
Mon infirmière prend appui sur mes épaules et s’assoie bien droite sur moi pour augmenter la pression entre nos deux sexes. J’en profite pour malaxer ses seins, plus je pince ses tétons plus elle gémit. Au bout de quelques minutes je n’en peux plus, je l’attrape par sous les bras et je la fait remonter pour que sa poitrine soit au niveau de ma tête.
Elle se penche sur moi et j’accueille une partie de son sein gauche dans ma bouche, ce qui devrait permettre à ma bite de se calmer. Alors que je mordille son téton droit, ma main descend vers son entrejambe et je la pénètre directement avec deux doigts. Ils entrent et sortent dans sa grotte pendant un moment puis je les fais tournoyer en elle, mon infirmière piaille de plus en plus fort. Je me concentre à fond sur son corps quand j’entends un drôle de bruit.
J’arrête tout et lui demande de faire du silence, à part nos respirations haletantes nous n’entendons rien. J’attends encore un peu et quand je me dis que j’ai rêver je replonge mon visage dans sa poitrine et mes doigts dans sa chatte. Mais mon infirmière fait coulisser son corps pour remplacer ma main par ma queue.
Elle s’empale directement sur moi et commence à me chevaucher vigoureusement. J’attrape ses seins que je malaxe au rythme des mouvements de son bassin quand je remarque mon cousin Stéphane qui nous observe depuis la porte. Je continue de la baiser comme si je ne l’avais pas vu mais je plaque le corps de mon infirmière contre le mien pour donner une meilleure vue à mon cousin de ma queue qui coulisse entre les lèvres intimes de son ex.
J’essaye de jeter des petits coups d’oeil discret pour voir s’il se caresse toujours au dessus de son pantalon ou a enfin sorti sa queue mais il comprend que je l’ai vu et me sourit. Je la lime sans m’arrêter pour lui faire comprendre que sa présence ne me gêne pas, au contraire mais c’est un message plus compliqué à faire passer. Je commence à lécher l’oreille de Marie Anne quand je sens ma queue quitter sa grotte.
Mon infirmière se redresse, empoigne ma queue pour la placer à l’entrée de son trou et quand je m’enfonce en elle je sens que c’est plus serré. Je comprends tout de suite que je me glisse dans ses entrailles et je l’aide avec des petites secousses inutiles vu comme elle est ouverte aussi de ce côté. Une fois que ses fesses sont sur mes cuisses et ma bite entièrement entre dans ses entrailles, mon infirmière prend appuie sur mon torse et commence à se soulever.
Quand le replis de mon champignon tape l’intérieure de son ourlet, elle se laisse retomber sur moi et m’enfonce en elle d’un coup sec. Je jette un coup d’oeil vers Stéphane, il n’a toujours pas sorti sa bite mais sa main est dans son caleçon et vu ses mouvements, il se branle allègrement. Marie continue ses montées et descentes le long de ma tige mais au bout d’un moment je l’attrape par la taille et me plante totalement en elle.
Je plaque une main sur son dos et la fais se pencher sur moi pour l’embrasser alors que mon pieu est toujours planté dans son cul. Pendant que je lèche ses lèvres avant de rentrer ma langue dans sa bouche je vais signe à mon cousin de s’approcher. Je décolle mon visage de celui de ma belle pour voir ce que fais Stéphane.
Il est en slip blanc duquel dépasse un gland calotté mais retire sinon il ne porte rien d’autre. Marie Anne en profite pour recommencer à me chevaucher ardemment. Quand je vois mon cousin approcher, enfin complètement nu, avec sa bite bien raide en haut de ses jambes (il est un peu moins bien monté que moi mais ses couilles semblent extrêmement pleines), je plaque mon infirmière vers moi et lui dit à l’oreille mais assez fort pour être entendu par notre hôte:« Nous ne sommes plus seuls. »
Alors qu’elle continue à soulever et rabaisser son bassin, je vois à sa tête qu’elle ne comprend pas alors de façon tout aussi audible j’ajoute:« C’est la main de Stéphane que tu vas sentir! » Je ne sais pas quelle partie de son corps il touche mais ça la fait tressaillir et encore plus s’exciter sur ma tige.
Elle bouge tellement qu’elle me fait déculer, j’essaye de rentrer en elle tout seul mais j’ai du mal. Une main empoigne ma queue mais ce n’est pas celle de mon infirmière puisqu’elle prend toujours appui sur mon torse. Je n’en reviens pas de mon cousin qui avait honte de me remettre mon caleçon. Par contre quand je rentre dans le trou, vu comme il est mouillé, chaud et ouvert je réalise qu’il m’a fait retourner dans la chatte de Marie Anne.
Elle commence à monter et descendre mais rapidement Stéphane l’a fait s’immobiliser et se pencher sur moi. Je sens le gland de mon cousin se poser contre la base de mon sexe puis remonter doucement. Les lèvres intimes de mon infirmière préfère s’ouvrent pour aussi accueillir son ex en elle. Je sens sa queue gorgée de sang remonter le long de la mienne et mon plaisir monter crescendo. A chaque centimètre que Stéphane insère en elle, Marie Anne gémit de plus belle et je la stimule encore plus en glissant mes mains entre nos corps pour m’occuper de ses seins.
Je commence aussi à, de plus en plus, manifester mon plaisir à force de sentir la bite de Stéphane frotter directement la mienne. Nous partageons déjà sa maison mais je ne pensais pas que nous serions aussi colocataire dans la moule de Marie Anne. Je reste bien planté en elle alors que mon cousin commence à s’agiter contre moi dans la grotte trempée de son ex.
Notre proie ne gémit plus mais hurle son plaisir, heureusement que les premiers voisins sont assez loin. Au bout de seulement quelques minutes je sens la chatte de Marie Anne se contracter et encore plus presser nos deux queues l’une contre l’autre. Stéphane s’excite de plus en plus en elle mais je fais aussi des petits mouvements pour bien stimuler son point G.
Quand les hurlements de madame diminuent, nos allers retours en elle se calme aussi. Elle demande rapidement à mon cousin de ressortir pour en avoir plus qu’une dans chaque trou. Je profite d’avoir encore sa bite contre moi avant de me retrouver seul dans cette chatte bien élargie.
Une fois sorti Stéphane badigeonne de mouille la rondelle de Marie Anne, je sens régulièrement son gland taper le bas de ma queue qui va et vient en elle. Quand je sens qu’il arrête ses mouvement et qu’il doit commencer à la sodomiser, je me plante bien en elle pour le laisser rentrer tranquillement. Sa grotte qui a été un peu trop ouverte par nos sexes et entrain de se resserrer autour de moi alors que mon cousin envahit ses entrailles.
Je ne le sens pas aussi bien que tout à l’heure à frotter ma queue mais le plaisir et quand même là, malgré la membrane qui nous sépare maintenant. Une fois qu’il est bien au fond nous restons un moment les deux plantés en elle. Je contracte les muscles de ma queue pour bouger en elle ce qui la fait encore plus gémir.
Comme mon cousin ne bouge toujours pas je commence des petits mouvements de vas et vient en elle. Il suit rapidement mon rythme en déculant pendant que je m’enfonce et envahissant le cul de Marie Anne pendant que je libère sa grotte. Nous la baisons comme ça à différents rythmes, mais toujours en harmonie, jusqu’à lui faire avoir un nouvel orgasme tout aussi sonore que le précédent.
Une fois qu’elle redescend de son nuage alors que nous la limons toujours à bonne cadence, elle nous demande d’arrêter. Quand elle se soulève de moi elle ajoute:« Vous m’avez démoli je n’en peux plus. » Elle empoigne ma bite et à l’aide de sa mouille commence à me branler alors qu’elle s’agenouille devant mon cousin pour le sucer.
Vu ma position je n’arrive pas à regarder le spectacle alors je m’allonge bien et ferme les yeux pour profiter au maximum des sensations. Au bout d’un moment je sens la main de mon infirmière être accompagné par ses lèvres dans ses mouvements. J’ouvre les yeux et soulève la tête pour admirer ma suceuse mais je découvre que je suis dans la bouche de mon cousin.
Vu comme il me pompe je comprends rapidement que ce n’est pas sa première pipe. Bien que je lui remplisse la bouche, il gémit de plus en plus en se vidant dans la bouche de Marie Anne. Quand elle se soulève, elle n’a pas l’air si étonné de voir son ex me sucer. Elle remonte vers moi pour m’embrasser et partager le jus de mon cousin que j’avale tout en lâchant plusieurs bonnes giclées dans la bouche de Stéphane.
Une fois que nos lèvres se décollent, mon infirmière par rejoindre Stéphane pour partager avec lui mon sperme. Je dois dire que de les voir s’embrasser en imaginant ma semence passer d’une bouche à l’autre m’excite bien. Je me remets immédiatement à bander et m’assois pour me rapprocher d’eux.
Quand mon infirmière voit mon érection, elle se recule et nous dit:« Désolée mais je n’ai pas le temps de remettre le couvert. »Et elle disparait dans la salle de bain. Je me retrouve nu en face de mon cousin, nous avons chacun le gout du sperme de l’autre dans notre bouche. Je dois dire que cette situation atypique ne m’aide pas à calmer mon excitation et apparement pas non plus celle de mon cousin.
Quand Marie Anne réapparaît, elle est habillée. Je ne sais pas si elle remarque notre pseudo gêne mais elle voit tout de suite nos érections. Elle s’approche de nous, m’embrasse sur la joue en caressant ma bite, elle fait la même chose avec mon cousin et juste avant de disparaitre nous dit:« Mais apparement vous n’avez pas besoin de moi pour vous amuser! »
Dès que nous entendons la porte d’entrée claquée, Stéphane me replace au lit et monte sur moi en 69. J’accueille avec plaisir sa queue alors que lui me gobe immédiatement en me massant les couilles. J’ai un peu du mal à bien le sucer alors je décide de lui masser la rondelle, j’ai surtout l’intention de voir si ses entrailles semblent vierge ou pas.
Vu comme mon majeur le pénètre facilement je ne pense pas que ça soit le cas. Mes lèvres sont fermées sur son frein alors que ma langue s’occupe de son gland pendant que je le sodomise maintenant à deux doigts. Je rentre mes doigts tellement profondément en lui que je tape à chaque fois sa prostate ce qui le fait jouir assez rapidement.
Nous restons dans cette position quelques minutes après que je me sois, de nouveau, vidé dans sa bouche. Cette fois j’ai lâché moins de jus mais mon orgasme a été tout aussi intense. Il recrache ma bite, je fais pareil avec la sienne et il se retourne pour que nous mélangions ensemble nos jus. J’ai fantasmé pendant des années sur mon cousin mais jamais je ne pensais l’embrasser de cette façon.
Quand nos lèvres se séparent il roule et s’allonge nu sur ma droite. Il vient se blottir contre moi, j’ouvre mes bras pour l’accueillir et bien qu’il ne soit pas encore 20 heures il part immédiatement rejoindre Morphée. Je m’endors lentement en me disant que je ne passe pas du tout les vacances que j’imaginais mais ce n’est pas plus mal.
Je me réveille un moment plus tard, Stéphane est maintenant sur le dos et dort toujours. J’admire un moment ses fesses que je convoitise depuis tant d’année mais je ne peux m’empêcher de me demander comment va se dérouler la suite de mon séjour mais aussi comment va réagir mon infirmière à notre prochain rendez vous suite à ce trio bi inattendu…
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